En images, la Mosquée Mohammed VI, le chef-d’œuvre architectural au cœur d’Abidjan

La Mosquée Mohammed VI d’Abidjan, véritable joyau civilisationnel marocain, trône majestueusement au centre de la grande métropole ivoirienne. Inaugurée officiellement vendredi dernier, cet édifice religieux a suscité un accueil chaleureux parmi les Ivoiriens, qui y voient non seulement un lieu de rassemblement pour les fidèles musulmans, mais aussi un symbole de savoir et de rayonnement religieux. Retour en images sur ce chef-d’œuvre architectural érigé au cœur de la métropole ivoirienne.

Conçu selon l’héritage architectural du Royaume, cette mosquée offre un espace propice à la prière et à l’enseignement du Saint Coran. Elle incarne les nobles valeurs de paix, de tolérance et de dialogue prônées par la religion musulmane, reflétant ainsi le modèle marocain en matière de gestion religieuse.

L’imam Mohamed Touré, éminent religieux ivoirien, loue cette réalisation comme un édifice d’une beauté exceptionnelle, soulignant l’authenticité de son architecture marocaine qui témoigne de la richesse culturelle du Royaume. De vastes espaces, une bibliothèque, une salle de conférences et une décoration mettant en avant le cachet marocain authentique font de cette mosquée un lieu unique.

L’architecte Mustapha Zeghari, responsable de sa conception, souligne l’importance de l’harmonie entre dimensions culturelle et religieuse dans cette réalisation. Avec son minaret imposant de plus de 69 mètres de hauteur, la mosquée Mohammed VI marque son empreinte dans le paysage urbain d’Abidjan.

L’inauguration officielle s’est déroulée en présence de nombreuses personnalités, témoignant de l’importance accordée par le Roi Mohammed VI, à la protection des constantes religieuses. La fondation Mohammed VI des Ouléma Africains, en collaboration avec les autorités ivoiriennes compétentes, a joué un rôle majeur dans la concrétisation de ce projet.

La veillée religieuse en commémoration de Laylat Al-Qadr, organisée vendredi soir à la mosquée Mohammed VI d’Abidjan, a été l’occasion de souligner l’importance de ce lieu dans la pratique religieuse des fidèles musulmans.

Deux causeries ont été animées respectivement par le président du Conseil Supérieur des Imams, des Mosquées et des Affaires Islamiques de Côte d’Ivoire, Ousmane Diakité, et le président de la section de la Fondation Mohammed VI des Ouléma Africains en Côte d’Ivoire, Cheikh Moustapha Sonta. Les éminents conférenciers ont exprimé leur gratitude envers le Roi pour avoir doté la ville d’Abidjan d’un tel édifice.

La Mosquée Mohammed VI d’Abidjan, par sa grandeur et sa symbolique, promet d’être un lieu de culte mais aussi de partage, d’éducation et de solidarité, contribuant ainsi au renforcement des liens entre les peuples ivoirien et marocain. Dans les jours à venir, nous reviendrons sur les images mémorables de cette mosquée, témoignage vivant de l’art et de la spiritualité marocaine.




Les Téké et les Yaka s’engagent à mettre fin aux hostilités dans l’Ouest de la Rdc

Ce samedi soir à la Cité de l’Union africaine, le Président Félix Antoine Tshisekedi a procédé à la réconciliation des communautés Téké Maindombe et Yaka Kwango, lesquelles étaient en conflit de droits fonciers depuis 2022,
Ce samedi à la Cité de l’Union africaine, réunis autour du Président Félix Tshisekedi, les représentants des communautés Téké (Maï6Ndombe) et Yaka (Kwango) ont signé un acte d’engagement global et inclusif pour la paix et la stabilité dans les provinces de Maï6Ndombe, Kwilu, Kwango, Kinshasa et Kongo-Central


Cet événement est le résultat des consultations qu’avait organisées le vice-Premier ministre, ministre de l’Intérieur Peter Kazadi pendant trois jours, pour mettre fin à ce conflit de droits fonciers qui avait instauré un climat de terreur dans la partie Ouest de la RDC, précisément dans le territoire de Kwamouth, depuis 2022.
Les deux parties ont donc pris l’engagement formel de cesser avec les hostilités et de rechercher une solution pacifique à la crise. Elles ont promis de privilégier le dialogue, la médiation et l’arbitrage selon les coutumes locales comme moyen de prévention et de résolution des conflits. En vue d’une paix durable, les représentants des Téké et des Yaka ont levé l’option de veiller à la cohésion, à la solidarité et à la justice sociale dans leurs entités respectives.
Dans son allocution, le Chef de l’État a remercié tous les chefs coutumiers à qui il a promis sécurité et protection. Il s’est engagé à descendre lui-même sur le terrain et à décerner des médailles de mérites à ces représentants des pouvoirs coutumiers pour leur implication dans le rétablissement de la paix dans la partie Ouest du pays.
Prenant la parole à cette occasion, le vice-Premier ministre Peter Kazadi a fait savoir qu’il a remis au Chef de l’État le rapport de la mission, celle « de mettre fin au désordre qui régnait dans les zones en conflit », que ce dernier lui avait confiée. Par ailleurs, il a souligné que cet acte d’engagement est élaboré grâce aux cahiers de charges remis par les deux communautés autrefois en conflit.




Ligue des champions(Afrique ): le TP Mazembe atteint le dernier carré cinq ans après

En position défavorable après son match nul (0-0) concédé à domicile à l’aller, le TP Mazembe a arraché sa qualification en surprenant Petro Atletico (2-1) ce samedi 6 Avril à Luanda à l’occasion des quarts de finale retour de la Ligue des champions africaine.

Pourtant menés jusqu’à la 81e minute, les Corbeaux de Lubumbashi frappent un grand coup et se hissent dans le dernier carré pour la première fois depuis 5 ans !

Lorsque Jonathan Toro a ouvert le score pour les Angolais (29e), les choses semblaient pourtant très mal embarquées pour les Corbeaux de Lubumbashi, contraints de marquer au moins un but face à une défense invulnérable depuis 7 matchs dans la compétition ! Les hommes de Lamine Ndiaye ont pourtant disposé de plusieurs occasions, mais ils ont cruellement manqué d’efficacité, à l’image de Kabwit, qui a loupé l’immanquable juste avant la pause après avoir pourtant éliminé le gardien adverse.

Un quart d’heure renversant !

Les visiteurs ont longtemps poussé mais sans parvenir à trouver la faille… jusqu’au but libérateur signé Philippe Kinzumbi à la 82e minute au terme d’un beau mouvement collectif. Virtuellement qualifiés en raison de la règle du but à l’extérieur, toujours en vigueur en Afrique, les Congolais ont ensuite tenu bon face à des adversaires contraints de marquer.

Le gardien sénégalais Faty a notamment réalisé un arrêt déterminant avant que Joel Beya ne mette définitivement le TPM à l’abri, à la conclusion d’un contre pour punir le gardien adverse, monté pour jouer le tout pour le tout (90+6). Les Congolais affronteront Al-Ahly, tenant du titre, en demi-finales. Une autre paire de manches !




Jules Alingete rend hommage à Simon Kimbangu, précurseur de l’émancipation congolaise et africaine

Dans la lutte pour l’émancipation du peuple congolais du joug colonial belge, Simon Kimbangu se distingue comme un précurseur. Dès 1921, il a courageusement critiqué la politique coloniale belge avec un discours non-violent. Kimbangu a prôné l’égalité des droits devant la loi et a éveillé la conscience noire face à l’idéologie dominatrice du colon belge. Pour les Congolais de l’époque, Simon Kimbangu était un prophète de Dieu, un nationaliste. Cependant, les missionnaires et l’autorité coloniale le considéraient comme un personnage dangereux, incitant la population congolaise à la révolte. Son histoire et son combat ont marqué l’histoire de la République démocratique du Congo (RDC).

Jules Alingete : Gardien des Finances Publiques

Jules Alingete Key, économiste congolais et expert-comptable agréé, est un homme dont le parcours est exemplaire. Né à Kinshasa le 25 juin 1963, il a été recruté sur concours à l’Inspection Générale des Finances (IGF) en 1988. Depuis lors, il a brillé dans divers postes, devenant un pilier du système Tshisekedi. Voici quelques points saillants de sa carrière :

1. Conseiller au ministère des Finances: Il a exercé ce rôle avec brio, contribuant à la gestion des finances publiques.

2. Coordonnateur au cabinet du gouverneur de la ville de Kinshasa (1997-2000): Son expertise a été précieuse dans cette fonction.

3. Commissaire aux comptes à la REGIDESO (2006-2018): Il a veillé à la transparence dans la gestion des ressources.

4. Directeur des recettes à la DGRK (2008-2010): Son travail a eu un impact significatif sur les recettes publiques.

5. Conseiller spécial du gouvernement en matière du climat des affaires: Il a contribué à améliorer le climat des affaires en RDC.

6. Inspecteur Général des Finances depuis juillet 2020: Jules Alingete a été un allié essentiel dans la lutte contre l’impunité et le détournement des deniers publics, une priorité du président Félix Antoine Tshisekedi .

L’IGF sous la Loupe d’Alingete

L’Inspection Générale des Finances (IGF) joue un rôle crucial dans la mobilisation des recettes publiques. La patrouille financière qu’il a mise en place est la clé de l’éradication des antivaleurs dans la gestion publique. Jules Alingete est un homme qui résiste aux menaces verbales, à la corruption et à la diabolisation. Il incarne l’espoir d’un Congo nouveau, bâti sur des valeurs d’intégrité et de transparence.

En somme, la commémoration de Simon Kimbangu et le travail de Jules Alingete convergent vers un idéal de justice, d’équité et de progrès pour la RDC. Leur héritage inspire les générations actuelles et futures à poursuivre la lutte pour un pays meilleur.

Didier Mbongomingi




Communiqué du Front Commun pour le Congo (FCC) suite aux accusations sans fondement récemment portées contre son Autorité morale  

Suite aux propos abjects, irresponsables et sans fondement, du Secrétaire Général de l’UDPS à l’endroit du Président de la République Honoraire, Autorité Morale du FCC, Joseph Kabila Kabange, et aux aveux stupéfiants et invérifiables, visiblement arrachés de force, publiés par un service spécialisé en violation du sacro-saint principe du secret de l’instruction près- juridictionnelle, le Front Commun pour le Congo, FCC en sigle, tient à faire ce jour, 6 Avril 2024, la mise au point suivante:

1. Le FCC condamne, avec la plus grande fermeté, les allégations, susceptibles de poursuites judiciaires pour imputations dommageables, dans un Etat de droit, faites à charge de son Autorité Morale, véritable antithèse de ce dont on l’accuse et qui est connu pour être un homme de paix et de dialogue, un patriote et démocrate avérés, un Homme d’Etat respectueux de la Constitution de la République, ainsi que de son serment de respecter cette loi suprême du pays;

2. Interpellé, par les militants de son parti, sur la non tenue des promesses démagogiques qui leur avaient été faites, ainsi qu’à la population congolaise, le Secrétaire General de l’UDPS, en bon Porte-Parole d’un régime affabulateur, a une fois encore, justifié leur manque de résultats concrets au terme du mandat précédent et les mauvaises augures actuelles en chargeant injustement Joseph Kabila Kabange;

3. Le FCC rappelle que, durant les dix-huit ans de Joseph Kabila Kabange à la tête du pays, ce dernier a été, plus d’une fois, confronté à des rébellions, tentatives de putschs et agressions extérieures, sans soutien avéré des « nouveaux patriotes qui n’ont découvert le patriotisme que depuis 2019 et qui le travestissent cyniquement, pour masquer leur incapacité chronique et accuser ceux qui ne sont pas de leur obédience d’une traitrise à géométrie variable;

4. Tout en prenant acte de la mauvaise foi et de l’ingratitude de ceux qui, il y a cinq ans, ont été les principaux bénéficiaires de la première passation pacifique de pouvoir en RDC, le FCC tient à rappeler, qu’en sa qualité d’unique Président de la République Honoraire vivant, de Sénateur à Vie et de principal artisan de la première alternance pacifique au Sommet de l’Etat en soixante ans d’indépendance du pays, dans une sous-région de l’Afrique où l’alternance démocratique est une denrée rare, Joseph Kabila Kabange, en lieu et place d’être vilipendé et injustement mis en cause, mérite plutôt d’être reconnu comme patrimoine national à préserver, et traité avec respect et considération ;

5. Le FCC souligne que la convoitise des richesses du Congo, les desseins expansionnistes de certains voisins et la traîtrise de quelques compatriotes égarés au service des intérêts étrangers ont toujours été des défis pour la gouvernance de ce pays-continent, béni de Dieu, qu’est la République démocratique du Congo. Faire croire qu’ils ne le sont que depuis 2019 et les présenter comme étant la cause de l’échec à tous égards du pouvoir actuel, en lieu et place des politiques naïves, peu réfléchies et mal appliquées, prônées et mises en œuvre par ce dernier, est donc une supercherie;

6. A ceux qui ne connaissent pas l’histoire, feignent de l’ignorer, ou ont la mémoire courte, le FCC rappelle qu’à son avènement au pouvoir en Janvier 2001, Joseph Kabila Kabange, alors âgé de seulement 29 ans, avait hérité d’un pays “balkanisé”, dont le pouvoir central ne contrôlait que le tiers du territoire national, le reste, soit les deux tiers, étant divisé en quatre pseudo- Etats ayant chacun, non seulement son administration, son armée et sa police, mais aussi son parrain extérieur. Malgré son jeune âge preuve qu’aux “âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années”, Joseph Kabila Kabange avait cependant compris que c’est aux Congolais qu’il revient, d’abord et avant tout, de régler les problèmes du Congo, que la cause de ces problèmes soit endogène ou exogène. Il savait aussi qu’être Chef, mieux, être Chef de l’Etat, c’est savoir s’assumer et assumer; que, face aux problèmes, le peuple n’attend pas que le Chef de l’Etat se comporte en chroniqueur.

Au lieu de discourir à longueur de journées et d’ériger des murs de lamentations, le Chef de l’Etat doit plutôt réfléchir, consulter, écouter, planifier, organiser, unir, motiver, mobiliser, décider et agir. Aussi, en dépit du lourd héritage lui légué, n’y a-t-il pas, en dix-huit ans de pouvoir, de discours de Joseph Kabila Kabange chargeant ses prédécesseurs ou une partie du peuple congolais pour justifier la lenteur, la modicité ou l’absence des résultats. Pas plus qu’il n’a jamais excipé de l’agression extérieure, de l’existence de groupes armés ou de l’activisme parfois violent de l’opposition politique, pour s’exonérer de son devoir de redevabilité vis-à-vis du peuple congolais;

7. Plus fréquent à l’intérieur du pays que dans les palaces étrangers, privilégiant l’action réfléchie et concertée aux effets d’annonces et aux oukases, usant à bon escient du dialogue et de la puissance publique, l’Autorité Morale du FCC avait réussi à déjouer les pronostics; à réunifier, pacifier et démocratiser le pays, le dotant d’une Constitution moderne; à apurer la dette extérieure, stabiliser le cadre macro-économique, relancer la croissance et amorcer la reconstruction des infrastructures, au point de léguer à son successeur, au moment de la première alternance pacifique depuis l’Indépendance, le 24 Janvier 2019, un pays uni dans ses frontières du 30 Juin 1960, un Etat moderne, démocratique, fonctionnel et solvable; une économie redynamisée et résiliente; un peuple réconcilié et acquis au principe du vivre ensemble par-delà sa diversité;

8. S’agissant plus précisément de la crise sécuritaire dans l’Est du pays, et confirmant en cela la sagesse millénaire selon laquelle “il n’y a pas de mauvaises troupes, il n’y a que de mauvais chefs”, le FCC rappelle que, sous le leadership compétent et efficace du Président Joseph Kabila Kabange, le M23 fut militairement vaincu en 2013 par les Forces Armées de la République Démocratique du Congo, qui sont aujourd’hui accusées, par leur propre gouvernement, d’être infestées de traitres et d’infiltrés. Cette prouesse avait été réalisée grâce à l’opération “Pomme Orange” d’heureuse mémoire, conçue par le Commandant Suprême d’alors, et exécutée de main de maître sur le terrain par des dignes fils du pays, dont les Généraux Etumba et Bahuma, ainsi que le célèbre Colonel Mamadou Ndala. Elle l’a été aussi grâce au concours de la SADC et à une architecture de sécurité régionale stable, soutenue par l’Accord Cadre d’Addis-Abeba avec, pour effet combiné, d’avoir fait bénéficier des dividendes de la paix au pays et à l’ensemble de la région des Grands Lacs pendant près de dix ans ;

9. La diplomatie post-alternance, inexpérimentée, naïve et erratique a rompu cet équilibre par son manque de lucidité analytique et de profondeur stratégique, l’une des manifestations en étant le séjour à Kinshasa, pendant 14 mois, tous frais payés par le trésor public, des représentants du M23, groupe armé aujourd’hui désigné comme suppôt des intérêts étrangers et ennemi de la Nation;

10. Pour le FCC, c’est à tout le moins téméraire et vexatoire, que les tenants de ces politiques irresponsables et sans résultats jusque-là, accusent de collusion avec l’ennemi, le seul Commandant Suprême des FARDC qui, confiant en l’armée nationale, a combattu et vaincu plusieurs groupes armés dont le M23, en a fait traduire en justice certains des dirigeants et a obtenu des sanctions internationales contre d’autres;

11. N’en déplaise à ceux qui, pour exister, doivent nécessairement effacer ou, à défaut noircir, le souvenir de leurs prédécesseurs, quitte à falsifier l’histoire, le FCC fait confiance au peuple congolais, agent et sujet de sa propre histoire. Le FCC est convaincu que le peuple n’est pas dupe. Qu’il sait donc, contrairement à ce que veulent faire accroire les dirigeants actuels du pays, que c’est la mauvaise gouvernance de ces derniers, et non le FCC, moins encore le Président de la République Honoraire Joseph Kabila Kabange, qui est la cause des maux indicibles qui l’accablent dont:

l’inflation et la dépréciation continue de la monnaie nationale qui, aujourd’hui, frôle le taux de 3000 francs congolais pour un dollar, rendant le panier de la ménagère plus léger chaque jour, et plongeant environ 40 millions de nos compatriotes, soit 40% de la population congolaise, dans une insécurité alimentaire chronique de niveau modéré à sévère;

14. Fort des prescrits de l’article 64 de la Constitution de la République, cadre exclusif dans lequel s’inscrit son action, le FCC estime qu’agir autrement, face à des gouvernants doublement illégitimes, parce que fruit d’une fraude électorale sans précédent et exerçant le pouvoir en violation de la Constitution, serait violer le serment de ses membres de « ne jamais trahir le Congo »!

Pour le FCC,

La Conférence Elargies des Présidents entendue,

Raymond Tshibanda N’Tungamulongo




DGRK : Michée Musaka reçoit le trophée d’excellence « Moto ya sika »   

M. Michée Musaka Mayelenkay, Directeur général de la Direction Générale des Recettes de Kinshasa (DGRK), a reçu ce vendredi 05 avril, le trophée d’excellence ” Moto ya sika “, prix du Citoyen congolais, lui décerné par l’ASBL ” Moto ya sika “.

La cérémonie de remise du trophée s’est déroulée à l’hôtel Hilton, dans la commune de Gombe.

L’ASBL a suivi avec attention particulière le fonctionnement de la DGRK depuis plusieurs années. Pour la structure, cette institution financière provinciale de la Ville province de Kinshasa connaît à ce jour, un élan d’épanouissement très remarquable, grâce à la politique managériale du comité de gestion conduit par Michée Musaka Mayelenkay nommé Directeur général à la tête de cette régie il y a à peine 5 mois.

Cet effort du changement, ajoute les Responsables de cette ASBL, mérite des encouragements pour l’avancement de la DGRK.

C’est ainsi que les Membres de l’ASBL “Moto ya sika”, prix du Citoyen Congolais, demandent aux Agents et Cadres de la régie financière de la capitale de soutenir le DG, Michée Musaka.

Prenant la parole, le Patron de la DGRK qui a reçu ce trophée récompensé aux hautes personnalités a accueilli cet événement avec joie et surtout humilité.

En cinq mois seulement à la tête de la DGRK, Michée Musaka Mayelenkay se dit surpris que l’ASBL suit de près les activités de la régie qui travaille pour l’intérêt de la ville de Kinshasa.

“16 ans après, il a fallu attendre qu’une Association puisse reconnaître les activités et les actes posés par la Haute Direction de la DGRK à travers ma modeste personne”, a déclaré Michée Musaka Mayelenkay qui applique depuis sa nomination la politique de proximité avec les assujettis dans le but d’atteindre tous les contribuables de la capitale, booster le niveau de mobilisation des recettes, élargir l’assiette fiscale et accroître la bonne volonté des Agents et Cadres dans le dévouement du travail.

Michée Musaka Mayelenkay s’est engagé par ailleurs à travailler encore plus pour l’amélioration des Agents et Cadres de la DGRK, car plusieurs défis sont à relever.

Avant de terminer son discours de remerciement, le Patron de la régie financière de la capitale a rendu hommage au Chef de l’Etat, M. Félix Tshisekedi qui a permis cet élan de bonne gouvernance et qui se soucie de mettre l’homme qu’il faut à la place qu’il faut.

Sans oublier le Gouverneur de la Ville province de Kinshasa, M. Gentiny Ngobila Mbaka qui a jeté son dévolu sur sa modeste personne pour présider aux destinées de la DGRK et avec pour mission de remettre cette administration fiscale sur les rails.




Accusations contre Kabila : Le Pprd met en garde le régime de F. Tshisekedi

Le Parti du Peuple pour la Reconstruction et le Démocratie (PPRD), Parti cher à Joseph Kabila Kabange, lance une mise en garde à un régime en panne de démarreur et des solutions stratégiques pour ramener la paix et la sécurité dans le pays en général et à l’Est en particulier et lui demande de cesser de se servir du nom de Joseph Kabila Kabange et de sa famille politique pour créer des comédies aux fins de nuire à l’image de cette personnalité de la République qui fait peur par son silence éloquent.
Dans un communiqué de presse, le Parti du Peuple pour la Reconstruction et le Démocratie (PPRD), dénonce avec véhémence la mesquine campagne de diabolisation de son Président National, le Camarade Joseph Kabila Kabange, Président honoraire de la République Démocratique du Congo et Premier Sénateur à vie sous la 3ème République; campagne menée par un régime aux abois, totalement vampirisateur, à travers les réseaux sociaux par des courtisans et flatteurs bien connus de Monsieur le Président Félix Tshilombo sur ce qui se passe à l’Est du Pays. Sans la moindre preuve et dans un montage grossier, on cite le Président Kabila pour une affaire qu’il ne connaît pas et qui ne peut pas l’intéresser pour avoir dirigé la RDC avec patriotisme, abnégation, conviction et vision.
Le professeur Emmanuel Ramazani Shadary qui signe ce communiqué souligne que le PPRD, Parti qui prône la non-violence rappelle à l’opinion nationale et internationale que le M23 est une œuvre ressuscitée par le régime de M. Félix Tshilombo qui l’a hébergé selon ses propres termes ici à Kinshasa pendant 14 mois et avec lequel il aurait signé des accords secrets alors que ce mouvement été déjà défait en 2013 par notre armée sous la houlette du Président Joseph Kabila Kabange.
« Le PPRD, Parti avant-gardiste rappelle également que le même régime actuellement au pouvoir, au lieu de donner des moyens conséquents à nos vaillants FARDC pour neutraliser tous les groupes armés, ce régime s’emploie à signer des accords multiples notamment des mutualisations des forces et des cessez-le feu qui mettent à genoux la République sans espoir de libérer l’espace territorial de la RDC où notre souveraineté est déjà entamée », indique-t-il.
Ainsi, le Parti cher à Joseph Kabila Kabange lance une mise en garde à ce régime en panne de démarreur et des solutions stratégiques pour ramener la paix et la sécurité dans le pays en général et à l’Est en particulier et lui demande de cesser de se servir du nom de Joseph Kabila Kabange et de sa famille politique pour créer des comédies aux fins de nuire à l’image de cette personnalité de la République qui fait peur par son silence éloquent.
Le PPRD porte connaissance à la communauté nationale et internationale qu’il se réserve le droit de saisir les instances internationales pour réhabiliter l’honneur de ce Grand Homme et de poursuivre sa lutte pour sauvegarder la démocratie et l’Etat de droit en RDC.
Enfin, le PPRD appelle le peuple congolais opprimé et qui ne voit rien du progrès social à ne pas céder aux intimidations pour l’anéantissement de l’opposition et de la résistance et à se lever comme un seul homme pour faire échec à cette dérive dictatoriale dans une pétaudière en embouteillage politique.




Beni : un grand chef terroriste et ses 4 collaborateurs neutralisés par la coalition FARDC-UPDF

La traque des combattants ADF se poursuit sans relâche dans la zone de Beni dans le Nord-Kivu. Les Forces Armées de la République Démocratique du Congo appuyées par l’armée Ougandaise annoncent la neutralisation d’un chef terroriste islamiste MTM/ISCAP de nationalité Ougandaise surnommé BAGDAD et 4 de ses gardes du corps de nationalité Congolaise, le vendredi 5 avril 2024.

Le porte-parole des opérations sokola 1 Grand Nord qui livre cette information, précise que ces Djihadistes sont tombés sur le sol Congolais précisément à la colline ABUSIRE située dans la forêt TINGWE à plus ou moins 16 Km de la cité d’Erengheti,dans la province du Nord-Kivu.

Les Forces conjointes FARDC-UPDF ont également récupéré 2 armes de guerre de type AK47, des Motorola et plusieurs autres effets militaires.

 

Osk




Affrontements entre FARDC et la coalition M23-RDF-AFC: plusieurs bombes ennemies larguées ce samedi sur saké et ses environs

Des affrontements sont signalés depuis la matinée de ce samedi 06 Avril 2024 au tour de la cité de Sake dans le territoire de Masisi au Nord Kivu. La coalition M23-RDF-AFC lance des bombes dans plusieurs directions jusqu’à Mugunga, un des quartiers de la ville de Goma.

L’un des habitants de Mugunga précise que de fortes détonations d’armes lourdes sont entendues depuis tôt aux alentours de Sake sur la colline de Kiuli dans la localité de Kimoka et sur la colline de Vunano.

Des bombes du M23 en provenance des collines de kiuli et Vunano tombent dans la cité de Sake, à Mubambiro et à côté du nouveau camp militaire de Munzenze au quartier Mugunga, précise-t-il.

 

Osk




Judith Suminya Tuluka, une étoile montante du Kongo Central, honorée par l’ABAKO

Dans une récente annonce qui a suscité l’enthousiasme et l’admiration à travers le Kongo Central, Mme Judith Suminya Tuluka a été nommée à un poste de haute distinction, un événement qui marque un tournant dans sa carrière déjà impressionnante.

L’Alliance des Bâtisseurs du Kongo (ABAKO), parti politique d’avant garde de l’indépendance dédiée au développement et à la prospérité de la région et toute la République, a exprimé sa fierté et ses félicitations les plus chaleureuses à Mme Tuluka. Dans un communiqué, l’ABAKO a souligné son parcours exemplaire et son engagement indéfectible envers le Kongo Central, la qualifiant de source d’inspiration pour la jeunesse et les professionnels aspirants. Le Docteur Pierre Anatole en est ravi.

La nomination de Mme Tuluka est perçue non seulement comme une reconnaissance de son talent et de son travail acharné, mais aussi comme un symbole d’espoir pour de nombreux citoyens qui voient en elle un modèle de réussite et de dévouement au service de leur communauté.

L’ABAKO a réitéré son soutien à Mme Tuluka et a exprimé son désir de collaborer étroitement avec elle pour continuer à promouvoir les valeurs et les objectifs de l’organisation. Ce partenariat promet de catalyser des initiatives novatrices et de renforcer les fondations déjà solides sur lesquelles le Kongo Central continue de se construire.

La nomination de Mme Tuluka est un rappel puissant que le Kongo Central est une terre de possibilités où le mérite et la persévérance sont récompensés. L’ABAKO et toute la région attendent avec impatience les contributions futures de Mme Tuluka et lui souhaitent un succès continu dans ses nouvelles responsabilités.