Finales du Championnat d’Afrique de Football Scolaire de la CAF : Zanzibar lance le compte à rebours de sept jours

L’excitation grandit à Zanzibar qui se prépare à accueillir la deuxième édition de la finale continentale du Championnat d’Afrique de Football Scolaire de la CAF dès le mardi 21 mai 2024, avec les vainqueurs de zone de tout le continent.

Les finales ont lieu au stade Amaan de Zanzibar du 21 au 24 mai 2024.

Le Championnat d’Afrique de football scolaire réunit les garçons et les filles de moins de 15 ans. Cette saison a connu la participation d’environ 804 480 jeunes garçons et filles de la catégorie d’âge, issus de 28 862 écoles à travers 44 pays.

Ce qui représente une augmentation de 40 % par rapport à l’édition précédente.

Pour les finales à Zanzibar, 12 équipes sont qualifiées.

Équipes de la finale du Championnat d’Afrique de football scolaire de la CAF :

Garçons : Afrique du Sud (COSAFA), Bénin (WAFU B), Libye (UNAF), République du Congo (UNIFFAC), Ouganda (CECAFA), Sénégal (WAFU A).

Filles : Afrique du Sud (COSAFA), Gambie (WAFU A), Maroc (UNAF), République du Congo (UNIFFAC), Togo (WAFU B), Ouganda (CECAFA).

Le tirage au sort qui déterminera les affiches finales aura lieu le 19 mai, 48 heures avant le premier match.

Le championnat, partie intégrante du programme scolaire africain de la CAF, est couplé à des programmes de renforcement des capacités, y compris le programme des jeunes reporters, le programme des jeunes arbitres, le programme des jeunes officiers médicaux, le cours d’entraîneur de la licence D de la CAF, et les ateliers de protection et prévention de la CAF.

Les vainqueurs des compétitions masculines et féminines recevront chacun 300 000 USD de prix, les seconds recevront chacun 200 000 USD, tandis que les médaillés de bronze recevront chacun 150 000 USD, grâce au partenariat de la CAF avec la Fondation Motsepe, qui seront utilisés pour des projets de développement dans les écoles.

Pour plus d’informations sur le Championnat d’Afrique de football scolaire de la CAF, visitez www.cafonline.com




ONU : Les gouvernements se plaignent des faibles taux de natalité 

Les gouvernements sont inquiets du fait que les faibles taux de fécondité menacent leurs sociétés d’une croissance économique anémique, de pénuries de main-d’œuvre, d’insolvabilité fiscale et d’autres problèmes sociaux lors de la réunion annuelle au siège de l’ONU à New York. Une vague de plaintes a submergé la Commission annuelle des Nations Unies sur la population et le développement (CPD). Les pays sont en colère contre les résultats d’une propagande de plusieurs décennies en faveur de la réduction du taux de fécondité.

La réduction du taux de fécondité figurait parmi les objectifs de la conférence du Caire sur la population et le développement en 1994

Malgré cela, les pays occidentaux et les agences de l’ONU ont insisté sur la nécessité de réduire les taux de fécondité. Les gouvernements se sont inquiétés du fait que les faibles taux de fécondité menacent leurs sociétés d’une croissance économique anémique, de pénuries de main-d’œuvre, d’insolvabilité fiscale et d’autres problèmes sociaux lors de la réunion annuelle au siège de l ‘ONU à New York. La mission iranienne auprès des Nations Unies a déclaré que « la politique de planification familiale et la réduction du taux de fécondité figuraient parmi les objectifs de la conférence du Caire sur la population et le développement en 1994 pour tous les pays, sans tenir compte des variations ni des indicateurs économiques, sociaux et culturels. Cette politique a conduit à une forte baisse du taux de fécondité dans la plupart des pays. En Iran, en raison de la mise en œuvre excessive des politiques nationales de planification familiale, notre pays est aujourd’hui confronté au risque d’une crise du vieillissement de la population plus tôt que d’autres pays. » L’Iran a connu la plus forte baisse du taux de fécondité de l’histoire, tous pays confondus. Alarmée par le déclin démographique, la Bosnie-Herzégovine a déclaré à la conférence : « Nous deviendrons vieux et fatigués avant d’être développés… Nous prévoyons qu’au cours des prochaines années, la Bosnie-Herzégovine aura besoin , sur une base annuelle, de 3 % supplémentaires de PIB pour maintenir l’éducation, les soins de santé et les pensions au niveau actuel ».

Une baisse généralisée et irréversible de la fécondité dans tous les pays du monde

Malgré les nombreux gouvernements qui se plaignent du défi que représente une faible fécondité, les représentants de l’Institution des Nations Unies chargée de la population ont essayé de présenter cette faible fécondité sous un jour positif. Jose Miguel Guzman, ancien associé au Fonds des Nations Unies pour la Population (FNUAP) et aujourd’hui Président de No Brainer Data, a déclaré que « la désinformation croissante sur les changements démographiques [et] les scénarios cataclysmiques de vieillissement de la population » conduisent les gens à vivre dans une « peur irrationnelle qui entrave leur capacité à prendre des décisions politiques en connaissance de cause ». M. Guzman a reconnu la réalité d’une baisse généralisée et apparemment irréversible de la fécondité dans tous les pays du monde, mais a déclaré que « la baisse de la fécondité peut être considérée comme une bénédiction, car elle aide les femmes à réussir à avoir le nombre d’enfants qu’elles désirent, comme le reconnaît la CIPD. Elle a également eu un impact favorable sur la réduction de la mortalité infantile et maternelle ». Li Junhua, sous-secrétaire général des Nations Unies pour les Affaires Economiques et Sociales, a présenté un rapport des Nations Unies plaidant en faveur de plus d’investissements pour encourager les femmes à utiliser la contraception et à avoir des familles peu nombreuses « puisque les parents de familles peu nombreuses sont en mesure d’investir davantage dans chaque enfant, ce qui se traduit par des résultats encore meilleurs en matière de santé et d’éducation ».

Hongrie : la protection de la « famille naturelle » dans la constitution hongroise a contribué à l’augmentation de la fécondité

Lors d’un événement parallèle à la CPD organisé par la Mission Permanente de la Hongrie auprès des Nations Unies, Lyman Stone, chercheur à l’Institut d’Etudes Familiales, a déclaré que l’écart de fécondité montrait que les sociétés riches n’étaient pas seulement confrontées à un déclin démographique, mais aussi à un écart de fécondité. Partout dans le monde, a montré Lyman Stone, les femmes n’atteignent pas le niveau de fécondité souhaité et ont moins d’enfants qu’elles ne le souhaitent. Lyman Stone a fait preuve d’un optimisme prudent en affirmant que les effets des politiques pro-famille à long terme, notamment la protection de la « famille naturelle » dans la constitution hongroise, ont contribué à l’augmentation de la fécondité en Hongrie, qui est passé de 1,2 enfant par femme il y a dix ans à 1,6 aujourd’hui. Il y a près de 25 ans, la Division de la Population des Nations Unies a organisé une réunion d’experts pour examiner la question de savoir jusqu’où la fécondité pouvait descendre. À l’époque, tout le monde s’accordait à dire que personne ne savait.




La transformation du club en marche : A Dar-Es-Salaam, le TPM s’associe à Young Africans

Frédéric Kitengie, manager général du club, Héritier Yindula, directeur de la communication, et Patrick Okito en charge du design, de la photographie et de la conception numérique sont à Dar-Es-Salaam. Les trois membres de la direction du club séjournent dans la capitale tanzanienne pour travailler sur de nouveaux projets dans le cadre de la transformation du club. Une évolution initiée par le Chairman Moïse Katumbi depuis le début de la saison.

Le football, une machine qui avance sans arrêt

Dans le cadre d’un prochain partenariat, les secteurs du marketing, sponsoring, et surtout l’engagement des supporters, notamment par le biais d’une identification numérique à travers le monde afin qu’ils participent à la vie du club, la communication, le IT, la billetterie et autres secteurs clefs au football moderne sont concernés. Le football se transforme, se développe et prend de nouvelles dimensions. Le TPM s’est fixé pour objectif de prendre le train à travers un chronogramme qui s’étalera sur au moins 12 mois.

Participation des supporters : il temps que ça change

Ce prochain partenariat viendra renforcer la volonté du TPM de s’engager à atteindre le niveau de la participation collective à la vie du club. La direction est bien lancée sur le chemin de la transformation avec un réel souhait d’intensifier les alliances (dans tous les domaines) à travers le monde.

La dimension actuelle du TPM, à travers les moyens de communication du club, permettront aux différents acteurs qui s’identifient au club afin de poursuivre leur développement.

Frédéric Kitengie l’a mentionné devant la presse tanzanienne : “Nous sommes ravis de pouvoir nous associer à Young Africans. Le prochain accord viendra conforter notre volonté de développer le club dans plusieurs domaines, nous rapprocher des supporters comme ça se fait en Tanzanie à travers les canaux appropriés, le sponsoring, le marketing et la communication. C’est aussi une occasion pour Young Africans et Mazembe de travailler sur des projets de développement du football.”

La délégation congolaise qui oeuvre sur ce projet depuis 10 mois va poursuivre le travail à Dar-Es-Salaam jusqu’à vendredi 17 mai. En début de saison prochaine, de nouvelles dispositions seront communiquées à la grande famille des Badiangwenas.