Au-delà des relations politiques maroco-congolaises : Rachid Agassim plaide en faveur d’une nouvelle dynamique à la coopération bilatérale

Des entrepreneurs marocains ont fait le chemin jusqu’à Kinshasa, un moment opportun pour nouer des partenariats d’affaires et une opportunité de renforcer davantage la dynamique des relations bilatérales entre les deux pays amis et frères. Dans son discours, M. Rachid Agassim, Ambassadeur marocain à Kinshasa a rappelé comment le Roi Mohammed VI, s’est activé pour insuffler la dynamique nécessaire en faveur d’une coopération sud-sud, visant la promotion du développement économique de toute l’Afrique et le bien-être des peuples africains. « Aux antipodes des excellentes relations politiques que les deux pays entretiennent au niveau bilatéral, la coopération économique et commerciale, surtout en matière d’investissements, n’est malheureusement pas encore au même niveau », a indiqué l’ambassadeur, avant d’ajouter que c’est pour cette raison que l’ambassade, tout comme les pouvoirs publics et privés en RDC et au Maroc, se sont activés dans le but d’insuffler une nouvelle dynamique à la coopération bilatérale, notamment à travers la mise en place d’un Conseil d’Affaires bilatéral, ainsi que d’autres entités similaires.

Ci-dessous m’intégralité du discours :

Discours de circonstance de Monsieur l’Ambassadeur à l’occasion de La mission de prospection économique

Kinshasa du 15 – 17 mai 2024

Excellences,

Chers compatriotes,

Mesdames et Messieurs,

Tout protocole observé

C’est un plaisir et un honneur de me donner l’opportunité pour m’adresser à nos entrepreneurs qui ont fait le chemin jusqu’à Kinshasa. Un moment opportun pour nouer des partenariats d’affaires et une opportunité de renforcer davantage la dynamique des relations bilatérales entre les deux pays amis et frères.

J’en profite, également, pour remercier tous les intervenants, aussi bien marocains que rd-congolais, du secteur privés et public, qui se sont employés pour mettre en place et faire réussir cette mission multisectorielle de prospection économique en RDC que nous voulons porteuse de nouvelles perspectives de coopération et de partenariat entre les communautés d’affaires de nos deux pays frères.

Je souhaiterais, en particulier, dire que le moment qu’on est en train de célébrer aujourd’hui n’est autre que le couronnement d’une vision sage et éclairée des deux Chefs d’Etat, Sa Majesté Mohammed VI, Roi du Maroc et son frère S.E. M. Felix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, Président de la RDC, animée par leur volonté à hisser davantage les liens exemplaires entre les deux pays.

En effet, depuis son accession au Trône de ses Glorieux ancêtres, Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’Assiste, s’est activé inlassablement pour insuffler la dynamique nécessaire en faveur d’une coopération sud-sud, visant la promotion du développement économique de toute l’Afrique et le bien-être des peuples africains.

Cette vision royale panafricaine a réussi à développer un réel écosystème d’acteurs institutionnels pour la promotion de la coopération Sud-Sud en faveur de l’Afrique à travers une large présence des entreprises marocaines dans divers secteurs d’activités dans le Continent, notamment l’agriculture, l’habitat, les télécommunications, les banques et les infrastructures de base, les transports, ainsi que le renforcement des échanges commerciaux.

Ce n’est pas un hasard si le Maroc est, aujourd’hui, placé premier investisseur africain en Afrique de l’Ouest et deuxième en Afrique.

D’ailleurs, d’après un dernier rapport de l’OCDE et l’Union Africaine, les investissements marocains opérés en Afrique ont la plus grande portée continentale, ciblant, principalement, les pays d’Afrique de l’Ouest, mais aussi d’Afrique central et de l’Est.

Cette mobilisation royale a débouché sur plusieurs projets structurants initiés en Afrique, dont :

– La valorisation de la baie de Cocody à Abidjan, en Côte d’Ivoire ;

– La Création des unités de productions de fertilisants (Ethiopie, Nigeria)

– Le lancement du projet de Gazoduc Maroc-Nigeria qui permettra l’acheminement du gaz des pays producteurs vers l’Europe et contribuera à la structuration d’un marché régional énergétique, profitant à plus de 15 pays africains ;

– Le lancement de l’Initiative royale pour les Etats Africains Atlantique (EAA), en 2023, qui aspire à un espace régional africain intégré, stable, interconnecté et économiquement prospère. Cette initiative inédite place le co-développement intra-africain au cœur de la transformation des économies des pays du Sahel et de la région de l’Afrique atlantique, à travers la valorisation du littoral atlantique et qui vise, également, à améliorer l’attractivité, à l’échelle mondiale, de cet espace africain qui regorge de potentialités.

Mesdames et Messieurs,

Aux antipodes des excellentes relations politiques que les deux pays entretiennent au niveau bilatéral, la coopération économique et commerciale, surtout en matière d’investissements, n’est malheureusement pas encore au même niveau.

En effet, la Chambre de Commerce et d’Industrie Maroc-RDC demeure, à ce jour, la seule structure bilatérale en place entre notre pays et la RDC.

Cette structure, qui est la première du genre entre la RDC et un pays africain, a été lancée en février 2020.

L’actuel président de la Chambre, M. Yale SETI, a signé, le 25 octobre 2023 à Casablanca, une Convention-Cadre de Coopération entre ladite Chambre et la Fédération de l’Industrie Minérale du Maroc.

Les communautés d’affaires des deux pays sont très conscientes des opportunités considérables que pourrait offrir une coopération étroite.

C’est pour cette raison que cette Ambassade, tout comme les pouvoirs publics et privés en RDC et au Maroc, se sont activés dans le but d’insuffler une nouvelle dynamique à la coopération bilatérale, notamment à travers la mise en place d’un Conseil d’Affaires bilatéral, ainsi que d’autres entités similaires.

A ce titre, l’Ambassade a étroitement collaborer avec l’ANAPI et la Chambre de Commerce et d’Industrie Maroc-RDC pour la réalisation, du 27 février au 6 mars 2023, d’une importante mission multisectorielle de prospection économique et d’investissement depuis la RD-Congo.

Ceci témoigne de la volonté des deux parties d’aller de l’avant et, ainsi, concrétiser la volonté de nos deux Chefs d’Etat.

Cette mission économique s’est déroulée à Rabat, à Casablanca et à El Jadida, ce qui a, depuis, permis plusieurs échanges entre les institutionnels et les communautés d’affaires des deux pays et a débouché sur les réalisations suivantes :

• La signature, en avril 2023 à Rabat, d’une convention de partenariat économique entre les Chambres de Commerce, d’Industrie et des Services des deux capitales Kinshasa et Rabat ;

• La signature, le 20 juillet 2023 à Rabat, d’un Protocole d’Accord de collaboration entre l’Agence Nationale pour la Promotion des Investissements (ANAPI) et l’ASMEX pour la promotion des investissements ;

• La mise en place de partenariats dans le domaine de la formation au profit des cadres des administrations rd-congolaises, comme celui entre le Port Tanger Med et l’Agence des Zones Economiques Spéciales (AZES – RDC) pour les missions de formation sur le développement des ZES au Maroc ;

• Et bien évidemment, cette mission multisectorielle de prospection économique en RDC qui nous réunit aujourd’hui.

• Toujours dans le même sens, une mission économique de la RDC au Maroc à Agadir, région de Souss Massa, aura lieu du 25 mai au 02 juin 2024.

Parallèlement, l’Ambassade, à ce jour, s’est employée en vue de la finalisation et le paraphe de neuf (09) Projets d’Accord qui sont de nature à valoriser considérablement les relations bilatérales et, également, en prévision de la tenue d’une éventuelle commission mixte Maroc-RDC.

Mesdames et Messieurs,

Aujourd’hui, c’est avec un grand plaisir que je m’adresse à cette audience distinguée, composée d’hommes et de femmes d’affaires qui croient à l’Afrique et qui constitueront la locomotive d’un partenariat gagnant-gagnant entre le Maroc et la RDC.

Les opportunités d’affaires qui se présentent sont à saisir et il est grand temps de les mettre en valeur, à l’instar de ce que font les entrepreneurs marocains dans plusieurs parties de notre cher Continent africain.

Dans ce sens, la RDC est appelée à devenir une destination de choix, de par sa position au centre de l’Afrique, de par ses potentialités considérables et de par ses frontières avec 9 pays, ouvrant, ainsi, un marché d’environ 250 millions de consommateurs.

Ces opportunités, et je parle sous le contrôle des professionnels rd-congolais, bien évidemment, mais aussi des compagnies marocaines présentes en RDC ; la Banque BOA, la Compagnie aérienne Royale Air Maroc et l’Assurance GASCO, touchent à une multitude de secteurs : l’agroalimentaire, le domaine médical et pharmaceutique, les télécommunications, les assurances, les BTP, ainsi que le secteur minier.

Dans un récent article de presse, mon cher frère M. Anthony Nkinzo, Directeur Général de l’ANAPI, et je cite : « invite le monde à considérer la RDC comme une terre d’opportunités économiques ». Anthony c’est très soft ; moi je dirai tout simplement que la RDC est un pays solution pour bon nombre de secteurs ; la RDC est « the place to be for business communities ».

Je suis convaincu, de par la solidité de nos relations, et la volonté affichée des hommes et femmes d’affaires ici présents que cette mission sera fructueuse et ouvrira la voie à beaucoup d’autres hommes et de femmes d’affaires qui restent indécis, aussi bien en RDC qu’au Maroc.

Avant de conclure, et là, je m’adresse à mes frères et sœurs congolais, dans toute relation, le choix de partenaire est déterminant. Je vous dis, en toute sincérité et objectivité, que le Maroc est un meilleur choix pour la RDC.

Je vous remercie.




RDC : Félix Tshisekedi désavoue le ticket du présidium de l’Union sacrée au bureau définitif de l’Assemblée nationale

Plusieurs langues soutiennent que le ticket de l’Union sacrée aux différents postes à l’Assemblée nationale a été également désavoué par le président Félix Tshisekedi, autorité de l’Union sacrée de la nation. Comme le veut une frange de députés nationaux, la Grande Orientale sera prise en compte dans ce bureau pour garantir la représentativité.

Ainsi, la haute autorité de cette famille politique a demandé le report de ces élections, en vue d’harmoniser les vues sur ces points qui bloquent.

 

Plus de plénière ce samedi 18 mai à l’assemblée nationale pour l’élection et l’installation du bureau définitif. La mise en place du bureau définitif doit encore attendre un peu. La rencontre de ce jour entre les responsables de l’Union sacrée avec le chef de l’État a bouleversé les donnes.

 

 

Mboshi




COMMUNIQUE DE PRESSE n° 035/CENI/2024




Après la suspension des 11 sous-traitants de l’entreprise HUAWEI:  Les marchés récupérés sont attribués à des sous-traitants éligibles selon l’ARSP 

La décision portant suspension des 12 entreprises sous-traitantes du géant des télécommunications HUAWEI prise par le directeur général de l’ARSP Miguel Kashal Katemb a été lue au Journal de la télévision nationale RTNC . Non seulement que ces 12 sous-traitants sont suspendues pour inéligibilité au marché de la sous-traitance mais aussi, le DG de l’ARSP a décrété l’annulation pure et simple de 4 attestations d’enregistrement de certains d’entre eux .

L’objectif poursuivi par le DG de l’ARSP est de permettre aux sociétés éligibles de competir à chances égales afin d’accéder aux marchés récupérés et participer à l’émergence de la classe moyenne, vision du chef de l’Etat Félix-Antoine Tshisekedi.

On peut en effet lire dans la décision publiée par l’ARSP que les entreprises concernées par cette décision sont les suivantes :

1) I-ENGENEERING DR CONGO SARL;

2) HAYATCOM RDC SARLU ;

3) CHINE COMMUNICATIONS SERVICES CONGO, CCSC SARL ;

4) MAMB SERVICES SARL ;

5) EGYPRO DRC SARLU ;

6) CHINA OVERSEAS ENGINEERING GROUP SARL;

7) SOLUTIONS SANS FIL INTEGRES AFRICA SARL ;

8) LUSAKA TELECOM SOLUTIONS RDC SARL

9) INTEGRATED WIRELESS SOLUTIONS AFRICA, IWS SARL;

10) I-ENG DRC SAS ;

11) AFRO EGYPT ENGINEERING DRC SARL;

12) SPINTELLIGENT PTY LTD.

Par ailleurs les sociétés auxquelles les attestations ont été retirées pour cause de fraude dans le processus de leur obtention sont :

– EGYPRO RDC SARLU, attestation d’enregistrement n° 6127

– LUSAKA TELECOMS SOLUTIONS RDC SARL, attestation d’enregistrement n°

3647

– IENG DRC SAS, attestation d’enregistrement n° 4253

– MAMB SERVICES SARL, attestation d’enregistrement n° 8229

La direction générale de l’ARSP annonce que ces entreprises sont à cet effet, retirées de la banque des données des entreprises enregistrées et sont, par conséquent, inéligibles à l’exercice des activités de sous-traitance en République Démocratique du Congo.

Soulignons que cet exercice a permis lARSP de récupérer plus de 50 millions de dollars américains pour le compte de la République.

Après concertation avec la direction générale de l’entreprise HUAWEI , l’ARSP devra envoyer dès ce lundi 20 mai une liste des entreprises sous-traitantes éligibles tirées de sa base des données.




RDC: L’élection du bureau définitif de l’Assemblée nationale reportée sine die

Prévue ce samedi 18 mai, l’élection des membres du Bureau définitif de l’Assemblée nationale a été reportée. Décision prise par le chef de l’Etat Félix Tshisekedi, haute autorité politique de l’Union sacrée à l’issue d’une réunion qu’il a tenue ce vendredi 17 Mai avec les élus nationaux et les chefs de regroupements de l’union sacrée.

Les forces en présence au sein de la majorité parlementaire devront trouver un nouveau ticket en tenant compte de la Grande Orientale qui n’avait pas été représentée dans le précédent ticket proposé par le Présidium de l’union sacrée.

 

La rencontre de ce jour a été organisée par Félix Tshisekedi suite aux tensions persistantes suite à la proposition des six (6) membres du Présidium des candidats alignés pour cette élection du Bureau définitif.

 

Loup solitaire




RDC: L’ODEP s’engage à intensifier la pression sur les détourneurs des deniers publics à travers la mise en place d’une boîte mail verte et des numéros verts

La lutte contre la corruption sera encore accentuée par l’observatoire de la dépense publique. Assurance faite ce vendredi 17 Mai 2024 par le président du conseil d’administration de l’ODEP au cours d’une conférence de presse axée sur les activités de la Cour des comptes.

Le professeur Florimond Muteba annonce pour se faire, la mise en place d’une boîte mail verte et des numéros verts pouvant permettre à tous les agents publics de l’État d’envoyer en toute sécurité les informations liées à la mauvaise gestion des finances publiques dans leurs entités.

 

“Cette boîte mail verte va décomplexer un peu tous les congolais qui sont dans les administrations. Il y a quelque chose qui ne va pas, envoyer dans la boîte mail de l’ODEP dont je détiens seul le mot de passe. N’ayez pas peur”, a indiqué le président du conseil d’administration de l’observatoire de la dépense publique.

 

Il a aussi, à cette occasion, plaidé pour la nomination de 5 mille magistrats à la Cour des comptes pour l’aider à bien mener la lutte contre le fléau de la corruption qui bat son plein en RDC.

 

“La Cour des comptes a une soixantaine de magistrats alors que par comparaison l’Afrique qui n’est pas un pays qui n’a pas autant d’habitants comme le Congo, a plus de deux mille magistrats. Bien-sûr on a donné un peu plus de moyens à la Cour de comptes qu’avant, nous voulons davantage ” a déclaré Florimond Muteba.

 

Notons aussi que l’ODEP va installer dans 5 provinces pilotes, les observatoires locaux de la dépense publique pour outiller la base sur la bonne gestion des finances publiques pour ainsi mettre fin au fléau de la corruption qui gangrène la RDC.

 

 

Loup solitaire




RPDC; «La ROK est vouée à la disgrâce et à la ruine pour sa diplomatie de “sollicitation” et de “mendicité”.»

Voici le communiqué (16/05/2024) de presse de PAK Myong Ho, Vice-Ministre des Affaires Etrangères (AE) de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945;

  • Puissance nucléaire consacrée à garantir son droit à l’existence et au développement du Pays et à juguler une Guerre pour sauvegarder la paix et la stabilité de la Région et du monde entier
  • Superpuissance politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Hommes bienfaiteurs dont KIM JONG UN, NDLR);

CHO Tae-Ryul, Ministre (janvier 2024 – , NDLR) des AE de la ROK (ou Republic of Korea ou République de Corée – créée, unilatéralement, un mois avant la RPDC dans le cadre de la division perpétuelle avec son côté Nord – qui tire son origine, avec siège à l’étranger, en 1919 sous la domination 1905-1945 du Japon, sans aucun pouvoir ni autorité restaurés en seule apparence par les USA ayant divisé la Péninsule coréenne en 1945 pour mieux régner, NDLR), s’est rendu il y a quelques jours (13-14/05/2024, NDLR) en République Populaire de Chine (RPC).

Il est inutile d’expliquer pourquoi le Chef de la diplomate de la ROK affligée par la crise de dernier degré due tant à sa mauvaise gouvernance anti-populaire qu’à sa flagornerie et à son servilisme envers;

  • les USA (ou United States of America ou Etats-Unis d’Amérique; occupants du sud de la Péninsule coréenne dès 1945 jusqu’ici avec leurs 30.000 GI’s coiffés des Casques Bleues censées être ôtées depuis 1975 grâce à la Résolution № 3390B 18/11/1975 de l’Assemblée Générale de l’ONU mais toujours en vain, après leur fiasco dans la 1ère invasion de la Corée en 1866 bientôt recouvré par leur réussite dans la domination 1905-1945 de procuration de toute la Corée par le Japon à travers la collusion USA-Japon 29/07/1905, cela selon l’esprit de leur Destinée Manifeste de 1845, NDLR)
  • le Japon (le plus obsédé ou ambitieux de l’expansion d’outre-mer avec sa 1ère invasion 1592-1598 de la Péninsule coréenne – sa plus voisine géographique – et stigmatisé Etat ennemi par la Charte de l’ONU du fait de ses crimes immoraux les plus graves contre l’Humanité commis pendant son occupation manu militari 1905-1945 de la Corée tels que le kidnapping et la réquisition forcée de 8,4 millions de jeunes et adultes coréens comme pare-balles et pour les travaux forcés, le massacre atroce de 01 million des Coréens et le système d’esclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200 milles Coréennes, etc., NDLR),

a opté, à la hâte, pour son voyage à l’étranger.

Je me fiche également de savoir avec quel courant et dans quelle direction dériverait la barque baptisée la ROK perdu en océan et en danger de naufrage. Mais, je ne pourrai jamais ignorer les terribles tentatives insolente ou hautaine de CHO Tae-Ryul de ternir ou porter atteinte à la dignité et au prestige de notre RPDC. Au cours de son voyage, CHO Tae-Ryul a déclaré avec incohérence et impudence;

  • Le Nord (RPDC) a défini (janvier 2024, NDLR) les relations Sud-Nord comme étant hostiles, dans un déni de l’unification.
  • On s’inquiète des remarques menaçantes et des diverses provocations du Nord qui aggravent les tensions dans la Péninsule coréenne et dans la Région.

Il aurait formulé une série de recommandations pour un «rôle constructif en faveur de la paix et de la stabilité dans la Péninsule coréenne et de la dénucléarisation (ou CVID ou Complete, Verifiable, Irreversible Denuclearization; un terme dépassé ou trouvable, peut-être, dans le dictionnaire de langues mortes des USA depuis 2003, NDLR) du Nord». C’est le voleur qui crie au voleur tout en dépassent les bornes.

Tout le monde entier sait qui est le coupable de la transformation de la Péninsule coréenne et de l’Asie du Nord-Est en pire point chaud du monde et en poudrière si dangereuse, en organisant les exercices de guerre de nature agressive presque tous les jours tout au long de l’année en alléguant la «fin du Régime» en RPDC.

La cause et la source profondes de la situation toujours aggravante dans la Péninsule coréenne ne résident que dans les USA et dans la ROK qui est aux ordres des derniers. Même si la ROK tente désespérément de se déguiser en victime en se creusant la tête et en jouant sur les mots pour dénaturer les faits, personne ne s’y laissera plus prendre et les relations RPDC-ROK ne pourront jamais être inversées.

Le fait que ce diplomate se soit rendu dans la Capitale (Beijing) de la RPC et ait parlé d’un certain «rôle constructif» en sa qualité de serviteur impliqué de manière proactive dans l’alliance militaire anti-chinoise dirigée par les USA de plus en plus proche de la sphère sécuritaire de la RPC est une indication claire de l’impudence et de l’impudeur de la ROK. Cette fois-ci, CHO Tae-Ryul a fait preuve d’audace en déclarant qu’il était;

  • opposé au jeu à somme nulle (ou zero-sum game)
  • disposé à ouvrir conjointement une nouvelle phase de coopération ROK-RPC.

Alors que la ROK est fortement ou entièrement ligotée au carrosse baptisé la Nouvelle Guerre Froide conduit imprudemment par le cocher de guerre appelé les USA, je ne peux que me demander si elle a le courage de dénouer l’attache par elle-même et d’en sauter. La récente visite du Ministre des AE de la ROK a clairement montré que;

  • impossibles sont la coexistence et la symbiose d’avec les clans atteints de maladies chroniques ou invétérées telles que les sentiments d’hostilités et de rejet sui generis à l’égard de la RPDC
  • la situation de la Région ne peut jamais retrouver sa stabilité tant qu’il y a les USA qui sont la source maléfique et la cause profonde de l’instabilité dans la Péninsule coréenne et, aussi, la ROK qui se prosterne aux pieds des derniers.

La souveraineté s’avère les droits de l’Etat qui constituent évidemment la vie précieuse. Dans le contexte actuel, préserver notre droit à la sécurité devient une question primordiale dans la défense et l’exercice de notre souveraineté.

Peu importe avec quel sérieux les diplomates de la ROK confient à quiconque un rôle constructif à travers sa diplomatie démodée de sollicitation et de mendicité des hommes politiques du 20ème siècle, nous n’abandonnerons jamais les droits à notre souveraineté cruciale pour notre vie.

Les politiciens de la ROK devraient d’abord et immédiatement, au lieu d’inciter la haine et la désillusion de la Communauté internationale avec leur conduite mesquine et dégoûtante, cesser leurs actes imprudents consistant à pousser la situation de la Région vers une catastrophe en collusion avec les forces étrangères.

Ce n’est qu’une question de temps pour que coule la barque naufragée YOON Suk-Yeol (13ème Président 2022-? de la ROK, NDLR) qui ne tient qu’à un seul fil avec l’extrême précarité.




Assemblée nationale : mise en place du bureau définitif ce samedi 18 mai

Une plénière de tous les enjeux. Une plénière décisive ce samedi 18 mai 2024. A l’Assemblée nationale, les députés nationaux sont conviés à 10h, heure de Kinshasa, avec un seul point à l’ordre du jour, l’élection et installation du bureau définitif de l’Assemblée nationale.

A l’Union sacrée, le président de la République, chef de file a levé l’option de s’impliquer pour mettre fin à la crise qui est née, depuis le dépôt des candidatures aux différents postes, tel que décidé par le présidium de sa famille politique.

Seuls les candidats choisis par les dirigeants de l’Union sacrée ont été acceptés. Un malaise s’est observé depuis un temps dans la famille politique du président de la République.

 

Attendons voir.

 

Mboshi




Boma: l’Association des épouses des militaires et policiers rend hommage aux FARDC 

A l’occasion de la célébration ce 17 mai de la journée dédiée aux Forces armées de la République Démocratique du Congo, l’association des épouses des militaires et policiers, ville de Boma dans la province du Kongo Central a organisé une marche de soutien aux FARDC.

Les rues de la ville de Boma, première capitale du Congo indépendant, ont été marquées par une présence remarquable de ces femmes, question d’apporter leur soutien indéfectible à leurs époux militaires et policiers qui sont au front pour protéger l’intégrité territoriale d’une part, et d’autre part, qui veuillent à la sécurité des personnes et de leur bien.

Cette marche de santé avait pour thème, “Bendele Ekweya te”, une manière pour cette structure féminine de sensibiliser également la population à ne pas jouer le jeu de l’ennemi. Sous le leadership de Madame Bokota Botumbe, l’association des épouses des militaires et policiers, section de Boma a saisi cette occasion pour lancer un vibrant appel au président de la République Félix Tshisekedi, à s’impliquer profondément pour mettre fin à ces atrocités dans la partie Est du pays.

Il faut signaler que cette marche a été bien encadrée par les agents de l’ordre, et tout s’est passé dans le calme. Plusieurs sources surplace signalent que c’était l’unique activité qui a eu lieu, en marge de la célébration du 17 Mai 2024 dans la ville de Boma, deuxième ville de la province du Kongo Central, province chère à Joseph Kasavubu.

Rappelons que cette journée a été célébrée dans le passé, comme fête de la libération en mémoire de l’entrée à Kinshasa de l’Alliance des Forces Démocratiques pour la Libération du Congo (AFDL), le 17 mai 1997, qui avait fait chuter le maréchal Mobutu, l’ex-président du Zaïre.

Cependant, la journée est restée chômée et payée sur toute l’étendue du territoire national.

 

 

Mbosi




Nouvelles normes sur les phénomènes surnaturels présumés

Du nihil obstat au jugement négatif: le document du dicastère pour la Doctrine de la foi approuvé par le Pape prévoit six votes différents pour le discernement des apparitions. En règle générale, ni l’évêque ni le Saint-Siège ne se prononcent sur le caractère surnaturel du phénomène, se limitant à autoriser et à promouvoir la dévotion et les pèlerinages.

Le document du dicastère pour la Doctrine de la foi met à jour les normes pour le discernement des phénomènes surnaturels présumés. Publié ce vendredi 17 mai, il entrera en vigueur le dimanche 19, en la fête de la Pentecôte. Le texte est précédé d’une présentation articulée du cardinal préfet Víctor Manuel Fernández, suivie d’une introduction identifiant six conclusions distinctes. Il sera possible de se prononcer plus rapidement sur la dévotion populaire et, en règle générale, l’autorité de l’Église ne sera plus engagée dans la définition officielle du caractère surnaturel d’un phénomène dont l’étude approfondie peut prendre beaucoup de temps. L’autre nouveauté concerne l’engagement plus explicite du dicastère pour la Doctrine de la Foi, qui devra approuver la décision finale de l’évêque et pourra intervenir motu proprio à tout moment. Dans de nombreux cas où des évêques ont exprimé leur opinion au cours des dernières décennies, l’ancien Saint-Office a été impliqué, mais l’intervention est presque toujours restée dans l’ombre et n’était pas rendue publique. Cette implication explicite du dicastère est motivée par la difficulté de circonscrire à un niveau local des phénomènes qui, dans certains cas, atteignent des dimensions nationales et même mondiales, «par lesquels une décision concernant un Diocèse a des conséquences aussi ailleurs».

Les raisons des nouvelles normes

Le document trouve son origine dans la longue expérience du siècle dernier, avec des cas où l’évêque local (ou les évêques d’une région) a très rapidement déclaré le caractère surnaturel d’un phénomène et successivement, le Saint-Office exprimait une opinion différente. Ou encore des cas où un évêque s’est exprimé d’une certaine manière, et son successeur d’une manière opposée (sur le même phénomène). En sus, il y a les longs délais nécessaires pour évaluer tous les éléments et parvenir à une décision sur le caractère surnaturel ou non des phénomènes. Des délais qui se heurtent parfois à l’urgence de donner des réponses pastorales pour le bien des fidèles. Le dicastère a donc initié en 2019 un parcours de révision des normes pour aboutir au texte actuel approuvé par le Pape le 4 mai dernier. Un texte entièrement nouveau qui introduit six conclusions différentes possibles.

Fruits spirituels et risques

Dans sa présentation, le cardinal Fernández explique que «ces manifestations ont souvent provoqué une grande richesse de fruits spirituels, une croissance de la foi, de la dévotion, de la fraternité et du service, et dans certains cas ont donné naissance à divers sanctuaires disséminés dans le monde qui font aujourd’hui partie du cœur de la piété populaire de nombreux peuples.». Toutefois, il est également possible que «dans certains cas d’événements d’origine surnaturelle présumée», il y ait «des problèmes très graves au détriment des fidèles»; des cas dans lesquels «profit, pouvoir, célébrité, notoriété sociale, intérêt personnel» (II, art. 15, 4°) sont tirés des phénomènes présumés, allant même jusqu’à «exercer une domination sur des personnes ou pour commettre des abus» (II, art. 16). Ces événements peuvent être aussi l’objet «d’erreurs doctrinales, d’un réductionnisme indu dans la proposition du message évangélique, de la diffusion d’un esprit sectaire». De même qu’il est possible que «les fidèles soient entraînés derrière un événement, attribué à une initiative divine», mais qui n’est que le fruit d’une fantaisie, d’une mythomanie ou d’une tendance à la falsification de la part de quelqu’un.

Les lignes directrices générales

Selon les nouvelles normes, l’Église pourra évaluer: «s’il est possible de discerner dans les phénomènes d’origine surnaturelle présumée la présence de signes d’une action divine; si, dans les éventuels écrits ou messages des personnes impliquées dans les phénomènes présumés, il n’y a rien de contraire à la foi et aux bonnes mœurs; s’il est licite d’en apprécier les fruits spirituels, ou s’il est nécessaire de les purifier d’éléments problématiques ou de mettre en garde les fidèles contre les dangers qui en découlent; s’il est opportun qu’ils fassent l’objet d’une valorisation pastorale de la part de l’autorité ecclésiastique compétente» (I, 10). En outre, en règle générale, on ne peut «attendre de l’autorité ecclésiastique une reconnaissance positive de l’origine divine de phénomènes surnaturels présumés» (I, 11). Par conséquent, «ni l’Évêque diocésain, ni les Conférences épiscopales, ni le dicastère, en règle générale, ne déclareront que ces phénomènes sont d’origine surnaturelle», et seul «le Saint-Père peut autoriser une procédure à cet égard» (I, 23).

Les votes possibles sur le phénomène présumé

Voici une liste des six votes finaux possibles à l’issue du discernement.

Nihil Obstat: aucune certitude n’est exprimée sur l’authenticité surnaturelle, mais des signes d’une action de l’Esprit sont reconnus. L’évêque est encouragé à évaluer la valeur pastorale et à promouvoir la diffusion du phénomène, y compris les pèlerinages.

Prae oculis habeatur: des signes positifs sont reconnus, mais il y a aussi des éléments de confusion ou des risques qui nécessitent un discernement et un dialogue avec les destinataires. Une clarification doctrinale peut être nécessaire si des écrits ou des messages sont associés au phénomène.

 

Curatur: les éléments critiques sont présents, mais il y a une large diffusion du phénomène avec des fruits spirituels vérifiables. Une interdiction qui pourrait déranger les fidèles est découragée, mais il est demandé à l’évêque de ne pas encourager le phénomène.

Sub mandato: les questions critiques ne sont pas liées au phénomène lui-même, mais à l’utilisation abusive qui en est faite par des individus ou des groupes. Le Saint-Siège confie à l’évêque ou à un délégué la direction pastorale du lieu.

Prohibetur et obstruatur: malgré quelques éléments positifs, les criticités et les risques sont sérieux. Le dicastère demande à l’évêque de déclarer publiquement que l’adhésion n’est pas permise et d’expliquer les raisons de cette décision.

Declaratio de non supernaturalitate: l’évêque est autorisé à déclarer que le phénomène n’est pas surnaturel sur la base de preuves concrètes, telles que la confession d’un voyant présumé ou des témoignages crédibles de falsification du phénomène.

Procédures à suivre

Les procédures à suivre sont ensuite indiquées: il appartient à l’évêque d’examiner le cas et de le soumettre à l’approbation du dicastère. Il est demandé à l’évêque de s’abstenir de toute déclaration publique concernant l’authenticité ou le caractère surnaturel, et de veiller à ce qu’il n’y ait pas de confusion et que l’on ne favorise pas le sensationnalisme. Dans le cas où les éléments recueillis «semblent suffisants», l’évêque constitue une commission d’enquête, comptant parmi ses membres au moins un théologien, un canoniste et un expert choisi en fonction de la nature du phénomène.

La distinction de Joseph Ratzinger entre le surnaturel et les fruits spirituelsDans le livre de Vittorio Messori «Entretien sur la foi», le futur Benoît XVI parlait des critères d’évaluation des phénomènes surnaturels présumés. Ce sont les mêmes que l’on …

Critères positifs et négatifs

Les critères positifs comprennent «la crédibilité et la bonne réputation des personnes qui prétendent être les destinataires de faits surnaturels ou être directement impliquées dans de tels faits, ainsi que des témoins entendus […] l’orthodoxie doctrinale du phénomène et de l’éventuel message qui lui est associé; le caractère imprévisible du phénomène, dont il ressort clairement qu’il n’est pas le résultat de l’initiative des personnes impliquées; les fruits de vie chrétienne» (II, 14).

Les critères négatifs comprennent «la présence éventuelle d’une erreur manifeste sur le fait; d’éventuelles erreurs doctrinales […], un esprit sectaire qui engendre la division dans le tissu ecclésial; une évidente recherche de profit, de pouvoir, de célébrité, de notoriété sociale, d’intérêt personnel étroitement liée aux faits; des actes gravement immoraux […]; des altérations psychiques ou des tendances psychopathiques chez le sujet, susceptibles d’avoir exercé une influence sur le fait surnaturel présumé, ou une psychose, une hystérie collective ou d’autres éléments relevant d’un horizon pathologique» (II, 15). Enfin, «l’utilisation de prétendues expériences surnaturelles ou d’éléments mystiques reconnus comme moyen ou prétexte pour exercer une domination sur des personnes ou pour commettre des abus» (II, 16) doit être considérée comme particulièrement grave d’un point de vue moral. Quelle que soit la décision finale approuvée, l’évêque «a le devoir de continuer à veiller sur le phénomène et sur les personnes impliquées» (II, 24).

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