La 8è édition de diner de Gala de l’Asbl «  La Main sur le cœur » pour les enfants malades, déplacés de Goma

La 8è édition de Diner de Gala de «  La Main sur le cœur », cette Asbl spécialisée dans la prise en charge des orphelins malades du VIH/SIDA a eu une attention toute particulière pour les enfants malades, déplacés vivant à Goma, ville meurtrie à la suite de cette guerre injuste qui sévit dans la province du Nord Kivu.

L’appel a été lancé et la grande salle de l’hôtel du Fleuve Congo était pleine comme un œuf  pour  cette soirée philanthropique, visant justement à venir en aide, à soutenir ces nombreux  enfants vivant dans des camps de déplacés de Mugunga et d’ailleurs,  dont l’avenir  est toujours sombre.

« C’est pour eux que ce diner est organisé.  Depuis peu, les cœurs de maman de l’Asbl ne battent  que pour cette partie du pays, soumise à une crise sans précédente réduisant et rendant la vie et l’avenir de milliers d’enfants  incertain. C’est triste », a lâché, la présidente de l’Asbl «  La Main sur le cœur », Madame Dany Nyembwe,  visiblement abattue.

Cependant,  à voir  l’élan de solidarité  qui a marqué cette soirée,  vite était sa consolation et celle des autres mamans,  très soudées et engagées pour cette cause. C’est ce qu’elle a dit en ces  termes : «  Nous avons répondu à l’appel de la Première Dame et donc, cette fois-ci notre attention  est tournée sur ce qui se passe à l’est de notre pays.  Et donc, la 8è édition de notre Gala de cette année est spéciale, parce que, nous l’avons organisé pour aider, soutenir les enfants orphelins, déplacés malades qu’ils aient le VIH ou pas à Goma ».

Sur place, une levée des fonds a été faite. Aussi des fonds et des biens de différentes natures continuent à être récoltés pour soutenir cet élan de solidarité en faveur de ces enfants sinistrés se retrouvant par la force des choses dans des camps, dépourvus de tout. Et David Tshilumba, le directeur général de la Régideso qui n’avait pas voulu rater cette soirée, s’est jeté dans l’eau avec une promesse sûre et certaine mais aussi ferme, celle de placer des citernes d’eau dans tous les camps déplacés afin que les gens qui y vivent puissent avoir des réserves d’eau potable.

«  Notre travail, c’est de donner de l’eau potable à tous les déplacés de Goma« , s’était-il publiquement engagé lors de cette soirée hautement en couleurs, dont la cause mais surtout le soutien est attendu de tous.

« Nous avons fait la levée des fonds et la cagnotte est encore ouverte pour ceux qui veulent soutenir cette action. On ira à Goma à partir du 15 juin prochain. Nous avons reçu pas mal de promesse aussi et je sais que beaucoup de personnes vont contribuer pour que nous puissions offrir à ces enfants orphelins qui vivent dans des camps de déplacés un endroit où ils peuvent jouer. Nous mettrons des citernes, des lits (…) C’est vrai que ce n’est pas la meilleure option mais il faut faire  quand même quelque chose, parce qu’il y a un besoin réel. Et nous voulons soutenir les actions qui sont déjà posées par  les autres. Nous allons aussi dans le même sens pour soutenir ces enfants », a conclu la présidente de l’Asbl  » La Main sur le cœur ».

Si à la précédente édition,  Kinshasa était à l’honneur comme dans la plupart des cas d’ailleurs, il faut dire que la situation qui prévaut actuellement dans l’est du pays ne laisse personne indifférente. Il faut y aller, soutenir  avec ce que l’on a sous la main pour apporter un sourire, du réconfort, un peu de joie à ces enfants qui vivent au quotidien le grincement des dents.

Ce diner de Gala organisé chaque année en faveur des enfants orphelins vivant avec le VIH/SIDA, rentre dans le cadre de la célébration, le 07 mai, de la journée internationale des enfants vivant avec le VIH/SIDA.

Prince Yassa




Assemblée nationale : Vers un ticket consensuel de l’Union sacrée de la nation au bureau définitif 

La tempête qui aura secoué l’Union sacrée de la nation dans le processus de désignation de son ticket pour l’élection du bureau définitif de l’Assemblée nationale est passée. Cette tempête qui a menacé d’implosion la majorité parlementaire a été vite maîtrisée par Félix Tshisekedi, Autorité de référence de cette plate-forme politique qui l’a porté au pouvoir pour son second quinquennat à la tête du pays.

Que des déclarations, des pétitions, des manifestations voire la saisine de la justice ont caractérisé cette crise au point qu’il y a eu rupture entre le présidium et les autres sociétaires de l’Union sacrée de la nation. Ces derniers ont accusé cet organe de népotisme et favoritisme dans le processus de désignation de ceux qui vont les représenter au bureau de l’Assemblée nationale. Aussi, les chefs des regroupements politiques se sont vus ignorés, zappés, écartés et sans être consultés à travers cette démarche et pourtant c’est eux qui devraient en principe proposer les délégués aux 6 postes leur réservés au bureau définitif.

Ainsi, ayant saisi le taureau par les cornes, l’Autorité de référence de l’Union sacrée a battu le rappel des troupes pour écouter les uns et les autres afin de dégager un compromis à ce sujet. Et c’est le 17 mai, une journée fériée, jour de la célébration de la journée de la révolution et des forces armées qui a été choisie pour cette messe politique. Ils étaient au total 406 députés nationaux qui constituent la majorité parlementaire à l’Assemblée nationale et une quarantaine de chefs de regroupements politiques de l’Unions sacrée de la nation à répondre présents à l’invitation de Félix Tshisekedi. Une rencontre politique où les linges sales devraient se laver en famille.

D’un ton ferme, l’Autorité de référence de l’Usn a de prime à bord manifesté sa désapprobation au sujet de spectacle désolant que les uns et les autres se livraient par médias interposés pour soit dénoncer le ticket de la majorité proposé au bureau définitif de la chambre basse du parlement. Ceci oubliant que le pays fait face à des problèmes cruciaux dont la guerre dans l’Est imposée par le Rwanda et la situation sociale. Il n’a pas manqué d’exprimer son insatisfaction à la suite de l’absence dans le ticket proposé par le présidium d’un représentant de la grande orientale (les provinces de l’Ituri, Tshopo, Haut Uélé et Bas Uélé), cassant ainsi l’équilibre géopolitique et aussi la faible représentativité de la femme au bureau définitif. Voilà pourquoi il leur a recommandé de tenir compte de ces aspects». Je crois que si nous arrivons à satisfaire ces deux exigences qui sont les miennes, moi je serai content”, leur a-t-il recommandé.

Compromis trouvé avec les chefs de regroupements politiques

Juste au lendemain de la rencontre avec l’Autorité de référence, le Coordonnateur de l’Union sacrée de la nation et Secrétaire général de l’UDPS, Augustin Kabuya a lancé une invitation aux chefs de regroupement politique, question de mettre en pratique les recommandations de Félix Tshisekedi et aplanir toutes les divergences constatées lors de la publication du premier ticket. A chaque chef de regroupement politique, il a été demandé de se munir de la liste actualisée des députés nationaux après les arrêts de la Cour constitutionnelle. Il était question au cours de cette réunion qui s’est tenue dans un climat convivial, d’identifier le poids politique de chaque regroupement politique.

Ainsi, en termes de poids politique, l’UDPS et ses mosaïques ont 150 députés nationaux en raison de 75 députés nationaux à chacun. Ils sont suivis des mosaïques dirigées par l’ancien Premier ministre, Sama Lukonde (ANB, AB et AAD/A) avec 47 députés nationaux. Les regroupements AAP, AE, AMSC et A2R occupent la 4eme position avec 37 députés nationaux tandis que UNC et AVK 2018 reviennent à 5ème position avec 34 députés nationaux. L’AFDC/A a 32 députés nationaux. La CRD et AAC / PALU avec 29 élus. A24, A 25 et AN 26 députés nationaux. MLC, APA/ MLC 23 députés nationaux.

Après trois heures de discussion, il a été convenu que le premier rapport sera transmis à l’Autorité de référence pour avoir les orientations nécessaires liées à la désignation des membres du bureau définitif de l’Assemblée nationale. Entre-temps, Augustin Kabuya a demandé aux chefs de regroupements politiques de faire régner le calme dans la famille politique. Au regard de poids politique de chaque regroupements politiques, l’on peut se faire déjà une idée sur la répartition des postes au sein du bureau de l’Assemblée nationale. Suivant cet ordre d’arrivée, exclu la présidence déjà accordée à Vital Kamerhe de l’UNC, le ticket pourrait ainsi être constitué :

-1er Vice – Présidence : UDPS et ses mosaïques de Tshisekedi

-2e vice : présidence : AB et ses mosaïques de Sama Lukonde.

-Rapporteur : AAAP et mosaïques de Tony Kanku Shiku

-Rapporteur adjoint : (Opposition)

-Questeur : AFDC – A de Bahati Lukwebo

-Questeur adjoint : CRD et Palu de Christophe Mboso. Cependant, le dernier mot reviendra à Félix Tshisekedi qui est l’Autorité de référence de l’Union sacrée de la nation.

RSK




Mise en garde sévère contre les pêcheurs en eaux troubles

Visé par des fakenewsers et certains réseaux sociaux en quête de buzz, M. Éric Djamba Otshudi, Directeur Chef de Service à la Direction de Contrôle Budgétaire au ministère du Budget se dit confiant et ne peut pas à céder à ceux-là qui veulent tout simplement détruire sa réputation. Il dit concourir à la réalisation de la volonté du Président Félix Tshisekedi exprimée à travers l’Inspection générale des finances (IGF) face à la série de scandales des paiements faramineux en mode d’urgence pour des projets qui se révèlent in fine soit surfacturés, soit quasi bidon.

 

Des millions et des millions s’envolent du Trésor national très souvent si pas chaque fois vers des destinations inconnues. Et, comment l’argent est décaissé pour ces causes que l’on peut qualifier d’ « éléphants blancs »?

Voilà que, face aux réserves qu’il exprime pour ce type de gestion, un haut cadre est devenu homme à abattre au ministère du Budget, un des ceux qui participent avec le ministère des Finances, au circuit des paiements en RDC.

Comme vous pouvez bien vous en rendre compte, il s’agit de M. Éric Djamba Otshudi, Directeur Chef de Service à la Direction de Contrôle Budgétaire du ministère susmentionné.

L’on apprend que suite aux attaques dont il fait face tant sur les réseaux sociaux par des fake news que sur d’autres plateformes, une sévère mise en garde est faite à ses détracteurs.

Les pourfendeurs devront comprendre une fois pour toute que l’homme ne cède ni aux menaces ni aux injonctions d’où qu’elles viennent, parce que c’est cela même la volonté du Président Félix Tshisekedi exprimée à travers l’Inspection générale des finances (IGF) face à la série de scandales des paiements faramineux en mode d’urgence pour des projets qui se révèlent in fine soit surfacturés, soit quasi bidon.

Avec une imagination abondante digne de Machiavel, ils bombardent les réseaux sociaux avec des vidéos montées lâchées notamment sur Tiktok pour le nuire. Mais hélas comme dit l’adage : la salive du crapaud n’atteint pas la blanche Colombe.




Soutien à la cause palestinienne: les incohérences du régime d’Alger

La junte continue de maintenir la ferme interdiction faite aux Algériens d’organiser la moindre manifestation populaire de soutien à la Palestine. Cette interdiction, ajoutée à une parodie de manifestation initiée par le pouvoir en mettant à contribution des militaires en civil et leurs familles, est tout simplement stupéfiante, émanant d’un régime qui se proclame champion du monde en matière de soutien à la cause palestinienne. Cet autre paradoxe algérien a été mis à nu par l’ambassadeur, représentant permanent du Maroc à l’ONU, Omar Hilale, dans deux récentes répliques à la diplomatie algérienne.

En Algérie, la crainte d’une reprise des manifestations antisystème du Hirak (2019-2021) reste la principale hantise de l’appareil politico-militaire en place, qui ne cesse de promulguer des lois de plus en plus liberticides, interdisant surtout toute possibilité de manifester dans la rue. Même pour la cause palestinienne, que le pouvoir a érigée en pierre angulaire de sa diplomatie –après évidemment le soutien au pseudopode «État sahraoui» –, toute manifestation populaire de soutien est bannie. L’on se rappelle que dès la première semaine du déclenchement de l’actuel embrasement meurtrier entre le Hamas et Israël dans la bande de Gaza, la junte algérienne a durement réprimé les tentatives de manifestations spontanées de soutien aux Palestiniens qui ont éclaté à Alger et dans d’autres villes du pays le 13 octobre 2023.

Mais face à l’exaspération de la rue exprimée à travers les réseaux sociaux ainsi que la pression des rares partis politiques et associations ayant survécu à la vague de dissolutions de ces quatre dernières années, multipliant les demandes d’autorisation de manifester, à l’instar de ce qui se passe au Maroc voisin et à travers le monde, le régime a été obligé de faire semblant de lâcher du lest. Il a ainsi organisé, le 19 octobre 2023, une manifestation où le gros de la troupe est formé de militaires en civil et leurs familles. Ce fut la première et dernière manifestation en Algérie en soutien à la Palestine. D’ailleurs, beaucoup d’Algériens avaient appelé sur les réseaux sociaux à boycotter cette manifestation théâtrale mise en scène par le pouvoir, et calquée à l’image du tournage d’un péplum.

Malgré ce paradoxe qui donne à voir un pouvoir qui manifeste dans la rue à la place du peuple, la diplomatie algérienne s’érige, dans les rencontres internationales, en champion de la cause palestinienne dans le seul but de profiter de l’actuelle guerre à Gaza pour tenter de retourner certains pays contre le Maroc.

C’est cette manœuvre sournoise, faisant l’amalgame entre la Palestine et le Sahara marocain, dont vient de se rendre coupable l’ambassadeur algérien à l’ONU, Amar Benjama, qui lui a valu une réaction fracassante de l’ambassadeur, représentant permanent du Maroc auprès de l’ONU, Omar Hilale. Dans un droit de réponse, à l’issue du débat sur le Sahara marocain organisé par la Commission des 24 (C24 de l’ONU) à Caracas, du 14 au 16 mai courant, et auquel le diplomate algérien a assisté en tant qu’intrus, Omar Hilale n’a pas mâche ses mots.

«Vous vous targuez de défendre la Palestine au Conseil de sécurité, c’est votre rôle en tant que représentant des pays arabes au sein de cet organe, mais vous interdisez à votre peuple de manifester en faveur de la Palestine, parce que vous avez peur du peuple algérien quand il descend dans la rue. Contrairement à vous, les manifestations de soutien à la population palestinienne de Gaza ne connaissent aucune restriction au Royaume du Maroc», a-t-il répondu à son vis-à-vis algérien.

Une façon de lui dire qu’au Maroc, pays qui a souverainement rétabli des relations diplomatiques avec l’État d’Israël, les hautes autorités du pays et le peuple sont sur la même longueur d’onde quant au soutien sans équivoque à la cause palestinienne, en faveur de laquelle des rassemblements sont autorisés.

Affolé par le nombre toujours croissant de pays, dont de nombreux poids lourds, soutenant la marocanité du Sahara, le régime d’Alger brandit aujourd’hui l’arme du «terrorisme diplomatique», comme l’a qualifiée Omar Hilale, qui a ouvertement dénoncé les méthodes de harcèlement utilisées par Amar Benjama, pour intimider et corrompre un pays membre du C24 en vue de le faire revenir sur son soutien à l’intégrité territoriale du Maroc.

«Votre pays vient de promulguer le code pénal le plus liberticide, qui permet la condamnation à 30 ans de prison de toute personne exprimant simplement son opinion et vous venez à Caracas donner des leçons sur l’autodétermination, la liberté et l’indépendance», lui a encore répondu Omar Hilale, dans une seconde réplique.

En Algérie, même le président Abdelmadjid Tebboune, dont la légitimité est contestée par la rue, voit sa liberté de mouvement entravée par la junte militaire. Il est ainsi interdit de déplacement à l’intérieur du pays, de crainte d’attroupements hostiles, voire de déclenchement spontané de manifestations anti-régime. En cinq ans de pouvoir, les visites de Tebboune en dehors de la wilaya d’Alger se comptent sur les doigts d’une seule main: Oran pour donner le coup d’envoi des derniers Jeux méditerranéens, Djelfa pour assister à des manœuvres militaires et inaugurer une station de dessalement d’eau de mer, et enfin Tindouf, où en deux allers-retours express en avion, il a visité une mine de fer, puis reçu son homologue mauritanien pour le lancement de l’improbable route Tindouf-Zouerate, une arlésienne promise depuis plus d’un demi-siècle, mais qui n’a toujours pas vu le jour.

À chacune de ces brèves sorties présidentielles, les militaires en civil et leurs familles sont rameutés en vue de confectionner à Tebboune «un bain de foule» devant les caméras.

C’est ce régime ayant transformé l’Algérie en prison à ciel ouvert, de peur de la contestation populaire, qui a davantage renforcé l’arsenal liberticide à travers le nouveau code pénal entré en vigueur le 6 mai courant, et dont le nouvel article 96 rend quasiment impossible toute campagne électorale lors de la présidentielle du 7 septembre prochain.

Alors quand est-ce que «le champion du monde de la cause palestinienne» va-t-il autoriser le peuple à manifester dans la rue son soutien à la Palestine? Jamais! D’abord, parce que pour les vieillards séniles à la tête du régime, la cause palestinienne n’est qu’un expédient pour établir une analogie avec la «cause sahraouie». Ensuite, ce qui compte par-dessus tout pour ces caciques, c’est de se maintenir au pouvoir. Or, en dépit de la propagande forcenée, de la répression aveugle, des emprisonnements, l’appareil politico-militaire a peur du peuple. Une peur telle qu’il préfère devenir la risée du monde que d’autoriser une petite centaine de personnes à marcher dans la rue. Un pouvoir qui a peur du peuple ne peut pas durer.

Par Mohammed Ould Boah




Coupe de la Confédération : Le Zamalek sacré à domicile

Les matchs se suivent et ne se ressemblent. Battu à l’aller 2-1 par la Renaissance de Berkane, le Zamalek a remporté la phase retour de la finale de la Coupe de la Confédération CAF TotalEnergies 1-0 et s’empare également de son deuxième sacre dans cette compétition après celui de 2019.

Le stade international du caire avait revêtu ses plus belles couleurs, tout de blanc vêtu comme les joueurs cairotes. Conscient de devoir combler son retard d’un but, le Zamalek est le premier à se montrer dangereux et se voit récompensé à la 23e minute par l’intermédiaire d’Ahmed Hamdi. 1-0, le trophée de la Coupe de la Confédération est à cet instant entre les mains des Cairotes, à la faveur du but inscrit à l’extérieur.
Malheureusement, quelques minutes plus tard, le heros du jour se blesse et est remplacé juste avant la pause.
Au retour des vestiaires, les coéquipiers d’Ibrahima Ndiaye se regroupent en défense afin de contrer les nombreux assauts offensifs des Marocains. Cependant les Égyptiens se courbent mais ne rompent pas.
Les spectateurs du stade international du Caire assistent à une fin de match houleuse. L’arbitre sanctionne Hamza El Moussaoui, le défenseur marocain. Réduit à 10, Berkane prend de plus en plus de risques.
Cependant la messe est dite. Le Zamalek Sporting Club succède à l’USM Alger au palmarès de la Coupe de la Confédération CAF TotalEnergies.