RPDC; «Les USA et d’autres forces ennemies ne s’attireront qu’un désastre imprévisible!»

La KCNA (ou Korean Central News Agency ou Agence Centrale de Presse Coréenne) de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945;

  • Puissance nucléaire consacrée à garantir son droit à l’existence et au développement du Pays et à juguler une guerre pour sauvegarder la paix et la stabilité de la Région et du monde entier
  • Superpuissance politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Hommes bienfaiteurs dont les Généralissimes KIM IL SUNG 1912-1994 et KIM JONG IL 1942-2011, et le Maréchal KIM JONG UN, NDLR)

a fait son commentaire (31/05/2024) sur un nouvel acte d’espionnage aérien des USA (ou United States of America ou Etats-Unis d’Amérique; occupants du sud de la Péninsule coréenne dès 1945 jusqu’ici avec leurs 30.000 GI’s coiffés des Casques Bleues censées être ôtées depuis 1975 grâce à la Résolution № 3390B 18/11/1975 de l’Assemblée Générale de l’ONU mais toujours en vain, après leur fiasco dans la 1ère invasion de la Corée en 1866 bientôt recouvré par leur réussite dans la domination 1905-1945 de procuration de toute la Corée par le Japon à travers la collusion USA-Japon 29/07/1905, cela selon l’esprit de leur Destinée Manifeste de 1845, NDLR) contre la RPDC; et, en voici l’intégralité:

Ce 29 mai, un Boeing RC-135U Combat Sent (avion-espion de surveillance qui fait partie des plus utilisés grâce à sa grande panoplie de capteurs, de système d’observation et de transmission, NDLR) de l’US Air Force décollé du Japon s’est livré, de nouveau, à son espionnage contre notre RPDC aux environs de la frontière Sud de celle-ci. Actuellement, diverses sortes d’autres moyens de reconnaissance des forces aériennes des USA et de la ROK (ou Republic of Korea ou République de Corée – créée, unilatéralement, un mois avant la RPDC dans le cadre de la division perpétuelle avec son côté Nord – qui tire son origine, avec siège à l’étranger, en 1919 sous la domination 1905-1945 du Japon, sans aucun pouvoir ni autorité restaurés en seule apparence par les USA ayant divisé la Péninsule coréenne en 1945 pour mieux régner, NDLR) fantoche, y compris;

  • Lockheed U-2S (ou Dragon Lady considéré comme un planeur propulsé en raison du très grand allongement de ses ailes; son programme s’inscrit dans la mission ISR – intelligence, surveillance et reconnaissance -, NDLR)
  • Northrop Grumman RQ-4B Global Hawk (drone à réaction non armé et en service pour les missions d’espionnage et de localisation d’objets fixes ou mobiles; un des rares modèles capables de voler à haute altitude et sur de longues distances, NDLR),

portent une grave atteinte à la souveraineté et à la sécurité de notre RPDC en la surveillant et en l’espionnant chaque jour presque 24h/24.

Quant au Boeing RC-135U Combat Sent dont les USA n’en disposent que 2 d’après eux-mêmes, c’est un avion de reconnaissance stratégique au niveau national, appelé à communiquer en temps réel, les renseignements qu’il obtient, aux personnalités du plus haut rang, notamment le Président US et le Secrétaire US à la Défense. Cela prouve à l’évidence que c’est par les chefs suprêmes des USA que ledit acte d’espionnage aérien a été orchestré.

Rien que du janvier en avril 2024, les USA et leurs laquais ont effectué, à plus de 140 reprises, leurs manœuvres de guerre d’agression contre notre RPDC, soit 2 fois par rapport à la même période de 2023. Les USA et la ROK fantoche projettent de faire, dans la seconde moitié de l’année en cours, des exercices de guerre d’une plus grande envergure, fort téméraires et provocateurs. Surtout, les exercices militaires conjoints de grande envergure Ulchi Freedom Shield (ou bouclier de liberté de l’An Ulchi) qui auront lieu en août prochain prévoient un exercice d’attaque nucléaire contre notre RPDC ainsi que l’examen général et la mise au point du Plan d’Opérations 2022 visant à attaquer le 1er nos installations et nos régions essentielles.

C’est dans cette circonstance que les actes d’espionnage aérien des USA ayant rempli, historiquement, le rôle d’Allumeur pour aggraver la situation de la Péninsule coréenne (RPDC + ROK) gagnent en frénésie au fil des jours. La réalité montre nettement que le renforcement des capacités d’autodéfense visant à déjouer complètement les machinations des USA et des forces à leur remorque est;

  • une mesure indispensable pour défendre la souveraineté, la sécurité et les intérêts de l’Etat
  • une œuvre de haute importance à promouvoir davantage.

Le Ministère de la Défense Nationale de la RPDC a déjà déclaré (à travers le communiqué 25/05/2024 de presse de son Vice-Ministre, NDLR) solennellement que si la souveraineté, la sécurité et les intérêts de l’Etat sont violés, il lancera une action immédiate. Si les USA et d’autres forces ennemies se démènent d’une manière irréfléchie en osant surveiller on ne sait quoi, ils ne s’attireront qu’un désastre imprévisible.




Tshisekedi invité à la conférence internationale sur l’afforestation et le reboisement à Brazzaville 

Ce samedi à la Cité de l’Union africaine, le Président Félix Tshisekedi a reçu une invitation de son homologue de la République du Congo Denis Sassou Ngesso pour participer à la conférence sur l’afforestation et le reboisement qui se tiendra à Brazzaville du 2 au 5 juillet 2024.

Porteuse de cette invitation, Mme Rosalie Matondo, ministre congolaise de l’Économie forestière, a révélé que « l’échange a également porté sur la préservation de l’environnement, la gestion de nos forêts et la coopération étroite entre les deux pays ».

« Le Président Tshisekedi a recommandé que les deux secteurs soient intimement liés pour régler les thématiques de la préservation de l’environnement et de la conservation de nos forêts qui sont des enjeux planétaires », a fait savoir Mme Rosalie Matondo.

Évoquant la question de l’économie forestière, le Président Tshisekedi a affirmé devant son hôte que « nous devons promouvoir cette économie à travers nos ressources naturelles ».




COMMUNIQUE DE PRESSE n° 043/CENI/2024




Comment Félix Tshisekedi va-t-il présider des Conseils des ministres sans des ministres du Maniema !

L’erreur est humaine. C’est connu de tout le monde. C’est, du reste, la raison pour laquelle elle se corrige. Par contre, la persistance dans l’erreur devient diabolique. D’où l’expression latine _”Errare humanum est, perseverare diabolicum_”. Ça aussi, c’est connu.

Laborieuses, les conditions de mise en place du Gouvernement Simwinua se sont révélées les mêmes que celles de la composition du Bureau définitif de l’Assemblée nationale.

Quoi de plus normal qu’il y ait omissions comme celles constatées pour le Maniema, province absente de l’autre bras de l’Exécutif national.

Depuis la découverte de cette erreur, les réactions vont dans tous les sens. Surtout celui du ” trop tard “, l’ordonnance des nominations ayant déjà été promulguée.

Soupçonneux, les uns trouvent dans l’omission un piège tendu à Félix Tshisekedi pour le discréditer. Les autres veulent faire croire à l’opinion que l’ordonnance ne s’abroge pas. Et, de ce fait, il faut attendre Simwinua II.

Le plaidoyer, ici, n’est pas pour l’abrogation. Il est plutôt pour le complément.

En effet, il est juridiquement possible de prendre une ordonnance complétant une autre ordonnance déjà promulguée.

Le cas de force majeure étant indéniable, la composition du Gouvernement peut être ramenée à 57 membres (comme le sortant), de manière à réserver au Maniema les 3 postes à récupérer. D’ailleurs, il y a le ministère des Relations avec le Parlement qu’on peut rétablir. On pourra aussi trouver deux autres ministères en éclatant ceux ayant un surplus. Cas de la Vice-Primature chargée de l’intérieur, Sécurité et Décentralisation. A elle seule, la Décentralisation mérite un ministère autonome, ce au regard des enjeux sensibles qui sont les siens.

Par la formule d’une ordonnance de complément, le grief ” représentation nationale” brandi par certains députés nationaux pour hypothéquer l’investiture du Gouvernement perd tout effet. Ils n’auront pas tort puisque aux termes de l’alinéa 3 de l’article 90, _”La composition du Gouvernement tient compte de la représentation nationale_”.

Quant à l’argument relatif à la compression budgétaire (réduction du train de vie des institutions), il ne tient pas la route.

On est tous d’accord que cet exercice ne s’opère pas par la réduction des postes ministériels de 57 à 54, mais par la réduction sensible des allocations. Dont les frais de fonctionnement et les émoluments.

L’essentiel à retenir est que, comprenant les Institutions Président de la République et Gouvernement, l’Exécutif national est l’unique Pouvoir dont les réunions du Conseil des ministres exigent, pour leur tenue, l’autorisation du premier cité en sa qualité de chef d’Etat. L’article 79 dispose: _”Le Président de la République convoque et préside le Conseil des ministres. En cas d’empêchement, il délègue ce pouvoir au Premier ministre_”.

A ceux qui estiment que le Maniema peut se rattraper dans la Territoriale, la Diplomatie ou le Portefeuille, il est indiqué de leur faire comprendre que ces structures sont des instruments de l’Administration publique au même titre que la Fonction publique, la Magistrature, l’Armée, la Police et les Renseignements, bien qu’ils relèvent tous politiquement de l’autorité du Gouvernement.

En toute logique, on ne devrait tout de même pas amené Félix Tshisekedi, à cause d’une erreur technique réparable, à présider à un Conseil des ministres où toutes les provinces sont représentées, sauf le Maniema !

Déjà, certaines villes et localités des provinces sous état de siège ne sont plus sous l’autorité qu’il représente.

Vouloir, en plus, soustraire le Maniema de son autorité, c’est comme si on donnait sa caution à la “balkanisation”.

Il y a un précédent heureux à exploiter : le ticket USN du Bureau définitif de l’Assemblée nationale. Ayant constaté l’absence de la Grande Orientale, l’autorité morale a rétabli les normes.

Ce qu’il a fait pour la chambre basse, il ne peut pas ne pas le faire pour le Maniema en ce qui concerne une Institution politiquement, juridiquement et techniquement liée à la sienne.

L’essentiel à relever également est qu’il y a trois institutions de la République qui sont concernées par représentation nationale : “Assemblée nationale, Sénat et Gouvernement” ! Ce qui n’est pas le cas du Président de la République et des Cours et Tribunaux.

Moralité : de la manière dont il conduit la politique de la Nation, notamment en présidant les Conseils des ministres au cours desquels il donne des instructions aux membres du Gouvernement, Félix Tshisekedi n’a pas de choix alternatif que celui de réparer.

C’est cela aussi, et surtout, être leader…

Omer Nsongo die Lema




Sankuru : Le Gouverneur Victor Kitenge sollicite l’accompagnement de l’IGF 

Nouvellement élu à la tête du Sankuru, le gouverneur Victor Kitenge Kaniama se montre sage. Contrairement à ses prédécesseurs, Joseph Stéphane Mukumadi et Jules Lodi qui ont géré la province comme un héritage familial, il veut se conformer aux règles de la bonne gouvernance. A cet effet, il a sollicité et obtenu une rencontre avec l’inspecteur général des finances, chef de service de l’Inspection générale des finances (IGF), Jules Alingete Key.

Les nouveaux gouverneurs des provinces défilent à l’IGF pour apprendre la bonne gouvernance. Après ceux de Tanganyika et du Sud-Kivu, celui du Sankuru a été reçu, vendredi 31 mai 2024.

Victor Kitenge est allé recevoir les enseignements de la gestion orthodoxe des finances publiques auprès du patron de l’IGF dont il a tenu à saluer le sérieux.

« Il faut reconnaître que l’IGF, c’est un service qui a démontré son sérieux depuis un certain temps, en tout cas depuis que Monsieur le chef de service est à la tête de l’IGF, avec tous les résultats qu’on a pu obtenir par-ci par-là, en tout cas dans le domaine financier, dans le domaine de la gestion des finances publiques», a-t-il reconnu.

Pour le nouveau chef

« C’est un homme suffisamment sage et qui a des mots justes en termes de conseils, que ce soit sur le plan politique, que sur le plan financier. Et ça a été une rencontre très, très importante pour moi, très enrichissante», s’est réjoui Victor Kitenge.

Les sages conseils de Jules Alingete

De son côté, Jules Alingete lui a prodigué des conseils pour que la cohésion règne entre l’exécutif et l’Assemblée provinciale afin de faire décoller le Sankuru.

« Nous avions comme d’habitude donné des conseils pour qu’il y ait une cohésion entre l’exécutif et le parlement provincial, de manière à ce que les choses puissent aller de l’avant et demander à ce que le gouvernement central puisse vraiment aider le gouvernement provincial de Sankuru avec des interventions économiques parce que les moyens propres sont très limités et insuffisants», a résumé devant la presse, le gendarme financier.

Il a par ailleurs, ajouté que le gouvernement central devrait suffisamment intervenir pour permettre au gouvernement provincial du Sankuru de disposer des moyens de poser des actions allant dans le cadre de l’exécution de la vision du président de la République, Félix Tshisekedi.

Joseph Mukumadi et Benoît Olamba refusent de sortir de la poubelle!

En tout cas pour Jules Alingete, les populations du Sankuru ont droit de bénéficier des actions en ce qui concerne notamment l’amélioration du vécu quotidien, la desserte en eau potable , en électricité ou encore la construction des routes et le développement de l’agriculture.

Des erreurs à éviter

Il faut dire que Victor Kitenge hérite d’une province dépourvue de la quasi-totalité des infrastructures sociales de base. Avec zéro kilomètre de route asphaltée, sans courant électrique et sans un aérodrome digne de ce nom, le Sankuru vit comme au Moyen-âge. Malheureusement, ses élites ont déçu par des conflits de leadership qui n’apportent rien à la population.

Ayant battu le candidat de l’UDPS, parti présidentiel, à l’élection du gouverneur, Victor Kitenge a intérêt à ne pas se croire trop fort, le temps lui étant compté. Plutôt que de se lancer dans une course effrénée pour l’enrichissement personnel et l’engraissement de ceux qui ont fait de lui gouverneur, il devra se mettre rapidement au travail pour impacter positivement la vie des Sankurois.

Sinon, il fera piètre figure comme avant lui, Stéphane Mukumadi et Jules Lodi, qui ont transformé le gouvernorat en une entreprise familiale où régnaient les membres de leurs familles biologiques, pour la plupart sans aucune qualification et qualité.

Didier Mbongomingi




Kongo Central : Bientôt la réouverture du trafic entre Matadi et Noki 

Après plus d’une semaine de coupure dûe à l’effondrement du pont Caricom situé au quartier Ango -Ango dans la ville de Matadi, les travaux de reconstruction de cet ouvrage exécutés par l’Office des Routes avec du matériel métallique sont fins prêts. Le Maire de la ville de Matadi Dominique Nkodia Mbete qui s’est rendu ce lundi sur le lieu rassure que dans les heures qui suivent, la voie sera réouverte aux véhicules remorques dont la plupart des garages sont situés dans la partie Sud- Ouest de la ville de Matadi, faisant frontière avec la province Angolaise de Dozaire.

A noter que cette route facilite le passage des véhicules poids lourds des Angolais en provenance de Luanda pour l’Enclave de Cabinda. La fermeture de cette route nationale au trafic occasionne un manque à gagner à la frontière de Ango-Ango.

 

 

Mboshi




Un festival de la pastèque se tient à Beijing

Dans le cadre de la 36e édition du Festival de la pastèque de Daxing, le concours des pastèques et melons s’est tenu dans le district de Daxing à Beijing.

Le concours de cette année a rassemblé 1 446 pastèques et melons venant de tout le pays. Lors de la compétition, par l’observation, la mesure et la dégustation, un jury composé de 20 experts a évalué entre autres, l’apparence, le poids, la teneur en sucre des pastèques et melons en lice, et a finalement décidé les lauréats.

 

Avec sa pastèque pesant environ 89kg, le producteur de pastèque Xie Zhengjiang a reçu le titre de « Roi de la pastèque ».

Le concours, en particulier la catégorie des pastèques créatives, permet un meilleur échange au sujet des nouvelles variétés et de mieux répondre aux besoins des consommateurs et de booster l’économie locale.

Avec une application plus poussée de la science et des technologies, et surtout des soins, pendant tout le processus de la culture, nous avons aujourd’hui sur notre table des pastèques plus variées et plus délicieuses.




Réunion de concertation de l’union sacrée : Bahati Lukwebo, le grand absent

L’Union sacrée de la nation a fait recourt à l’arbre à palabre pour traiter ses différends après la publication du gouvernement Judith Suminwa afin d’assurer l’unité de cette méga plateforme du Président de la République.

Ce vendredi 31 mai, cette approche a été respectée lors d’une réunion ayant mis ensemble le Présidium et les chefs des partis et regroupements politiques membres de cette structure politique de la majorité présidentielle.

Des questions essentielles liées à l’actualité de l’heure, notamment, la publication et l’installation du Gouvernement ont été abordées avec dextérité par le Coordonnateur de la majorité Parlementaire, le Secrétaire Général de l’UDPS-Tshisekedi, Augustin Kabuya.

A en croire la communication du présidium de l’Union sacrée, “tout s’est passé dans la convivialité. Il faut croire que les jours à venir seront encore meilleurs pour l’Union sacrée de la nation”, explique – t-elle.

Si Vital Kamerhe, l’un des membres du présidium a été représenté par le secrétaire général de son parti, UNC, Bahati Lukwebo par contre, a été le grand absent de cette rencontre. D’aucuns estiment que l’absence de Bahati Lukwebo, cette grande figure de l’Union sacrée traduit le malaise qui règne dans la famille politique du chef de l’État. Des voix se lèvent pour dire que l’AFDC-A est frustrée. Elle ne serait pas satisfaite de son quota au sein du gouvernement Suminwa.

 

 

Mboshi




Après un coup d’État manqué: Félix Tshisekedi nomme un nouvel Administrateur Général à l’ANR

Il s’agit de Justin Inzun Kakiak, qui a été nommé au poste de l’Administrateur Général de l’Agence Nationale de Renseignements, ANR. Il sera secondé par Augustin Mulumba Nsabwa, nommé à son tour, Administrateur général adjoint.

Justin Inzun Kakiak avait été nommé Administrateur Général de l’ANR par intérim après le départ de Kalev Mutomb.

Cette nomination est intervenue quelques jours après le coup d’Etat déjoué par les Forces Armées de la République Démocratique du Congo, à Kinshasa, au palais de la nation, bureau officiel du président de la République.

D’aucuns soutiennent que cet acte posé par Félix Tshisekedi serait une façon pour lui de nettoyer sa cour. Déjà, son directeur de cabinet vient d’être nommé, lui aussi, au poste de Vice-premier ministre du Plan, dans le gouvernement Suminwa.

 

Mboshi




La CAF contribue aux discussions sur la sécurité dans le sport à l’occasion du symposium scientifique de l’UNOCT à Riyadh

Plusieurs séances de travail organisées par le Département de la Sûreté et de la Sécurité de la CAF, portant sur la formation des officiers et la couverture sécuritaire des évènements sportifs et à l’étranger, ont eu lieu ces derniers mois. Des réflexions qui ont donné lieu à des nouvelles politiques et stratégies dans ce domaine, dans chacune des fédérations composantes de la Confédération Africaine de Football.

L’événement le plus récent a été la contribution du département de sûreté et de sécurité de la CAF au symposium scientifique de l’UNOCT, qui s’est achevé mercredi à l’Université arabe Naif pour les sciences de la sécurité à Riyad, en Arabie Saoudite.

Pendant trois jours, du 27 au 29 mai, des professionnels de la sûreté et de la sécurité se sont réunis afin de fournir une expertise technique en matière de sécurité et de protection aux États membres et aux associations qui se portent candidats à l’organisation de grands événements sportifs ou qui prévoient de le faire, et pour intégrer le sport et ses valeurs dans les stratégies nationales de prévention contre toute forme de violence.

Dr Christian Emeruwa, Chef du Département de la Sûreté et de la Sécurité de la CAF a ouvert les débats, en expliquant les objectifs de ladite session : ”Comprendre la complexité de l’accueil et de l’organisation de la sécurité des grands événements sportifs nous permet d’apprécier le travail qui se fait en coulisses, ce qui se traduit par une expérience pour tous les participants et les groupes d’utilisateurs.”

Avant d’ajouter : “Notre présentation se concentre sur la compréhension du concept de protocoles de sécurité efficaces pour les événements sportifs majeurs en Afrique. Chaque pays est unique, et chaque sport a ses propres caractéristiques en termes de public, de règles et de règlements, de sites et d’opérations générales. Il est donc important que les confédérations et les pays hôtes comprennent ces différences et ne se basent pas uniquement sur le succès des événements passés pour déterminer ce qui se passera lors des événements futurs”, a conclu Dr Emeruwa.

Le programme comprenait des présentations de la FIFA et de l’UEFA. Les thèmes abordés étaient la coopération internationale entre les régions, le rôle essentiel des partenariats public-privé dans l’utilisation de la technologie et de l’innovation pour les grands événements sportifs, et les stratégies visant à renforcer la sécurité des grands événements sportifs afin d’assurer un impact et un héritage durables.

Les discussions ont également porté sur les résultats probants de l’utilisation des valeurs sportives pour la consolidation de la paix, sur le rôle de la jeunesse et de la société civile dans la promotion des valeurs positives du sport, et sur la lutte contre les préjugés sportifs sur les réseaux sociaux.

Le programme UNOCT vise à:

– redynamiser la coopération multilatérale et renforcer les partenariats public-privé en vue d’assurer efficacement la sûreté et la sécurité des grandes manifestations sportives et l’utilisation du sport dans le cadre de l’entraînement physique et professionnel.

– élaborer une feuille de route sur la base des conclusions du groupe de travail ad hoc, afin de répondre à la nécessité de mettre en place des mesures de prévention du terrorisme innovantes, inspirées des grands événements sportifs.

– développer des pratiques innovantes de prévention du terrorisme inspirées de la gouvernance de la sécurité des grands événements sportifs.