Marchés financiers : Prédominance du dollar dans le système de réserves internationales mise à jour (Serkan Arslanalp, Barry Eichengreen et Chima Simpson-Bell)

Le dollar continue de céder du terrain face aux devises non traditionnelles dans les réserves de change mondiales, mais il reste la principale monnaie de réserve.

La prédominance du dollar (ou le rôle démesuré du dollar dans l’économie mondiale) a encore récemment pu être observée, étant donné que la robustesse de l’économie américaine, le resserrement de la politique monétaire et l’intensification des risques géopolitiques ont contribué à valoriser davantage le billet vert. Parallèlement à cela, la fragmentation économique et la potentielle réorganisation de l’activité économique et financière mondiale en blocs distincts pourraient encourager certains pays à utiliser et à détenir d’autres monnaies internationales et de réserve.
Les récentes données provenant du rapport du FMI sur la composition en devises des réserves de change (COFER) indiquent une baisse progressive continue de la part du dollar dans les réserves de change des banques centrales et des États. Il est frappant de constater que la baisse de la part du dollar au cours des deux dernières décennies n’a pas été contrebalancée par l’augmentation des parts des autres principales monnaies, que sont l’euro, le yen et la livre. Au lieu de cela, c’est la part de ce que nous appelons les « monnaies de réserve non traditionnelles » qui a augmenté, notamment celle du dollar australien, du dollar canadien, du renminbi chinois, du won sud-coréen, du dollar singapourien et des devises nordiques. Les données les plus récentes confirment cette tendance, que nous avions déjà soulignée dans un précédent document de travail et un article de blog du FMI.

Ces monnaies de réserve non traditionnelles sont attrayantes pour les gestionnaires de réserves parce qu’elles sont une source de diversification et offrent des rendements relativement performants. Elles sont aussi devenues plus faciles à acheter, à vendre et à détenir grâce au développement des nouvelles technologies financières numériques (telles que le modèle de marché automatique « Automated Market Maker » et les systèmes automatisés de gestion des liquidités).
Cette tendance récente est d’autant plus saisissante au vu de la force du billet vert, qui indique que les investisseurs privés se sont tournés vers les actifs libellés en dollars. C’est du moins ce qui transparaît de l’évolution des prix relatifs. En même temps, cette observation rappelle que les fluctuations des taux de change peuvent avoir de manière indépendante une incidence sur la composition monétaire des portefeuilles de réserves des banques centrales. Les variations de la valeur relative des différents titres publics, reflétant les fluctuations des taux d’intérêt, peuvent également avoir un certain effet, même si ce dernier aura tendance à être moindre, dans la mesure où les rendements des obligations émises dans les principales monnaies suivent habituellement la même trajectoire. En tout état de cause, ces effets de valorisation ne font que renforcer la tendance générale. À plus long terme, au cours des deux dernières décennies, le fait que la valeur du dollar soit dans l’ensemble restée la même, tandis que sa part dans les réserves mondiales a diminué, indique en effet que les banques centrales se détournent progressivement du dollar.

En même temps, les tests statistiques n’indiquent pas une accélération de la baisse de la part du dollar dans les réserves, contrairement aux affirmations selon lesquelles les sanctions financières américaines ont précipité l’abandon du billet vert. Certes, comme certains l’ont affirmé, il est possible que les mêmes pays qui cherchent à s’éloigner du dollar pour des raisons géopolitiques sont aussi ceux qui ne communiquent pas d’informations sur la composition de leurs portefeuilles de réserve dans le cadre de l’enquête COFER. Il convient toutefois de noter que les 149 pays qui ont répondu à l’enquête représentent jusqu’à 93 % des réserves mondiales de change. En d’autres termes, les pays non participants ne représentent qu’une part infime des réserves mondiales.
Le renminbi chinois est l’une des monnaies de réserve non traditionnelles qui gagnent des parts de marché (à savoir un quart des parts perdues par le dollar). La Chine a mis en place des politiques sur plusieurs fronts pour promouvoir l’internationalisation du renminbi, notamment le développement d’un système de paiement international, l’extension des accords de swap et le lancement d’une monnaie numérique de banque centrale. Il est donc intéressant de noter que l’internationalisation du renminbi montre des signes de stagnation, du moins au vu de la part qu’il représente dans les réserves. Les données les plus récentes ne montrent pas de nouvelle augmentation de la part du renminbi dans les réserves. Certains observateurs estiment cependant que la dépréciation du taux de change du renminbi au cours des derniers trimestres a masqué cette augmentation. Cela étant dit, même en tenant compte des variations des taux de change, la part du renminbi dans les réserves a diminué depuis 2022.
D’autres observateurs suggèrent que ce qui est perçu comme une baisse continue des avoirs en dollars et une augmentation de la part des devises non traditionnelles dans les réserves n’est en fait que le fruit du comportement d’une poignée de grands détenteurs de monnaies de réserves. La Russie, pour des raisons géopolitiques, fait preuve de prudence dans sa politique de détention de dollars, tandis que la Suisse a préféré accumuler des réserves en euros au cours de la dernière décennie, la zone euro, proche géographiquement, étant son partenaire commercial le plus important. Mais si l’on exclut la Russie et la Suisse de l’agrégat de l’enquête COFER et si on se fie aux données publiées par les banques centrales de ces pays de 2007 à 2021, on constate peu de changement dans l’ensemble.
En fait, ce constat est plutôt général. Dans notre document de travail de 2022, nous avons identifié 46 « diversificateurs actifs ». Ce sont des pays dont la part des réserves de change en devises non traditionnelles était d’au moins 5 % à la fin de 2020. Il s’agit notamment des principaux pays avancés et pays émergents, et donc la plupart des membres du G-20. Au moins trois autres pays (Israël, Pays-Bas, Seychelles) ont rejoint cette liste en 2023.

Nous avons aussi constaté que les sanctions financières imposées par le passé incitaient les banques centrales à délaisser légèrement leurs portefeuilles de réserves (ces derniers risquant d’être gelés et redéployés) au profit de l’or, qui peut être stocké dans le pays et ne risque donc pas d’être affecté par une quelconque sanction. Ces travaux ont également montré que la demande d’or émanant des banques centrales est restée positive malgré les incertitudes entourant la politique économique et le risque géopolitique à l’échelle mondiale. Ces facteurs peuvent être à l’origine de l’accumulation d’or par un certain nombre de banques centrales dans les pays émergents. Cependant, avant de ne présager de quoi que ce soit, il est important de rappeler que la part de l’or dans les réserves reste à un niveau historiquement bas.

En résumé, le système monétaire et de réserve internationale continue d’évoluer. Les tendances que nous avons mises en évidence dans cet article (à savoir une baisse très progressive de la prédominance du dollar et l’augmentation du rôle des monnaies non traditionnelles de petits pays ouverts et bien gérés, rendue possible par les nouvelles technologies de change numériques) restent d’actualité.




F. Tshisekedi félicite Cyril Ramaphosa pour sa brillante réélection à la Présidence de la République Sud-africaine 

” J’adresse mes vives et chaleureuses félicitations à mon homologue, S.E. Cyril Ramaphosa pour sa brillante réélection à la Présidence de la République Sud-africaine lors du vote de ce jour par le Parlement. J’y associe mes vœux de plein succès “, indique le président Félix Tshisekedi.

” Je saisis cette heureuse occasion pour vous assurer de ma disponibilité à contribuer davantage, à la consolidation des excellentes relations de coopération et d’amitié qui existent entre la RDC et la RSA”, termine Tina Salama qui rend les propos de Félix Tshisekedi sur son compte X.




Mondial Féminin U-17 : Le Nigeria sera de la partie

Grâce à un doublé de Harmony Chidi, les Flamingos s’envole pour la République dominicaine en battant 2-0 le Libéria. Elles avaient déja enregistré une victoire à aller 4-1.

En se qualifiant sur un score cumulé de 6-1, le Nigeria devient l’antépénultième équipe à se qualifier pour la Coupe du Monde Féminine U-17, République dominicaine 2024™.

Deux buts dans les deux mi-temps du match, marqués par Harmony, ont permis au Nigeria d’écarter le Liberia. La Nigériane figure en tête du classement des meilleures buteuses de ces éliminatoires avec 13 réalisations.

À noter que le Nigeria a terminé à la troisième place lors de la dernière édition qui s’est déroulée en Inde, juste derrière l’Espagne et le Japon.




Classement FIFA / Dames : La Rdc signe la plus belle progression continentale

Après la dernière fenêtre des rencontres internationales, la FIFA a publié son classement dédié aux sélections féminines. En Afrique, le trio de tête reste inchangé : Nigeria, Afrique du sud et Maroc sont les têtes de gondoles du football continental.

Par contre la plus belle progression est à mettre dans l’escarcelle de la République Démocratique du Congo qui gagne quatre places et passe de la 106 à 102e position mondiale.




Katmandou va abriter la 3ème réunion du processus de reconstitution des ressources IDA-21

L’Association internationale de développement (IDA) est un partenaire engagé de longue date aux côtés des pays d’Asie du Sud, où elle s’emploie depuis plus de 60 ans à impulser des changements transformateurs qui améliorent les conditions de vie de millions d’habitants.

Face à la conjonction de défis auxquels est confrontée la région, la 21e reconstitution du fonds de la Banque mondiale pour les pays les plus pauvres (IDA-21) marque une étape décisive pour le développement et la relance de l’Asie du Sud.

Dirigeants et acteurs du changement se retrouvent à Katmandou (Népal), le 18 juin, pour la troisième réunion du processus de reconstitution des ressources IDA-21. « Renforcer la résilience en Asie du Sud » est le thème retenu.

Qu’est-ce que l’IDA ?

L’Association internationale de développement (IDA) est l’institution de la Banque mondiale qui investit dans l’avenir des populations et de la planète, en finançant des projets dans 75 pays. Fondée en 1960, l’IDA vise à réduire la pauvreté en fournissant des dons et des prêts à taux faible ou nul destinés à des programmes qui stimulent la croissance économique, réduisent les inégalités et améliorent les conditions de vie des populations.




Le vaccin antipaludique R21/Matrix-M désormais disponible en Rdc

Le ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévoyance Sociale, Docteur Roger Kamba qui a procédé à la réception d’un lot important de 693.500 doses, jeudi 13 juin 2024, à 22 heures à l’aéroport international de N’djili à Kinshasa, grâce à l’appui de certains partenaires dont l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et le Fonds des Nations unies pour l’Enfance (UNICEF).

« Nous recevons pour la première fois en République Démocratique du Congo, le vaccin pour lutter contre le paludisme qui est une des grandes causes de mortalité notamment chez les enfants qui payent le lourd prix de cette maladie. Il va donc de soi que toutes les solutions que nous pouvons utiliser pour diminuer la mortalité due à cette maladie sont importantes. Il est démontré que ce vaccin est efficace pour avoir été utilisé dans d’autres pays d’Afrique sur plus de 2 millions d’enfants; voilà pourquoi le ministère de santé publique a fait le choix d’utiliser ce vaccin pour diminuer la mortalité liée au paludisme”, a indiqué Dr Roger Kamba.

Il a en outre précisé que ce vaccin sera donné en 4 doses (à 6 mois, 7mois, 9 mois et 15 mois ) en suivant les provinces les plus touchées par la maladie, notamment le Kongo-Central, le Grand Bandundu et Kinshasa, ainsi de suite, pour assurer une large couverture d’enfants en attendant d’autres lots.

Le vaccin étant pré qualifié par l’OMS est sécurisé pour les enfants ainsi le ministre de la Santé publique, hygiène et prévoyance insiste sur sa qualité tout en laissant la main au ministère de la Recherche scientifique à continuer des recherches dessus.

L’Organisation Mondiale de la Santé souligne que les vaccins contre le paludisme préviennent plus de la moitié des cas chez l’enfant dans l’année suivant la vaccination, quand les enfants sont exposés à un risque de maladie et de décès élevé.

Prince Yassa




Paris : Dieudonné Kamuleta a représenté la RDC aux travaux de la conférence des chefs d’institution de l’Association des Cours Constitutionnelles Francophones

“La protection constitutionnelle de la liberté d’expression”, tel a été le thème retenu pour les travaux de la conférence des chefs d’institution de l’Association des Cours Constitutionnelles Francophones, ACCF.

Ces assises qui ont eu lieu du 13 au 15 juin, organisées au siège du Conseil constitutionnel de la France ont permis à toutes ces Nations réunies d’échanger sur plusieurs points liés avec le fonctionnement des leurs juridictions et sur les grands défis à relever dans l’avenir.

 

Représentant la République Démocratique du Congo à ces assises scientifiques, le Président de la Cour constitutionnelle, Président du Conseil Supérieur de la Magistrature, Dieudonné Kamuleta était accompagné du Juge François Bokona et quelques collaborateurs de l’animateur de cette haute juridiction.

 

Les travaux de Paris qui ont été lancés par Laurent Fabius, Président du Conseil constitutionnel Français étaient repartis en 3 ateliers. Parmi les principaux intervenants, le Congolais Dieudonné Kamuleta. Il a partagé l’expérience de la Cour constitutionnelle de la RDC sur “la liberté d’expression au 21e siècle”. Il a démontré les avancées dans ce domaine à travers les arrêts de la Haute Cour congolaise face aux réalités numériques du monde moderne confronté aux réseaux sociaux et leurs implications néfastes.

 

Dieudonné Kamuleta a saisi cette opportunité pour offrir un cadeau symbolique à 8 dirigeants de hautes juridictions francophones dont le français, le Sénégalais et le Marocain. Ce cadeau comprend le texte régissant les compétences de la Cour Constitutionnelle, sa loi organique, l’ordonnance sur le statut particulier de la Cour constitutionnelle, son règlement intérieur, ainsi qu’un fascicule présentant les compétences et la jurisprudence de cette juridiction.

 

Signalons que les travaux de cette conférence ont été clôturés le vendredi, toujours au siège du Conseil constitutionnel français et la journée de ce samedi est réservée à une visite touristique du château de Chantilly. A noter également que l’association des Cours constitutionnelle francophones est dirigée pour ce mandat par le Président du Conseil constitutionnel du Sénégal.

 

Osée kalombo




RPDC; «On défendra, de manière fiable, sa souveraineté, sa sécurité, ses intérêts et son Système socialiste!»

Voici le communiqué (14/06/2024) de presse de KIM Son Kyong, Vice-Ministre chargé des Organisations Internationales du Ministère des Affaires Etrangères de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945;

  • Puissance nucléaire consacrée à garantir son droit à l’existence et au développement du Pays et à juguler une guerre pour sauvegarder la paix et la stabilité de la Région et du monde entier
  • Superpuissance politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Bienfaiteurs dont les Généralissimes KIM IL SUNG 1912-1994 et KIM JONG IL 1942-2011, et le Maréchal KIM JONG UN, NDLR);

Ce 12 juin, les USA (ou United States of America ou Etats-Unis d’Amérique; occupants du sud de la Péninsule coréenne dès 1945 jusqu’ici avec leurs 30.000 GI’s coiffés des Casques Bleues censées être ôtées depuis 1975 grâce à la Résolution № 3390B 18/11/1975 de l’Assemblée Générale de l’ONU mais toujours en vain, après leur fiasco dans la 1ère invasion de la Corée en 1866 bientôt recouvré par leur réussite dans la domination 1905-1945 de procuration de toute la Corée par le Japon à travers la collusion USA-Japon 29/07/1905, cela selon l’esprit de leur Destinée Manifeste de 1845, NDLR) ont lancé une odieuse campagne de diffamation des «droits de l’homme» contre la RPDC, profitant du fait que la ROK (ou Republic of Korea ou République de Corée – créée, unilatéralement, un mois avant la RPDC dans le cadre de la division perpétuelle avec son côté Nord – qui tire son origine, avec siège à l’étranger, en 1919 sous la domination 1905-1945 du Japon, sans aucun pouvoir ni autorité restaurés en seule apparence par les USA ayant divisé la Péninsule coréenne en 1945 pour mieux régner, NDLR) occupait la présidence du Conseil de Sécurité des Nations Unies (CSNU) pour mandat du mois en cours.

En fait, la ROK n’a ni les capacités élémentaires ni la moindre volonté d’assurer la paix et la sécurité internationales en tant que serviteur colonial qui a laissé ou confié toute sa souveraineté aux USA; faire siéger la ROK au CSNU, ce n’est donc que la plus grande honte de déshonorer le nom de l’ONU. Je condamne et rejette, de manière cinglante, le racket illégal et injuste des «droits de l’homme» anti-RPDC des USA et de leurs forces vassales comme;

  • une manifestation la plus intensive de la politique hostile envers la RPDC
  • une grave provocation politique visant à ternir l’image de notre digne État.

Récemment, les USA et leurs partisans organisent, fréquemment sur la scène de l’ONU, les conférences conspiratrices relatives aux «questions liées aux droits de l’homme»; de tels comportements sont motivés par leur sinistre intention de ternir l’image de notre RPDC, à tout prix en recourant même à la méprisable campagne de diffamation des «droits de l’homme», car ils ne peuvent pas contenir notre RPDC par leur force militaire. Notre RPDC est très habituée à ces actes pervers de la part des USA, qui ont été établis comme une sorte de formule. Si le CSNU doit traiter des questions des droits de l’homme dans un certain Pays, il sera naturel de mettre en cause la mauvaise situation des droits de l’homme aux USA et en ROK qui sont totalement dépravés en raison de toutes sortes de maux sociaux;

  • Les USA sont un État ouvertement criminel qui devrait être mis sur le banc des accusés devant un tribunal des droits de l’homme, car ils tolèrent et favorisent les violations des droits de l’homme institutionnelles et de grande envergure telles que la discrimination raciale, les crimes liés aux armes à feu, la maltraitance des enfants et les travaux forcés chez eux tout en imposant, à d’autres Pays, les normes contraires à l’éthique en matière des droits de l’homme pour créer des troubles et de la confusion.
  • La ROK n’a aucune qualification élémentaire pour parler des questions des droits de l’homme, car c’est un cloaque de violations des droits de l’homme où toutes les rues sont remplies de manifestants (surtout depuis le 01/05/2023, NDLR) de toute couche sociale affirmant qu’ils ne peuvent plus vivre sous leur Régime totalement indifférent aux vies et à la vie du Peuple, cela en raison de la flagornerie ou servilisme pro-US (même pro-japonais, NDLR), la dictature fasciste et la mauvaise gouvernance anti-populaire du Pouvoir (du 20ème YOON Suk-Yeol, bénéficiaire du soutien de 10-20% selon le dernier sondage d’opinion en ROK, NDLR).

Il est urgent ou pressant, pour les USA et la ROK, de régler les violations des droits de l’homme chez eux. Aujourd’hui, la juste Communauté internationale exprime ses profondes préoccupations et critiques amères quant au fait que le CSNU sert d’outil, contrairement à son autorité, pour réaliser les objectifs politiques d’un État spécifique traitant des «questions des droits de l’homme» d’un Pays individuel.

Les USA s’accrochent à argumenter que les «questions des droits de l’homme» concernent la paix et la sécurité internationales, tout en les liant délibérément aux mesures prises par notre RPDC destinées au renforcement de son potentiel de défense nationale; mais, cela ne fait que révéler leur propre nature méprisable de priver le Peuple de notre RPDC de tous ses droits. La plus grande menace à la paix et à la sécurité mondiales est l’ingérence et l’ambition d’hégémonie des USA et de l’Occident, menées actuellement sous prétexte de la «protection des droits de l’homme».

L’esprit de la Déclaration (adoptée fin 1948 à Paris par l’ONU, NDLR) Universelle des Droits de l’Homme, qui reflète globalement la volonté unanime de l’Humanité, s’efface ou se flétrit de jour en jour en raison des normes illégales en matière des droits de l’homme établies par les USA, qui distinguent un «violateur des droits de l’homme» ou un «modèle des droits de l’homme» selon qu’il s’agit ou non d’un État anti-US ou un État pro-US.

Si une telle pratique anormale, dans laquelle les organismes internationaux comme l’ONU se transforment en un théâtre d’hégémonie où les pratiques autoritaires et arbitraires d’un État spécifié sont endémiques, persiste plus longtemps, ces organismes perdront la justification de leur existence, sans parler de leur autorité et de leur position. La politisation, la sélectivité et le double standard en matière des droits de l’homme poursuivis par les USA et l’Occident constituent, aujourd’hui, un foyer criminel qui provoque la méfiance, les conflits, la confrontation et la division dans de différentes parties du monde.

C’est la philosophie que prouve, une fois de plus, l’actuelle crise tragique au Moyen-Orient selon laquelle il est impossible de défendre le droit du Peuple à la vie, le plus élémentaire des droits de l’homme, sans la souveraineté nationale. La priorité absolue de la RPDC dans la garantie des droits de l’homme est de défendre, minutieusement, les droits et les intérêts indépendants des dizaines de millions de sa population contre les réelles menaces illégale et hostile des USA.

La RPDC ne tolérera jamais le racket d’intrigue méprisable des forces hostiles en matière des «droits de l’homme», mais défendra, de manière fiable, sa souveraineté, sa sécurité, ses intérêts et son Système socialiste.




Lutte contre les Ist et le VIH/SIDA à Kindu: Le Groupe de travail «  Préservatif » a tenu sa première réunion de l’année

Le Groupe de travail Préservatif a tenu hier jeudi 13 juin 2024, sa première réunion pour l’année 2024 dans le cadre de la lutte contre les Infections sexuellement transmissibles et le VIH/SIDA. C’était au bureau de l’Eup Kindu dans la province du Maniema.

Plusieurs acteurs dans la riposte ont pris part à cette rencontre qui visait à renforcer la coordination multisectorielle de la réponse au VIH/SIDA plus particulièrement de définir et de récolter les besoins en préservatifs auprès des partenaires afin de fixer les besoins de la province pour chaque circuit communautaire, sanitaire et commercial.

Aussi, les participants ont eu à définir les stratégies et adopter le plan de distribution des préservatifs, et offrir aux acteurs de LCS un espace de concertation sur les activités de prévention au VIH à mener au niveau de la province du Maniema.

Cette rencontre a renforcé les capacités techniques des acteurs de LCS par le partage des informations, des stratégies et méthodes de travail en gestion des préservatifs.

Ainsi pour améliorer le fonctionnement de ce Groupe, un comité a été mis en place, dont la composition se présente de la manière ci-après :

– Président : PNMLS; Vice-Président : PNUD; Secrétariat : PNSR et PNLS; Membres

Les participants ont été informés de la disponibilité d’un lot de préservatifs fournit par le bureau du Fonds des Nations unies pour la Population (UNFPA) de GOMA pour la province du Maniema.

«  Ce rassemblement témoigne de l’engagement des acteurs en faveur de la santé publique et de la promotion des pratiques sexuelles sûres et responsables afin de lutter contre les infections sexuellement transmissibles (IST) et le VIH/SIDA », a déclaré le secrétaire exécutif provincial du Programme national multisectoriel de lutte contre le VIH/SIDA (PNMLS), visiblement très ému de la forte participation de ces acteurs, à qui il a promis un accompagne permanent de sa structure.

Prince Yassa




Euro 2024: l’Allemagne écrase l’Écosse en match d’ouverture…

La 17e édition du championnat d’Europe de football démarrait ce vendredi. L’Allemagne, pays hôte, a signé une victoire retentissante face à l’Écosse en match d’ouverture à Allianz Arena de Munich.

La Mannschaft démarrait tambour battant.

lancé par Rudiger dans le dos de la défense, Wirtz sonnait l’alarme, son face-à-face manqué devant le gardien Gunn est sanctionné pour position litigieuse préalable (1′).

Et le centre de Mittelstadt manquait de preneur dans la surface (9′), mais l’échéance ne sera pas tardée une minute plus tard. Trouvé par Joshua Kimmich à l’entrée de la surface, Wirtz Florian envoyait une branline à ras de terre qui heurtait le poto entrant ( 1-0 10e). Puis l’incursion à nouveau du butteur sauvée in extremis par le gardien Gunn (18 e).

Les allemands étaient bien dans leur match. Musiala profitait d’un ballon cafouillé alerté par

Kai Havertz dans la surface adverse pour touver la lucarne ( 2-0 19e). De quoi révolter les écossais. Leur première attaque est dégagée en catastrophe par Jonathan Tah. Et dans la foulée, Antonio Rudiger voyait sa frappe captée par le gardien Gunn( 40e ), ou Gundogan, auteur d’une tête à bout portant sauvée sur la ligne, mais l’intervention de la VAR accordait un penalty après la faute qui s’en suivait avec un tacle ciseau de Porteous Rian qui ecopait d’un carton rouge (44e).

Penalty transformé par Kai Havertz. Le gunners inscrivait son 17e but en 47 sélections (3-0 45+2).

Au retour de la pause, les Allemands tentaient des nouvelles incursions. Rudiger voyait à nouveau sa frappe flottante détournée en corner (50e) et, Wirtz Florian, dont la reprise est non cadrée (58e). Cinq minutes seulement après son entrée, Fullkrug profitait d’une remise adverse en pleine surface pour fusiller Gunn (4-0 68e). Secouant la défense Allemande sur quelques peu de fois, les Écossais vont réduire l’écart, la tête croisée de Forrest est déviée par Rudiger qui marque contre son camp( 4-1 87e), mais la missile enroulée de Can Emre va définitivement clore le débat (5-1 90+3).

L’Allemagne s’impose donc 5-1 et lance son Euro.