Maï-Ndombe: Le conseil provincial de la jeunesse félicite Gentiny Ngobila pour son leadership éclairé à la tête de Kinshasa

Le Conseil Provincial de la Jeunesse de Maï-Ndombe a adressé un message de félicitations à l’ancien gouverneur de la ville province de Kinshasa, Gentiny Ngobila Mbaka, pour son leadership éclairé à la tête de cette mégapole, Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo.

Dans un communiqué, ces jeunes estiment que Gentiny Ngobila Mbaka, dans sa gestion, est sorti tête haute en dépit du contexte socio-économique très compliqué.

“En digne fils de Maï-Ndombe, la Jeunesse de votre province est fière de vous pour nous avoir honoré au regard de votre bilan”, déclare le président provincial de la jeunesse de Maï-Ndombe.

Et d’ajouter : “Couronné par plusieurs
réalisations au profit du bien-être de la population Kinoise, nous citons entre autre, les
nouvelles routes secondaires
construites, d’autres
réhabilitées et modernisées,
de nouveaux ponts construits, la réhabilitation de l’éclairage public sur les artères de la ville, des emprises publiques
aménagées, des parcs
d’attraction créés, et surtout le nouveau marché central de Kinshasa construit avec une capacité d’accueil de plus de 80 mille places, vos réalisations nombreuses doivent être félicitées”, a-t-il renchérit.

“Nous vous souhaitons plein succès dans l’exercice de votre nouvelle fonction à la chambre haute du parlement et demande le bon Dieu de vous protéger”, souhaite la jeunesse de Maï-Ndombe.

Désormais sénateur, Gentiny Ngobila Mbaka a démissionné du gouvernorat de la ville de Kinshasa, après la validation de son mandat à la chambre basse du parlement. Autorité morale du parti Alliance des Congolais Progressistes, ACP et du regroupement politique ACP-A, Gentiny Ngobila Mbaka a géré la ville de Kinshasa de 2019 à juin 2024.

Mboshi




UDPS-Tshisekedi: bientôt, les listes des militants seront envoyés dans des cabinets des ministres du parti

Le Secrétaire Général de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social, UDPS Tshisekedi, s’est entretenu le week-end dernier avec la base du parti à la permanence de la 11e rue Limete à Kinshasa.

Dans un meeting à bâton rompu avec ses militants, Augustin Kabuya a évoqué la question liée aux recommandations des membres du parti au sein des cabinets ministériels issus de l’UDPS/ Tshisekedi.

 

Le SG Kabuya a dissipé tout malentendu à propos de la composition des cabinets ministériels, tout en rappelant que les ministres sont nommés par quota des Partis; quoi de plus normal qu’ils puissent travailler avec les membres du parti.

“Le Gouvernement est formé sur base des partis politiques. L’UNC et MLC pour ne citer que ceux-là ont envoyé les noms des ministres selon leurs quotas. Mais, il n’y a qu’à l’UDPS où règne l’indiscipline”, a déploré le SG Augustin Kabuya, qui a fait savoir aux combattants ayant déposé leurs dossiers à la Commission de gestion d’ambitions du parti que les listes des recommandés seront transmises aux différents ministères.

“Les membres du parti ayant déposé leurs dossiers à la commission de gestion d’ambitions doivent savoir que les listes seront envoyées dans les ministères avant le mercredi 20 juin, et seront affichées au siège du parti. Nous n’allons pas envoyé des profanes, par ce qu’il y a trop de mensonges”, clarifie t-il.

Par la même occasion, le sénateur Kabuya a éclairé son auditoire sur le récent communiqué du nouveau ministre des Finances.

“Notre ministre des Finances n’a chassé personne. Si vous dites qu’il a chassé tous les collaborateurs du ministre sortant Nicolas Kazadi, c’est faux! Son communiqué le mentionne clairement que les conseillers doivent rester”, a indiqué le SG de l’UDPS/ Tshisekedi.

 

 

 

Mboshi




RDC : Les Gouverneurs et Vice-Gouverneurs des provinces nouvellement élus attendus à Kinshasa ce mercredi

Les Gouverneurs et Vice-Gouverneurs des provinces nouvellement élus sont attendus à Kinshasa ce mercredi 19 juin, pour des orientations utiles à leur travail. Ils seront également investis ce même mercredi dans une cérémonie de remise des notifications.

Le communiqué du vice premier ministre en charge de l’intérieur signale aussi qu’il sera question d’avoir d’informations et d’échanges d’expérience sous le haut patronage du Président de la République pour permettre aux dirigeants nouvellement élus dans les provinces de travailler dans la vision du chef de l’État pour garantir l’intérêt supérieur de la population.

Il faut dire que cette activité sera dans la salle Virunga du Ministère de l’intérieur à Kinshasa comme indique le patron de la territoriale, le VPM Shabani Lukoo, dans un message officiel.

 

 

 

Mboshi




Selon les projections de la Banque mondiale: La croissance en Afrique subsaharienne remontera à 3,5 % en 2024 et à environ 4 % par an en 2025-26

Selon les perspectives économiques mondiales de la Banque mondiale, la croissance en Afrique subsaharienne a fléchi à 3 % en 2023. Elle est restée faible dans les trois plus grandes économies de la région : le Nigéria, l’Afrique du Sud et l’Angola. Le début de l’année 2024 a été marqué par un rebond de l’activité du secteur privé, à la faveur d’un raffermissement de l’économie mondiale. Dans le même temps, de nombreuses économies de la région continuent d’être aux prises avec une situation des finances publiques fragile, due en partie au faible niveau des recettes et au coût élevé du service de la dette, un certain nombre d’États devant en outre faire face aux effets néfastes des dépréciations monétaires.

Au Nigéria, la croissance du PIB a ralenti à 2,9 % en 2023. Malgré les ajustements macroéconomiques en cours, l’économie a affiché un dynamisme modéré au début de l’année 2024. La croissance sud-africaine, après être tombée à 0,6 % en 2023, est restée atone au début de l’année 2024. L’économie continue de pâtir d’une détérioration généralisée des services publics, avec notamment des pénuries d’électricité, des goulets d’étranglement dans les transports et un taux de criminalité élevé. La consommation des ménages reste limitée par les forts taux de chômage, tandis que l’investissement faiblit sur fond de confiance en berne chez les entreprises. En Angola, la croissance a chuté à 0,9 % en 2023, à la suite de la baisse de la production pétrolière et de la perte de dynamisme des secteurs non pétroliers.
Alors que l’inflation avait globalement reflué tout au long de l’année 2023, elle est repartie à la hausse début 2024, tirée en partie par l’augmentation des prix alimentaires. La hausse de l’inflation globale, en particulier dans plusieurs grandes économies d’Afrique subsaharienne, a entraîné un relèvement des taux d’intérêt dans un certain nombre de pays. L’insécurité alimentaire reste élevée dans la région, du fait des sécheresses prolongées dans certaines parties de l’Afrique de l’Est et des inondations en Afrique australe, mais aussi de l’existence de conflits violents et persistants dans les pays du Sahel et dans la Corne de l’Afrique.
Perspectives
Selon les projections, la croissance en Afrique subsaharienne remontera à 3,5 % en 2024 et à environ 4 % par an en 2025-26. L’atténuation des pressions inflationnistes devrait en effet permettre de baisser les taux d’intérêt, ce qui soutiendra la consommation et l’investissement privés. La croissance dans les trois plus grandes économies de la région devrait s’accélérer, pour passer de 1,8 % en 2023 à 2,4 % en 2024 et 2,6 % en moyenne en 2025-26. Elle reste toutefois nettement inférieure à la croissance moyenne régionale. Dans les économies qui ne disposent pas de ressources naturelles, la croissance devrait se maintenir au-dessus des taux moyens historiques. Celles qui sont riches en ressources reprennent de la vigueur après leur faible croissance de l’année passée, imputable principalement à la baisse des prix des métaux.
Dans l’ensemble de l’Afrique subsaharienne, le PIB par habitant devrait s’accroître de 1 % seulement cette année et de 1,4 % en moyenne en 2025-26. Les prévisions anticipent une croissance substantielle du PIB par habitant dans les économies pauvres en ressources naturelles, tandis que les trois plus grandes économies de la région continueront d’enregistrer une progression inférieure à la moyenne régionale. Dans un quart environ des économies subsahariennes, le PIB par habitant n’aura pas retrouvé ses niveaux d’avant la pandémie à la fin de l’année 2026, ce qui signifie plus d’une demi-décennie de progrès perdus dans l’amélioration des niveaux de vie et la réduction de la pauvreté.
Risques
Les perspectives de croissance régionales sont principalement soumises à des risques de détérioration : montée des tensions géopolitiques mondiales, en particulier une intensification du conflit au Moyen-Orient ; nouvelle dégradation de la stabilité politique régionale ; hausse de la fréquence et de l’intensité d’épisodes météorologiques défavorables ; inflation plus élevée que prévu ; ralentissement économique plus marqué qu’attendu en Chine, ou encore aggravation des situations de surendettement public, faute de stabilisation des niveaux élevés de dette ou de disponibilité de nouvelles sources de financement.
L’inflation des prix à la consommation, en particulier, pourrait s’avérer plus tenace que prévu voire repartir à la hausse, sous l’effet notamment d’une hausse des prix alimentaires nourrie par les perturbations de l’approvisionnement que pourrait engendrer une escalade du conflit au Moyen-Orient. En outre, les épisodes météorologiques extrêmes augmentent les risques de pressions inflationnistes sur les produits alimentaires dans les économies touchées. Le phénomène El Niño a ainsi entraîné des précipitations et des inondations supérieures à la moyenne en Afrique de l’Est, mais une grave sécheresse en Afrique australe. Une augmentation de la fréquence et de la gravité des sécheresses ou des inondations exacerberait la pauvreté en Afrique subsaharienne et intensifierait l’insécurité alimentaire dans de nombreux pays.




La croissance mondiale se stabilise pour la première fois en trois ans

Mais pour 80 % de la population mondiale, la croissance restera inférieure à celle de la décennie pré-COVID.

Selon la dernière édition des Perspectives économiques mondiales, la croissance mondiale devrait se stabiliser en 2024 pour la première fois depuis trois ans, mais à un niveau relativement faible par rapport aux tendances historiques récentes.

La croissance mondiale devrait se maintenir à 2,6 % en 2024 avant de remonter légèrement à 2,7 % en moyenne en 2025-2026, prévoit le rapport de la Banque mondiale. Soit un niveau bien en deçà de la moyenne de 3,1 % enregistrée au cours de la décennie précédant la pandémie de COVID-19. D’après ces prévisions, dans 60 % des économies, qui représentent ensemble plus de 80 % de la population mondiale et du PIB mondial, la croissance sur la période 2024-2026 sera plus lente qu’au cours de la décennie pré-COVID.

Dans l’ensemble des économies en développement, la croissance devrait légèrement fléchir par rapport à 2023, pour s’établir en moyenne à 4 % en 2024-2025. Elle devrait s’accélérer dans les pays à faible revenu, pour atteindre 5 % en 2024, contre 3,8 % en 2023. Dans 75 % d’entre eux, toutefois, les perspectives de croissance pour 2024 ont été revues à la baisse par rapport aux prévisions établies en janvier. Dans les économies avancées, la croissance devrait rester stable à 1,5 % en 2024 avant de progresser à 1,7 % en 2025.

Des signes de stabilisation

« Quatre ans après les bouleversements provoqués par la pandémie, à laquelle ont succédé conflits, inflation et durcissement monétaire, la croissance économique mondiale donne des signes de stabilisation, souligne Indermit Gill, premier vice-président et économiste en chef du Groupe de la Banque mondiale. Elle n’a cependant pas retrouvé ses niveaux d’avant 2020. Et les prévisions économiques sont encore plus préoccupantes pour les pays les plus pauvres du monde, qui pâtissent en outre du lourd fardeau que constitue le service de la dette, de possibilités restreintes sur le plan des échanges commerciaux et de la survenue d’épisodes climatiques coûteux. Les économies en développement devront trouver des moyens d’encourager l’investissement privé, de réduire la dette publique et d’améliorer l’éducation, la santé et les infrastructures de base. Les plus pauvres d’entre elles — en particulier les 75 pays admis à bénéficier des financements concesssionnels de l’Association internationale de développement — ne pourront pas y parvenir sans l’aide de la communauté internationale. »

Une économie en développement sur quatre devrait rester plus pauvre cette année qu’elle ne l’était à la veille de la pandémie en 2019. Et cette proportion est deux fois plus élevée pour les pays en situation de fragilité et de conflit. En outre, l’écart de revenu qui les sépare des économies avancées devrait se creuser dans près de la moitié des économies en développement au cours de la période 2020-2024 (soit une proportion au plus haut depuis les années 1990). Indicateur important du niveau de vie, le revenu par habitant dans les pays en développement ne devrait augmenter que de 3 % par an en moyenne jusqu’en 2026, soit une croissance bien inférieure au taux de 3,8 % enregistré dans la décennie pré-COVID.

L’inflation mondiale devrait refluer à 3,5 % en 2024, puis 2,9 % en 2025. Cette baisse est cependant inférieure aux projections établies il y a seulement six mois, ce qui devrait inciter nombre de banques centrales à faire preuve de prudence dans l’abaissement des taux directeurs. Les taux d’intérêt mondiaux devraient rester élevés au regard des tendances récentes, pour s’établir autour de 4 % sur la période 2025-2026, soit environ le double des taux moyens enregistrés entre 2000 et 2019.

« Les prix des denrées alimentaires et de l’énergie se sont tassés dans l’ensemble du monde, mais l’inflation sous-jacente est encore relativement élevée et pourrait le rester, explique Ayhan Kose, économiste en chef adjoint de la Banque mondiale et directeur de la cellule Perspectives. Cela pourrait inciter les banques centrales des principales économies avancées à retarder les baisses des taux directeurs. Dans l’hypothèse de taux d’intérêt durablement élevés, le durcissement des conditions financières mondiales se traduirait par une croissance beaucoup plus faible dans les économies en développement. »

Deux chapitres

Cette édition des Perspectives économiques mondiales propose deux chapitres analytiques traitant d’enjeux d’actualité. Le premier est consacré au rôle de l’investissement public pour accélérer l’investissement privé et promouvoir la croissance économique. Le rapport note que la croissance de l’investissement public dans les économies en développement a diminué de moitié depuis la crise financière mondiale, pour tomber en moyenne à 5 % par an au cours de la dernière décennie. Or l’investissement public peut être un puissant levier de politique économique. Pour les économies en développement disposant d’une confortable marge de manœuvre budgétaire et d’une tradition d’efficacité des dépenses publiques, une hausse de l’investissement public à hauteur de 1 % du PIB peut augmenter le niveau de production jusqu’à 1,6 % à moyen terme.

Le deuxième chapitre analytique se penche sur la situation des petits États (moins de 1,5 million d’habitants environ) et examine les raisons de leurs difficultés budgétaires chroniques. Les deux cinquièmes des 35 petits États en développement sont déjà surendettés ou fortement menacés de le devenir, soit une proportion environ deux fois plus élevée que dans les autres économies en développement. Les petits États ont besoin de réformes complètes pour résoudre leurs difficultés budgétaires, souligne le rapport. Et de préconiser notamment l’instauration d’une assiette fiscale plus stable et plus sûre pour mobiliser des recettes, ainsi que l’amélioration de l’efficacité des dépenses publiques, en particulier dans la santé, l’éducation et les infrastructures. Les petits États doivent aussi se doter de cadres budgétaires plus robustes afin de faire face à des catastrophes naturelles plus fréquentes et plus généralement amortir les chocs. Une action mondiale ciblée et coordonnée peut également contribuer à placer ces pays sur une trajectoire budgétaire plus viable.




Irak : Le cardinal Sako est réhabilité dans sa fonction de patriarche de l’Église chaldéenne  

Ce mardi 11 juin 2024 marque la fin de l’exil forcé du cardinal Louis Raphaël Sako. Le chef de l’Église chaldéenne d’Irak peut enfin rentrer dans son pays, après une année passée à Erbil, dans la région autonome du Kurdistan. En juillet dernier, le cardinal Sako avait dû quitter Bagdad, suite à un différend avec le président irakien Abdul Latif Rashid, qui l’avait destitué de sa charge de patriarche, jugeant que le décret de reconnaissance de ses fonctions aurait été pris « sans fondement constitutionnel ou juridique ».

Cette destitution a eu pour effet de priver le cardinal Sako de son immunité et de sa capacité à gérer les biens de l’Église chaldéenne. Depuis lors, le patriarche s’était lancé dans une bataille juridique et médiatique pour recouvrer ses droits, et rentrer à Bagdad auprès de sa communauté. Un an après, le Premier ministre irakien, Mohamed Shia al-Sudani, réaffirme la « nomination » du cardinal Sako comme patriarche de l’Église chaldéenne « en Irak et dans le monde », le reconnaissant également comme le responsable ultime des biens et des dotations de son Église patriarcale. « Nous ne sommes pas une Église d’étrangers expatriés », a annoncé le cardinal Louis Sako lors d’une messe d’action de grâce célébrée ce mercredi 12 juin, « nous sommes les descendants d’Abraham le Chaldéen, père de tous les croyants.

Nous sommes l’une des couleurs du magnifique tissu irakien qui doit être préservé ». Le patriarche a rendu grâce à Dieu « pour avoir mis fin à cette phase difficile d’injustice, grâce à l’initiative courageuse du Premier ministre, Muhammad Shiaa Al-Sudani » qui « redonne confiance aux chrétiens qui ont été mis à l’épreuve plus d’une fois depuis la chute du régime précédent, et renforce leur espoir en un avenir meilleur ». Mgr Sako est à la tête d’une Église qui a particulièrement souffert de l’instabilité politique et des guerres successives. Alors qu’ils représentaient 1,4 million de fidèles en 2003, on estime que les chrétiens ne sont plus que 400 000 à vivre en Irak aujourd’hui.




Le chef de l’Église arménienne de Cilicie au Vatican

Mercredi 12 juin 2024, le pape François a rencontré à huis clos le plus haut dirigeant de l’Église arménienne de Cilicie, le « catholicós de la Grande Maison de Cilicie », Aram 1er Kechichian. Les deux hommes ne s’étaient pas rencontrés depuis dix ans. À cette occasion, le Saint-Père a remercié Aram 1er pour son engagement en faveur de l’unité des chrétiens, et a affirmé que les souffrances des martyrs arméniens devaient être vénérées « comme les blessures du Corps même du Christ ».

Accompagné d’une délégation arménienne, le primat de l’Église de Cilicie a ensuite rencontré le secrétaire d’État du Vatican, le cardinal Pietro Parolin, ainsi que les chefs des départements des relations inter-ecclésiales et des Églises catholiques orientales. L’Église arménienne de Cilicie regroupe 800 000 chrétiens au Liban, en Syrie, à Chypre, en Iran et en Grèce. Bien qu’en pleine communion, elle est administrativement indépendante de l’Église orthodoxe apostolique d’Arménie.

Élu « Catholicós » en 1995, Aram 1er réside à Antélias près de Beyrouth, au Liban. Il est également président du Comité central du Conseil œcuménique des Églises depuis 1991. En plus d’être spécialisé en philosophie et en histoire de l’Église au Moyen-Orient, il est le fondateur du Conseil des Églises du Moyen-Orient et également le fondateur du dialogue théologique entre les orthodoxes byzantins et les orthodoxes orientaux.




Félix Tshisekedi rend un dernier hommage à Mme Blanche Tunasi

Ce lundi au Stade Tata Raphaël, le Président Félix Tshisekedi a rendu hommage à Mme Blanche Kandolo Tunasi, épouse du Pasteur Marcelo Tunasi, visionnaire des églises « La Compassion ».

Accompagné de la très distinguée Première dame Denise Nyakeru, le Chef de l’État s’est incliné devant la dépouille mortelle de la défunte avant de déposer une couronne de fleurs.

Dans un stade rempli aussi bien des fidèles que des personnalités religieuses et politiques, le Pasteur Marcelo Tunasi a expliqué les circonstances de la mort de son épouse. Ce dernier a résumé son message en quelques mots: “l’Eternel a donné et il a également retiré, que son nom soit loué”.

Mme Blanche Odia Kandolo est décédée à Istanbul, en Türkiye, le mercredi 12 juin dernier, à l’âge de 39 ans. Elle laisse derrière elle un veuf et quatre enfants.




Félix Tshisekedi reçoit une délégation de l’Union européenne

Dans la soirée de ce lundi à la Cité de l’Union africaine, le Président Félix Tshisekedi a reçu une délégation de l’Union européenne (UE) conduite par le Commissaire chargé de la gestion des crises Janez Lenarčič.

Les délégués de l’UE ont tenu à rencontrer le Chef de l’État pour s’enquérir de la situation humanitaire dans l’Est de la #RDC où ils vont visiter, ce mardi, plusieurs camps de déplacés dont celui de Mugunga, au Nord-Kivu, qui a essuyé des tirs à l’arme lourde le 3 mai dernier.

« Je suis venu dans votre pays pour exprimer ma solidarité et le soutien de l’UE au peuple congolais, notamment à ceux qui souffrent dans l’Est du pays », a déclaré M. Lenarčič. « L’UE va continuer à fournir l’aide humanitaire aux populations qui en ont besoin ».

« L’année dernière nous avions débloqué 100 millions d’euros. Cette année, nous avons commencé avec 64 millions d’euros et j’ai décidé de demander à nos autorités budgétaires d’approuver un renforcement de 35 millions d’euros parce que la situation humanitaire s’est dégradée », a rajouté le Commissaire européen.

Janez Lenarčič regrette qu’il y ait, depuis le début de cette année, presqu’un million de nouveaux déplacés dans l’Est de la RDC.

« C’est horrible ! », dit-il. « Il est urgent de fournir de l’aide humanitaire mais parallèlement, l’UE est prête à soutenir les efforts pour la paix en RDC », a-t-il conclu.




Guy Loando célèbre sa reconduction avec la nouvelle notabilité de la Tshuapa 

La ville-province de Kinshasa a résonné des échanges passionnés entre Son Excellence Guy Loando MBOYO, Ministre d’Etat, Ministre de l’Aménagement et la Nouvelle Notabilité de la Province de la Tshuapa.

En effet, cet événement a rassemblé le Questeur du bureau provisoire du Sénat l’Honorable Moïse Ekumbo, le Rapporteur de l’Assemblée Nationale, l’honorable Jeacques Djoli, Le Gouverneur de la Province de la Tshuapa Armand Yambe, ainsi que de nombreux Députés Nationaux et Provinciaux et notables de la Tshuapa. Cette activité avait pour objet de célébrer la reconduction de Me Guy Loando en tant que Ministre d’État, Ministre de l’Aménagement du Territoire, mais bien plus de témoigner une gratitude sincère envers le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, pour son soutien inébranlable et sa vision inspirante.

En outre, le Ministre d’Etat, Ministre de l’Aménagement du Territoire, Guy Loando Mboyo a été reconnu pour son efficacité et son dévouement dans les services pour la République a été chaleureusement reconduit à son poste de Ministre d’État, suscitant une grande fierté au sein pour la Tshuapa, Province qu’il chérit particulièrement. Pour marquer cette étape cruciale, Guy Loando Mboyo a orchestré une rencontre axée sur le dialogue et l’échange avec les notables de la région.

Lors de son intervention, Guy Loando Mboyo a exprimé sa profonde gratitude envers les membres de la Nouvelle Notabilité pour leur soutien indéfectible. Il a réaffirmé son engagement envers le développement harmonieux de la Tshuapa, discutant des nombreux projets d’infrastructures et de modernisation prévus pour la province. Le MINETAT a également mis en avant l’importance cruciale de la collaboration entre les autorités locales et nationales pour assurer un progrès durable et inclusif.

De plus, les notables de la Tshuapa ont exprimé leur reconnaissance particulière envers le Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo. Ils ont salué sa vision stratégique et son engagement continu en faveur du développement provincial, ainsi que sa confiance renouvelée en la personne de Guy Loando Mboyo. Les notables ont témoigné leur appréciation pour les initiatives présidentielles qui ont renforcé les infrastructures et amélioré le bien-être des habitants de la Tshuapa.

Ainsi, les membres de la Nouvelle Notabilité de la Tshuapa présents ont exprimé leur satisfaction et leur confiance en l’avenir de la Tshuapa avec le leadership éclairé de Me Guy Loando Mboyo en lui remettant un diplôme de mérite et des cadeaux symboliques à la culture Mongo.

Ceci dit, Guy Loando Mboyo a saisi l’opportunité de cette rencontre pour présenter les projets ambitieux destinés à transformer la Tshuapa. Parmi ces initiatives figurent la construction de nouvelles routes, la modernisation des infrastructures de santé et d’éducation, ainsi que des programmes visant à promouvoir une agriculture durable et à améliorer l’accès à l’eau potable. Il a souligné que la réalisation de ces projets dépend étroitement du soutien continu du Président Félix Tshisekedi Tshilombo et de la coopération active des autorités locales.

Somme toute, la rencontre du samedi 15 juin 2024 à Kinshasa entre Guy Loando Mboyo, quelques autorités et les notables de la Tshuapa a été un moment de dialogue enrichissant et de reconnaissance mutuelle. Guy Loando Mboyo, reconduit avec fierté en tant que Ministre d’État, a réaffirmé son engagement envers le développement intégré de la province, en collaboration étroite avec le Gouverneur Armand Yambe et les notables de la région. Les chaleureux remerciements adressés au Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo ont souligné l’importance capitale de son leadership et de sa vision pour le progrès de la Tshuapa et de l’ensemble du pays.