Le ministre Guy Loando et l’AFD échangent sur l’optimisation des études de terrain pour la nouvelle ville de Boma 

Le Ministre d’État, Ministre de l’Aménagement du Territoire, Guy Loando Mboyo, a reçu en audience une délégation de l’Agence Française de Développement (AFD) conduite par Mme Safia Ibrahim, Directrice de l’AFD en RDC, pour échanger autour de la construction de la nouvelle ville de Boma dans la Province du Kongo Centrale.

Lors de cette réunion fructueuse, les discussions ont porté sur les moyens d’optimiser les études de terrain afin de recenser les données nécessaires à ce projet d’envergure. Le Ministre d’État a mis en avant l’importance d’adopter des approches innovantes et durables pour assurer le succès de ce projet.

Mme Safia Ibrahim a exprimé sa satisfaction quant à la collaboration avec le Ministre d’État et a salué son engagement en faveur de projets novateurs.

Soulignons que cette initiative s’inscrit dans la vision du Président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, visant à améliorer les conditions de vie des citoyens congolais. Le Patron de l’Aménagement du Territoire a réaffirmé son engagement à travailler en étroite collaboration avec les partenaires nationaux et internationaux pour concrétiser cette vision et promouvoir un développement harmonieux et équitable dans la Ville de Boma.

Ces échanges témoignent de la détermination du Ministère de l’Aménagement du Territoire à mettre en œuvre des projets innovants et durables pour le bénéfice de la population congolaise.




Guy Loando clôture le 4ème atelier de présentation et de validation des résultats de l’étude sur le potentiel agricole de la Rdc  

Ministre d’État, Ministre de l’Aménagement du Territoire, Guy Loando Mboyo, a clôturé l’atelier de présentation et de validation des résultats de l’étude sur le potentiel agricole de la République Démocratique du Congo, en vue de la mise en œuvre du Schéma National d’Aménagement du Territoire (SNAT). Ces assises ont eu lieu au Sultani Hôtel à Kinshasa du 18 au 20 juin 2024.

Près de 120 invités, représentant divers Ministères sectoriels, Établissements publics, Institutions académiques, partenaires techniques et financiers, ainsi que des membres de la Société civile et du secteur privé, ont participé à cet atelier. L’objectif principal était d’analyser, amender et valider les livrables produits par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), en collaboration avec le Centre de Recherche Environnementale de l’Université de Wageningen et le CAFI à travers le FONAREDD.

Durant les trois jours, les travaux ont porté sur la présentation des cartes nationales des potentiels agricoles, des rapports de synthèse, des bases de données géographiques, et d’une application permettant de naviguer parmi les données fournies. Ces livrables ont été revus, amendés, et validés grâce à la contribution des experts présents.

À l’issue de cet atelier, les recommandations formulées par les experts incluent : la prise en compte l’occupation des sols pour les cultures alternées; l’expansion du Programme intégré REDD+ à d’autres provinces; l’ajout des cultures spécifiques comme la pomme de terre et la patate douce pour certaines provinces de l’Est; l’inclusion des coordonnées géo-référencées dans les cartes; la prise en compte de l’évolution démographique et des migrations humaines; l’amélioration de la lisibilité des cartes et des commentaires associés; le référencement des politiques agricoles et les lois existantes pour définir les types d’exploitations; l’intégration des données locales pertinentes; et la prise en compte les zones de haute biodiversité et les priorités économiques provinciales.

L’Aménageur National a rendu hommage au Président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, dont la vision et le soutien indéfectible pour le développement durable et l’Aménagement du Territoire en RDC ont été des catalyseurs essentiels pour la réalisation de cette étude. Le Patron de l’Aménagement du Territoire a également exprimé sa gratitude envers les partenaires impliqués, notamment le CAFI, le FONAREDD, le PNUD, et le Centre de Recherche Environnementale de l’Université de Wageningen, ainsi qu’à tous les participants pour la qualité de leurs contributions.




’’La Fondation Vodacom lance sa campagne de dépistage contre la drépanocytose’’ 

La Fondation Vodacom célèbre la Journée mondiale de la lutte contre la drépanocytose, une maladie génétique du sang affectant principalement les globules rouges. Cette journée, observée chaque année le 19 juin, vise à sensibiliser le public et à mobiliser des ressources pour la recherche et le traitement de cette maladie.

Aussi, la Fondation Vodacom, dans le cadre de ses initiatives de responsabilité sociale, œuvrant dans les domaines de l’éducation, la santé et le bien-être pour tous, organise divers événements et campagnes pour éduquer les communautés sur la drépanocytose, soutenir les patients et leurs familles, et promouvoir des programmes de dépistage et de soins médicaux. Ces efforts s’inscrivent dans une démarche plus large pour améliorer la qualité de vie des personnes atteintes de cette maladie et pour encourager la solidarité et l’action collective contre la drépanocytose.

A cet effet, la Fondation Vodacom organise, en collaboration avec le Programme National de Lutte Contre la Drépanocytose, les Cliniques Universitaires et le Centre Cefa Care, des journées de sensibilisation à Kinshasa et à Lubumbashi dans le but de contribuer à la promotion de la prévention et de la prise en charge de la drépanocytose.

A Kinshasa, l’activité sera faite avec les cliniques universitaires et le Programme national de lutte contre la drépanocytose dans le but de sensibiliser les étudiants dans les universités de l’UNIKIN, Bel Campus et ISTM en organisant des séances de dépistage du 26 au 28 juin 2024.

Quant à Lubumbashi, une activité sera organisée avec le Centre de Formation et d’Appui Sanitaire (CEFA-Mokole) pour sensibiliser la population sur la Drépanocytose et fournir des produits médicaux à 500 patients.

A propos de la fondation Vodacom

La Fondation Vodacom est une association sans but lucratif (ASBL) autonome, dont la vision est de la prise en charge des œuvres sociales entrant dans le cadre de la responsabilité sociale d’entreprise de Vodacom Congo.

En effet, depuis plus de deux décennies, la Fondation Vodacom œuvre en République Démocratique du Congo au travers de multiples initiatives sur le territoire national ou elle contribue au bien-être social du peuple congolais à travers des actions sociales spécifiques dans les domaines de l’éducation, la santé et l’inclusion pour tous.

La Fondation Vodacom Congo a lancé en 2022 son projet-phare dénommé ” Les 12 élans de cœur » qui consiste en un ensemble d’activités sociales réalisées sur douze mois pour améliorer les conditions des vies grâce à la technologie !

Parmi ses nombreuses réalisations en faveur de la population, figurent notamment les programmes suivants :

– Alerte rouge : un programme ayant pour but de répondre aux besoins des déplacés vivant dans les camps des réfugiés.

– JE SUIS CAP : un projet lancé en collaboration avec VISA, visant l’autonomisation et la réinsertion sociale des femmes vivant avec un handicap.

– Les programmes de bourses d’études qui consistent à octroyer spécifiquement la Bourse EXETAT, permettant aux finalistes du secondaire d’accéder à l’enseignement supérieur en prenant en charge les frais de scolarité et la BOURSE VODAEDUC, intégrée cette année en faveur des élèves du primaire et secondaire.

– Les classes numériques, installées à travers le pays en collaborations avec les écoles locales,

– La mise en ligne des portails d’information gratuits, à savoir VODAEDUC, CONNECTU et Mum & Baby, et bien plus encore.

Pour plus d’informations, veuillez contacter : Mme Roliane Yulu, Responsable de la Fondation Vodacom

E-mail : Roliane.yulu@vodacom.Cd




’’Retro : Vodacom Congo S. A, Sponsor Diamant à la Drc Mining Week 2024’’   

Sur le thème de donner priorités aux opérations minières durables et à la transformation locale en RDC, Vodacom Congo (RDC) S.A, Sponsor diamant de la DRC Mining Week s’y est positionnée comme l’entreprise technologique apportant solution à 360 degrés aux entreprises et aux communautés pour un développement durable.

Ayant débuté par le cocktail de bienvenue en partenariat avec l’Ambassade Britannique et UN Global Compact, c’est pendant l’atelier sur le sujet de « la connectivité et l’inclusion financière au cœur du développement socio-économique des organisations et des communautés en RDC » animé par M. Nicolas Mwalukwik, Directeur Commercial et de la Distribution de Vodacom Congo (RDC) S.A qui a ressorti l’importance de la connectivité dans les communautés minières, le rôle de l’inclusion financière et la réduction des coûts à travers l’automatisation des processus en administration d’entreprise, l’utilisation de la technologie pour le travail à distance, les formations et le développement des compétences.

Au panel du petit déjeuné, c’est à Mme Patricia Katshabala, Directrice des Relations Extérieures de Vodacom Congo (RDC) S.A, de parler du climat des affaires en RDC en mettant en exergue l’importance des partenariats Public-privé et de l’importance de considérer les nouvelles technologies pour le développement des services publics et l’inclusion financière de la RDC

Au dernier jour, en salle de plénière, M. Nicolas Mwalukwik a participé au panel sponsorisé par Vodacom Congo (RDC) S. A traitant du sujet sur « technologies minières : solutions innovantes pour un impact positif sur le secteur minier en RDC (y compris le recyclage et la gestion des déchets » ou il a encore une fois présenté l’importance d’autonomiser les jeunes et de protéger la planète.

Il sied de rappeler qu’en ce qui concerne la technologie numérique et la connectivité, Vodacom Congo (RDC) S.A s’est imposée comme bien plus qu’un simple partenaire de connectivité globale. En effet, à ce jour, le secteur des télécommunications en RDC exerce une influence directe et indirecte sur l’économie du pays, représentant 2.7% du PIB national.

De plus, pour cette édition du DRC Mining Week, Vodacom Congo (RDC) S.A se positionne comme étant le partenaire de développement durable, avec son service de monnaie électronique, M-PESA, en première ligne, visant à rassembler les partenaires qui croient en sa mission fondée sur une vision « au-delà de la connectivité ».

A propos de Vodacom Congo Depuis plus de 21 ans, Vodacom Congo met sa technologie au service du développement socio-économique de la RDC, fournissant une large gamme de produits et services technologiques innovante.

Grâce à sa politique de responsabilité sociale des entreprises, Vodacom Congo permet à ses abonnés d’accéder aux solutions contribuant à l’inclusion sociale et financière des congolais.

Pendant 21 ans, Vodacom Congo a été un partenaire privilégié et constant dans le développement économique et social de la RDC. Pionnier dans la transition énergétique du secteur des télécommunications, Vodacom Congo a entrepris plusieurs initiatives pour décarboniser ses opérations et fournir des solutions propres à l’ensemble de la population qu’il dessert :

• Déploiement de près de 900 sites de connectivité rurale 100% solaire depuis 2013.

• Élimination de plus de 95% du papier dans les procédures administratives par la numérisation.

• Mise en place d’une politique interne de transition énergétique et de réduction de son empreinte carbone.

• Adoption de véhicules 100% électriques dans sa flotte ;

• Promotion du service financier M-Pesa comme outil de dématérialisation des paiements et de réduction de la pollution.




Lutte anti-fraude: DGDA/Tshopo, 100 millions de dollars américains siphonnés

La lutte anti-fraude déclenchée depuis quelques mois par la Présidence de la République à travers sa Cellule de lutte anti-fraude commence à porter ses fruits en peu de temps.

En effet, la mission de cette Cellule qui a été dernièrement dépêchée en Province de la Tshopo sous la conduite de son Coordonnateur National, monsieur Pierrot Tshindayi wa Mulumba, a permis à l’Etat congolais de découvrir un monstrueux détournement de plus de 100 millions de dollars américains dans l’unique secteur des produits pétroliers la simple période allant de janvier à février de cette année.

À la base de cette fraude bien entretenue se trouve la Direction Provinciale de la DGDA/Tshopo.

Ce réseau des fossoyeurs de notre économie nationale prospère avec la participation des étrangers. Dans le cas d’espèce, deux somaliens sont cités comme cerveaux-moteurs. Il y a aussi des Ougandais et des Kenyans.

Des importateurs congolais impliqués

Tous les actes de fraude documentés se font avec la participation active de la plupart des importateurs congolais des produits pétroliers champions de fausses déclarations couvertes par la DGDA.

Au lieu d’associer tous les autres services de l’Etat comme l’OCC, l’ANR et le DSF de la DEMIAP dans le cadre du guichet unique, la DGDA/Tshopo œuvre en solo.

La conséquence est que certains camions-citernes entrent sur le territoire national sans payer les taxes dues à l’Etat comme des quantités transportées ne sont pas déclarées ou sont minorées. Sans compter l’utilisation d’une même plaque minéralogique par trois ou quatre camions-citernes. À cela s’ajoutent des fausses déclarations et de nombreux faux bons de sortie.

Le centre d’orchestration de cette fraude institutionnalisée étant la DGDA/Tshopo, la Direction Provinciale de l’OCC/Tshopo a été amenée à protester et à instaurer le paiement hors-guichet.

Intervention salvatrice de la cellule anti-fraude

La descente sur terrain de la mission de la Cellule de lutte anti-fraude de la Présidence de la République a sauvé la Nation congolaise. En effet, elle a découvert le pot aux roses, notamment le détournement de plus de 100 millions de dollars américains.

En plus, cette intervention salvatrice de la Cellule de lutte anti-fraude a permis aussi à l’Etat d’encaisser les taxes sur plus de 300 camions citernes en deux semaines. Une véritable prouesse.

Un autre enseignement tiré de cette mission et qui n’est pas nouveau est que l’Etat congolais est saigné à blanc par ses propres filles et fils. Beaucoup de recettes prennent régulièrement la direction des poches des individus au lieu d’être canalisées au Trésor public.

Des organismes publics du genre Cellule de lutte anti-fraude sont à encourager. Il faut en créer d’autres dans plusieurs secteurs sensibles.

Jean Kabeya Mudiela Ndungu/Cp




Le collectif des cadres et membres de l’UDPS/Tshisekedi déterminé pour la réunification de l’UDPS originelle

Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/Tshisekedi, Structure d’appui autonome du Parti, s’est penché, au cours de sa réunion hebdomadaire de ce mercredi 19 Juin 2024, sur les voies et moyens devant aboutir à la réunification de toutes les tendances et les sensibilités issues de l’UDPS Originelle.

A l’issue de ses délibérations, le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/Tshisekedi a produit la Déclaration Politique dont la teneur ci-dessous :

Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/Tshisekedi salue l’investiture du Gouvernement de la Première Ministre Judith Sumwina Tuluka et, dans la foulée, félicite les Honorables Députés Nationaux de s’être acquittés de leur devoir civique en privilégiant l’intérêt national plutôt que leurs intérêts personnels. Il les exhorte, par la même occasion, à travailler avec abnégation, sans immoralité, malhonnêteté et trahison pour sortir le pays de l’abîme où il est plongé par des décennies de prédation éhontée, de vol systématique, de pillage, de détournements, de corruption, de népotisme, de clientélisme, de gangstérisme politique d’un autre âge et de terrorisme d’Etat pour que le Peuple Congolais puisse enfin sortir de la misère sans fin en vue de permettre à la République Démocratique du Congo d’assumer sa vocation de rampe du décollage économique de l’Afrique.

Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/Tshisekedi fait remarquer, non sans tristesse, que le score réalisé par le Président de la République à l’élection présidentielle de décembre 2023 est en totale inadéquation avec celui réalisé par la Tendance UDPS/Tshisekedi malgré le renfort lui apporté par la Mosaïque UDPS. Ensemble, l’UDPS/Tshisekedi et sa Mosaïque n’ont pas su approcher la majorité parlementaire par manque d’une lecture claire des enjeux politiques et par l’alignement des adeptes de «Tosa Obika ».

En conséquence, cette Direction Politique illégale et illégitime qui porte l’entière responsabilité de cet échec électoral doit, en âme et conscience, partir.

Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/Tshisekedi qui a procédé à un diagnostic très sévère et sans complaisance du fonctionnement de la Tendance UDPS/Tshisekedi, n’a pas froid aux yeux pour clamer haut et fort que cette Tendance jette de l’opprobre à toute la grande famille de l’UDPS sans exception à cause des antivaleurs jadis combattues qui y ont refait surface souillant ainsi tout le combat de Valeureux Fondateurs Historiques de l’UDPS.

Les méthodes dictatoriales en vogue au sein de la Tendance UDPS/Tshisekedi indignes des principes fondateurs de l’Internationale Socialiste et l’absence d’un débat démocratique interne remplacé par des fades matinées politiques soliloques constituent des fautes graves dont l’unique sanction est l’exclusion de ses auteurs.

Ainsi, le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/Tshisekedi, se basant sur les enseignements lui légués par le Président Etienne Tshisekedi wa Mulumba d’heureuse mémoire, invite le Secrétaire Général Augustin Kabuya Tshilumba et sa bande qui ont délibérément violé toutes les pertinentes dispositions statutaires en vigueur, à démissionner.

Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/Tshisekedi dont l’un des objectifs majeurs est la réunification de toutes les tendances et sensibilités de l’UDPS, conclut que le Secrétaire Général Augustin Kabuya Tshilumba se présente comme le plus grand obstacle à la réalisation dudit objectif pour assouvir ses intérêts et ceux de ses amis parmi lesquels se retrouvent des « opportunistes de la 25me heure »,des anciens tortionnaires de nos Combattants historiques et certains infiltrés en mission de déstabilisation.

Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/Tshisekedi exprime une crainte totalement fondée de voir disparaître à jamais l’idéal de la lutte politique trentenaire faite des sacrifices et des privations personnelles. Pour ce faire, le Collectif prie les Fondateurs Historiques signataires des Statuts qui ont conduit à l’obtention de l’agrément de l’UDPS en tant que Parti légal, de se tenir debout et ce, dans un délai d’un mois, pour convoquer les assises du Conclave de la réconciliation sans condition en vue de la réunification de l’UDPS Originelle. Car, la concrétisation de l’idéal de son combat politique aujourd’hui galvaudé et trahi sans vergogne passe obligatoirement par sa réunification.

Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/Tshisekedi qui milite, nuit et jour, pour la réunification de l’UDPS Originelle lance, en conséquence, un appel pathétique en direction des Fondateurs Historiques encore en vie, des Co-Fondateurs, des Pionniers et des Avant-Gardistes de la glorieuse époque de la lutte héroïque pour qu’ils sortent de leur torpeur et s’unissent, comme un seul homme, afin de sauver leur œuvre commune en péril.

Car, s’ils ne réussissent pas à sauver l’UDPS Originelle, personne d’autre ne le fera à leur place.

Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/Tshisekedi rappelle que son engagement en faveur de la réunification de l’UDPS Originelle dont l’agrément ministériel est toujours en vigueur, est dicté par sa farouche détermination de barrer la route à tous les imposteurs et à la direction putschiste liquidationniste de la Tendance UDPS/Tshisekedi qui veulent s’emparer et s’approprier la marque UDPS en écartant ses ayants-droit statutaires devant la passivité, l’inaction et la complaisance du Ministère de l’Intérieur complice dans la violation systématique de la loi portant organisation et fonctionnement des partis politiques dans notre pays encore en vigueur.

Le Collectif est, enfin, résolument engagé à mener ce noble combat de la réunification de l’UDPS Originelle afin de sauver notre patrimoine commun des griffes des prédateurs politiques de tous bords.

L’heure de la réunification a sonné ! Réveillons-nous, Vaillants Combattants de la liberté, de la démocratie et de l’état de droit.

Jean Kabeya Mudiela Ndungu/Cp




Lutte contre les Ist et le VIH/SIDA à Kindu: Le Groupe de travail «  Préservatif » a tenu sa première réunion de l’année

Le Groupe de travail Préservatif a tenu hier jeudi 13 juin 2024, sa première réunion pour l’année 2024 dans le cadre de la lutte contre les Infections sexuellement transmissibles et le VIH/SIDA. C’était au bureau de l’Eup Kindu dans la province du Maniema.

Plusieurs acteurs dans la riposte ont pris part à cette rencontre qui visait à renforcer la coordination multisectorielle de la réponse au VIH/SIDA plus particulièrement de définir et de récolter les besoins en préservatifs auprès des partenaires afin de fixer les besoins de la province pour chaque circuit communautaire, sanitaire et commercial.

Aussi, les participants ont eu à définir les stratégies et adopter le plan de distribution des préservatifs, et offrir aux acteurs de LCS un espace de concertation sur les activités de prévention au VIH à mener au niveau de la province du Maniema.

Cette rencontre a renforcé les capacités techniques des acteurs de LCS par le partage des informations, des stratégies et méthodes de travail en gestion des préservatifs.

Ainsi pour améliorer le fonctionnement de ce Groupe, un comité a été mis en place, dont la composition se présente de la manière ci-après : Président : PNMLS; Vice-Président : PNUD; Secrétariat : PNSR et PNLS; Membres.

Les participants ont été informés de la disponibilité d’un lot de préservatifs fournit par le bureau du Fonds des Nations unies pour la Population (UNFPA) de GOMA pour la province du Maniema.

«  Ce rassemblement témoigne de l’engagement des acteurs en faveur de la santé publique et de la promotion des pratiques sexuelles sûres et responsables afin de lutter contre les infections sexuellement transmissibles (IST) et le VIH/SIDA », a déclaré le secrétaire exécutif provincial du Programme national multisectoriel de lutte contre le VIH/SIDA (PNMLS), visiblement très ému de la forte participation de ces acteurs, à qui il a promis un accompagne permanent de sa structure.

Prince Yassa




Elimination de la transmission du VIH de la mère à l’enfant: Le Directeur Fodé Simaga de l’ONUSIDA préconise la volonté politique

Intervenant le vendredi dernier lors d’un webinaire, organisé par le Réseau des Médias africains pour la promotion de la Santé et de l’Environnement (REMAPSEN), le Directeur de la science, des services et des systèmes pour tous au siège du Programme commun des Nations unies contre le VIH/SIDA (ONUSIDA), a fait savoir qu’avec la volonté politique, la région peut arriver à l’élimination de la transmission du VIH de la mère à l’enfant, parce que le traitement est là et n’est pas couteux.

« Elimination de la transmission de la Mère à l’Enfants du VIH en Afrique de l’Ouest et du Centre et si on en parlait», telle a été la thématique de ce webinaire, qui a exposé la situation des femmes enceintes et des enfants malades dans cette région d’Afrique, où de plus en plus d’enfants sont issus de mères qui ne sont pas sous traitement antirétroviral (Arv).

« L’Afrique de l’Ouest et du Centre représentent 50% des femmes enceintes qui ne sont pas sous traitement anti rétroviral (Arv). La couverture Arv des enfants globalement dans le monde est de 52 %, en Afrique globalement il est de 37% en Afrique. Mais en Afrique de l’Ouest et du Centre est de 27 %. Ça veut dire que seulement un enfant sur quatre est traité des Arv. Tout ceci pour dire que ça ne marche pas», a indiqué le Directeur de la Science, des Services et des Systèmes pour Tous de l’ONUSIDA, Monsieur Fodé Simaga.

41% de toutes les nouvelles infections des enfants dans le monde, soit 51 % sont en Afrique de l’Ouest et du Centre

Dans un langage clair mais plus interpellateur, le Directeur Fodé Simaga, a fait savoir que 41% de toutes les nouvelles infections des enfants dans le monde, soit 51 % sont en Afrique de l’Ouest et du Centre. « Tout ça pour dire que ça ne marche pas pour pleins de raisons », a-t-il indiqué.

Plusieurs raisons expliquent cela. En effet, dit-il : « Pour traiter les femmes enceintes, il faut d’abord les trouver, les identifier et les sensibiliser. Où est ce que l’on peut trouver les femmes enceintes. Naturellement dans les centres de santé lors des consultations de planning familial, prénatal… Mais dans mon pays, il y a déjà un nombre significatif des femmes enceintes qui ne vont pas dans les centres de santé. Et dans celles qui y vont, ce n’est pas sûr qu’on leur propose le test systématiquement. Deuxièmement, il faudrait que la société civile soit le plus supportée, appuyée pour pouvoir aller, faire en quelque sorte les portes à portes pour proposer aux femmes enceintes le test sachant qu’en plus on a l’autotest. Donc, il est temps de tirer la sonnette d’alarme surtout dans notre région pour qu’on puisse avancer », a-t-il plaidé.

En plus de la société civile, les chefs religieux et coutumiers doivent entrer dans la danse afin de toucher un grand nombre de femmes.

Outre cela, le Directeur de la Science, des Services et des Systèmes pour Tous au siège de l’ONUSIDA a déploré le fait que les systèmes des données ne soient pas très performants dans la région. C’est justement pour cela qu’il a plaidé encore une fois, pour une amélioration de ces systèmes afin de pouvoir savoir combien des femmes potentielles, où elles sont géographiquement. Car, « (…) techniquement tout est là. Le traitement qui marche est là. Il n’est pas cher. Il est très souvent financé par les partenaires extérieurs (…) Mais il faut que les femmes soient identifiées et repérées », a-t-il indiqué.

Elimination de la transmission du VIH de la mère à l’enfant, c’est possible.

« Absolument à 100%. Quand on dit qu’il n’y a pas de moyen, soit la technologie n’existe pas, soit l technologie est trop chère et nos pays n’y arrivent pas. Mais là, on a le traitement extrêmement efficace. Il n’est pas cher du tout (…) il faut une volonté politique, il faut remettre la volonté politique sur la table, il faut les campagnes de sensibilisation modernes… pour sensibiliser les femmes », a rassuré Monsieur Fodé Simaga au cours de ce webinaire auquel participait aussi le Directeur Pays de l’ONUSIDA au Benin et au Togo.

Prenant à son tour la parole, Éric Verschueren, a fait savoir que la prévention des nouvelles infections chez les enfants et les femmes enceintes fait partie du troisième pilier de l’Alliance globale pour l’Elimination du VIH/SIDA chez les enfants. Une approche qui implique aussi les hommes.

« Les hommes sont souvent perçus comme les grands peureux, fréquentent moins les centres de santé. L’autotest pourrait être une solution intéressante pour augmenter la couverture du dépistage chez les hommes et réduire les risques d’infections chez les femmes enceintes », a suggéré le Directeur Pays de l’ONUSIDA au Beni et au Togo.

Rappelons que le monde avait lancé l’Alliance globale contre le VIH/SIDA chez les enfants au début de l’année passée à Dar-es-Salam en Tanzanie. Elle regroupe douze pays du continent.

Prince Yassa




Denise Nyakeru Tshisekedi visite l’hôpital Mabanga désormais opérationnel

La Première Dame de la République démocratique du Congo, Denise Nyakeru Tshisekedi, a visité le mercredi 19 juin, le Centre de Médecine mixte d’Anémie SS (l’hôpital Mabanga), situé dans le quartier Yolo dans la commune de Kalamu.

Cette visite  consolatrice et très attendue avait commencé par la pédiatrie en passant par la médecine interne pour chuter aux urgences. La Présidente de la Fondation DNT a fait cette ronde pour se rendre compte du fonctionnement effectif de ce centre, qui est aujourd’hui une grande référence après sa rénovation intervenue après près d’une année des travaux de réhabilitation et de construction. Et ce, grâce à l’implication de la Première Dame. Il offre aujourd’hui les meilleures conditions de prise en charge des malades.
« Nous disons un grand merci à Maman Denise pour cette belle œuvre qui nous permet d’avoir des soins de qualité dans un environnement très propre. Que le Seigneur se souvienne d’elle et la bénisse abondamment », a lâché une malade, qui exprimait toute sa reconnaissance à Denise Nyakeru Tshisekedi, qui a fait de la lutte contre la drépanocytose son combat.
Aujourd’hui, le Centre « Mabanga » présente un autre visage avec une capacité d’accueil qui a sensiblement augmenté. Elle est passée de 56 à 120, et doté de plusieurs nouveaux services. A savoir : L’imagerie, le scanner, la radiologie, la mammographie, l’ECG…
Soulignons que cette visite de la Première Dame au Centre de Médecine mixte d’Anémie SS s’inscrit dans le cadre de la célébration de la journée mondiale contre la drépanocytose, le 19 juin de chaque année.
Prince Yassa




A l’Unikin : Julien Paluku encourage l’appropriation des 6 composantes du Plan directeur d’industrialisation 

Paneliste à conférence-débat sur la problématique du développement économique de la RDC, terre d’espoir organisée ce jeudi dans la capitale par l’Université de Kinshasa, Julien Paluku Kahongya, Doctorant en Sciences Politiques et Administratives, Expert en management des conflits armés dans la région des Grands-Lacs, en Décentralisation et en Développement a fait savoir que le développement de la République Démocratique du Congo passe par un leadership de qualité, gestionnaire et visionnaire qui existe aujourd’hui, d’où nous sommes appelés à mettre l’accent sur la mise en œuvre des politiques publiques qui sont là également, a-t-il martelé.

Nous devons nous concentrer sur les 6 composantes du Plan Directeur d’Industrialisation notamment routière, aéroportuaire, portuaire, ferroviaire énergétique et les zones économiques spéciales pour la transformation locale des ressources naturelles qui vont contribuer à la diversification de l’économie nationale a conclu le Doctorant Julien Paluku Kahongya tout insistant sur la modernisation de l’Office Congolais de Contrôle (OCC) pour rendre compétifs les produits congolais sur le marché international.

Pour le Professeur Vital Kamerhe, orateur principal de cette conférence, il faut des projets structurants pour développer la RDC avec une bonne gouvernance et la lutte contre la corruption.

L’espoir est une arme puissante pour croire à un avenir meilleur au pays a-t-il ajouté.

Tous les panelistes ont mis l’accent sur la pacification de l’Est du pays, car la paix est l’autre synonyme du développement

Signalons qu’une centaine de Professeurs d’Universités et plusieurs étudiants ont pris part à cette conférence-débat.