A Lubumbashi : Félix Tshisekedi inaugure les trains du Service National 

Ce jeudi à Lubumbashi, chef-lieu du Haut-Katanga, le Président Félix Tshisekedi a procédé à la mise en circulation des trains du Service national (SN). Il s’agit de 30 wagons fermés et 15 ouverts, 10 citernes et 2 locomotives.

Selon le commandant du SN, le Général-major Jean-Pierre Kasongo, « ces trains sont une réponse aux nombreuses difficultés d’évacuation et d’acheminement d’intrants ainsi que d’autres outils nécessaires. Le SN a produit 16 000 tonnes de maïs pour la saison 2023-2024 ».

Poursuivant son allocution, le commandant du Service national a fait savoir que « plus de 4 000 jeunes, autrefois désœuvrés, sont sortis du centre de formation de Kanyama Kasese pour œuvrer à travers la République aussi bien dans la construction que dans l’agriculture ».

Gouverneur de la Province du Haut-Katanga, Jacques Kyabula Katwe a, quant à lui, estimé qu’ « avec ces trains, une des visions du Chef de l’État, à savoir la diversification de l’économie nationale, se matérialise ».

Le gouverneur a remercié le Président de la République pour sa première visite en province et à Lubumbashi après sa réélection en décembre 2023 et il a profité de l’occasion pour l’inviter à l’inauguration prochaine du siège de l’Assemblée provinciale du Haut-Katanga.

Enfin, le Directeur général de la Société nationale des chemins de fer du Congo (SNCC), Fabien Mutomb, a exprimé sa reconnaissance envers le Chef de l’État pour son implication dans le redressement de son entreprise. « Depuis votre arrivée au pouvoir, pas un seul arriéré de salaire à la SNCC », s’est-il réjoui.




Recevant les agents de l’ANAT et du FONAT : Guy Loando les exhorte à prioriser le travail 

Le Ministre d’État, Ministre de l’Aménagement du Territoire, Guy Loando a échangé tour à tour avec les Agents de l’Agence Nationale d’Aménagement du Territoire (ANAT) et du Fonds National d’Aménagement du Territoire (FONAT).

Lors de ces échanges, l’Autorité de tutelle de l’Aménagement du Territoire en RDC a tenu à remercier chaleureusement les agents pour leur accompagnement constant, qui a permis au Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi, de renouveler sa confiance envers sa modeste personne, sous la direction de la Première Ministre Judith Suminwa Tuluka.

L’Aménageur National a exhorté les agents de ces structures à prioriser le travail au-delà de tout et à utiliser les cadres de concertations officielles pour poser et résoudre leurs désidératas. Il a souligné qu’avec la clairvoyance du Président de la République et l’accompagnement de la Première Ministre, l’Aménagement du Territoire a été hissé au niveau du troisième de l’action gouvernementale en RDC.

Le Patron de l’Aménagement du Territoire a également insisté sur l’importance de travailler dans une vision de continuité. Les agents de ces structures ont profité de cette occasion pour présenter au Ministre d’État certaines situations en relation avec le fonctionnement de leurs structures et lui ont assuré une collaboration franche et efficace pour la réussite de sa mission.

Cette rencontre reflète l’engagement du Ministre d’État à renforcer les structures spécialisées en Aménagement du Territoire et à promouvoir une collaboration efficace pour le développement harmonieux du pays.




Notification des résultats de l’évaluation des propositions techniques 3




Notification des résultats de l’évaluation des propositions techniques 2




Notification des résultats de l’évaluation des propositions techniques 1




RDC : Echange entre les députés nationaux du Kongo Central et le ministre des hydrocarbures Molendo Sakombi

Les députés nationaux élus de la province du Kongo Central ont eu des entretiens fructueux ce jeudi 20 juin 2024 avec le ministre des hydrocarbures Molendo Sakombi dans son cabinet de travail.

Les élus du Kongo Central sont allés non seulement pour présenter leurs civilités au patron des hydrocarbures en RDC, mais aussi parler de la problématique des retombées de l’exploitation pétrolière sur la province du Kongo Central en général et du territoire de Muanda en particulier.

Prenant la parole, l’élu de Muanda, Robert Niondo est revenu sur plusieurs points notamment, la problématique de la pollution de l’Environnement, amélioration des conditions salariales et de travail pour les employés congolais et la création effective du fond des hydrocarbures pour les générations futures.

En réponse, le ministre des hydrocarbures a promis de descendre à Muanda le 4 juillet prochain, pour palper du doigt, les réalités sur terrain.

En vacances parlementaires, le caucus des députés nationaux a promis d’accompagner le ministre Sakombi lors de cette mission qui l’amènera à Muanda dans le Kongo Central.

 

 

 

Jonsard MIKANDA




Martin Fayulu, à l’instar de Delly Sessanga, le sait : impossible d’être un vrai candidat à la présidentielle au Congo sans viser une Majorité parlementaire solide !

L’exploit réalisé par Félix Tshisekedi en 2020 en retournant plusieurs députés et sénateurs FCC en sa faveur pourrait ne plus se répéter…

Après les articles intitulés successivement “Katumbi, allez-y ! Ça fait tout de même 17 ans que l’Opposition est sans porte-parole !” et ” Martin Fayulu, ni chef d’Etat, ni porte-parole de l’opposition, hier, aujourd’hui et définitivement !” publiés les 17 et 18 juin 2024, terminons la chronique par le nouveau titre “Martin Fayulu le sait : impossible d’être un vrai candidat à la présidentielle au Congo sans viser une Majorité parlementaire solide ! Obsession ? Fixation ? Loin de là !

Félix Tshisekedi peut bien se passer de l’opposition

A la base de cette série d’articles, la confusion entretenue autour de la désignation du porte-parole de l’Opposition, poste créé par le législateur aux articles 1 à 4 de la loi n°07/008 du 4 décembre #007 portant statut de l’Opposition.

Détenant la majorité des députés nationaux ayant fait le choix de se positionner opposants, Ensemble (parti politique de Moïse Katumbi) a approché dernièrement Martin Fayulu dans l’unique but de combler un vide “vieux” de 17 ans.

En effet, depuis la promulgation de cette loi, chacun des cycles électoraux de 2011, 2016 (devenu 2018) et 2023 se caractérise certes par la présence de l’Opposition parlementaire au sein de la chambre basse et de la chambre haute, mais, paradoxalement, sans son porte-parole.

Et voilà que pour la première fois que la volonté de combler ce vide se présente, le blocage n’est pas le fait du Pouvoir, mais de l’Opposition !

l’Ecidé ramène le débat à la contestation, par les opposants majeurs, des résultats électoraux tels que proclamés provisoirement par la Ceni et définitivement par la Cour constitutionnelle.

La réalité du terrain est qu’avec sa Majorité parlementaire, Félix Tshisekedi peut bien se passer de l’Opposition ( toutes tendances confondues) et gouverner avec la certitude d’atteindre ses objectifs. Dont la révision ou le changement de la Constitution, tant qu’aucune autre force majeure ne l’en empêche.

Faire le jeu de la Majorité (Pouvoir)

C’est vrai que même dans la configuration actuelle, avec une Opposition parlementaire réellement sous représentée (pas une cinquantaine de députés nationaux), l’Union sacrée de la nation peut réaliser pleinement sa volonté.

Au moins, la présence d’une Opposition parlementaire a la possibilité de susciter la peur du gendarme. Et cette Opposition a besoin d’un leader en mesure d’user des droits prévus à l’article 8 et appliquer les devoirs prévus à l’article 16. Un leader qui peut être parlementaire ou non.

En effet, la loi portant statut de l’Opposition sécurise celle-ci en ses articles 13 (libre accès et égal traitement par les médias publics dans le cadre des émissions et programmes pour faire connaître leurs opinions) ; 14 (ne faire l’objet d’aucune mesure discriminatoire en raison des opinions et convictions politiques ou d’appartenance à un parti politique ou à un regroupement politique de l’Opposition politique) et 15 (ni interpellation, poursuite ou recherche, ni détention ou jugement en raison des opinions politiques exprimées dans le respect de la Constitution, des Lois et Règlements de la République).

Boycotter la désignation du porte-parole revient à bloquer le bon fonctionnement de l’Opposition parlementaire et, partant, à faire le jeu de la Majorité (Pouvoir).

Une révolution de nature à imploser le pays

Il y a lieu de le souligner parce que c’est la vérité même : tous les acteurs politiques congolais majeurs (Martin Fayulu l’est) savent qu’on ne peut pas chercher à briguer la magistrature suprême sans disposer d’une représentation solide au sein de l’Assemblée nationale et du Sénat, le régime politique congolais étant plus proche du régime parlementaire belge, allemand ou italien que du régime semi-présidentiel français, voire du régime présidentiel mobutien.

En 2014, dans une interview à *Jeune Afrique*, un certain Félix Tshisekedi faisait l’aveu suivant : _”…notre système électoral est fait de sorte qu’aucun parti politique ne peut atteindre seul la majorité des sièges au Parlement”_.

Candidat en 2006, en 2011, en 2016 (en réalité 2018) et en 2023, *Martin Fayulu n’a jamais investi dans les législatives. On ne connaît pas une seule législature au cours de laquelle l’Ecidé a eu plus de 5 députés nationaux sur 500 mandats et sénateurs sur 108 mandats !

Même en 2018, il n’en avait pas.

C’est à se demander ce qu’il aurait fait s’il avait été proclamé vainqueur de la présidentielle. Probablement pire que ce que Félix Tshisekedi a fait en retournant en sa faveur une bonne partie des députés et sénateurs FCC. Il aurait peut-être suscité une révolution de nature à faire imploser le pays, et cela au grand dam de la CENCO.

Conscient de cette évidence, Félix Tshisekedi s’est organisé pour 2023 de façon à avoir une représentation solide au sein de la Majorité parlementaire via l’Udps et Mosaïque. Aujourd’hui, ses grands alliés (Mlc, Un et Afdc) peuvent le lâcher, mais sans le minoriser.

L’exploit de 2020, il ne pourra plus le rééditer. Personne, du reste, ne l’osera. Car l’expérience rend sage.

Le politico-médiatisme ne paie pas

Alors trêve d’illusion : Martin Fayulu doit songer à se doter d’un parti politique de la trempe de l’Udps, du Pprd, du Mlc, de l’Unc ou de l’Afdc. Un parti ayant une couverture nationale avérée, capable de placer les candidatures de ses membres à tous les niveaux, cela de la présidentielle aux locales en passant par les législatives, les provinciales, les sénatoriales, les ” gouvernorales”, les urbaines et les municipales.

S’il n’en a ni la volonté, ni la capacité, son égocentrisme, son narcissisme, son nombrilisme (au choix) est tout ce qu’il y a de suicidaire et pour lui, et de “génocidaire” pour les siens !

Le politico-médiatisme qu’il pratique ne paie pas. Il n’a qu’à se référer à ses compagnons d’infortune Joseph Olenghankoyi, Jean-Pierre Lisanga Bonganga et autres Eugène Diomi Ndongala. Tous se préoccuperaient d’Etienne Tshisekedi qu’ils ne s’occupaient de leurs propres partis.

Au moins le lider maximo savait lier le sort des députés nationaux à celui du président de la République !

Souvenons-nous de 2011. Malgré la contestation des élections par l’Udps, Martin Fayulu s’était passé de sa consigne de renoncer à son mandat de député national.

Il avait enjoint les siens à garder les leurs en s’affichant de l’Opposition.

Curieusement, la désignation du porte-parole était le cadet de ses soucis.

Quant à la réactivation de Delly Sessanga approuvant la position de Martin Fayulu, elle appelle une observation : ce n’est pas le fait d’être l’auteur d’une loi qu’on en devient le propriétaire. Lui aussi a participé au processus électoral qu’il savait biaisé. La logique l’oblige d’en payer le prix : la désignation du porte-parole de l’Opposition. C’est cela, être responsable de ses actes.

17 ans après, sans faire partie de la nouvelle Assemblée nationale, Martin Fayulu et Delly Sessanga ne veulent donc pas entendre parler de porte-parole de l’Opposition !

A chacun d’en tirer la conclusion…

17 ans après, sans faire partie de la nouvelle Assemblée nationale, il ne veut donc pas entendre parler de porte-parole de l’Opposition ! Ce qui a pour effet de bloquer Les Bureaux Usn de l’Assemblée nationale et du Sénat d’actionner l’alinéa 2 de l’article 19 selon lequel : Les Députés et les Sénateurs de l’Opposition politique se réunissent, à cet effet, sous la facilitation conjointe des Bureaux de l’Assemblée nationale et du Sénat, à la demande écrite de tout groupe parlementaire ou politique de l’Opposition politique, selon le cas_”.

En d’autres termes, sans leur réunion, les députés et sénateurs de l’Opposition parlementaire ne peuvent pas solliciter des Bureaux de la chambre basse et de la chambre haute la facilitation prévue.

A chacun d’en tirer sa conclusion…

Omer Nsongo die Lema




Des ministres et le caucus des députés du Nord-Kivu échangent avec les victimes des violences armées 

Regain des massacres des civils dans la région Beni-Lubero et l’occupation des agglomérations par le M23/RDF ainsi que le drame humanitaire, le caucus des députés nationaux du Nord-Kivu porteur des recommandations de la population meurtrie demande aux quatre fils norkivutiens qui font partie du Gouvernement notamment Jacquemin Shabani , Muhindo Nzangi Butondo ,Julien Paluku Kahongya et Daniel Ndeze Mugabo, respectivement Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Intérieur, Sécurité et Décentralisation, Ministre d’Etat au Développement Rural, Ministre du Commerce Extérieur et Vice-Ministre aux Affaires Coutumières d’être de vrais ambassadeurs du Nord-Kivu sein du Gouvernement.

L’imposition de la paix au Nord-Kivu avec la fin des massacres des civils et la récupération des agglomérations sous occupation doit être la vraie priorité des priorités de l’équipe Judith Suminwa ont insisté ces élus nationaux qui ont encouragé le patriotisme des Wazalendo et l’auto-prise en charge locale en collaboration avec les Forces Armées de la République du Congo.

C’était également l’occasion pour ces élus de présenter leur remerciements au Président Félix Tshisekedi et à la Première Ministre, Judith Suminwa pour la confiance placée en ces 4 brillants fils du Nord-Kivu.

Saluant ces échanges en famille, ces membres du Gouvernement ont rassuré les députés nationaux et la population que la pacification de l’Est est la priorité zéro du Gouvernement, car la paix est l’autre synonyme du développement.

Et de conclure que les cris de détresse de la population du Nord-Kivu vont parvenir au Commandant Suprême des FARDC et au Gouvernement.

Signalons que ces échanges ont eu lieu à l’occasion de la cérémonie de réception de ces membres du Gouvernement par les députés nationaux du Nord-Kivu.




Démission de Stéphanie Mbombo: “Une confusion au sein du gouvernement Suminwa” dixit Prince Epenge

La démission inattendue de la Ministre Déléguée près la Ministre de l’Environnement, Stéphanie Mbombo suscite des réactions au sein de la population et même de l’opposition du régime en place.

Prince Epenge, communicateur de la coalition Lamuka, pense que cette décision traduit la confusion qui règne au sein du gouvernement de madame Judith Suminwa Tuluka.

«La démission de la Ministre Déléguée à l’environnement traduit la confusion qui règne au sein de cette équipe gouvernementale. En réalité, madame (Mbombo) voulait être à la place de madame Bazaiba. Vous savez que le Ministère de l’environnement dans le contexte du réchauffement climatique et des enjeux écologiques et autres, ce Ministère est aussi important que le Ministère des Finances. Donc tous les yeux sont braqués sur ce Ministère car le Ministère de l’environnement est devenu quasi, un Ministère régalien. Et donc les tensions sont palpables », estime Prince Epenge.

Cet opposant souligne que madame Mbombo n’a pas démissionné mais elle a été obligée de démissionner.

« Madame Mbombo n’a pas démissionné, on l’a contraint à démissionner. Elle a été obligée de démissionner. Ce que nous craignons, la Première Ministre Tuluka risque fort de passer tout son temps à canaliser, gérer les égaux, à éteindre le feu à l’intérieur de son équipe dans la mesure où le contexte de la publication de ce Gouvernement que madame Tuluka a accouché par césarienne, avec mille difficultés, le contexte de son installation avec des difficultés, et le début assez titubant qui fait qu’une ministre vient de démissionner, montre à suffisance que madame Tuluka risque de passer plus de temps à recoller les morceaux, parce que chaque Ministre représente une entité qui est en opposition avec une autre entité », déclare-t-il.

Et de poursuivre, « Dans un pays où les gens démissionnent rarement, cette dame qui avait quand-même de la matière grise mais malheureusement qui est contraint de démissionner pour des raisons des combats internes ».

Prince Epenge fait savoir que la République est oubliée, les enjeux et défis à relever sont également oubliés et relégué au second, pour prioriser la gestion des tensions et des contradictions au sein du Gouvernement Suminwa. Face à cette situation, ce dernier souligne que le peuple congolais est averti car « il n’y aura rien de bon de cette équipe là et c’est un très très mauvais départ ». Et d’ajouter, « mais on s’y attendait, car les loups ne se mangent pas entre eux, mais cette-fois ci, les loups vont se manger entre eux, le gâteau étant petit ».

Rappelons que c’est dans la soirée du Mardi 18 Juin que la Ministre Stéphanie Mbombo avait annoncé sa démission pour des convenances personnelles et actée par la Primature et la Présidence.

 

JL Makoyi




Désignation du porte-parole de l’opposition: Envol de Delly Sesanga rejette cette initiative 

La classe politique en République Démocratique du Congo, précisément du côté de l’opposition reste divisée quant à la désignation du porte-parole de l’opposition. Comme Lamuka, le parti Envol de Delly Sesanga exprime également sa désapprobation ce sujet.

A en croire Maître Rodrigues Ramazani, porte-parole de Envol, qui est intervenue sur les ondes d’une radio de la place, sa structure politique ne peut pas accepter de cautionner une telle initiative, car ils n’ont pas accepté les résultats des élections de 2023, qui se sont déroulées d’une façon déplorable.

“Lors de la journée politique de réflexion organisée par le comité national le 20 Avril 2024, Envol avait rejeté les résultats des élections de 2023. Nous les avions qualifié de fraude électorale. Le parti refuse de participer aux initiatives visant à désigner un Porte-parole de l’opposition pour un pouvoir que nous considérons comme illégitime”, a-t-il fait savoir.

Cependant, Delly Sesanga et son groupe pensent que la désignation du porte-parole de l’opposition est inopportune pour le moment et dans le contexte actuel en RDC.

“De ce fait, l’esprit et la lettre de la loi n°07/008 du 4 décembre 2007 portant statut de l’opposition politique ne peuvent s’appliquer à un pouvoir issu de la fraude électorale. Une opposition démocratique, républicaine et institutionnelle, suppose un pouvoir tout aussi démocratique et républicain”, soutient le parti Envol.

Pendant ce temps, Ensemble pour la République, parti de Moïse Katumbi approuve la démarche et l’initiative. Son président Katumbi part déjà favori. De son côté, Francis Kalombo, cadre de Ensemble soutient que le pays doit avancer. Ils sont de l’opposition et doivent jouer pleinement leur rôle de défendre les intérêts de la population.

 

 

Mboshi