Tchad : Inauguration de l’avenue Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo au cœur de la capitale Ndjamena 

Accompagné du Premier ministre tchadien Allamaye Halina et de Mme le maire de Ndjamena Bartchiret Fatimé Zara Douga, le Président Félix Tshisekedi a inauguré, ce mardi, une avenue rebaptisée en son nom au cœur de la capitale tchadienne.

Longue de 1,6 kilomètres, cette artère désormais appelée « Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo » est un cadeau offert au Chef de l’État par le peuple tchadien, pour honorer son implication comme Facilitateur de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC) dans la résolution pacifique de la crise politique au Tchad.

« C’est un grand honneur d’assister de son vivant à l’inauguration d’une avenue qui porte son nom. Je remercie le Seigneur pour cette chance et souligne que cela montre la grandeur des liens fraternels qui unissent les peuples du Tchad et de la RDC », a dit le Président Tshisekedi.

C’est depuis lundi soir que le Président Félix Tshisekedi a entamé une visite d’État à Ndjamena axée sur le renforcement des liens d’amitié et de coopération entre la RDC et le Tchad. En raison de son rôle joué en tant que Facilitateur du processus de transition tchadien, il a été élevé à la Dignité de Grand Croix dans l’Ordre National du Tchad, la plus grande décoration honorifique de ce pays.




L’évidence à admettre est qu’aux yeux de la Belgique, la RDC n’est pas un État souverain

Puisque Bruxelles l’a voulu ainsi, c’est que les puissances occidentales d’abord, orientales après considèrent le Congo pour ce qu’il est : un “supermarché” où chacun vient s’approvisionner. Quoi de plus normal que les filleuls des puissances occidentales comme le Rwanda de se servir à leur tour, eux aussi ! Surtout quand tout ce beau monde voit les Congolais s’y adonner à cœur joie ! Merci, Pr.

Deux chiffres viennent nous gifler

Ainsi avons-nous réagi à l’observation d’un Professeur d’université, interpellé par la chronique “Si j’étais Félix Tshisekedi, voici ce que je ferais pour le 30 juin 2024”.

 

Dans cette chronique, la page de l’Histoire de l’accession du Congo Belge à la souveraineté le 30 juin 1960 nous rappelle deux faits importants, le premier pour l’indépendance politique, le second pour l’indépendance méconomique.

Au plan politique, il y a la Déclaration d’Indépendance. Rédigé sur un simple papier duplicateur, ce document ne porte aucun nom de chaque signataire. Il y a juste la signature et la fonction exercée.

L’autre le qualifierait de chiffon que ça ne serait pas une injure.

Au plan économique, on découvre comment le débat avait été délaissé par les pères dits de l’indépendance, tous nageant autour de la trentaine. Entendez l’âge d’ Anthony Tshisekedi et de Serge Bahati. Si bien que l’économie congolaise est non seulement restée extravertie, mais en plus livrée à ce qui s’apparente bien à un pillage organisé par les signataires de l’Acte général de Berlin sur le Bassin du Congo, chacun pouvant venir se servir.

64 ans après, deux chiffres viennent nous gifler comme nous réveiller : pour le FMI – qui nous félicite dans le sens du poil – la RDC fait partie des 10 pays ou États les plus pauvres du monde. C’est si évident que ce pays est juste capable de débourser 150 FC l’an pour assister ses déplacés de guerre !

Or, au moment où l’on proclamait l’Indépendance, le Congo Belge avait un niveau de vie presque égal à celui du Canada (en Amérique) et de la Corée du Sud (en Asie). Il se dit même que les Sud-africains de race blanche venaient se faire soigner à l’actuel hôpital Jason Sendwe, à Lubumbashi (Elisabethville).

N’ayons alors ni gêne, ni peur de la sentence : en 64 ans d’indépendance, il y a eu descente continue aux enfers, malgré quelques “remontada” vivant, hélas !, le temps d’une rose…

 

*_AU PAYS DES ÉGOS_*

 

Que font les gens intelligents et sages lorsqu’ils constatent une situation pareille ?

Que ce soit dans nos familles ou dans les communautés que nous fréquentons (travail, église, club, parti etc ), ils battent le rappel des troupes. Ils se réunissent, ils débattent, ils conviennent des dispositions à prendre et veuillent sur leur application.

Malheureusement, *au pays des égos*, on raisonne plus en termes d’honneurs et d’espèces sonnantes et trébuchantes caractérisant la corruptibilité qu’en termes de solidarité.

Cette corruptibilité est si ténue que la simple évocation d’un dialogue hérisse les poils !

Avant même d’en confirmer la tenue, on le vide de son sens. Et même quand on parvient à l’organiser, il est déjà piégé pour le faire échouer. Comme une Transition en cache une autre, un Dialogue en cache un autre.

Au final, en 64 ans d’indépendance, la RDC aligne une bonne quinzaine de dialogues avec pour résultat les deux chiffres symboles (classement FMI-Global et les 150 FC l’an de prise des déplacés de guerre.

Deux exemples sont édifiants. Le premier est d’actualité : le bataille des chiffonniers suscitée par l’initiative de désignation du *porte-parole de l’Opposition*.

Depuis 17 ans, la classe politique refuse d’en appliquer la loi pendant qu’elle se réjouit de l’alternance démocratique C’est-à-dire la Majorité d’aujourd’hui qui peut devenir l’Opposition de demain.

Second exemple pouvant choquer d’aucuns : l’état d’abandon du jardin du théâtre de Verdure du Mont Ngaliema. Il y a moins de deux ans, énormément d’argent a été investi dans l’embellissement du site, côté Inbpt. Argent perdu puisque les herbes folles recouvrent le terrain. Leur terrain. Leçon à tirer : la pelouse est comme la démocratie*. Soignée, elle suscite l’admiration des hommes. Abandonnée, elle devient l’ herbe folle* admirée des bestioles généralement nuisibles.

On continue en réfléchissant ? On s’arrête pour réfléchir ?

Pour revenir à la réaction du Pr d’université, la vérité est que tout le monde (étranger et congolais) qui en a la possibilité pille ce pays parce que les Congolais ont pour sport national la bataille des chiffonniers. Bataille qui les éloigne de la démocratie détruite par des éléments nuisibles.

Lorsque les enfants du Congo se livrent eux aussi à la sale besogne, la seule question qu’on se pose est de savoir s’il n’y a pas quelque part des ” initiés” qui savent que ce pays n’existe que de nom, c’est-à-dire condamné à disparaitre !

Depuis 1965, tous les compatriotes venus avec le discours du Changement semblent “coaliser” avec les Paul Kagame et les Apple pris comme symbolique, les uns accusés de piller les mines, les autres d’en racheter le produit après lequel nous courons tous tout en nous entre-tuant dans tous les sens du terme.

D’ailleurs, les Congolais (se) pillent si mal qu’en 64 ans d’indépendance, ils ne se préoccupent même pas de la défense des fondamentaux d’un État, à savoir la superficie et la démographie.

Déjà incapables de certifier les frontières nationales, ils viennent de commettre le pire des forfaits : trafiquer des fonds destinés au recensement général de la population, opération scientifique qu’ils ont d’ailleurs mal conçue en obligeant les citoyens de se rendre auprès des recenseurs alors que c’est l’inverse qui se fait !

Quand on a conscience de toutes ces évidences, on fait quoi ? On continue en réfléchissant ? On s’arrête pour réfléchir ?

Le bon sens commande de s’arrêter pour réfléchir.

Ce temps d’arrêt, on peut lui donnez-lui le terme qui convient !

Mais la compétence de le faire est réservée exclusivement à l’Institution ayant dans ses attributions la charge de garantir la notion sacrée de continuité de l’ État.

Elle prend le passif et l’actif de tous ses animateurs, du 30 juin 1960 au 30 juin 2024.

Si l’animateur en place n’est pas Félix Tshisekedi, que les frondeurs en citent un autre..

Omer Nsongo die Lema




PADMPME, un succès à tous points de vue  

Des parties prenantes du PADMPME se sont retrouvées à Kinshasa pour valider le rapport d’achèvement de la mise en œuvre de ce projet. Ici, il était question de faire le suivi de la gouvernance économique et financière de ce projet d’autant plus que cette reddition des comptes est un exercice obligatoire qui se fait à la fin du projet. Même si le PADMPME est un succès à tous points de vue, les participants se sont certes félicités de son aboutissement heureux. Cependant, quels sont les résultats qui ont été atteints et comment en est-on arrivé ? Comme pour dire qu’il était important de savoir quels sont les ingrédients utilisés même si ça n’a pas été un océan tranquille. De même quels sont les facteurs qui ont entravé la bonne exécution du projet ? Autant de question qui vont certainement permettre aux politiques d’avoir des éléments pour des interventions dans le secteur du développement.

M. Louis Kabamba Watum, ministre de l’Industrie, Développement des Petites et moyennes entreprises, Petites et moyennes industries, a présidé ce mardi 25 juin à Kinshasa, les travaux de validation du rapport d’achèvement du Projet d’Appui au Développement des Micro, Petites et Moyennes Entreprises. Ces travaux ont réuni les parties prenantes du PADMPME pour examiner le rapport élaboré par le Consultant Issa Dramé de nationalité ivoirienne sur la mise en œuvre de ce Projet.

La Banque mondiale, partenaire technique et financier du gouvernement, a pris une part active à ces travaux par la présence de l’équipe dédiée à l’assistance technique.

Le ministre Louis Watum a appelé les participants à ressortir les forces et faiblesses ainsi que les leçons apprises de la mise en œuvre du PADMPME afin d’en faire profiter le Gouvernement de la RDC et ses partenaires pour une mise en œuvre efficaces des futurs projets et programmes visant la promotion de l’entrepreneuriat en RDC.

« Les étoiles sont alignées pour que nous réussissions à créer des richesses dans notre pays. Il n’y a pas de miracle. C’est à notre portée », a-t-il déclaré en substance.

Magueye Dia, spécialiste en développement du secteur privé, et task-team leader du PADMPME à la Banque mondiale, a appelé à ovationner toutes les parties qui ont concouru à la réussite du Projet. Il a rappelé que grâce aux résultats engrangés, le gouvernement et la Banque mondiale ont conclu le Projet TRANSFORME qui étend la couverture de ses appuis bien au-delà du périmètre couvert par le PADMPME.

Selon M. Alexis Mangala, Coordonnateur national de l’Unité de coordination, le Projet d’appui au développement des micro, petites et moyennes entreprises a été conclu en 2018 pour une durée de 5 ans dans le but d’accroitre les possibilités d’entrepreneuriat et de création d’emplois en particulier pour les jeunes et les femmes dans les villes de Kinshasa, Matadi, Goma et Lubumbashi. Au 28 décembre 2023, il a appuyé avec des subventions et un accompagnement technique 430 PME établies, 960 jeunes entrepreneurs et plus de 7000 femmes micro-entrepreneures. 1600 jeunes ont également reçu une formation d’initiation en entrepreneuriat.

Ces appuis ont généré la création d’entreprises de nouvelle génération avec à la clé la création d’emplois bien au-delà des objectifs indiqués dans le cadre de résultats.

Le Projet est également intervenu dans l’amélioration du climat des affaires avec un résultat important qui a consisté à doter le secteur de l’entrepreneuriat d’un cadre légal et réglementaire moderne.

Le Quotidien




AN-Sénat : Vital Kamerhe et Pascal Kinduelo échangent sur les activités parlementaires de deux chambres

C’était une occasion pour le Président de la Chambre haute de féliciter le travail abattu par le Bureau de la Chambre basse au cours de la session de mars qui vient de se clôturer et de souhaiter à travers lui des bonnes vacances aux collègues députés Nationaux.

Il a aussi tenu à informer son collègue du bon avancement du processus qui va mettre en place le bureau définitif au niveau du Sénat. Notez que ce tête-à-tête est un exercice ordinaire et régulier étant donné que la République Démocratique du Congo a un parlement bicaméral.




Guerre d’agression à l’Est du pays: Justin Lukongo appelle les Congolais à la résistance

Réagissant face à cette situation difficile de guerre injuste imposée au pays par certains pays et sociétés multinationales causant de milliers de morts, un nombre incalculable des déplacés et plusieurs autres dégâts, l’archiviste congolais, Justin Lukongo Selemani Nyembo, blessé dans son amour propre, appelle les Congolais à la résistance, représentée dans la 4ème «  Croix de la République démocratique du Congo » par la couleur violette symbolisant, en plus de la résistance, la noblesse, la créativité et la sagesse. «  Nous devrons dire plus jamais ça, et penser à prendre à revanche afin d’abord, de défendre l’intégralité du pays face à tous les neuf pays voisins qui l’entourent, ensuite toute la sous la région et le continent tout entier. D’où, il faut une armée puissante à la véritable taille du grand Congo.

Ci-dessous : «  La Croix de la République démocratique du Congo ».

 




Ce mardi à Bukavu : Mme Judith Sumwina préside la cérémonie de fermeture d’une base de la MONUSCO

Après avoir tenu une réunion autour de l’accélération du plan de désengagement de la MONUSCO avec les responsables de la Mission onusienne en RDC, la Première Ministre Judith Suminwa ouvre la voie aux actions concrètes. La cheffe du Gouvernement est attendue ce mardi 25 juin à Bukavu, chef-lieu de la province du Sud-Kivu, où elle va présider la cérémonie de fermeture d’une base de la MONUSCO.

Le retrait de la force de la MONUSCO du Sud-Kivu est approuvé par le Conseil de sécurité de l’ONU dans sa résolution 2717, prise à la demande du Gouvernement de la RDC.

Par ailleurs, dans l’agenda de la Première Ministre, il est prévu qu’elle tienne un meeting populaire à la place de l’indépendance à Bukavu, histoire de communier avec la population de cette grande ville.

La Cheffe du Gouvernement va aussi présider le Conseil provincial de sécurité au bureau du gouverneur de province du Sud-Kivu.

En outre, la Première Ministre va échanger avec les députés provinciaux, la société civile ainsi que les opérateurs économiques regroupés au sein de la Fédération des Entreprises du Congo (FEC).




Sur Très Hautes Instructions Royales : Déploiement d’une opération humanitaire d’aide médicale destinée à la population de Gaza

Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, Président du Comité Al Qods, a donné Ses Très Hautes Instructions pour déployer une opération humanitaire d’aide médicale, destinée à la population palestinienne de Gaza.

Cette aide ordonnée par Sa Majesté le Roi, que Dieu L’assiste, est composée de 40 tonnes de produits médicaux contenant, notamment, des dispositifs pour la prise en charge des brûlures, et des urgences chirurgicales et traumatologiques, ainsi que des médicaments de première nécessité. Ces produits médicaux concernent aussi bien les adultes que les enfants en bas âge.

Sa Majesté le Roi, que Dieu Le glorifie, a bien voulu prendre en charge une grande partie de l’aide, sur les deniers personnels du Souverain.

L’aide marocaine sera acheminée à travers le même itinéraire terrestre inédit emprunté lors de l’opération d’aide alimentaire déployée sur instructions du Souverain au mois de Ramadan dernier.

Ces opérations humanitaires de grande envergure au profit des populations palestiniennes viennent confirmer l’engagement effectif et la sollicitude constante de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, Président du Comité Al Qods, en faveur de la Cause Palestinienne.




Sénat : Le Bureau d’âge convoque une nouvelle séance plénière ce mercredi 26 juin

Dans un communiqué publié ce lundi, le secrétaire rapporteur du Bureau provisoire du Sénat, Ivan Kazadi Kankonde, annonce une séance plénière ce mercredi 26 juin.

Il indique que cette plénière se penchera sur deux points, à savoir : « _la communication du Bureau, relative aux correspondances sur les cas d’incompatibilité avec la qualité de sénateur et la présentation du rapport de la commission spéciale chargée de l’élaboration du Règlement intérieur_ ».

Il sied de signaler que la Commission spéciale chargée de l’élaboration du Règlement intérieur du Sénat a présenté le rapport de son travail au Bureau provisoire ce lundi.




Ndjamena : Tshisekedi reçoit la plus grande décoration honorifique au Tchad

Arrivé ce lundi soir à Ndjamena pour une visite d’État, le Président Félix Tshisekedi a été élevé à la Dignité de Grand Croix dans l’Ordre National du Tchad. Cette cérémonie officielle s’est déroulée lors du dîner d’État offert en son honneur par son homologue Mahamat Idriss Deby Itno au Palais présidentiel.

Cette décoration est le plus haut rang dans l’échelle des distinctions honorifiques des Ordres nationaux du Tchad. Le Président Deby a remercié le Président Tshisekedi

« dont l’action de facilitateur a prouvé qu’on peut trouver des solutions africaines aux problèmes africains « .

« J’en appelle à la jeunesse tchadienne car elle est le dépositaire de cette paix qu’elle doit préserver pour le bien-être de tous », a dit le Président Tshisekedi. Un tête-à-tête entre les deux Chefs d’État aura lieu ce mardi, avant la signature de plusieurs accords de coopération.

À son arrivée dans la capitale tchadienne, le Président Tshisekedi a été accueilli au pied de l’avion par le Premier ministre Allamaye Halina et une forte délégation du gouvernement tchadien. De nombreux Congolais de la diaspora ont également fait le déplacement deàéroportort.

Cette visite s’inscrit dans le cadre du renforcement des liens d’amitié et de coopération entre la République Démocratique du Congo (RDC) et le Tchad. C’est aussi l’occasion pour le Président Deby de remercier le Président Tshisekedi pour son implication en tant que Facilitateur du processus de transition au Tchad ayant abouti à l’organisation du scrutin présidentiel apaisé le 6 mai dernier.

C’est en octobre 2022 que le Chef de l’État Félix Tshisekedi a été désigné, par ses pairs de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC), facilitateur du processus de transition au Tchad. Organisation sous-régionale, la CEEAC s’est donnée, outre ses missions traditionnelles de coopération et d’intégration régionale, celle de promouvoir la paix et la stabilité en Afrique centrale, ainsi qu’appuyer les processus électoraux dans les États membres.




Situation sécuritaire à la Tshopo: le caucus des députés nationaux propose à Jacquemain Shabani l’organisation d’une conférence sur la paix dans leur province 

Le Vice-Premier Ministre de l’Intérieur, Sécurité, Décentralisation et des Affaires Coutumières, Jacquemain Shabani, a reçu le caucus des députés nationaux de la Tshopo accompagné de leur gouverneur Paulin Lendongolia ce lundi 24 juin.

La question de l’insécurité, qui a éteint des proportions inquiétantes dans cette province était au cœur de leurs échanges.

Par la même occasion, les députés nationaux de la Tshopo ont fait part à Jacquemain Shabani, l’idée d’organiser dans les jours qui viennent, une conférence sur la paix qui sera animée par les autorités provinciales afin de mieux statuer sur le conflit qui existe entre «les Mbole et les Lengola», affrontements qui sont à la base de la terreur au sein de la population de la Tshopo.

Déterminé à résoudre ce problème à tout prix, Jacquemain Shabani, vice-premier ministre de l’intérieur, sécurité, décentralisation et affaires coutumiers, les a rassuré de son implication personnelle pour le rétablissement de la paix durable dans cette partie du pays.

Après cette rencontre, les députés nationaux ont lancé un message d’espoir à la population de ce coin du pays, celui d’avoir incessamment une suite favorable face à cette insécurité dans leur région.

 

 

HM