L’Association des fournisseurs des services Internet reçue par Kibassa Maliba  

Mardi 18 juin 2024, le Ministre des Postes, Télécommunications et Numérique, Augustin Kibassa Maliba a reçu en audience dans son cabinet de travail, l’Association des fournisseurs des services Internet en République Démocratique du Congo (ISPA). Contents de sa reconduction dans le Gouvernement Suminwa, ces opérateurs télécoms étaient venus présenter leurs civilités au Patron du secteur et lui soumettre leur désir de contribuer au développement de ce secteur par leur connaissance et expérience.

“C’est l’industrie Télécom dans sa diversité qui est venue rencontrer le Ministre à l’occasion de sa reconduction en tant que Ministre des Postes, télécommunications et du numérique. Nous sommes venus le féliciter et à l’occasion, nous avons fait le tour d’horizon de la situation dans l’industrie pour permettre de bien avancer dans le futur”, a laissé entendre Laurent Ntumba Kayemba, Président du comité de gestion de l’ISPA.

Au cours de cette réunion à laquelle ont aussi pris part les experts du ministère des PTN, les hôtes de Kibassa Maliba ont exposé leurs désidératas au Patron du secteur, qui à son tour s’est aussi engagé à les accompagner afin de faciliter un climat de travail apaisé.

“Dans nos entretiens, il a été retenu plusieurs actions à mener notamment les états généraux du secteur qui vont se tenir incessamment et plusieurs autres points ont été abordés notamment les questions de tracasseries que l’industrie subit et l’amélioration de la situation entre l’industrie et le ministère. Il y a une bonne entente là-dessus et nous allons continuer à travailler ensemble pour que l’industrie se développe”, a renchéri le chef de la délégation.

Et de poursuivre, “nous avons eu l’impression d’être en face d’un Ministre qui maîtrise toute la problématique que nous lui avons posée. Il est de notre devoir de l’approcher. Le Ministre était ravi de nous rencontrer tous en même temps. Il a promis de nous accompagner et trouver des solutions aux difficultés auxquelles nous sommes confrontés”.

L’ISPA a proposé d’accompagner le ministère des Postes, Télécommunications et numérique notamment dans la formation des inspecteurs et les discussions auront lieu sur certains textes de loi pour permettre un climat apaisé dans l’industrie, conclut Laurent Ntumba Kayemba.




Devant le Ministre Kibassa Maliba : l’APCSC et la SOCOF signent un protocole d’accord pour la mise en place des fourreaux et de fibre optique sur les tracés des routes 

Le Ministre des Postes, Télécommunications et Numérique, Augustin Kibassa Maliba a présidé ce mercredi 26 juin 2024 à Kinshasa, la cérémonie de la signature du protocole d’accord entre l’Agence de Pilotage de Coordination et de Suivi des conventions de collaboration (APCSC) et la Société Congolaise de Fibre Optique (SOCOF SA) pour la mise en place des fourreaux et de fibre optique sur les tracés des routes dans le cadre du contrat sino-congolais.

Cet accord qui marque une étape importante dans le développement des infrastructures numériques en République Démocratique du Congo, vise à améliorer la connectivité et à soutenir la croissance économique à travers le pays.

“Le Chef de l’État ne cesse de le répéter que le développement intégral de notre pays dépend énormément du développement du numérique (…) Ce protocole d’accord est d’une grande importance pour le pays et pour le secteur des PT-N. Nous sommes heureux de savoir que la présidence de la République est prête à nous accompagner pour s’assurer que ce protocole va produire des effets et que nous allons palper de la fibre optique qui va développer le secteur des télécoms et du numérique dans notre pays et faire sortir notre pays de la traîne”, a déclaré Augustin Kibassa.

Pour lui, la position géographique de la RDC fait de lui un pays important pour le développement de l’Afrique.

“Nous sommes au centre de l’Afrique, avec 9 pays voisins et avec une superficie à dimension continentale. Nous possédons un hub qui est tout à fait naturel. Nous devons jouer véritablement ce rôle dans la pratique. La RDC qui a pris date aujourd’hui doit être le pays par lequel le développement de l’Afrique doit passer. Je compte sur vous pour que ce projet soit concrétisé pour permettre la matérialisation de la vision du Président de la République”, exhorte-t-il.

Une année renouvelable

La durée de cet accord est d’une année renouvelable et grâce à ce projet, le pays sera doté des infrastructures numériques capables de rattraper le retard accumulé dans le secteur des NTIC.

“(…) Le Chef de l’État a décidé de faire du numérique un levier de développement, d’intégration, de bonne gouvernance et de croissance économique. Mais, il a aussi constaté bien qu’ayant été les pionniers dans le secteur de télécom, nous sommes restés à la traîne par manque d’investissement systématique de l’État. On ne peut faire le numérique sans les infrastructures. Au niveau du cabinet du Chef de l’État, nous avons mené des réflexions pour accomplir l’instruction qui nous a été donnée par le Chef de l’État d’être innovant pour rattraper le retard accumulé”, explique à son tour, Freddy-David Lukaso, Conseiller spécial du Chef de l’État aux Postes, Télécommunications et NTIC.

Et de renchérir, “avec l’accompagnement et l’autorisation du Chef de l’État, nous avons pu convaincre les différentes entités appelées à déployer les infrastructures de transport à pouvoir associer à ces infrastructures l’autoroute de l’information. La charge a été donnée à la SOCOF d’être l’unité de gestion de projet dans les infrastructures des données qui seront déployées par l’APCSC. Et donc, toutes les infrastructures qui seront déployées dans le pays seront dotées en même temps de la fibre”.

De son côté, la SOCOF se dit honorée d’être l’unité de gestion de ce projet et promet de faire ce qui est à son pouvoir pour que cela soit un succès.

“Nous sommes très heureux d’être l’unité qui va permettre à la RDC d’avoir un véritable réseau de fibre optique et par conséquent d’être au socle même de développement numérique que prône le Chef de l’État depuis son accession à la magistrature suprême. Il y a quelques jours, nous étions ici pour peaufiner cet accord. Et très vite avec l’accompagnement du Cabinet du Chef de l’État, du ministère des PT-N, nous nous sommes accordés sur certains points de divergences et voilà qu’aujourd’hui nous nous sommes accordés. Ça démontre de la volonté au plus haut niveau de ce pays de vouloir que la fibre optique devienne une réalité en RDC. Et c’est pour une grande première que la RDC va elle-même investir dans la fibre optique”, conclut Guylain Pewe, Directeur Général de cette entreprise.

La mise en œuvre de ce protocole d’accord, présente plusieurs avantages. Elle permettra de relier la RDC du Sud au Nord et de l’Est à l’Ouest, la RDC étant le seul pays au monde à pouvoir relier grâce à sa position géographique, l’océan Indien à l’océan Atlantique. Ainsi, elle permettra aussi de relier l’Amérique latine à l’Australie par la RDC.




Judith Suminwa à la population de Goma : «Nous sommes là, vous n’êtes pas abandonnés”

La Cheffe du Gouvernement est arrivée ce mercredi 26 juin 2024 dans la Province du Nord-Kivu par l’aéroport international de Goma.

Dès sa descente d’avion, la Première Ministre a fait un lâcher de colombes en signe de paix que le Président de la République lui a confié la mission de restaurer au Nord-Kivu. Dans ses premiers mots, Judith Suminwa Tuluka a annoncé l’objet de son séjour de travail dans cette province en état de siège.

«Je me devais de commencer par ici car les problèmes, on les connait mais il est toujours important de venir, de rencontrer la population, les autorités locales, les chefs coutumiers et pouvoir échanger avec eux parce que là on a pris fonction et donc il est important de pouvoir quand même échanger pour ajuster nos interventions dans le cadre du programme du gouvernement. C’est pour moi une manière de démontrer à cette population résiliente et en particulier les femmes que nous sommes là et que ce ne sont pas des populations abandonnées », a déclaré la Première Ministre à la presse.

La Première Ministre va visiter jeudi le camp des déplacés et l’hôpital où sont internés les blessés de guerre. Le cimetière du Genocost sera également visité par Judith Suminwa. Elle va se recueillir dans ce mémorial du souvenir des victimes des agressions rwandaises.

La ville de Goma a réservé un accueil chaleureux à la Cheffe du Gouvernement. L’aéroport a été pris d’assaut par plusieurs milliers d’habitants de la ville, les militants des partis politiques et membres de la société civile. Les habitants de Goma attendent beaucoup du Gouvernement Suminwa. Du retour de la paix à l’amélioration des conditions salariales des militaires et policiers en passant par la construction des infrastructures, ceux qui sont venus accueillir la Cheffe de l’Exécutif national ont exprimé leurs besoins.

Après l’aéroport, le cortège de la Première Ministre a pris la direction du gouvernorat de province où elle va tenir plusieurs séances de travail.




Le Maroc et l’Allemagne pour le renforcement de la coopération en matière de sécurité

Sur invitation de la République fédérale d’Allemagne, le chef de la sécurité marocaine, Abdellatif Hammouchi a rencontré ses homologues autour des défis sécuritaires, notamment en perspective des événements, entre autres, sportifs.

La coopération bilatérale en matière de sécurité a été au cœur des discussions entre le Maroc représenté par le Directeur Général de la Sûreté Nationale (DGSN) et de la Surveillance du Territoire (DGST), Abdellatif Hammouchi, avec les hauts responsables sécuritaires allemands, lors de sa visite de travail en République Fédérale d’Allemagne du 24 au 26 juin.

Répondant à une invitation officielle de la partie allemande, M. Hammouchi a tenu des sessions de travail avec Dieter Romann, président de la Bundespolizei, et Holger Münch, président de l’Office fédéral de la police criminelle (BKA), ainsi qu’avec d’autres responsables spécialisés dans la lutte contre le terrorisme et la sécurité des événements sportifs. Les entretiens ont principalement porté sur le renforcement de la coopération bilatérale dans les domaines de la lutte contre le terrorisme, la criminalité transfrontalière organisée, et la sécurisation des grands événements sportifs. Et notamment sur les moyens à mettre en œuvre.

Selon un communiqué du pôle DGSN-DGST, les deux parties ont examiné le bilan de la coopération entre le Maroc et l’Allemagne dans le domaine policier, et se sont penchées sur les défis sécuritaires qui se posent au niveau régional et international.

Durant cette visite, M. Hammouchi et sa délégation ont visité le Centre conjoint allemand de lutte antiterroriste à Berlin. Ils ont pu découvrir les mécanismes de coordination entre les différents services de sécurité allemands et explorer les perspectives de coopération avec les autorités marocaines dans la lutte contre les menaces terroristes transfrontalières.

Le programme de cette visite comprenait également l’étude des possibilités de collaboration dans le domaine de la sécurité sportive, ainsi que les mécanismes d’échange d’expertise et d’assistance technique pour la sécurisation des grandes manifestations.

M. Hammouchi a pris connaissance des dispositifs et des normes de sécurité mises en place par la police berlinoise pour encadrer la Coupe de l’UEFA actuellement en cours en Allemagne. Une visite aux installations du stade olympique de Berlin, qui accueille des matchs de l’Euro 2024, et au centre de gestion des opérations de police a permis de se familiariser avec les protocoles de sécurité et de sûreté adoptés pour cet événement.

Cette visite a pour objectif de s’inspirer de l’expérience allemande dans l’organisation et la sécurisation de grands événements, en vue des préparatifs avancés au Maroc pour accueillir des manifestations sportives et sécuritaires internationales, telles que la 93e session de l’Assemblée générale d’Interpol en 2025, la Coupe d’Afrique des Nations, et la Coupe du monde 2030, organisée conjointement avec l’Espagne et le Portugal.

La visite de M. Hammouchi en Allemagne illustre l’importance de la coopération sécuritaire entre les deux nations, et reflète l’engagement constant de la DGSN et de la DGST à contribuer aux efforts internationaux pour neutraliser les menaces pesant sur la sécurité régionale et mondiale, conclut le communiqué.

MN/fs/ac/APA




M. Hammouchi s’entretient avec des responsables allemands de la sécurité sur les moyens de renforcer la coopération bilatérale

Le Directeur général de la Sûreté nationale et de la surveillance du territoire, M. Abdellatif Hammouchi, a réalisé une visite de travail en République fédérale d’Allemagne du 24 au 26 juin. Durant cette visite, il a discuté avec les responsables de la police fédérale et de l’Office fédéral de la police criminelle des moyens de renforcer la coopération bilatérale dans divers domaines sécuritaires, notamment la lutte contre le terrorisme, la criminalité transnationale organisée et la sécurisation des grandes manifestations sportives.

Au cours de cette visite, effectuée à l’invitation officielle de la partie allemande, M. Hammouchi a tenu des réunions de travail avec Dieter Romann, hef de la police fédérale allemande (BUNDESPOLIZEI), Holger Münch, chef de l’Office fédéral de la police criminelle (BKA), ainsi qu’avec plusieurs responsables allemands de la sécurité spécialisés dans la lutte contre le terrorisme et la sécurité des manifestations sportives. Ces rencontres avaient pour objectif d’échanger des points de vue sur diverses questions sécuritaires d’intérêt commun, d’évaluer les résultats de la coopération bilatérale dans le domaine de la police et d’examiner les derniers défis en matière de coopération policière entre les deux pays, indique un communiqué de la DGSN et de la DGST.

Le Directeur général de la Sûreté nationale et de la surveillance du territoire, accompagné de sa délégation, a également effectué une visite spéciale au siège du Centre commun de lutte contre le terrorisme (GTAZ) à Berlin. Ils ont été informés des mécanismes de travail du Centre pour la coordination entre les différentes agences de sécurité allemandes, ainsi que des moyens possibles de coopération avec les services de sécurité marocains dans la lutte contre la menace terroriste transnationale.

Le programme de cette visite incluait également l’examen des formes possibles de coopération entre le Maroc et l’Allemagne dans le domaine de la sécurité sportive, ainsi que les mécanismes d’échange d’expertise et d’assistance technique entre les deux parties pour la sécurisation des grands événements, précise le communiqué. M. Hammouchi a été informé de certains dispositifs et normes de sécurité appliqués par la police de Berlin pour sécuriser l’UEFA Europa League, actuellement accueillie par la République fédérale d’Allemagne.

De plus, dans le cadre du renforcement de la coopération dans ce domaine, une délégation sécuritaire marocaine de haut niveau, conduite par le Directeur général de la Sûreté nationale et de la surveillance du territoire, ainsi que le Chef de l’Office fédéral de la police criminelle, a effectué une visite de terrain aux installations et équipements du stade olympique de Berlin, qui accueille certaines rencontres sportives européennes. La délégation a également visité le centre de gestion des opérations de police, qui supervise les protocoles de sécurité et de sûreté lors de ces événements footballistiques.

L’expérience allemande en matière d’organisation et de sécurisation de grands événements s’inscrit dans le cadre des préparatifs avancés des services de sécurité marocains en vue d’accueillir des événements sportifs et sécuritaires internationaux et continentaux, tels que la 93e session de l’Assemblée générale de l’Organisation internationale de police criminelle (Interpol) à Marrakech l’année prochaine, la Coupe d’Afrique des Nations 2025 ainsi que la Coupe du Monde 2030, coorganisée avec l’Espagne et le Portugal.

Cette visite officielle témoigne de l’importance de la coopération sécuritaire bilatérale entre le Royaume du Maroc et la République fédérale d’Allemagne, compte tenu des nombreux domaines sécuritaires d’intérêt commun. Elle traduit également la ferme implication de la DGSN et de la DGST dans les efforts internationaux visant à neutraliser les risques et menaces pesant sur la sécurité régionale et internationale des deux pays, conclut le communiqué.

Maroc diplomatique




Lutte antiterroriste, crime organisé, grands événements sportifs: importante visite de travail de Hammouchi à Berlin

Le directeur général du pôle DGSN-DGST a effectué, du 24 au 26 de ce mois de juin, une importante visite de travail à la République fédérale d’Allemagne où il s’est entretenu avec de hauts responsables de la Police fédérale allemande et de l’Office fédéral de la police criminelle. Au programme, l’étude des voies et moyens de renforcer la coopération sécuritaire entre Rabat et Berlin, notamment en matière de lutte contre le terrorisme et le crime organisé ainsi que dans l’organisation de grands événements sportifs, à l’aune de l’organisation par l’Allemagne de l’Euro 2024 et par le Maroc de la CAN 2025 et du Mondial 2030.

Un communiqué du pôle DGSN-DGST précise que cette visite intervient sur invitation officielle de la partie allemande. L’occasion pour Abdellatif Hammouchi de tenir des réunions de travail avec Dieter Romann, patron de la Police fédérale allemande ((Bundespolizei, BPol) et Holger Münch, président de l’Office fédéral allemand de la police criminelle (BKA) ainsi que nombre de hauts responsables sécuritaires allemands en charge de la lutte antiterroriste et de la sécurité liée au secteur du sport.

Ces réunions ont porté, selon le communiqué, sur un bilan de la coopération sécuritaire entre le Maroc et l’Allemagne, la discussion des questions sécuritaires d’intérêt commun ainsi que les défis présents et à venir en la matière.

À cet occasion, le patron du pôle DGSN-DGST a effectué une visite au siège du Centre conjoint de lutte contre le terrorisme (GTAZ) à Berlin où il s’est enquis des mécanismes et méthodes de travail dudit centre en matière de coordination entre les différents appareils de sécurité allemands, et prospecté les moyens de coopération entre cette institution et les services nationaux de sécurité quant aux risques terroristes transfrontaliers.

La sécurité des grands événements sportifs a également occupé une bonne part des échanges entre Hammouchi et les responsables allemands. Au cœur des discussions, les mécanismes de coopération et de partage d’expertises entre Rabat et Berlin en la matière. Le patron du pôle DGSN-DGSN s’est à cette occasion enquis des mesures sécuritaires appliquées par la Police de Berlin pour sécuriser les rencontres sportives organisées actuellement dans le cadre de l’Euro 2024 en Allemagne.

Présidée par Hammouchi et accompagnée du président de l’Office fédéral de la police criminelle allemande, une forte délégation de hauts responsables marocains de la DGSN et de la DGST a, à ce titre, effectué une visite de terrain au Stade olympique de Berlin qui abrite certains matchs de l’Euro, où elle a pris connaissance des équipements et dispositifs de sécurité mis en place et visité le Centre de gestion des opérations policières qui veille sur les protocoles de sécurité pendant cette manifestation.

Ces différentes visites s’inscrivent dans le cadre des préparatifs avancés des services de sécurité marocains en vue des prochaines manifestations sécuritaires et sportives continentales et internationales que le Royaume s’apprête à accueillir, souligne le communique. Des événements qui seront entamés l’année prochaine par l’organisation par le Maroc de 93ème édition des travaux de l’Assemblée générale de l’Organisation mondiale de la police criminelle (Interpol), suivie de la Coupe d’Afrique des nations de football 2025 et la Coupe du monde de 2023, organisée conjointement par le Maroc, l’Espagne et le Portugal.

Par Youssef

Bellarbi




Faux : la loi sur le statut de l’Opposition ne donne pas mandat au Président de la République de désigner par ordonnance le porte-parole !

Faute de temps matériel, l’Assemblée nationale (dotée depuis le 22 mai 2024 de son Bureau définitif, soit 23 jours avant la clôture de la session ordinaire) et le Sénat (en attente de l’installation du sien) ne sont pas en mesure d’être juridiquement en mesure d’actionner l’alinéa 2 de l’article 19 de la loi n°07/008 du 04 décembre 2007 portant statut de l’Opposition politique. Cet alinéa : « Les Députés et les Sénateurs de l’Opposition politique se réunissent, à cet effet, sous la facilitation conjointe des Bureaux de l’Assemblée nationale et du Sénat, à la demande écrite de tout groupe parlementaire ou politique de l’Opposition politique, selon le cas». Première conséquence : la désignation du porte-parole doit attendre la rentrée parlementaire de septembre…

Trois raisons

D’ici au 15 septembre prochain, beaucoup d’eau doit couler sous le pont pour plusieurs raisons.

Première raison : une loi se fait pour être appliquée. Si on en veut pas, on ne la garde pas en l’état. On la fait soit amender, soit proroger. Or, depuis 17 ans, l’Opposition n’y trouve rien à redire.

Deuxième raison : dans sa configuration depuis 2006 pour l’Assemblée nationale et 2007 pour le Sénat, le Parlement RDCongolais évolue avec une Majorité et une Opposition issues toutes les deux des législatives. Aucun des quatre cycles électoraux organisés jusque-là n’a joui de l’unanimité. Il y a toujours contestation. Les vainqueurs sont contestés par les vaincus dont certains se reconnaissent de l’Opposition parlementaire. Cas du Mlc en 2006 et 2007, de l’Unc et de l’Ecidé en 2011, du Nouvel Élan en 2018.

Curieusement, l’Opposition parlementaire n’a jamais pu ni su s’appliquer la loi qui la régit, se privant délibérément des avantages lui reconnus aux articles 8 (droits) ainsi qu’aux articles 13, 14 et 15.

Troisième raison : dans la configuration actuelle, l’Opposition parlementaire est majoritairement katumbiste. Elle est du parti politique Ensemble. Son aile extra-parlementaire a la singularité d’être animée dans sa majorité par des acteurs politiques ayant participé à la présidentielle de 2023 : Martin Fayulu, Delly Sessanga et Adolphe Muzito. Ils ont eu des résultats connus de l’opinion. A trois réunis, ils n’ont même pas 5 députés nationaux. Il est probable qu’ils n’aient aucun sénateur.

Dès lors que le corps électoral pour l’élection ou la désignation du porte-parole est exclusivement constitué d’élus de l’Opposition parlementaire, il est quasiment impossible pour Fayulu, Sessanga ou Muzito de prendre la fonction sans l’apport des Katumbistes.

Deuxième conséquence : ces trois acteurs n’ont aucun intérêt à faire appliquer la loi sur le statut de l’Opposition. D’où le juridisme qu’ils développent ou font développer.

Parmi les preuves, il y a cet argument fallacieux de lier le statut du porte-parole à la promulgation d’une ordonnance présidentielle. Nulle part dans ce texte n’est prévu un mécanisme d’implication du Président de la République dans l’investiture, par ordonnance du Chef de l’Etat de surcroît, du porte-parole de l’opposition au motif pour ce dernier d’avoir rang de ministre d’État prévu à l’article 21.

L’article 20 est précis. Son libellé est le suivant : « Le Président de l’Assemblée nationale notifie le procès-verbal de la désignation du Porte-parole de I ‘Opposition politique aux Institutions de la République. Le Règlement intérieur de l’Opposition politique et le procès-verbal de désignation du Porte-parole de l’Opposition politique sont publiés au Journal officiel de la République». C’est tout.

Rien d’anormal, ni d’amoral, surtout pas d’illégal

Parmi les acteurs politiques interdits de toute objection : Delly Sessanga. Initiateur de la loi, il n’en est pas cependant le propriétaire pour prétendre avoir le monopole d’en connaître la lettre et l’esprit.

Lors de la présidentielle de 2023, il s’est désisté en faveur de Moïse Katumbi. En acceptant de jouer le jeu, tous les acteurs politiques ayant concurrencé le candidat Félix Tshisekedi sont de l’Opposition. Sauf ceux qui, dans la suite des évènements, ont rejoint la Majorité. Cas de Constant Mutamba.

Que Moïse Katumbi ait contesté les résultats de la présidentielle, c’est tout ce qu’il y a de normal. Qu’il ait laissé ou encouragé ses députés nationaux de siéger à l’Assemblée nationale, c’est tout ce qu’il y a également de normal. Que les députés d’Ensemble aient choisi, lors de la plénière consacrée à la Déclaration d’Appartenance, d’évoluer comme groupe parlementaire de l’Opposition, c’est davantage ce qu’il y a de normal.

Troisième conséquence : revendiquer l’application de la loi qui gère l’Opposition, surtout quand on connaît les avantages qui en découlent, n’a rien d’anormal, ni d’amoral, surtout pas d’illégal.

A partir de cet instant, la question est de savoir à qui profite la politique de la chaise vide qu’il préconise aux côtés de Martin Fayulu et d’Adolphe Muzito.

Il y a lieu de persister et signer : Allez-y Katumbi

La vérité à rétablir est que Moïse Katumbi et le groupe parlementaire de l’Opposition « Ensemble » ne doivent prendre peur, ni se sentir gênés à cause des menaces proférées par l’Opposition qui s’est voulu extra-parlementaire en s’abstenant d’investir dans les législatives, les provinciales et les sénatoriales. Or, ils savent que l’Assemblée nationale et le Sénat constituent la base électorale pour le porte-parole de l’Opposition.

Moralité : Moïse Katumbi n’a pas à céder aux pressions d’une Opposition qui n’a aucune expérience de gouvernance institutionnelle, à l’exception d’Adolphe Muzito.

Gouverneur du Katanga, Katumbi a des députés et aura des sénateurs conscients du fait que lorsqu’on a géré le pays, on a une perception différente du jeu et des enjeux du Pouvoir par rapport à ceux qui n’ont jamais été de l’Exécutif national ou provincial.

Il y a lieu alors de persister et signer : « Allez-y Katumbi ! Ça fait tout de même 17 ans que l’Opposition est sans porte-parole ».

Pour rappel, en 2020, Félix Tshisekedi s’était engagé à accélérer la désignation de cet animateur sans en faire son obligé. Ce n’est prévu ni dans la Constitution, ni dans la loi portant statut de l’Opposition.

Omer Nsongo die Lema




Justice en RDC : le tribunal militaire rejette la liberté provisoire des présumés auteurs du coup d’État manqué

Le tribunal militaire de Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo, a rejeté, la demande de liberté provisoire des prévenus poursuivis dans l’affaire de la « tentative de coup d’État ».

Cette décision a été motivée par la crainte que les prévenus se soustrayent aux poursuites et par le manque des preuves concernant la torture et la maladie.

La juridiction a justifié son jugement avant de prononcer le verdict au procès des présumés assaillants impliqués dans la tentative de coup d’État. Ces assaillants sont détenus à la prison militaire de Ndolo, à Kinshasa. Le tribunal a également souligné sa compétence à juger des civils qui détenaient illégalement des armes létales. Ils sont poursuivis notamment pour terrorisme, attentat et tentative d’assassinat, des infractions relevant de la justice militaire, conformément au code judiciaire militaire.

Quelques soient les exceptions soulevées par la défense, le tribunal militaire a décidé de poursuivre la procédure en rappelant une jurisprudence similaire, à savoir l’ancienne affaire du pasteur Kutinho Fernando, qui avait été arrêté avec des armes létales et jugé par une juridiction militaire, bien qu’étant civil.

Parmi les procès-verbaux, seul le PV de l’OPJ de l’Agence nationale des renseignements, qui avait auditionné l’expert militaire belge Jean-Jacques Wondo, a été rejeté. Cependant, le tribunal envisage de s’y référer à titre de renseignement.

Des avocats de Wondo ont exprimé leur mécontentement : « En ce qui concerne M. Jean-Jacques Wondo, le tribunal a effectivement constaté l’absence de mention substantielle dans les procès-verbaux de l’ANR. Lorsqu’un PV est déclassé par le juge, il ne peut plus être utilisé. Ce procès-verbal, dont l’auteur reste inconnu, n’est pas un document valable. Cependant, c’est une grande victoire pour nous que notre PV soit le seul à avoir été rejeté parmi tous les PV ».

Il est à noter que le tribunal commencera l’instruction du fond de ce dossier dès le lundi prochain, après cette étape formelle.

 

 

JL Makoyi




RPDC: «Oeil pour oeil, dent pour dent! Voici notre unique et seul mot aux USA!»

Plus de 70 ans se sont écoulés depuis le cessez-le-feu (signature de l’Accord d’Armistice) de la Guerre (25/06/1950 – 27/07/1953) de Corée (ou Joson ou Pays du «matin calme ou frais avec le soleil brillant», désignée sous le nom des «fleuves et montagnes brodés dans la soie» ou de la «Nation orientale du décorum», et fière de sa Civilisation de 5.000 ans dont plusieurs étaient voués à l’invasion par les Pays étrangers comme les USA, le Japon et le ROK, etc., tous convoiteux de la qualité et la quantité respectives des ressources humaines et naturelles, de la spécificité géopolitique et du paysage éblouissant de la Péninsule coréenne, NDLR). Il est désormais difficile de trouver, dans ce Pays, les traces des massacres frémissants et des destructions commises par les impérialistes US pendant la Guerre.

L’Institut d’Etudes sur les USA (ou United States of America ou Etats-Unis d’Amérique; occupants du sud de la Péninsule coréenne dès 1945 jusqu’ici avec leurs 1.000 engins nucléaires et 30.000 GI’s coiffés des Casques Bleues censées être ôtées depuis 1975 grâce à la Résolution № 3390B 18/11/1975 de l’Assemblée Générale de l’ONU mais toujours en vain, après leur fiasco dans la 1ère invasion de la Corée en 1866 bientôt recouvré par leur réussite dans la domination 1905-1945 de procuration de toute la Corée par le Japon à travers la collusion USA-Japon 29/07/1905, cela selon l’esprit de leur Destinée Manifeste de 1845, NDLR) du Ministère des Affaires Etrangères de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945:

  • Puissance nucléaire consacrée à garantir ses droits à l’existence et au développement du Pays et à juguler une guerre pour sauvegarder la paix et la stabilité de la Région et du monde entier
  • Superpuissance politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Bienfaiteurs dont les Généralissimes KIM IL SUNG 1912-1994 et KIM JONG IL 1942-2011, et le Maréchal KIM JONG UN, NDLR)

a publié, ce 25 juin (Journée de Lutte anti-US), son Livre Blanc:

  • divulguant les faits historiques sur les atrocités commises par les USA contre la RPDC, qui étaient tout à fait odieuses en termes d’ampleur, de persistance et de cruauté
  • clarifiant la position du Peuple de la RPDC et sa volonté inébranlable d’infliger des représailles aux agresseurs US, ennemis jurés,

en résumé reflétant l’Esprit du Mont Paektu-san (mont ancestral de la Nation et sacré de la Révolution coréenne d’où l’objet du pèlerinage de toute la Nation, le plus haut de la Péninsule coréenne avec 2.750m et classé 1er parmi les 6 monts célèbres de la Péninsule pour son paysage magnifique; le nom provient de ce qu’il est enneigé pendant toutes les 4 saisons, d’où le mont-blanc dont l’environnement naturel est formé à la suite des 31 éruptions volcaniques 939-1925, NDLR) comme suivant:

  1. Les USA ont commis les crimes odieux en infligeant, à notre RPDC, d’énormes pertes humaines sans précédent dans l’histoire de l’Humanité

Les dommages les plus graves résident dans le fait que les USA ont brutalement ou sauvagement tué de nombreux civils pacifiques. D’après les seules données officielles, le nombre total de victimes des massacres US en RPDC s’élève à 5.060.770 dont:

  • 1.247.870 morts
  • 911.790 enlevés
  • 391.740 disparus.

Selon les dommages calculés sur base de la pratique internationale, en cas de la prise en compte de la période pendant laquelle les victimes ont pu travailler s’ils ont survécu, ainsi que des revenus et intérêts de la période pendant laquelle elles n’ont pas été indemnisées, les dommages causés s’élèvent à plus de 26.168,823 milliards de $US au total:

  • 533,396 milliards de $US pour le cas des personnes tuées, enlevées et portées disparues
  • 635,427 milliards de $US pour les blessés et handicapés.

Les USA ne peuvent jamais se soustraire à leur devoir d’assumer leur responsabilité d’État criminel de guerre, devant le Gouvernement et le Peuple de notre RPDC, pour leurs crimes odieux qui ne peuvent être pardonnés au regard du droit international et de l’éthique humaine.

  1. Les USA ont infligé, à notre RPDC, les dommages matériels et économiques désastreux qui ne peuvent jamais être comparés aux retombées de la Guerre Mondiale

Les USA ont:

  • largué, à plus de 1.400 reprises, quelques 428.000 bombes rien que sur Pyongyang (capitale de la RPDC et source de la Civilisation Taedong-gang de 5.000 ans avec son 1er Etat Co-Joson ou Corée antique, NDLR), en alléguant; «Nous allons supprimer toutes les 78 villes de la Corée du Nord sur notre carte mondiale pour qu’il n’y ait rien à balayer.»
  • bombardé et canonné sans discrimination, et ainsi, d’innombrables bombes et obus (600.000t de bombes soit 18 bombes/km2 à travers 1 million de sorties ou attaques aériennes, NDLR) dont quelques ayant raté le coup se sont enfoncés dans toute l’étendue du Pays pour être trouvés même actuellement, sans parler du génocide, de l’utilisation des armes bactériologiques (surtout en janvier – mars 1952 seuls, à 804 reprises dans les 169 régions malgré la protestation de l’Association Internationale des Juristes Démocrates, NDLR) et chimiques et des bombes (32.357t) à napalm ainsi que des menaces ou chantage avec leur bombe A.

Les dégâts matériels causés à la RPDC par les USA pendant la Guerre sont estimés à plus de 16.661,622 milliards de $US. Même après la Guerre, les USA ont systématiquement infiltré les terroristes et les saboteurs sur le Territoire (123.214km2) de la RPDC pour détruire les installations pacifiques, causant ainsi les dégâts matériels s’élevant à 21.266 millions de $US.

Selon la seule estimation rudimentaire, les dommages économiques que le Peuple de notre RPDC a subis pendant environ 70 ans (1945-2017) en raison des sanctions et du blocus des USA, s’élèvent à plus de 29.354 milliards de $US et ce montant augmente considérablement de jour en jour. Ces crimes aussi odieux, qui ont causé les dommages matériels et économiques incommensurables à notre RPDC, équivalent à une nouvelle destruction massive et à un autre massacre visant à empiéter et à éradiquer la souveraineté et les droits à l’existence et au développement de notre RPDC.

  1. Les USA sont en train de cumuler ou entasser leurs crimes en laissant les blessures indélébiles au Peuple de notre RPDC par leurs menaces et chantage nucléaires scandaleux et en nuisant gravement à l’environnement sécuritaire de la RPDC

Les USA ont déclaré (30/11/1950 pour la 1ère fois) qu’ils utiliseraient leurs bombes A pendant la Guerre de Corée, 5 ans après les avoir larguées au Japon (le plus obsédé ou ambitieux de l’expansion d’outre-mer avec sa 1ère invasion 1592-1598 de la Péninsule coréenne – sa plus voisine géographique – et stigmatisé Etat ennemi par la Charte de l’ONU du fait de ses crimes immoraux les plus graves contre l’Humanité commis pendant sa domination 1905-1945 de la Corée occupée sous la collusion USA-Japon 29/07/1905, tels que le kidnapping et la réquisition forcée de 8,4 millions de jeunes et adultes coréens comme pare-balles et pour les travaux forcés, le massacre atroce de 01 million des Coréens et le système d’esclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200 milles Coréennes, etc., NDLR) pour tuer des centaines de milliers d’innocents (le nombre des victimes coréennes prend sa place juste après celui des victimes japonaises).

Apres avoir créé un certain Dossier nucléaire dans la Péninsule coréenne, les USA:

  • ont systématiquement intensifié leurs menaces et chantage nucléaires contre notre RPDC afin de mettre l’environnement sécuritaire de la Péninsule sous tension, surtout avec l’escale (22/06/2024) du groupe d’attaque USS Theodore ROOSEVELT CVN-71 (porte-avions polyvalent à propulsion nucléaire, faisant partie de la classe Nimitz: navire de tête de la sous-classe Theodore ROOSEVELT, faisant partie des 11 porte-avions géants de l’US Navy, NDLR) à la Base navale, à Busan de la ROK (ou Republic of Korea ou République de Corée – créée, unilatéralement, un mois avant la RPDC dans le cadre de la division perpétuelle avec son côté Nord – qui tire son origine, avec siège à l’étranger, en 1919 sous la domination 1905-1945 du Japon, sans aucun pouvoir ni autorité restaurés en seule apparence par les USA ayant divisé la Péninsule coréenne en 1945 pour mieux régner, NDLR)
  • ont progressivement acquis les capacités de mener une guerre nucléaire visant la RPDC, cela dans le cadre des exercices militaires conjoints anti-RPDC sous diverses formes et missions, organisés au cours des 7 dernières décennies, de Ulchi Focus Lens (ou objectif de mise au point) en 1954 (année suivante de la pause de ladite Guerre, NDLR) à Ulchi Freedom Shield (ou bouclier de liberté) d’aujourd’hui
  • organise, cette année-ci, les exercices frénétiques de frappe préventive sur les installations nucléaires et les principales bases militaires de notre RPDC, dans le cadre de leur nouveau Plan Opérationnel 2022 révélant ouvertement leur projet de guerre nucléaire contre la RPDC à la face du monde

Rien ne peut compenser les dommages mentaux subis par le Peuple de notre RPDC en raison des menaces nucléaires toujours croissantes des USA.

En effet, le Peuple de la RPDC est en train de:

  • calculer strictement tous les actes criminels commis par les USA contre la RPDC depuis les décennies, dont les dommages s’estiment a plus de 78.203,704 milliards de $US
  • attendre, avec impatience, le moment de comptes où les USA devront payer cher pour tous leurs crimes.

Oeil pour oeil, dent pour dent ou sang pour sang! C’est ça, pour notre RPDC,:

  • la norme intransigeante en matière d’indemnisation des dommages
  • la volonté inébranlable d’infliger des représailles aux USA irréconciliables.




Clôture examen d’état 2024: la police interdit toutes les scènes des jouissances sur la place publique 

Les finalistes du secondaire invités à ne pas se livrer à des scènes des jouissances qui pourront troubler l’ordre public sur l’ensemble de la ville province de Kinshasa. Dans son communiqué publié ce mercredi 26 juin 2024, le commissaire provincial de la police ville de Kinshasa, le commissaire divisionnaire adjoint Mbula Kilimbalimba Blaise, informe les finalistes qu’il est strictement interdit de manifester ce jeudi 27 juin 2024, jour de clôture de l’examen d’Etat.

 

Le commissaire divisionnaire adjoint Mbula Kilimbalimba Blaise suggère aux finalistes Kinois et Kinoises de garder l’attitude de prière car les résultats ne sont pas encore disponibles.

 

Les agents de l’ordre sont instruits de mettre hors d’état de nuire quiconque s’adonnerait à ces actes et auteurs de dérapages.

 

Osk