Message de voeux á son Excellence Monsieur Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo á l’occasion du 64ème anniversaire de l’indépendance de la République Démocratique du Congo




Justice : François Rubota et Mike Kasenga acheminés à la prison de Makala 

L’ex-ministre du Développement rural François Rubota et l’entrepreneur Mike Kasenga, ont été transférés ce jeudi 27 juin à la prison centrale de Makala.

Accusés de surfacturation dans la livraison des forages et lampadaires, François Rubota et Mike Kasenga ont été longuement interrogés dans l’Office du procureur général près la Cour de cassation avant d’être placés sous mandat d’arrêt provisoire.

Certaines sources judiciaires renseignent que Nicolas Kazadi qui était aussi auditionné, est rentré chez lui en homme libre.

 

Loup solitaire




Les agents de l’Administration félicitent le ministre Guy Loando pour son leadership et sa vision

Le Ministre d’État, Ministre de l’Aménagement du Territoire, Guy Loando, a tenu une réunion avec les agents de l’administration du Ministère de l’Aménagement du Territoire. Lors de cette rencontre, le Ministre a exprimé sa gratitude envers les agents pour leur soutien indéfectible, qui a contribué à renforcer la confiance du Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi, par le biais de la Première Ministre Judith Suminwa en ses capacités à diriger ce secteur crucial qui constitue le troisième pilier du Programme du Gouvernement.

Le Patron de l’Aménagement du Territoire a souligné l’importance du travail acharné et de la coopération entre le Ministère et l’administration pour atteindre les objectifs ambitieux fixés pour le développement du territoire national. Il a exhorté les agents à prioriser leur engagement professionnel et à utiliser les cadres de concertation officiels pour exprimer et résoudre leurs préoccupations.

Au cours de la réunion, le Ministre a mis en lumière plusieurs projets importants déjà réalisés dans le secteur de l’aménagement du territoire. Il a mentionné les progrès significatifs dans la création et le fonctionnement de diverses structures spécialisées telles que l’Agence Nationale d’Aménagement du Territoire (ANAT), l’Office National d’Aménagement du Territoire (ONAT), le Fonds National d’Aménagement du Territoire (FONAT), et la Cellule d’Appui Technique de l’Aménagement du Territoire (CAT). Ces institutions jouent un rôle clé dans la mise en œuvre des politiques et des stratégies de développement territorial du gouvernement.

Le Ministre Guy Loando Mboyo a également insisté sur la nécessité de maintenir une vision de continuité et de durabilité dans les actions du Ministère. Il a encouragé les agents à rester motivés et à travailler avec dévouement pour accomplir les objectifs fixés. Les échanges ont permis aux agents de présenter leurs désidératas par le bis d’un mémo, et le Ministre a assuré qu’ils seraient pris en compte dans les futures délibérations.

Les agents de l’administration, satisfaits de cette démarche inclusive et participative, ont félicité le Ministre pour son leadership et sa vision. Ils ont également réitéré leur engagement à soutenir les initiatives du Ministère, assurant ainsi une collaboration harmonieuse et productive.

Cette rencontre témoigne de l’engagement du Ministre d’État à promouvoir un environnement de travail inclusif et transparent, tout en renforçant les capacités des structures de l’aménagement du territoire pour le développement harmonieux et durable de la République Démocratique du Congo.




La langue, une identité culturelle: Vernissage du livre « Le congolais » de Senseï Mauro Mayele

Un rêve devenu réalité pour Senseï Mauro Mayele, auteur du livre intitulé «  Le congolais notre langue et identité culture ». En effet, le livre a été présenté à la presse, samedi 22 juin courant en la salle polyvalente de la maison communale de Matete.

Dans son ouvrage, l’auteur réveille la conscience des Congolais, en vue de promouvoir les langues nationales de la République Démocratique du Congo. Cela, au détriment de la langue étrangère notamment le français qui est courant dans le pays.

L’auteur estime que le Congolais est encore dans l’esclavagisme, donc il ne pas indépendant. Ceci au regard du fait que s’exprimer en français au Congo, est synonyme d’intellectualisme. Alors qu’en France on parle français, en Espagne l’espagnol, en Italie on parle italien. Cela étant, le livre « Le congolais » vise à ce qu’en République Démocratique du Congo, nous ayons une seule langue qui permettra de lutter contre le tribalisme. Et partant, de conserver une identité culturelle de Congolais. Actuellement, quand les Congolais se croisent à l’extérieur du pays, ils ont toujours tendance à vouloir connaitre la tribu de l’autre. Par contre un français par exemple, lorsqu’il se présente, il dit tout simplement : ‘’Je suis Français’’.

La langue, facteur de développement d’un pays

C’est, en effet, conscient de cette réalité que Maitre Mauro Mayele sensibilise ses compatriotes, pour la création d’une langue unique qui sera véhicule dans tout le coin de la République Démocratique du Congo sans que quiconque ne se sente étranger dans son propre pays. A travers l’ouvrage, l’auteur veut avoir un Congo qui a une nation, un peuple, et une langue.

Senseï démontre qu’il est possible de créer une langue à partir des quatre langues nationales locales. On peut emprunter des mots permettant de faire une seule langue qui soit appelée «Le congolais».

Aujourd’hui la RDC est fière d’être le premier pays francophone au monde. L’auteur pour sa part, objecte en ces termes : ‘’c’est une honte pour nous, puisqu’on gagne rien ; on ne fait que perdre notre identité culturelle. En France, on n’enseigne pas aux enfants à parler le lingala.

Quelques réactions de Kinois à propos de ce sujet :

-Alain Mukeba est enseignant de l’école primaire. Il estime que «  le démarche de l’auteur sera positive, parce qu’il y a un programme établi du gouvernement que les cours, en RDC, se donne en langue nationale selon les provinces. Par exemple dans la ville de Kinshasa, les enseignements devraient se donner en lingala, au Kongo Central en Kikongo, ainsi de suite. Malheureusement, ce programme n’est pas vraiment pris en compte. Dans mon école, le lingala se donne aux élèves des premières et deuxièmes années primaires et à une faible intensité alors que le lingala devrait prendre la place du français. Je suis enseignant mais chez moi à la maison, je parle à mes enfants le lingala et le tshiluba. En somme, la démarche de l’auteur prendra du temps. Peut-être des décennies mais qu’il continue de mener son combat dans les médias, des communautés, pour trouver gain de cause. Au Congo nous n’avons pas assez d’ouvrage en lingala. Ce déficit est en soi une difficulté. L’Etat doit lui-même promouvoir la langue de son pays. Lors de la session ordinaire de l’examen d’Etat, l’on ne voit même pas les d’items de lingala. Nous rencontrons des élèves qui sont intelligents mais faute de maitrise de la langue, il leur arrive d’échouer. Quelquefois, nous sommes contraints d’expliquer certaines matières en lingala, pour une bonne compréhension.

Mr Victor (habitant de la commune de la N’Sele) : « La langue française est tellement entrée dans le sang des Congolais que je ne sais pas comment l’auteur compte y remédier de nos jours. Il est difficile pour un Kinois de s’exprimer en lingala sans employer de mots français. Quelqu’un qui ne sait même pas compter les chiffres en lingala, comment peut-il bien parler cette langue ? Je félicite l’auteur ; toutefois, j’ai peur que son souhait ne voie le jour », a-t-il noté.

Glody Mbombo : « J’encourage l’idée de l’auteur qui conscientise le Congolais à garder sa culture. Il y a cependant beaucoup de choses qui entrent en jeu. Déjà dans notre pays, nous avons plusieurs langues selon les tribus. Il y a ceux-là qui ne parlent que le Kikongo, d’autre le tshiluba ou encore le tetela. Même si on crée une langue issue des langues du Congo, qui va nous apprendre cette nouvelle langue ? Si par exemple on mélange le lingala et le tshiluba, ne va comprendre que celui qui parle ces deux langues ».

A cet effet, la notable de la commune de Matete, maman « Linda soleil » salué l’initiative de l’auteur de cette ouvrage, car nous avons tant ignoré nos valeur culturel, à travers ce livre nous allons prendre conscience de l’importance de la langue et c’est une richesse que nous allons léguer à nos enfants.

 

Passion Presse

 

 

 




Renforcement de la collaboration entre l’IGF et le ministère des Affaires Foncières en Rdc

L’Inspecteur Général des Finances (IGF), Jules Alingete, et le Ministre d’État, Ministre des Affaires Foncières, Acacia Bandubola, ont récemment renforcé leur collaboration pour la mobilisation des recettes dans le secteur foncier en République démocratique du Congo.

Lors d’une réunion au cabinet du Ministre des Affaires Foncières, les deux personnalités ont évalué l’accompagnement fourni par l’IGF au ministère au cours des trois dernières années. Jules Alingete a souligné l’importance de comprendre les orientations de la Ministre pour améliorer les résultats de cette collaboration.

Dans les prochains jours, les intervenants impliqués dans la lutte contre le blanchiment des capitaux se réuniront autour du Ministre des Affaires Foncières. Parmi eux figurent l’IGF, la Cellule des Renseignements Financiers (CENAREF) et les Conservateurs des Titres Immobiliers (CTI). Cette réunion vise à intensifier les opérations et à renforcer la transparence dans le secteur foncier.

La Ministre Acacia Bandubola s’inscrit dans la logique souhaitée par le Chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi, qui encourage la collaboration entre les ministres et l’Inspection générale des Finances. Cette démarche vise à garantir une gestion efficace et transparente des ressources foncières.

Didier Mbongomingi




Prof Nicot Omeonga parle de son ouvrage ‘’L’entrepreneuriat, catalyseur de la prospérité financière’’

Professeur des universités et spécialiste des questions économico-financières et finalement juriste de formation, Nicot Omeonga est ce professeur avec une tête bien faite. Il est auteur de plusieurs ouvrages qui ont enrichi le monde scientifique. Il nous parle ici du dernier ouvrage lancé sur le marché : ‘’L’entrepreneuriat, catalyseur de la prospérité financière’’.

Prof Nicot Omeonga parlez- nous un peu de l’entrepreneuriat ?

Professeur Nicot Omeonga : ‘’L’entrepreneuriat, c’est l’action d’entreprendre. Je vous ai toujours dit que l’entrepreneuriat, c’est la richesse en puissance. Pourquoi catalyseur en prospérité financière ? Puisque quand on entreprend, on crée la richesse pour soi-même, mais aussi on donne de l’emploi à ceux qui n’en ont pas. Aucun salarié au monde n’est devenu riche qu’avec son salaire sans entreprendre. Donc, les moyens les plus efficaces passent par l’entrepreneuriat’’.

Et le Prof Nicot Omeonga de renchérir : ‘’Comme vous le savez, en économie nous avons 4 secteurs :

1. Le secteur primaire : c’est le travail de la terre.

2. ⁠Le secteur secondaire : c’est le travail de la manufacture et de la transformation des matières premières.

3. ⁠Le secteur tertiaire : c’est des services et des commerces.

4. ⁠Le secteur quaternaire : c’est ce qu’on appelle formule numérique.

On réalise l’entrepreneuriat dans ces 4 secteurs. Et notre économie (NDLR de la RDC) est basée que dans un seule secteur. Et c’est le secteur primaire alors que si nous voulons diversifier notre économie, il faut booster l’entrepreneuriat dans les 4 secteurs de la vie économique d’une nation.

Les emplois durables sont les emplois créés par les entreprises. Donc, l’entrepreneuriat devient le socle des créations des entreprises surtout dans un pays comme le nôtre où l’économie à 80% est tenue par l’informel.

Donc, si nous voulons quitter le stade où nous sommes au pays, sous pauvre, il faut passer par l’entrepreneuriat. Mais malheureusement dans notre pays on ignore ce secteur et on privilégie la politique. La politique est état budgétivore. C’est- à- dire sa consommé. Alors que l’entrepreneuriat crée des richesses.

Dans ce pays, on ne peut rien faire de crucial sur le plan économique et sur le plan social, si on n’intègre pas les politiques publiques qui favorisent la culture entrepreneuriale. Dans tous les pays du monde ce sont les entreprises et les entrepreneurs qui soutiennent l’économie. S’il n’y a pas d’entrepreneurs comme c’est le cas aujourd’hui dans notre pays, on ne peut pas espérer.

Alors pour finir, si on a l’intelligence financière. Si on a un leader shift qu’il faut, on peut partir de ce secteur informel pour le formalizer. Ainsi on pourra avoir le secteur formel tenu par les entrepreneurs à succès et c’est en ce moment qu’on peut espérer avoir des richesses et une croissance économique réellement inclusive et partager. Et enfin espérer à l’émergence dans les jours à venir’’.

Antoine Bolia




Marc Ekila veut obtenir un mandat de gestion d’un arrêté d’agrément ou de création d’un établissement de Formation Professionnelle

C’est sa première note circulaire en sa qualité de Ministre de la Formation Professionnelle, portant sur des nouvelles mesures pour l’obtention d’un mandat de gestion d’un Arrêté d’agrément ou de création d’un établissement de Formation Professionnelle. En effet, après des enquêtes préliminaires menées sur terrain, il est rapporté que beaucoup d’associations et de mandataires n’ont pas encore rendu opérationnels les établissements qu’ils devaient créer.

Et même quand ils le sont, ils ne répondent pas souvent aux strictes normes de viabilité. Ainsi, Maître Marc EKILA a décidé par la note circulaire numéro 001/CAB/MIN-FP/ 2024 de durcit le ton pour l’obtention d’un mandat de gestion d’un arrêté d’agrément ou de création d’un établissement de Formation Professionnelle pour assainir ce secteur en RDC.

Ces mesures sont : Avoir l’arrêté du Ministre de la Justice accordant la personnalité juridique ou accordant une dérogation ; ⁠Les Statuts notariés ; ⁠Le procès – verbal notarié de l’Assemblée ou la lettre notariée du promoteur autorisant l’organisation de la Formation Professionnelle ; Avoir un compte bancaire; Être détenteur d’un titre de propriété ou d’un contrat de location ; ⁠Présenter un Procès – verbal d’enquête de viabilité dûment signé par l’Inspection Générale.

Il a responsabilisé, les 3 structures de son Ministère; le Secrétariat Général, l’Inspection Générale et la Direction Nationale de SENACEEPEF, Service National de Contrôle des Effectifs et Éléments de Paie du Personnels Enseignants et Formateurs, à suivre , en amont comme en aval, scrupuleusement les nouvelles mesures prises et qui doivent être de stricte application.

Les cadres de ces structures sont impérativement invités à la stricte application de ces normes pour le bon fonctionnement du Ministère de la Formation Professionnelle.




La Première Ministre reçoit les desiderata de la population du Nord-Kivu

Dans le cadre de sa mission officielle au Nord-Kivu, la Première Ministre Judith Suminwa s’est adressée, mercredi soir à un échantillon de représentants des forces vives réunis au gouvernorat de la province.

À la fin de son adresse aux différentes couches de la population du Nord-Kivu, elle a reçu des mémorandums contenant les souhaits des mouvements associatifs, des confessions religieuses et regroupements des acteurs politiques sur l’amélioration de la situation socio-sécuritaire dans cette province de l’Est de la RDC.

«Mon choix de débuter par les provinces de l’Est est justifié par la situation à laquelle celles-ci font face, au-delà des enjeux liés au développement, notamment en matière de sécurité et face aux groupes armés présents dans ces régions depuis 30 ans. Nous disposons du rapport sur la sécurité. J’ai jugé essentiel d’être présente. Car ce que l’on sait est une chose, mais le fait de venir ici et d’échanger avec les personnes confrontées à ces problèmes nous permet d’envisager les solutions de manière différente», a-t-elle dit.

La Cheffe du Gouvernement a aussi tenu une longue réunion avec le Conseil provincial de sécurité, mettant en avant les problèmes spécifiques des 26 provinces du pays.




Santé : 8 cas du virus M-Pox enregistrés au Nord-Kivu

La situation de la maladie de singe continue de faire la ronde. Après l’épidémie d’ebola, les autorités provinciales du Nord-Kivu ont officiellement déclaré la présence du virus M-POX dans la région et appellent la population à respecter strictement les mesures d’hygiène pour éviter une propagation plus importante.

La ville de Goma a déjà enregistré 8 cas depuis le début du mois de juin 2024.

 

Prisca Luanda Kamala, conseillère du gouverneur de la province du Nord-Kivu, met en garde la population contre la dangerosité de cette maladie.

 

« Nous devons savoir que le M-POX, ou Monkeypox, est une maladie dangereuse causée par un virus d’origine animale. Elle est évitable mais se transmet principalement par contact direct avec un animal malade, qu’il présente des signes ou non ainsi que de personne à personne. Elle peut également se transmettre par contact sexuel, et une mère malade peut contaminer son enfant pendant la grossesse. Le M-POX se manifeste chez les humains par une fièvre d’apparition brutale, des éruptions cutanées avec des lésions remplies de liquide et de pus qui finissent par sécher et former des croûtes. Ces lésions débutent au niveau des paumes des mains et des plantes des pieds et peuvent se généraliser sur tout le corps. Les personnes en contact direct avec des animaux ou des produits animaux, tels que les chasseurs, les fermiers, les éleveurs, les vendeurs ou abatteurs d’animaux, ainsi que les cuisiniers, sont les plus exposées à contracter le M-POX» a-t-elle indiqué

Prisca Luanda Kamala rappelle également les mesures de protection et de prévention contre cette maladie.

 

« Pour se protéger contre le M-POX, nous recommandons à tous de respecter les mesures suivantes : éviter tout contact physique ou sexuel avec toute personne présentant les signes de M-POX ou toute autre lésion ou liquide provenant de personnes malades (sang, urine, selles, salive, vomissures, sueur et sperme). Évitez tout contact direct avec un animal domestique ou sauvage malade ou ses produits. En cas de contact avec une personne malade ou suspectée de M-POX, lavez immédiatement les mains avec du savon ou de la cendre, puis rendez-vous au centre de santé le plus proche. Lorsque vous, un membre de votre famille, un voisin ou un proche présentez des signes suspects de M-POX, rendez-vous au centre de santé le plus proche pour des soins appropriés. » a-t-elle conclu

 

les autorités urbaines insistent sur l’importance de la vigilance et du respect des mesures d’hygiène pour limiter la propagation du virus et protéger la communauté.

 

 

 

JL Makoyi




Haut-Katanga : Le gouvernement Kyabula 1 enfin publié. 

Fini le suspens dans la province du Haut-Katanga depuis l’après-midi de ce jeudi 28 juin 2024. C’est suite à la publication de la liste des membres du gouvernement provincial.

L’arrêté dûment signé par le Gouverneur Jacques Kyabula Katwe, élève 10 personnes au rang des ministres. Il s’agit de :

1. Ministre provincial des finances, fonction publique provinciale, petites et moyennes entreprises et artisanat : John Muloba Kitonge ( Reconduit ).

2. Ministre provincial de l’intérieur, sécurité, décentralisation et affaires coutumières : Jean Jacques Kashiba Ntambo.

3. Ministre provincial du Plan, budget, coordination des partenariats publics-privés et relation avec l’assemblée provinciale : Jean de Dieu Mulenda Ebondo.

4. Ministre provinciale de l’économie et commerce : Madame Lorraine Lusamba Kazadi.

5. Ministre provincial déclaration jeunesse, éducation, recherche scientifique, nouvelle citoyenneté et communication : Georges Kadinga Mulundule.

6. Ministre provincial de l’agriculture, pêche, Élevage et alimentation : Bobo Malulu Kalungwe.

7. Ministre provincial des infrastructures, urbanisme et habitat : Jean Paul Kweta Mumba.

8. Ministre provincial des Mines et Hydrocarbures : Lucien Lumanu Mukadi.

9. Ministre provincial de la santé, coordination des agences des nations unies et partenaires du domaine de santé : Nsambi Bulanda Joseph.

10. Ministre provincial du genre, famille et enfant : Madame Judith KashokaBwalya.

 

Cette publication intervient dans un contexte complexe, où la population du Haut- katanga traverse une crise économique et sécuritaire sans pareille.

Au nouveau du gouvernement, de répondre à la vision du chef de l’état qui prône le peuple d’abord, en améliorant les conditions sociales.

 

 

 

Roger Ngandu