ENAFEP à Kwilu 1: 24.864 élèves finalistes du primaire prennent part à ces épreuves nationales 

Début ce lundi 03 Juin 2024 sur toute l’étendue du territoire national, de l’examen national de fin d’études primaires. Dans la province éducationnelle du Kwilu 1, cet examen est organisé dans 149 centres avec la participation de 24.864 élèves, dont, 12.470 filles, soit une participation féminine de 49,7%.

A en croire le ministère de l’éducation nationale, 2.217.456 élèves prennent part à l’ENAFEP, édition 2024, avec

1.081.288 des filles

à travers toute la République Démocratique du Congo.

Ces épreuves certificatives de l’Examen National de Fin d’Etudes Primaires (ENAFEP) va se clôturer le mardi 04 Juin.

De son côté, le Ministre sortant de l’EPST Tony Mwaba Kazadi a fait respecter le principe de la gratuité de l’enseignement aux finalistes des écoles publiques, d’autant plus qu’aucun récipiendaire des écoles publiques n’a payé les frais de participation.

 

Mboshi




Kongo Central: Une journée sans taxis vécue ce lundi à Matadi 

Les conducteurs des voitures taxis ont décidé de ne pas assurer le transport en commun ce lundi 03 Juin 2024, en signe de réclamation pour l’augmentation de la course de transport de 600 à 1.000 FC au motif de l’augmentation du prix du litre d’essence tant à la pompe que chez les revendeurs communément appelés Kadhafi.

Au terme de la réunion tenue lundi à Matadi par le ministre provincial de transport et voies de communication, il a été décidé que la course passe de 600 FC à 700fc en attendant l’aboutissement des négociations. Mack Matondo Kua Nzambi ministre provincial des transports et voies de communication a tenu à calmer la situation malgré l’absence des voitures taxis sur les routes de la ville.

Dans la matinée, la population a connu un sérieux problème du déplacement car l’absence des voitures taxis a été très remarquée.

 

 

Mboshi




Communique de presse




Urgent : Kylian Mbappé rejoint officiellement le Réal Madrid 

C’est la fin d’un très long feuilleton, le français a officiellement rejoint le Real Madrid. L’annonce a été faite ce lundi 03 juin par les madrilènes et le joueur lui même sur ses comptes sociaux certifiés.

“Un rêve devenu réalité ! Tellement heureux et fier de rejoindre le club de mon rêve !” a-t-il écrit.

Et d’ajouter :

“Personne ne peut comprendre à quel point je suis excité en ce moment. J’ai hâte de vous voir, Madridistas, et merci pour votre incroyable soutien. Hala Madrid ! 🤍🤍🤍”

L’ancien monégasque a signé un contrat de 5 ans et touchera 57, 5 M par an pour une prime de 100 millions d’euros à la signature.




Assemblée nationale : Vital Kamerhe et les députés du Nord-Kivu échangent sur la situation sécuritaire dans la partie Est du Congo 

La situation sécuritaire dans la partie Est de la République Démocratique du Congo était au cœur des échanges ce lundi 03 Juin, entre le président de l’Assemblée nationale et les députés nationaux élus de la province du Nord-Kivu.

Bien que rien n’a filtré de ces entretiens, l’on peut sans nul doute comprendre la préoccupation de ces élus à vouloir impliquer le speaker de la chambre basse du parlement à la recherche de la solution face à cette situation d’insécurité qui dure depuis près de trois décennies.

Déjà on connait la position du nouveau président de l’Assemblée nationale par apport à cette situation.

 

Mboshi




Sécurité à Kinshasa: le général Blaise Kilimbalimba interdit aux policiers non en service de circuler avec les armes 

Une rencontre a eu lieu ce lundi 03 Juin entre le chef de la police ville de Kinshasa et les nouveaux commandants d’unités après la mise en place.

A l’issue de cette rencontre, le commissaire divisionnaire adjoint Blaise Kilimbalimba a donné des nouvelles orientations pour éradiquer le phénomène Kuluna, les embouteillages à Kinshasa, la nuisance sonore et les marchés pirates dans la capitale Congolaise.

“L’objectif c’est d’avoir les résultats sur terrain. Avoir une police qui répond aux besoins de la population. C’est ainsi que nous avons pris tout notre temps dans le cadre de la formation continue, de rappeler toutes les instructions qui ont été données afin de restaurer l’autorité de l’état” a fait savoir le général Blaise Kilimbalimba.

Dans cette même occasion, le général Kilimbalimba a interdit fermement aux policiers qui ne sont pas en service de circuler avec les armes. Ceci pour éviter le dérapage.

“Nous avons demandé aussi aux policiers non engagés, c’est-à-dire lorsqu’ils ne sont pas en mission officielle de rester dans leurs casernes et ne pas toucher aux équipements spécifiques de la police, les armes par exemple”, a insisté d’un ton ferme le commissaire divisionnaire adjoint.

Le patron de la police à Kinshasa a en même temps insisté sur la discipline au sein de la police Kinoise.

Et concernant l’inaction de certains officiers dans certains coins de la ville telle que décriée par la population Kinoise, le commissaire divisionnaire adjoint Blaise Kilimbalimba a rappelé aux nouveaux commandants la discipline qui doit caractérisée l’efficacité de la police.

“Les brebis galeuses ne manquent jamais dans une société. Mais l’essentiel pour nous, c’est qu’en gros, les commandants ont bien reçu la mission et s’appliqueront à ma grande satisfaction”, a-t-il souligné, en annonçant des patrouilles mixtes pour renforcer la sécurité de la ville.

“Les patrouilles mixtes sont organisées dans certains quartiers où il y avait du grand bruit il y a du calme. L’on peut dire que bon nombre des commandants ont bien assimilé la matière”, soutient le général.

 

 

Jonsard MIKANDA




Éliminatoires Coupe du Monde 2026: Le Congo-Brazzaville n’affrontera plus le Maroc à Kinshasa 

Le Congo affronte prochainement le Niger (6 juin) et le Maroc (11 juin), dans le cadre des 3e et 4e journée des éliminatoires de la Coupe du monde 2026. N’étant pas en capacité d’accueillir ces rencontres, le pays d’Afrique centrale avait d’abord été contraint de délocaliser les deux rencontres à Kinshasa, en RD Congo. Mais d’après les dernières nouvelles, les Diables Rouges vont finalement pouvoir jouer à domicile !

Le Stade des Martyrs de Kinshasa ne verra donc pas le voisin du Congo-Brazzaville jouer sur ses terres en ce mois de juin. Le Stade Alphonse-Massamba-Débat, basé dans la capitale Brazzaville, a vu ses travaux de rénovation – en particulier au niveau de la pelouse – prendre fin le 31 mai. Grâce à ces aménagements, les Congolais devraient être autorisés à jouer chez eux au dernier moment !

« Nous avons eu cette belle pelouse de très belle qualité grâce au président de la République. Ce stade est fait pour nos joueurs et joueuses pour les matches internationaux. Nous sommes confiants et nous prions pour que nous jouions désormais nos matches ici puisque la pelouse répond bien aux conditions demandées », s’est réjoui Hugues Ngouélondélé, le ministre des Sports.

Et d’ajouter : “Nous sommes en négociation avec la FIFA et l’équipe adverse pour que le match du 6 juin se joue ici car nous avions un plan B, celui de jouer à Kinshasa. Mais comme les travaux ont pris fin à temps, nous allons les informer officiellement et les inviter à venir jouer chez nous.”

Feu vert de la FIFA

Selon les informations de nos confrères Sport News Africa, le Congo a reçu samedi l’homologation de la dite enceinte. La pelouse est désormais aux normes internationales. Cette autorisation de jouer dans leur stade est forcément un gros plus pour les joueurs congolais. Pour les supporters des Diables Rouges, qui n’auront pas besoin d’effectuer le déplacement et qui pourront soutenir leurs joueurs, c’est également une très bonne nouvelle. Car du soutien, la sélection congolaise en aura besoin pour rester en vie dans ce groupe E des éliminatoires du Mondial 2026.

Lanterne rouge sans le moindre point après les deux premières journées (mais un seul match joué en raison du forfait de l’Erythrée), les troupes d’Isaac Ngata doivent l’emporter face au Niger et aux Lions de l’Atlas. Un sacré programme !




RPDC; «Notre action n’est qu’une mesure de riposte de A à Z avant tout!»

Voici le communiqué (02/06/2024) de presse par KIM Kang Il, Vice-Ministre de la Défense Nationale de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945;

  • Puissance nucléaire consacrée à garantir son droit à l’existence et au développement du Pays et à juguler une guerre pour sauvegarder la paix et la stabilité de la Région et du monde entier
  • Superpuissance politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Hommes bienfaiteurs dont les Généralissimes KIM IL SUNG 1912-1994 et KIM JONG IL 1942-2011, et le Maréchal KIM JONG UN, NDLR);

À partir de la nuit du 28 mai à l’aube du 02 juin, nous avons dispersé 15t de déchets de papier favoris ou préférés de la racaille humaine (de la ROK, NDLR) sur les zones frontalières et profondes de la ROK (ou Republic of Korea ou République de Corée – créée, unilatéralement, un mois avant la RPDC dans le cadre de la division perpétuelle avec son côté Nord – qui tire son origine, avec siège à l’étranger, en 1919 sous la domination 1905-1945 du Japon, sans aucun pouvoir ni autorité restaurés en seule apparence par les USA ayant divisé la Péninsule coréenne en 1945 pour mieux régner, NDLR) y compris la Capitale (Séoul, NDLR), cela à travers plus de 3.500 ballons de toutes sortes.

Nous avons fait en sorte que les clans de la ROK s’expérimentent suffisamment pour comprendre;

  • à quel point ils se sentent désagréables ou ennuyeux
  • combien d’efforts sont nécessaires

pour la collecte desdits déchets éparpillés.

Nous suspendrons, temporairement ou provisoirement, la dispersion transfrontalière des chiffons de papier car notre action est une mesure de riposte de A à Z avant tout.

Cependant, si les clans de ROK reprennent leur diffusion (la dernière vers la RPDC remonte au 10/05/2024 sans parler des anciens cas critiqués depuis plusieurs années par la RPDC, NDLR) des tracts anti-RPDC, nous réagirons, en fonction de la quantité découverte et du nombre de cas, en dispersant intensément, même 100 fois plus, les papiers et les ordures, tout comme nous l’avons déjà (25-29/05/2024) averti («la juste liberté d’expression du Peuple de la RPDC», NDLR).




MINI FETE DES JUIS (1er jour) /AVEC LE PASTEUR FRANÇOIS MUTOMBO VH / DIMANCHE 02 JUIN 2024




Casablanca montre l’exemple dans la région MENA en matière de mobilité urbaine intégrée, accessible et durable (Nabil, Samirclotilde, V. Minsterdominic, Patella)

Le Grand Casablanca, qui comprend la ville de Casablanca et les zones urbaines adjacentes, concentre plus de 13 % de la population du Maroc (soit cinq millions de personnes) sur moins de 1 % du territoire national, avec plus de 50 000 personnes supplémentaires qui s’y installent chaque année. Cette région est un moteur essentiel de la croissance économique du Maroc, contribuant à un quart du PIB national. Le port de Casablanca est la principale porte d’entrée du commerce entre l’Europe et l’Afrique, ce qui assure à la ville une position inégalée de centre logistique propice à une plus grande intégration dans l’économie mondiale.

Casablanca incarne également les défis de l’urbanisation au Maroc, avec des inégalités sociales persistantes et des poches de pauvreté. Environ 150 000 personnes y vivent sous le seuil de pauvreté (selon les données du Haut-Commissariat au Plan – HCP, l’agence nationale de statistiques), et ont un accès insuffisant ou inadéquat à des infrastructures et services de qualité.

Compte tenu de l’augmentation rapide de la demande de mobilité urbaine et du sous-investissement relatif dans ce domaine, la congestion du trafic est aujourd’hui un problème sérieux dans le Grand Casablanca, où circulent environ 20 % des véhicules du pays. Jusqu’aux années 2010, la plupart des modes de transport public demeuraient insuffisants, inadéquats et/ou peu pratiques.

La détérioration des conditions de transport urbain à Casablanca a eu un impact négatif, particulièrement pour les femmes, les jeunes et les personnes vulnérables. En outre, les déplacements urbains coûtent généralement aux ménages 10 à 20 % de leurs revenus. Les transports urbains sont également une cause majeure du changement climatique, représentant un tiers des émissions de CO2 du pays (soit l’équivalent de 25 millions de tonnes). Les niveaux actuels de pollution de l’air à Casablanca restent largement supérieurs au seuil recommandé par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).

L’amélioration de la mobilité urbaine a fait l’objet d’efforts importants de la part de l’Etat et des collectivités territoriales au cours des quinze dernières années, en particulier dans le Grand Casablanca. Un Plan de Déplacement Urbains (PDU) pour l’agglomération a été préparé en 2007, et est en cours de mise à jour. Casa Transports, la Société de Développement Local (SDL), en charge du transport urbain a été créée en 2009. Dans ce cadre, plus de deux milliards de dollars ont été investis localement pour éviter une dégradation supplémentaire des conditions de déplacement dans le Grand Casablanca en raison de la croissance du trafic. Plusieurs projets et actions d’envergure ont été mis en œuvre avec succès pour améliorer l’accès, la qualité et la durabilité des services de mobilité urbaine, notamment pour le tramway en 2012 et 2019, réseau qui s’étend sur 50 kilomètres et dessert plus de 300 000 utilisateurs quotidiens. Ce système de tramway devrait être complété d’ici fin 2024 par l’ouverture de deux lignes supplémentaires en cours de construction.

Les bus, le mode de transport public le plus utilisé, ont également fait l’objet d’une attention particulière de la part des autorités. Une concession a été signée en 2019 entre un opérateur privé et l’Etablissement de Coopération Inter-communale (ECI) Al Baida pour améliorer l’accès aux bus. Le 1er mars 2024, un réseau innovant et performant de bus à haut niveau de service (BHNS) — des bus articulés circulant sur des voies dédiées et connu sous le nom de Busway — a été mis en service. Le développement d’une de ses lignes a bénéficié de l’appui du Programme d’Appui au Secteur des Déplacements Urbains au Maroc, financé par la Banque mondiale dans le cadre d’un Prêt-Programme pour les Résultats (PPR). Ce réseau est le premier du genre au Maghreb, et le deuxième dans la région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord (MENA) après celui d’Amman (Jordanie).

Le Busway de Casablanca va considérablement changer la vie des habitants de l’agglomération. Grâce à une meilleure intégration avec les autres modes de transport (en termes de stations, d’horaires et de tarifs), les usagers quotidiens qui vivent dans des zones densément peuplées telles que Ain Chock, Salmia ou Arrahma, verront leur temps de trajet en transport public vers le centre-ville diminuer d’au moins trente minutes par jour (y compris la réduction des temps d’attente). Cette amélioration offrira une meilleure qualité de transport, permettant aux habitants d’accéder à des milliers de nouveaux emplois et d’opportunités économiques, ainsi qu’à l’éducation, aux soins de santé et à de nombreux autres services.

Outre la rapidité des trajets, la sécurité et l’intégration sont tout aussi essentielles dans les transports. Les systèmes ont été conçus pour optimiser la sécurité des piétons, des cyclistes, des usagers des transports publics et des automobilistes. Les stations et les véhicules sont accessibles aux personnes handicapées. Un éclairage adapté, des caméras de sécurité et la présence d’agents contribuent à ce que chacun, et en particulier les femmes, se sente en sécurité lors de ses déplacements. Ces dispositions, combinées à l’augmentation de l’offre, de la fiabilité et de l’accessibilité financière, contribueront à accroître le taux de participation des femmes au marché du travail (actuellement d’environ 20 % au niveau national), qui est l’un des plus faibles de la région MENA. En offrant une alternative efficace aux voitures, ces nouveaux bus (BHNS) réduisent aussi de manière significative les émissions de gaz à effet de serre et la pollution atmosphérique associées à la mobilité urbaine.

L’Etat, par l’intermédiaire de l’Office National des Chemins de Fer (ONCF), travaille actuellement à compléter cet effort et à étendre davantage l’accès à des services de transport urbain de qualité dans le Grand Casablanca. S’appuyant sur une ligne ferroviaire existante, de 60 kilomètres, le programme récemment annoncé, combinera des services ferroviaires urbains à haute fréquence dans la ville de Casablanca et des services ferroviaires suburbains opérant dans la zone métropolitaine pour relier les banlieues adjacentes et les municipalités de Zenata, Mohammedia, Nouaceur et Bouskoura.

La principale leçon tirée du Programme d’Appui au Secteur des Déplacements Urbains au Maroc — dont d’autres villes de la région MENA, et du monde pourraient s’inspirer — est la suivante : les projets de mobilité urbaine ne peuvent réussir que s’ils sont globaux, intégrés, durables, coopératifs, soutenus et progressifs. Du fait, entre autres, du soutien de la Banque mondiale et à une collaboration étroite avec les partenaires marocains, ces initiatives améliorent non seulement les conditions de vie, mais aussi l’image du Grand Casablanca. Elles donnent à la métropole une physionomie différente, moderne, et projettent une vision de ce que le Grand Casablanca peut devenir par le biais d’infrastructures et de systèmes bien conçus.