Clôture examen d’état 2024: la police interdit toutes les scènes des jouissances sur la place publique 

Les finalistes du secondaire invités à ne pas se livrer à des scènes des jouissances qui pourront troubler l’ordre public sur l’ensemble de la ville province de Kinshasa. Dans son communiqué publié ce mercredi 26 juin 2024, le commissaire provincial de la police ville de Kinshasa, le commissaire divisionnaire adjoint Mbula Kilimbalimba Blaise, informe les finalistes qu’il est strictement interdit de manifester ce jeudi 27 juin 2024, jour de clôture de l’examen d’Etat.

 

Le commissaire divisionnaire adjoint Mbula Kilimbalimba Blaise suggère aux finalistes Kinois et Kinoises de garder l’attitude de prière car les résultats ne sont pas encore disponibles.

 

Les agents de l’ordre sont instruits de mettre hors d’état de nuire quiconque s’adonnerait à ces actes et auteurs de dérapages.

 

Osk




Kinshasa : Daniel Bumba rend public son gouvernement 

Le gouverneur de Kinshasa Daniel Bumba Lubaki a publié le mercredi 26 juin les membres du Gouvernement provincial de Kinshasa.

Il est composé de 10 ministres dont une femme à la tête du ministère de l’intérieur et sécurité et 10 commissaires généraux dont deux femmes.

Le député provincial Jésus Noël Sheke, candidat malheureux à l’élection du président de l’assemblée provinciale est nommé au ministère du plan, budget, emploi et tourisme. Un ancien ministre du gouvernement Kimbuta fait aussi son entrée dans le gouvernement Bumba. Il s’agit de Magloire Kabemba qui va désormais diriger le ministère de l’économie et finances. Et l’ancien rapporteur de l’assemblée provinciale, Junior Nemba Lemba est quant à lui, nommé commissaire général à l’industrie et énergie.

Voici l’intégralité de la liste des ministres provinciaux de Kinshasa :




Tshikapa : quelques boutiques incendiées au marché Kangongolo

Au total, 5 boutiques ont été incendiées au marché Kangongolo dans la commune de Dibumba 2 la nuit de ce mardi au mercredi 26 juin. Plusieurs témoins surplace font savoir que l’origine du feu reste inconnue jusque-là. Les mêmes sources rapportent que plusieurs marchandises ont été réduites en cendre, mais pas des pertes en vies humaines.

Le bourgmestre de la commune de Dibumba 2 contacté, promet d’établir un bilan de l’incendie dans les prochains heures.

“Malgré la présence dans la ville de la structure de sapeurs pompiers, aucun secours de leur part”, regrette la population.

 

 

Jean-Luc Bakampenda depuis Tshikapa




L’histoire de Mulolo, la Chanson-phare qui lança Wenge Musica, et la 4ème génération avec (Belhar Mbuyi)

“La chanson Mulolo appartient à JB Mpiana. C’est lui, l’auteur-compositeur de cette œuvre. Il l’avait composée pour sa copine Anne Marie. A la recherche d’un refrain captivant, JB trainait encore les pas pour exposer cette chanson à ses collègues chanteurs. Comme il était trop attaché à Werrason qui est un Mbala -une tribu du Bandundu-, plusieurs personnes pensaient et pensent que c’est Noël Ngiama l’auteur-compositeur de cette chanson. Mais c’est faux.

“Je vous résume l’historique de cette chanson. Un jour, j’accompagnais JB Mpiana chez Werrason. Arrivés dans leur parcelle, nous avions aperçu feu Nico Buakongo qui chantait plusieurs chansons qu’il devait proposer à la Cléopâtre Mbilia Bel. Et, le refrain de Mulolo qui est une chanson populaire du peuple Mbala avait retenu l’attention de JB. Quelques minutes plus tard, il s’adressa à Nico pour qu’il lui apprenne cette chanson. Mais celui-ci était occupé pour le compte d’Afrisa International.

“Ensemble, nous avions approché Werrason pour le même souci. Il nous dira qu’il ne connaissait pas cette strophe. Nous avions directement pensé à Auguy Bandemba, un natif de Kikwit qui travaillait sur notre rue Dimba Boma. Nous lui avions exposé le problème et il a accepté d’aider JB Mpiana sans conditions. C’est à partir de cet instant que Mulolo a été finie et JB n’a pas hésité à la présenter à ces collègues, et ils l’ont désigné comme chanson phare du deuxième album”.

Témoignage du regretté Jean Bellis Luvutuka dit Mobutu (Premier président de Wenge Musica).




1ère réunion de la Troïka politique : Doudou Fwamba Likunde annonce les couleurs    

En présence du Ministre d’État, Ministre du Budget Aimé Boji Sangara, de la Vice-Ministre des Finances O’Neige N’sele, du Vice-Ministre du Budget Élysée Bokumwana, du Conseiller Principal du Chef de l’État en charge des questions économiques, Léon Kankolongo, et de Mme la Gouverneure de la Banque Centrale du Congo Marie-France Malangu Kabedi, le Ministre des Finances Doudou Fwamba Likunde a présidé sa première réunion de la Troïka politique ce lundi, 24 juin 2024.

Au menu de cette importante réunion, il a été examiné en profondeur les indicateurs macroéconomiques en vue de mettre en place des stratégies devant endiguer l’inflation avec beaucoup d’efficience en dépit des chocs exogènes et endogènes.

Voici l’intégralité de l’interview que le Ministre des Finances Doudou Fwamba Likunde a accordée à la presse à l’issue de cette réunion :

“Nous avons tenu ce jour, sous ma coordination et en présence du Ministre d’État, du Ministre du Budget, de Mme la Gouverneure de la Banque Centrale, du Vice-ministre du Budget et de madame la Vice-Ministre des Finances, une réunion de la Troïka politique.

Nous avons passé en revue la situation du cadre macroéconomique, les différents indicateurs macroéconomiques, les taux d’inflation et les taux de change.

Nous avons constaté ensemble qu’il y a eu un resserrement de la politique monétaire sur le plan international. Les politiques restrictives des différentes banques centrales ont maîtrisé les tendances inflationnistes du marché. Ainsi, le taux d’inflation moyen est projeté à 3,5% à l’international, avec une croissance projetée à 3% en 2024.

Sur le plan intérieur, après avoir évalué ces indicateurs, nous sommes arrivés à la conclusion que notre taux d’inflation en glissement annuel est autour de 21%, avec un taux de dépréciation de notre monnaie d’environ 6%. Des mesures ont été proposées, incluant les directives déjà données par Son Excellence le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, telles que les non-paiements au guichet de la Banque Centrale du Congo. D’autres mesures, telles que la coordination des politiques monétaires et budgétaires entre le gouvernement et la Banque Centrale du Congo, ont été prises.

Notamment, la reprise des réunions du comité technique de PTR, ainsi que l’alignement du plan trésorier de l’État sur les niveaux de liquidité du marché bancaire. Des mesures supplémentaires de supervision ont été recommandées à la Banque Centrale du Congo, et plus de rigueur et de rationalité dans l’amélioration de la qualité de la dépense ont été recommandées au gouvernement de la République démocratique du Congo via le Ministère des Finances.

Voilà l’essentiel des mesures qui ont été abordées, avec d’autres à venir. Les équipes ont été instruites pour commencer le travail et pour maintenir la vigilance afin de maîtriser les pulsions inflationnistes du marché et préserver le pouvoir d’achat de notre population.




L’ANAPEX participe ce jeudi 27 juin à la journée de l’entrepreneuriat organisée par l’ANADEC

L’ANAPEX participera ce jeudi 27 juin à Kinshasa à la Journée internationale de l’entrepreneuriat qu’organise l’Agence nationale de développement de l’entrepreneuriat congolais (ANADEC) à la Maison de l’entrepreneuriat et de l’innovation à Limete Kinshasa.

A cette occasion, il est prévu une conférence-exposition sur la promotion de l’entrepreneuriat congolais.

L’activité a pour objectif principal de faciliter l’accès des entrepreneurs au financement des projets et aux marchés publics ou privés.

En tant que partenaire de l’ANADEC, l’ANAPEX prendra part aux panels de haut niveau autour du thème : Sensibiliser à la contribution de petites entreprises au développement durable et à l’économie mondiale.

Cette journée vise à favoriser l’émergence des classes moyennes congolaises en offrant des informations et une formation théorique et pratique sur les différentes opportunités d’investissement et de développement au profit de tous les acteurs de l’écosystème entrepreneurial congolais.




Guy Loando lance officiellement l’atelier national de restitution de l’étude sur le capital forestier national de la Rdc

L’hôtel Béatrice de Kinshasa a abrité l’ouverture de “l’Atelier National de Restitution de l’Étude sur le Capital Forestier National de la République Démocratique du Congo”. Présidé par Guy Loando, Ministre d’État et Ministre de l’Aménagement du Territoire, cet événement d’envergure a rassemblé des représentants de diverses Institutions Nationales et Internationales, parmi lesquelles le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), le Centre de Recherche Environnementale de l’Université de Wageningen, le CAFI et le FONAREDD.

Dans son allocution d’ouverture, le Ministre a exprimé sa reconnaissance envers Son Excellence Félix Antoine Tshisekedi, Président de la République, pour sa confiance renouvelée et pour avoir placé l’Aménagement du Territoire au rang de priorité nationale. Il a également salué le soutien indéfectible de Mme la Première Ministre et l’engagement de tous les participants en faveur de la préservation de l’environnement. “Nos forêts ont une importance cruciale qui dépasse nos frontières.

Elles jouent un rôle essentiel dans la régulation climatique mondiale, la conservation de la biodiversité et le soutien aux moyens de subsistance de millions de nos concitoyens”, a souligné le ministre.

L’Aménagement du Territoire occupe une place centrale dans ce processus, étant une réforme politique prioritaire intégrée dans la matrice de gouvernance économique adoptée par le Gouvernement en 2013. Lancé officiellement en 2017, le Programme d’Appui à la Réforme de l’Aménagement du Territoire (PARAT) vise à doter la RDC d’une Politique Nationale et d’un Schéma National d’Aménagement du Territoire.

Cet atelier se tiendra du 26 au 28 juin 2024 à l’hôtel Béatrice, réunissant environ 120 participants représentant divers Ministères, établissements publics, institutions académiques, partenaires techniques et financiers, ainsi que la société civile et le secteur privé. La modération sera assurée conjointement par le Ministère de l’Environnement et du Développement Durable et le Ministère de l’Aménagement du Territoire, avec le soutien de la Cellule d’Appui à la Réforme de l’Aménagement du Territoire (CAT).

Au cours de ces assises, les résultats de l’étude seront présentés suivis de discussions visant à approfondir la compréhension des parties prenantes et à formuler des suggestions et recommandations. Les présentations principales aborderont le rôle crucial de l’Aménagement du Territoire et de l’environnement dans la stratégie REDD+ de la RDC, ainsi que l’importance de cette étude pour le secteur forestier et environnemental.




Kongo Central : Grâce Bilolo prend officiellement ses fonctions du gouverneur de province

C’est en début d’après midi de ce mercredi 26 juin 2024 que le nouveau gouverneur de la province du Kongo Central Grâce Nkuanga Masuangi Bilolo a officiellement pris possession de ses nouvelles fonctions au gouvernorat du Kongo central.

La cérémonie de remise et reprise a eu lieu en présence des membres du conseil provincial de sécurité et d’autres personnalités tant de la province que celles venues de Kinshasa. Absent à cette importante cérémonie, le gouverneur sortant Guy Bandu Ndungidi s’est fait représenté par Madame Anne Marie Tsasa, ministre provinciale en charge de la justice.

Cette brève cérémonie officielle s’est déroulée sous la supervision de l’inspecteur Général Adjoint de la territoriale Désiré Tsomba.

 

 

Jonsard MIKANDA




Pourquoi en veut- on à Vital Kamerhe ?

Le retour de Vital Kamerhe, président de l’Assemblée nationale sur la scène politique après sa condamnation suivi de son acquittement à la suite du célèbre procès 100 jours n’a pas été vit d’un bon œil par une certaine opinion dans la classe politique congolaise. Depuis, tous ses faits et gestes sont scrutés et passés au scanner par ceux qui ne jurent que par sa déchéance. Au moindre fait, ils ne manquent pas l’occasion de tirer à boulets rouges sur celui surnommé « Le pacificateur » tout en l’exposant à la vindicte populaire et à la clameur publique. Le dernier fait en date qui alimente la toile et fait l’objet d’un débat à la place publique est la présence d’un ordre de mission signée le 19 juin dernier par le président de l’Assemblée nationale relative à la participation de la Chambre basse du parlement à la 49ème Session plénière de l’Assemblée parlementaire francophone et à la 10ème édition du parlement francophone des jeunes du 5 au 10 juillet prochain à Montréal au Canada.

En effet, c’est une délégation de 22 personnes parmi lesquelles les députés nationaux et leurs assistants parlementaires, les membres de cabinet du président, les membres de l’administration de l’Assemblée nationale, et est prise en charge par cette dernière. Et pourtant, plusieurs pays censés participer à ces assises ont réduit sensiblement le nombre des membres de leurs délégations. Ce document administratif pourtant confidentiel qui a vite fuité dans la place publique via les réseaux sociaux, a été récupéré par les adversaires politiques de Vital Kamerhe pour le fusiller. Et du coup, les commentaires sont allés dans tous les sens jusqu’à sortir des calculettes pour évaluer ce que peut coûter en terme de dollars américains cette mission, la première de Vital Kamerhe à l’extérieur du pays après son élection à la tête de la chambre basse du parlement. 1.302. 000 dollars que Vital Kamerhe aurait sollicité en procédure d’urgence, c’est le montant global qui est avancé par ces derniers qui crie «  au début macabre de saignement des fonds publics de l’État alloués à l’Assemblée nationale ».

D’autres sont allés loin pour non seulement dénoncer ce qu’ils qualifient de légèreté dépensière dans le chef de VK, mais aussi l’interpeller à la prochaine session septembre pour donner des explications à la représentation nationale sur cette « gabegie financière  pour une rencontre qui ne va rien apporter au pays ». Même si les relations diplomatiques entre la République démocratique du Congo et le Rwanda dont une de ses citoyennes Louise Mushikiwabo occupe le secrétariat général de l’organisation internationale de la francophonie, ne sont pas au beau fixe, la participation de Parlement congolais à ces assises est importante. Aussi, les prédécesseurs de Vital Kamerhe ont eu à conduire d’importantes délégations à l’extérieur du pays pour participer à des rencontres où le pays est attendu et cela n’a jamais posé problème.

Et comme si cela ne suffisait pas, un autre document confidentiel dans lequel Vital Kamerhe sollicite auprès du ministre des Affaires étrangères les passeports diplomatiques de ses enfants a fait le buzz dans la toile. Alors que les articles 114, 115 et 256 du règlement intérieur de l’Assemblée nationale sont clairs sur les bénéficiaires de passeport diplomatique. «  Le député national a droit à une carte de légitimation, un passeport diplomatique pour lui-même, sa conjointe et les enfants à sa charge », dit le Règlement intérieur de la Chambre basse du Parlement. Et là encore, Vital Kamerhe n’a pas échappé aux critiques de ses détracteurs. Bien avant c’est une correspondance que l’ancien président de la chambre, Christophe Mboso a adressée à Vital Kamerhe pour réclamer les indemnités de sortie de membre du bureau provisoire qu’il a dirigé et celles du bureau pour la mandature 2019- 2023. Cette correspondance qui paraît normale et logique car c’est de droit que ces deux bureaux sortant rentrent dans leurs droits a été récupérée dans le camp adverse pour accuser Vital Kamerhe de vouloir détourner ces frais. Et pourtant, cela doit suivre la procédure normale dans la chaîne de dépenses.

Christophe Mboso au banc des accusés

Face à toutes ces attaques, le camp de Vital Kamerhe pointe du doigt Christophe Mboso, 2ème vice- président de l’Assemblée nationale et candidat malheureux à la primaire de l’Union sacrée pour la désignation de son candidat président de la chambre. Et depuis ce scrutin à l’interne, Mboso n’aurait jamais digéré son échec face au rouleau compresseur de l’électorat de Vital Kamerhe qui l’a battu à cette élection. L’opinion se rappellera de l’attitude affichée par Mboso juste après l’annonce de la victoire de Kamerhe, contrairement à Modeste Bahati qui a fait preuve de fair-play en le félicitant de vive voix. Quant à Mboso, il a préféré éviter de croiser son regard avec son challenger. C’était pour les observateurs avertis, le début de la gue- guerre entre les deux personnalités.

Aussi, le fait que Kamerhe n’ait pas accepté d’occuper le bureau dans lequel Mboso siégeait comme Président de l’Assemblée nationale et préférant occuper son ancien bureau quand il avait assumait ses fonctions, n’est pas un fait de hasard. L’interpellation par la sécurité de l’Assemblée nationale d’un groupe des personnes parmi lesquelles se trouveraient des proches de Mboso dernièrement, surprise en train de faire des incantations maléfiques devant le bureau de Vital Kamerhe n’est pas un fait à banaliser . Ceci sans compter l’attaque de sa résidence qui a causé mort d’hommes. Et tous ces faits mis ensemble, certains observateurs proches de Vital Kamerhe crient à l’acharnement contre ce dernier, une œuvre qui viendrait du camp Mboso avec l’objectif de descendre Vital Kamerhe et dresser la population contre lui. Ce qui ne fait l’ombre d’aucun doute que la guerre est désormais déclenchée entre Vital Kamerhe et Christophe Mboso, constate une certaine opinion tout en se demandant jusqu’où ira-t-elle ? Wait and see, disent les anglophones.

RSK

 




Élection du bureau définitif du sénat : Les sénateurs de l’Udps/ Tshisekedi en concertation

Plusieurs sénateurs élus sur la liste de l’UDPS/Tshisekedi, de sa mosaïque et ceux élus comme indépendants ont pris part à cette réunion convoquée par le secrétaire général du parti présidentiel le mardi 25 juin 2024.

Un seul point à l’ordre du jour, il s’agit notamment de la concertation autour de l’élection des membres du bureau définitif du Sénat.

 

Au cours de cet échange,

ceux qui nourrissent l’ambition de briguer les différents postes dans ce bureau se sont manifestés par la main levée. Au total, 16 candidats ont souscrit à cette démarche.

7 Sénateurs, dont, Carole Agito Amela et Jean Tshisekedi, ont manifesté l’intention de briguer les postes de Questeur, 3 sénateurs, dont Jonas Kalambayi, ont postulé comme 1er vice-président du Sénat, tandis que deux candidats se sont pointés pour le poste de deuxième vice-président, une seule candidature pour le poste de Questeur adjoint et deux candidatures, dont celle de Afani Idrissa Mangala pour le poste de Président du Sénat. Et, enfin, une seule candidature pour le poste de rapporteur.

Pour étayer leurs ambitions, les postulants se sont exprimés tour à tour sur les motivations de leurs candidatures. Un exercice qui s’est effectué aux allures d’une campagne des primaires.

Augustin Kabuya, SG de l’Udps a fait savoir ses hôtes que leurs ambitions seront confrontées à celles qui seront exprimées par d’autres composantes de l’Union sacrée avant de procéder à la délibération pour ressortir la liste unique que la plateforme présidentielle présentera à l’élection du bureau définitif du Sénat.

 

 

 

 

Mboshi