Des agents fictifs de l’ANAPEX adressent un tract au Chef de l’Etat

Dans un mémo non signé attribué aux cadres et agents de l’Agence nationale de promotion des exportations (ANAPEX), et relayé par un tweet du journaliste Steve Wembi, il a été distillé une série de mensonges que seule la mauvaise foi peut concocter. En effet, le tract, au contenu vide, sans aucun fait ni argument, est un ancien mémo réchauffé pour des objectifs abjects que nous évoquerons plus loin.

Il est difficile de croire que ce tract vient vraiment des milieux de l’ANAPEX qui dispose d’une délégation syndicale installée et fonctionnelle. En effet, pour la Délégation syndicale, répondant à une invitation du Directeur provincial de l’Inspection générale du travail/Kinshasa au mois de juin dernier : «il n’y a aucun problème entre la Direction générale et le personnel ».

Venons-en d’abord aux faits.

Raconter que l’ANAPEX est en train de sombrer trois ans après son opérationnalisation n’a aucun sens lorsque l’on sait que cette agence est en pleine expansion et que sa présence se confirme de plus en plus sur l’échiquier national et international. Que des MOU, que des partenariats, que des projets ne cessent d’alimenter le portefeuille de l’ANAPEX.

En trois ans, contrairement à d’autres agences, l’ANAPEX s’est stabilisée comme un des pôles importants de la croissance économique, assumant son statut d’outil économique du Gouvernement. Pas un seul forum au niveau national ou international concernant le commerce ne se tient sans la présence des producteurs et exportateurs accompagnés par l’ANAPEX.

Les rapports de mission existent et ont tous été validés par le Conseil d’administration et la tutelle. La dernière réunion à laquelle la Direction générale a pris part est celle au cours de laquelle le nouveau Ministre du commerce extérieur a reçu les mandataires de toutes les entreprises sous-tutelle. L’ANAPEX a fait l’état des lieux de son fonctionnement sans aucun souci.

Bien plus, le tract prétend que le Directeur général n’applique pas les recommandations du Conseil d’administration. Encore une blague de mauvais goût sans aucun fait établi. Car, le Directeur général, et régulièrement le Directeur général adjoint, prennent activement part à toutes les sessions du Conseil d’administration dont les rapports sont signés par tous les membres et avalisés par le Ministre de tutelle. Nulle part il n’est fait état de ces manquements imaginaires.

Le tract aligne une série de vocables sans même en comprendre le sens. Le népotisme évoqué n’est étayé par aucun fait probant. Tous ceux qui connaissent l’ANAPEX savent exactement ce que veut dire «népotisme » et à qui ce vocable est intimement attaché.

Encadrée par une mission de l’Inspection générale des finances (IGF) pendant plus d’une année jusqu’à la veille de l’investiture du Gouvernement, la gestion de l’ANAPEX n’a montré aucune faille sur des avantages indus qui auraient été accordés à un groupe de personnes.

Il est de notoriété publique que chaque mission de service doit requérir le quitus du Ministre du commerce extérieur de qui l’ANAPEX dépend. Bien plus, une mission de service est destinée au rayonnement de l’agence et le choix des personnes devant faire partie de la mission sont choisies en fonctions des objectifs de la mission et de leur expertise au sein de l’Agence.

Au moment où ce tract est diffusé, une grande mission de vulgarisation des missions de l’ANAPEX séjourne dans le Kongo central. Il n’y a aucun membre d’une quelconque famille du Directeur Général, ni aucun ami. Ce ne sont que des agents ANAPEX. Ce n’est là qu’une illustration de la transparence qui caractérise la gestion des missions au sein de l’agence.

Quant aux menaces et acharnement dont seraient victimes les agents sans nom ni qualité, personne ne sait de qui et de quoi il s’agit exactement car aucun fait n’a été étayé. Bien plus, le tract reproche au Directeur Général de brandir le nom du Chef de l’Etat, sans indiquer ni le jour, ni l’heure, ni les circonstances de cette déclaration.

C’est simplement le fait que certains agents, certainement soudoyés par des forces obscures, ne supportent le fait que le Directeur général soit loyal au Président de la république. Comme s’il était interdit à un chef d’entreprise de faire son travail et d’être à la fois loyal au Chef de l’Etat.

Tout en se refusant d’étaler la gestion de l’agence dans les réseaux sociaux, il ressort de la lecture de ce tract qu’il vise trois objectifs. Le premier est certainement celui de faire diversion face à certains sujets de l’heure qui intéressent l’opinion.

Le deuxième objectif est celui de détourner l’attention du Chef de l’Etat et du Ministre de tutelle sur l’essentiel, à savoir : comment doter l’ANAPEX des moyens de sa politique tel que recommandé par le Président de la république et voulu par le Ministre.

Le dernier objectif visé par cette digression est de chercher à sauver une structure créée de toutes pièces et qui a singé les missions assignées à l’ANAPEX. Devant le danger de voir cette structure disparaître pour inopportunité, certains milieux s’agitent en espérant obtenir un sursis.

Service de communication/DSI




RDC: Le Sénat valide les mandats de 17 suppléants

Au cours de la plénière de ce mardi 09 Juillet 2024, le sénat de la République Démocratique du Congo a validé les pouvoirs de 17 suppléants des sénateurs ayant renoncé à leur mandat de la chambre haute du parlement pour d’autres fonctions.

Bien avant la validation des pouvoirs de ces nouveaux sénateurs et l’adoption de quelques articles du règlement intérieur, le président du bureau provisoire du sénat Pascal KINDUELO ne se reprochant de rien a fait une communication au sujet du prétendu détournement au sénat. A ce sujet, le président du bureau d’âge a suggéré à la plénière et a obtenu l’adoption de la mise en place d’une commission ad hoc constituée de 11 sénateurs en raison de 1 par province dans l’ancienne configuration du pays.

cette commission devra élucider sur cette question.

La plénière de ce mardi était consacrée également à l’adoption du règlement intérieur de la 4e législature article par article. ce point n’ayant pas été épuisé, le bureau a décidé de renvoyer à demain mercredi 10 Juillet 2024 au cours d’une nouvelle plénière en vue de l’adoption de ce règlement intérieur.

Il convient de noter qu’après son adoption, ce texte sera envoyé à la Cour constitutionnelle pour l’appréciation de sa conformité à la constitution de la RDC par la haute Cour.

 

 

 

Mboshi




Guerre à l’Est du Congo: L’Assemblée Parlementaire Francophone exige le retrait des troupes rwandaises au sol congolais 

L’Assemblée parlementaire Francophone a pris des résolutions fortes contre le Rwanda. Ils sont au total plus de 34 pays membres de cette organisation, qui ont exigé le retrait de l’armée rwandaise sur le sol de la République Démocratique du Congo.

Une victoire de la diplomatie parlementaire menée par la délégation congolaise à ces assises au Canada, sous la conduite de Vital Kamerhe, président de l’Assemblée nationale congolaise, qui salut cette résolution adoptée par la plénière avec le soutien des pays tels que la Suisse, la Belgique, la Côte d’Ivoire, le Sénégal, le Cameroun, la Guinée, pour ne citer que ceux-là.

 

 

 

Mboshi




Situation sécuritaire dans l’Est: Les sénateurs français réaffirment le principe de l’intégrité territoriale de la RDC

En séjour à Kinshasa dans le cadre du renforcement des liens parlementaires entre Paris et Kinshasa, la délégation du Groupe d’amitié France-Afrique centrale du Sénat conduite par son président, le sénateur Guillaume Chevrollier a échangé ce mardi 9 juillet avec la première ministre Judith SUMINWA TULUKA. Au menu de leurs échanges, la situation sécuritaire dans l’est de la RDC, la santé, l’éducation ainsi que la coopération décentralisée entre la RDC et la France.

 

S’agissant de la guerre d’agression qui continue de faire des victimes parmi les populations congolaises, Guillaume Chevrollier a réaffirmé le principe universel de l’intégrité du territoire d’un Etat souverain et préconise une solution pacifique pour la stabilisation de la région.

 

” Nous, ce que l’on souhaite c’est la paix, le respect de la souveraineté des Etats. La paix est le préalable au développement. On appelle à une médiation pour que la paix soit retrouvée dans cette partie de l’Afrique”, a-t-il indiqué.

 

Concernant la coopération décentralisée entre la RDC et la France, ces sénateurs ont fait part à la Cheffe de l’exécutif national des expériences françaises afin d’apporter une contribution au développement du pays.

 

Ce groupe d’amitié France-Afrique centrale qui a pour mission de développer des relations avec les assemblées des pays avec lesquels la France entretient des bonnes relations, regroupe 11 pays pour la plupart francophones.

 

Orchidée




Beni : le tribunal militaire a ouvert les audiences publiques contre l’ancien député provincial Jean-Paul Ngahangondi 

Le tribunal militaire garnison de Beni, au Nord-Kivu a ouvert ce mardi 09 juillet, les audiences publiques contre l’ancien député Jean-Paul Ngahangondi poursuivi pour plusieurs faits infractionnels. L’audience de ce mardi a été consacrée à l’identification du prévenu.

Maître Ghislain Syauswa, l’un des avocats du prévenu soutient que son client est poursuivi par la justice militaire pour participation à un mouvement insurrectionnel, propagation des fausses informations et faux bruits. Griefs que rejette la défense du prévenu.

Au terme de cette première journée, le tribunal militaire a renvoyé la cause à une semaine, soit au mardi 16 juillet prochain. C’était sur une demande de la défense qui motive cette remise par le souci d’avoir une idée générale sur les éléments du dossier. La défense a également introduit une demande de liberté provisoire en faveur de l’ancien député.

À titre de rappel, l’ancien député Jean-Paul Paluku Ngahangondi avait été arrêté par les éléments de l’armée congolaise et ougandaise à Ngite Mavivi sur la RN4, alors qu’il se rendait à Oicha.

 

Alain wayire / Beni




Beni: un civil tué et sa maison incendiée par des inconnus au quartier Ngongolio 

Kathembo Shabani âgé d’une quarantaine d’années et père d’une famille a été tué par des inconnus au quartier Ngongolio, commune de Mulekera en ville de Beni.

Les sources concordantes qui livrent l’information soutiennent que le fait a eu lieu dans la nuit du lundi à ce mardi 09 juillet.

Ces mêmes sources indiquent que ce cas de justice populaire serait lié à une accusation de la famille de Kathembo Shabani d’être à la base de la mort d’un habitat par sorcellerie.

Outre la mort de ce dernier, sa maison et tous ses biens ont été également incendiés.

La même information est confirmée par le bourgmestre de la commune de Mulekera, Commissaire supérieur Dieudonné Ngongo qui condamne ce cas de justice populaire.

Le numéro 1 de cette municipalité décourage cet acte odieux et invite les habitants à orienter les suspects vers les instances compétentes pour l’instruction de leur dossier.

 

Le Commissaire supérieur Dieudonné Ngongo confirme par ailleurs l’ouverture des enquêtes afin de mettre la main sur les auteurs de ce meurtre.

 

Alain wayire/ Beni




Béni: la société civile de Maboya dénonce la tracasserie de la population par des hommes armés  

La société civile forces vives noyau de Maboya déplore le comportement des militaires des Forces armées de la République Démocratique du Congo nouvellement déployés à Maboya, une agglomération située sur la route Beni- Butembo au Nord-Kivu.

Selon son président Gerlance Mutokambali, les tracasseries, extortions de biens, des amandes illegales sont perçues par ces militaires censés protéger la population. Cet acteur de la société civile craint que cette situation soit à la base du déclin du mariage civilo- militaire.

Pour garder un climat de paix, il plaide auprès des autorités militaires de procéder à la relève de ces troupes.

Gerlance Mutokambali invite les habitants à dénoncer mais aussi la justice militaire à ouvrir une enquête pour que les coupables subissent la rigueur de la loi.

Notez que nos efforts pour joindre les responsables de l’armée congolaise n’ont pas abouti.

Alain wayire / Beni




Nord-kivu : l’explosion d’une bombe fait deux morts près de Kanyabayonga 

Deux enfants dont l’âge varie entre 12 et 15 ans ont piétiné une bombe artisanale à Kasugho, village situé au sud-ouest de Kanyabayonga dans le territoire de Lubero, au Nord-Kivu.

Selon les sources locales, le fait a eu lieu ce mardi 09 juillet 2024 vers l’après-midi, alors que ces enfants étaient à la chasse du rang dans le champ.

Ces mêmes sources confirment par ailleurs que l’un a rendu l’âme sur le champ et quelques heures après avoir été conduit à l’hôpital de Kayna

“Ce 09 juillet 2024 à Kasugho, champ situé aux environs de Butalongola village situé à 5 km au sud-ouest de kanyabayonga bwito, 2 garçons viennent de piétiner une bombe, l’un de 12 ans et l’autre 15 ans. L’un a rendu l’âme sur le champ et l’autre à l’hôpital de Kayna, donc ils sont tous morts ” a expliqué un habitat sous anonymat.

Il sied de signaler que cette zone est sous contrôle des rebelles du M23.

 

Alain wayire / Beni




Election du bureau définitif du Sénat : L’Union sacrée de la nation sur le point se s’effondre

Alors que nous sommes à la première année du second (dernier) mandat du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo de surcroît Haute Autorité Politique de l’Union Sacrée de la Notion (cfr le dernier paragraphe du Préambule de la Charte en vigueur de l’U.S.N), un mandat qui devrait se fonder essentiellement sur les valeurs républicaines notamment, l’unité, la paix, la cohésion, la compétence débouchant ainsi sur le travail rationalisé. Ceci constitue le gage de l’émergence du pays en passant par la correction rigoureuse des erreurs orchestrées pendant ce premier mandat caractérisé par des turbulences politiques en paroxysme venimeux et autres antivaleurs. On observe par contre aujourd’hui, un schéma fâcheux des branle-bas ou tourbillons politiques se traçant en interne de la grande famille politique majoritaire “Union Sacrée de la Nation, (U.S.N)”.
Cette triste observation tire ses racines de l’actuel processus électoral au sein du Sénat consistant à installer le Bureau définitif de cette Chambre Haute du Pouvoir Législatif Congolais.
À titre mémorial, dans sa méthodologie de la conquête de pouvoir depuis sa création le 23 Octobre 2020 de la suite du divorce brutal et instantané de la coalition au pouvoir FCC-CACH, l’Union Sacrée de la Nation n’aime quasiment pas aligner deux candidats dans un même poste électif (cfr l’élection de Christophe Mboso et consorts comme membres du Bureau définitif de l’Assemblée nationale, celle de Modeste Bahati et consorts au Sénat (mandat passé) et celle de Vital Kamerhe et consorts à l’Assemblée nationale (mandat en cours)). Ce mécanisme de la conquête de pouvoir est implicitement cristallisé par/dans les prescrits des articles 6 et 7 point 4 de la Charte sus-citée.
Il vous souviendra vite qu’à chaque fois que les candidatures de l’U.S.N aux différents postes sont délibérées par le Présidium(organe de conception, de coordination et de décision de l’U.S.N, lire l’article 31 de la Charte précitée) et entérinées par la Haute Autorité Politique de l’U.S.N, toutes les candidatures égarées des autres membres têtus de cette plateforme politique sont souvent écartées par le Bureau électoral afin de donner la chance à tous les candidats régulièrement choisis par les décideurs politiques de l’Union Sacrée de la Nation de gagner à souhait ces élections. D’ailleurs, pendant la conception des listes électorales de l’U.S.N, si un malaise se fait observer entre les composants de cette Plateforme Politique, sa Haute Autorité Politique a toujours organisé les assises de négociations et de consensus (cas de l’élection des membres du Bureau définitif de l’actuelle Assemblée nationale).
Cependant, une réalité inédite vient de pousser ses racines dislocatrices ou mieux séparatistes à l’organisation au Sénat de l’élection des membres du Bureau définitif où l’U.S.N s’en va en ordre dispersé, ce qui heurte ou scandalise l’unité et la solidarité qui sont parmi les valeurs fondamentales prônées par cette organisation politique.
Mais pourquoi jusqu’à présent la nation congolaise observe le silence total de la Haute Autorité Politique de l’Union Sacrée, le Président de la République sur cette préoccupante situation ? Une complicité pour la mise en œuvre de la crise au sein de l’U.S.N ? Un manque de leadership éclairé à la tête de cette plateforme politique ? Ces questions retiennent l’attention du peuple congolais.
Ce faisant, dans ses attributions telles que retracées par la Charte supra mentionnée notamment dans son article 30, la Haute Autorité Politique de l’Union Sacrée de la Notion (Chef de l’État) devrait se prononcer ouvertement et au dernier ressort sur les noms de candidats devront composer les tickets de sa grande famille politique(U.S.N). Son silence face à cette situation qui touche à la vie nationale empire ou aggrave la crise au sein l’U.S.N avec des conséquences démolisseuses ou dévastatrices ou encore gâcheuses contre la survie politique de son régime confronté à plusieurs vicissitudes ou entraves notamment, l’insécurité permanente, l’inflation monétaire, la vie chère, les détournements perpétrés des deniers publics, l’instrumentalisation de la justice par le politique(une justice malade selon lui-même), la violation des droits fondamentaux des citoyens par le pouvoir et autres maux qui se résument en la mauvaise gouvernance ou mégestion de la chose publique. Il s’agit donc d’une complicité en postulat de la malignité vorace.
Ayant promis publiquement à la population katangaise de donner à l’un de ses ressortissants la tête du Sénat, et les premières informations confirmaient Jean-Michel Sama Lukonde (Katangais) comme le candidat idéal de l’Union Sacrée, le Président de la République devant la pression de sa famille politique UDPS-Tshisekedi, juge mieux de renier ses promesses en sacrifiant Sama Lukonde par silence vis-à-vis des deux candidats de sa famille politique élargie UDPS-Tshisekedi et Alliés, à savoir : Jonas Mukamba Kadiata (FPAU /Équateur-Kasaï) et Afani Idrissa Mangola (UDPS-Tshisekedi/Maniema).
La Haute Autorité Politique de l’Union Sacrée de la Nation refusant d’user de ses prérogatives discrétionnaires lui garanties par la Charte afin de départager ces trois candidats issus de l’U.S.N en choisissant un seul d’entre eux, elle reste donc le seul responsable de la crise qui s’est déclenchée au sein de sa plateforme politique. Cette attitude atteste la carence de leadership éclairé à la tête de ce Club gestionnaire du Pays.
Il sied de noter que, dans le cas où, Sama Lukonde n’est pas élu Président du Sénat, il sera probable que ce dernier avec tous les politiciens qui sont derrière lui y compris son espace linguistique et ethnique Grand Katanga donnent le dos à l’Union Sacrée de la Nation. Cette probabilité pourrait entraîner également le départ des autres acteurs politiques qui accuseront certainement la famille politique présidentielle (UDPS-Tshisekedi et alliés) de mauvais partenaire plein d’égoïsme démesuré dans la logique de la réparation équitable et équilibrée des postes institutionnels. Une révolte devra à ce stade naître au milieu des Sénateurs afin de sanctionner les deux candidats présidents au Sénat de l’UDPS-Tshisekedi et Alliés au profit d’un autre partenaire de l’Union Sacrée de la Nation.
Cette analyse fait observer enfin, la quasi-répétition du scénario du premier mandat du Président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo entre sa plateforme politique, “CACH” et celle de son prédécesseur Joseph Kabila Kabange, “FCC” convenus de gérer le Pays ensemble (coalition), mais les deux camps n’avaient pas su surmonter leurs divergences politiques. Cette absence de leadership au sein de cette coalition avait abouti à sa dissolution au début du premier mandat de Félix Tshisekedi. C’est bien lucide que l’Union Sacrée de la Nation sur ces mêmes pas n’a plus une longue survie politique au regard de l’actuel contexte socio-politique sous le coup de l’impasse en interne.
Neyker Tokolo Pokotoy, Chercheur en Droit administratif et constitutionnel, Journaliste Indépendant et Analyste politique.




Volley-ball: VC Ouragan surprend V. Club 3 sets 2 à l’Euvokin

Quatre rencontres comptant pour la 54è édition du championnat de l’Entente Urbaine de Volley-ball de Kinshasa ‘’Euvokin’’ édition 2023-2024 étaient à l’affiche ce mardi 9 juillet 2024 au gymnase de la Police Nationale Congolaise. En version féminine, l’équipe de V. Club est tombée face à celle d’Ouragan : 2-3(25-19, 23-25, 25-27,, 7-15)

Mardi 09/07/2024

1. V. Club vs Ouragan (D) : 2-3 (25-19, 23-25, 25-27, ?, 7-15)

2. Police vs La Gracia (D) : 0-3 (21-25, 22-25, 20-25)

3. Free Boys vs Espoir (M) : 0-3 (8-25, 18-25, 12-25)

4. Madaka vs Garde Républicaine (M) :

A suivre ce Mercredi 10/07/2024

12h00 : La Loi vs New La Loi (D) :

13h00 : Free Boys vs Bythiah (M) :

14h00 : Green Team vs Espoir (M) :

15h00 : Les Aigles vs Garde Républicaine (M) :

Jeudi 11/07/2024

12h00 : Police vs New La Loi (D) :

13h00 : Canon vs La Loi (D) :

14h00 : V. Club vs La Gracia (D) :

15h00 : Madaka vs Police (M) :

Antoine Bolia