Sécurité à l’Est de la RDC: Le haut commandement militaire instruit à appliquer des mesures fortes pour préserver l’intégrité territoriale

Le président de la République Démocratique du Congo Félix Tshisekedi a présidé la deuxième réunion de la Task force du Haut Commandement militaire, le lundi 8 juillet à Mont Ngaliema à Kinshasa.

Cette réunion a essentiellement porté sur la situation sécuritaire qui prévaut dans la partie Est du Congo, provoquée par les terroristes du M23, tout en évaluant les opérations menées par les forces loyalistes sur terrain.

Au cours de cette séance de travail, le Chef de l’État Congolais en qualité du Commandant suprême des Forces Armées de la RDC (FARDC) et de la Police nationale congolaise, a défini les orientations à suivre et a ordonné au Haut commandement militaire d’exécuter les mesures décidées pour préserver l’intégrité territoriale de la RDC.

Cette deuxième réunion de la Task Force a réuni le Haut commandement militaire, le vice-Premier ministre chargé de la Défense, le ministre des finances, le Directeur de cabinet du Président, les responsables des services de sécurité et certains conseillers du Chef de l’État pour évaluer la situation militaire et sécuritaire dans l’Est de la République Démocratique du Congo.

 

Mboshi




Préparatifs Budget 2025: Aimé Boji pour la mise en œuvre du Programme d’actions du Gouvernement

Le ministre d’État en charge du budget Aimé Boji Sangara a lancé ce lundi 08 juillet, les travaux des consultations pré-budgétaires de l’exercice 2025.

Ces assises qui constituent un cadre de concertation et de discussion, ont réunit autour d’une table les membres des Commissions Économiques et Financières de deux chambres du Parlement, les experts du Gouvernement, les acteurs de la société civile ainsi que les Partenaires Techniques et Financiers, dont l’objectif est d’analyser et améliorer le Cadre Budgétaire à moyen terme (2025-2027).

Dans son discours, le ministre d’Etat, ministre du Budget a axé sa communication sur la vision du Gouvernement de la République relative au Cadre Budgétaire à Moyen Terme 2025-2027.

“Le Cadre Budgétaire à Moyen Terme 2025-2027 soumis à l’analyse,

revêt un caractère particulier, étant donné qu’il doit renfermer une trajectoire susceptible d’assurer la mise en œuvre du Programme d’actions du Gouvernement, chiffré à hauteur de 277 066 milliards de FC, soit 93 milliards de dollars américains”, a déclaré Aimé Boji.

Il a cependant martelé sur le respect de la trajectoire susceptible d’assurer la mise en œuvre du Programme d’actions du Gouvernement, chiffré à hauteur de 277.066 milliards de FC, soit 93 milliards de dollars américains.

Il faut dire que ces consultations vont s’étendre sur une durée de 3 jours, à l’issue desquelles les propositions et suggestions qui en résulteront vont permettre à améliorer le CBMT 2025-2027. De ce Cadre va découler la tranche budgétaire de l’exercice 2025, traduite dans le projet de loi de finances que le Gouvernement de la République entend déposer au Bureau de l’Assemblée Nationale au plus tard le 15 septembre prochain, en vue de se conformer à la Constitution du pays.

Cette cérémonie de lancement a connu la participation de plusieurs membres du gouvernement, dont, le Vice-Premier ministre, ministre de la Défense nationale et Anciens combattants, Guy Kabongo Muadiamvita, le Vice-ministre du Budget Élysé Bokoumwana, la Vice-ministre de Finances, O’Neige Nsele, le secrétaire général au budget et tant d’autres personnalités du pays.

 

Jonsard MIKANDA




Kamerhe persiste et signe : Le Rwanda et l’Ouganda sont sur le territoire congolais avec leurs troupes

Le président de l’assemblée nationale participe à la 49e session de l’AFP à Montréal au Canada. Dans son discours devant les parlementaires Francophones, Vital Kamerhe a dénoncé “le silence assourdissant de la communauté internationale” face à l’agression dont est victime la République Démocratique du Congo de la part du Rwanda et… de “l’Ouganda”.

 

Pour Vital Kamerhe, il n’y a pas meilleure tribune que la 49ème Session de l’Assemblée parlementaire de la francophonie pour dénoncer l’hypocrisie du Rwanda et appeler les États francophones à désapprouver et dénoncer le silence assourdissant de la Communauté internationale face au génocide perpétré sur le territoire Congolais par les armées ougandaise et rwandaise, actuellement en appui aux terroristes du M23.

 

Le speaker de la chambre basse du parlement Congolais n’a pas manqué de fustiger l’attitude de Louise Mishikiwabo, Secrétaire générale de l’OIF, qui, lors de son oral, a parlé de tous les conflits armés à travers le monde sans citer la guerre dans l’Est de la République Démocratique du Congo.

 

Loup solitaire




Pr Liu Gongshe, le père de l’herbe à mouton Zhongke

(Note de l’éditeur : Cet article reflète le point de vue de l’auteur Karim Badolo et pas nécessairement celui de CGTN.)

Pr Liu Gongshe a consacré plus de 30 ans de recherche pour développer des variétés d’une herbe précieuse pour l’alimentation du bétail et la lutte contre la désertification. Il s’agit de l’herbe à mouton Zhongke ou Leymus chinensis. Sa persévérance a permis de développer des variétés du leymus chinensis qui sont utilisées en Chine pour, entre autres, lutter contre la salinité et l’alcalinité de certains sols.

Dans son processus de développement, la Chine a fait de la science et de la technologie des piliers essentiels. Les scientifiques et chercheurs chinois se sont investis dans leurs domaines de compétences respectifs pour proposer des pistes de solutions afin de relever les défis du développement. C’est le cas du Pr Liu Gongshe à l’institut de Botanique qui relève de l’Académie chinoise des sciences à Beijing.

Après ses études en France dans les années 80, il regagne son pays et va consacrer ses travaux de recherche à une herbe sauvage dénommée Leymus chinensis ou l’herbe à mouton Zhongke. Plante de la famille des graminées, le leymus chinensis pousse au nord de la Chine et peut résister à la fois au froid et à la chaleur. Il développe des rhizomes souterrains en forme de réseau, qui peuvent aider à stabiliser les sols et empêcher l’érosion des terres. Au regard des avantages écologiques et nutritifs qu’elle présente, Pr Liu a décidé de lui consacrer ses recherches. Selon ses explications, son travail a consisté en la collecte des différents types du leymus chinensis en Chine. La collecte des différentes ressources génétiques a permis de faire des croisements. Ce qui a donné naissance à plusieurs variétés dont l’herbe à mouton Zhongke. « Pour commencer le travail, il fallait faire la collection des ressources génétiques. Deuxième direction, ce sont les travaux de laboratoire. C’est-à-dire, comprendre la clé, le problème réel. Par exemple, pourquoi le rendement est trop faible ? Pourquoi cette herbe peut fixer le sable ? Troisième partie, c’est-à-dire, sur la base des connaissances scientifiques, est-ce qu’on a des technologies qui peuvent accélérer la compréhension de la science ? Dernière étape, c’est créer une variété qui est stable, qui peut être reproductible », a expliqué Pr Liu.

Au prix de nombreux efforts, le chercheur est parvenu à développer la variété appelée l’herbe à mouton Zhongke. Il s’en réjouit parce que son engagement et sa persévérance ont produit quelque chose de positif. « Nous avons beaucoup de résultats scientifiques. Nous essayons d’appliquer ces résultats dans les prairies. Par exemple, nous avons travaillé pour améliorer les sols alcalins et salins. C’est-à-dire, dans ce type de sol, on peut produire des herbes à mouton avec un rendement raisonnable, nutritif pour les animaux. On l’utilise également dans la protection et le contrôle des désertifications. À notre manière, nous contribuons à la réforme de la civilisation écologique en Chine », a confié Pr Liu Gongshe. Dans les provinces du Gansu, du Jilin et dans la région autonome de Mongolie intérieure, l’herbe à mouton Zhongke a été utilisée pour stabiliser les sols sablonneux, réduire la salinité et l’alcalinité des terres. Elle est également cultivée pour nourrir le bétail. Aux dires du chercheur, l’expérience de l’herbe à mouton Zhongke peut être implémentée dans les régions similaires, écologiquement, ailleurs dans le monde. Au-delà du développement des variétés, Pr Liu et son équipe poursuivent les recherches sur cette herbe précieuse pour découvrir ses propriétés afin d’améliorer sa résistance aux intempéries.

Du haut de sa longue expérience, Pr Liu Gongshe soutient que le travail de recherche scientifique est toute une école de vie. Il affirme que la collaboration et l’ouverture aux autres sont des alliées importantes d’un chercheur qui veut obtenir des résultats. « Nous devons être patients, persévérants et faire preuve d’un sens de l’écoute et d’ouverture dans le domaine de la recherche. La compétence scientifique seule ne suffit pour avancer dans la recherche. Durant ces longues années, j’ai beaucoup appris des autres pour trouver mon chemin », explique le chercheur.




RPDC: «Nos forces armées s’acquitteront, sans tarder, de leur mission et de leur devoir!»

Voici un communiqué de presse (07/07/2024) de KIM Yo Jong, Directrice adjointe de département du Comité Central du Parti du Travail de Corée (PTC, parti présidentiel depuis 1945, NDLR) de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC située au nord de la Péninsule coréenne et créée 3 ans après la Libération Nationale 1945:

  • Puissance nucléaire consacrée à garantir ses droits à l’existence et au développement du Pays et à juguler une guerre pour sauvegarder la paix et la stabilité de la Région et du monde entier
  • Superpuissance politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Bienfaiteurs dont les Généralissimes KIM IL SUNG 1912-1994 et KIM JONG IL 1942-2011, et le Maréchal KIM JONG UN, NDLR):

Récemment, les gangsters militaires de la ROK (ou Republic of Korea ou République de Corée – créée, unilatéralement, un mois avant la RPDC dans le cadre de la division perpétuelle avec son côté Nord – qui tire son origine, avec siège à l’étranger, en 1919 sous la domination 1905-1945 du Japon, sans aucun pouvoir ni autorité restaurés en seule apparence par les USA ayant divisé la Péninsule coréenne en 1945 pour mieux régner, NDLR) ont effectué leurs exercices de tir à la fois sur la terre et la mer, dans les environs de la frontière Sud de notre RPDC.

Alors que leurs exercices de tir sur la mer dans les parages les plus chauds de la Mer de l’Ouest de Corée, interrompus pendant quelque temps, avaient repris ce 26 juin, leurs exercices de tir de canons ont été exécutés depuis ce 2 juillet, simultanément et successivement, dans les secteurs Est et Ouest du Front dans les environs de la frontière Sud de notre Pays. Sans s’en contenter, l’ennemi a déclaré qu’il effectuerait:

  • les exercices de tir de canons et les manoeuvres des unités mobiles, d’une façon régulière
  • de nombreux autres exercices militaires variés, surtout exercices conjoints d’envergure en plein air et exercices de tir conjoints des forces terrestres et navales, dans les environs de notre frontière, cela sur une large échelle.

J’affirme que de tels exercices de guerre de l’ennemi menés ouvertement devant la porte de notre Etat sont une provocation manifeste pour l’aggravation de la situation, qui ne puisse être justifiée par quoi que ce soit.

Dans la Péninsule coréenne et ses environs, a été survenue déjà une situation explosive à cause de toutes formes d’exercices de guerre des forces hostiles, les USA (ou United States of America ou Etats-Unis d’Amérique; occupants du sud de la Péninsule coréenne dès 1945 jusqu’ici avec leurs 1.000 engins nucléaires et 30.000 GI’s coiffés des Casques Bleues censées être ôtées depuis 1975 grâce à la Résolution № 3390B 18/11/1975 de l’Assemblée Générale de l’ONU mais toujours en vain, après leur fiasco dans la 1ère invasion de la Corée en 1866 bientôt recouvré par leur réussite dans la domination 1905-1945 de procuration de toute la Corée par le Japon à travers la collusion USA-Japon 29/07/1905, cela selon l’esprit de leur Destinée Manifeste de 1845, NDLR) en 1er lieu, ainsi que de le déploiement successif de toutes sortes de matériels de guerre de pointe.

Il y a peu de temps (27-29/06/2024), les Freedom Edge, 1ers exercices militaires USA-Japon-ROK multi-domaine ont été effectués dans les parages de notre Etat. C’est le comble de la frénésie de confrontation avec notre RPDC, qui montre nettement que les agissements des forces ennemies, notamment les USA, visant à la domination militaire sur la région de la Péninsule coréenne dépassent la limite du danger.

On peut donc mesurer clairement, qui que ce soit, la dangerosité des exercices de tir téméraires auxquels se livre, dans cette situation critique, l’Armée de la ROK en s’approchant de plus en plus de la frontière de notre RPDC. YOON Suk-Yeol (20ème Président de la ROK, bénéficiaire du soutien de 10-20% selon le dernier sondage d’opinion en ROK, NDLR) et consorts en proie à la pire crise de leur Pouvoir tentent d’«en sortir d’urgence» en aggravant la situation.

Au cas où nous estimons selon notre critère que les fanatiques de guerre ont violé la souveraineté de notre RPDC ou qu’ils ont perpétré une action semblable à une déclaration de guerre, nos forces armées s’acquitteront, sans tarder, de leur mission et de leur devoir assignés par la Constitution de notre RPDC.




A l’IFSA AFRICA 2024, l’ANAPEX présente les opportunités et potentialités économiques et commerciales de la Rdc

En marge de « Tunisia Africa Business Meetings 2024» (TABM), l’ANAPEX a pris part à la conférence de l’IFSA AFRICA 2024 le 5 Juillet 2024 sur le thème: « les Opportunités d’Investissement, de commerce et de collaboration au sein du continent africain ».

L’ANAPEX s’est produite aux cotés des agences GEPA (Agence Ghanéenne de Promotion des Exportations), CEPEX (Agence Tunisienne de Promotion des Exportations), ASEPEX (Agence Sénégalaise de Promotion des Exportations), NIDA (Agence Namibienne de Développement industriel), de la Banque Centrale Tunisienne et du secrétariat de la ZLECAf.




A la 49ème Session de l’APF : Kamerhe dénonce l’hypocrisie du Rwanda et appelle les États francophones à désapprouver le silence de la Communauté internationale

Les députés des pays francophones se réunissent au Canada pendant que deux États voisins de la République Démocratique du Congo, notamment l’Ouganda et le Rwanda (le pays de la Secrétaire générale de l’OIF), tuent dans le Grand-Kivu et la Grande Orientale.

Pour Vital Kamerhe, le président de l’Assemblée nationale de la République Démocratique du Congo, il n’y a pas meilleure tribune que la 49ème Session de l’Assemblée parlementaire de la francophonie (APF) pour dénoncer l’hypocrisie du Rwanda et appeler les États francophones à désapprouver et dénoncer le silence assourdissant de la Communauté internationale face au génocide perpétré sur le territoire de la République Démocratique du Congo par les armées ougandaise et rwandaise, actuellement en appui aux terroristes du M23, à l’origine de plus de 10 millions de morts depuis trois décennies, selon les évaluations des experts de l’ONU, et des millions de déplacés internes. Rien que les dernières interventions de ces deux armées ont provoqué le déplacement de près de 500.000 personnes.

Faisant part d’un drame humanitaire, Kamerhe n’a pas manqué de fustiger comment Louise Mishikiwabo, la Secrétaire générale de l’OIF, a parlé lundi de tous les conflits armés à travers le monde sans citer la guerre dans l’Est de la République Démocratique du Congo, faisant part de la détermination du Parlement national d’amener l’OIF à activer la diplomatie parlementaire en vue de déboucher sur des mesures coercitives et des sanctions contre Kampala et Kigali.

Le speaker n’a pas non plus omis de regretter la faible participation de la RDC, représentée par 10 parlementaires (8 députés et 2 sénateurs) contre une quarantaine pour le Canada et autant pour la France, et absente aux travaux de deux commissions.




Afrique : La Rdc prend la présidence de du Conseil d’administration de l’Union Africaine des Télécommunications 

Le Ministre des Postes, Télécommunications et Numérique, Augustin Kibassa Maliba a pris part ce lundi 08 juillet 2024, à l’ouverture de la 25è session ordinaire du Conseil d’Administration de l’Union Africaine des Télécommunications (UAT). C’est la Première Ministre Judith Suminwa Tuluka qui a donné le go de ces assises qui vont se tenir durant trois jours à Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo (RDC).

Devant les délégués des quarante-huit États membres de l’UAT et plusieurs experts du monde des Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (NTIC), Judith Suminwa a souligné l’importance de ces assises pour son pays la RDC et souhaite que les travaux mettent un point d’honneur sur la coopération entre les pays membres.

“En effet, cela entre dans le cadre d’un des piliers du programme d’actions du gouvernement sur la connectivité globale en RDC. Je souhaite que cette 25è session ordinaire du conseil d’administration de l’UAT soit une réussite. Je voudrais que les travaux mettent un point d’honneur à la coopération entre nos pays”, a-t-elle déclaré.

À son tour, Augustin Kibassa Maliba, Ministre des Postes, Télécommunications et Numérique et tutelle de l’événement, a exprimé sa gratitude à l’UAT pour avoir renouvelé sa confiance à la RDC pour abriter ces assises avant d’expliquer à quel point le Chef de l’État Félix Tshisekedi accorde la priorité à la transformation numérique pour le développement intégral du Congo.

“C’est pour nous une marque de reconnaissance non seulement de notre position géographique stratégique, au cœur de l’Afrique, mais aussi du rôle que nous jouons dans la promotion et le soutien des initiatives visant à améliorer les infrastructures des télécommunications au sein de notre continent”, a-t-il indiqué.

Et d’ajouter, “(…) Son Excellence M. Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo a défini la vision du secteur des Télécommunications et du numérique à savoir : faire du numérique congolais un levier d’intégration, de bonne gouvernance, de croissance économique et de progrès social. Pour matérialiser cette vision, le Gouvernement piloté par Madame Judith Souminwa a donné la priorité à la transformation numérique, comme indiqué dans le plan national stratégique du développement, le plan national du Numérique et le programme du Gouvernement”.

Le patron des PT-N en RDC se réjouit aussi d’un point important qui sera abordé durant cette session, à savoir le rapatriement du siège de l’UAT dans son pays.

“Le rapatriement du siège de l’UAT en RDC est notre priorité stratégique visant à renforcer notre position et notre leadership au sein du continent africain. Je tiens à réaffirmer l’engagement de la RDC à œuvrer toujours aux côtés de ses pairs africains pour trouver des solutions idoines à travers des échanges, des réflexions permettant à harmoniser nos cadres politiques et stratégiques afin de réaliser les objectifs de l’Agenda 2063 de l’Union Africaine “, a-t-il conclu.

Cette 25è session ordinaire du Conseil d’Administration de l’UAT permettra d’adopter des lignes directrices ainsi que certaines orientations et positions qui vont guider les politiques et les stratégies des États membres sur le plan technique, juridique et de la coopération.

Plusieurs États participent aux travaux qui sont présidés par le Secrétaire général de l’UAT, John Omo et le Président du collège de l’Autorité de régulation de la poste et des Télécommunications du Congo Christian Katende.

Un autre point important à soulever c’est la prise par la RDC de la présidence du Conseil d’administration de l’Union africaine des télécommunications (qui était tenue par le Rwanda) pour une durée d’un an.