Ces 11 et 12 juillet, KIM JONG UN, Secrétaire Général du Parti du Travail de Corée (PTC, parti présidentiel depuis 1945, NDLR) et Président des Affaires d’Etat de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC située au nord de la Péninsule coréenne et créée 3 ans après la Libération Nationale 1945:
– Puissance nucléaire consacrée à garantir ses droits à l’existence et au développement du Pays et à juguler une guerre pour sauvegarder la paix et la stabilité de la Région et du monde entier
– Superpuissance politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Bienfaiteurs dont les Généralissimes KIM IL SUNG 1912-1994 et KIM JONG IL 1942-2011, et le Maréchal KIM JONG UN, NDLR),
a dirigé, sur place, les travaux de construction de la Ville Samji-yon (où se trouve le Mont Paektu-san, mont ancestral de la Nation et sacré de la Révolution d’où l’objet du pèlerinage de toute la Nation, le plus haut de la Péninsule coréenne avec 2.750m et classé 1er parmi les 6 monts célèbres de la Péninsule pour son paysage magnifique; le nom provient de ce qu’il est enneigé pendant toutes les 4 saisons, d’où le mont-blanc dont l’environnement naturel est formé à la suite des 31 éruptions volcaniques 939-1925, NDLR). Il a été accompagné par:
– KIM Tok Hun, membre du Présidium du Bureau Politique du Comité Central du PTC et 1er Ministre
– d’autres cadres principaux du CC du PTC, dont JO Yong Won, RI Il Hwan et KIM Jae Ryong.
Lors de sa dernière (14/11/2021) visite dans cette ville transformée en modèle de ville montagneuse moderne, en ville provinciale standard, il avait:
– dressé, avec fierté, le bilan des travaux de construction de la Ville accomplis avec succès pendant 4 ans suivant le dessein et la volonté du PTC
– défini les tâches et les moyens pour mieux l’aménager en un secteur de pèlerinage aux anciens théâtres de combat révolutionnaires (dans la Résistance contre le Japon: le plus obsédé ou ambitieux de l’expansion d’outre-mer avec sa 1ère invasion 1592-1598 de la Péninsule coréenne – sa plus voisine géographique – et stigmatisé Etat ennemi par la Charte de l’ONU du fait de ses crimes immoraux les plus graves contre l’Humanité commis pendant sa domination 1905-1945 de la Corée occupée sous la collusion USA-Japon 29/07/1905, tels que le kidnapping et la réquisition forcée de 8,4 millions de jeunes et adultes coréens comme pare-balles et pour les travaux forcés, le massacre atroce de 01 million des Coréens et le système d’esclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200 milles Coréennes, etc., NDLR), en un secteur touristique, comme impulser vigoureusement les travaux de construction routière et ferroviaire conformément au changement du cadre de vie de la Ville, prendre des mesures de protection de l’environnement écologique et des forêts et construire en supplément des auberges et des hôtels.
Les projets de construction supplémentaires ont été réalisés, pour l’essentiel, suivant les directives de KIM JONG UN et les décisions de la session plénière du CC du PTC. Ont été terminés les travaux de construction de:
– Musée de la Révolution de Samji-yon
– une quarantaine de bâtiments publics et productifs, y compris les établissements de services
– plusieurs dizaines de logements destinés à leurs personnels
– routes totalisant plus de 230km.
Certains travaux inachevés, entre autres reconstruction de l’Aéroport et construction du chemin de fer, sont impulsés ou en cours de préparation. KIM JONG UN a:
– parcouru plusieurs endroits de la Ville pour se renseigner en détail sur l’état de construction
– apprécié, hautement, les bâtisseurs qui avaient remporté les succès excellents en soutenant les efforts responsables dans les travaux importants prévus pour aménager au mieux la Ville en point d’appui puissant pour l’éducation aux traditions révolutionnaires et en modèle de ville montagneuse hautement civilisée
– fait remarquer, d’un ton ferme, l’irresponsabilité des cadres dirigeants révélée au cours de la construction et une série de défauts graves qui en ont découlé, et recommandé de prendre les mesures nécessaires
– fait le tour des hôtels nouvellement construits à l’intention des touristes du Pays pour dire: Les travaux ont été menés sans respecter les règles élémentaires pour une bonne construction, contrairement aux exigences de l’époque en évolution et avec une norme caduque et arriérée, et à cause de cela, il faut reconstruire et réparer les bâtiments nouvellement construits.
– mentionné l’obstacle que faisait cette entreprise anormale à l’élaboration du plan prospectif général pour le développement de la Ville, et les pertes économiques causées
– critiqué, sérieusement, l’extrême négligence professionnelle de l’organisme de surveillance du BTP ayant fait une conduite irresponsable: tolérer de graves défauts au cours du contrôle du bâtiment achevé et autoriser l’utilisation de bâtiments comportant pareils défauts
– noté: Je souligne, toujours à la 1ère occasion, la nécessité d’accroître le rôle des organismes de surveillance du BTP; mais, les cadres de ce secteur écoutent avec indifférence la demande, les directives et l’avertissement du CC du PTC et du Gouvernement; le seul fait que celui qui est responsable du Ministère de la Surveillance Nationale du BTP n’a nullement participé au contrôle des installations publiques achevées de la Ville Samji-yon montre nettement son esprit détendu et sa négligence professionnelle parvenus à leur paroxysme; RI Sun Chol, Ministre de la Surveillance Nationale du BTP ne s’est pas rendu même une seule fois à la Ville Samji-yon jusqu’à ce jour depuis le mois de décembre de l’année passée, alors qu’on a commencé le contrôle des bâtiments achevés en ne confiant cette tâche qu’aux cadres de l’Etat-major sur place; l’ex-Ministre de la Surveillance Nationale du BTP, même s’il se trouvait sur place, a passé son temps à ne rien faire, avec une attitude irresponsable; ce sont les gens déloyaux qui n’ont aucune intention de servir l’Etat et le Peuple, ni la morale ni la qualité élémentaires dignes de fonctionnaires d’Etat.
– ordonné d’interdire non seulement l’exercice de leurs droits et de les livrer immédiatement auprès d’un organisme judiciaire pour l’examen de leurs cas mais aussi les activités de tous les membres du comité de contrôle du bâtiment achevé de l’Etat-major de construction de la Ville Samji-yon, en question, et de les mettre en cause rigoureusement, et de destituer le Directeur adjoint de Département de l’Organisation et de la Direction du CC du PTC qui travaillait en tant que responsable du Groupe politique du secteur du BTP
– poursuivi: Le point de vue et la capacité de travail d’un Vice-1er Ministre ayant négligé sa mission de diriger l’ensemble des travaux de construction en s’occupant uniquement de la construction de logements (plus de 50.000 en 2021-2025, NDLR) dans la Ville Pyongyang (Capitale de la RPDC, source de la Civilisation Taedong-gang de 5.000 ans avec son 1er Etat Co-Joson ou Corée antique, NDLR) et des responsables de l’organisme national de conception, privilégiant leur goût, devaient aussi être réexaminées sans faute.
– souligné une fois de plus: Comme le montrent clairement les défauts révélés dans la construction de la Ville Samji-yon, si les cadres dirigeants sont irresponsables et que la surveillance du BTP n’est pas rigoureuse, seront produits les graves résultats: les idées architecturales Juché (idéologie directrice éternelle depuis 1930, NDLR) du PTC et sa politique de construction ne sont pas appliquées correctement, et les intérêts de l’Etat et du Peuple subissent des préjudices et sont violés, assurant que tout sera redressé au plus tôt.
– proposé les tâches de haute importance visant à aménager la Ville Samji-yon en une ville dotée d’une civilisation plus nouvelle et plus innovatrice en conformité avec les exigences actuelles toujours croissantes
– exposé le projet du PTC d’aménager la Ville Samji-yon en modèle de la ville montagneuse septentrionale du Pays, en zone touristique montagneuse, originale et complexe, ouverte à toute saison, pour ainsi satisfaire au mieux les besoins culturels et esthétiques du Peuple et activer le tourisme international
– dit: La nature de la région du Mt. Paektu-san, entourée de forêts vierges et de hautes montagnes est notre précieuse ressource digne d’être vantée. Il faut aménager admirablement le secteur touristique et culturel du Mt. Paektu-san, mont célèbre d’ordre mondial, pour en faire un endroit recherché par notre Peuple et les gens de différents Pays, et veiller à ce que l’industrie touristique constitue une force motrice importante pour le développement local.
– fait remarquer: Le Secteur Phothae, terrain inexploité de la Ville Samji-yon, ayant de grandes précipitations nivales, est une région montagneuse propice au tourisme pour les sports et l’expérience tant sur le plan naturel et géographique que climatique.
– discuté sur le problème qui se posait pour impulser, dans les 2 ans, la construction d’un site de villégiature d’envergure pour le tourisme de ski
– défini les tâches par étape qui s’imposaient pour construire une station de ski et un site de villégiature autour du Mt. Puk-phothae et reconstruire l’Aéroport Samji-yon et construire une ligne de chemin de fer pour le tourisme, ainsi que l’orientation et les moyens pour une exploitation et une utilisation efficaces des ressources touristiques de la Ville Samji-yon.
– affirmé: Depuis longtemps déjà, notre PTC a toujours souligné que l’architecture est un critère important qui montre intuitivement le degré de civilisation du Pays et de la Nation, ainsi que le niveau de développement d’une société déterminée; il faut construire les installations de tourisme culturel de la Ville Samji-yon comme des constructions développées à la coréenne, ayant associé les caractéristiques nationales et la modernité.
– poursuivi: Chaque construction reflète la pensée de l’époque donnée et son niveau de civilisation. Par conséquent, le BTP est précisément le travail idéologique important. Il faut implanter le Juché dans l’architecture en vue de matérialiser, parfaitement, le sentiment de la valeur de notre Nation et l’idée de primauté des masses populaires. Il nous convient d’aménager le site de villégiature de tourisme de ski au secteur du Mt. Puk-phothae en un lieu de repos au service du Peuple matérialisant impeccablement l’idée de notre PTC en matière d’architecture, axée sur les masses populaires, et reflétant leurs exigences.
– présenté de nouvelles tâches qui se posaient dans l’amélioration du confort pour l’ascension du Mt. Paektu-san et l’activation incessante du pèlerinage aux anciens théâtres de combat révolutionnaires, dont la construction et le pavement de la 2ème ligne de la route touristique d’ascension dudit Mont, et l’installation de la voie ferrée touristique jusqu’au secteur Mudu-bong.
– indiqué: Il revient d’aménager et d’agrandir, graduellement, des établissements d’hébergement et de service et des installations de transport, y compris chemin de fer et téléphérique, pour les pèlerins et touristes dans des régions montagneuses de la banlieue de Samji-yon. Il faut développer le tourisme montagnard en une industrie d’avenir conformément aux caractéristiques naturelles et géographiques de notre Pays où les montagnes couvrent près de 80% du Territoire (123.214km2). Il est important de perfectionner les dispositifs législatifs et institutionnels pour la protection de la nature et de l’environnement. L’immense construction du secteur touristique de Samji-yon est un travail de signification importante destiné à présenter largement la nature du Pays, à améliorer davantage le niveau de vie culturelle et récréative du Peuple et à s’assurer la force motrice pour le développement local grâce à l’industrie touristique. Il est indiscutable que le secteur touristique et culturel du Mt. Paektu-san que nous projetons d’aménager dans un proche avenir deviendra un site touristique séduisant les amis étrangers amicaux.
Une réalité miraculeuse marquée d’un amour ardent pour le Peuple apparaîtra dans un proche avenir à Samji-yon d’intérêt historique à l’étonnement global, grâce à l’éminente direction de KIM JONG UN, génie de la création et de la construction, père affectueux du Peuple, qui travaille à réaliser son projet d’édification d’un nouveau monde prospère en se donnant corps et âme au bonheur du Peuple et à la prospérité de la Patrie.

C’était sa toute première descente ce samedi 13 Juillet 2024 dans ce territoire, depuis les élections controversées du 20 Décembre 2023 et de sa reconduction dans le gouvernement dirigé par Mme Suminwa Tuluka Judith Première Ministre. La soif était énorme dans le chef de la population de ce coin, qui attendait connaître la vraie version des faits, depuis l’annulation des résultats par la Ceni.

Juste à l’entame de son speech, Didier Mazenga Mukanzu va éventrer le boa, en éclairant la lanterne avec des preuves tangibles, sur toutes les fausses accusations qui pesaient faussement sur sa personne, un exercice simple, certaines personnes mal intentionnées l’ont accusé d’avoir volé des machines à voter, alors qu’après compilation des résultats, Didier Mazenga obtiendra plus de 50.000 voix comptabilisées dans les différents centres de vote, or une machine à voter produit près de 450 bulletins de vote, ce qui revient à dire, que Didier Mazenga Mukanzu aurait volé plus de 100 machines, ce qui est totalement inadmissible. Cette vérité révélée au grand jour, a mis tout le public d’accord et a enfin réalisé, qu’elle a été désabusée par les politiciens véreux et en perte de vitesse.

Didier Mazenga Mukanzu a vivement remercié le Chef de l’Etat, Président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo dont il incarne la vision, pour l’avoir permis de l’accompagner dans son deuxième mandat et pour l’avoir honoré au Tchad, après le succès récolté à l’élection présidentielle.

Près de 40 minutes de communication, Didier Mazenga Mukanzu très éloquent, soucieux de voir le territoire de Masimanimba s’épanouir, il a dénoncé la haine et la jalousie qui gangrènent leur territoire et les luttes fratricides qui les divisent, en appelant tous les fils et filles du terroir à s’unir et à s’aimer, afin de voir Masi se développer.

Cette année et l’année prochaine, la croissance économique (a) mondiale devrait être inférieure de près d’un demi-point de pourcentage à la moyenne enregistrée au cours des cinq années qui ont précédé la pandémie de COVID-19. Pourtant, en 2024-2025 les prix moyens des produits de base (a) devraient rester près de 40 % au-dessus des niveaux de 2015-2019 (figure 1).

Les prix de l’énergie et des denrées alimentaires, par exemple, devraient baisser, mais rester supérieurs d’environ 40 % et 30 % respectivement à leurs moyennes de 2015-2019. Les prix des métaux de base devraient augmenter légèrement cette année et l’année prochaine, pour atteindre une moyenne d’environ 40 % supérieure à celle de 2015-2019.

Figure 1 : Hausse des prix des produits de base, ralentissement de la croissance

Pour résumer, le monde semble être entré dans une « nouvelle normalité », qui se caractérise par une déconnexion entre la croissance mondiale et les prix des produits de base.

Quatre facteurs au moins expliquent cette tendance :

L’offre mondiale de pétrole reste limitée (a). Depuis début 2023, l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et ses alliés de l’OPEP+ ont retiré du marché une part substantielle de l’offre mondiale, en augmentant et en prolongeant progressivement les réductions de production face à une demande jugée atone (a). Fin juin, les membres de l’OPEP+ retenaient plus de 6 millions de barils de pétrole par jour, soit près de 7 % de la demande mondiale (figure 2). Cette situation, conjuguée à un surcroît d’attention portée à la rentabilité à court terme dans le secteur du pétrole de schiste aux États-Unis — qui freine l’ajustement de la production à la hausse des prix — favorise l’augmentation des cours du pétrole. Depuis le début de 2024, le prix du baril de Brent oscille entre 75 dollars et un peu plus de 90 dollars. Cette tendance devrait se poursuivre l’année prochaine, avec une moyenne de 79 dollars le baril.

Figure 2 : L’OPEP+ poursuit ses baisses de production

La demande chinoise de matières premières résiste bien malgré le ralentissement de la croissance économique. La faiblesse de la croissance mondiale reflète dans une large mesure le ralentissement de l’économie chinoise (a), qui résulte en partie de la chute du secteur immobilier. Entre 2015 et 2019, la Chine a affiché une croissance moyenne de 6,7 % par an, contre 4,5 % environ en 2024-2025, selon les estimations. Si l’on ne tient pas compte de la période 2020-2022, qui a été fortement marquée par la pandémie et ses répercussions, il s’agit du rythme de croissance le plus lent que le pays ait connu depuis plusieurs décennies. La Chine étant le plus gros consommateur mondial de métaux et d’énergie, on pouvait s’attendre à ce que la crise de l’immobilier réduise considérablement son appétit pour les matières premières. Or, ce n’est pas ce qui s’est produit jusqu’à présent. Au contraire, la demande de produits de base industriels s’est montrée solide, soutenue par les investissements dans les infrastructures et par la priorité stratégique qu’accorde la Chine à l’accélération des capacités industrielles dans des secteurs clés, notamment l’électronique et les véhicules électriques. Ces facteurs compensent au moins en partie la faiblesse de la demande de matières premières émanant du secteur immobilier (figure 3).

Figure 3 : En Chine, hausse des prêts au secteur industriel

Le changement climatique stimule la demande de métaux et perturbe la production agricole. La lutte contre le changement climatique est un facteur d’une importance croissante pour les marchés des matières premières (a). À l’échelle mondiale, les investissements à forte intensité de métaux dans les technologies énergétiques propres enregistrent une croissance à deux chiffres (figure 4). Il en résulte de fortes incitations à accroître la production de métaux, en particulier le cuivre et l’aluminium, qui sont essentiels pour les technologies vertes. Cependant, en raison des longs délais de mise en service des nouvelles mines, l’offre restera probablement limitée pendant un certain temps, ce qui pourrait maintenir les prix des métaux de base à un niveau relativement élevé. Par ailleurs, sur les marchés des produits agricoles, les évènements météorologiques liés aux dérèglements du climat se sont traduits récemment par une réduction de l’offre de cacao et de café, ce qui a fait grimper les prix à des niveaux record. Les pénuries dues aux maladies et aux catastrophes risquent de devenir de plus en plus fréquentes à mesure que les températures augmentent et évoluent.

Figure 4 : Hausse des investissements dans les énergies propres

Les tensions géopolitiques se sont intensifiées. Les prix des produits de base sont restés élevés et volatils en partie en raison des chocs géopolitiques survenus au cours des deux ans et demi qui viennent de s’écouler. Après une hausse rapide en 2021, ces prix ont bondi au début de 2022 lorsque l’invasion de l’Ukraine par la Russie a déstabilisé les marchés de l’énergie et des céréales. Ils ont atteint un sommet à la mi-2022, avant de chuter de manière substantielle. Cette baisse s’est toutefois interrompue à partir de la mi-2023, à la suite de la réduction de l’offre par les pays de l’OPEP+. Puis, le déclenchement d’un nouveau conflit au Moyen-Orient a ravivé les inquiétudes géopolitiques, entraînant des fluctuations de prix en octobre dernier. En avril 2024, avec l’escalade des tensions au Moyen-Orient, le pétrole est repassé au-dessus de 90 dollars le baril, tandis que l’or, particulièrement réactif à la situation géopolitique, atteignait des sommets historiques.

Les tensions géopolitiques resteront une menace majeure tant pour l’évolution des prix des produits de base que pour les perspectives de la croissance mondiale, renforçant les risques de nouveaux chocs du côté de l’offre (figure 5). Selon certains indicateurs, le nombre de conflits armés n’a jamais été aussi élevé depuis des décennies (a). Toute escalade d’un conflit qui entraverait sensiblement la fourniture d’énergie pourrait entraîner une flambée des prix des matières premières en général. L’inflation mondiale pourrait alors repartir à la hausse, ce qui pourrait retarder l’assouplissement monétaire prudent que les banques centrales devaient mettre en œuvre dans les mois à venir.

Plus généralement, la combinaison de multiples conflits armés et d’un environnement géopolitique de plus en plus agité menace d’amplifier les incertitudes, d’entamer le moral des consommateurs et des entreprises et d’alimenter la volatilité des marchés financiers. L’histoire montre qu’un risque géopolitique accru est associé à un affaiblissement de l’investissement et à des risques importants de baisse de la croissance. Il est donc impératif que la communauté internationale trouve un moyen de désamorcer les tensions et redouble d’efforts pour soutenir les pays les plus vulnérables.

Figure 5 : Augmentation des risques géopolitiques

Pour l’instant, la hausse des prix des produits de base fournit aux pays qui en exportent une occasion décisive de progresser. Nombre d’entre eux devraient en effet enregistrer une croissance plus rapide au cours des prochaines années qu’au cours de la période 2015-2019. Il leur faut donc saisir cette chance pour restructurer leur économie avec le souci d’une prospérité à long terme. Pour commencer, ces pays pourraient s’attacher à se doter d’institutions plus solides (a), capables d’utiliser ces revenus exceptionnels de manière à corriger les déséquilibres budgétaires (a). Ils devraient également constituer des réserves de change et renforcer la crédibilité de leur banque centrale.

Alors que l’économie mondiale se remet des chocs de ces dernières années et s’approche du milieu de la décennie, plusieurs tendances s’affirment qui influent considérablement sur les marchés des produits de base et les perspectives de croissance. Les catastrophes imputables aux conditions météorologiques sont de plus en plus fréquentes. La demande de métaux liée à la transition énergétique s’intensifie. Les tensions géopolitiques se sont amplifiées et ne montrent aucun signe d’apaisement. Dans ces conditions, une période prolongée de hausse des prix des matières premières dans un contexte de croissance modérée pourrait devenir la norme.

Les rideaux sont tombés, ce 13 juillet 2024, sur le congrès des experts comptables, organisé par l’Ordre national des experts comptables (ONEC) et qui avait pour thème principal : « La Rdc face aux défis de la transparence financière ». Sans nul doute, le choix de ce thème traduit l’ambition de l’ONEC de se positionner comme une des institutions majeures dans le processus d’amélioration du risque-pays de la Rdc tant il est vrai qu’au vu de son classement en matière de perception de la corruption, de transparence financière et de niveau du climat des affaires en général, des progrès significatifs et rapides sont plus que nécessaires.

Pour Benjamin Nzailu, président de l’Ordre national des experts comptables (ONEC), le thème principal du congrès était la transparence financière. Pour l’atteindre, il faut une interaction des parties prenantes. « Nous reconnaissons que c’est un enjeu important pour notre pays et la profession comptable peut jouer un rôle important : promouvoir et permettre cette transparence, améliorer la gouvernance au niveau du pays, un élément important pour le développement économique », explique-t-il.

Au sujet des sujets tels que la corruption et le détournement qui sont en vogue en Rdc, il précise que ce ne pas un problème de responsabilité. C’est le rôle que reconnait la communauté nationale à notre profession. « Regardez, notre pays a reconnu l’importance de la profession assez tardivement. Dans d’autres pays, l’ordre existe depuis 30 à 40 ans. Si vous allez dans les pays de vieille tradition, vous allez vous rendre compte que les ordres comptables ont une existence de 150 ans. Nous nous sommes dans notre première décennie, il faut considérer le tout en termes de maturité. Il faut que l’ordre croisse pour que son rôle soit bien compris et que même les membres de l’ordre soient plus compétents pour rendre des prestations professionnelles », indique-t-il.

Le président de l’Ordre national des experts comptables (ONEC) estime que ce ne pas seulement question des résolutions, mais il faut avoir un esprit pour que la confiance soit placée en la profession comptable et les membres doivent mériter cette confiance.

La prochaine étape, dit-il, c’est la préparation des actes du congrès que les idées peuvent circuler dans le pays, ce qui permettra aux autorités d’entrer en contact avec nos idées. Dans trois ans, on aura un congrès plus important qui va attirer beaucoup de gens. Il a terminé par dire qu’il veut une profession de qualité et nous avons besoins des partenaires techniques et financiers qui sont disposés à nous accompagner.

Les participants s’expriment

Venue du Nord-Kivu, Mme Douée a retenu de ce premier congrès de l’ONEC beaucoup d’éléments. D’abord, on a commencé par nous rappeler ce que nous sommes, nos exigences liées à la compétence et à l’indépendance, sont les deux grands piliers d’un expert-comptable. « Nous avons eu connaissance de tous les partenaires à notre activité, notamment les entreprises qui sont nos clientes publiques et privés, surtout quand on intervient soit comme commissaire aux comptes ou expert-comptable. Notre partenaire éternel qui est le gouvernement congolais, nous sommes sensé lui apporter le soutien pour la mobilisation des recettes en certifiant ses comptes régulièrement », révèle-t-elle.

M. Socrate Ibushi de Lubumbashi dans le Haut Katanga a retenu que la qualité du travail est un élément déterminant par rapport à la transparence, il faut aussi ajouter que dans la profession, il y a la notion de sincérité liée à la perfection des experts comptables. La compétence vient de la remise en question à tout moment.

JMNK

Une forte délégation gouvernementale composée des ministres, députés nationaux et opérateurs économiques de la région avec à sa tête le vice-premier ministre et ministre de l’intérieur, Jacquemain Shabani sejourne à Butembo, dans la province du Nord-Kivu, depuis ce samedi 13 juillet 2024.

Dans sa suite figure Muhindo Nzangi, ministre du Développement Rural et le vice-ministre en charge des Affaires Coutumières Mwami Jean-Baptiste Ndeze.

Rien n’a filtré sur l’objet de leur mission dans cette région. Des langues se lèvent pour signaler que c’est pour des raisons humanitaires que cette délégation serait venue, alors que la situation sécuritaire reste précaire au Sud du territoire de Lubero avec l’avancée des terroristes du M23.

Voilà pourquoi le collectif de mouvements citoyens et groupes de pression de la ville de Butembo avait annoncé plusieurs actions dans la ville, notamment, des journées ville morte et des marches de Butembo à Musienene, près des entités sous contrôle du M23.

Alain Wayire/Béni

Au total, 13 personnes sont mortes et plusieurs biens emportés. Tel est le bilan encore provisoire d’une nouvelle attaque des miliciens de la coopérative pour le développement du Congo, Codeco, déplorée le matin du samedi 13 juillet 2024 à plutôt, un village situé près de Mungwalu, secteur Banyali-Kilo, dans le territoire de Djugu en Ituri.

C’est le chef de secteur Banyali-Kilo, Justin Innocent Madukala qui livre la nouvelle, tout en précisant que les miliciens seraient venus se ravitailler en ration alimentaire et autres produits.

L’autorité locale déplore également la parte en vies humaines d’une dizaine de ces compatriotes, et rappelle aux miliciens Codeco, signataires de l’acte d’engagement de cessation des hostilités de respecter leur signature.

Néanmoins, certaines sources non officielles soulignent la présence des tracts dans la zone annonçant des attaques sanglantes contre les villages du secteur Banyali-Kilo.

Notons que cette attaque intervient après un moment d’accalmie observé dans la zone.

Alain Wayire/ Beni

Dans la foulée du tirage au sort effectué jeudi 11 juillet au Caire, la CAF a publié la liste des stades autorisés à abriter les matchs du 1er et 2e tours de la Ligue des Champions et Coupe de la Confédération.

Pour ces deux compétitions, la RDC a deux stades retenus à savoir le Stade des Martyrs de Kinshasa et le Stade Mazembe de Lubumbashi. Le Temple des Badiangwenas s’améliore constamment à chaque fois que les exigences modernes l’imposent.

Le chairman Moïse Katumbi l’a toujours dit : “le stade Mazembe est ouvert à tous les clubs de la RDC”. Exempté du premier tour de la Ligue des Champions, le TPM recevra son adversaire dans son stade lors de la 2ème phase éliminatoire de la Ligue des Champions.

Selon son classement très honorable, le TPM était exempté du premier tour de la Ligue des Champions de la CAF. Pendant le tirage au sort effectué ce jeudi 11 juillet au Caire, les Corbeaux étaient intéressés par la combinaison de leur potentiel adversaire, se situant dans le pot 2.

Et, le verdict est tombé sur le choc entre les Malawites du Nyasa Big Bullets FC et les Zambiens de Red Arrows. C’est le vainqueur de ce duel qui affrontera le TPM au second et dernier tour des éliminatoires. Les deux clubs s’affronteront le week-end du 16 au 18 août pour le match aller tandis que le match retour interviendra une semaine plus tard. Le TPM, lui, entrera en lice le week-end du 13 au 15 septembre.

Coup d’œil sur ces deux potentiels adversaires

Nyasa Big Bullets Football Club

17 fois champion du Malawi. Son seul gros fait d’armes en campagne africaine date de 2004 lorsqu’il a atteint la phase des groupes de la compétition. C’est également une récente connaissance des Corbeaux. Lors de l’édition précédente, le TPM avait ouvert sa saison africaine par une victoire (0-1) à Lilongwe avant de se régaler (4-0) à Kamalondo. Au crédit de la formation malawite : “C’est une équipe qui sait jouer au ballon”, avait reconnu le coach Lamine NDIAYE

Et Red Arrows FC ?

C’est le nouveau club sensationnel du football zambien. Après avoir surpris les cadors (Power Dynamos, Nkana, Zesco ou Zanaco) en 2022 en remportant le titre national, les « rouge et blanc » ont récidivé en 2024. Ils en seront à leur 3ème participation en Ligue des Champions après 2005 et 2022. Ils proposent un football physique avec des capacités de bien finir des actions intéressantes.

Que la Ligue des Champions commence.

L’Eglise Cité Bethel, une Assemblée locale de Masina Petro Congo est située au numéro 16, avenue Solidarité, quartier Alivia. Elle est dirigée par le pasteur titulaire Grégoire Basume et de son assistant Papa Percy Luanga. Michel Tankoy, Salomon Milonga, Julien Bakumbane, Papa Adolphe, Papa Augustin Muamba, Papa Boshab, Papa Milolo, ……sont des prédicateurs de pointe formés pour l’édification des membres de l’église.

Chaque mardi de la semaine, l’église Cité Bethel, assemblée locale Petro Congo, organise un enseignement de partage sur divers thèmes bibliques pour une meilleure compréhension de la parole de Dieu. Le pasteur titulaire, Grégoire Basume assume personnellement ces enseignements sauf empêchement, chaque mardi de 17h30 à 19h30.

L’introduction à l’évangile selon Saint Jean a été présentée ce mardi 9 juin 2024 par l’Assistant du pasteur Grégoire Basume empêché. Il a fait la différence entre l’évangile qui est la prédication de la parole de Dieu et l’épître qui est une lettre adressée à une communauté chrétienne comme par exemple les épîtres de l’apôtre Paul de Tarse aux églises primitives.

L’évangile selon Jean serait écrit vers l’an 85-90 après Jésus Christ. Jean est l’apôtre de Jésus-Christ qui a le plus vécu. Il a écrit le quatrième évangile, qui est le livre le plus important et très différent des autres évangiles. Il n’a pas repris les éléments de la vie de Jésus contenus dans les autres évangiles de Pierre, Matthieu et Marc.

Son évangile se veut un complément d’informations pour expliquer que Jésus-Christ est le Messie venu apporter la vie éternelle et le salut de l’humanité. L’apôtre Jean est cité plus de 20 fois dans les autres évangiles, mais non cité dans l’évangile selon Jean où il est désigné comme le disciple le plus aimé par le maître (on peut lire Jn 13:23, Jn19:23, Jn20:2). Il est le frère de Jacques tous deux fils de Zébédée.

Simon Pierre était frère à André et Jean était frère à Jacques. Dans Marc 3: 16-18, Jésus appelle Jean par le surnom de fils de tonnerre. C’était un groupe des disciples qui ont rejoint Jésus-Christ après son baptême par Jean Baptiste

Les trois apôtres qui avaient vécu la transfiguration. On peut lire ça dans 1 Jn1: 1-4.; Après l’Ascension de Jésus, et l’effusion du Saint Esprit le jour du Pentecôte, l’apôtre Jean a fait partie des piliers ou colonnes de l’église primitive avec Céphas et Jacques. L’apôtre Jean a écrit 1 Jn, 2 Jn,3 Jn et l’Apocalypse, lire Apocalypse 1:1

Le thème principal de son livre, c’est Jésus-Christ le fils de Dieu. Jn 20:21. On peut épingler huit éléments importants, la divinité de Jésus comme fils de Dieu, on peut lire Jn 1:14, Jn 20:28, Jn 20:31 Dieu est venu dans la chair, c’est le but de l’évangile de Jean.

Nous sommes fils de Dieu par adoption, Jésus est fils de Dieu par incarnation. Il devait prendre la nature humaine, mourir sur la croix, pour racheter l’humanité pécheresse.

Dieu ne peut pas habiter dans un corps pêcheur. Nous somme fils de Dieu par adoption. Tout celui qui a accepté Jésus-Christ comme sauveur et Seigneur, il a le pouvoir de devenir enfant de Dieu. Il n’y a qu’un seul médiateur entre Dieu et l’homme. Il fallait que le sang de l’agneau coule, pour racheter l’homme. Le sang de Jésus est pur et dans souillure.

Le mot crois est repris plus de 98 fois dans l’évangile de Jean (Jn1:12).

L’expression vie éternelle vient de Jean, un concept propre à lui.

Ses rencontres personnelles avec Jésus sont mentionnées plus de 27 fois dans son livre, le ministère du Saint Esprit permet à chaque chrétien d’expérimenter la puissance qui est dans le nom de Jésus.

Le concept vérité vient de Jean. La parole de Dieu est la vérité qui libère. Jésus-Christ est la parole de Dieu il est la vérité le chemin et la vie. La parole de Dieu c’est l’esprit de vérité. Jn 8:32, la parole de Dieu purifie l’âme, Jn 15:3 et s’oppose à l’esprit du diable Jn 1:1. Celui qui vit dans la vérité, le diable ne peut rien contre lui.

Il y a le chiffre 7 c’est-à-dire sept signes pour convaincre. Sept miracles, 7 discours et sept déclarations introduites par je suis.

Jean a donné un contenu à la déclaration de Moïse devant Dieu. Exode 3:14. Je suis le pain de vie, je suis la lumière du monde, je suis la résurrection et la vie, je suis le vrai cep, c’est lui le fils de Dieu. Dans le livre de Jean, on voit des concepts comme la lumière, le ténèbres, l’amour, le monde, le témoignage

Alex Tutukala

Le Ministre du Commerce Extérieur a fait l’économie de la stratégie nationale des exportations et diversification de marchés entre l’African Growth and Opportunity Act (AGOA) et la République Démocratique du Congo.

La force de la Stratégie Nationale AGOA étant d’être holistique, elle va s’appuyer sur : Une étude exhaustive de la demande américaine à travers les 6.000 produits éligibles dans le cadre du programme AGOA ; Une méthodologie rigoureuse d’identification des produits exportables vers le marché américain ; Une approche participative qui a permis aux Experts des Ministères sectoriels concernés par la question des exportations, ceux des structures et organismes spécialisés, du secteur privé ainsi que les partenaires techniques internationaux, qui tous ont validé les propositions contenues dans la Stratégie Nationale AGOA.

L’objectif global du Gouvernement est donc d’optimiser l’utilisation de l’AGOA par la mise en œuvre du plan d’action opérationnel qui se décline en cinq axes stratégiques et 16 interventions prioritaires pour lever les contraintes telles que l’étroitesse de l’offre exportable ; la faible maîtrise des exigences du marché américain ; le coût élevé du fret maritime et aérien vers les Etats-Unis ; et, l’absence de mécanismes intégrés d’accompagnement du secteur privé exportateur de la RDC.

La Stratégie Nationale AGOA retient 21 filières hors miniers (dont le café, cacao, thé et gingembre) et 5 filières minières (cuivre, diamants, Or, cobalt et 3T).

L’ambition d’atteindre dans un horizon de court et moyen termes une valeur des exportations vers le marché américain de 3 milliards USD, soit le quintuple du niveau atteint au moment de son expulsion en 2010 exige la mise en œuvre des politiques économiques cohérentes permettant de soutenir la trilogie production – transformation – commerce. A ce sujet, des mesures économiques y relatives ont été passées en revue.

Le Ministre du Commerce Extérieur a souligné qu’à la suite de la validation de la Stratégie Nationale AGOA – RDC, une structure de suivi et évaluation de la mise en œuvre sera mise en place.