Pour assurer à son Peuple une vie hautement civilisée et on ne peut plus heureuse, KIM JONG UN, Secrétaire Général du Parti du Travail de Corée (PTC, parti présidentiel depuis 1945, NDLR) et Président des Affaires d’Etat de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC située au nord de la Péninsule coréenne et créée 3 ans après la Libération Nationale 1945:

• Puissance nucléaire consacrée à garantir ses droits à l’existence et au développement du Pays et à juguler une guerre pour sauvegarder la paix et la stabilité de la Région et du monde entier
• Superpuissance politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Bienfaiteurs dont les Généralissimes KIM IL SUNG 1912-1994 et KIM JONG IL 1942-2011, et le Maréchal KIM JONG UN, NDLR)

ne cesse de faire ses réflexions créatrices et poursuit ses tournées d’inspection sans répit. Ses efforts dévoués ont donné naissance à une autre légende de l’amour pour le Peuple dans le Secteur Kalma à Wonsan (chef-lieu de la Province Kang-won), qui se transforme en un superbe et nouveau site touristique et culturel du Peuple.

Ce 16 juillet, KIM JONG UN a dirigé, sur place, les travaux de construction de cette zone touristique, accompagné par:

• KIM Tok Hun, membre du Présidium du Bureau Politique (BP) du Comité Central (CC) du PTC et 1^er Ministre
• JO Yong Won, RI Il Hwan, KIM Jae Ryong et PAK Thae Song, Secrétaires du CC du PTC
• PAK Jong Gun, Vice-1^er Ministre et Président du Comité National du Plan
• les commandants principaux des organismes des forces armées
• les cadres concernés du CC du PTC, de la Province Kang-won et du secteur du plan.

Initiateur de la construction d’une ville touristique côtière, ville originale et moderne à la coréenne, digne d’être vantée dans le monde entier, il a visité, à plusieurs reprises, le chantier pour la réussite à cette entreprise. Chaque fois, il a élucidé l’orientation et les moyens à prendre et dirigé tout le processus de la construction. Grâce à son dévouement inlassable et à sa direction éminente, une vue de plus en plus merveilleuse et digne d’un Paradis du Peuple s’étend sur la plage (4km) de sable fin, site pittoresque de la Mer de l’Est de Corée.

Farouchement déterminés à manifester, pleinement à la face du monde entier, la pertinence de la politique du PTC en matière de primauté des masses populaires par l’achèvement impeccable de ladite zone touristique, les bâtisseurs, fidèles à l’idée sublime de KIM JONG UN de se dévouer pour le Peuple, accomplissent, tous les jours, de nouveaux miracles et prodiges pour atteindre, sans faille et immanquablement, les objectifs de construction présentés par le CC du PTC.

Contemplant, tout sourire, le panorama de la zone touristique s’étendant à perte de vue le long de la côte, KIM JONG UN a:

• dit très satisfait: C’est un paysage vraiment admirable et majestueux. Rien qu’à savourer une telle vue propre à la côte faisant penser à un tableau, on a l’impression de se sentir frais et dispos. Comme on l’envisageait, un aspect magnifique et impeccable se révèle, digne d’une ville touristique côtière d’ordre mondial.
• apprécié, hautement, les bâtisseurs qui impriment les innovations collectives au niveau de la vitesse et de la qualité du BTP (bâtiment et travaux publics), en soutenant, par leur pratique à outrance, le dessein du CC du PTC d’aménager, à merveille, la zone touristique côtière en une création monumentale pour le bien-être du Peuple
• déclaré: Comme les travaux de construction touchent à leur fin, on remportera succès sur succès dans la construction sans rien perdre d’un tel esprit. Dans ce cadre, le personnel dirigeant doit s’y montrer plus exigeant, tandis que les bâtisseurs redoubleront d’efforts et les organismes de surveillance du BTP accroîtront, au maximum, leurs responsabilités et leur rôle.
• convoqué, sur place, une réunion consultative des cadres dans le but de discuter des problèmes techniques qui s’imposaient pour soigner, en prévision, les préparatifs de mise en service comme l’on envisageait l’inauguration de la zone avant la fin du mai 2025 suivant la Décision de la 19^ème session (23-24/01/2024) élargie du BP du 8^ème CC du PTC
• appuyé sur l’importance de ces préparatifs minutieux pour faire remarquer: L’aménagement parfait de la zone de villégiature culturelle s’avère important, mais l’assurance irréprochable de sa gestion conformément à sa position constitue aussi une affaire d’importance capitale. Si les services et la gestion ne sont pas à la hauteur malgré ses installations modernes, la zone ne mérite pas d’être site touristique.
• indiqué la nécessité de tenir compte des capacités et des possibilités de servir la clientèle, de sélectionner, sur cette base, des unités de service et de promouvoir, pour de bon, les préparatifs de gestion, tout en avançant une orientation détaillée pour y parvenir et en prenant une série de mesures importantes en la matière.

La réunion a délibéré des problèmes qui se posaient pour faciliter les services dans cette zone touristique, entre autres:

• assurer les capacités du parking des véhicules conformément à la capacité d’accueil
• aménager un parc de loisirs et un quartier de vie culturelle
• agrandir les capacités de traitement des ordures et des eaux d’égout
• former des spécialistes par catégorie de service, etc.

KIM JONG UN a:

• noté: La Ville côtière de Wonsan est fière d’un beau paysage naturel et géographique; et surtout, la plage de la Presqu’île Kalma est connue, depuis l’antiquité, comme un des sites pittoresques; grâce à la construction d’un parc maritime de trésor national, le plus célèbre site touristique de notre Pays, qui manifestera dignement sa place dans le monde entier, cette plage se taillera, dans un proche avenir, une réputation attrayante en tant que fierté de Wonsan et lieu bien achalandé.
• insisté sur la nécessité d’élargir et de développer, pendant longtemps, le tourisme en se basant sur les expériences obtenues dans l’aménagement de cette zone, en disant notamment: Il faut maintenir l’orientation consistant à s’investir, à l’avenir, dans l’utilisation rationnelle des ressources touristiques abondantes du littoral dans l’industrie touristique, car notre Pays est baigné, de 2 côtés, Est et Ouest, par la mer, et abrite de nombreux sites pittoresques renommés de la Mer de l’Est, tels que les Monts Kumgang-san (ou Montagne de Diamant haute de 1.638m et sise dans la Province Kang-won, NDLR), les Mt. Chilbo-san (ou Montagne de 7 Trésors haute de 906m et sise dans la Province Nord-Hamkyong, NDLR), Majon (station balnéaire de 6km de la Province Sud-Hamkyong, NDLR), Kumya (station thermale de la Province Sud-Hamkyong, NDLR), Riwon (6 sites pittoresques au bord de la mer dans la Province Sud-Hamkyong, NDLR) et Yombunjin (site pittoresque au bord de la mer dans la Province Nord -Hamkyong, NDLR), et prendre des mesures perspectives pour utiliser, efficacement, des ressources touristiques côtières comme celle pour le tourisme sportif, celle pour le tourisme axé sur la relaxation et celle pour le tourisme visant à admirer le paysage maritime.

Bénéficiant des directives de KIM JONG UN qui a élucidé la voie à suivre pour un nouveau développement de l’industrie touristique du Pays et présenté le guide et les moyens précieux pour hâter la prospérité globale du socialisme coréen et centupler les rires de bonheur du Peuple, les cadres, profondément persuadés que le dessein et la détermination du CC du PTC sont une science et une vérité immuables, ont juré de:

• rester fidèles au leadership de KIM JONG UN
• s’acquitter, parfaitement, de leurs responsabilités et devoir dans les efforts majeur et exaltant menés pour créer une civilisation au niveau plus élevé du Peuple.

Il s’est ouverte ce jeudi 18 juillet 2024, la session extraordinaire à l’Assemblée provinciale du Kongo Central.

La cérémonie a été marquée par le discours du président Papy Matezolo, en présence du gouverneur Grâce Nkuanga Masuangi Bilolo, le Vice-gouverneur Prospère Ntela, les Députés provinciaux et plusieurs autres invités de marque. Le président de l’organe délibérant de la province est revenu sur les motivations qui ont milité à la convocation de cette session extraordinaire.

“Nous référant à l’article 33 alinéa 6 du Règlement Intérieur de l’Assemblée Provinciale du Kongo central, votre Bureau a été saisi par Son Excellente Monsieur le Gouverneur de Province, suivant sa lettre Numéro 09/BIS/CAB.GOUV/KC/00827/2024 du 10 juillet 2024 sollicitant une session extraordinaire consacrée essentiellement à la présentation de son discours programme quinquennal en vue de l’investiture du Gouvernement Provincial du Kongo central”, a-t-il signalé.

Papy Matezolo a félicité ses collègues députés provinciaux pour leur abnégation à prendre part à cette session extraordinaire avant de les inviter à jouer pleinement leur rôle pendant les séances de travail.

“Par ce sursaut et cet élan, je vous invite à ne rien épargner comme effort pour participer courageusement, avec lucidité et sagesse, à ces travaux afin de jouer pleinement notre rôle d’organe délibérant de notre Province”, a déclaré le président de l’Assemblée provinciale.

La session extraordinaire ouverte ce jeudi permettra au gouverneur de province de présenter son programme quinquennal en vue de l’investiture du Gouvernement provincial ce vendredi 19 juillet 2024.

Jonsard MIKANDA

Il s’est tenu le mercredi 17 juillet 2024 une reunion au Cabinet du Ministère des Affaires Foncières sur la demande d’obtention des terres adressée à la Ministre d’État en charge des affaires foncières par le gouverneur de la Ville de Kinshasa pour l’obtention des Sites qui devront abriter le Centre de Transit et d’enfouissement des déchets de la Ville de Kinshasa, dans le Cadre de l’opération “Coup de Poing”.

Cette opération a comme objectif, la gestion des déchets et l’assainissement de la Ville province de Kinshasa.

Au total, 10 experts de 5 structures et les experts du ministère des Affaires Foncières ont pris part à cette réunion. Il s’agit notamment de 2 experts venus du Ministère de l’Urbanisme et Habitat, 2 Experts du Ministère de l’environnement, 2 Experts du Ministère de la Justice et Garde des Sceaux, 2 Experts de l’ hôtel de Ville de Kinshasa, le Secrétaire Général aux Affaires Foncières et le Conservateur des Titres Immobiliers et le Chef de Division du Cadastre de la Circonscription Foncière de la Nsele ainsi que les conseillers du Ministère des Affaires Foncières.

Lors des échanges, le Directeur de Cabinet des Affaires foncières qui représentait Mme la Ministre, est revenu sur l’importance de la rencontre qui a eu lieu entre Acacia Bandubola Mbongo et Daniel Bumba Lubaki, respectivement, Ministre d’Etat, Ministre des affaires foncières et Gouverneur de la ville de Kinshasa, où, le premier citoyen de la ville de Kinshasa a demandé à la ministre des affaires foncières, des terrains et un espace d’enfouissement de ses déchets dans le cadre de son opération coup de poing qu’il va lancer bientôt..

Le Conservateur des titres immobiliers de la Nsele a relevé la problématique d’absence des reserves foncières alors que le Ministère des Affaires Foncières est, elle même maitre de la Terre congolaise.

Quant à l’hôtel de Ville de Kinshasa, leurs Experts sont revenus sur l’état des besoins de la Ville, elle sollicite 5 sites dans les deux parties Est et Ouest de la Ville de Kinshasa à savoir :

– Un site d’enfouissement dans l’ancienne carrière à Ndjili Brasserie de 4 Hectares

– Un site à l’Ouest vers MITENDI pour la décharge des déchets

– Une reserve foncière pour l’assainissement et les besoins futurs

– Un site d’enfouissement à MPASA bien que ce Site pose problème car ayant deux titres celui de l’hôtel de Ville de Kinshasa et celui du Collectif des Enseignants qui l’occupe après la decision de la Justice, il est donc interdit à la l’hôtel de Ville de Kinshasa d’y accéder alors que l’UE dans le cadre du Projet d’enfouissement (2010-2016) l’avait exploité. Ce site est aussi spolié par des occupations illégales.

Quant à cette problématique, le SG aux Affaires Foncières a insisté sur l’importance de la Ville de Kinshasa à avoir les Soubassements pour ce site, ou si la Ville n’en a pas, d’en Constituer afin d’eviter des futurs conflits fonciers comme c’est le cas aujourd’hui. Il a proposé l’achat des Titres ou la négociation de ses terres auprès des Chefs Coutumiers et une descente d’une équipe sur terrain pour s’acquérir de l’occupation du site de Ndjili Brasserie.

Les Experts de l’Environnement, ont insisté sur l’importance d’évaluer et d’analyser en profondeur le projet, voir les conséquences probables de ce projet sur la population riveraine car la survie de la population en dépend. Ils ont insisté aussi pour dire qu’il faut considérer ce Projet comme une opportunité pour la Ville de Kinshasa. Aujourd’hui les déchets sont catégorisés, il y a ceux qui peuvent etre recyclés et d’autres mis en enfouissement. L’économie Circulaire existe et donc il faut une analyse profonde et fouiné du Projet. Ils ont proposé la mise en Place d’un groupe d’Experts des differentes structures qui pourront faire ce travail de reflexion de facon rapide.

Après les Interventions de toutes les parties prenantes, il a été suggérer la mise en place d’une commission Multi-partite composée des differents experts des 7 structures présentes pour étudier la possibilité et l’identification des Sites sollicités par l’hôtel de Ville de Kinshasa. Cette proposition à été transmise à Mme la Ministre d’Etat, Ministre des Affaires Foncières qui entrera en contact avec le Gouverneur de la Ville envie d’étudier sa mise en place le plus tôt possible afin d’accélérer l’exécution du projet et surtout trouver des solutions quant aux sites à problemes comme celui de Mpasa qui est Spolié.

Rappelons que, le 10 juillet dernier, le gouverneur de la ville de Kinshasa était venu solliciter l’appui du Gouvernement Central, particulièrement celui de la Ministre des affaires foncières Acacia Bandubola Mbongo sur l’opération qu’il va lancer bientôt “Opération Coup de Poing”.

Jonsard MIKANDA

Ce jeudi au Musée national, le Président Félix Tshisekedi s’est incliné devant la dépouille mortelle de Charles Bofassa Djema, une des figures emblématiques de la scène politique congolaise et du Grand Équateur, décédé le 22 juin 2024 à l’âge de 78 ans.

Né le 9 mars 1946 à Mbandaka, dans la province de l’Équateur, Bofassa Djema a été plusieurs fois ministre (1991-1995), député national et mandataire public.

Au moment de sa mort, Charles Bofassa Djema était Membre du Conseil d’administration au Cadastre minier (Cami) et Président de son parti politique « Générations républicaines ».

Autrefois membre de la plateforme Cap pour le changement (Cach), Charles Bofassa Djema a été un des artisans de la victoire du Président Tshisekedi dans le Grand Equateur, lors de la Présidentielle de 2018.

Le Ministre des Postes, Télécommunications et Numérique, Augustin Kibassa Maliba a procédé ce jeudi 18 juillet 2024 à Kinshasa, à l’inauguration de l’Institut Africain de Huawei pour le développement des Technologies de l’Information et de la Communication ainsi que la base pratique

Future Cheetahs en République Démocratique du Congo (RDC). Une oeuvre qui selon le patron des PT-N, jouera un rôle primordial dans le renforcement des compétences locales, en encourageant la recherche, l’innovation et l’entrepreneuriat de la jeunesse.

“Cet institut est un centre d’excellence que nous avons toujours espéré voir le jour, l’émanation même de la vision de Son Excellence Félix Tshisekedi, Président de la République, Chef de l’Etat ainsi que celle du Gouvernement de la République sous le leadership avisé de Son Excellence M. Judith Suminwa Tuluka, Première Ministre, Cheffe du Gouvernement où les personnes talentueuses et visionnaires du pays

auront la possibilité d’explorer, d’innover et de contribuer à la transformation numérique de notre société et de créer ainsi des millionnaires congolais”, dit Augustin Kibassa Maliba dans son discours.

Pour lui, son lancement est la preuve indéniable d’un partenariat qualitatif et exemplaire entre le Gouvernement et les acteurs privés du secteur des TIC en RDC.

“C’est également une démonstration de notre engagement commun à positionner notre pays en phase avec les avancées technologiques de l’heure. Je suis extrêmement satisfait de la collaboration exceptionnelle qui a été mise en place pour concrétiser ce projet autant ambitieux qu’important. Cela témoigne de notre vision avant-gardiste d’un avenir où le numérique jouera un rôle clé dans l’amélioration du bien-être de nos concitoyens et dans le renforcement de la compétitivité de nos entreprises à l’échelle mondiale”, a-t-il déclaré.

À l’en croire, cet ouvrage est un berceau des multiples compétences numériques et révélateur des talents enfouis, faute d’encadrement et accompagnement appropriés.

“C’est ici le lieu pour moi, de lancer un appel vibrant aux différents établissements académiques ayant des orientations techniques et technologiques

afin de nouer un partenariat stratégique et pratique en vue de canaliser ces multiples vocations qui n’attendent qu’une main pour les orienter…”, a-t-il indiqué.

Il se rejouit aussi de nouvelles opportunités que va offrir cette initiative, car elle favorisera l’inclusion numérique, le renforcement et la résilience des infrastructures numériques au pays.

“Cet Institut jette les bases d’un avenir radieux durant lequel notre pays se positionnera à la pointe des avancées technologiques. Il s’agit d’un cadre dans lequel les Technologies de l’Information et de la Communication ne se limitent plus à être une simple industrie, mais deviennent un pilier essentiel de la croissance économique, de la création d’emplois de

haute expertise et favorise l’amélioration du bien-être de la population. La réussite de cet Institut dépend de notre capacité collective à saisir les opportunités qu’il offre dans les domaines de l’éducation, de la recherche et du développement industriel”, a-t-il conclu.

Cette infrastructure va contribuer à la création d’un écosystème qui permettra l’éclosion d’une économie numérique en faisant du numérique un levier de développement du pays selon le plan national du numérique horizon 2025.

Après la coupure du ruban symbolique, le ministre des PTN a procédé à la visite des équipements de cette école avant la prise des photos de famille avec les étudiant

L’Association sahraouie pour la défense des droits de l’homme (ASADEDH) a porté sa lutte pour la justice devant la Cour suprême espagnole, contestant la décision de la Cour constitutionnelle de clore son dossier contre Brahim Ghali. Accusé de crimes graves contre l’humanité, Ghali fait face à une enquête initiée par l’ancien juge de l’Audience nationale espagnole, Baltasar Garzon, à la suite de la plainte déposée par l’ASADEDH en 2007. Malgré les défis juridiques, l’ASADEDH maintient sa détermination à obtenir justice pour les violations commises contre la population sahraouie dans les camps de Tindouf.

L’ASADEDH a décidé de saisir la Cour suprême espagnole contre la décision de la Cour constitutionnelle de classer sans suite sa plainte contre le chef du polisario, Brahim Ghali.

“L’ASADEDH informe l’opinion publique internationale des irrégularités constatées depuis le début de l’enquête menée par l’ancien juge de l’Audience nationale, Baltasar Garzon, dans le cadre de sa plainte déposée contre Brahim Ghali, accusé de graves crimes contre l’humanité”, rapporte le média espagnol Atalayar.

L’ASADEDH fait à cet égard pat de sa pleine confiance dans le système judiciaire espagnol et forme donc ce recours afin de s’assurer qu’aucun crime commis contre la population sahraouie dans les camps de Tindouf situés sur le territoire algérien ne reste impuni et qu’aucun dirigeant du Front polisario n’échappe à la justice, ajoute le média.

La plainte déposée par l’association en 2007 a été inexplicablement rejetée cette année pour cause de « prescription » par la Cour suprême. L’enquête, menée par Baltasar Garzon, faisait suite à la plainte déposée de l’ASADEDH contre des dirigeants du polisario accusés de crimes graves contre l’humanité, notamment de génocide, d’assassinat, de blessures, de détention illégale, de terrorisme, de torture et de disparitions forcées.

En mai 2021, le juge de l’Audience nationale, Santiago Pedraz, avait décidé de rouvrir le dossier contre le chef du polisario pour plusieurs chefs d’accusation, dont celui de génocide. Mais, la justice espagnole a décidé encore une fois de classer la plainte pour « génocide » visant Ghali.

Le haut tribunal de l’Audience nationale avait le 29 juillet 2021 dans un communiqué, que le juge en charge du dossier « a décidé de classer la plainte déposée par l’ASADEDH contre le Brahim Ghali pour des délits de génocide en relation avec des faits présumés commis contre des citoyens marocains entre 1975 et 1990″. Selon la justice espagnole, « les faits sont prescrits, la commission du délit de génocide n’est pas établie, et les témoignages des témoins contredisent les affirmations contenues dans la plainte ».

Hicham Oukerzaz

La ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale de la République du Malawi, Nancy Tembo, a réaffirmé, mardi à Laâyoune, le soutien de son pays à l’intégrité territoriale du Maroc et à la souveraineté du Royaume sur tout son territoire, y compris la région du Sahara.

S’exprimant lors d’un point de presse tenu à l’issue de ses entretiens avec le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, à l’occasion de la 1ère session de la commission mixte de coopération entre les deux pays, Nancy Tembo a souligné que Lilongwe réitère son plein soutien à l’Initiative du plan marocain d’autonomie présentée par le Royaume du Maroc, comme la seule solution crédible, sérieuse et réaliste, et salue les efforts des Nations Unies comme cadre exclusif pour parvenir à une solution réaliste, pratique et durable au différend sur le Sahara.

Pour sa part, Bourita s’est félicité de la sagesse de la diplomatie malawienne, remerciant Lilongwe pour son soutien constant et ferme à l’intégrité territoriale du Maroc, comme en témoignent l’ouverture d’un Consulat général du Malawi à Lâayoune en juillet 2021, et sa participation, en janvier 2021, à la conférence ministérielle d’appui à l’Initiative d’autonomie sous la souveraineté du Maroc, à l’invitation du Royaume et des Etats-Unis d’Amérique.

Hespress FR

Plusieurs accords et mémorandums d’entente ont été signés, mardi, entre le Maroc et la Guinée Bissau à l’occasion des travaux de la 3ème session de la Commission mixte de coopération Maroc-Guinée Bissau se sont ouverts à Laâyoune. A cette occasion, la Guinée Bissau a renouveler son plein appui à la souveraineté du Maroc sur le Sahara et a salué l’Initiative royale Atlantique en faveur de l’intégration de l’Afrique.

Co-présidée par le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, et le ministre bissau-guinéen des Affaires étrangères, de la coopération internationale et des communautés, Carlos Pinto Pereira, la Commission mixte a été l’occasion de signer des accords bilatéraux et de réaffirmer les constantes des positions communes.

Parmi ces accords, l’on peut citer celui portant sur l’assistance administrative mutuelle en matière douanière, la reconnaissance réciproque des permis de conduire, un mémorandum d’entente dans le domaine de la justice, la coopération commerciale, la gestion intégrée des ressources en eau, l’aménagement du territoire, la jeunesse et de la femme, ou encore dans les domaines du sport et de la formation des cadres et la formation professionnelle.

Les deux pays ont également réaffirmé leur engagement à porter leur coopération à des niveaux plus importants notamment à travers n Forum d’Affaires pour le renforcement des investissements marocains dans les secteurs ciblés par la Guinée-Bissau.

Les ministres ont également abordé le sujet de la création d’un Conseil d’Affaires Maroc-Guinée-Bissau, avec l’objectif de développer les échanges commerciaux et à tirer profit du consulat à Dakhla pour créer davantage d’opportunités économiques.

Nasser Bourita a souligné à son homologue la pleine disposition du Maroc à accompagner la République de Guinée-Bissau dans la mise en œuvre des projets et programmes de son plan national de développement, tout en soulignant le rôle du secteur privé dans la création de richesses via l’investissement.

Le ministre bissau-guinéen des Affaires étrangères, Carlos Pinto Pereira, a loué et salué les efforts constants déployés par le Maroc, sous la conduite du Roi Mohammed VI pour développement et de l’intégration régionale dans le continent africain.

En ce sens, il a salué la récente Initiative Atlantique lancée par le souverain pour désenclaver les Etats africains du Sahel en leur donnant accès à l’Atlantique marocain, afin de faire de l’espace atlantique africain un cadre géostratégique pour une coopération et une consultation pragmatique.

Dans un communiqué conjoint publié à l’issue de leurs entretiens, le chef de la diplomatie bissau-guinéenne a loué l’opportunité royale offerte qui permettra de relier les Etats du Sahel aux réseaux de transport et de communication de leur environnement régional.

Abordant les questions régionales et internationales d’intérêt commun, les deux ministres ont relevé, avec satisfaction, la convergence de leurs points de vue sur les différentes questions évoquées. A ce titre, la Guinée Bissau a réaffirmé son appui à l’Initiative marocaine d’Autonomie pour le Sahara.

Peirera a affirmé en conférence de presse qu’il considère cette initiative comme la seule solution crédible et réaliste à ce différend régional, saluant par ailleurs les efforts des Nations Unies, soulignant qu’il s’agit du seul cadre pour parvenir à une solution réaliste, pratique et durable au différend autour du Sahara.

Le ministre a saisi l’occasion pour rappeler l’ouverture par la République de Guinée-Bissau d’un Consulat général à Dakhla en octobre 2020, affirmant que l’appui de son pays s’inscrit dans le sillage de la dynamique de la reconnaissance internationale de l’intégrité territoriale du Royaume du Maroc.

Les deux ministres ont saisi cette occasion pour renouveler leur attachement aux principes du droit et de la légalité internationale, ainsi qu’au respect de la souveraineté et de l’intégrité territoriale des États dont fait partie le Sahara marocain.

Yasmine Saih

L’ambassade du Maroc aux Etats-Unis, en collaboration avec le think tank américain de renom “The Atlantic Council”, a réuni lundi à Washington, le corps diplomatique africain accrédité dans la capitale fédérale américaine et plusieurs experts pour une rencontre sur «les enjeux d’investissement dans les minerais critique en Afrique».

Ce sujet est éminemment stratégique pour l’Afrique et ses partenaires internationaux, relève le rapport de la chercheure principale à Atlantic Council et fondatrice de Tofino Capital, Aubrey Hruby.

L’ambassadeur du Maroc aux Etats-Unis, Youssef Amrani a souligné, jeudi à Washington, que l’Afrique est au cœur de toutes les priorités du Royaume et constitue un espace de projection que le Maroc investit avec une conviction diplomatique univoque : notre avenir commun se construit ensemble dans la concertation et l’engagement indéfectible de servir l’intérêt premier et élargi des citoyennes et citoyens africains.

Présentant à cette occasion les conclusions de ses travaux, l’intervenante a dressé l’état complexe de la situation des investissements africains en la matière, soulignant qu’il fallait «revisiter les stratégies, sortir des sentiers battus et articuler un véritable modèle de coopération avancée» pour mettre à profit les opportunités existantes.

L’intérêt pour l’Afrique connaît une tendance croissante et soutenue, a-t-elle affirmé, précisant que les minerais critiques sont un catalyseur de cette dynamique internationale qui se tourne davantage vers le continent pour entrevoir de la croissance et de la prospérité dans divers secteurs d’intérêt stratégiques.

Rappelant que les Etats-Unis font partie des nations qui souhaitent construire avec l’Afrique des partenariats structurants gagnant-gagnant, Aubrey Hruby a regretté que les opportunités existantes ne soient pas encore pleinement exploitées, ce qui, selon elle, se reflète par des investissements encore en-deçà du potentiel du continent africain.

Un engagement plus soutenu du secteur privé et une communication plus étendue sur les réelles opportunités économiques qu’offre le marché africain, seraient à même de surmonter un tel déficit, estime l’experte.

Elle a, dans ce sens, plaidé pour un dialogue davantage structuré entre les opérateurs du secteur, soulignant l’intérêt d’associer l’ensemble des parties prenantes pour réfléchir conjointement et identifier les projets à forte valeur ajoutée.

Cela est de nature à générer tant de l’intérêt chez les bailleurs de fonds que de la prospérité et du développement dans les pays cibles de ces investissements, estime l’experte américaine. Elle a cité le Maroc et l’Indonésie comme des pays constituant des modèles intéressants à émuler dans les stratégies mises en place, notamment dans l’établissement de chaînes d’approvisionnement intégrées comme c’est le cas du phosphate au Maroc et du Nickel en Indonésie.

Faisant échos à cette analyse, l’ambassadeur du Maroc aux Etats-Unis, Youssef Amrani a reconnu que les minéraux critiques sont prioritaires pour la croissance industrielle du Royaume qui se positionne actuellement comme l’un des acteurs clés dans la production de batteries pour les véhicules électriques.

Le diplomate a évoqué l’importance stratégique et géopolitique croissante que revêt cette industrie pour les pays d’Afrique qui possèdent d’importantes réserves minérales critiques, mais sans disposer de l’écosystème nécessaire pour traiter et raffiner ces minéraux.

“La création de ce genre d’industries permettra de générer des emplois, assurer la prospérité économique et le développement durable, transformer l’Afrique d’un continent qui ne fournit que des matières premières en un continent pleinement intégré aux chaînes de valeur mondiales, et garantir des chaînes d’approvisionnement plus sûres et plus résilientes”, a-t-il affirmé.

Cet objectif préside, a ajouté l’ambassadeur, de la Vision intégrée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, “faisant de l’Afrique une priorité et un continent qui entrevoit son avenir de façon souveraine et résolue et ce, à la hauteur des ambitions citoyennes et des stratégies continentales fixées par l’Afrique et pour l’Afrique”.

Le Matin

Le nageur Hassan Baraka a traversé, samedi dernier, la Manche, séparant l’Angleterre de la France sur 55 km, devenant ainsi le premier Marocain à réussir cette prouesse.

Baraka a rallié Dover au Royaume-Uni à Cap Blanc-Nez (Pas-de-Calais, France) à la nage en 15h 55min, couronnant ainsi des années de préparatifs ponctuées de participations à des courses de fond sous diverses conditions climatiques.

Le nageur marocain devait faire face à plusieurs défis, dont des eaux froides (12 à 14 degrés), des courants forts et l’obscurité, sachant qu’il a entamé son aventure à 3h 14 min (heure britannique) et l’a achevée à 20h 04min (heure française).

A ce propos, Hassan Baraka, né en 1987 à Tétouan, raconte qu’il a dû attendre l’amélioration des conditions climatiques avant de franchir le pas, précisant que l’eau froide, les méduses et les courants marins constituaient un véritable défi pour lui.

«L’essentiel est que j’ai franchi la ligne d’arrivée», s’est-il réjoui dans une déclaration à la MAP, se disant fier que le Maroc figure désormais dans la shortlist des nationalités ayant pu traverser la Manche.

Premier nageur marocain à terminer le Marathon international (7 marathons en autant de jours et en autant de continents), Hassan Berka compte notamment à son palmarès les traversées du Bosphore et de Gibraltar, ainsi que Papouasie-Nouvelle-Guinée/Indonésie (9 km en 3h 46 min) et Egypte/Arabie Saoudite (28.11 km).

Par Le360 (avec MAP)