Kasai : Le gouvernement provincial reçoit le soutien de la DTC de Théo Kazadi

48 heures après la publication du gouvernement provincial, le parti politique Dynamique pour la Transformation du Congo, parti membre de l’Union sacrée, par plusieurs communiqués de presse de l’inter fédération du Kasaï, fédération de Tshikapa ville et territoire, passant par la ligue des jeunes, promet un soutien indéfectible à l’équipe Mukendi et son plan d’action qui sera bien présenté devant les élus provinciaux.

C’est le deuxième vice-président de l’interféderation du parti DTC au Kasaï, Joseph Mutshipayi Tshitenge, Victor Tshimanga, Emil Prince Longi et Victor Lukusa, respectivement président de la fédération de Tshikapa ville et territoire, président de la Ligue des jeunes et aussi combattant de la première ère, ont à travers une déclaration politique, rendue publique ce jeudi 18 juillet 2024 soir, remercié le gouverneur de province, Maître Crispin Mukendi Bukasa pour avoir nommé deux cadres de ce parti dans son gouvernement.

Les deux ministres nommés, Jeannot Kazadi Kazadi et Jacob Pembe Longo, respectivement ministre des mines, hydrocarbures et énergies et ministre de l’agriculture, pêche et l’élevage. DTC de Théo Kazadi qui maîtrise bien plusieurs difficultés de la province, promet d’apporter son aide pour un déclenchement rapide de la province du Kasaï.

Très satisfait de la confiance du gouverneur, DTC se dit prêt à fournir des efforts qu’il faut pour faire de la province du Kasaï un lieu vivable.

Les membres de ce parti politique ont également souhaité bon travail au nouveau patron du Kasaï et promettent leur accompagnement durant ce quinquennat.

Le choix porté sur ces deux cadres du parti politique de l’honorable Théo Kazadi, témoigne de la considération envers leur parti DTC et à son président national, note le communiqué de presse.

Le même jour, le président de la Ligue des jeunes de ce parti membre de l’Union sacrée, Victor Lukusa a aussi, au nom des jeunes de cette formation politique, promi un soutien sincères au gouverneur Mukendi et son équipe, estimant que le choix porté sur Jeannot Kazadi et Jacob Pembe montre comment le Chef dans l’exécutif provincial compte sur la bonne politique basée sur l’amélioration des conditions des vies de la population.

 

 

Jean-Luc Bakampenda depuis Tshikapa




Nord-Kivu: Deux autres civils tués par les ADF près d’Oïcha à Béni 

Deux morts ont été enregistrés de nouveau dans une nouvelle violence rebelle des ADF à Mabuo, village situé au groupement Batangi-Mbau en territoire de Beni au Nord-Kivu, dans la nuit de jeudi à ce vendredi 19 Juillet 2024.

L’information a été confirmée ce vendredi par Ram’s Malikidogo, secrétaire de l’Ong Convention pour le Respect des Droits Humains, antenne de Mambasa.

Cet activiste des droits de l’homme alerte également sur la traversée de l’ennemi vers la partie Est de la chefferie des Babila Babombi en Ituri.

Une occasion pour notre source d’appeler ses concitoyens à l’extrême vigilance, et aux services de sécurité de mettre la population à l’abri du danger.

Notons que cette nouvelle incursion des ADF intervient deux jours seulement après une double attaque de ce même ennemi aux villages Kazaroho et Moliso, où 10 autres personnes ont été exécutées, toujours en territoire de Béni.

 

Alain Wayire/Béni




Nord-Kivu: Plusieurs jeunes sollicitent la formation militaire à Beni, pour combattre contre le M23 et les ADF 

Dans le cadre de faire face à l’avancée des rebelles du M23 et le massacre commis par les terroristes ADF depuis de 10 ans à Béni au Nord-Kivu, Irumu et Mambasa en Ituri dans l’Est de la RDC, des centaines de jeunes volontaires résistants ont installé un site de cantonnement au stade Kangaembi, dans la commune de Mulekera dans la ville de Béni.

 

Ces jeunes garçons et filles, tout âge confondu, se disent prêts à suivre cette formation militaire accélérée pour apprendre des stratégies militaires de combat, capable de faire face contre les agresseurs du pays.

 

Interrogé, Shabani Loswire, l’un des jeunes de Beni déjà au centre de cantonnement, a révélé sa motivation de rejoindre les hommes des troupes au front pour lutter contre l’insécurité orchestrée par le M23 et les ADF.

 

Il se dit prêt à défendre l’intégrité de cette zone sous menace de l’ennemi, tout en soutenant que les procédures administratives ont été respectées.

 

Et d’ajouter, “la résistance, c’est une question de volonté. J’invite ceux qui traînent encore le pas à venir nous rejoindre dans ce camp de cantonnement pour qu’ensemble, les efforts soient fournis afin d’appuyer les Forces Armées de la RDC qui se battent contre les rebelles ADF et le M23.

 

Selon les initiateurs, des mesures idoines sont prises pour éviter le dérapage mais aussi l’infiltration de l’ennemi au sein de camp de cantonnemment.

 

 

Alain Wayire/Béni




KIM JONG UN avec une délégation militaire de la Russie

KIM JONG UN, Secrétaire Général du Parti du Travail de Corée (PTC, parti présidentiel depuis 1945, NDLR) et Président des Affaires d’Etat de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC située au nord de la Péninsule coréenne et créée 3 ans après la Libération Nationale 1945:
– Puissance nucléaire consacrée à garantir ses droits à l’existence et au développement du Pays et à juguler une guerre pour sauvegarder la paix et la stabilité de la Région et du monde entier
– Superpuissance politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Bienfaiteurs dont les Généralissimes KIM IL SUNG 1912-1994 et KIM JONG IL 1942-2011, et le Maréchal KIM JONG UN, NDLR),
a reçu en audience, ce 18 juillet au siège du Comité Central du PTC, une délégation militaire menée par Alexeï Yurevich KRIVORUCHKO (17/07/1975), Vice-Ministre (chargé de la logistique et du soutien technique, NDLR) de la Défense Nationale de la Fédération de Russie (FR) pour s’entretenir avec son hôte russe. Celui-ci a transmis, avec courtoisie à KIM JONG UN, les salutations chaleureuses de Vladimir Vladimirovitch POUTINE (Pt. depuis 1999, avec 87,28% des voix récentes -18/03/2024-, NDLR), Président de la FR.
KIM JONG UN lui en a témoigné sa vive reconnaissance et l’a prié de transmettre ses salutations amicales à V.V. POUTINE. L’entretien est parvenu à une identité de vues sur l’importance et la nécessité de la collaboration dans le secteur militaire entre les 2 Pays pour sauvegarder la sécurité et les intérêts mutuels. KIM JONG UN a:
– adressé ses salutations militantes à l’Armée et au Peuple de la FR qui se livrent à la lutte juste pour défendre le droit souverain et la sécurité de l’Etat
– exprimé un fort soutien et une ferme solidarité invariables du Gouvernement et du Peuple de la RPDC aux opérations militaires spéciales de la FR en Ukraine
– apprécié, de nouveau, la signification majeure que revêtait le Sommet RPDC-FR (19/06/2024 à Pyongyang, Capitale de la RPDC et source de la Civilisation Taedong-gang de 5.000 ans avec son 1er Etat Co-Joson ou Corée antique, NDLR)
– indiqué la nécessité pour les armées des 2 Pays liées par les traditions historiques de longue haleine (depuis les années 1940, NDLR) et les liens militants de s’unir plus étroitement, de conduire vigoureusement les relations RPDC-FR de la nouvelle Epoque et de jouer un rôle important dans les efforts visant à défendre la paix dans la Région et le reste du monde et la justice internationale.




« Un plus à la pensée universelle » : le livre du journaliste Maghene Deba va bientôt enrichir la bibliothèque congolaise 

À partir de ce 1er août 2024, “Un plus à la pensée universelle” du journaliste Maghene Deba arrive dans les rayons des magasins de livres à Kinshasa puis dans plusieurs autres villes de la RD Congo. Après de premiers accords entre l’auteur et cinq libraires dans la capitale congolaise – Tom William’s Lapidus, Maison du Savoir, Librairie de la Halle, Librairie Livres des Grands Lacs et Librairie de Rotana Hôtel, ces derniers pourront désormais distribuer ce premier livre autoédité de l’auteur.

Juin 2024, il avait d’abord fait l’annonce de la parution de son livre sur ses comptes sociaux officiels et, depuis plusieurs jours maintenant, ce recueil de proverbes, maximes, pensées et réflexions se vend sur commande-livraison au pays et à l’étranger.

“Un plus à la pensée universelle” est un volume de 85 pages en deux parties : les proverbes, au nombre de 130, composent la première partie tandis que la seconde se compose des maximes, pensées et réflexions, au nombre de 60. Cette nomenclature a évolué au cours de la quinzaine d’années que la rédaction a duré, de 2008 à 2024.Car, initialement, il s’agissait uniquement d’un livre des proverbes, c’est-à-dire, des énoncés relativement courts farcis de philosophie avec une explication à côté, pour chacune d’elles. Mais, n’ayant pas réussi à trouver une formulation concise et bien sentie pour chacune de ses idées, l’auteur a ajouté une seconde catégorie qui regroupe alors les maximes, les pensées et réflexions. Ici, il s’agit des idées plus ou moins détaillées, une fois pour toutes.

Ainsi, quand on lit le proverbe “Ceux qui portent des cicatrices ont vaincu leurs plaies”, à côté, il y a l’explication : “Tous les combats de la vie laissent des marques visibles ou invisibles. Mais chaque marque révèle une épreuve à laquelle on n’a pas succombé” tandis qu’il n’y a aucune explication qui accompagne la maxime “Chaque fois que vous faites l’impasse sur les conséquences/implications futures de vos actes, vous faites l’impasse sur la vie de vos enfants ou celle des leurs”.

Avant la fin de l’année 2024, Maghene Deba prévoit d’organiser un Book Tour à travers les onze provinces de la RD Congo selon la configuration d’avant 2016 et prendre part aux cafés littéraires à Kinshasa pour y parler de son ouvrage.

À propos de Maghene Deba (Auteur) Maghene Deba est un journaliste indépendant et consultant en relations publiques basé à Kinshasa. Il a notamment collaboré ou collabore encore avec SciDev.net, VOA Afrique, CGTN Français. Depuis 2020, il a écrit et réalisé quatre documentaires sous la bannière de sa maison de production, Maghene Medias SARLU, créée cette année-là et qui est orientée vers la production des documentaires




Wu Zexian : Le plénum envoie un signal très fort qui est la reconfirmation de la volonté de l’équipe dirigeante à développer la Chine tout en protégeant l’environnement

Le XXe Comité central du Parti communiste chinois a conclu son 3e plénum jeudi à Beijing et a publié un communiqué. Wu Zexian, commentateur de CGTN Français, a interprété les lignes directrices et politiques en matière de civilisation écologique dans le communiqué. Selon lui, le plénum a envoyé un signal très fort qui est la reconfirmation de la volonté de l’équipe dirigeante à développer la Chine tout en protégeant l’environnement, et l’idée selon laquelle « Les rivières limpides et les montagnes verdoyantes constituent une grande richesse » est enracinée en Chine depuis l’équipe dirigeante jusqu’aux masses populaires.




Le gouvernement congolais compte améliorer la desserte en eau et électricité pour favoriser le développement du pays 

Les autorités congolaises s’attelent à améliorer la desserte en eau et électricité. Pour ce faire, le gouvernement de la République démocratique du Congo compte améliorer les outils existants, notamment la loi sur l’électricité qui comporte certaines lacunes. Le ministre des Ressources Hydrauliques et Électricité Teddy Lwamba l’a dit au cours d’un briefing co-animé dans la soirée du jeudi 18 juillet 2024 à Kinshasa, aux côtés de son collègue de la communication et médias, Patrick Muyaya.

La République démocratique du Congo dispose d’importantes ressources hydrauliques et d’électricité. Mais la desserte est encore faible. Le fossé est grand entre les ressources et ce que la population consomme réellement. Pour couvrir les besoins en électricité, le gouvernement s’est mis à la tâche. Pour le ministre des ressources hydrauliques et Électricité, Teddy Lwamba, il faut améliorer la loi sur l’électricité, vielle de 10 ans, et qui comporte beaucoup de lacunes, mentionne un reportage de l’ACP.

“Avant de poser tous nos actes, nous nous basons sur le socle de la règlementation. Et là-dessus nous sommes en train de nous atteler sur des réformes pour permettre à ce que nous puissions permettre au secteur d’électricité d’être efficace. La loi sur l’électricité existe et après 10 ans nous avons constaté certaines lacunes que nous voulons améliorer notamment dans le régime juridique d’attribution des titres parce qu’aujourd’hui nous avons constaté que 10 ans après on n’a pas vu notre secteur d’électricité s’accroître, on n’a pas vu des nouveaux projets parce qu’il y a des difficultés dans l’octroi des titres”, a indiqué M. Teddy Lwamba, ministre des Ressources hydrauliques et électricité

La loi existe certes, mais il se pose un problème de planification. Les actions ne sont pas correctement planifiées. Ce manque de planification empêche une desserte correcte de l’eau et l’électricité.

“Pour l’acquisition de tout titre, il est demandé à ce que ça soit procédurale, commencer par les études faisabilité dont nous avons du mal à financer. Généralement, on passe par des tiers que l’on invite à participer, à financer ses études là, mais une fois que nous avons ces études qui arrivent pour passer à l’étape suivante qui est l’octroi des titres, des concessions et c’est ainsi qu’on se retrouve dans une difficulté que l’on doit se confronter à la loi. La loi par exemple qui demande d’aller en avis de manifestation d’intérêt, alors que nous avons un partenaire privé qui a investi. Cette situation crée des difficultés qui font que nous passons de temps en régime d’attributions des titres que d’être en exécution des projets”, a expliqué Teddy Lwamba, ministre des ressources hydrauliques et électricité

A propos de l’eau le déficit est également saisissant. Selon le ministre Teddy Lwamba, le besoin journalier est de 3.500.000 mètres cubes alors qu’il n’y a que 1.300.000 mètres cubes disponibles. Les autorités ont du pain sur la planche pour améliorer l’offre en eau potable.

“Le secteur de l’eau aujourd’hui, nous avons presque 1. 300.000 M³ d’eau qui est fourni, alors que le besoin est autour de 3.500.000 M³ par jour. Nous avons, la consommation en termes d’usine 80 % de l’eau traitée vient de l’eau de surface et une vingtaine de pourcent qui vient de l’eau souterraine donc, des forages. Alors, nous avons mis en place aujourd’hui, la première mesure c’est la sécurisation des centres de captage d’eau. Où est-ce que nous allons trouver les nouveaux sites ? Nous les identifions, nous les sécurisons parce qu’il y a une question de pollution aujourd’hui, et cette pollution ça doit être, nous devons mettre des mesures et une politique pour pouvoir assainir tous ces endroits et nous avons fait, aujourd’hui nous avons lancé une procédure d’identification, pour procéder à une sécurisation de ces sites-là”, pense ce membre du Gouvernement Judith Suminwa.

En attendant d’accroître la desserte en électricité, les autorités essaient de maintenir un équilibre entre la demande de la population et les besoins en énergie électrique des compagnies minières. Toutefois, c’est grâce aux factures payées par ces compagnies minières que le Trésor public réalise des recettes substantielles pour la marche du pays. Fournir l’eau potable et l’électricité à l’ensemble de la population congolaise demeure une tâche immense pour le gouvernement congolais.




Crise à l’Udps Tshisekedi : La Ligue des femmes du parti présidentiel exige le respect des textes

La Ligue des femmes de l’Union pour la démocratie et le progrès social/ Tshisekedi s’est invitée dans la crise qui se vit au parti présidentiel depuis quelques temps.

Cette crise fait suite au positionnement de quelques cadres du parti cher à feu Étienne Tshisekedi wa Mulumba qui ont décrié ce qu’ils appellent megestion du parti par l’actuel Secrétaire général, le député national Augustin Kabuya. Ces derniers estiment qu’il va falloir réorganiser le parti déjà aujourd’hui par rapport aux enjeux électoraux de 2028. Et pour cela, il faut convoquer un congrès extraordinaire afin de revoir certaines dispositions issues du récent congrès ayant donné le plein pouvoir à Augustin Kabuya d’engager pleinement le parti vis-à-vis des tiers.

En tête, l’on voit le ministre honoraire de la Santé Eteni Longondo et certains Secrétaires nationaux qui ont dit tout haut avoir retiré leur confiance en l’actuel gestionnaire du parti au quotidien.

Comme il fallait s’y attendre, le camp de l’actuel Secrétaire général n’a pas tardé pour donner sa réaction. Ce camp avec en tête le Secrétaire général Augustin Kabuya lui-même a fait savoir qu’il n’était pas question de voir un groupe de gens mal intentionnés pour n’avoir pas été pistonnés à tel ou tel autre poste ministériel vouloir donner des leçons de la bonne gouvernance. Il s’en est suivi le jeu de ping-pong…et le feuilleton court normalement sans une issue positive jusqu’à ce jour. Certains acteurs de la société civile, cas de Jean-Claude Katende de l’Asadho a même parlé de cette crise. Pour lui la crise au parti présidentiel peut avoir des répercussions négatives sur la gestion du pays étant donné qu’il est un parti majoritaire au sein de l’union sacrée de la nation, famille politique du chef de l’Etat actuel, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.

C’est toute cette situation de déchirement entre combattants de l’Udps et cadres que la Ligue des femmes, chapeautée de mains de maître par Mme Christine Mansoni s’est réunie mardi 16 juillet pour donner sa position.

La Ligue des femmes de l’Udps Tshisekedi a débuté par renouveler sa confiance en Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo pour qu’il accomplisse la mission lui confiée par la population durant son deuxième quinquennat dont la priorité est la paix dans la partie Est ou une guerre d’agression de la part du Rwanda et l’Ouganda ne cesse de faire des morts et des déplacés avec des conséquences incalculables. Puis cette ligue appelle tous les combattants à respecter les textes qui régissent les partis. Elle a plus insisté sur la résolution des divergences par un dialogue, le linge sale se lavant toujours en famille, a renchéri cette Ligue dont la déclaration était lue par sa présidente nationale.

La légitimité du pouvoir du secrétaire général Augustin Kabuya ne peut pas être remise en cause aujourd’hui par ce que, selon elle , les derniers rencontres de ce parti politique tenues à Kisantu, à N’Sele et le congrès du centre Nganda ont vu la convention démocratique du parti investir l’actuel gestionnaire du parti au quotidien du plein pouvoir afin d’engager le parti, de mettre des stratégies électorales .

Remettre en cause les résolutions du congrès et ces autres rencontres salutaires pour le parti revient à dire que ce n’est plus pour les intéressés du parti…mais plutôt pour les intérêts individuels. Christine Mansoni a recommandé l’unité et la paix à tous ceux qui se réclament de l’Udps Tshisekedi et au finish ça sera le parti qui va gagner.

Deluxe Julio




Malversations présumées des fonds au Sud-Kivu : 4 cadres de la direction provinciale de paie suspendus

Dans un arrêté daté de jeudi 18 juillet 2024, le gouverneur de la province du Sud-Kivu Jean Jacques Purusi suspend le directeur de la direction provinciale de la paie Esangya Asende et trois cadres ; tous, de la chaîne de dépenses du gouvernement provincial. Il s’agit d’Adrien Badhera Bisimwa, ordonnateur délégué secondaire du gouvernement provincial, Kento Namegabe sous gestionnaire des crédits du gouvernement provincial et Nshokano Bunani Léon comptable public principal affecté au gouvernorat de province.

Des soupçons de malversations et de détournements de fonds

Selon l’arrêté du gouverneur, ces cadres auraient commis des actes de mégestion et d’incompétence dans l’exécution de leurs fonctions. En effet, ils sont accusés de ne pas avoir respecté la procédure de la chaîne de dépenses du gouvernement provincial, ce qui aurait facilité des malversations et des détournements des recettes de la province du Sud-Kivu.

Les recommandations de la commission d’enquêtes de l’Assemblée provinciale

Le gouverneur explique avoir pris cette décision sur recommandations de la commission d’enquêtes de l’Assemblée provinciale, chargée d’investiguer sur la gestion de la province du Sud-Kivu sur une période allant de 2019 à Juin 2024. Les ministres provinciaux des finances, de l’économie et de l’entrepreneuriat ainsi que celui en charge du budget ont également appuyé cette suspension.

Les suites possibles de cette affaire

Dans les prochains jours, il est fort probable que cette affaire connaisse des développements importants. Les cadres suspendus auront l’opportunité de se défendre et de prouver leur innocence lors d’une enquête approfondie. En attendant, le gouvernement provincial devra trouver des remplaçants pour assurer le bon fonctionnement de la direction provinciale de la paie.

Une affaire à suivre de près

La suspension de ces cadres de la direction provinciale de la paie au Sud-Kivu soulève de nombreuses interrogations et laisse présager des répercussions importantes sur la gestion des finances publiques de la province. Il est essentiel de suivre de près l’évolution de cette affaire pour comprendre les enjeux et les conséquences qu’elle pourrait avoir sur l’administration provinciale.

Eugide Abalawi Ndabelnze




Secteur minier au Sud-Kivu : Le gouverneur Purusi suspend toute exploitation minière

Le gouverneur de la province du Sud-Kivu, Jean-Jacques Purusi, a pris une décision radicale en suspendant toute exploitation minière sur le territoire de la province. Cette décision, annoncée à la RTNC Bukavu, a pris de court les sociétés minières et coopératives, qui ont désormais 72 heures pour quitter les sites d’exploitation.

Une décision radicale et inattendue

C’est un véritable coup de tonnerre qui a retenti au sein du secteur minier au Sud-Kivu. En effet, le gouverneur de province, Jean-Jacques Purusi, a pris la décision surprenante de suspendre toute exploitation minière sur le territoire. Cet arrêté, lu à la RTNC sous station de Bukavu, a pris de court l’ensemble des sociétés minières et coopératives opérant dans la région.

Une suspension immédiate

Selon l’arrêté du gouverneur, toutes les sociétés et coopératives minières ont un délai de 72 heures pour quitter les sites d’exploitation. Cette mesure inattendue a provoqué un véritable chaos au sein de l’industrie minière, des milliers d’emplois étant directement menacés.

Des conséquences économiques importantes

Cette décision radicale aura sans aucun doute des conséquences économiques majeures pour la province du Sud-Kivu. En effet, l’exploitation minière représente une part importante de l’économie locale, et la suspension de cette activité risque de plonger la région dans une crise sans précédent.

Une suspension des contrats de partenariat public-privé

En plus de la suspension de l’exploitation minière, le gouverneur Purusi a également décidé de suspendre tous les contrats de partenariat public-privé signés entre le gouvernement provincial et les tiers. Cette décision vise à revoir l’ensemble des accords en cours, dans le but d’assainir le secteur minier et de garantir une exploitation plus éthique et durable.

Une situation à suivre de près

Face à cette décision radicale du gouverneur de province, l’ensemble du secteur minier au Sud-Kivu se trouve dans l’expectative. Les conséquences de cette suspension de l’exploitation minière restent encore floues, mais une chose est sûre : l’avenir de l’industrie minière dans la région est désormais en suspens.

Alors que les sociétés et coopératives minières s’apprêtent à quitter précipitamment les sites d’exploitation, la province du Sud-Kivu se prépare à vivre des jours sombres. La décision radicale du gouverneur Purusi risque de bouleverser l’ensemble de l’économie régionale, et seuls l’avenir et les prochaines décisions des autorités pourront déterminer le sort de l’industrie minière au Sud-Kivu.

Eugide Abalawi Ndabelnze