Basket-ball au Kongo Central: Clôture en beauté championnat provincial ce mardi 23 juillet par le sacre de Noudjoum (M) et Amani (D) 

La 21è édition du championnat provincial de basket-ba s’est clôturée en beauté le mardi 23 juillet 2024 au Complexe sportif Bassin Damar, à Matadi par le sacre chez les dames d’Amani et Noudjoum chez les messieurs.

En finale retour chez les Dames, Hammers s’est une fois de plus incliné face à Amani 3-69. En finaler aller disputée le lundi 22 juillet 2024, Amani avait laminé Hammers : 63-11. Grâce à ces deux éclatantes victoires, l’équipe d’Amani est sacrée championne. En version masculine, Noudjoum a surpris en finale le tenant du titre Onatra 63-47. A l’étape de ½ finale dispute, le lundi 22 juillet 2024, les résultats ci-après étaient enregistrés en version masculine :

Onatra vs Amani : 85-71

Noudjoum/Matadi vs Okapi : 53-47

En lever de Rideau, pour la 3è et 4è place en version masculine, Okapi de Boma a dominé Amani de Matadi 51-48. La remise des prix a clôturé ce championnat provincial.

Antoine Bolia




Basket-ball : New Generation domine J & A 63-45 hier à la Liprobakin

Quatre rencontres comptant pour la suite du championnat de la Ligue Provincial de Basket-ball de Kinshasa ‘’Liprobakin’’ s’étaient jouées hier mercredi 24 juillet 2024 au complexe sportif de la Police Nationale Congolaise. Le clou de la journée a vu New Generation battre J & A: 63-45.

Ci-après tous les résultats d’hier mercredi 24/07/2024 :

Binza City vs NMG (M) : 61-67

City Kauka vs Le Figuier (M) : 57-45

Bana Lingwala vs SCTP (M) : 43-66

New Generation vs J & A: 63-45.

Résultats enregistrés le mardi 23/07/2024

One Tem vs DCMP (M) : 62-56

Héritage vs Ngaba BC (F) : 71-26

Héritage vs Ballers (M) : 53-73

Molokaï vs Terreur (M): 54-63

Fukash vs Opportunidade (M): 77-63

 

Antoine Bolia




Brookings institution : Tshisekedi se dit déterminé à ramener la paix en Rdc à n’importe quel prix

Le Président Félix Tshisekedi a participé, ce mercredi par visioconférence, à un panel de discussion sur les défis auxquels fait face la République Démocratique du Congo (RDC). Ces échanges, ouverts au public, étaient organisés par « The Brookings Institution », un centre de recherche indépendant basé à Washington, aux États-Unis d’Amérique (USA).

Sur la crise sécuritaire dans l’Est du pays, le Chef de l’État a rappelé la genèse de ce conflit qui est clairement une agression de la RDC par le Rwanda et ses supplétifs terroristes du M23 : “nous sommes déterminés à ramener la paix à n’importe quel prix car sans la paix, il n’y a pas de développement.”

Il a par ailleurs expliqué sa stratégie pour que le pays tire mieux profit de ses richesses naturelles. Selon lui, après une révision des contrats miniers existants, il est question de mettre l’accent sur une exploitation profitable et une transformation des minerais sur place pour créer de l’emploi et une industrie locale. Cela va de pair avec une diversification de l’économie congolaise et la promotion de l’agriculture. ” La revanche du sol sur le sous-sol ! “, tel est le leitmotiv du Chef de l’État.

Le Président Tshisekedi a aussi insisté sur la lutte contre la corruption, la promotion de l’entrepreneuriat des jeunes et des femmes. “La jeunesse est notre principal capital. En 2100, il y aura plus de Congolais que d’Américains”, a-t-il relevé. « La RDC, de par sa population, sa dimension et ses ressources, est la solution aux grands défis actuels de l’humanité : la lutte contre le réchauffement climatique, la transition énergétique et l’autosuffisance alimentaire », a-t-il rajouté.

Enfin, le Chef de l’État a bouclé cette rencontre en ligne en remerciant les USA pour leur implication positive dans la recherche de la paix dans l’Est du Congo. Il a recommandé aux leaders américains présents et futurs de plus s’intéresser à la RDC car « nous sommes de vieux alliés, nous partageons les mêmes valeurs de respect de la dignité humaine, de liberté et de démocratie ».

Fondé en 1907, « The Brookings Institution » est l’un des plus anciens et des plus puissants « Think tank » (groupe de réflexion) américain. Il est spécialisé dans la recherche en économie, gouvernance, politique étrangère et développement.




Affaire des inspecteurs de l’IGF transformés en consultants à la Gécamines : L’ACAJ, LICOCO et ODEP appellent à la collaboration pour l’assainissement des finances publiques 

L’affaire concernant le contrat de consultance entre la Gécamines et l’Inspection Générale des Finances (IGF) continue de susciter l’attention. Trois organisations, à savoir l’ACAJ, LICOCO et ODEP, ont adressé une correspondance au Procureur général près la Cour des Comptes, soulignant l’importance d’une collaboration entre ces deux institutions pour garantir une gestion transparente des deniers publics.

Dans leur lettre, ces ONG insistent sur le rôle crucial de l’IGF et du Parquet près la Cour des comptes dans le contrôle des finances publiques. Elles appellent à la mise en place de mécanismes de convergence visant à promouvoir le bien-être collectif. Selon elles, cela passe par une gestion saine et transparente des actifs de la Gécamines, notamment dans ses partenariats avec des sociétés minières privées.

En outre, les organisations encouragent l’Inspecteur Général des Finances à collaborer pleinement avec l’enquête de la Cour des Comptes, dans le respect des dispositions légales.

Cette affaire reste sous haute surveillance, et les trois ONG restent mobilisées pour suivre son évolution.

Didier Mbongomingi




Renforcer la bonne gouvernance : Jean-Lucien Bussa soumet les mandataires des entreprises du portefeuille à un contrat de mandat

Cérémonie de signature du contrat de mandat entre le ministère du Portefeuille et les mandataires des entreprises et établissements publics relevant du Portefeuille de l’Etat, afin de contribuer substantiellement à la croissance et à la diversification économique de la Rdc, au développement social, à la création des emplois et au budget de l’Etat. L’exigence se veut alors noble au regard de la vision du chef de l’Etat, seule de lutter contre la mauvaise gouvernance, le détournement des deniers publics et autres antivaleurs au sein des entreprises de l’Etat. Pour la chef du Gouvernement Judith Suminwa Tuluka, il devient impérieux, comme l’a indiqué le président de la République, en attendant les mesures qui vont suivre, d’améliorer les performances des entreprises du Portefeuille de l’Etat. De son côté, le ministre du Portefeuille Jean-Lucien Bussa pense que la signature de ce contrat de mandat amènera les concernés à renforcer la bonne gouvernance, à améliorer la gestion des entreprises qu’ils dirigent, à les inscrire dans la dynamique de production des biens et services.

Les mandataires des différentes entreprises publiques de l’Etat sous les auspices du ministère du Portefeuille ont procédé ce mercredi 24 juillet 2024 à l’hôtel Hilton de Kinshasa à la signature du contrat de mandat. C’était au cours d’une grande cérémonie dont avait pris part la Première ministre et cheffe du gouvernement Judith Siminwa Tuluka et les Vices-Premiers ministres, les ministres sectoriels et tous les mandataires de l’Etat dans les entreprises publiques et celles de l’économie.

Dans son discours, le ministre du Portefeuille Jean-Lucien Busa a d’abord fait savoir à ces hauts fonctionnaires de l’Etat l’importance de cet engagement.

« La signature du contrat de mandat de ce jour amorce un processus dont les directives assignées vous amèneront à renforcer la bonne gouvernance, à améliorer la gestion des entreprises que vous dirigez, à les inscrire dans la dynamique de production des biens et services, à créer et à redistribuer la richesse. Vous êtes donc appelés à moderniser les outils de gestion et à assurer la transformation digitale et de se doter des nouveaux modèles économiques susceptibles de faire jouer aux entreprises du portefeuille de l’Etat leur véritable rôle en tant qu’épine dorsale de l’économie congolaise », a-t-il indiqué.

Et de préciser que ce contrat de mandat nous oblige en tant que Gouvernement à accompagner de façon volontariste et efficace ce pan important de l’économie contrôlé par l’Etat. C’est dans ce cadre que s’inscrivent les mesures prises par le Gouvernement en faveur des entreprises du portefeuille, des établissements et services publics, lors de sa réunion du vendredi 19 juillet 2024, relatives à la sécurisation des entreprises publiques et établissements publics face aux saisies abusives et démesurées de leurs avoirs dans les banques ; la nécessité d’équilibrer la conquête des marchés nationaux par les entreprises du portefeuille de l’Etat, les établissements et services publics, en vue d’optimiser leurs opérations et augmenter les parts du marché dans leurs secteurs d’activités respectifs; la mise en place d’une Commission, qui est à pied d’œuvre au sein de mon ministère, pour proposer des mesures d’assainissement de l’endettement des entreprises du portefeuille de l’Etat et des établissements et services publics.

A l’en croire, il s’agit d’une responsabilité partagée et c’est le sens du présent contrat de mandat entre l’Etat actionnaire et les mandataires publics.

Cependant, la lecture du contrat de mandat a été faite par le président du Conseil supérieur du portefeuille Norbert Nkubu Eluna qui a rappelé les uns et les autres leurs obligations envers la République.

Des obligations du mandataire

« Le Mandataire Public est tenu d’exécuter personnellement, avec loyauté, conscience, responsabilité, compétence, dignité, dévouement et intégrité le mandat qui lui est confié et assumer les fonctions qui lui sont dévolues, conformément aux textes légaux, réglementaires et statutaires en vigueur.

Le Mandataire Public doit veiller à la protection et à la sauvegarde de tous les biens sociaux ; pour ce faire, il ne peut poser aucun acte constitutif d’un désengagement au sens de la loi n°08/008 du 07 juillet 2008 portant dispositions générales relatives au désengagement de l’Etat des Entreprises du Portefeuille.

Il ne peut prendre aucune décision conduisant à une diminution de la valeur du patrimoine ou rendant un bien de la société indisponible pour une longue durée. Il doit requérir, selon le cas, l’autorisation du Conseil d’Administration ou celle du Mandant, chaque fois que les statuts l’exigent.

Prenant la parole à cette manifestation, la Première ministre Judith Siminwa Tuluka a d’abord signifié à l’assistance le souhait du président de la République, celui d’organiser les états généraux du portefeuille en vue de redynamiser le portefeuille de l’Etat et particulièrement les entreprises publiques qui en constituent la colonne vertébrale. La cheffe du gouvernement a en même temps invité les signataires à se conformer scrupuleusement aux instructions et directives qui ressortent afin d’agir en toute responsabilité et abnégation et ce, dans l’intérêt des sociétés sous leurs directions.




Gestion orthodoxe des entreprises : Le gouvernement et les mandataires publics s’engagent à renforcer la bonne gouvernance pour un résultat probant

La Première ministre Judith Suminwa Tuluka a présidé, ce mercredi 24 juillet 2024, la cérémonie de signature du contrat de mandat entre le ministre du Portefeuille Jean- Lucien Busa, représentant l’Etat actionnaire et l’ensemble des mandataires publics dans les entreprises du portefeuille. L’objectif est d’améliorer la gouvernance à la tête des entreprises et la gestion orthodoxe du patrimoine de ces sociétés pour des résultats performants. Ce, conformément à l’article 17 de la loi n°08/010 du 17 juillet 2008 fixant les règles relatives à l’organisation et à la gestion du portefeuille de l’Etat.

Composé de 23 articles, le document signé fixe la durée du mandat et détermine les droits et obligations de chaque partie du contrat.

A titre illustratif, le mandataire devra rendre compte de l’exécution de son mandat dans les formes et délais prévus par les statuts et à chaque fois que le mandant le requiert. Il a également l’obligation de faire preuve d’une gestion transparente, orthodoxe et axée sur le résultat.

Quant au mandant, il doit s’assurer que le mandataire public bénéficie auprès de la société dans laquelle il exerce son mandat d’une rémunération juste et digne ainsi que tous les avantages liés au mandat. A défaut, il doit y pourvoir. Le contrat est conclu pour une durée de 6 ans et peut être renouvelé en cas de nouvelles nominations dans les fonctions du mandataire public.

Dans son mot de circonstance, la Première ministre Judith Suminwa a salué la tenue de ces assises qui, selon elle, matérialisent la volonté exprimée par le Chef de l’Etat Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo à replacer les entreprises du portefeuille de l’État au cœur du développement économique et social du pays. Il a, par ailleurs, souligner la portée de cet acte pour le Programme d’Actions du Gouvernement (PAG).

“Je voudrai constater avec vous que ce jour augure une nouvelle dynamique dans la mise en œuvre du programme du gouvernement qui matérialise la vision stratégique pour le développement économique, social et politique de la République Démocratique du Congo, volonté de M. Félix-Antoine Tshisekedi, Président de la République qui sous-tend un rôle actif des entreprises du Portefeuille en vue de la relance et la diversification de l’économie. Dans cette perspective, il me paraît évident que les objectifs déclinés dans le Plan d’Actions 2024-2028 du Gouvernement, notamment pour construire une économie plus diversifiée et plus compétitive dans l’objectif de créer des emplois, tout en renforçant l’efficacité de services publics…”, a-t-elle indiqué.

Pour sa part, le ministre du Portefeuille a interpelé les mandataires publics sur la bonne gouvernance pour atteindre les résultats attendus.

“Tous les rapports en ma possession confirment la persistance du problème de gouvernance comme celui de la gestion qui demeure préoccupant et les cas sont légions. En vue de changer la trajectoire, il devient impérieux dans un premier temps de procéder à la signature du contrat de mandat qui amorce un processus dont les directives assignés vous amèneront à renforcer la bonne gouvernance, à améliorer la gestion des entreprises que vous dirigez, à les inscrire dans la dynamique des biens et services, à créer et redistribue des richesses”, a fait savoir Jean-Lucien Busa.

Notons que cette cérémonie a connu la participation de plusieurs membres du Gouvernement. Parmi ceux-ci, les Vice-premiers ministres de l’Economie nationale, de l’Intérieur et celui des Transports, mais également les ministres du Budget, de la Recherche scientifique ainsi que celui de la formation professionnelle.




Ligue des Champions Féminine de la CAF 2024 : Résultats du tirage au sort des éliminatoires zonales

La Confédération Africaine de Football vient de procéder au tirage au sort des phases éliminatoires de la Ligue des Champions Féminine de la CAF 2024, ce mercredi 24 juillet au Caire, siège de la CAF.

Les régions concernées par ce tirage au sort étaient l’UNIFFAC, l’UNAF, le CECAFA et l’UFOA B. À noter que la zone COSAFA a également procédé à son tirage au sort pour les éliminatoires de cette compétition, plus tôt dans la journée.

UFOA B

M. Philippe Tchere, le Directeur Exécutif de la zone UFOA B a procédé au tirage au sort du tournoi féminin qualificatif pour la phase finale de la Ligue des Champions Féminine de la CAF 2024. Les sept équipes engagées dans ce tournoi sont réparties dans deux groupes. À noter que la compétition se déroulera du 10 au 24 août en Côte d’Ivoire, les enceintes sportives du Stade de la Paix de Bouaké et du Stade Charles Konan Banny de Yamoussoukro ont été choisies pour abriter le tournoi.

Les groupes du tournoi de l’UFOA B

Groupe A : Inter d’Abidjan (Côte d’Ivoire), Ainonvi FC (Bénin), AS Kozah (Togo),

Groupe B : Hasaacas Ladies (Ghana), O. Étincelles (Burkina Faso), AS Garde Nationale (Niger), EDO Queens (Nigeria)

Calendrier des matchs du tournoi de l’UFOA B

Première journée

10/08/24

Inter d’Abidjan – Ainonvi FC 15h00, Stade de Bouaké

11/08/24

Hasaacas Ladies – Omnisports Etincelle, 16h00, Stade de Bouaké

AS Garde Nationale – Edo Queens, 18h00, Stade de Bouaké

Deuxième journée

13/08

Ainonvi FC – AS Kozah, 16h00 Stade Charles Konan Banny

14/08

Omnisport Etincelles – AS Garde Nationale, 15h00, Stade Charles Konan Banny

Edo Queens – Hasaacas Ladies, 18h00, Stade Charles Konan Banny

Troisième journée

16/08

AS Kozah – Inter d’Abidjan, 16h00, Stade de Bouaké

17/08

AS Garde Nationale – Hasaacas Ladies, 16h00, Stade de Bouaké

Edo Queens – Omnisports Étincelle, 16h00, Stade de Bouaké 2




Paris 2024 : l’Egypte arrache un nul

L’Égypte a débuté sa participation aux Jeux olympiques de 2024 à Paris, mercredi 24 juillet, par un match nul 0-0 contre la République dominicaine

Les Pharaons sont désormais deuxièmes du Groupe C, à égalité avec la République dominicaine avec un point, tandis que l’Espagne est en tête du groupe avec 3 points, après une victoire 2-1 sur l’Ouzbékistan, qui est dernier du groupe avec aucun point.

La République dominicaine a commencé fort et a réussi à ouvrir le score à la 14e minute, par Peter Gonzalez, mais après consultation de la VAR le but est refusé

Les joueurs égyptiens ont manqué de réelles occasions d’ouvrir le score. Le match s’est terminé sur un score de 0-0 entre




Paris 2024 : Les occasions manquées du Syli olympique

Pour son entrée en piste dans le Tournoi Olympique de Football masculin, Paris 2024, la Guinée est tombée face à la Nouvelle-Zélande 2-1 à Nice.

Les Guinéens avaient pourtant fait le plein de confiance après leur victoire contre l’Argentine, la semaine dernière. Cependant, les hommes de Kaba Diawara emmenés par Naby Keita capitaine et porte-drapeau de la délégation nationale ont chuté face à la Nouvelle-Zélande 2-1, mercredi.

Dès le début de la partie, les Ouest-africains sont agressifs, commettent des fautes et offrent un penalty à l’adversaire. À la 22e minute, Matthew Garbett, le capitaine néo-zélandais, rate le cadre. Le Syli pousse un ouf de soulagement mais baisse la garde. Deux minutes plus tard, le même Garbett, d’une frappe du droit, permet à son équipe de prendre l’avantage.

Un but qui sonne le réveil des Guinéens. De retour des vestiaires, Aliou Baldé pense remettre les deux équipes à égalité, malheureusement après consultation du VAR son but est annulé par le corps arbitral.

Le Syli ne perd pas l’espoir et enchaîne les assauts offensifs. Délaissé à l’entrée de la surface, Amadou Diawara d’une frappe sublime, égalise à la 72e minute. Les supporters guinéens venus en masse dans le stade de Nice exultent. Mais cette joie sera de courte de durée. Waine redonne l’avantage à son équipe à la 76e minute. Le score ne changera pas.

La prochaine sortie du Syli olympique aura lieu contre la France, pays hôte de la compétition, samedi.