Le pape s’est rendu dans la zone du petit centre sportif pour les enfants des employés, centre récemment construit et dédié à saint Joseph, situé près des Musées du Vatican. Le jeudi 18 juillet au matin, le pape François a rendu visite aux participants du camp d’été « Estate ragazzi in Vaticano », accompagné du P. Franco Fontana, S.D.B., responsable de l’organisation des semaines d’activités physiques, éducatives et spirituelles dans le centre situé à l’intérieur de la Cité du Vatican.

Après une brève salutation et des remerciements aux bienfaiteurs de la Casa Santa Marta, le pape s’est rendu dans la zone du petit centre sportif pour les enfants des employés, récemment construit et dédié à saint Joseph. À son arrivée, il y a eu une brève rencontre avec les animateurs, puis le pape s’est entretenu avec les enfants et les jeunes qui participent au camp d’été.

En réponse à leurs questions et à leurs discours, inspirés par le chemin de réflexion et les activités qu’ils suivent ces jours-ci, le pape François a parlé de la valeur de la famille, des parents, de la relation avec les grands-parents, il les a exhortés à travailler pour la paix, parce que « faire la paix est la chose la plus belle de la vie », et à préparer le prochain Jubilé « dans un esprit de joie ».

Enfin, après un moment de prière, les enfants et les jeunes ont lâché en l’air, tous ensemble, des ballons colorés en caoutchouc naturel, biodégradable, sur lesquels étaient inscrits les mots du pape : « Pour toi, cher enfant, pour toi, chère fille, tu es précieuse aux yeux de Dieu », dans l’espoir que le message parvienne au plus grand nombre. La rencontre s’est terminée par les remerciements du pape aux enfants pour leur joie et à tous ceux qui ont participé à la réalisation de cette initiative.

Ce 23 juillet 2024, le cardinal Pietro Parolin, secrétaire d’État du Vatican, a achevé une visite de cinq jours en Ukraine. Il revenait pour la première fois sur le sol ukrainien depuis le début de l’invasion russe. Le but de ce voyage était la célébration de clôture du pèlerinage marial au sanctuaire de Berdytchiv, à l’ouest de Kiev. « C’est la raison pour laquelle le Saint-Père m’a envoyé en tant que représentant spécial, à la demande des évêques latins, pour l’élévation du sanctuaire en basilique mineure », a-t-il expliqué aux médias du Vatican. Arrivé le 19 juillet, le légat du pape a rencontré les autorités civiles et religieuses du pays, ainsi que le nonce apostolique en Ukraine, Mgr Visvaldas Kulbokas. « Ce voyage a été placé sous le signe de la prière » résume le cardinal Parolin, tout en évoquant la proximité du pape qui, « depuis le début, a essayé de trouver des voies pour la fin de la guerre et une paix juste ».

Rencontre avec le président ukrainien

Après avoir rencontré le Premier ministre Denys Shmyhal et le président du Parlement ukrainien Ruslan Stefanchuk le lundi 22 juillet, le cardinal Pietro Parolin s’est entretenu avec le président Volodymyr Zelensky, ce mardi 23 juillet à Kiev. La Secrétairerie d’État a partagé cette entrevue dans un post sur son compte X, précisant que le cardinal a réitéré au chef d’État « la proximité et l’engagement du pape dans la recherche d’une paix juste et durable pour l’Ukraine martyrisée ».

Le président Zelensky a lui-même écrit, suite à cette entrevue : « Nous avons discuté des conséquences de l’agression russe contre l’Ukraine, de la terreur aérienne persistante, de la situation humanitaire difficile et des résultats de notre rencontre avec le pape François en juin, en Italie. Nous nous sommes concentrés en particulier sur les décisions du premier sommet de la paix et sur le rôle du Vatican dans l’établissement d’une paix juste et durable pour l’Ukraine. Je suis reconnaissant au cardinal pour son soutien à notre pays et à notre peuple. »

« Rien n’est impossible à Dieu »

Le secrétaire d’État qualifie la situation en Ukraine de tragédie, à cause de tous ces morts, ces blessés et mutilés de guerre. Les mères ukrainiennes pleurent et vivent un déchirement devant les pertes innombrables d’enfants, notamment leurs garçons morts au combat. Il a cependant insisté, lors de son passage au sanctuaire marial de Berdychiv, sur l’importance de la foi et de la prière, dans l’espoir d’une possible réconciliation. Aux nombreux pèlerins présents ce 21 juillet 2024, il a souligné que « rien n’est impossible à Dieu », puis a transmis la bénédiction du pape François à la nation ukrainienne.

Du 17 au 20 juillet 2024, 60 000 personnes, venues des 50 États américains et de 17 pays, se sont rassemblées à Indianapolis pour célébrer le 10e Congrès eucharistique national. Il s’agissait du premier Congrès national organisé aux États-Unis depuis 83 ans. Cet événement a démontré la beauté et la force de la dévotion eucharistique qui rassemble, unifie et dynamise les fidèles. Un grand nombre de familles se sont déplacées pour vivre ces quelques jours de ferveur. Elles ont pu prier et adorer ensemble, et les enfants ont participé à des ateliers organisés pour eux.

Un modèle de revitalisation de la foi catholique

Pendant ces quelques jours, la messe a été célébrée quotidiennement, dans plus de 43 langues, par près de 200 évêques et 1 500 prêtres. « Le Saint-Père prie, comme nous tous, pour que le congrès porte des fruits, beaucoup de fruits, pour le renouveau de l’Église et de la société aux États-Unis d’Amérique », a déclaré le cardinal Luis Antonio Tagle, lors de la messe de clôture du Congrès. De son côté, l’évêque auxiliaire de Sydney a confié à l’Australian Catholic Weekly que « c’est une expérience extraordinaire de pouvoir rassembler autant de personnes ».

Mgr Richard Umbers est venu au Congrès en tant qu’observateur international : « Nous parlons de présence réelle, mais pour cela, nous devons être présents, et présents dans la liturgie. » Selon lui, l’événement américain suscite beaucoup d’intérêt pour son pays, et peut devenir un modèle de revitalisation de la foi catholique à travers le monde. Il confie en outre que l’Église catholique australienne espère accueillir le Congrès eucharistique international à Sydney en 2028, avec le soutien américain.

Remettre Jésus au cœur de la société

Pour l’heure, l’évêque auxiliaire de Sydney a été mandaté par les conférences épiscopales catholiques d’Australie et de Nouvelle-Zélande, pour participer au prochain Congrès eucharistique international qui se tiendra à Quito, en Équateur, du 8 au 15 septembre 2024. « Je me rendrai à Quito et j’emmènerai un groupe de personnes avec moi », a-t-il déclaré. « Nous aurons une équipe d’observation et un pèlerinage pour voir où nous pouvons apprendre. »

« Nous avons vraiment besoin de nous revitaliser en appréciant l’œuvre du Seigneur et en l’adorant ensemble », a-t-il ajouté, en rappelant les grands défis du monde actuel : un monde hyper connecté, éloigné de la foi, et dans lequel les jeunes ont du mal à croire en l’avenir. « C’est l’une des raisons pour lesquelles de plus en plus de catholiques descendent dans la rue et disent qu’ils croient en J

ésus. »

Le ministre Julien Paluku Kahongya a signé le 20 juillet 2024 un Arrêté portant restriction d’importation de la chaux dans la partie Sud-Est de la Rdc pour une durée de 12 mois.

Toute importation en cours, initiée avant la signature du présent Arrêté ministériel peut bénéficier d’une dérogation accordée par le ministre ayant le Commerce extérieur dans ses attributions.

Le requérant est tenu, pour ce faire, de porter sa demande de dérogation à la connaissance de l’autorité ministérielle précitée endéans les 30 jours à dater de la publication dudit Arrêté au Journal officiel.

N’entre pas dans le champ d’application du présent Arrêté, toute importation de la chaux effectuée conformément aux accords commerciaux.

En cas de nécessité d’approvisionnement dans cette partie du territoire national , par le fait d’accès difficile au produit concerné, les opérateurs économiques peuvent bénéficier d’une dérogation accordée par le ministre du Commerce extérieur et une évaluation semestrielle est prévue, et ce, sous l’autorité du ministre du Commerce extérieur.

Le Directeur Général de la Direction Générale des Recettes de Kinshasa, Michée Musaka Mayelenkay, a reçu ce mercredi 24 juillet 2024 un Diplôme d’honneur, prix d’excellence, lui décerné par le Centre d’Etudes sur le Développement Economique et Social (CEDES). Distinction qui a gratifié la qualité et la solidité de ses actions au sein de cette Administration fiscale. Cette cérémonie de remise a eu lieu dans la Salle Gentiny Ngobila, au siège de la DGRK, dans la commune de Gombe.

Le CEDES qui est une ONG à caractère scientifique créée en 1989 par un groupe des jeunes étudiants de l’Université de Kinshasa, a montré son intérêt majeur d’accompagner le Patron de la DGRK sur le chemin d’excellence et de la perfection. Également lui donner quelques outils et motifs dans sa bataille de la recherche du bien-être pour l’ensemble de la ville de Kinshasa.

Cet effort du changement, ajoute M. André Bijimine Kampangala, Directeur de cette ONG, mérite des encouragements pour l’avancement de la DGRK.

Prenant la parole, le Patron de la DGRK qui a reçu ce mérite récompensant les hautes personnalités, a accueilli cet événement avec joie et surtout humilité. Remerciant ainsi premièrement le Chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi qui a permis cet élan de bonne gouvernance, sans oublier le Gouverneur de la Ville de Kinshasa, Daniel Bumba.

Et le CEDES de ne jamais cesser d’encourager la bonne gestion et la maximisation des recettes dans la République Démocratique du Congo en général et de la Ville de Kinshasa en particulier via la DGRK. Michée Musaka Mayelenkay a également rendu un grand hommage à son comité de gestion, aux Agents et Cadres de la DGRK qui se sont donnés à fond pour la réalisation de cet exploit, par leur accompagnement, rendant possible la mobilisation accrue des recettes.

Pourtant parvenue à revenir au score, la Guinée a déchanté en s’inclinant contre la Nouvelle-Zélande (1-2) pour son entrée en lice au tournoi de football des Jeux Olympiques de Paris 2024 ce mercredi à l’Allianz Riviera de Nice. Un revers fâcheux contre l’adversaire le plus abordable du groupe.

Si Amadou Diallo allumait la première mèche, ce sont bien les Guinéens qui se faisaient peur en début de partie en multipliant les grossières erreurs défensives. A l’image de ce centre de Boxall qui filait miraculeusement devant le but sans être coupé puis de ce tir de Singh, qui s’était infiltré dans la surface, qui frappait au-dessus, les alertes s’enchaînaient devant le but du Syli.

Le calvaire de la défense et Soumaïla Sylla

Soumaïla Sylla, le gardien de Reims, finissait par commettre l’irréparable en séchant Sutton dans la surface. Après recours à la VAR, l’arbitre émirati Adel Al Naqbi accordait un penalty très sévère car Sutton était couvert du hors-jeu seulement pour quelques millimètres, un détail complètement invisible à l’oeil nu. Mais les hommes de Kaba Diawara bénéficiaient d’un coup de pouce inattendu de la part du tireur adverse, Garbett, qui expédiait sa tentative à côté.

Sauf que le Néo-Zélandais ne tardait pas à se racheter en ouvrant le score après une relance ratée du décidément malheureux Soumaïla Sylla (0-1, 25e). Dos au mur, le Syli U23 montait progressivement en régime et finissait le premier acte en poussant fort. Mais il se heurtait à un Paulsen impérial dans le but adverse. Le portier effectuait d’abord un superbe double arrêt, du pied puis de la main, face à Diallo, avant de claquer le tir d’Abdoulaye Touré.

Amadou Diawara, héros de courte durée…

Sur sa lancée, le 4e de la dernière CAN U23 maintenait toutefois la pression au retour des vestiaires. Aliou Badara Baldé pensait égaliser mais voyait son but refusé en raison d’un hors-jeu litigieux. La délivrance venait finalement d’Amadou Diawara, l’un des 3 jokers âgés de plus de 23 ans, qui égalisait d’une frappe pure (1-1, 72e).

Alors qu’on imaginait la Guinée lancée, la défense ultra-fébrile du Syli faisait à nouveau des siennes et Waine redonnait l’avantage aux Océaniens dans la foulée (1-2, 76e). Logiquement, les Guinéens reprenaient leur assaut du but adverse, mais ils se heurtaient à nouveau à un Paulsen en état de grâce et auteur d’un impressionnant double arrêt consécutif à une tentative d’Algassime Bah. Alors que son équipe jetait toutes ses forces en attaque, Sylla devait également s’employer pour éviter un 3e but. Insuffisant toutefois pour empêcher un revers qui obligera la Guinée à un exploit samedi contre la France et mardi contre les États-Unis.

ST

C’est probablement du jamais-vu. Alors qu’il pensait avoir perdu le match, le Maroc s’est finalement imposé contre l’Argentine (2-1) ce mercredi au Stade Geoffroy-Guichard de Saint-Etienne pour son entrée au tournoi de Football masculin des Jeux Olympiques de Paris 2024.

En effet, contrairement à ce que tout le monde croyait, y compris les 22 acteurs, l’arbitre Glenn Nyberg n’avait pas sifflé la fin de la partie mais il avait seulement suspendu le match. La faute à des jets de projectiles, notamment des pétards, en direction des Argentins venant de tribunes largement acquises au Maroc, et d’un petit envahissement de terrain par une vingtaine d’individus, suite à l’égalisation Sud-Américaine à la 15e minute du temps additionnel.

Le but Argentin annulé !

Pendant près de deux heures, la plus grande confusion a régné autour de cette rencontre, avec des rumeurs contradictoires sur la validité du but et la reprise du match, alors que le public avait été invité à quitter le stade. Concernant le premier point, le contrôle VAR du but Argentin a finalement décelé un hors-jeu de la part de Cristian Medina. Son but a donc été annulé. Finalement, aux alentours de 19h, la partie a repris à 2-1 en faveur du Maroc et à huis clos. Le temps de disputer les 4 dernières minutes qui restaient à jouer. Les hommes de Tarik Sektioui ont tenu leur avantage et réalisent donc un exploit en s’imposant contre l’Argentine.

Reste à savoir si ce résultat sera définitivement entériné puisque, d’après les informations de France 2, des appels devant le Comité International Olympique (CIO) sont à prévoir. En bref, ce match n’a pas fini de faire parler mais, pour l’heure, ce sont bel et bien les Lionceaux de l’Atlas qui lancent leurs JO sous les meilleurs auspices.

ST

Bien que favorite au coup d’envoi, l’Egypte beaucoup déçu pour son entrée en lice aux Jeux Olympiques de Paris 2024, en butant sur la modeste République Dominicaine (0-0) ce mercredi au Stade de la Beaujoire à Nantes.

Les Pharaons peuvent même s’estimer heureux car ils auraient pu se retrouver menés au score dès la 5e minute lorsque Peter Gonzalez avait trouvé le chemin des filets, avant que son but ne soit annulé pour une faute peu évidente sur Hossam Abdelmaguid, qui semblait surtout avoir manqué son dégagement. Une poignée de minutes plus tard, il fallait ensuite un sauvetage d’Omar Fayed sur sa ligne pour empêcher les Dominicains de virer en tête.

Après cette entame difficile, les finalistes de la dernière CAN U23 reprenaient du poil de la bête, sans pour autant se montrer très convaincants dans le jeu. Celà n’empêchait pas Ossama Faysal de se procurer une grosse occasion, mais l’attaquant manquait sa tête en bonne position, avant qu’Ibrahim Adel ne commette un énorme raté en tirant au-dessus alors qu’il était seul dans la surface. Puis Elneny trouvait le poteau sur une frappe lointaine avant la pause.

Programme corsé…

La seconde période se révélait encore plus pauvre en occasions malgré une belle opportunité gâchée en fin de partie par Omar Fayed. Avec ce match nul et vierge, la bande à Rogerio Micale ne s’est clairement pas mise en confiance face à l’adversaire le plus abordable du groupe avant d’affronter l’Ouzbékistan samedi et l’Espagne mardi prochain. La Rojita a disposé 2-1 des Ouzbkets un peu plus tôt dans l’autre match de la poule.

ST

(Le vendredi 19 juillet au studio 14 du siège de CMG)

Chers invités, chers amis,

Nous sommes réunis en ce jour à l’occasion du Dialogue international «Opportunités mondiales de l’approfondissement de la réforme de la Chine dans la nouvelle ère ». Je vous souhaite la bienvenue au nom de China Media Group !

Le troisième plénum du XXème Comité central du Parti communiste chinois, qui a suscité l’intérêt du monde entier, s’est conclu avec succès ici à Beijing, marquant un jalon important pour la Chine dans la nouvelle ère.

Je voudrais partager avec vous mes réflexions à propos de cet événement. La modernisation chinoise, en tant que thème de l’approfondissement intégral de la réforme en Chine, progresse dans le cadre de la réforme et de l’ouverture sur l’extérieur, et c’est également dans ce cadre qu’elle ouvrira de plus vastes perspectives de développement.

Maintenir la direction du Parti sur tous les plans, préserver le principe de la primauté du peuple, savoir innover tout en maintenant les principes fondamentaux, prendre pour fil conducteur l’édification institutionnelle, persévérer dans la promotion intégrale de la gouvernance de l’État en vertu de la loi et adopter une approche systémique. Ces principes majeurs pour approfondir davantage la réforme globale incarnent la sagesse chinoise et une expérience précieuse.

Le président Xi Jinping a déclaré que « La réforme et l’ouverture, la deuxième révolution de la Chine, ont non seulement profondément changé notre pays mais ont également profondément impacté le monde ! » L’approfondissement de la réforme de la Chine dans la nouvelle ère est une approche stratégique dans le renouveau et l’édification de notre nation par la modernisation chinoise. Cette approche donnera un nouvel élan à l’humanité pour l’inciter à explorer la voie de la modernisation, de l’équité et de la justice sociale. Elle offrira de nouvelles opportunités et insufflera un nouvel élan au développement de toute la planète. Dans un monde en proie à des changements majeurs, face aux opportunités et aux défis qu’apporte le nouveau cycle de la révolution scientifique et technologique et de la transformation industrielle, la Chine a placé la réforme au plus haut niveau de ses priorités, et le rythme de la réforme ne faiblira pas. La Chine s’opposera au « découplage », à la « rupture des chaînes industrielles et d’approvisionnement » et à la « construction des murs et des barrières ». Elle sera toujours profondément intégrée au monde avec lequel elle partage un destin commun et travaillera avec les autres pays pour créer un avenir brillant pour la cause de la modernisation de l’humanité.

En tant que média international de premier plan et possédant l’une des plus larges couvertures au monde, CMG s’est engagé à raconter l’histoire de la réforme et de l’ouverture de la Chine ainsi que celle de la modernisation chinoise. En faisant cela, notre groupe contribue à la construction d’un pont reliant les peuples et favorisant les échanges, le dialogue et l’apprentissage mutuel avec le reste du monde. Nous assumons pleinement nos responsabilités médiatiques et lançons régulièrement un grand nombre de programmes tels que « Cartographie de la décennie », « Notre périple », « Modernisation chinoise, nouvelle forme de civilisation humaine » et « La modernisation chinoise dans toute sa splendeur » pour montrer à notre public la vitalité de la modernisation en Chine. Nous avons aussi à cœur de promouvoir les échanges entre les différents peuples et civilisations ainsi que les échanges culturels à travers des projets tels que le Forum mondial de l’innovation dans les médias, le mécanisme de partenariats internationaux et le dialogue médiatique mondial «La Chine au printemps ». Le but est d’ériger une communauté intellectuelle collective et participative pour tous ceux qui sont sur la voie de la modernisation. Nous élargissons notre cercle d’amis international et coopérons largement avec des institutions culturelles, des organisations internationales et des groupes de réflexion de divers pays pour explorer et partager conjointement les opportunités mondiales de l’approfondissement de la réforme de la Chine dans la nouvelle ère, et contribuer davantage à la modernisation du monde en vue d’un développement pacifique, d’une coopération mutuellement bénéfique et d’une prospérité commune.

Mesdames et messieurs, chers amis ! Un proverbe chinois dit : Qui agit avec force a bien de chances de réussir, qui avance sans relâche d’arriver à son but. Nous sommes impatients d’échanger de manière franche et approfondie avec nos partenaires, de travailler main dans la main avec eux et de promouvoir conjointement la construction d’une communauté de destin pour l’humanité et la création d’un avenir meilleur pour la société humaine.

Je souhaite un plein succès au dialogue international « Opportunités mondiales de l’approfondissement de la réforme de la Chine dans la nouvelle ère » !

Je vous remercie.

Les jours passent mais ne se ressemblent pas. Ce fut le cas de cette journée du lundi 22 juillet 2024 où la toile s’est enflammée à la suite d’une prétendue plainte, contre Madame Malangu Kabedi Mbuyi, Gouverneur de la Banque Centrale du Congo, signée par un soi-disant avocat, non autrement identifié, sauf par son nom Richard Mbenza Kolo, prétendant agir pour le compte d’une certaine Association sans but lucratif dénommée Association de lutte contre la corruption (ALCC).

Malheureusement en quête du sensationnel, certains médias en ligne ont mécaniquement relayés ce chiffon sans, doute méthodique, notamment sur la qualité du signataire et la vraisemblance des allégations avancées comme l’exige la déontologie des journalistes.

Passé l’émotion, les informations collectées et les rapprochements des faits étalés révèlent qu’il n’existe aucune plainte contre le Gouverneur de la BCC. Bien plus, le prétendu cabinet d’avocats est sans adresse de même que ses pensionnaires qui en plus ne sont pas connus de l’ordre national des avocats du Congo accessible à l’adresse ona-rdc.org/annuaires. Concernant le signataire, son identité réelle n’est pas connue. S’agirait-il de Mbeza comme repris à l’en-tête du papier ou de Mbenza signataire. S’agissant d’un homme de la loi, on se rend compte que le crime n’est jamais parfait. Alors quel crédit resterait-il encore à ces allégations ?

C’est donc à juste titre que la démarche de la Banque Centrale, contenue dans l’Avis au public du 23 juillet 2024, de considérer que ce document comprend des imputations dommageables, dont les vrais auteurs sont cachés, ouvre la voie à la justice de les identifier et de permettre ainsi à la BCC d’obtenir réparation du préjudice causé à sa juste valeur.

Les prochains jours pourraient être riches en rebondissements.