Baleke : nouveau prêt en Tanzanie

Six mois après son départ de la Tanzanie, Jean Othos Baleke va y retourner, sous d’autres couleurs. L’attaquant de 23 ans, toujours lié avec le TPM, est de nouveau prêté mais à Young Africans.

Après une saison et demie passée au Simba SC, Baleke était parti en prêt en Libye, à Al Ittihad de Tripoli. La direction du TPM a accepté les termes du prêt du joueur en faveur de Young Africans.

Des retrouvailles avec le championnat tanzanien pour Jean Othos Baleke, compétition au sein de laquelle il a déjà fait ses preuves et démontré ses qualités de fin buteur.

Bonne chance Jean!




Gestion des fonds du projet SICOMINES : Le ministre Doudou Fwamba donne des instructions à l’APCSC) 

M. Doudou Fwamba Likunde Li-Botayi, ministre des Finances, a tenu une réunion le jeudi 18 juillet dans son cabinet de travail, sur la gestion des fonds du projet de la Sino-Congolaise des Mines (SICOMINES). Cette rencontre a rassemblé des acteurs clés, dont le vice-ministre du Budget, la vice-ministre des Finances, et Mme le Gouverneur de la Banque Centrale du Congo (BCC).

Au cours de cette réunion, l’Argentier national a mis un accent sur l’importance du renforcement de la transparence et de la bonne gouvernance qui s’inscrivent dans la vision du Président de la République, Félix Tshisekedi, autour dudit projet.

Pour sa part, le Directeur Général de l’Agence de pilotage de coordination et de suivi des conventions signées entre la RDC et ses partenaires privés (APCSC) Freddy Shembo Yodi a apprécié sans faille, les directives du ministre des Finances. « Il s’agissait pour nous de recevoir des orientations de la part du ministre des Finances et de participer à une réflexion parce que dans le cadre de notre mission de pilotage, de coordination et de suivi du programme Sino-Congolais, il s’est fait qu’une mission du Fonds monétaire international a donné des orientations pour la traçabilité des fonds du programme Sino-Congolais dont nous assurons le suivi et la coordination. »

En ce qui concerne la transparence dans la gestion des fonds liés au projet SICOMINES, le FMI de son côté a proposé au gouvernement congolais d’intégrer les clauses de l’avenant signé avec SICOMINES en termes des recettes et dépenses dans la loi des finances rectificative 2024. De plus, cette institution de Bretton Woods insiste sur la publication en ligne des plans d’engagement budgétaire trimestriels révisés, garantissant ainsi une transparence accrue.

L’autre point clé examiné est la mise en place d’un mécanisme financier et de bonne gouvernance pour les ressources issues de l’avenant SICOMINES. Ledit mécanisme vise à s’assurer que les fonds alloués sont effectivement utilisés pour des projets d’intérêt général, en évitant les procédures d’urgence non indispensables et en prévoyant des audits réguliers des dépenses exceptionnelles de sécurité.

En outre, les réformes structurelles prévues dans le cadre du programme, bien que certaines aient pris du retard, demeurent une priorité. Parmi elles, la signature d’un décret sur le cadre d’exécution des opérations du Trésor et de la Banque Centrale du Congo (BCC) selon les dispositions de la loi LBC/FT est jugée essentielle.

Deux options de mécanismes financiers ont été proposées pour gérer les fonds provenant de SICOMINES : soit un compte rémunéré à la Banque des Règlements Internationaux (BRI) administré par la BCC, soit un sous-compte séquestre du compte général du Trésor. Dans tous les cas, ces fonds ne seront débloqués que progressivement, au fur et à mesure de l’exécution des dépenses.

Par ailleurs, cette séance de travail marque une étape importante dans le renforcement de la transparence et de la bonne gouvernance en RDC, notamment dans la gestion des fonds issus du projet SICOMINES. Le ministre des Finances, Doudou Fwamba Likunde Li-Botayi, réaffirme ainsi son engagement à suivre les recommandations du FMI et à assurer une gestion rigoureuse des ressources publiques pour le développement du pays.




Inongo: Eve Bazaiba lance le Programme de Gestion Durable des Forêts/antenne de Maï-Ndombe    

Mme Eve Bazaiba, ministre d’Etat, ministre de l’Environnement et du développement durable a procédé le mardi 09 Juillet dernier à Inongo, chef-lieu de la Province de Maï-Ndombe, au lancement officiel du Programme de Gestion Durable des Forêts (PGDF), antenne de cette province.

C’était au cours d’un atelier organisé dans la salle de conférence du cinquantenaire d’Inongo. Deux temps forts ont marqué cette cérémonie de lancement du PGDF dont les discours de la Gouverneure de Maï-Ndombe Rita Bola et de la MinEtat Eve Bazaiba.

“Nous ne pouvons que saluer le lancement du Programme de Gestion Durable des Forêts antenne de Maï-Ndombe car c’est une étape cruciale dans l’orientation pour une meilleure gouvernance forestière bénéfique pour la population”, s’est félicitée la Gouverneure Rita Bola dans son allocution.

“Le PGDF est conçu pour contribuer dans son pilier forêt et environnement à la réalisation de la vision commune de développement du pays “, a rappelé pour sa part la ministre d’Etat Eve Bazaiba dans son discours d’ouverture de cet atelier de lancement.

Il est clair que cet atelier vise à informer toutes les parties prenantes sur les objectifs et les résultats attendus du programme, à favoriser l’implication et l’appropriation dans la mise en œuvre du programme par le déploiement de toutes les synergies nécessaires”, a insisté Eve Bazaiba, avant d’indiquer que les exposés et la richesse des échanges au cours de cet atelier, devront permettre d’éclairer davantage sur cet ambitieux programme de gestion durable des forêts.

Soulignons que dans son intervention, elle a rappelé la notion de Gestion Durable de nos Forêts, tout en soulignant le rôle Eco-systémique de la forêt dans notre vie. Pour le PGDF, elle a martelé sur la synergie du Programme avec les autres acteurs œuvrant dans le secteur au niveau du MND.

Concernant l’exploitation forestière, Mme le MINETAT a conscientisé les exploitants dans le respect de la réglementation en vigueur. L’ordre et la discipline sont recommandés. Les récalcitrants seront conduits au centre de rééducation pour répondre de leurs actes selon la règlementation en vigueur.

Pour arriver à la gestion durable des nos forêts, l’harmonie dans les différents ministères est obligatoire (aménagement, mines, titres fonciers, agricultures, …), a –t-elle fini son propos.

Le Programme de Gestion Durable des Forêts(PGDF), a été conclu avec les partenaires pour jouer le rôle d’appui au ministère de l’environnement et du développement durable en vue d’une part, de mettre en place des outils de gestion et d’autre part, de renforcer les capacités institutionnelles de toutes les parties prenantes avec pour finalité, d’aboutir à la stabilisation du couvert forestier, qui constitue un élément important dans la promotion d’une économie verte.

Pour rappel, trois exposés ont été communiqués tour à tour. Il s’agit de la présentation générale du PGDF : par Mme Nounou Booto, DNP ai du Programme. Dans sa communication, elle s’est articulée éléments suivants : Cadrage politique et institutionnel ; Ancrage du PGDF dans la stratégie REDD+ ; Financement du PGDF et durée ; Objectifs globaux et 6 composantes ; Interaction entre les composantes du PGDF : 6 Composantes (3 institutionnelles, 3 techniques) ; Suivi de l’état des lieux par composante ; Planification précise annuelle 2024 est prévue pour soumission aux bailleurs ; Composition de l’Unité de Gestion du Programme,( MEDD appuyer par SOFRECO) ; Relations fonctionnelles entre les acteurs ; Dates importantes du PGDF.

Trois exposés alignés

Le 2ème exposé avait trait à la présentation des activités déjà réalisées et prévues dans la province du Maï-Ndombe, par M. Odon Ibula. Il a donné la composition de la maitrise d’ouvrage (AMO) par Antenne Provinciales ; Composition de l’antenne PGDF du Maï-Ndombe ( 11 agents : 4 experts, 3 points Focaux de la CPEDD, Un conducteur de véhicule, un conducteur de canot rapide et 2 gardiens) ; Composantes, une planification précise annuelle est prévue au niveau PGDF et adaptée à chaque antenne provinciale ; Etat des lieux par 6 composantes : Gouvernance, Politique et réglementation, Secteur artisanal, Garantir une gestion des concessions conforme à la législation et Renforcement des capacités ; Dates clés du PGDF-MND.

Quant au 3ème exposé, il s’est articulé autour de la présentation sur évaluation interne par l’administration forestière (DFC) dans le processus de FC en Rdc par le Chef de division de la foresterie communautaire.

Objectifs PNEFEB2 : Actuellement 2.465.000 ha des forêts sous la gestion communautaire dans notre pays ; 50 sites pilotes ciblées ; la création des revenus pour le développement des CL

Résultats atteints (2024) : 228 CFCL octroyées aux CL et PA, 14 Provinces dont Maï Ndombe, 4.658.813 hectares de superficie totale de forêts Lettre d’Intention CAFI-RDC (2021-2031), prévoit au moins 5 millions d’ha de CFCL. Elaboration d’une feuille de route pour l’exécution de l’évaluation avec l’appui technique et financier du PGDF.




Les Jésuites ouvrent leur premier centre de formation au Bangladesh

La Compagnie de Jésus a créé son tout premier noviciat au Bangladesh, où moins d’un demi pour cent de la population est chrétienne. Elle a pu le réaliser avec l’aide d’une organisation caritative catholique internationale. Le centre de formation de Mothbari, dans le sud-ouest du Bangladesh, contribuera à promouvoir les vocations en permettant aux novices d’étudier dans leur langue maternelle, explique le père Ripon Rozario, supérieur de la mission jésuite au Bangladesh.

Le P. Rozario a déclaré à l’Aide à l’Église en Détresse (AED) que son ordre avait l’habitude d’envoyer des novices à l’étranger pour se former – en particulier en Inde – mais qu’il était devenu de plus en plus difficile d’obtenir des visas. Il a déclaré que le soutien apporté par l’AED pour la construction du centre était « une grâce de Dieu. Nous avons déjà quatre novices dans notre programme de noviciat et six autres les rejoindront en juin prochain ».

Il a souligné que l’Église catholique « a apporté une contribution immense au pays », « en particulier dans les domaines de la santé et de l’éducation ». Il a rappelé que les Jésuites étaient arrivés au Bangladesh pour la première fois en 1576, mais qu’ils avaient été contraints de partir peu après pour des raisons politiques : « Nous n’avons pu nous rétablir dans le pays qu’en 1994. Nous gérons deux écoles, une maison de retraite, divers programmes spirituels et pastoraux, ainsi qu’une pastorale des jeunes. Il y a actuellement 28 jésuites dans ce pays d’Asie du Sud, la grande majorité d’entre eux étant des vocations autochtones ».

Le prêtre a déclaré qu’« il y a environ 500 000 chrétiens au Bangladesh [pays de 171 millions d’habitants], dont environ 300 000 catholiques. L’Église est très dynamique et nous avons de nombreuses activités caritatives ». Il a expliqué que les jeunes catholiques sont souvent incités à rejoindre les Jésuites en étant témoins des services spirituels et sociaux offerts par l’ordre et l’Église en général. Le père Rozario a remercié les bienfaiteurs de l’AED pour leur « soutien généreux » qui leur a permis d’achever la construction du centre de formation, le rendant prêt à accueillir davantage de vocations. Il a conclu en disant : « Merci pour tout le soutien que vous avez apporté à la mission jésuite du Bangladesh par l’intermédiaire de l’AED ».

Avec les remerciements de Conn McNally




L’Afrique a aussi « besoin d’être ré-évangélisée » 

Le cardinal Fridolin Ambongo, président du Symposium des conférences épiscopales d’Afrique et de Madagascar (SCEAM), a écrit un message, jeudi 17 juillet 2024, à l’occasion du 55e anniversaire du SCEAM. Selon Aciafrique, il rappelle que l’Église catholique en Afrique participe largement à l’évangélisation du monde actuel. Après des décennies, elle « a pris racine et est maintenant adulte ». Aujourd’hui, elle représente environ 18 % de la population africaine, avec quelque 256 millions de croyants, « et c’est en Afrique que l’Église catholique connaît une forte croissance ».

Mais selon lui, certaines régions d’Afrique manquent de prêtres et ont désespérément besoin d’être réévangélisées, notamment le nord et le sud du continent. « L’Afrique a faim et soif de Jésus-Christ (…). Notre continent a toujours faim de Jésus-Christ, qui est la seule source de vraie réconciliation ». Le cardinal Ambongo souligne également la nécessité d’aider les personnes déjà baptisées « à atteindre la maturité de la foi, afin qu’elles restent fermes, même en temps de crise, et qu’elles évitent de chercher des solutions soit dans les religions traditionnelles africaines, soit dans les Églises indépendantes ».

Selon lui, le travail d’évangélisation ne sera efficace que si la foi chrétienne est profondément enracinée dans le mode de vie des gens, et touche leur vie dans le contexte de leur culture. Enfin, le président du SCEAM appelle l’Église en Afrique, renouvelée par le voyage synodal, « à embrasser la mission évangélisatrice jusqu’à ce qu’elle atteigne toutes sortes de périphéries, avec une nouvelle ardeur, de nouvelles méthodes et des structures renouvelées ».




Le cardinal Aveline représentera le pape au Canada

L’année 2024 est jubilaire pour l’Église catholique au Canada, qui commémore le 350e anniversaire de la fondation du diocèse de Québec, érigé en 1674 par saint François de Laval. Toute l’année, le diocèse de Québec organise des moments de célébrations et des événements festifs pour marquer ce cap important. Ayant démarré le 8 décembre dernier avec l’ouverture de la Porte sainte, l’année jubilaire se terminera le 8 décembre 2024. À cette occasion, le pape François a nommé le cardinal Jean-Marc Aveline, archevêque de Marseille, pour le représenter à Québec du 20 au 22 septembre 2024, au moment notamment de la « grande fête des jeunes et des familles ».

Lors de ce temps spécial-familles, une journée festive multiculturelle et intergénérationnelle sera proposée, ainsi que des visites dans des communautés fondatrices, telles que les Ursulines ou les Augustines hospitalières. Une messe sera célébrée avec tous les évêques du Canada réunis pour leur assemblée annuelle, et des concerts seront donnés par le groupe français de pop-louange, Glorious, pour leur toute première tournée sur le sol canadien.

La nomination du cardinal Aveline souligne l’importance de ce Jubilé pour l’Église catholique au Canada, et la reconnaissance de son rôle dans l’évangélisation du pays. À noter que les canadiens partageront avec l’Église universelle, le 20 octobre prochain, la joie de la canonisation de l’une des leurs, Mère Marie-Léonie Paradis, fondatrice des Petites Sœurs de la Sainte-Famille.




Programme de la visite du pape au Luxembourg et en Belgique

Ce 19 juillet 2024, le Vatican a publié le programme de la visite du pape François au Luxembourg et en Belgique en septembre prochain. Le Saint-Père passera la journée du 26 septembre au Luxembourg, et les trois jours suivants en Belgique.

Luxembourg

Jeudi 26 septembre 2024 10 h : Arrivée à l’Aéroport international de Luxembourg/Findel Cérémonie de bienvenue et visite de courtoisie au Grand-duc de Luxembourg, palais Grand-Ducal. Rencontre du premier ministre, des autorités, de la société civile et du corps diplomatique.

Discours du Saint-Père.

16h30 : Rencontre avec la communauté catholique à la cathédrale Notre-Dame de Luxembourg. Discours du Saint-Père.

17h30 : Cérémonie de départ à l’aéroport international de Luxembourg/ Findel et départ pour Bruxelles.

Belgique

Jeudi 26 septembre 2024

19h10 : Arrivée à la base aérienne de Melsbroek, à Bruxelles, et cérémonie de bienvenue. Le pape sera accueilli officiellement par le Roi et la Reine, les évêques belges, les recteurs de l’UCLouvain et de la KU Leuven ainsi que d’autres personnalités du monde ecclésiastique et civil.

Vendredi 27 septembre 2024

9h15 : Visite de courtoisie au roi des Belges, au Château de Laeken. Rencontre avec le premier ministre et avec les autorités de la société civile.

Discours du Saint-Père.

16h30 : Rencontre avec les professeurs universitaires dans le « Promotiezaal » de l’Université catholique de Leuven. Entretien avec les professeurs et les étudiants

Discours du Saint-Père.

Samedi 28 septembre 2024

10h : Rencontre avec les évêques, les prêtres, les diacres, les personnes consacrées, les séminaristes et les acteurs pastoraux dans la basilique du Sacré Coeur de Koekelberg, à Bruxelles.

Discours du Saint-Père.

16h30 : Rencontre avec les étudiants universitaires dans la « Aula Magna » de l’Université catholique de Louvain-la-Neuve, pour un échange avec les étudiants et les professeurs.

Discours du Saint-Père. 18h15 : Rencontre privée avec des membres de la Compagnie de Jésus, Collège Saint-Michel.

Dimanche 29 septembre 2024

10h : Messe au stade Roi Baudouin. Homélie du Saint-Père et Angélus. Selon l’Église catholique de Belgique, le pape François béatifiera la carmélite Anne de Jésus, décédée à Bruxelles en 1621.

12h15 : Cérémonie de départ à la base aérienne de Melsbroek et départ pour Rome.




Projet d’attentat contre le pape François à Trieste en Italie 

L’évêque de Trieste, Mgr Enrico Trevisi, a déclaré que le pape avait été informé de l’incident, mais qu’il avait décidé de poursuivre sa visite Les autorités italiennes enquêtent sur un présumé projet d’attentat contre le pape François après la découverte d’une arme à feu dans une valise abandonnée à la gare de Trieste peu avant sa visite du 7 juillet.

La télévision RAI a rapporté que la Police avait identifié un homme qui avait abandonné une valise dans le bar de la gare. À l’intérieur de la valise se trouvaient un pistolet semi-automatique d’origine tchèque, un chargeur contenant 14 balles et des vêtements neufs d’origine turque. Le personnel du bar a alerté les autorités, ce qui a déclenché une intervention rapide de l’agence de sécurité italienne. Malgré la menace, le pape François a respecté son programme et participé à la 50e Semaine sociale catholique à Trieste. Il a fait le tour de la ville à bord d’un véhicule électrique décapotable et a célébré une messe en plein air sur la place principale, ce qui lui a valu un accueil enthousiaste de la part des habitants de la ville.

L’évêque de Trieste, Mgr Enrico Trevisi, a déclaré que le pape avait été informé de l’incident, mais qu’il avait décidé de poursuivre sa visite. « Les habitants de Trieste ont accueilli l’arrivée du pape avec une grande joie et nous ne voulons pas que cette joie soit troublée par d’autres pensées », avait alors déclaré Mgr Trevisi au journal local Il Piccolo. En réaction à cette découverte, les mesures de sécurité ont été renforcées, avec notamment le déploiement d’unités antiterroristes et de membres des services secrets. Les images de vidéosurveillance ont montré un homme d’environ 1,75 mètre au teint mat abandonnant la valise à la gare avant de s’éloigner.

Les autorités s’efforcent toujours de l’identifier et de déterminer son lien éventuel avec la visite du pape. Le porte-parole du Vatican, Matteo Bruni, a déclaré que l’enquête était entre les mains des autorités italiennes. Malgré la menace, la visite du pape François s’est déroulée sans incident majeur et s’est concentrée sur la promotion de l’enseignement social catholique.




Communique n°014




Procès Bukanga Lonzo : l’audience renvoyée au 11 novembre 2024

Initialement prévu ce lundi 22 juillet, le procès Bukanga Lonzo a été renvoyé au lundi 11 novembre 2024.

Selon un communiqué de la Cour Constitutionnelle, ce nouveau renvoi fait suite à la demande des avocats conseils de Christo Stephanus Grobler partant de son état de santé.

C’est le troisième renvoi de cette affaire impliquant l’ancien premier Ministre Augustin Matata Ponyo, l’homme d’affaires sud-africain Grobler et l’ancien gouverneur de la BCC, Deogratias Mutombo.

Ces derniers sont accusés de détournements de plus de 115 millions de dollars à travers des avantages financiers indus, des surfacturations, la création de sociétés écrans, ainsi que des détournements des procédures administratives.

Entre-temps, Matata Ponyo et Déogracias Mutombo sont également accusés d’avoir omis de verser 89 millions de dollars destinés à la construction du marché international de Kinshasa.

 

JL Makoyi