Judo: Diplômes d’honneur décernés au Général Jean Bosco Galenga par l’Eujk-Est et l’Eujukino4

Pendant le déroulement du championnat de Kinshasa en individuel ce vendredi 19 juillet 2024, les férus du judo ont assisté à une coquette cérémonie. Il s’agit de la remise de deux diplômes d’honneur au Général Jean Bosco Galenga par les dirigeants de deux ententes urbaines de judo en occurrence l’Eujk-Est et l’Eujukino4.

Le Mot de remerciement du Général Jean Bosco

Touché par l’acte posé par les deux ententes précitées, le Général Jean Bosco Galenga s’est exprimé en ces termes : ‘’Avant de commencer je dis merci aux deux ententes qui m’ont remis des Diplômes d’honneur.

 

Quand ils sont venus me voir pour les aider à organiser leur championnat respectif dans cette salle (gymnase de la Police Nationale Congolaise), je leur ai accordé parce que j’aime beaucoup le judo et je tiens à sa promotion. Je leur ai dit qu’avec l’amour que j’ai pour le judo, que ça soit (elles) les deux ententes ou les autres entités sportives, on va les soutenir. Je crois qu’avec les actes pareils, le judo ira de l’avant. Les athlètes du judo peuvent compter sur moi pour promouvoir le judo. Je ne dirai pas beaucoup pour ne pas dire des bobards. Mon corps, mon âme et mon esprit, c’est pour faire advancer le judo’’.

Et le Général Jean Bosco de renchérir : ‘’Nous recherchons qu’avec ces athletes, que nous ayons des champions au niveau africain et mondial pour notre pays. Je demande au public de bien conserver cette salle qui va server aux autres disciplines aussi pour l’organisation des competitions etc’’.

Antoine Bolia




Judo: Des choses à éviter dans l’avenir

Le championnat d’élite de judo de la ville de Kinshasa en individuel enregistre une affluence monstre. Cependant, plusieurs anomalies nous pousse à interpeller les organisateurs.

La première anomalie, le non respect de l’heure du début de la compétition qui réunit plusieurs catégories dont les plus jeunes minimes et cadets. Prévu à 09 heures, le premier jour ça commencé au-delà de 13h00. Le deuxième jour, au-delà de 12h00.

Deuxième anomalie, l’arrivée tardive des organisateurs (membres de la Lijukin) alors que les officiels se sont pointés sur le lieu certains à 08 h 30 y compris quelques compétiteurs qui doivent combattre. Vraiment, c’est désolant cet état des choses.

Troisième anomalie, plusieurs enfants avaient passé nuit sur place au Gymnase dans la nuit de jeudi à ce vendredi. Et d’autres avaient passé nuit au Dojo de l’ASJ Cekam. D’autres sont arrivés chez-eux vers 01 heure voir 02 heure du matin. Cela n’est pas normal surtout que ce sont des enfants. On doit vraiment aider le judo. Hier on se plaignait de l’absence d’une sale, maintenant qu’on en dispose, l’on doit changer de méthode d’organiser les choses.

Antoin

e Bolia




Judo: Ambiance électrique au championnat de Kinshasa en individuel au gymnase de la PNC

Démarré le jeudi 18 2024 au gymnase de la Police Nationale Congolaise, le championnat d’élite de la ville de Kinshasa en individuel enregistre une affluence monstre.

Organisé par la Ligue de Judo de Kinshasa ‘’Lijukin’’ que préside Me Aliuw Tshiam, ce championnat se passe dans une ambiance électrique. La même ambiance qui a prévalu le jeudi, se poursuit ce vendredi 19 juillet 2024 sur le même lieu.

Ce championnat en individuel répond aux attentes des férus du judo kinois car il se déroule dans une très bonne ambiance dans une gymnase de la police qui demeure archicomble. Cette compétition connait une affluence monstre côté participation des athlètes.

Ils sont plus de 400 compétiteurs toutes catégories confondues. Et dans le lot, on compte beaucoup plus des jeunes : minimes, cadets et juniors. Trois surfaces de tatami sont utilisées par la Lijukin pour bien faire avancer le déroulement de la compétition.

Antoine Bolia




RDC : la publication des résultats de l’Examen d’État 2023-2024 est prévue pour le 24 juillet

Les candidats à l’Examen d’État édition 2023-2024 n’auront plus longtemps à attendre. Selon l’inspecteur général à l’éducation nationale et nouvelle citoyenneté, la réunion du jury pour la délibération et la publication des résultats est fixée au mercredi 24 juillet prochain.

Jacques Odia précise que toutes les mâles dont déjà à Kinshasa y compris celles des zones en conflit armé et communautaire.

Il invite par ailleurs le cabinet du ministre de l’éducation nationale, l’inspecteur général, le directeur chef de services, le président du comité de parents et les coordinateurs des écoles conventionnées à s’associer à cet exercice en vue de permettre la transparence, la crédibilité et la fiabilité.

Les candidats attendent avec impatience la publication des résultats, espérant avoir réussi à l’examen. Cette session a été marquée par un certain nombre de défis, notamment les difficultés économiques.

 

Orchidée




2 août, GenoCost ? Par devoir de mémoire, parlons d’abord faits !

1 août 1998. Siège de “Demain le Congo “, croisement des avenues Kasaï et Marché, dans le voisinage immédiat de l’université salutiste William Booth. La nuit avance. Nous sommes en train de boucler l’édition prévue pour le lendemain lorsque Albert Rachel Kisonga Mazakala, fondateur et éditeur, débarque en catastrophe à la rédaction. Les premières balles crépitent à Gombe, côté centre-ville. Il nous lance ” C’est la guerre ” et l’ordonne l’arrêter du travail puisqu’il est impossible d’atteindre l’imprimerie située au sous-sol du CCIZ (Fleuve Congo hôtel). Surtout, il nous dissuade de rentrer à la maison. Évidemment, nous passons la nuit éveillés, chacun priant son Dieu pour que les choses n’aillent pas loin !

Soupçons de la présence des génocidaires rwandais aux côtés des Forces armées de la Rdc !

Hélas !, les choses vont aller plus loin qu’on ne l’imagine. Le lendemain – on est effectivement le 2 août 1998 – on découvre l’impensable : la décision prise le 27 juillet par Laurent-Désiré Kabila de suspendre la coopération sécuritaire congolo-rwandaise, d’ailleurs informelle, a pour premier effet de susciter la colère de Kigali !

C’est ici l’occasion d’ouvrir une parenthèse pour clarifier l’acte posé précédemment par M’Zee en nommant le général rwandais James Kabarebe au poste de chef d’État-major des Forces armées congolaises (FAC) formées sur les cendres des Forces armées zaïroises (FAZ).

On est le 17 mai 1998. Le Pouvoir Afdl totalise un an d’existence. Des manifestations de grande envergure sont prévues à Kinshasa. Parmi les invités de marque, cela va de soi, les chefs d’Etat du Rwanda Pasteur Bizimungu et de l’Ouganda Yowerie Museveni.

Le JOUR J, personne n’est au rendez-vous. A la base : des soupçons de connivence entre l’armée congolaise (FAC) et les ex-FAR et milices Interahamwe rwandaises (actuellement FDLR).

Soupçons étendues aux services de sécurité congolais (ANR et DEMIAP).

On sait qu’à son accession à la magistrature suprême, Laurent-Désiré a un problème : il n’a ni responsable d’armée, ni responsable de sécurité pour assurer les fonctions qui nécessitent loyauté et expertise. Au départ, n’ayant pas été associé à l’aventure Afdl, il joue le jeu de façon à rassurer ses homologues rwandais et ougandais de sa sincérité.

Aussi, confie-t-il, dans le cadre de cette coopération, la direction de l’appareil militaire et sécuritaire aux Rwandais. Dont James Kabarebe pour les FAC.

Or, si soupçons de connivence il y a entre les FAC et les futures FDLR, cela ne doit être que sur base du constat des partenaires rwandais. De quoi rappeler, 25 ans après, le prétexte de la présence des génocidaires rwandais aux côtés des FARDC !

Quand, le 27 juillet 1998, de retour d’une escale à Luanda, Laurent-Désiré Kabila apprend la programmation de son propre assassinat par la ceinture rwandaise, il décide évidemment de la suspension de la coopération sécuritaire avec Kigali.

Et 5 jours après, exactement le 2 août 1998, c’est par une expédition aéroportée, sur le modèle de celle d’Israël sur Entebbe en 1976, que le Rwanda fait décoller le 5 août 1998 de Goma un avion pour la base militaire de Kitona, au Kongo Central.

Premier crime commis : l’occupation du barrage d’Inga et la coupure d’électricité pendant plusieurs jours.

Il eut des morts dans des hôpitaux, des pertes en vivres frais, de suspension puis suppression d’emplois dans des unités industrielles et commerciales fonctionnant au courant électrique, etc.

Il fallut attendre l’intervention de la SADC, d’abord par l’Angola, ensuite par le Zimbabwe et la Namibie, pour sauver le Congo !

Certaines forces politiques et sociales s’en étaient prises à la SADC accusée plutôt d’avoir sauvé le régime Kabila.

C’est cela, la vérité des faits

Y a-t-il eu unanimité dans la classe politique et dans la société civile congolaises face à une agression pourtant avérée ? Non, hélas !

Car, lorsque les Yerodia, Mova, Mumengi et autres Ghenda utilisaient les médias pour dénoncer l’agression et le génocide, ces forces convainquaient du contraire l’opinion ” tant nationale qu’internationale “.

Lorsque ces médias présentaient les Kinois de Tshangu en génocidaires alors qu’ils se défendaient, mains nues, contre l’envahissement de Kinshasa par les agresseurs confondus aux rebelles ou vice versa, ces forces affirmaient et soutenaient la thèse de la rwandophobie attribuée à Laurent-Désiré Kabila et aux siens.

Lorsque les Mwenze Kongolo, Mbayi, Mbaya, Mira et autres Etumba se battaient pour sécuriser le front intérieur, ces forces politiques et sociales mobilisaient le peuple sous prétexte de lutter contre la dictature.

Lorsque les Katumba, Kikaya, Kamerhe, Cishambo et autres Mawampanga accompagnaient Mzee Laurent-Désiré Kabila dans la croisade diplomatique, ces forces applaudissaient les Occidentaux pour les sanctions prises à l’encontre de la RDC pour cause de non-respect des droits de l’homme !

Si on les met aujourd’hui au défi de prouver par un seul programme de messe, de marche, de conférence ou de communiqué de presse leur solidarité à l’égard des victimes de la tragédie de l’Est en prévision du 26ème anniversaire de la guerre du 2 août 1998, elles ne sauront pas le relever. Elles croyaient être du bon côté de l’histoire. Simplement parce que, jusque-là, la guerre du 2 août 1998 était à leurs yeux une rébellion (donc une affaire interne aux Congolais), et non une agression !

Là, c’est la vérité des faits.

Autrement, on restera dans la récupération politique

Que ces forces se ressaisissent maintenant, c’est une excellente chose pour le pays. Car elles réalisent enfin l’écart entre l’art (qui est difficile) et la critique (qui est aisée).

Mieux vaut tard que jamais, dit-on.

Mais, normalement, le revirement ne sera sincère qu’au travers d’un pardon vrai et d’un repentir pur.

Il faut absolument que les Congolais qui s’étaient trompés de perception hier commencent par un mea culpa.

La meilleure occasion à leur portée se présente le 2 août prochain.

Autrement, on restera dans la récupération politicienne avec des histoires de “grand-mère” rapportées plutôt en fond de commerce et en stratagème de racolage qu’en acte de réarmement moral pour la reconquête de la dignité nationale !

Omer Nsongo die Lema




6ème Conseil des ministres : la tradition a été respectée

Ce vendredi, le Chef de l’État Félix Tshisekedi a présidé le 6ème Conseil des ministres du gouvernement Suminwa.

La situation sécuritaire dans l’Est du pays ainsi que d’autres sujets à caractère socio-économique sont repris à l’ordre du jour de cette réunion hebdomadaire de l’exécutif national.




Kasai : Le gouvernement provincial reçoit le soutien de la DTC de Théo Kazadi

48 heures après la publication du gouvernement provincial, le parti politique Dynamique pour la Transformation du Congo, parti membre de l’Union sacrée, par plusieurs communiqués de presse de l’inter fédération du Kasaï, fédération de Tshikapa ville et territoire, passant par la ligue des jeunes, promet un soutien indéfectible à l’équipe Mukendi et son plan d’action qui sera bien présenté devant les élus provinciaux.

C’est le deuxième vice-président de l’interféderation du parti DTC au Kasaï, Joseph Mutshipayi Tshitenge, Victor Tshimanga, Emil Prince Longi et Victor Lukusa, respectivement président de la fédération de Tshikapa ville et territoire, président de la Ligue des jeunes et aussi combattant de la première ère, ont à travers une déclaration politique, rendue publique ce jeudi 18 juillet 2024 soir, remercié le gouverneur de province, Maître Crispin Mukendi Bukasa pour avoir nommé deux cadres de ce parti dans son gouvernement.

Les deux ministres nommés, Jeannot Kazadi Kazadi et Jacob Pembe Longo, respectivement ministre des mines, hydrocarbures et énergies et ministre de l’agriculture, pêche et l’élevage. DTC de Théo Kazadi qui maîtrise bien plusieurs difficultés de la province, promet d’apporter son aide pour un déclenchement rapide de la province du Kasaï.

Très satisfait de la confiance du gouverneur, DTC se dit prêt à fournir des efforts qu’il faut pour faire de la province du Kasaï un lieu vivable.

Les membres de ce parti politique ont également souhaité bon travail au nouveau patron du Kasaï et promettent leur accompagnement durant ce quinquennat.

Le choix porté sur ces deux cadres du parti politique de l’honorable Théo Kazadi, témoigne de la considération envers leur parti DTC et à son président national, note le communiqué de presse.

Le même jour, le président de la Ligue des jeunes de ce parti membre de l’Union sacrée, Victor Lukusa a aussi, au nom des jeunes de cette formation politique, promi un soutien sincères au gouverneur Mukendi et son équipe, estimant que le choix porté sur Jeannot Kazadi et Jacob Pembe montre comment le Chef dans l’exécutif provincial compte sur la bonne politique basée sur l’amélioration des conditions des vies de la population.

 

 

Jean-Luc Bakampenda depuis Tshikapa




Nord-Kivu: Deux autres civils tués par les ADF près d’Oïcha à Béni 

Deux morts ont été enregistrés de nouveau dans une nouvelle violence rebelle des ADF à Mabuo, village situé au groupement Batangi-Mbau en territoire de Beni au Nord-Kivu, dans la nuit de jeudi à ce vendredi 19 Juillet 2024.

L’information a été confirmée ce vendredi par Ram’s Malikidogo, secrétaire de l’Ong Convention pour le Respect des Droits Humains, antenne de Mambasa.

Cet activiste des droits de l’homme alerte également sur la traversée de l’ennemi vers la partie Est de la chefferie des Babila Babombi en Ituri.

Une occasion pour notre source d’appeler ses concitoyens à l’extrême vigilance, et aux services de sécurité de mettre la population à l’abri du danger.

Notons que cette nouvelle incursion des ADF intervient deux jours seulement après une double attaque de ce même ennemi aux villages Kazaroho et Moliso, où 10 autres personnes ont été exécutées, toujours en territoire de Béni.

 

Alain Wayire/Béni




Nord-Kivu: Plusieurs jeunes sollicitent la formation militaire à Beni, pour combattre contre le M23 et les ADF 

Dans le cadre de faire face à l’avancée des rebelles du M23 et le massacre commis par les terroristes ADF depuis de 10 ans à Béni au Nord-Kivu, Irumu et Mambasa en Ituri dans l’Est de la RDC, des centaines de jeunes volontaires résistants ont installé un site de cantonnement au stade Kangaembi, dans la commune de Mulekera dans la ville de Béni.

 

Ces jeunes garçons et filles, tout âge confondu, se disent prêts à suivre cette formation militaire accélérée pour apprendre des stratégies militaires de combat, capable de faire face contre les agresseurs du pays.

 

Interrogé, Shabani Loswire, l’un des jeunes de Beni déjà au centre de cantonnement, a révélé sa motivation de rejoindre les hommes des troupes au front pour lutter contre l’insécurité orchestrée par le M23 et les ADF.

 

Il se dit prêt à défendre l’intégrité de cette zone sous menace de l’ennemi, tout en soutenant que les procédures administratives ont été respectées.

 

Et d’ajouter, “la résistance, c’est une question de volonté. J’invite ceux qui traînent encore le pas à venir nous rejoindre dans ce camp de cantonnement pour qu’ensemble, les efforts soient fournis afin d’appuyer les Forces Armées de la RDC qui se battent contre les rebelles ADF et le M23.

 

Selon les initiateurs, des mesures idoines sont prises pour éviter le dérapage mais aussi l’infiltration de l’ennemi au sein de camp de cantonnemment.

 

 

Alain Wayire/Béni




KIM JONG UN avec une délégation militaire de la Russie

KIM JONG UN, Secrétaire Général du Parti du Travail de Corée (PTC, parti présidentiel depuis 1945, NDLR) et Président des Affaires d’Etat de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC située au nord de la Péninsule coréenne et créée 3 ans après la Libération Nationale 1945:
– Puissance nucléaire consacrée à garantir ses droits à l’existence et au développement du Pays et à juguler une guerre pour sauvegarder la paix et la stabilité de la Région et du monde entier
– Superpuissance politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Bienfaiteurs dont les Généralissimes KIM IL SUNG 1912-1994 et KIM JONG IL 1942-2011, et le Maréchal KIM JONG UN, NDLR),
a reçu en audience, ce 18 juillet au siège du Comité Central du PTC, une délégation militaire menée par Alexeï Yurevich KRIVORUCHKO (17/07/1975), Vice-Ministre (chargé de la logistique et du soutien technique, NDLR) de la Défense Nationale de la Fédération de Russie (FR) pour s’entretenir avec son hôte russe. Celui-ci a transmis, avec courtoisie à KIM JONG UN, les salutations chaleureuses de Vladimir Vladimirovitch POUTINE (Pt. depuis 1999, avec 87,28% des voix récentes -18/03/2024-, NDLR), Président de la FR.
KIM JONG UN lui en a témoigné sa vive reconnaissance et l’a prié de transmettre ses salutations amicales à V.V. POUTINE. L’entretien est parvenu à une identité de vues sur l’importance et la nécessité de la collaboration dans le secteur militaire entre les 2 Pays pour sauvegarder la sécurité et les intérêts mutuels. KIM JONG UN a:
– adressé ses salutations militantes à l’Armée et au Peuple de la FR qui se livrent à la lutte juste pour défendre le droit souverain et la sécurité de l’Etat
– exprimé un fort soutien et une ferme solidarité invariables du Gouvernement et du Peuple de la RPDC aux opérations militaires spéciales de la FR en Ukraine
– apprécié, de nouveau, la signification majeure que revêtait le Sommet RPDC-FR (19/06/2024 à Pyongyang, Capitale de la RPDC et source de la Civilisation Taedong-gang de 5.000 ans avec son 1er Etat Co-Joson ou Corée antique, NDLR)
– indiqué la nécessité pour les armées des 2 Pays liées par les traditions historiques de longue haleine (depuis les années 1940, NDLR) et les liens militants de s’unir plus étroitement, de conduire vigoureusement les relations RPDC-FR de la nouvelle Epoque et de jouer un rôle important dans les efforts visant à défendre la paix dans la Région et le reste du monde et la justice internationale.