Paris 2024 : L’Égypte s’impose face à l’Espagne et se qualifie pour les quarts

Vice-championne d’Afrique U-23, l’Égypte a composté son ticket pour le grand huit olympique. Les Pharaons ont réalisé une prestation stratosphérique en battant l’Espagne 2-1, au stade de Bordeaux.

Peu de temps avant la mi-temps, Zozo a profité d’un débordement sur le flanc droit pour donner l’avantage à son équipe. Meilleur joueur de la CAN U-23 CAF TotalEnergies, Adel Ibrahim double la mise à la 59e minute. L’Espagne réduit la marque quelques instants avant la fin du match par l’intermédiaire de Samu Omorododion.

Ce résultat permet à l’Égypte de terminer en tête du Groupe C avec sept points, devançant l’Espagne qui termine la phase de groupe à la deuxième place avec six points.

Les deux équipes se qualifient ainsi pour les quarts de finale.




Paris 2024 : Le Maroc tient son quart

Le Maroc sera bien de la partie.  Les coéquipiers d’Achraf Hakimi se sont qualifiés pour les quarts de finale du Tournoi Olympique de Football masculin, Paris 2024. Les Lions de l’Atlas ont étrillé l’Irak 3-0, ce mardi au stade de Nice.

Ce sont des Marocains pressés qui se sont présentés face au public niçois avec l’envie de plier assez rapidement cette rencontre. À l’image d’un Amir Richardson virevoltant à la conclusion d’une action collective, à la 19e minute de jeu, imité par Sofiane Rahimi dix minutes plus tard. Abde Ezzalzouli s’est chargé d’enfoncer le clou à la 36e minute. Score final 3-0, un résultat qui permet aux protégés de Sektioui d’affronter les États-Unis lors des quarts de finale.




Santé: plus de 12.300 cas de Monkeypox enregistrés

L’épidémie de Monkeypox en République Démocratique du Congo ne cesse de s’étendre, mettant sous pression un système de santé déjà fragilisé. Les derniers chiffres sont alarmants. Plus de 12 mille 300 cas suspects ont été recensés depuis le début de l’année, soit une augmentation considérable par rapport aux années précédentes.

Ce qui rend cette épidémie particulièrement préoccupante, selon un communiqué publié ce mardi par Médecins Sans Frontières, est l’apparition d’une mutation du virus dans la province du Sud-Kivu. Cette mutation favorise une transmission plus rapide et plus efficace d’humain à humain, rendant la lutte contre la maladie encore plus difficile. Les experts craignent désormais une propagation incontrôlée du virus à travers le pays.

 

Les populations déplacées, notamment dans le Nord-Kivu, sont parmi les plus touchées. Vivant dans des conditions d’hygiène précaires et dans des camps surpeuplés, elles sont particulièrement vulnérables à la maladie. Les travailleurs de la santé, en première ligne pour soigner les malades, sont également exposés à un risque élevé d’infection.

 

La lutte contre l’épidémie de Monkeypox se heurte à de nombreux obstacles, notamment le manque de vaccin, la méconnaissance de la maladie, les difficultés d’accès aux soins et la propagation dans les zones urbaines.

 

“La RDC a validé deux vaccins et essaie de s’approvisionner mais à ce stade, il n’y a pas encore de vaccins disponibles” peut-on lire dans ce communiqué.

 

Le docteur Louis Albert Massing, coordinateur médical de MSF en RDC appelle à une mobilisation de tous les acteurs afin de s’investir dans la riposte, et que les populations les plus à risque soient protégées au plus vite par la vaccination.

 

Le système de santé congolais, déjà fragilisé par des années de conflits et de sous-investissement, est mis à rude épreuve par cette épidémie. Les hôpitaux manquent de lits, de médicaments et de personnel qualifié. Les équipes médicales, souvent surchargées de travail, peinent à faire face à l’afflux de malades.

 

 

Orchidée




Monde: L’activation des études et de la diffusion des Idées du Juché

Pyongyang, Capitale de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC située au nord de la Péninsule coréenne et créée 3 ans après la Libération Nationale 1945;

  • Puissance nucléaire consacrée à sauvegarder non seulement son idéologie, son système, sa dignité et sa vie mais aussi la paix et la stabilité de la Région et du monde entier
  • Superpuissance politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Bienfaiteurs dont les Généralissimes KIM IL SUNG 1912-1994 et KIM JONG IL 1942-2011, et le Maréchal KIM JONG UN, NDLR),

vient d’abriter (14/04/2024) le Séminaire International sur les Idées du Juché consacré à l’Indépendance, à la Justice et à l’Avenir de l’Humanité sous les auspices de l’Institut International des Idées du Juché (IIIJ www.juche.v.wol.ne.jp) et de l’Association des Hommes de Sciences Sociales de Corée (AHSSC www.kass.org.kp).

Depuis longtemps déjà, les Idées du Juché créées (1930) par KIM IL SUNG et développées en profondeur par KIM JONG IL se sont diffusées dans les 5 Continents du monde, attirant l’attention de l’Humanité:

  • En avril 1969, les professeurs et élèves de l’Ecole Normale du Mali ont constitué, les tout 1ers, le Cercle d’Etudes des Œuvres du Camarade KIM IL SUNG.
  • Vers la fin 1969, ont vu le jour les dizaines de cercles d’études des Idées du Juché aux différentes appellations dans une vingtaine de Pays.
  • En septembre 1976 à Antananarivo (Madagascar), s’est déroulé le Séminaire International sur les Idées du Juché.
  • En septembre 1977, la RPDC a abrité le Séminaire International sur les Idées du Juché au cours duquel a été adoptée la Déclaration de Pyongyang insistant sur la nécessité de mettre sur pied l’IIIJ en reflétant les exigences de l’époque.
  • En 1978 (9 avril) à Tokyo (Japon), s’est tenu le Congrès Constitutif de l’IIIJ avec la participation de plus de 800 personnes, entre autres les délégués de plusieurs Pays et d’organisations internationales, et de plus de 130 cercles d’études des Idées du Juché de tout le Japon, des adeptes des Idées du Juché, des savants, des gens de culture et des militants sociaux illustres.

Les organisations d’études des Idées du Juché au niveau régional aussi ont été créées successivement. Ont vu le jour:

  • En février 1978 à San José (Costa Rica), l’Institut Latino-Américain des Idées du Juché
  • En septembre 1980 à New Delhi (Inde), l’Institut Asiatique des Idées du Juché
  • En avril 1985 à Freetown (Sierra Leone), le Comité de la Région Africaine pour les Etudes des Idées du Juché
  • En octobre 1985 à Paris (France), la Société Européenne pour les Etudes des Idées du Juché.

En outre, un grand nombre d’autres organisations d’études des Idées du Juché ont été constituées dans de nombreux Pays et Régions. Pareilles organisations ont fait leur apparition même au 21ème siècle.

D’autre part, les activités de ces organisations ont gagné en vigueur. A eu lieu (20-22/12/1971) à Beyrouth (Liban), le Séminaire sur les Idées du Juché. Dès lors, se sont déroulés pendant une cinquantaine d’années plus de 90 séminaires sur les Idées du Juché au niveau international et régional.

Par ailleurs, de nombreux Pays et Régions du monde étudient et diffusent les Idées du Juché en organisant, aux occasions significatives notamment les anniversaires de naissance de KIM IL SUNG (15 avril) et de KIM JONG IL (16 février), les colloques, conférences-débats, cours spéciaux, etc.




L’ambassadeur du Maroc en Chine évoque les perspectives d’avenir pour le développement des relations sino-marocaines

La Chine et le Maroc sont des partenaires stratégiques. Lors d’une interview exclusive accordée à CGTN Français, l’ambassadeur du Maroc en Chine, M. Abdelkader El Ansari, a partagé son point de vue sur le grand potentiel des relations sino-marocaines. Il a exprimé ses attentes sur la coopération approfondie entre les deux pays dans des domaines tels que l’économie et le commerce, l’industrie verte, les technologies de pointe, le tourisme culturel, les échanges de jeunes et le sport.




Modernisation de la RN5 : Seulement 7 kilomètres réhabilités en 7 ans au Sud-Kivu 

 

Jean Jaques Purusi demande des comptes à la société SYNO HIDRO et à l’Agence Congolaise des Grands Travaux sur la lenteur des travaux de modernisation de la route nationale numéro 5 entre Nyantende, Kamanyola et Uvira.

 

Au cours d’une inspection sur le chantier à Nyangezi, le Gouverneur de Province, Jean Jacques Purusi Sadiki, a exprimé son mécontentement quant à la lenteur des travaux de modernisation de la route nationale numéro 5.

 

Alors que plus de 200 millions de dollars ont été alloués pour cette tâche, la société SYNO HIDRO n’a réalisé que 7 kilomètres en 7 ans. Une situation jugée inacceptable par l’autorité provinciale qui demande des explications.

 

En plus de la lenteur des travaux, le Gouverneur Purusi s’est également inquiété des conditions de travail des ouvriers sur le chantier.

 

Il a déploré le fait que ces travailleurs ne gagnent que deux dollars par jour, malgré des journées de travail intensives et

sans pause.

 

De plus, la visite du pont Chihanda à Munya a révélé un arrêt des travaux depuis plus d’un an, malgré les fonds alloués par le gouvernement central. La situation de ce pont, déjà soumis à une surexploitation avec un pont provisoire érigé par la MONUSCO, est jugée critique par le Gouverneur.

 

Promesses de suivi et avancées actuelles des travaux

 

Face à ces constats alarmants, Jean Jacques Purusi a promis de faire un suivi rigoureux pour s’assurer que les fonds alloués sont utilisés à bon escient.

 

Il a souligné que la société SYNO HIDRO a tout de même démontré quelques avancées avec les travaux d’assainissement, l’élargissement de la route, la construction des canalisations et la maçonnerie entre Nyantende et le centre de Munya.

 

Cependant, l’urgence est maintenant à l’accélération des travaux pour garantir une modernisation rapide et efficace de la route nationale numéro 5.

 

En somme, le Gouverneur Jean Jacques Purusi exige une plus grande implication de la société SYNO HIDRO et de l’Agence Congolaise des Grands Travaux pour garantir la réussite des travaux de modernisation de la route nationale numéro 5.

 

Une situation qui nécessite une action immédiate pour répondre aux besoins des populations locales et assurer le développement économique de la région.

 

EUGIDE ABALAWI NDABELNZE




Tentative de spoliation du marché de Beach Muhanzi à Bukavu : Le gouverneur suspend les travaux de construction initiés par un particulier

Face à la prolifération des constructions illégales et des occupations anarchiques des espaces publics, l’Exécutif provincial du Sud-Kivu a pris la décision de suspendre les travaux de construction initiés par un particulier au marché de Beach Muhanzi.

Cette décision a été saluée par les acteurs de la société civile de la commune de Kadutu à Bukavu, qui voient en cette mesure la volonté du gouvernement provincial de garantir une gestion transparente des ressources publiques et de protéger le domaine public.

Hippocrate Marume, membre du cadre de concertation de la société civile du Sud-Kivu, souligne l’importance pour le gouvernement provincial d’assurer également la sécurité foncière du marché de Beach Muhanzi, qui est convoité par deux familles bien identifiées de la ville de Bukavu. Il est essentiel d’éviter tout conflit foncier et de protéger les intérêts des commerçants et de la population locale.

En suspendant les travaux de construction au marché de Beach Muhanzi, l’Exécutif provincial du Sud-Kivu montre sa volonté de protéger le domaine public et de garantir une gestion transparente des ressources publiques.

La réaction positive de la société civile de la commune de Kadutu à Bukavu témoigne du soutien de la population à cette mesure, qui vise à assurer le bien-être de tous et à prévenir tout conflit foncier dans la région.

 

EUGIDE ABALAWI NDABELNZE




Maladie de variole de Singe au Sud-Kivu : 68 malades se partagent 17 lits au centre hospitalier de Karanda

La variole de singe, également appelée Monkeypox, est une maladie virale qui touche principalement les primates, mais qui peut également être transmise à l’homme. Ces dernières semaines, le territoire de Kabare, au Sud-Kivu, fait face à une augmentation alarmante des cas de variole de singe, notamment dans la zone de santé de Miti-Murhesa.

Selon le président de la société civile de Bughore, Justin Mulemangabo, la situation est critique. Actuellement, 68 malades se partagent seulement 17 lits au centre hospitalier de Karanda à Kavumu. Le manque de personnel soignant et de matériel médical adapté complique davantage la prise en charge des patients.

 

Face à cette urgence sanitaire, la société civile de Bughore en appelle aux autorités locales et nationales pour mettre en place des mesures d’urgence afin de soutenir les malades et le personnel soignant. Justin Mulemangabo demande notamment la mise en place de centres de traitement dédiés à la variole de singe, ainsi que l’envoi d’une équipe médicale renforcée pour faire face à l’afflux de nouveaux cas.

 

Par ailleurs, les sources hospitalières n’ont ni infirmé ni confirmé cette information, mais la réalité sur le terrain est indéniable : les cas de contamination à la variole de singe sont en constante augmentation et la situation risque de rapidement devenir incontrôlable si des mesures adéquates ne sont pas prises rapidement.

 

L’urgence d’une réponse adaptée

 

Alors que la variole de singe continue de se propager dans la région, il est impératif que des mesures concrètes soient prises pour limiter sa propagation. La société civile de Bughore appelle à une mobilisation collective pour endiguer la progression de la maladie et venir en aide aux personnes touchées.

 

La crise sanitaire qui touche actuellement le territoire de Kabare ne peut être résolue uniquement par les acteurs locaux. Une intervention nationale et internationale est nécessaire pour soutenir les efforts de prise en charge des malades et de prévention de la propagation de la variole de singe.

 

En ce moment crucial, la société civile de Bughore reste mobilisée et déterminée à faire entendre la voix des malades et du personnel soignant. L’urgence est à l’action, et seule une réponse collective et coordonnée pourra permettre de surmonter cette crise sanitaire majeure.

 

EUGIDE ABALAWI NDABELNZE




Kinshasa : Judith Suminwa donne des instructions pour la fin de la grève des transporteurs privés et chez Transco

La Première ministre Judith Suminwa a réuni ce lundi 29 juillet, en son cabinet de travail, les ministres concernés par le secteur de transport ainsi que les autorités de la Ville-Province de Kinshasa. Cette rencontre fait suite au mouvement de grève des opérateurs privés du secteur de transport en commun, déclenché cette matinée.

Au cours de cette réunion, le Gouverneur de la Ville-Province de Kinshasa a regretté que les transporteurs n’aient pas donné un préavis de grève, malgré le cadre de concertation qui existe entre l’exécutif provincial et les opérateurs privés. Qu’à cela ne tienne, les mesures sont prises pour que tout rentre dans l’ordre, a assuré Daniel Bumba à la Première ministre.

« Il y a eu incompréhension. Il s’agit d’un contrôle de routine des agents de la division des transports, et ces missions ne concernent que l’affichage des itinéraires et des tarifs de transport », a-t-il précisé.

Autre cas de mouvement de grève examiné, c’est celui des agents de la Société de transports du Congo (TRANSCO). A ce sujet, la Première ministre a donné des instructions aux ministres concernés, notamment le Vice-premier Ministre, Ministre des Transports et Voies de communication et le Ministre des Finances.

« Alertée, la Première ministre a donné des instructions aux différents ministres concernés et a eu des interactions avec les autorités de la ville. Cette réunion avait pour objet de faire le point de différentes activités menées par chacun à son niveau », a affirmé le Porte-parole du Gouvernement, Patrick Muyaya.

Au nombre de ces activités, il y a les discussions entre le Vice-premier Ministre, ministre des Transports et Voies de communication et les syndicats de Transco pour voir dans quelle mesure cette société peut pleinement reprendre ses opérations.

Au terme de ces discussions, le Gouvernement annonce que des décisions seront prises en ce qui concerne la gestion quotidienne de l’entreprise tenant compte des revendications des travailleurs. En attendant, le Gouvernement va apurer deux mois d’arriérés de salaire des employés de Transco et approvisionner la société en carburant. La même démarche ou presque sera entreprise en ce qui concerne Trans Academia.

La délégation syndicale de Transco a déjà appelée à la fin de la grève ce lundi 29 juillet. Ce mouvement, entamé le 22 juillet, a donc été suspendu. Le président de l’intersyndicale de TRANSCO a déclaré : « Le Gouvernement de la République démocratique du Congo a pris en compte les doléances des agents et promis de payer deux mois d’arriérés de salaire dans les heures qui suivent et de régler les allocations scolaires d’ici le 15 août ».




Nord-Kivu : Le Rwanda brouille la communication des avions, la Rdc condamne et saisit l’OACI

Dans un communiqué de presse, le Gouvernement de la République Démocratique du Congo informe l’opinion nationale et internationale que des interférences dangereuses sont observées dans les systèmes de positionnement global (GPS) des avions. Ces perturbations, causées par des attaques de brouillage et d’usurpation d’identité (« spoofing »), touchent les zones de vol de la province du Nord-Kivu autour de Goma, incluant Beni, Butembo, Kibumba, et Kanyabayonga.

Selon la même source, ces actes compromettent gravement la sécurité du transport aérien civil, posant un risque significatif pour tous les vols, y compris les compagnies aériennes commerciales. De plus, ils mettent en danger les missions humanitaires essentielles menées pour soutenir les populations locales victimes des violences perpétrées par des troupes rwandaises sur le territoire de la République Démocratique du Congo.

Une enquête technique, réalisée par les services compétents, a confirmé que ces brouillages sont l’œuvre des Rwandan Defense Force (RDF) et de ses alliés, les terroristes de l’AFC/M23. Cette investigation a été corroborée par des rapports d’acteurs internationaux opérant sous mandat international du Conseil de sécurité des Nations Unies dans les domaines de l’aide humanitaire et des opérations de paix ainsi que des Organisations Non Gouvernementales internationales.

C’est la raison pour laquelle le Gouvernement de la République condamne fermement ces actes, qui constituent des violations graves du droit international, comparables à l’usage d’armes de guerre contre des cibles civiles. « Ces actions sont un élément supplémentaire illustrant davantage le mépris avéré du Rwanda pour le droit international et la protection des vies civiles. A cet effet, la République Démocratique du Congo, partie à la Convention relative à l’aviation civile internationale de 1944, a saisi les instances régionales de l’Organisation de l’Aviation Civile Internationale (OACI) pour demander des sanctions appropriées », termine le même document.