Le couple Loando partage un repas de cœur avec les veuves du district de Lukunga

Dans un geste de solidarité et de compassion exemplaire, Me Guy Loando Mboyo initiateur de la Fondation WIDAL, accompagné de sa charmante épouse, la distinguée femme sociale Mme Déborah Loando, Présidente de la Fondation WIDAL a organisé un repas de cœur pour les veuves du District de Lukunga.


Cet événement, marqué par une ambiance chaleureuse et fraternelle, a été l’occasion pour le couple philanthropique de démontrer une fois de plus leur engagement inébranlable envers les veuves.
Le couple Loando n’est pas étranger aux actions humanitaires. Depuis la création de la Fondation WIDAL il y a quelques années, ils n’ont cessé de multiplier les initiatives pour venir en aide aux plus vulnérables de la société congolaise. « Nous croyons fermement que chaque geste de solidarité, aussi petit soit-il, peut transformer des vies », a déclaré Me Guy Loando Mboyo lors de son allocution.
Ce repas de cœur a été particulièrement significatif pour les veuves présentes, qui ont non seulement partagé un moment convivial, mais ont également bénéficié d’un soutien concret pour leurs activités entrepreneuriales. Mme Déborah Loando, Présidente de la Fondation WIDAL, a profité de cette occasion pour débloquer des fonds de commerce destinés à booster l’entrepreneuriat parmi ces femmes courageuses. « Nous voulons que ces mamans puissent retrouver leur dignité et leur indépendance financière », a-t-elle affirmé avec détermination.

La Fondation WIDAL, sous l’égide du couple LOANDO, s’est imposée comme un acteur majeur dans le paysage philanthropique congolais. Leur approche, basée sur l’empathie et la durabilité, vise à offrir non seulement une aide immédiate mais aussi des solutions pérennes aux problèmes sociaux. La distribution de fonds de commerce s’inscrit dans cette logique, permettant aux veuves de Lukunga de démarrer ou renforcer leurs propres entreprises, assurant ainsi une source de revenus stable pour elles et leurs familles.
Guy Loando Mboyo, bien plus qu’un politicien, incarne avec son épouse l’espoir et le soutien pour de nombreuses personnes en détresse. Leur engagement auprès des veuves de Lukunga n’est qu’un exemple parmi tant d’autres de leurs multiples actions visant à améliorer le quotidien des Congolais. « Notre mission est de redonner le sourire à ceux qui l’ont perdu, de redonner de l’espoir à ceux qui n’y croient plus », a souligné Mme Déborah Loando, surnommée affectueusement « Maman Sociale » pour son dévouement indéfectible.


Cet événement a été un véritable succès, apportant non seulement un soutien matériel mais aussi un réconfort moral aux veuves. Le couple Loando, à travers la Fondation WIDAL, continue de prouver que la philanthropie est un vecteur puissant de changement et de progrès social en République Démocratique du Congo. Leur exemple inspirant rappelle à tous l’importance de la solidarité et de l’entraide dans la construction d’une société plus juste et humaine.




RDC : “J’ai tourné la page”, dixit Joseph Mukungubila 

Après plus de 10 ans d’exil en Afrique du Sud, le prophète Joseph Mukungubila est arrivé ce dimanche à Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo.

A son arrivée, le prophète dit pardonner à tous ceux qui l’ont persécuté, que ce soit en politique ou dans le sacerdoce.

Et d’ajouter: “le Chef de l’État m’a rendu justice. Je n’ai pas été gracié. Le Chef de l’État a compris qu’on avait menti. J’ai été condamné par erreur”, estime le prophète.

Joseph Mukungubila est bénéficiaire de l’ordonnance présidentielle du 16 octobre 2023, qui suspendait tous les arrêts l’ayant condamné notamment à une peine de mort pour tentative de renversement du pouvoir.

 

Mais selon son camp, “les adeptes manifestaient contre le massacre de leurs frères à la résidence du prophète à Lubumbashi”, soutiennent-ils.

 

Les rapports de plusieurs organisations faisaient état de plus de 300 morts à Kolwezi, Lubumbashi et Kinshasa, dans ces manifestations.

Il ya lieu de signaler que le 30 décembre 2013, Joseph Mukungubila et ses fidèles s’étaient emparés de la Radio Television Nationale Congolaise, l’aéroport de N’Djili et le Camp Tshatshi.

 

Mboshi




Foot/Passaï: « L’arène des Championnes » pour l’inclusion et le leadership de la jeune fille togolaise 

L’ONG Passaï en collaboration avec le District Préfectoral de Football d’Agoè Nyivé de Lomé a organisé, le 6 juillet 2024, la 2e édition du gala de football dénommé, « l’Arène des championnes », compétition dont l’objectif est de promouvoir l’inclusion et le leadership féminin à travers la pratique du sport.

Cette deuxième édition a connu la participation de huit équipes réparties dans deux groupes.

Au terme des éliminatoires et des demi-finales, Tempête FC et FSA ont croisé les crampons pour l’ultime affiche de la journée.

Une affiche finale qui a tenu toutes ses promesses. Les joueuses des deux équipes n’ont pas hésité à aller à l’abordage afin de faire la différence. À la fin du temps réglementaire, les deux équipes se sont séparées sur un score de parité zéro but partout. Il a donc fallu les tirs au but pour connaître le dénouement de la rencontre. Avec quatre tirs transformés contre trois pour son adversaire, FSA s’est adjugé le trophée mis en jeu, d’une enveloppe financière et plusieurs autres lots.

Le prix de meilleure buteuse est revenu à Victoire d’Almeida de Tempête FC auteure de quatre réalisations. Yvette Mama Ahiatroga (Anaconda) et Amivi Dédé Alomadiakpe (FSA) sont reparti respectivement la distinction de meilleure gardienne et de meilleure joueuse.

Outre l’équipe championne, les autres clubs ont été également récompensés.

Selon la Présidente de l’ONG Passaï, la jeune fille au contraire du garçon est confrontée à certaines difficultés sociales qui constituent des obstacles à son épanouissement. C’est pour donner encore plus de la chances à la jeune fille togolaise plus précisément celles du Grand Lomé que l’ONG Passaï qui signifie « nos enfants, notre avenir » a initié ce gala de football.

En outre, la promotion du football féminin à l’école permettra de renforcer les capacités des participantes afin qu’elles soient demain des exemples de réussite et de leadership au sein de leurs communautés.

Au travers de cette compétition, les responsables de l’ONG Passaï ont l’opportunité de toucher du doigt les difficultés que rencontrent les jeunes filles durant leur cursus scolaire et social. Ceci permettra à l’organisation de mettre en place des stratégies d’impacts social et professionnel appropriées à leur profit.

Au-delà du football, il s’agit spécifiquement d’accompagner les bénéficiaires à renforcer leur éducation scolaire, mieux s’orienter professionnellement afin d’augmenter les chances de réussir dans leurs études et s’intégrer plus facilement dans le tissu social et économique.

Aissa Salou s’est réjouie du dénouement heureux de cette deuxième édition et envisage naturellement la 3e édition.




Le ministre Guy Loando a pris part à la sainte cène de la communauté liloba ya Nzambe du prophète Khonde

Le Ministre d’État, Ministre de l’Aménagement du Territoire, Maître Guy Loando, a participé à la Sainte Cène de la Communauté Liloba Ya Nzambe, dirigée par le Prophète Khonde, ce dimanche 07 juillet au Stade des Martyrs de la Pentecôte.

Cette participation montre l’engagement de Maître Guy Loando à soutenir les initiatives religieuses et communautaires pour renforcer les valeurs spirituelles et la cohésion sociale en République Démocratique du Congo. Le Ministre d’État, connu pour son attachement aux valeurs de foi et de solidarité, s’est associé à cette grande célébration religieuse, montrant ainsi son soutien indéfectible à la Communauté Liloba Ya Nzambe.

Le rassemblement au Stade des Martyrs de la Pentecôte a réuni des milliers de fidèles venus de divers horizons pour partager ce moment de prière. Cet événement, sous la direction du Prophète Khonde, visait à renforcer la foi et à rapprocher les membres de la communauté.

Le Ministre d’État, Ministre de l’Aménagement du Territoire, se réjouit d’avoir participé à cette importante cérémonie et réaffirme son engagement à promouvoir les valeurs de paix, d’unité et de développement dans notre pays.




RDC: le gouvernement Suminwa dote les pêcheurs et pisciculteurs de Kinshasa en intrants et autres matériels de pêche 

Chose promise, chose due. Le gouvernement congolais par l’entremise du ministre de pêche et élevage a remis ce samedi 6 juillet 2024, des intrants et matériels de pêche à la Fédération des pêcheurs de Kinshasa. Ceci, en vue de concrétiser la promesse du chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi faite aux pêcheurs lors de sa récente visite au débarcadère intégré de la N’selé.

La cérémonie s’est déroulée au Centre pilote de pêche de kinkole situé dans la commune de la N’sélé.

Pour le ministre Jean-Pierre Tshimanga Buana, ces intrants et matériels remis aux pêcheurs visent à améliorer les conditions de pêche afin d’accroître la production halieutique.

“Nous avons promis que nous devrions revenir pour distribuer des intrants de pêche aux pêcheurs. Chose promise, chose due.On a donné aux pêcheurs les intrants pour qu’ils puissent contribuer à cette activité importante de nourrir la population», a-t-il précisé.

Le patron de la pêche et élevage a, par la même occasion recommandé aux pêcheurs d’utiliser à bon escient les matériels reçus.

“…Il faut que ces pêcheurs qui ont bénéficié de cet appui du gouvernement puissent mettre ces intrants à profit, ramener beaucoup de poissons pour nourrir notre population. Deuxième chose, ils doivent mettre à notre disposition des statistiques pour qu’on sache combien de poissons ont été capturés pendant cette année pendant cette période. Et enfin, nous sommes contre la pêche illicite. C’est cette pêche qui est en train de tuer nos alevins, et la reproduction des poissons”, a martelé le ministre Jean-Pierre Tshimanga.

Pour sa part, Jean-Robert Lomata, président de la Fédération des pêcheurs de Kinshasa, a indiqué que l’appui reçu solidifie leur organisation et influence les statistiques de production halieutique car il coïncide avec la saison de pêche

Signalons que cette dotation est faite en marge de la 57e journée nationale du poisson célébrée le 24 juin de chaque année.

 

Loup solitaire




Le chantier prioritaire de Constant Mutamba est de traquer les auteurs des injures, des menaces verbales et physiques, du mensonge…

“La justice élève une nation, Mais le péché est la honte des peuples”, disent les Écritures Saintes en Proverbes 14:34. Il n’est cependant pas nécessairement besoin d’être chrétiens pour en admettre les effets dans la société humaine. Pour le commun des mortels, le péché, c’est le non-respect des règles établies, c’est l’infraction à la loi que nul n’est censé ignorer, décrète la Constitution de la RDC à l’article 62…

Eco Umberto et réseaux sociaux

Première question : au nombre de combien sont-elles, les infractions regroupées en contraventions, en délits et en crimes ? Dans les 2.000 (deux mille), révèle un policier !

Parmi les plus courantes, on s’en doute, l’injure, violences verbales et physiques, le mensonge, l’escroquerie, le vol, le détournement des deniers publics, la destruction de l’environnement etc.

Ces infractions s’ancrent tellement dans le quotidien des Congolais – Kinois en particulier – au point de devenir à la fois un fait cultuel et un fait culturel.

On pensait, jusque-là, que c’était normal dans la partie sociétale moins cultivée. Mais, on se rend de plus en plus compte, grâce aux réseaux sociaux, que même la partie sociétale cultivée s’y prête facilement, donnant raison à Eco Umberto, auteur de la sentence : _”Les réseaux sociaux ont donné le droit de parole à des légions d’imbéciles qui avant, ne parlaient qu’au bar et ne causaient aucun tort à la collectivité. On les faisait taire tout de suite. Aujourd’hui, ils ont le même droit de parole qu’un prix Nobel_”.

Nivellement par le bas

Les exemples les plus récents dans la partie cultivée sont la communication organisée autour de l’Accord de Goma, de l’ affaire Nicolas Kazadi et de la mésaventure vécue par la journaliste Paulette Kimuntu à l’aéroport international de Ndjili, en route pour Kindu !

Est-ce que dans une société civilisée (comme l’est celle chérissée de l’Occident), peut-on proférer des menaces verbales et physiques comme celles entendues puis rentrer calmement chez soi, dormir profondément dans son lit et disposer librement d’une nouvelle journée le lendemain sans être inquiété par l’Autorité établie ? Peut-on mentir de façon éhontée sur l’Accord de Goma sur un plateau de télévision et s’admirer dans son fauteuil, sans se faire interpellé ?

Mais pourquoi, oui, pourquoi ce “double standard”, quand il s’agit de la RDC !

A Kinshasa, bon nombre de personnes jalouses de leur crédibilité ne prennent même plus le volant pour circuler entre 5h00 et 23h00. Motif : l’injure facile que leur balance des conducteurs des taxis, des taxis-bus et receveurs, mais surtout des motocycles Wewa mal éduqués. Ces derniers, par exemple, sont si solidaires que si l’on cogne l’un d’eux et encore par sa propre faute, une expédition punitive spontanée s’organise, et un lynchage garanti, cela parfois devant des policiers, des militaires, voire des magistrats craignant d’intervenir pour sécuriser leur propre vie.

La RDC vit un nivellement par le bas que certains commencent à y trouver l’ enfer annoncé dans la Bible, le paradis commençant par chacun des 9 pays voisins.

C’est pour cette raison que tout le monde court après le passeport, le visage et le billet d’avion !

La société congolaise est en désintégration

Comment en est-on arrivé là ? La tentative de réponse nous ramène à septembre 1991. Les premiers pillages viennent d’avoir lieu et justifient les pourparlers qui déboucheront sur les Accords du Palais de Marbre 1. Nous recueillons du Pr Félix Vunduawe, directeur de cabinet du maréchal Mobutu, une interview pour le compte du journal L’ÉVÉNEMENT. Voici, repris de mémoire, ce qu’il nous dit : le problème n’est pas toutes ces mauvaises choses qu’on déverse sur Mobutu. Le problème – vous vous en rendrez compte plus tard – c’est la *désacralisation de l’Autorité !

Témoins des évènements, nous assistons impuissants à levée de la fièvre de la libéralisation politique s’accompagnant des gestes politiques indignes : brûler le drapeau national, déchirer les signes monétaires, tenir au collet le soldat ou le policier jusqu’à lui cracher sur le visage ou lui arracher son arme, violer des femmes professeurs d’université, injurier les parents, les conjoints et même la progéniture des responsables ciblés (toyebi ndaku), s’attaquer aux chefs des confessions religieuses et aux chefs coutumiers…

Trente quatre ans après, le fruit de la contestation de l’Autorité est bien mûr. Pire, il est en dégénérescence avancée. Notamment avec le tribalisme et le séparatiste qui sont aussi des infractions.

La société congolaise est en désintégration.

Distraction

Devant une telle évidence, six ministères du Gouvernement Judith Swaminua Tuluka – en réalité Félix Tshisekedi – sont à mobiliser pour ramener la société congolaise à la normalité. A savoir

1. Justice et Garde des Sceaux (en tant que coordinateur) ;

2. Culture et Arts

3.Enseignement primaire ; secondaire et technique ;

4.Enseignement supérieur et universitaire;

5. Droits humains ;

6.Jeunesse et Éveil Patriotique.

Il faut en plus admettre que le nivellement par le bas est aussi consécutif à l’absence d’une culture qui soit réellement *congolaise*, à ne pas confondre avec les Arts.

Le meeting pot escompté de l’unitarisme s’est révélé plutôt *destructif* pour plusieurs ethnies et tribus. Pour certaines, le vol est une honte, l’adultère une calamité, le mensonge un drame, l’injure une bavure. Pour les autres, c’est juste le contraire.

Le tronc commun permettant à tous de se retrouver est la loi.

Aussi, le chantier véritable du mandat de Constant Mutamba doit viser les causes et non les effets.

Dès lors qu’il est établi que les mêmes causes produisent les mêmes effets, s’attaquer à ceux-ci au lieu de celles-là, comme s’y prend le ministre d’État Constant, se révèle une distraction* !

PROCHAINEMENT : _”Trop de manipulations abjectes autour de l’Accord de Goma de 2009_”

Omer Nsongo die Lema




Kongo Central : La ligue des Défenseurs des droits de l’homme soutient les initiatives de Paix à l’Est du Congo 

La question de la paix sur tout le territoire national en général et particulièrement dans les provinces du Nord-Kivu et de l’Ituri préoccupe au plus haut point la ligue des Défenseurs des droits de l’homme, une organisation non gouvernementale qui milite pour les droits humains en RDC.

Après le lancement officiel dans la ville portuaire de Matadi, l’équipe de

la Ligue des Défenseurs des Droits de l’Homme, L.D.D.H/ONGD en sigle, conduite par son Président National Maître Bobo Kilamba Sacré, a continué pour la deuxième étape de la campagne “plus jamais ça”, dans le territoire de Kasangulu, fief du pétitionnaire.

Peu avant la marche de soutien à l’initiative de la récolte de 50.000.000 signatures sur toute l’étendue du territoire national afin d’accompagner le Chef de l’État Félix Tshisekedi dans la recherche de la paix à l’Est de la RDC, Maître Bobo Kilamba Sacré a été accueilli par l’Administrateur du Territoire, Monsieur Mibanga Lubo Paulin a qui, il a déposé la pétition juste après l’avoir lue devant une foule qui l’accompagnait.

Très ému de l’esprit de la pétition, l’autorité locale Monsieur Mibanga Lubo Paulin a apposé sa signature tout en invitant ses collaborateurs ainsi que toute la population de Kasangulu à manifester leur soutien à cette démarche.

Cet esprit patriotique incarné par le leader de la Ligue des Défenseurs des Droits de l’Homme, L.D.D.H/ONGD rentre dans le cadre du soutien des actions du chef de l’État Félix Tshisekedi visant à rétablir la paix dans la partie Est de la République Démocratique du Congo en proie à l’insécurité. Au cours de la dite marche, les manifestants ont dénoncé avec la dernière énergie, l’agression Rwandaise sur le sol congolais via leurs supplétifs le M23 qui ne cessent de causer des morts dans cette partie du pays.

 

Jonsard MIKANDA




Kinshasa/RDC : La Ministre d’État Acacia Bandubola et son collègue de l’Urbanisme et Habitat inspectent les chantiers de construction le long du fleuve Congo

La Ministre d’État, Ministre des Affaires foncières Acacia Bandubola Mbongo, ensemble avec son collègue de l’Urbanisme et Habitat Crispin Mbadu, ont effectué ce samedi 06 Juillet 2024, une visite d’inspection le long du fleuve Congo à Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo.

Objectif, évaluer la situation des chantiers de construction en cours le long du fleuve Congo. Une mission gouvernementale interministérielle décidée lors du conseil des ministres le vendredi 05 juillet, après des allégations enregistrées liées à l’existence des constructions anarchiques le long du fleuve.

C’est d’abord le site occupé par le restaurant et port privé Majestic River à Gombe, au bord du fleuve, qui a accueilli cette mission gouvernementale. Après quelques orientations et explications des responsables de ce site à l’intention de ces deux membres du gouvernement, sur principalement les espaces occupés par celui-ci, échanges menés dans le bateau de plaisance Majestic River en stationnement, mais aussi l’évaluation de la situation et l’observation de l’étendue de Majestic River, place à l’examination des sites environnants ce port privé.

Puis, la Ministre d’État en charge des Affaires foncières et son collègue de l’Urbanisme et Habitat, accompagnés de leurs délégations respectives, ont pris place à bord d’une vedette, question d’élargir le champ d’inspection le long du fleuve Congo dans la commune de la Gombe, et d’évaluer la situation de plus près pour en tirer des conclusions plus précises. Les emprises le long du fleuve vers les communes de Ngaliema (baies de Ngaliema) et la Cité du fleuve dans la Commune de Limete, ont également bénéficié de l’inspection de ces deux membres du gouvernement Judith Suminwa.

Après près d’une heure sur les eaux du fleuve Congo, les deux ministres et leurs délégations ont regagné la terre ferme, gibecière pleine d’éléments permettant des analyses objectives.

La primeur de cette descente d’inspection, est ainsi réservée au président de la République Félix Tshisekedi, et à la première ministre Judith Suminwa selon le Ministre de l’Urbanisme et Habitat Crispin Mbadu.

Signalons que, c’est la première descente sur terrain pour ces deux membres du gouvernement Suminwa.

 

 

 

 

Jonsard MIKANDA




CULTE DOMINICAL AVEC LE PASTEUR FRANÇOIS MUTOMBO VH / DIMANCHE 07 JUILLET 2024




La Garde civile espagnole annonce le démantèlement d’une cellule terroriste en collaboration avec la DGST

La Garde civile espagnole a annoncé le démantèlement d’une cellule terroriste et l’arrestation de neuf individus dans plusieurs villes du pays pour leur implication présumée dans des délits d’endoctrinement, de diffusion de propagande terroriste et d’incitation à commettre des actes violents.

“Cette opération, menée conjointement par le Service d’information de la Garde Civile et la Direction générale de la surveillance du territoire marocain (DGST), a permis d’identifier et de mettre hors d’état de nuire un groupe de jeunes ayant suivi un processus de radicalisation dans les postulats les plus violents de l’organisation terroriste Daesh”, indique vendredi la Garde civile dans un communiqué.

Le communiqué précise que huit personnes ont été arrêtées mardi lors de perquisitions au préside de Melilia, à Madrid et à Malaga, alors qu’une autre opération menée lundi à Cornellá (Barcelone) a permis l’arrestation d’un autre terroriste présumé spécialisé dans la création et la diffusion de contenus terroristes.

“Il faut souligner la coopération de la Direction Générale de la Surveillance du Territoire (DGST) du Royaume du Maroc, dont l’appui constant et qualifié a permis de faire progresser les enquêtes. Cela souligne l’importance de la coopération internationale entre les services de lutte contre le terrorisme pour faire face à cette menace et au grand défi que représente l’anticipation des actions des terroristes”, insiste la Garde civile espagnole.

“Tout au long de l’enquête, des preuves ont été obtenues sur l’organisation et la constitution d’un groupe qui s’est développé au fil du temps, à la fois en ligne et hors ligne, et dont les membres se sont imprégnés des postulats les plus extrêmes et les plus violents des organisations terroristes djihadistes, relève la même source, notant qu’une grande partie du matériel de propagande détecté appartient à des organisations terroristes telle que Daesh.

Les détenus ont été présentés aux tribunaux le jeudi 4 juillet, et cinq d’entre eux ont été placés en détention provisoire.

MAP