Commémoration du Genocost: un culte œcuménique a lancé les activités à Kabinda 

Le gouvernement provincial de Lomami a lancé une série d’activités pour commémorer le Genocost, ainsi que pour honorer la memoire de milliers de victimes de l’agression rwandaise dans la partie Est de la RDC .

Ce culte oeucumenique a eu lieu à Kabinda le jeudi 01 août

notre pays marquant ainsi le début des manifestations de génocide, a été organisé ce jeudi 01 Août en la cathédrale Saint Martin.

Les prières étaient adressées à Dieu pour les congolais vivant à l’Est du pays et aussi contre la guerre injuste imposée à la RDC par le Rwanda. L’abbé Michel Masuku, curé de la paroisse a dans son message, invité le peuple congolais à l’union des prières et à l’accompagnement des autorités légalement établies pour mettre hors d’état de nuire les ennemis de la RDC, notamment, les M23 et leurs supplétifs de l’AFC.

Le même vœux a été émis les vaillants soldats engagés au front dans le but de combattre les agresseurs du Congo Kinshasa. Cette manifestation a connu la participation des plusieurs personnalités ainsi que le gouverneur province et le président de l’assemblée provinciale.

 

Mboshi




Taekwondo Police: Morel Ntalani (SG de l’APTAC) reçu par le Président à Abidjan 

Me Morel Ntalani, secrétaire Général de la Confédération Africaine de Police Taekwondo ‘’APTAC’’ qu’accompagnait GM Ediemou, Directeur Technique, a été reçu ce jeudi 1er août 2024à Abidjan, en Côte d’Ivoire par le Président de l’APTAC, le Général de Brigade Alexandre Patrick M’BAHIA.

Cette visite a été suivie d’une séance de travail de 1 heure 30, durant laquelle ont été abordés la situation actuelle et les perspectives d’avenir de l’APTAC.

De Bonsambo




Spécial Jeux Olympiques Paris 2024: Très peu des chances de voir la RDC glaner une médaille

Comme le savent les sportifs du monde, les Jeux Olympiques Paris 2024 se poursuivent allégrement. Jusque là, aucune bonne nouvelle pour la République Démocratique du Congo. Sur les 6 athlètes alignés, il n’en reste plus que 2 en lice. Les quatre autres sont déjà éliminés.

Ce jeudi 1er août 2024, en 1/8 de finale de boxe féminine, la Congolaise Mbabi Brigitte a perdu aux points face à Janjaem Suwannapheng (Thaïlande). Trois juges contre deux ont donné la victoire à son adversaire. Sur le ring, Brigitte s’est montrée supérieure à son adversaire. La même situation injuste on l’avait vécu pour la boxeuse Marcelat Sakobi.

Ce même jeudi, le nageur congolais Aristote Ndombe Pelenga était en lice à La Défense Arena à l’épreuve 50 m Nage Libre dans la série 2. Le nageur congolais a terminé 6è avec le chrono de 29’’04. Le 1erKinonoavait réalisé 27’’43, le 2è Mayala de congolais de Brazza 27’’52, 3è Ndong Obama 28’’42, 4è Mpali 28’’47 et 5è Nisbett 28’’71. Avec le chrono qu’il a réalisé, le congolais Aristote Ipelenga est éliminé. Par rapport à son propre record 27’’51, il a régressé.

Suite programme des athlètes congolais

Divine MiansadiMpolo

 

Natation

Le 3 août 2024 à 9h00, Divine Miansadi Mpolo entre en scène à l’épreuve 50 m Nage Libre Dames. Elle sera dans la série 1. Tout dépendradu chrono qu’elle va réaliser pour se retrouver en 1/2 finale.

Athlétisme

Le 3 août 2024 à 9h45, Dominique Lasconi Mulamba entre en lice à l’épreuve 100 m Messieurs.

Le bilan de 6 athlètes qu’aligne la RDC aux J.O Paris 2024

Judo : Daso Kisoka Arnold déjà éliminé. Dans la catégorie -60 kg, il avait croisé l’israélien Yam Wolczac le samedi 27 juillet 2024 et a perdu par abandon.

Boxe : Marcelat Sakobi & Brigitte Mbabi déjà éliminées. Marcelat avait affronté le mardi 30 juillet 2024 Sitora Turdibekova (Ouzbékistan) en 1/16 de finale 57 kg dames. Elle a perdu aux points 2-3.

Natation : Divine Miansadi Mpolo & NdombeIpelenga Aristote déjà éliminé.

Athlétisme : Dominique Lasconi Mulamba

Très peu des chances de voir la RDC glaner une médaille

La RDC participe aux Jeux Olympiques Paris 2024 avec 6 athlètes seulement. Ce nombre minime d’athlètes a pour cause l’ancien ministre des sports et loisirs. Ce dernier n’a pas permis aux nombreuses disciplines de participer aux tournois qualificatifs. Qu’à cela ne tienne, en participant à ces jeux, l’objectif principal de la RDC est de glaner ne fut ce qu’une médaille (NDLR la RDC n’a jusque-là glané aucune médaille olympique). Force est de reconnaître qu’à ces jeux olympiques Paris 2024, il est peu probable que la RDC avec ses 2 athlètes restant, puisse atteindre cet objectif. Et s’il faut être honnête, la RDC n’a plus de chance d’atteindre l’objectif de glaner une médaille.

Enfin, les 6 athlètes viennent de percevoir leur prime de mission

Le Nageur Aristote Ipelenga

 

Parmi les couacs qui font que la RDC y participe à des compétitions internationales sans briller figure en premier lieu l’impréparation et la prime des athlètes qu’on libère en retard. Pour le cas d’espèce, ce n’est que le mercredi 31 juillet 2024 que les membres du Comité Olympique Congolais ont remis aux athlètes leur prime soit 5600 Euros pour les athlètes et 5200 Euros aux membres du staff technique. Encore une anomalie que nous dénonçons régulièrement. Comment peut-on remettre plus d’argent à l’athlète qu’à celui qui le forme ? Vraiment inimaginable ce qui se passe en RDC.

De Bonsambo




Un évêque du Nigeria révoque l’ordination de « diacres » dans une affaire de falsification 

L’évêque du diocèse catholique de Lokoja, au Nigeria, a retiré les « certificats d’ordination » de quatre hommes qu’il avait ordonnés diacres le 12 juillet, après qu’on lui eut présenté de faux documents attestant qu’ils étaient qualifiés pour les ordres sacrés. Il est apparu par la suite que tous les documents présentés à Mgr Martin Dada Olorunmolu, y compris l’existence de la congrégation des « Missionnaires du Paraclet », le supérieur général de la congrégation, ainsi que les candidats à l’ordination diaconale, étaient frauduleux.

Dans une déclaration faite le lundi 30 juillet, Mgr Olorunmolu a révoqué la délivrance des certificats aux quatre hommes et suspendu leurs activités en tant que « diacres ». Les personnes ordonnées dans le cadre de la falsification présumée sont Aloysius Kubiatabasi Ebong, Francis Mario Daudu, Nkemaka Charles Chukwudi et Emmanuel Chukwudum Ezeh. « J’ai été trompé », déclare l’ordinaire local du diocèse de Lokoja à propos de l’ordination qu’il a présidée à la cathédrale de l’Immaculée Conception de son siège épiscopal le 12 juillet.

Dans sa déclaration, Mgr Olorunmolu cite des « mensonges », affirmant que les quatre hommes ne devraient pas être reconnus comme diacres. « En raison de toutes les faussetés concernant ladite ordination diaconale, je décrète par la présente que les certificats d’ordination diaconale que j’ai délivrés aux quatre hommes susmentionnés sont retirés avec effet immédiat. Ils ne doivent être reconnus par aucune autorité ecclésiastique ni par aucune autre autorité, y compris civile », déclare l’évêque catholique nigérian. Il ajoute que toutes les facultés inhérentes à la fonction de diacre des quatre hommes « sont par la présente suspendues avec effet immédiat » et pour « une durée indéterminée ».

Mgr Olorunmolu explique qu’il a ordonné ces hommes à la demande du « Révérend Père Stephen Obioma Nwaigwe », qui s’est présenté à l’évêque comme le supérieur général d’un institut religieux qu’il a appelé les « Missionnaires du Paraclet ». « Je me suis assuré que toutes les conditions canoniques pour l’ordination étaient remplies afin de garantir que je n’ordonne que des candidats qualifiés et dignes pour l’Église », déclare l’Ordinaire local de Lokoja depuis sa consécration épiscopale en février 2006, ajoutant qu’il a cependant reçu des “informations erronées” de la part dudit “Supérieur général”. « Il (Nwaigwe) m’a également donné des documents falsifiés pour faire certaines affirmations qui se sont avérées fausses » , dit-il, et ajoute : « Par exemple, il m’a montré un document falsifié pour prétendre que les ”Missionnaires du Paraclet’ avaient été correctement érigés en Institut religieux ».

Mgr Olorunmolu affirme que les enquêtes ont révélé que le « décret d’approbation ecclésiastique » des « Missionnaires de Jésus Sauveur », également connus sous le nom de « Jésuites », basés dans le diocèse catholique de Morogoro en Tanzanie, a été utilisé par Nwaigwe pour produire un faux « décret d’approbation ecclésiastique » pour les « Missionnaires du Paraclet ». Le prétendu supérieur général a remplacé le nom « Missionnaires de Jésus Sauveur » par celui de « Missionnaires du Paraclet » dans la saga de la falsification.

L’évêque catholique nigérian, qui aura 76 ans le 30 août, affirme que peu après la cérémonie d’ordination diaconale, on a découvert qu’avant l’ordination, l’un des candidats, Aloysius Kubiatabasi Ebong, s’était présenté à la caserne militaire de Lokoja comme prêtre catholique et avait même « célébré » des messes. Mgr Olorunmolu a exprimé son optimisme quant à la possibilité que le Vatican prenne d’autres mesures à l’encontre des quatre hommes ordonnés.




L’Europe s’engage à aider le Nigeria en échange d’une « colonisation » idéologique

Une fois que le traité sera entré en vigueur, il donnerait à l’Union européenne la possibilité d’imposer des changements dans les lois et les politiques du Nigeria afin de les harmoniser avec les valeurs européennes. Les évêques catholiques et les dirigeants islamiques ont appelé le gouvernement nigérian à modifier ou à rejeter un traité de l’UE qui engagerait le Nigéria à respecter l’idéologie du genre en échange d’investissements et d’un accès au marché.

Le nouveau traité contraignant étend la coopération entre le Nigeria et l’Union européenne (UE) au-delà des questions économiques pour inclure les questions de droits de l’homme, les programmes d’éducation sexuelle soutenus par l’Occident, les questions de genre et la santé sexuelle et reproductive complète, une expression que l’UE interprète comme incluant le droit à l’avortement. Après la signature de l’accord de Samoa par le Nigeria, les évêques catholiques ont qualifié l’accord de « menace pour la souveraineté et les valeurs du Nigeria » et ont averti que, bien que semblant « inoffensive » en apparence, la terminologie de l’accord était délibérément codée afin d’éviter tout contrôle démocratique.

« Nous craignons que nos autorités civiles ne soient pas pleinement conscientes des implications du langage nuancé du document, qui menace notre souveraineté et nos valeurs nationales », ont déclaré les évêques dans un communiqué de presse repris par l’Agence Fides. Le traité juridiquement contraignant s’appuie sur un partenariat économique antérieur entre l’Union européenne et 79 pays en développement d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique. Il étend le partenariat à de nouvelles questions telles que le climat, les migrations, les droits du travail et les droits de l’homme. L’attention portée aux questions sociales controversées est nouvelle et au cœur du nouveau cadre de partenariat. En vertu du traité, aucun pays ne peut s’écarter des dispositions relatives aux droits de l’homme, à la santé sexuelle et reproductive et à l’égalité des sexes.

Ces questions controversées ne sont pas aussi explicites dans l’accord, mais une fois que le traité entrera en vigueur, il donnera à l’Union européenne la capacité d’imposer des changements dans les lois et les politiques du Nigeria afin de les aligner sur les valeurs européennes. Les évêques ont justifié leur intervention extraordinaire dans les affaires civiles en se qualifiant de « gardiens et guides, profondément engagés dans la croissance morale, religieuse et culturelle de notre cher pays ». Le gouvernement nigérian a rejeté les premières informations selon lesquelles l’accord de Samoa était contraire à la constitution et aux lois du pays, et a menacé de prendre des mesures à l’encontre des sources d’information et des médias qui feraient état de ces préoccupations.

« Le gouvernement fédéral insiste sur le fait que ce rapport sur l’accord de Samoa était trompeur, faux et visait à créer la confusion dans le pays », a déclaré le ministre nigérian de l’information, Mohammed Idris. Cette affirmation a été reprise dans des articles de médias occidentaux, dont la BBC. Aliyu Madaki, membre de la Chambre des représentants du Nigeria, a attiré l’attention sur les plus de soixante références au « genre » dans l’accord et a demandé au corps législatif d’enquêter plus avant sur la question. « L’expression ‘égalité des sexes’ est un cheval de Troie pour introduire de manière trompeuse toutes sortes d’immoralités dans notre pays, car le terme « genre » ne désigne plus les sexes masculin et féminin tels qu’on les entend traditionnellement. Il inclut désormais l’homosexualité, le lesbianisme, la transsexualité et l’animalisme », a déclaré M. Madaki.

Les évêques ont exhorté le gouvernement à consulter largement le peuple nigérian et à ne ratifier le traité qu’avec un amendement stipulant que « rien dans cet accord contraignant ne peut être interprété comme incluant des obligations relatives à l’orientation sexuelle, à l’identité de genre, à l’éducation sexuelle complète, à l’avortement, à la contraception, à la légalisation de la prostitution, au mariage entre personnes du même sexe ou aux droits sexuels des enfants ». À défaut, les évêques ont exhorté le gouvernement à abandonner l’accord. Leurs appels ont été relayés par le Forum islamique du Nigeria, qui a appelé « le gouvernement fédéral à se retirer de l’accord de Samoa sans plus tarder ».




Cinq piscines du sanctuaire de Lourdes vont rouvrir : Elles seront ouvertes pour le Pèlerinage national de l’Assomption en août 

Selon des publications de radio RCF et du journal La Croix, cinq piscines du sanctuaire de Lourdes vont être rouvertes, en août, à l’occasion du grand Pèlerinage national de l’Assomption, qui se déroulera du 12 au 16 août 2024. Une décision importante pour le sanctuaire, car l’immersion dans l’eau de Lourdes est une étape essentielle du pèlerinage. Jusqu’en 2020, presque 400 000 pèlerins pouvaient s’immerger entièrement chaque année dans les bains. Mais suite à la pandémie de Covid 19, les piscines ont toutes fermé pour des raisons sanitaires évidentes. Prévue pour la fin de l’année 2024, la réouverture des piscines a été avancée de quelques mois. Sur les dix-huit bassins, seuls cinq seront ouverts pour le Pèlerinage national de l’Assomption, pendant lequel près de 7 000 pèlerins sont attendus, dont 20 000 pour la messe du 15 août.

Le « geste de l’eau » a remplacé l’immersion

Depuis presque 4 ans, la plongée dans les bains a été remplacée par le « geste de l’eau ». Les pèlerins ont pu continuer à se rendre dans les bâtiments des piscines, mais juste pour se laver les mains, le visage ou encore boire l’eau de source. Cette réouverture « était vraiment attendue par la plupart des pèlerins. C’est un peu la signature de Lourdes. C’est le seul sanctuaire au monde – je crois – qui propose cette démarche d’être baigné dans l’eau miraculeuse de ce sanctuaire », a confié à RCF le P. Sébastien Antoni, assomptionniste et directeur du Pèlerinage national de Lourdes.

Mais l’hygiène restera cependant prioritaire. Même lorsque les dix-huit bassins seront tous rouverts, l’affluence devra être revue à la baisse pour des questions d’hygiène et d’organisation.

L’eau, symbole de purification et de renaissance

Se plonger dans les bassins de Lourdes, « c’est aussi retrouver une démarche en lien avec son propre baptême. On est plongé dans l’eau et on en ressort lavé et purifié », explique le directeur du Pèlerinage national de Lourdes. Lors de sa neuvième apparition, le 25 février 1858, la Vierge Marie a dit à sainte Bernadette « d’aller boire à la source ». « Je ne trouvai qu’un peu d’eau vaseuse, a rapporté Bernadette. Au quatrième essai je pus boire. » Si l’eau de Lourdes, tout à fait potable, ne présente aucune propriété thérapeutique, on lui associe de nombreux miracles. « Cette eau n’aurait pas de vertu sans la foi », a déclaré sainte Bernadette.




Deux nouveaux évêques au sein du Dicastère pour la doctrine de la foi : Un français et un irlandais reçoivent le titre d’archevêque 

Ce 29 juillet 2024, le pape a nommé deux nouveaux évêques au sein du Dicastère pour la doctrine de la foi, en6 leur conférant le titre personnel d’archevêque. Le prélat français, Philippe Curbelié, actuellement sous-secrétaire du Dicastère , devient évêque titulaire d’Utica, en Tunisie. Quant à l’irlandais John Joseph Kennedy, secrétaire de la section disciplinaire au sein du même Dicastère, il est nommé évêque titulaire d’Ossero, en Croatie.

Le Dicastère pour la doctrine de la foi est l’un des plus importants du Vatican. Actuellement dirigé par le cardinal argentin Victor Manuel Fernández, il a été institué par le pape Paul III en 1542. Parmi les autres membres, figurent le secrétaire de la section doctrinale, Mgr Armando Matteo, le secrétaire adjoint, Mgr Charles Jude Scicluna, et le promoteur de justice, le P. Robert Joseph Geisinger.

Mgr Philippe Curbelié

Âgé de presque 56 ans, Mgr Curbelié a été ordonné prêtre pour le diocèse de Toulouse le 30 avril 1995. Il est titulaire d’une licence en philosophie et d’un doctorat en théologie dogmatique de l’Université pontificale grégorienne de Rome.

À Rome, il a été membre du conseil de direction de l’Agence du Saint-Siège pour l’évaluation et la promotion de la qualité dans les universités et facultés ecclésiastiques. En septembre 2012, il a été nommé membre du Dicastère pour la culture et l’éducation, et nommé chef de bureau en 2014. Il est sous-secrétaire du Dicastère pour la doctrine de la foi depuis juillet 2022. En parallèle, Mgr Philippe Curbelié a été notamment le postulateur de la cause en béatification de Pauline Jaricot, proclamée bienheureuse le 22 mai 2022.

Mgr John Joseph Kennedy

Âgé de 56 ans, Mgr Kennedy a été ordonné prêtre en juillet 1993 pour le diocèse de Dublin, en Irlande. Après un travail pastoral à Dublin, il a continué ses études de droit canonique à Rome et est entré au service de la Congrégation pour la doctrine de la foi en 2003.

Au sein du Dicastère, le nouvel archevêque dirige la section disciplinaire depuis 2017, qui s’occupe de certains délits canoniques graves, notamment les abus.




Soutien de la France à la souveraineté du Maroc sur son Sahara : S.M. le Roi adresse un message à Emmanuel Macron

Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, a adressé un message au Président de la République Française, Son Excellence Monsieur Emmanuel Macron, suite à l’annonce du soutien officiel de la France à la souveraineté du Royaume sur son Sahara. Le Souverain a invité le président français à effectuer une visite d’Etat au Royaume.

Voici le texte intégral du Message de Sa Majesté le Roi :

“Monsieur le Président de la République,

J’ai reçu avec intérêt le Message important que Vous avez bien voulu M’adresser à l’occasion du 25ème anniversaire de la Fête du Trône.

Je Vous remercie de Vos vœux chaleureux et de Votre engagement personnel en faveur du renforcement du partenariat entre Nos deux pays.

Dans une évolution significative, le Président français annonce officiellement à S.M. le Roi qu’il “considère que le présent et l’avenir du Sahara occidental s’inscrivent dans le cadre de la souveraineté marocaine”.

Je me réjouis, tout particulièrement, de la position claire et forte que la France adopte, dans Votre Message, au sujet du Sahara marocain.

J’apprécie pleinement le soutien clair que Votre pays apporte à la souveraineté du Maroc sur cette partie de son territoire, la fermeté de l’appui français à l’autonomie sous souveraineté marocaine comme issue à ce différend régional, consacrant, par là même, le plan proposé par le Maroc, dès 2007, comme la seule base pour y parvenir.

En reconnaissant au Maroc ses titres juridiques et ses droits immémoriaux, la France contribue à renforcer la dynamique internationale que portent d’ores et déjà de très nombreux pays et à mettre ainsi un terme à un conflit hérité d’une autre époque.

À la faveur de l’évolution significative de la position française et de Votre détermination à agir en conséquence aux niveaux interne et international, Nos deux pays pourront travailler conjointement afin de parvenir à une solution qui, dans le cadre des Nations Unies, respecte pleinement la souveraineté du Maroc sur son Sahara.

Le peuple marocain et ses forces vives mesurent toute l’importance de cette décision, qui émane d’un membre permanent du Conseil de Sécurité, intime connaisseur du passé et du présent de l’Afrique du Nord et témoin privilégié de l’évolution de ce différend régional.

Dans ce contexte, et grâce à la dynamique positive que connaissent Nos relations bilatérales, des perspectives prometteuses s’ouvrent à Nos deux pays dans de nombreux secteurs stratégiques, permettant de renforcer le partenariat d’exception bâti, des décennies durant, sur l’amitié et la confiance.

A ce titre, et comme cela avait été évoqué lors de Nos précédents échanges, Je serai heureux de Vous recevoir au Maroc dans le cadre d’une Visite d’Etat dont les dates seront arrêtées par la voie diplomatique.

Je vous prie de croire, Monsieur le Président, l’assurance de Ma haute considération”.

Le Matin




Sahara marocain : réactions de la classe politique après la position française

Sahara marocain : réactions de la classe politique après la position française

Dans un message adressé à Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, le Président français, Son Excellence Monsieur Emmanuel Macron, annonce officiellement au Souverain qu’il “considère que le présent et l’avenir du Sahara occidental s’inscrivent dans le cadre de la souveraineté marocaine”, a indiqué mardi le Cabinet Royal dans un communiqué. Une annonce qui a déclenché plusieurs réactions dans la paysage politique.

Le Président du Sénat français, Gérard Larcher a salué, mardi, la décision du Président de la République, Emmanuel Macron soutenant le plan d’autonomie comme “la seule base pour aboutir à une solution politique juste, durable et négociée, qui s’inscrive dans le cadre de la souveraineté marocaine”.

Dans un communiqué publié sur le site internet du Sénat, M. Larcher, qui estime qu’il s’agit là d’une “évolution diplomatique décisive, attendue de longue date”, a souligné qu’”il était temps de tenir compte des réalités et de sortir d’une ambigüité stérile”, relevant que “cette évolution est le fruit d’une longue maturation”.

Le Président du Sénat français rappelle avoir plaidé, dès le mois de mars dernier, dans une lettre adressée au Président de la République, pour une initiative diplomatique en ce sens, qui lui paraissait “incontournable”, notant que la décision de M. Macron est “un pas supplémentaire décisif” vers la résolution d’un différend qui a trop duré, minant l’intégration du Maghreb et pénalisant sa prospérité.

Dans une évolution significative, le Président français annonce officiellement à S.M. le Roi qu’il “considère que le présent et l’avenir du Sahara occidental s’inscrivent dans le cadre de la souveraineté marocaine”.

La réaction de la ministre française de la Culture, Rachida Dati

Dans le contexte de l’annonce par le Président de la République française, Emmanuel Macron du soutien de la France à la souveraineté du Maroc sur son Sahara, la ministre française de la Culture, Rachida Dati s’est réjouie d’”un jour historique pour les relations franco-marocaines”.

“Honorée d’être présente au Maroc en ce jour historique pour les relations franco-marocaines. Ce cours de l’Histoire est essentiel et irréversible. Nous en sommes tous les architectes”, a déclaré Mme Dati sur son compte X.

La ministre française, qui a assisté aux festivités marquant le 25ème anniversaire de l’intronisation du Souverain, a rendu hommage à Sa Majesté le Roi et au chef de l’Etat français “pour leurs visions ambitieuses”.

“Hommages soient rendus à Sa Majesté le Roi Mohammed VI et au Président de la République Emmanuel Macron pour leurs visions ambitieuses pour nos deux peuples qui savent que, d’une rive à l’autre de la Méditerranée, notre avenir ne peut être que commun. Vive le Royaume du Maroc et Vive la France !”, écrit Mme Dati.

Le message adressé à S.M. le Roi Mohammed VI par le président français Emmanuel Macron vient conforter la souveraineté du Maroc sur ses provinces du sud, a-t-elle déclaré à la presse en marge de la réception, présidée mardi à M’diq, par Sa Majesté le Roi Mohammed VI à l’occasion de la Fête du Trône.

La ministre française a formé le voeu que cette nouvelle position de Paris permette de développer des partenariats stratégiques importants pour le Maroc, pour la France mais aussi pour l’Union Européenne, rappelant les liens et l’amitié historiques unissant le Maroc et la France.

La réaction du groupe d’amitié France-Maroc du Sénat

Le groupe interparlementaire d’amitié France-Maroc a salué, mardi, la décision du Président de la République française, Emmanuel Macron soutenant la souveraineté du Maroc sur son Sahara. Dans un communiqué publié sur le site du Sénat français, le groupe d’amitié France-Maroc, présidé par le Sénateur Christian Cambon, se réjouit de cette décision pour laquelle il a toujours plaidé.

Pour M. Cambon cité dans le communiqué, “cette décision réconcilie la France avec sa position historique, en soutien au Maroc et à ses efforts en faveur de la paix et du développement dans cette région”, notant qu’”il était temps que la France ajoute son nom à la longue liste de pays ayant déjà appuyé la proposition d’autonomie pour le Sahara sous souveraineté marocaine”.

Le président du groupe d’amitié France-Maroc a, par ailleurs, appelé à “écrire une nouvelle page de la coopération entre pays méditerranéens, en s’appuyant notamment sur le solide partenariat noué entre la France et le

Maroc”.

Le Matin




Le groupe d’amitié France-Maroc au Sénat se réjouit du soutien de la France sur le Sahara

Le groupe interparlementaire d’amitié France-Maroc a salué la décision du Président de la République française, Emmanuel Macron soutenant la souveraineté du Maroc sur son Sahara.

Dans un communiqué publié sur le site du Sénat français, le groupe d’amitié France-Maroc, présidé par le Sénateur Christian Cambon, se réjouit de cette décision pour laquelle il a toujours plaidé.

Pour Cambon cité dans le communiqué, « cette décision réconcilie la France avec sa position historique, en soutien au Maroc et à ses efforts en faveur de la paix et du développement dans cette région ». « Il était temps que la France ajoute son nom à la longue liste de pays ayant déjà appuyé la proposition d’autonomie pour le Sahara sous souveraineté marocaine », note-t-il.

Le groupe d’amitié, dont des délégations se sont rendues à plusieurs reprises à Dakhla et Laâyoune, rappelle avoir « longtemps œuvré dans le cadre de la diplomatie parlementaire pour que la France soutienne sans équivoque le plan marocain (…) en étroite collaboration avec le groupe d’amitié Maroc-France de la Chambre des Conseillers du Maroc et ses présidents successifs ».

Le président du groupe d’amitié France-Maroc a, par ailleurs, appelé à « écrire une nouvelle page de la coopération entre pays méditerranéens, en s’appuyant notamment sur le solide partenariat noué entre la France et le Maroc ».