Maillet coule, les Eagles résistentJosué Mungwengi rugueux sur un tacle

Les Corbeaux viennent de boucler une nouvelle semaine de préparation par deux matchs amicaux. Six buts pendant 180 minutes, Maillet FC (5-0) est tombé de haut pendant que les Eagles de Joli Site ont montré une très belle image dans le jeu, s’inclinant de peu (0-1).

Ce samedi 10 août à 8h30 au CEF de Futuka, Fily Traoré s’est offert un triplé en 45 minutes. Patrick Mwaungulu – un très bon milieu offensif de nationalité malawite – et Ousmane Kamissoko ont complété l’addition face un adversaire très combattif. Ibrahim Mounkoro et Suleman Shaibu ont disputé chacun 45 minutes dans les buts. Le gardien Aliou Badara Faty (malade) est encore en phase de reprise.

Lors de la deuxième opposition à partir de 10h30, les Corbeaux se sont heurtés à une académie très joueuse. Mor Talla Mbaye sur une frappe lointaine déviée par un défenseur des Eagles, a inscrit l’unique but du match.

Pendant 90 minutes, le TPM n’était pas à l’abri d’une égalisation mais le gardien Baggio Siadi et Jénovic Kidiaba qui se sont partagés une mi-temps chacun n’ont rien encaissé permettant au TPM de maintenir ce score.




Il est temps d’aider les pays confrontés à des problèmes de liquidités  

Alors que le niveau élevé du service de la dette réduit les ressources disponibles pour financer les investissements indispensables dans de nombreux pays, il est urgent d’agir pour accroître les marges de manœuvre budgétaires, maintenir un soutien international adéquat et réduire les coûts du service de la dette.

De nombreux pays sont confrontés à des paiements d’intérêts de plus en plus élevés et à des remboursements élevés au titre de la dette. Les séquelles économiques de la pandémie, les conflits dans le monde et la hausse brutale généralisée des taux d’intérêt ont frappé plus durement les pays à faible revenu. La part des recettes que le pays à faible revenu médian alloue au service de la dette envers les créanciers étrangers est plus de deux fois supérieure à ce qu’elle était il y a dix ans (environ 14 % à la fin de 2023, contre 6 % dix ans plus tôt). Après avoir souscrit des emprunts substantiels pendant des années, les pays à faible revenu font face à des remboursements de dette à court terme qui sont presque trois fois plus élevés que leur moyenne à long terme, soit environ 60 milliards de dollars, contre une moyenne annuelle de 20 milliards de dollars de 2010 à 2020.

L’amélioration des processus impliquant les créanciers (grâce au travail des comités de créanciers, de la Table ronde mondiale sur la dette souveraine, du G-20, du Club de Paris et d’autres) a contribué à rationaliser la restructuration de la dette souveraine et à raccourcir les délais de restructuration. Toutefois, des efforts supplémentaires sont nécessaires pour accélérer ces processus et réduire davantage les incertitudes qui les entourent.

Nous avons jusqu’à présent évité une crise systémique de la dette, mais la hausse des paiements d’intérêts et des remboursements au titre de la dette freine la croissance et l’emploi tout en exerçant une pression considérable sur les finances publiques de nombreux pays. Tout cela survient à une période où les pays ont besoin d’investissements cruciaux pour parvenir à une croissance économique durable et inclusive et pour s’adapter au changement climatique. Si rien n’est fait pour réduire ces pressions sur les liquidités, de nombreux pays vulnérables pourraient rencontrer des problèmes de solvabilité. En d’autres termes, ce que nous considérons aujourd’hui comme des pressions sur les finances publiques pourrait déboucher sur une crise de la dette, avec des conséquences importantes sur la croissance, la création d’emplois et la pauvreté.

La communauté internationale doit agir maintenant pour éviter un tel dénouement.

Le FMI et la Banque mondiale proposent un ensemble de mesures pour aider les pays à faible revenu et les autres pays vulnérables à gérer ces pressions, dans le but de créer une plus grande marge de manœuvre dans les budgets publics et ainsi renforcer la croissance et la résilience.

Notre approche repose sur trois piliers :

Pilier 1 – Mobilisation des ressources intérieures. Les pays peuvent stimuler la croissance et l’emploi et dégager une marge de manœuvre budgétaire en mobilisant leurs ressources intérieures. Dans le cadre de leur nouvelle initiative conjointe pour la mobilisation des ressources intérieures, le FMI et la Banque mondiale fourniront des conseils et une assistance au développement des capacités pour aider les pays à mettre en œuvre des mesures stratégiques. Il s’agit d’échelonner les réformes pour accélérer la croissance économique et créer des emplois, tout en renforçant la gouvernance et en luttant contre la corruption, en s’appuyant sur l’apprentissage entre pairs et sur le partage d’expérience entre pays. L’initiative vise également à améliorer l’efficacité des dépenses publiques, à accroître les recettes publiques pour répondre aux besoins prioritaires et à développer les marchés financiers nationaux pour canaliser l’épargne vers des usages productifs.

Pilier 2 – Soutien international. Un soutien financier peut aider les pays à répondre à leurs besoins au moment où ces derniers entreprennent d’importantes réformes. Le soutien des partenaires bilatéraux et multilatéraux pour le développement sera nécessaire, notamment sous forme de financements à moindre coût et de dons. De nombreux pays confrontés à des difficultés de refinancement auront besoin de flux nets positifs au cours des prochaines années. Le FMI et la Banque mondiale jouent un rôle important dans cet effort collectif. 2024 est une année cruciale pour mener à bien la 21 e reconstitution des ressources de l’Association internationale de développement de la Banque mondiale et la revue du fonds fiduciaire pour la réduction de la pauvreté et pour la croissance du FMI.

Pilier 3 – Réduction du service de la dette. De nouvelles solutions doivent être mises en place pour aider les pays qui n’ont pas de problèmes de solvabilité mais qui doivent composer avec des niveaux élevés de service de la dette. Il faudrait par exemple aider les partenaires multilatéraux ou bilatéraux à établir des mécanismes pour mobiliser de nouveaux financements, notamment auprès du secteur privé, à des conditions abordables, en recourant à des rehaussements de crédit pour refinancer la dette existante. Les pays pourraient également mener des opérations de gestion du passif, comme des conversions de dettes en programmes de développement et des rachats de créances, le cas échéant.

Nous affinerons ces options avant les Assemblées annuelles du FMI et de la Banque mondiale qui se tiendront en octobre, notamment grâce aux travaux de la Table ronde mondiale sur la dette souveraine.

En définitive, notre approche qui repose sur ces 3 piliers vise à atténuer les problèmes de liquidité. En tirant parti de l’action de plusieurs parties prenantes, nous pouvons promouvoir des solutions coopératives et contribuer à créer les conditions d’une croissance et d’une résilience durables.




Bureau définitif du Sénat: La Grande Orientale crie à l’injustice et en appelle à l’arbitrage du président de la République

Dans une déclaration faite ce 10 août 2024 à Kinshasa, les sénateurs, députés nationaux et notabilités de l’espace Grande-Orientale comprenant les provinces du Bas-Uélé, du Haut-Uélé, de l’Ituri et de la Tshopo, toutes tendances confondues considèrent l’exceptionnelle et abondante moisson politique réalisée par les dignes filles et fils de cet espace en terme de contribution pour la réélection du Président de la République (77%, avec 63 députés nationaux, 16 sénateurs majoritairement de l’Union Sacrée). Tout en restant résolument engagés à veiller au respect de la liste définitive publiée en date du 8 août 2024 par le bureau provisoire du Sénat et opposables à tous, les sénateurs, députés nationaux et notabilités de l’espace Grande-Orientale en appellent à la solidarité de nos collègues de l’ensemble de notre chambre de soutenir notre démarche qui promeut l’unité nationale.

Déclaration des honorables Sénateurs, députés nationaux et notabilités de l’espace Grande Orientale sur l’élection des membres du bureau définitif du Sénat

 

Nous, honorables sénateurs, députés nationaux et notabilités de l’espace Grande-Orientale comprenant les provinces du Bas-Uélé, du Haut-Uélé, de l’Ituri et de la Tshopo, toutes tendances confondues.

Mus par la volonté d’accompagner le chef de l’Etat ainsi que le gouvernement et les forces armées dans leurs efforts de la défense de l’intégrité territoriale et de la restauration d’une paix durable, gage du développement socioéconomique de notre beau et grand pays;

Vu les enjeux actuels liés à la formation du Bureau définitif du Sénat;

Vu l’engagement pris par tout un chacun de nous et par nous tous, de défendre les intérêts de notre espace, de nos populations et de l’ensemble du peuple congolais;

Considérant l’exceptionnelle et abondante moisson politique réalisée par les dignes filles et fils de cet espace en terme de contribution pour la réélection de son Excellence, Monsieur, le Président de la République (77%, avec 63 députés nationaux, 16 sénateurs majoritairement de l’Union Sacrée);

Considérant la liste définitive des candidats telle que rendue publique par la commission ad hoc du Sénat instituée à cette fin;

Soucieux de sauvegarder l’harmonie, la cohésion et la solidarité au sein de la Grande Famille de l’Union Sacrée;

Déclarons ce qui suit:

1. Réaffirmons notre détermination inébranlable de voir la Grande orientale être représentée au sein du Bureau définitif conformément aux conclusions des travaux de notre commission ad hoc à l’issue des élections prévues à cette fin dans les tout prochains jours;

2. Restons résolument engagés à veiller au respect de la liste définitive publiée en date du 8 août 2024 par le bureau provisoire du Sénat et opposables à tous ;

3. En appelons à la solidarité de nos collègues de l’ensemble de notre chambre de soutenir notre démarche qui promeut l’unité nationale ;

4. Réitérons notre soutien indéfectible au Chef de l’Etat et adhérons à sa vision salvatrice sur le devenir radieux de la Rdc.

Fait à Kinshasa, le 10/08/2024




Coopération Rdc-Chine : La SICOMINES conteste tant la compétence de l’IGF, que la procédure suivie et le contenu de ces documents

Le 08 février 2023, la SICOMINES a reçu l’invitation de l’Inspection Générale des Finances (IGF) à se présenter dans la salle des réunions de l’Inspection Générale des Finances, avec comme objet examen des conclusions et des recommandations de l’IGF en vue de décanter la situation de SICOMINES.

Dans un communiqué parvenu à notre rédaction, il nous revient que le 15 février 2023, la SICOMINES s’est présentée à la réunion couverte par la presse, au cours de laquelle il a été fourni à l’assistance, deux documents intitulés Conclusions de l’IGF sur la convention de collaboration d’avril 2008 entre la RDC et le groupement d’entreprises chinoises (Contrat chinois) d’une part, et Exigences de l’IGF au regard de ses conclusions sur le Contrat chinois d’autre part.

La SICOMINES, qui n’est pas partie, à la Convention de Collaboration, a pris connaissance de ces documents. Elle conteste tant la compétence de l’IGF, que la procédure suivie (en violation des droits de la SICOMINES) et le contenu de ces documents, lesquels font fi du mécanisme mis en place par la RDC au travers de la Convention de Collaboration et les droits bénéficiés à la SICOMINES, et en particulier du droit d’être entendu.

De plus, les critiques et mesures injustifiées mises en œuvre contre la SICOMINES nuisent au bon fonctionnement de cette entreprise et du Projet de Coopération, portant atteinte en définitive aux intérêts du pays et du peuple congolais.

La SICOMINES évaluera la suite qu’il convient d’y donner afin de protéger ses droits.

La RDC est un Etat de droit où le droit de la défense est consacré et garanti par la Constitution. En particulier, la sécurité des investissements privés, nationaux ou étrangers, est garantie en RDC et les engagements pris à l’égard des investisseurs ne peuvent être bafoués.




Juillet 2024 : DGDA, DGI et DGRAD ont réalisé près de 102% de leurs assignations

Dans une atmosphère interactive et conviviale, le ministre des Finances, Doudou Fwamba Likunde Li-Botayi, a présidé la réunion de mobilisation des recettes dans son cabinet de travail. Cette réunion a inclus la participation de la Vice-Ministre des Finances, des responsables des régies financières (DGI, DGDA et DGRAD), de l’Inspecteur Général des Finances (IGF) et du Directeur Général de la DGTCP.

Évaluant le niveau des recettes, il a été noté que les recettes mobilisées durant le mois de juillet 2024 sont de l’ordre de 2.936,6 milliards CDF sur les prévisions de 2.872,3 milliards CDF portant ainsi le taux d’exécution à 102%, réparties de la manière suivante :

– DGDA : 540,9 Mds CDF sur les prévisions de 526,8 Mds CDF, soit un taux d’exécution de 97%;

– DGI : 1.962,3 Mds CDF sur les prévisions de 1931 Mds CDF, pour un taux d’exécution de 103%;

– DGRAD: 447,4 Mds CDF sur les prévisions de 418,3 Mds CDF, soit un taux d’exécution de 107%.

Dans leurs commentaires, chaque Directeur Général a exposé sur les principaux éléments qui ont concouru à la réalisation de ce niveau des recettes.

Un accent particulier a été mis sur l’amélioration de la communication et de la transparence entre les différentes régies financières. Le ministre a encouragé le partage d’informations et a souligné la nécessité d’appliquer des mesures disciplinaires strictes pour combattre la corruption et améliorer l’efficacité.

La discussion a également abordé le déploiement prévu du logiciel LOGIRAD dans le système judiciaire, une initiative visant à renforcer la traçabilité et la gestion des recettes d’une part et à limiter les risques de détournement et optimiser les recettes de l’État d’autre part.

Concernant les projections pour 2025 sur la mobilisation des recettes, le ministre des Finances a donné une directive pour affiner ces prévisions grâce à de nouvelles mesures douanières, fiscales et administratives. De plus, des mesures d’allègement fiscal sont envisagées pour les opérateurs économiques dans les zones de conflit, principalement à l’Est de la République, en réponse aux instructions du Président de la République, et cela démontre aussi son ferme engagement à soutenir les territoires du pays affectés.

Le point sur les réformes était axé sur l’informatisation de la collecte et du contrôle de la TVA, qui prévoit à combiner la facture normalisée et la distribution des caisses enregistreuses. A ce sujet, les échanges ont porté sur la matérialisation rapide de cette réforme qui permettra d’avoir également une base de données sur les chiffres d’affaires. Ainsi, le ministre a instruit les services concernés à s’activer quant à ce.

La réunion s’est conclue sur une note optimiste, avec des directives claires pour une amélioration continue des processus de collecte de revenus et de gestion économique, reflétant l’engagement du Ministère des Finances à maintenir une gestion fiscale rigoureuse et transparente, essentielle pour le développement économique durable de la RDC.




Président du regroupement AACPG : Pius Muabilu confirme la candidature de Justin Kalumba au poste de Rapporteur du Sénat 

Dans une lettre adressée au président du bureau d’âge du Sénat, le Regroupement Politique Alliance pour l’Avènement d’un Congo Prospère et Grand (AACPG) à travers son président, lui signifie la confirmation et maintien de la Candidature de l’Honorable Sénateur Kalumba Mwana-Ngongo Justin au poste de Rapporteur du Sénat.

En effet, l’AACPG est plus que déterminée à participer au processus des élections des membres du Bureau définitif du Sénat dans la démocratie la plus totale.

C’est ainsi que l’AACPG maintient la Candidature de l’Honorable Sénateur Kalumba Mwana- Ngongo Justin au poste de Rapporteur du Sénat.

Soulignons que bien avant, l’alliance pour l’avènement d’un Congo Prospère et Grand, Regroupement politique cher au Leader Majeur, l’Honorable Pius Muabilu Mbayu Mukala avait informé l’opinion nationale qu’elle suivait avec attention soutenue le processus Électoral à la chambre Haute du Parlement.

« AACPG est plus que déterminée à participer à ce processus dans la Démocratie la plus totale en vue de doter le Sénat d’un Bureau Définitif défenseur des intérêts du Peuple », indiquait un communiqué élaboré à ce sujet et qui précisait que le Regroupement politique de l’Honorable Pius Muabilu réitère son engagement à soutenir et voter pour tout ticket officiel ayant reçu la bénédiction de la Haute Autorité de référence de l’union sacrée de la Nation, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.

Mais au regard de soupçons qui entourent certains candidats présentés hier, et en attendant la clarification de la situation, AACPG maintient la candidature de l’honorable Justin Kalumba Mwana Ngongo au poste de Rapporteur et demande aux Honorables Sénateurs de faire le choix de la sagesse, humilité, expérience et compétences qu’incarnent l’élu du Maniema




Face-à-face entre Didier M’Pambia et Jésus Noël Sheke 

Jeudi 08 Août 2024, M. Jésus Noël Sheke Wa Domene le ministre provincial du Plan, Budget, Emploi et Tourisme a eu un entretien de travail avec le ministre national du Tourisme, Didier M’Pambia Musanga. Outre les civilités, le ministre provincial a partagé avec son hôte, sa vision du concept “Mbote Kinshasa” qui est un programme de promotion de la ville qui se veut être une véritable destination touristique.

Au sortir de cet entretien, le ministre Jésus-Noël Sheke s’est félicité de ce qu’il a trouvé une convergence de vues entre lui et le ministre national quant au développement du secteur touristique, spécialement dans la ville de Kinshasa où l’ambition est de faire de ce secteur un véritable levier pouvant contribuer à la diversification de l’économie, soit mettre en place une réelle industrie touristique pour participer à la création d’emplois et de ressources.




Evêque de Kole, Mgr Emery Kibal, a célébré ses 9 ans d’épiscopat 

L’évêque de Kole, Monseigneur Emery Kibal, a célébré ses 9 ans d’épiscopat le vendredi 09 août. Après la messe dans la cathédrale Reine de la paix, il a offert, en soirée, dans le jardin de l’évêché, un repas auquel ont participé des membres du clergé et des Soeurs servantes du Christ de Kole.

Dans son homélie, l’évêque a insisté sur l’unité au sein de son diocèse. Son mot de remerciement a été un encouragement à la paix et au travail. Le vice-animateur du clergé de Kole, Monsieur l’abbé Jacques Tewo et le recteur de la cathédrale, Monsieur l’abbé Jean de Dieu Eshima, ont reconnu dans leurs discours la magnanimité de leur évêque et sa sollicitude pastorale.

La messe a été animée par les sœurs servantes du Christ de Kole.

Plusieurs prêtres se trouvent au siège du diocèse pour participer à la retraite annuelle et à une session organisée par le directeur national des Œuvres Pontificales Missionnaires, Monsieur l’abbé Célestin Muhindo.

55 religieuses ont participé jusqu’au 08 août à une semaine de retraite annuelle sur le thème “Le zèle de ta maison me dévore”. Elles sont venues de Lomela, Kole, Dekese et Lodja.

La retraite des religieuses a été animée par le père Jean- Bedel Ndandula, missionnaire oblat de Marie Immaculée. Il animera aussi, du 12 au 17 août, la retraite pour le clergé diocésain sur le thème “Prêtre à jamais”.




Prêtres et religieuses autour de l’évêque à Kole

L’évêque de Kole, Monseigneur Emery Kibal, a célébré ses 9 ans d’épiscopat le vendredi 09 août. Après la messe dans la cathédrale Reine de la paix, il a offert, en soirée, dans le jardin de l’évêché, un repas auquel ont participé des membres du clergé et des Sœurs servantes du Christ de Kole.

Dans son homélie, l’évêque a insisté sur l’unité au sein de son diocèse. Son mot de remerciement a été un encouragement à la paix et au travail. Le vice-animateur du clergé de Kole, Monsieur l’abbé Jacques Tewo et le recteur de la cathédrale, Monsieur l’Abbé Jean de Dieu Eshima, ont reconnu dans leurs discours la magnanimité de leur évêque et sa sollicitude pastorale.

La messe a été animée par les sœurs servantes du Christ de Kole.

Plusieurs prêtres se trouvent au siège du diocèse pour participer à la retraite annuelle et à une session organisée par le directeur national des Œuvres Pontificales Missionnaires, Monsieur l’abbé Célestin Muhindo.

55 religieuses ont participé jusqu’au 08 août à une semaine de retraite annuelle sur le thème “Le zèle de ta maison me dévore”. Elles sont venues de Lomela, Kole, Dekese et Lodja.

La retraite des religieuses a été animée par le père Jean- Bedel Ndandula, missionnaire oblat de Marie Immaculée. Il animera aussi, du 12 au 17 août, la retraite pour le clergé diocésain sur le thème “Prêtre à jamais”.




L’espérance ranimée au diocèse de Bokungu-Ikela

Voici un écho du diocèse de Bokungu-Ikela, dans la province de la Tshuapa, sous le regard du missionnaire belge André Claessens, missionnaire du Sacré-Cœur, supérieur provincial en Belgique.

Le prêtre vient de séjourner dans le diocèse de Bokungu-Ikela à l’occasion de la célébration des 5 ans d’épiscopat de l’évêque, Mgr Toussaint Iluku, missionnaire du Sacré-Cœur.

Le diocèse de Bokungu-Ikela, enclavé faute de routes, cherche encore à se relever des dégâts causés notamment par la crise sanitaire du coronavirus mais également par le fait de soldats étrangers venus au secours de l’armée nationale lors des rébellions du début des années 2000. Ils avaient occupé l’évêché et les couvents pendant quelque six mois.

Sur le défi du développement et de l’autofinancement, et de l’évangélisation en profondeur, le père Claessens a accompagné les congrégations diocésaines des Sœurs de sainte Thérèse de l’Enfant Jésus de Bokungu-Ikela et des frères de saint Joseph.

Le prêtre belge a en outre prêché la retraite annuelle du clergé sur le thème : « Je vous donnerai un cœur nouveau ».

« Nous avons exploré cet amour d’alliance et comment le Seigneur Jésus, doux et humble de cœur, a incarné et révélé cet amour avec un cœur plein de tendresse et de compassion. Parmi les populations très défavorisées, nous voulons suivre Jésus serviteur et éviter le piège du cléricalisme, vivre en solidarité avec le peuple et bâtir une Eglise synodale. »

Devant le sentiment de découragement, le missionnaire belge relève l’espérance de tous.

« Il y a un sentiment de découragement qui s’installe et risque de paralyser l’action pastorale mais tous sont disposés à nourrir l’espérance d’un avenir meilleur. »

JBMK/RV