« Les fondamentaux de l’économie congolaise sont encourageants et positifs »

A la suite de la troisième réunion du Comité de politique monétaire présidée par Mme Malangu Kabedi Mbuyi, Gouverneure de la Banque centrale du Congo (BCC), une brochette de journalistes a eu un entretien avec la patronne de la BCC, pour savoir comment se comportent les fondamentaux de l’économie congolaise aux 7 premiers mois de cette année.

« Les fondamentaux de l’économie congolaise sont encourageants et positifs au cours de ce premier mois de l’année. Encourageants et positifs dans ce sens que lorsque nous comparons avec la situation économique que nous avons connue en 2023, nous constatons que les perspectives de croissance restent bonnes et ceci on peut bien le remarquer dans le secteur minier que non minier », dit-elle.

Et d’ajouter, lorsque nous prenons les agrégats avec les indicateurs tout aussi importants qui concernent l’inflation et le taux de change, nous remarquons des évolutions positives. Premièrement, nous constatons que l’inflation est en train de reculer. Nous prenons les chiffres à fin juillet 2023, l’inflation cumulée à fin juillet approchait les 17%, alors que cette année, l’inflation cumulée approche les 7%. Donc nous constatons qu’il y a un recul.

Au niveau du taux de change, nous faisons le même constat qu’il s’agisse du taux sur le marché parallèle ou sur le marché interbancaire, nous constatons qu’à fin juillet 2023, la dépréciation cumulée du Franc congolais était autour de 17%. Alors que cette année, la dépréciation cumulée est en dessous de 17%, aussi bien au niveau du marché interbancaire qu’au niveau du marché parallèle. Donc, lorsque nous prenons les éléments clés de la situation économique de notre pays, qu’il s’agisse de la situation à fin juillet ou des perspectives, les fondamentaux de l’économie congolaise sont encourageants et positifs.




Kalehe : Au moins 9 cas de variole du singe signalés à Kalonge

La société civile de Kalonge tire la sonnette d’alarme suite à la découverte de neuf cas de variole du singe dans la région. Les autorités médicales locales appellent à la vigilance et sollicitent le soutien des partenaires pour faire face à cette épidémie.

Appel à la mobilisation citoyenne

La société civile de Kalonge, sous la direction d’Eric Makusudi, a lancé un appel vibrant à la population locale pour respecter les mesures sanitaires en vigueur et prendre au sérieux la menace de la variole du singe. Des cas ont été pris en charge à l’hôpital de la région, mais la situation reste préoccupante.

Besoin urgent de soutien médical

Le Dr David Mulongo, médecin chef de zone de santé de Kalonge, confirme la présence de six cas de variole du singe dans la région, dont trois sont déjà guéris. Cependant, faute d’une prise en charge adéquate, les patients doivent assumer seuls les frais médicaux, ce qui risque d’entraîner des cas d’automédication dangereuse.

Un appel à la solidarité des partenaires de santé

Face à cette situation d’urgence, les autorités locales appellent les partenaires intervenant dans le secteur de la santé à apporter leu r soutien pour renforcer la prise en charge des patients et endiguer la propagation de la maladie. Une mobilisation collective est essentielle pour faire face à cette menace.

Les neuf cas de variole du singe à Kalonge rappellent la fragilité du système de santé dans certaines régions de la province du Sud-Kivu. La mobilisation citoyenne et la solidarité des acteurs de la santé sont plus que jamais nécessaires pour protéger la population et garantir un accès équitable aux soins.

 

EUGIDE ABALAWI NDABELNZE




Incendies criminels à Bukavu : L’appel à l’action des acteurs sociaux du Sud-Kivu

Face à la recrudescence des incendies d’origine criminelle à Bukavu, les acteurs sociaux du Sud-Kivu appellent à une action immédiate des autorités compétentes pour appréhender les coupables.

Les habitants de Bukavu se retrouvent de plus en plus confrontés à des incendies criminels, mettant en danger leurs vies et leurs biens. Daniel Murhula, figure de la société civile dans la région, lance un appel pressant à la mobilisation de l’appareil répressif de l’Etat pour mettre fin à cette menace qui ne cesse de s’intensifier.

Incendies récurrents : un fléau qui gangrène Bukavu

 

Depuis quelques mois, la ville de Bukavu est le théâtre de nombreux incendies d’origine criminelle, plongeant ses habitants dans la peur et l’incertitude. Chaque jour, de nouveaux cas sont signalés, laissant derrière eux des familles sans abri et des commerces ravagés.

 

Appel à la mobilisation des autorités compétentes

 

Daniel Murhula, avec le soutien de plusieurs acteurs sociaux du Sud-Kivu, en appelle à l’action des autorités compétentes. La police anti criminelle, le parquet, la cellule d’investigation et les services de sécurité sont invités à se mobiliser en urgence pour mener des enquêtes approfondies et appréhender les responsables de ces actes criminels.

 

La nécessité de comprendre les causes profondes des incendies

 

Au-delà de l’urgence de stopper les incendies criminels, il est crucial de comprendre les motivations et les causes profondes qui les alimentent. Les acteurs sociaux appellent les autorités à mener des investigations approfondies pour déterminer qui se cache derrière ces actes de violence, et quelles en sont les véritables motivations.

 

Une menace pour la stabilité et la sécurité des habitants

 

Les incendies criminels à Bukavu ne constituent pas seulement une menace pour la sécurité des habitants, mais également pour la stabilité de la région. En mettant en péril la vie des citoyens et en détruisant leurs biens, ces actes criminels sapent la confiance dans les institutions et créent un climat d’insécurité généralisé.

 

Dans un contexte marqué par une recrudescence des incendies criminels, la mobilisation de l’appareil répressif de l’Etat est plus que jamais nécessaire pour protéger les habitants de Bukavu et garantir la stabilité de la région. Il est temps de passer à l’action, avant que la situation ne dégénère davantage.

 

EUGIDE ABALAWI NDABELNZE




La BCC reste attentive aux évolutions aussi bien sur le marché intérieur que sur l’environnement international

Pouvez-vous éclairer le public sur le bien-fondé des décisions prises par le CPM lors de cette réunion ? C’est la question qu’un groupe de journalistes a posé à Mme le Gouverneur de la Banque centrale du Congo, Malangu Kabedi Mbuyi, qui note que les décisions ont été prises dans le cadre d’une réunion ordinaire du Comité de politique monétaire et elles ont porté sur des éléments importants : le maintien du taux directeur de la Banque centrale du Congo à 25%, l’augmentation du coefficient obligatoire sur les dépôts en Francs congolais (dépôt à vie) et le maintien des autres taux à leurs niveaux d’avant, c’est-à-dire, 0% du coefficient de la réserve obligatoire sur le dépôt à terme en monnaie nationale, et le maintien du coefficient de la réserve obligatoire sur le dépôt en monnaie étrangère (à 13% pour les dépôts à vie et 12% pour les dépôts à terme).
A l’en croire, ces mesures sont importantes, parce que pour les prendre, le Comité de politique monétaire s’est reposé sur deux piliers. Le premier, ce sont les fondamentaux qui sont positifs. Malgré tout, le deuxième pilier, c’est la situation d’ici la fin de l’année qui est marquée par une saisonnalité connue dans notre économie où nous voyons que le 4ème trimestre de l’année est marqué par une augmentation de la dépense et une augmentation de la liquidité dans l’économie.
Les mesures qui ont été prises par le comité de politique monétaire l’ont aussi été de manière proactive par la Banque centrale de se donner les moyens de renforcer pour le reste de l’année, les moyens, les outils à sa disposition pour éponger toute liquidité excédentaire qui pourrait venir dans notre économie et qui pourrait amener des pressions sur le taux de change et sur le marché des biens et services, le tout dans l’objectif, par ces actions, de contribuer à la stabilité des prix qui est la mission fondamentale d’une Banque centrale.
« Ces mesures vont permettre à la Banque centrale d’être plus efficace pour le reste de l’année. Bien entendu, cette efficacité sera renforcée par la coordination avec des actions d’une politique budgétaire restrictive pour le reste de l’année », mentionne-t-elle, avant d’insister que c’est la combinaison de ces deux et des autres mesures de court terme envisagées au niveau des autorités qui va permettre de préserver la stabilité macroéconomique qui est observée au cours de cette première partie de l’année, et arriver même à une amélioration au niveau de l’inflation et du taux de change.
Il est clair qu’en dehors de ces dispositifs, la Banque centrale est et reste disponible, attentive aux évolutions aussi bien sur le marché intérieur (l’économie nationale) et les évolutions sur l’environnement international, de manière que si les signaux sont apparents, la Banque centrale prenne toutes les dispositions qui s’imposent pour contribuer à cette stabilité du cadre macroéconomique.
Comme vous le savez, le calendrier des réunions du Comité de politique monétaire est affiché. La prochaine réunion est prévue au mois de novembre. Mais si les évolutions de l’économie nationale et internationale nous donnent les signes pour agir, une réunion extraordinaire du CPM sera convoquée pour qu’on voie comment combiner les outils à notre disposition pour prendre des mesures additionnelles pour arriver à sécuriser cette stabilité du cadre macro-économique que nous avons observée et qui est quelque chose de plus important y compris de la vie du Congolais.




Grâce à la conclusion de 6 revues avec le FMI, la Rdc a empoché 1,5 milliard de dollars

Le pays venait de réussir pour la première fois de son histoire, l’exécution d’un programme triennal du Gouvernement mis en œuvre avec l’assistance du FMI. Voudriez-vous dire un mot à ce sujet et quid de l’après programme ? Effectivement, reconnait Malangu Kabedi Mbuyi, le pays est arrivé à la conclusion de 6 revues dans le cadre d’un programme et c’est une réalisation très importante.
« Ce programme a été adopté par le conseil d’administration du Fonds monétaire international en juillet 2021. A l’époque, ce qui était craint, c’était la sortie de l’impact négatif du Covid-19. Mais dans la mise en œuvre, pendant les 3 années de ce programme, on l’a exécuté dans un environnement très difficile, marqué des chocs internes et externes qui ont affecté la situation économique du pays », reconnait-elle.
Mais malgré ces chocs, la situation a été suivie de très prêt et les mesures correctives ont été prises pour sécuriser la réalisation des objectifs qui étaient retenus dans le cadre de ce programme. Objectifs qui étaient, soutenir une croissance économique saine et durable, arriver à renforcer la gouvernance économique, arriver à renforcer la situation des finances publiques et soutenir la stabilité macroéconomique.
Ces objectifs devaient être atteints à travers une bonne gestion des politiques macroéconomiques, à travers l’assistance financière donnée par le Fonds monétaire, la mise en œuvre des réformes structurelles dans les domaines très importants, mais aussi la mise à disposition d’une assistance technique.
En termes de réalisations, concernant l’assistance financière, précise notre source, c’est tout de même 1,5 milliards de dollars qui ont été décaissés au terme de ce programme et qui a permis à l’augmentation de nos réserves de change.
Au niveau des réformes structurelles, le programme a fourni un cadre très important de réalisation des réformes importantes au niveau de la Banque centrale dans divers domaines. Des réformes qui ont permis à la Banque centrale de procéder à des renforcements de ses procédures et de ses actions.
Pour la Banque centrale entant que régulateur, un certain nombre de réformes sont été mises en place. Pour la mise en place d’une supervision bancaire basée sur les risques, pour veiller à ce que nous ayons un suivi efficace des dispositions mises en œuvre dans des banques, par rapport à la lutte contre le blanchiment des capitaux, comme vous le savez, notre pays est sur la liste grise du GAFI.
Donc, c’est un aspect très important de voir ce qui est mis en place tant par la Banque centrale que par les banques commerciales pour lutter contre le blanchiment des capitaux, des mesures mises en place pour évaluer les risques, pour tester la solidité du système bancaire et aussi pour la stabilité du système financier. C’est autant de réformes et de mesures qui ont été mises en place dans le cadre du programme au niveau de la Banque centrale. Ça c’est au niveau du secteur financier.
Au niveau des opérations de la Banque centrale, nous avons mis en place une batterie de mesures, y compris avec l’assistance technique, pour renforcer le cadre analytique et rationnel de la politique monétaire, y compris avec la mise en place des outils quantitatifs ; nous avons pris une mesure importante pour réduire la dollarisation de l’économie congolaise qui est la mise en place d’un système où la réserve obligatoire est mise en place dans les banques selon la monnaie du dépôt, ce qui n’était pas le cas avant. Des mesures ont été mises en place, y compris avec des décisions prises par le conseil de la Banque centrale pour renforcer la transparence et la crédibilité des actions prises par la Banque centrale.
Ex : la mise en place de la procédure de passation de marché qui n’existait pas au par avent, l’adoption des normes internationales pour la comptabilité. Nous sommes passés des standards IFRS et le renforcement des procédures d’audit à travers l’adoption par le conseil de la Banque d’une charte d’audit à la Banque centrale.




Chez Vital Kamerhe : Les Secrétaires généraux honoraires et émérites plaident pour leur prise en charge 

L’encadrement de la retraite des Fonctionnaires de l’état reste un problème partiellement résolu en République Démocratique du Congo (RDC).

Cette question était au centre des échanges entre le Président de l’Assemblée Nationale, le Professeur Vital Kamerhe et une délégation des Secrétaires Généraux honoraires et émérites de l’administration publique.

Ces derniers sont venus lui faire part des difficultés qu’ils rencontrent depuis leur mise à la retraite par le Gouvernement.

Ces doyens de l’administration publique ont fait savoir au Speaker de la Chambre basse du parlement qu’ils ne bénéficient d’aucune pension de retraite ni de la rente de survie pourtant les textes en vigueur en matière de la mise à la retraite et d’équivalence des grades sont clairs sur la prise en charge dont doivent bénéficier les fonctionnaires retraités.

L’ancien Secrétaire Général au Ministère des Sports Barthélémy OKITO, qui conduisait la délégation a rappelé au Président de l’Assemblée Nationale, qu’ils sont au nombre de 81 Secrétaires Généraux émérites vivants et 25 décédés issus de la vague de 2009, 2017, 2018 et 2022 . Tous souffrent du problème de prise en charge notamment pour les soins médicaux et allocations funéraires. Par ailleurs, tous n’ont pas encore bénéficié d’une décoration du Gouvernement pour leurs loyaux services rendus à la Nation.

Le Président Vital Kamerhe, a salué la bravoure de ces fonctionnaires émérites pour le service rendu à l’état pendant des décennies dans des conditions de travail presque semblables aux bénévolats .

Il promet d’inscrire la question sur l’encadrement de la retraite des fonctionnaires de l’état dans le débat à la plénière au cours de la prochaine session. Il a par ailleurs exprimé son soucis de voir cette procédure de mise à la retraite et l’assainissement du personnel de l’administration publique se parachever afin d’arriver à une bonne mutualisation des efforts entre les structures sectorielles de l’état pour répondre aux attentes de la Population.




KIM JONG UN et son amour pour les enfants des régions sinistrées

KIM JONG UN, Secrétaire Général du Parti du Travail de Corée (PTC, parti présidentiel depuis 1945, NDLR) et Président des Affaires d’Etat de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC sise au nord de la Péninsule coréenne et créée 3 ans après la Libération Nationale 1945;

  • Puissance nucléaire consacrée à sauvegarder non seulement son idéologie, son système, sa dignité et sa vie et sa souveraineté, sa sécurité, ses intérêts mais aussi la paix et la stabilité de la Région et du monde entier
  • Superpuissance politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Bienfaiteurs dont les Généralissimes KIM IL SUNG 1912-1994 et KIM JONG IL 1942-2011, et le Maréchal KIM JONG UN, NDLR),

a pour principe absolu de décrocher même la Lune s’il s’agit du bien des enfants. Grâce à sa sollicitude affectueuse et illimitée:

  • les rires de bonheur de ces derniers fusent toujours en le transmettant au monde entier
  • la cloche de l’étude pour la préparation d’un avenir radieux de la Patrie jaillit plus fort et plus haut dans le ciel bleu.

Et, voici un geste récent (16/08/2024) de KIM JONG UN.

  1. Se renseigner sur les préparatifs d’enseignement pour les élèves des régions sinistrées

KIM JONG UN a visité l’Hôtel 25-Avril (1932: date de la création de la Guérilla Antijaponaise par KIM IL SUNG, NDLR), lieu appelé à héberger les délégués aux grandes réunions du Pays, pour se renseigner sur les préparatifs d’enseignement pour les élèves des régions sinistrées (Provinces Nord-Phyongan, Jagang et Ryanggang, NDLR). Il a été accompagné par:

  • JO Yong Won, PAK Jong Chon et PAK Thae Song, Secrétaires du Comité Central (CC) du PTC
  • JU Chang Il et HAN Kwang Sang, Chefs de département du CC du PTC.

Sous le commandement du CC du PTC, sont:

  • aménagées, dans ledit Hôtel, les salles de classe provisoires
  • constituées les équipes d’enseignement mobiles composées d’enseignants et d’éducatrices des écoles primaires et secondaires et des établissements d’enseignement préscolaire de la Ville Pyongyang (Capitale de la RPDC et source de la Civilisation Taedong-gang de 5.000 ans avec son 1er Etat Co-Joson ou Corée antique, NDLR)
  • promus, pour de bon, les préparatifs d’enseignement pour le nouveau semestre scolaire.

Une fois arrivé à l’Hôtel, KIM JONG UN a:

  • assisté à un cours de démonstration pour les élèves de la classe primaire, organisé dans le cadre de la préparation de l’enseignement pour le nouveau semestre, destiné aux élèves des régions sinistrées
  • examiné, en détail, les installations pédagogiques et les articles didactiques, et aussi les fournitures scolaires dont se serviraient ces élèves
  • déclaré, en regardant, tout sourire, les élèves de différentes régions qui suivaient attentivement le cours: Je suis fier de ce que le CC du PTC a mis en œuvre la détermination qu’il avait prise promptement et correctement afin que l’on adopte des mesures d’enseignement provisoire pour les enfants, y compris enfants d’âge scolaire, des régions sinistrées et je le trouve méritant. Même pendant la réparation des dégâts, nous avons appliqué une mesure très importante, de sorte que le secteur de l’enseignement et toute la société se sont fait, de nouveau, une idée pertinente de l’importance de l’instruction des enfants.
  • fait le tour des salles de classe aménagées provisoirement pour les élèves d’écoles secondaires du 1er cycle et du 2ème cycle, faisant remarquer: Tous les élèves qui étudieront ici sont les enfants que la population des régions sinistrées a confiés en comptant entièrement sur notre PTC et notre Gouvernement. Il faut, donc, accorder une attention particulière et faire, pleinement, preuve de sincérité pour qu’ils puissent s’adonner à leurs études.

Puis, il s’est entretenu avec les cadres qui l’accompagnaient du développement de l’enseignement du Pays pour souligner:

  • La compétence de l’enseignant est justement la qualité de l’enseignement et la haute qualité de celui-ci permet une bonne formation des élèves, ce qui est lié directement à la vitesse de progrès et aux perspectives du Pays; l’innovation dans l’enseignement est, par essence, celle dans l’amélioration de la qualité des enseignants et un problème fondamental qui se pose pour mettre, pleinement, en évidence la valeur de la politique d’enseignement à la coréenne; il faut livrer, avec vigueur à l’échelle nationale, la course à la compétence visant à élever le niveau des enseignants et des éducatrices pour ainsi garantir, avec sûreté, l’avenir de la Patrie.
  • C’est l’objectif inébranlable et la volonté invariable de notre PTC que de faire de notre Etat le Pays de l’enseignement, Pays qui devient prospère et puissant grâce à celui-ci, et le Pays riche en talents. Chacun doit toujours se donner de la peine et s’efforcer, avec esprit de suite, pour le développement de l’enseignement. Il faut faire en sorte que la coutume qui veut que le PTC, l’Etat et la société entiers fassent grand cas de l’enseignement et le patronnent soit une coutume nationale propre à notre Etat.
  • Le PTC discutera sur les problèmes de haute importance qui se posent pour consolider, davantage, les assises matérielles et techniques du secteur de l’enseignement et porter l’ensemble de celui-ci à un palier nouveau et supérieur, et prendra des mesures rigoureuses pour y parvenir: l’enseignement est une œuvre importante permettant de continuer notre Révolution et de promouvoir le développement du Pays. Le développement du Pays et l’avenir de la Révolution dépendent de la façon d’éducation et d’instruction des membres de la génération montante. C’est pourquoi le PTC et le Gouvernement ne doivent pas négliger, même un seul instant, l’instruction des enfants, quelque difficile que soit cette entreprise.

Sur le terrain de repos, KIM JONG UN a vu les élèves qui se réjouissaient d’avoir reçu les uniformes neufs et les articles scolaires. En mettant lui-même le sac sur l’épaule d’élèves, il leur a dit avec satisfaction:

  • Habillés d’uniformes scolaires neufs, vous êtes tous vraiment jolis. Les mères venues dans la Capitale avec vous en seront heureuses. A l’avenir, vous devez étudier mieux et vous fortifier physiquement pour faire la joie des familles et du Pays.
  • Pendant la réparation des dégâts, on doit faire étudier bien les enfants et en même temps organiser, judicieusement, les programmes d’expérience variés afin que le séjour à Pyongyang reste un souvenir agréable et plaisant, à jamais inoubliable.
  • A la vue de ces enfants de joyeuse humeur, en nouvel uniforme scolaire, je suis vraiment heureux; les rires des enfants représentent le souffle vigoureux et l’esprit dynamique de la Patrie en progrès ainsi que le symbole de la puissance du socialisme à la coréenne.

Ce disant, il leur a souhaité un bel avenir.

  1. Envoyer les cadeaux aux enfants préscolaires et élèves des régions sinistrées

Les enfants de maternelle et élèves des régions sinistrées, qui allaient faire leurs études à Pyongyang grâce aux mesures spéciales prises par le PTC et le Gouvernement ont bénéficié, de nouveau, des bienfaits du père affectueux. A eu lieu la cérémonie de remise de cadeaux que KIM JONG UN avait envoyés aux enfants arrivés, à Pyongyang, le jour de la fête nationale (15/08/2024, Journée de la Libération de la Patrie, NDLR).

Le lieu débordait de la joie et de l’émotion immenses des enfants et élèves bénéficiaires des grands bienfaits de KIM JONG UN. Y ont pris part:

  • JO Yong Won, PAK Jong Chon et PAK Thae Song, Secrétaires du CC du PTC, et d’autres cadres du CC du PTC
  • les enfants préscolaires et élèves des régions sinistrées et leurs parents.

JO Yong Won a fait un discours de circonstance:

  • La vie et l’enseignement de nos enfants et élèves sont une des préoccupations majeures du respecté Maréchal KIM JONG UN qui dirige les travaux de réparation de dégâts: tous les cadeaux, dont les uniformes et articles scolaires, les cartables et les chaussures, étaient empreints de la profonde sincérité du père affectueux qui se préoccupe toujours d’amener les enfants des régions sinistrées à devenir plus brillants et plus beaux sans aucun souci.
  • Là, lieu de conférences et festivités nationales, ont été aménagés les salles de classe provisoires, les laboratoires et les salles de travaux pratiques destinés à l’enseignement des enfants et élèves, et un bon nombre d’éducatrices et enseignants y sont présents pour les accueillir. Scène émouvante jamais connue dans l’histoire de notre RPDC.
  • Quelques mois après, les logements, écoles et maternelles à la disposition des enfants et élèves des régions sinistrées feront leur apparition, méconnaissables. Entre-temps, les enfants et élèves devront être excellents dans leur étude et leur vie d’organisation (OEC ou Organisation des Enfants de Corée) pour entrer, dignes de ceux plus vigoureux et merveilleux, dans leur nouveau patelin érigé grâce aux bienfaits du père affectueux.

Puis, les cadres du CC du PTC ont remis les cadeaux imbus de l’affection de KIM JONG UN aux enfants et élèves. Ne pouvant s’empêcher d’éprouver d’émotions, les enfants et élèves et leurs parents ont remercié respectueusement le père affectueux.




Sahara marocain, le jour d’après: pour l’institut fédéral américain USIP, le conflit a (déjà) pris fin

Émanation du Congrès américain et institution fédérale spécialisée en résolution de conflits, United States Institute of Peace (USIP) prévoit la fin rapide du conflit artificiel autour du Sahara. Pour ce prestigieux think tank, et à la faveur de l’appui international ferme et grandissant à la souveraineté marocaine sur sa partie sud, les dés sont jetés. Les mercenaires et leurs sponsors n’ont désormais d’autre choix que de négocier une sortie honorable.

Le conflit du Sahara, c’est déjà de l’histoire ancienne et le Maroc a définitivement remporté la partie. C’est la conclusion, nette et sans bavures, à laquelle aboutit le prestigieux think tank United States Institute of Peace (USIP), une institution fédérale créée par le Congress et spécialisée dans l’analyse et le règlement des conflits dans le monde. Indépendante et non partisane, l’influente institution est à l’œuvre depuis 35 ans pour accroître la capacité de Washington à prévenir, atténuer et aider à résoudre les conflits internationaux sans violence.

 

Dans une analyse publiée le mercredi 14 août dernier et portant la signature du chercheur Thomas M. Hill, son directeur des programmes pour l’Afrique du Nord, l’USIP est catégorique: «L’une des guerres les plus longues d’Afrique a pris fin en juillet», et ceci «lorsque la France a reconnu la revendication de souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental».

Le think tank y voit l’aboutissement d’un long cycle de reconnaissances et d’appuis émanant de la communauté internationale. Un processus qui s’est accéléré depuis la proclamation américaine de 2020.

Cette année, le président Trump avait proclamé la reconnaissance par les États-Unis de la souveraineté marocaine sur l’ensemble du Sahara occidental, rappelle l’USIP. Ce changement de cap américain a soutenu la proposition marocaine d’autonomie du Sahara occidental comme la seule base pour une solution juste et durable au conflit, précise l’auteur de l’analyse.

«À l’époque, de nombreux partisans de l’indépendance sahraouie, dont l’Algérie, considéraient la proclamation de Trump comme un tournant dommageable, mais peu concluant. Cependant, 37 nations ont depuis suivi l’exemple américain», lit-on.

«Game over»

Parmi elles, des pays de l’Union européenne, notamment l’Allemagne et, surtout, l’Espagne, ancienne puissance coloniale au Sahara. «La plupart des États de la Ligue arabe et de nombreux États de l’Union africaine se sont également alignés. Des États influents comme la Chine, la Russie, la Turquie, la Grande-Bretagne et l’Italie restent officiellement neutres, mais pour combien de temps?», lit-on encore.

En cela, la reconnaissance de la France est décisive, écrit Thomas M. Hill. En tant que puissance coloniale la plus récente du Maghreb, la France est sans doute l’acteur étranger le plus influent de la région. Paris voit ainsi clairement son avenir économique lié au Maroc (et non à l’Algérie). Sa décision reflète et renforce un consensus international croissant en faveur des revendications de souveraineté du Maroc.

À l’arrivée, la dynamique internationale est entièrement du côté du Maroc. «Dans un avenir pas si lointain, le conflit autour du territoire du Sahara occidental sera effectivement terminé, seule une poignée d’États continuant de plaider en faveur de l’indépendance sahraouie», note l’USIP.

S’ajoute à cela la réalité sur le terrain, soit le contrôle de facto dont jouit le Maroc sur son Sahara et l’avantage militaire qualitatif du Maroc sur le Polisario. «Alors que les Nations unies n’ont fait aucun progrès réel vers un règlement pacifique, le Maroc contrôle plus des trois quarts du territoire, qu’il continue de développer, intégrant de plus en plus la terre et ses habitants dans l’État marocain», constate le think tank.

Négocier et/ou périr

Que reste-t-il donc à faire pour la milice armée et son parrain, l’Algérie? Négocier. «Leur meilleure option, et celle de leur bailleur de fonds, l’Algérie, est maintenant de saisir l’opportunité de négocier les meilleures conditions de paix possibles avec le Maroc. Mettre fin à une guerre qui maintient tant de personnes apatrides et vivant dans la misère, tout en éliminant un source majeure de conflit pour les relations maroco-algériennes, améliorera la stabilité régionale».

Pour la gestion de l’après, le plan d’autonomie du Maroc de 2007 est on ne peut plus clair. Il octroie aux populations sahraouies la pleine capacité de «gérer leurs affaires démocratiquement, par le biais d’organes législatifs, exécutifs et judiciaires jouissant de pouvoirs exclusifs». Le plan promet également «la pleine intégration, dans le tissu national, des personnes à rapatrier» des camps de Tindouf en Algérie. Il propose aussi une amnistie générale excluant toute poursuite judiciaire, arrestation, détention, emprisonnement ou intimidation de quelque nature que ce soit, sur la base des faits couverts par cette amnistie.

Guerres intestines en vue

Mais au sein du Polisario et en Algérie, l’imbroglio et les guerres intestines sur fond d’intérêts personnels risquent d’être les maîtres mots dans la phase à venir. Pour l’USIP, le Polisario chercherait probablement à obtenir des compensations matérielles, engageant les Nations unies et les États membres, en échange de son renoncement. Comme il pourrait vouloir obtenir davantage s’agissant de la proposition d’autonomie (plus de sièges au Parlement marocain ou au gouvernement).

«Pour que les dirigeants du Polisario renoncent formellement à l’indépendance et empêchent un putsch, ils doivent pouvoir revendiquer une victoire autrement définie», suppose l’USIP. Propagande et slogans creux mis de côté, l’acceptation par le Polisario de l’autonomie marocaine fournirait à l’Algérie la couverture nécessaire pour accepter également la souveraineté marocaine.

«En privé, l’Algérie découragerait probablement le Polisario d’accepter l’autonomie sans obtenir également du Maroc des concessions qui profitent directement à Alger», pointe l’analyse. Une chose est sûre: la «voie de sortie» n’est toujours pas évidente et «accepter cette réalité est une pilule amère à avaler, mais continuer à nier cette réalité ne fait que garantir un règlement final moins favorable… Agir autrement équivaudrait à nier que l’un des conflits les plus anciens d’Afrique touche enfin à sa conclusion», conclut le document de l’USIP. Avec ou sans le Polisario ni son tuteur.

Par Tarik Qattab




Le président de la République dominicaine transmet à SM le Roi le soutien de son pays à la souveraineté du Maroc sur le Sahara et son intention d’ouvrir un consulat à Dakhla

Selon un communiqué publié, ce jour, par le ministère des Affaires étrangères de la République Dominicaine, lors de l’audience que lui a accordée le Président de la République Dominicaine, M. Luis Abinader, a chargé le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, M. Nasser Bourita, de transmettre à Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, “le soutien ferme de la République Dominicaine à la souveraineté du Maroc sur le Sahara et l’intention de considérer en tant que priorité dans les futurs plans d’expansion, l’ouverture d’un consulat dans la ville de Dakhla”.

M. Abinader a aussi réaffirmé que la République Dominicaine “considère le plan d’autonomie, proposé par le Maroc, comme l’unique solution au différend sur le Sahara”, précise le communiqué.

Lors de cette audience, qui a eu lieu au Palais National, en marge de la cérémonie d’investiture du Président de la République Dominicaine, représentant Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, M. Bourita a transmis au Président Abinader les félicitations de Sa Majesté le Roi et Ses vœux de succès dans son nouveau mandat, poursuit le Communiqué

Selon la même source, le ministre a également transmis l’invitation de Sa Majesté le Roi à M. Luis Abinader pour effectuer une visite officielle au Maroc, une occasion pour mettre en place un cadre pour l’approfondissement des relations bilatérales dans divers domaines.

A cette occasion, le Président Abinader a souligné sa volonté de renforcer les relations bilatérales dans tous les domaines et son intention d’effectuer une visite au Maroc à l’invitation de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, souligne le communiqué.

MAP




44è sommet de la SADC : Joao Lourenço d’Angola cède le fauteil à Emmerson Mnangagwa du Zimbabwe  

Le Président Félix Tshisekedi a participé, ce samedi à Harare, aux côtés de ses homologues de la Communauté de développement de l’Afrique Australe (SADC), à l’ouverture des travaux du 44e sommet des Chefs d’État et de gouvernement de cette organisation.

En plus des allocutions des Chefs d’État, la cérémonie a été marquée par la passation de la présidence tournante de la SADC entre le sortant Joao Lourenço d’Angola et l’entrant Emmerson Mnangagwa du Zimbabwe.