Sud-Kivu : Quatre missionnaires xavériens béatifiés à Uvira par le Cardinal Fridolin Ambongo

Quatre missionnaires xavériens, dont deux Italiens, un Espagnol et un prêtre congolais ont été béatifiés lors d’une messe solennelle à Uvira, dans la province du Sud-Kivu. Une cérémonie chargée d’émotions et de symboles, en hommage aux martyrs de la foi qui ont sacrifié leur vie pour leur mission.

Une cérémonie empreinte d’émotion et de recueillement

Dimanche 18 Août 2024 restera gravé dans les mémoires des habitants d’Uvira, dans la province du Sud-Kivu. En effet, c’est lors d’une messe de béatification célébrée sur le parvis de la Cathédrale Saint Paul d’Uvira que quatre missionnaires xavériens ont été élevés au rang de bienheureux. Parmi eux, deux Italiens, un Espagnol et un prêtre congolais, tous martyrs de la foi, ont été honorés pour leur sacrifice ultime.

Le Cardinal Fridolin Ambongo Besungu, représentant le Pape François, a présidé cette cérémonie chargée d’émotions et de recueillement.

Dans son homélie, il a exprimé sa gratitude envers le Saint Père pour lui avoir confié le mandat d’accomplir cette béatification au nom de l’Église. Il a souligné l’importance de cet acte symbolique, permettant aux fidèles de recourir à l’intercession des nouveaux bienheureux dans leur dévotion.

« Je salue les autorités politico administratives ici représentées par monsieur le gouverneur de la province (ndlr : Sud-Kivu). En rendant grâce à Dieu pour ces merveilleux dons de quatre nouveaux bienheureux, je voudrais avant tout, exprimé ma gratitude au Saint Père, le Pape François, qui m’a donné le mandat d’accomplir ce rite en son nom. Cette béatification signifie que nos églises locales, en particulier le diocèse d’Uvira, la République Démocratique du Congo, l’église d’Italie et de la France peuvent désormais recourir à leur intercession et leur voué une dévotion publique », a déclaré le cardinal Fridolin Ambongo dans son homélie.

Un hommage aux martyrs de la foi

Le gouverneur du Sud-Kivu, Jean Jacques Purusi, a salué cette béatification comme un exemple à suivre pour la conscience collective des sud-kivutiens. Il a souligné l’importance de se souvenir des martyrs de la foi, qui ont donné leur vie pour leur mission en Fizi et Baraka.

 

Cette cérémonie solennelle a rassemblé de nombreuses personnalités politiques et religieuses, témoignant de l’importance de cet événement pour la communauté locale.

En effet, outre le gouverneur, le vice-gouverneur, l’ambassadeur de la RDC au Burundi et l’ancien premier ministre Matata Ponyo ont pris part à cette célébration eucharistique consacrée à la béatification des martyrs missionnaires xavériens.

Tous ont rendu hommage aux nouveaux bienheureux, symboles de courage et de dévouement pour leur foi.

Une cérémonie chargée de symboles et d’émotions, qui restera dans les mémoires comme un hommage aux martyrs de la foi. La béatification de ces quatre missionnaires xavériens rappelle à tous la force de la foi et la nécessité de rester fidèle à ses convictions, même au prix de sacrifices ultimes.

En ce jour de célébration et de recueillement, la mémoire des martyrs de la foi est honorée et leur exemple continue d’inspirer les fidèles du monde entier.

Les nouveaux bienheureux veillent désormais sur ceux qui invoquent leur intercession, dans un élan de dévotion et de gratitude envers ceux qui ont sacrifié leur vie pour leur mission.

Eugide Abalawi Ndabelnze




CIPCC 2024-2 : Lancement ce lundi 19 août du programme de formation de 94 journalistes

Les activités du second semestre du Centre international de communication de presse de la Chine (CIPCC) ont été lancées ce lundi 19 août 2024, à Beijing (Pékin). Tout a commencé par la présentation du CIPCC par les différents membres du comité directeur.

Au total, 94 journalistes venus de 84 pays issus de l’Afrique, Asie, Amérique du Sud, Europe de l’Est et des Caraïbes vont, pendant quatre mois, être édifiés par ce centre de formation sur la vision globale et approfondie de la Chine dans de nombreux domaines.

Il sera notamment question, durant ce séjour en Chine Continentale, de participer aux principales activités nationales et diplomatiques, aux conférences sur la condition nationale et la formation à la presse.

Les journalistes en formation au CIPCC vont aussi visiter les différents organes du parti et du gouvernement Chinois, les groupes de réflexion et les Universités Chinoises, les grandes Entreprises publiques centrales, les entreprises d’innovation scientifique ainsi que les lieux culturels et sportifs se trouvant dans la capitale Beijing (Pékin).

Des visites dans différentes provinces chinoises auront également lieu afin de découvrir les réalités locales qui sont différentes des celles des grandes villes déjà développées. Il s’agit de Sichuan, Jiangsu, Xinjiang, Hainan et Fujian.

Un stage dans les médias centraux de la Chine sera organisé en faveur de tous les journalistes issus de différents continents.

Selon le directeur du CIPCC, les professionnels des médias bénéficiaires de ce programme, ont aussi l’opportunité de faire la couverture médiatique des évènements importants organisés en Chine dont le Forum sur la Coopération Sino-Africaine (FOCAC), mais aussi la 7è Exposition Internationale d’importation de Chine.
« J’espère que nos amis journalistes africains vont bien profiter de cette occasion pour couvrir complètement et compréhensivement ce sommet (ndlr : FOCAC) et aussi les résultats de ce sommet », a déclaré Yu Lei, directeur du Centre international de communication de presse de la Chine.

 

Faudra-t-il signaler que ce rendez-vous est organisé depuis 2014. Pour l’édition 2020-2022, les cours avaient eu lieu en ligne. La formation en présentiel a redémarré en 2022. Sachez que 429 journalistes de 123 pays ont été accueillis par le Centre international de communication de presse de la Chine CIPCC.

Derick Katola, depuis Beijing (Pékin) Capitale de la Chine




Sport : Félix Tshisekedi échange avec le basketteur français Tony Parker

Ce mercredi à la Cité de l’Union africaine, le Chef de l’État a accordé une audience à l’ancien basketteur français Tony Parker, autrefois star de la NBA, porteur d’un projet d’accompagnement et de promotion des sports en République Démocratique du Congo (RDC).

« Je suis animé par la transmission depuis que j’ai pris ma retraite sportive. On a essayé d’expliquer le projet à M. le Président et j’espère que ça sera positif afin de mettre les choses en place », a indiqué Tony Parker.

Devenu promoteur sportif, l’ancienne gloire des Spurs de San Antonio (USA), Tony Parker a affirmé qu’il y a un Congolais dans son académie. « C’est la première fois de l’histoire du Congo qu’il y ait un Congolais qui part du Congo jusqu’à Lyon en Euroleague directement », s’est-il réjoui.

Pour sa part, le ministre des Sports et Loisirs Didier Budimbu a profité de cette occasion pour présenter au Président Félix Tshisekedi le projet d’organisation d’un marathon le 30 juin prochain à Kinshasa.




Foot :Simon Banza sanctionné

L’attaquant congolais ne voudrait plus évoluer sous les couleurs du Sporting Braga.

Ainsi, il serait parti en grève pour que son club accélère les discussions avec le FC Porto.

Sauf que, les discussions avec Porto sont en veilleuse, vu que les dirigeants de Braga trouvent l’offre des Dragons très minime à leurs attentes.

Cependant, le temps passe, et Banza voudrait très vite être fixé sur son nouveau club. Pas à Braga en tout cas.

 

ST




Après l’élection du bureau définitif: L’AUC exhorte le Sénat à demeurer une véritable Chambre haute

Par l’entremise de sa Secrétaire générale, Elysée Mujinga Kalunga, l’Alliance pour l’Unité du Congo (AUC), parti politique dans la mosaïque UDPS et membre de l’Union Sacrée se félicite de l’élection du bureau définitif, lundi 12 août 2024. Toutefois, l’AUC demande instamment au Sénat congolais de ne s’allier aux fantasmes politiques pour ne pas être une caisse de résonnance.

Au cours d’une causerie morale qu’il a tenue, samedi 17 août 2024 à Limete avec une brochette des SGA, Elysée Mujinga a estimé que « le Sénat congolais doit avoir à l’esprit qu’il travaille pour l’intérêt de la Nation. Ainsi, il ne peut se transformer en caisse de résonance du régime. Mais au contraire, cet Organe délibérant est appelé à voter des lois qui ont auront une incidence directe avec la vie de la Nation. Et Non s’atteler à des fantasmes politiques qui profitent à des individus », a expliqué le SG de l’AUC.

 

Par ailleurs, elle s’est dit flatté du climat de sérénité qui a prévalu lors cette élection du 12 août, estimant que le choix porté par les Sénateurs aux membres du bureau définitif exige d’eux l’innovation pour donner des solutions aux problèmes du pays.

 

Pilier du développement

L’occasion faisant le larron, Elysée Mujinga Kalunga a aussi conseillé à la Première Ministre, Judith Suminwa Tuluka, à créer des plates-formes, des conditions pour la diversification de l’agriculture, pilier du développement.

Pour ce, elle conseille « Judith » d’orienter sa politique vers la reconstruction des routes de dessertes presqu’inexistantes, la création de la classe moyenne en lui favorisant des conditions à la base avec la politique d’octroi des crédits agricoles, etc.

Pour ne pas « éparpiller » les recettes de l’Etat, l’AUC Elysée Mujinga exhorte « Judith » d’être une femme qui fait le contrôle et le suivi des actions de son Gouvernement. En clair, il s’agit pour elle d’asseoir une bonne politique en procédant à une bonne rémunération de « ces personnes chargées de collecter les recettes pour le compte de l’Etat afin de protéger l’intérêt général », prévient cette a

utre Dame.

 




Avis d’Appel d’Offres National ouvert




Découverte : « Tout le monde est pressé en Chine et scotché sur son téléphone »

Le temps, c’est vraiment de l’argent en Chine. Ici, chaque citoyen qui sort de chez lui pour une X destination, ne perd pas de temps en route pour bavarder sans motif valable. A l’exception de deux ou trois qui avaient déjà débuté leur chemin ensemble.

Le constat est que tout le monde (Chinois en général) marche très vite dans la rue pour soit attendre ou attraper un métro ou encore pour se rendre dans un centre commercial.

Selon Inés, une Chinoise rencontrée à Beijing (Pékin), il existe un aspect culturel en Chine où les citoyens sont habitués au rythme de vie rapide et qui se reflète dans leurs habitudes de marche.

« Dans les villes densément peuplées, marcher de manière efficace est crucial en raison du grand nombre de personnes. Cela signifie souvent que les gens marchent rapidement et avec détermination, et il est courant de continuer à avancer plutôt que de s’arrêter au milieu des allées. Cela aide à gérer le fort trafic piétonnier dans des endroits animés comme les stations de métro », explique Inés.

Dans le métro, peu d’entre eux s’échangent des mots. Leur seule interface, c’est le téléphone, un outil sans lequel un chinois ne peut vivre, selon notre observation. « Seuls les Africains et quelques Chinois, généralement en couple ou amis » qui se livrent à cœur joie au bavardage dans un lieu qui donne l’impression de ressembler à un cimetière (là où le silence règne en maitre).

Inés, notre interlocutrice indique que le silence qui sévit dans le métro ou train fait partie du concept de «l’ordre public et des bonnes mœurs ». Dans certaines villes, des sanctions correspondantes sont infligées à ceux qui sont accusés d’avoir fait de bruits ou d’avoir jeté des déchets dans le métro.

« Le concept de « l’ordre public et des bonnes mœurs » en Chine englobe les normes sociales et les standards moraux, visant à maintenir l’ordre social et l’intérêt public. Cette notion se reflète en partie dans le fait que les gens restent silencieux dans le métro. L’ordre dans les lieux publics est crucial pour garantir la sécurité et le confort de chacun. Dans les stations de métro et les wagons, le fait de rester silencieux, de ne pas cracher par terre, de ne pas manger et de maintenir l’environnement propre sont tous considérés comme des manifestations de « l’ordre public et des bonnes mœurs »… Il est également possible de considérer que les gens ont besoin de repos », déclare-t-elle.

Elle ajoute que les passagers des métros ou trains profitent de leurs trajets pour se rattraper les taches liées au travail notamment, de lire des e-mails, répondre à des messages ou participer à des réunions virtuelles. Cette tendance est forte à Pékin et Shanghai où les longs trajets sont courants, renseigne Inés.

Ce silence n’est pas du tout inquiétant pour les autres peuples qui, il faut le signaler, ne sont pas victimes d’une mauvaise appréciation de la part des Chinois qui se montrent trop aimant envers les visiteurs.« Un petit sourire fait l’affaire entre eux et nous ».

Une course dans le métro

Il suffit d’acheter une carte et la créditer afin d’emprunter le métro pour aller et rentrer et ce, à moindre coût. 4 Yuan soit 0,57 USD permettent de parcourir une longue distance dans des bonnes conditions. Le métro Chinois est climatisé alors qu’en France par exemple, il ne l’est pas.

En cas de pluie, un « imperméable » est remis à chacun àla sortie du métro pour se protéger de la pluie. Une vraie justice distributive.

Derick Katola depuis Beijing, capitale

de la Chine




Combat perdu d’avance contre Mukoko Samba  (Par Willy KILAPI, Avocat près la Cour, Journaliste et Chercheur indépendant)

En République Démocratique du Congo, il n’est pas étonnant de se retrouver en face des personnages qui dorment et rêvent débout. Ils se recrutent, malheureusement par centaines, dans les allées du pouvoir politique et économique, sur les réseaux sociaux et dans d’autres plates-formes médiatiques qu’ils assiègent et surfent avec comme finalité : distiller des fausses nouvelles et des rêveries contre des personnes qu’ils veulent voir tomber sur l’autel de leurs intérêts.

Ils sont nombreux, surtout ceux qui ne veulent pas voir notre Pays sortir du marasme économique que leurs capitaines se trouvant sur le sol congolais et d’autres marionnettes postées à l’étranger ont orchestré.

Trop versés dans des allégories montées de toutes pièces, dotés d’un cynisme qui les pousse à distiller des fausses informations et des nouvelles tronquées, ces personnages n’hésitent pas à chercher à liquider, à tout prix, leurs adversaires réels ou supposés sur l’autel de leurs intérêts. Ils sont toujours présents, postés dans leurs allées de mensonge, à la recherche d’un « topo », de qui abattre pour trouver leur compte.

En effet, aujourd’hui que, sous la houlette du Président de la République, Chef de l’Etat, Antoine-Félix Tshisekedi a instruit le Gouvernement de verrouiller tous les trous économiques, de briser la glace pour voir l’autre bout économique de la RDC, revoici ces personnages dont le passé récent rappelle l’indécence politique, la gabegie financière, l’aventurisme économique et le sprint odieux des valeurs immorales, évoluer à découvert pour contrecarrer cette vision. Ils montent au quotidien des stratagèmes grossiers en vue de nuire à tous ceux qui font de l’émergence économique et social de la RDC leur credo. L’actuel Vice-Premier Ministre et Ministre de l’Economie Nationale, Daniel Mukoko Samba, est ainsi ciblé ; dans leur mire et constate se faire plonger dans le viseur de ce conglomérat d’aventuriers politiques, d’anciens jouisseurs et des bébés dinosaures économiques.

Heureusement pour nous, mais malheureusement pour eux, ces personnages odieux se retrouvent en face d’un vertébré économique qu’ils pensaient abattre dès leur première entame. Peine perdue car ils ont touché et visé du vent ; leur bataille étant perdue d’avance sans qu’ils n’atteignent leur cible. Leurs vociférations et leurs balivernes sont à jeter dans la poubelle de l’histoire. Que nous nous conterons un jour à la postérité pour qu’elles servent comme miroir !

N’ayant donc pas réussi leurs coups, ostentatoirement révoltés, ils versent désormais leur bile dans la nuisance, dans la diffamation et dans l’injure à peine voilée contre Daniel Mukoko Samba. Ils cherchent, à travers le Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Economie Nationale, à atteindre le Chef de l’Etat, Antoine-Félix Tshisekedi dont la hargne est de faire de la République Démocratique du Congo une oasis de paix, de reconstruction économique et de culture sociale.

Manque d’arguments

Révoltés de la manière dont Mukoko Samba s’est résolument engagé à respecter les instructions et orientations reçues lors de différentes Réunions du Conseil des Ministres, aux Réunions de l’Economie, Finances et Reconstruction (ECOFIR), ces apprentis-sorciers, qui manquent d’arguments probants à offrir à ceux qui ont du temps à les écouter et qui rêvent débout comme eux, présentent désormais Mukoko Samba comme leur goulot d’étranglement. Curieux, tout de même !

Faut-il rappeler à l’opinion que si Mukoko Samba dérange sur l’aspect économique-son domaine de prédilection dans lequel il nage comme un poisson dans l’eau-, c’est parce qu’il a obtenu de l’appui du Président de la République, Antoine-Félix Tshisekedi et bénéficié de la confiance de la Cheffe du Gouvernement, Judith Suminwa Tuluka qui l’a placé à son poste ?

Faut-il encore rappeler à cette clique d’apprentis-sorciers économiques que dans le contexte constitutionnel qui est la nôtre, Daniel Mukoko Samba ne peut pas décider seul, sans passer par le Gouvernement ? Que dit la Constitution ?

Faut-il enfin rappeler à ces personnages au passé peu reluisant et sulfureux que c’est un raisonnement absurde que de déduire que les efforts que consent le Gouvernement dans le secteur économique ne vont pas aboutir ?

A l’analyse, cette façon de présenter Mukoko Samba et son Gouvernement résulte d’un aveuglement politique avéré et d’une bassesse d’esprit notoire, tant les Congolais ont compris que la gestion actuelle de la République Démocratique du Congo repose désormais sur des valeurs cardinales afin de refonder ce qu’eux ont détruit, ce qu’ils ont fait de ce Pays dans le passé. Et c’est justement pour ne pas pérenniser cette destruction économique que Tshisekedi a choisi Judith Tuluka comme Premier Ministre. Celle-ci a porté son choix, à son tour, à Daniel Mukoko Samba.

Choix du Technocrate

Judith Tuluka ayant porté son choix sur un Technocrate, le professeur Daniel Mukoko Samba, elle lui a enjoint d’axer son action sur l’amélioration du social de la population, la gouvernance économique, la recherche des résultats probants, la rigueur et l’efficacité dans la gestion de son secteur.

Ainsi choisi à la destinée de l’Economie Nationale, Mukoko Samba a pris un train de mesures drastiques pour tordre le coup à la surenchère économique, à la concurrence déloyale, à la vie chère et ses corolaires. Ce à quoi s’attèle ce professeur d’universités à ce jour, en concentrant l’ensemble de ses efforts pour l’accomplissement de cette mission lui confiée par la Haute Hiérarchie du pays.

Mais, une fois que le Ministre de l’Economie Nationale et son Equipe se sont lancés sur terrain, des indécis politiques et autres bavards à l’esprit tordus, tous des lanceurs de rêveries et d’autres allégories, se sont réveillés de leur sommeil pour remonter les bretelles et présenter Mukoko sous une autre facette. Cette attitude relève à la fois de l’irresponsabilité et de l’immaturité politique, de l’aventurisme béat et de cécité notoire.

Qu’à gagner Daniel Mukoko Samba pour s’opposer à celui qui l’a placé pour repeindre l’image de l’économie congolaise ? Que restera-t-il de sa crédibilité s’il oriente son action dans le sens voulu pour ses pourfendeurs qui veulent l’entraîner à suivre le vent ?

Vouloir opposer Mukoko Samba au Peuple congolais, par des diffamations aussi gratuites que gravissimes, n’est plus ni moins une façon de le détourner de ses objectifs, de la vision commune des Congolais moyens dont le seul souci est d’aspirer à un bel avenir de leur patrimoine commun : vivre dignement.

Les commentateurs, s’affichant scientifiques ou non, semblent s’inquiéter outre mesure sur le déficit que créeraient les allègements fiscaux et parafiscaux sur les recettes provenant de certains secteurs comme la DGDA, l’OCC. D’autres disent que l’attention portée davantage sur les produits importés réduit les chances de promotion de la production agricole interne. Ainsi, le conjoncturel effacerait tous les efforts visant le redressement structurel.

Et pourtant, les mesures prises récemment relèvent essentiellement de l’urgence, ainsi que l’ont souligné aussi bien le Ministre de l’Economie Nationale, Daniel Mukoko Samba, la Commission ECOFIR, la Première Ministre que le Chef de l’Etat lui-même. Cela révèle le sens élevé de responsabilité sociale, qui refuse absolument de laisser pourrir une situation, en attendant une longue maturation d’un quelconque idéal théorique et spéculatif.

N’en déplaise donc au pourfendeurs de Mukoko, Félix Tshisekedi, l’ensemble du Gouvernement et le Peuple congolais n’étant pas dupes. Ils connaissent assez bien, assez mieux cette caste frappée de cécité politique et intellectuelle et dont leur seul souci est de voir la RDC revenir aux anciennes pratiques.

Malheureusement donc pour cette caste. Malheureusement pour eux car les temps ont changé. Nous vivons une autre époque.

 

Qu’on se le dise !




900 cas de Mpox à Kamanyola 

Des cas de Mpox dans la zone de santé de Nyangezi, sont passés de 700 à plus de 900 cas. Le foyer de contamination reste l’axe Kamanyola qui est au carrefour de deux pays Rwanda-Burundi.

 

Les autorités de ce coin du pays lancent à un appel à la multiplication des campagnes de sensibilisation afin d’endiguer cette épidémie », a fait savoir Dr Olivier Kabarati, médecin chef de zone de santé de Nyangezi cité l’ACP. « Nous avons confiance aux médias. Ils sont des canaux rapides de sensibilisation de masse. Les produits radiophoniques déjà fait en faveur des communautés, quant à ce, sont à féliciter et à continuer davantage car l’épidémie persiste toujours dans l’entité. La bonne information entre quand elle a été donnée à la communauté dans sa langue parlée couramment », a-t-il ajouté.

 

Les médias ont été invités à s’investir davantage dans la sensibilisation pour couper la chaîne de contamination de la variole du singe ou le Mpox, rapporte-on.




Conformément à la vision du Chef de l’Etat: L’ARSP et le FOGEC pour l’émergence d’une vraie classe moyenne  

Les autorités de ces deux établissements publics sous tutelle du Ministère de l’Industrie et Développement des PME ont au cours d’une séance de travail échangé sur les questions pratiques impliquant leur rôle dans le soutien aux entrepreneurs en vue de l’émergence d’une vraie classe moyenne congolaise.

 

La question de la redevance FOGEC sur le marché de la Sous-traitance a été également évoquée par les deux parties représentées côté ARSP par le Président du Conseil d’Administration Felly Samuna, le Directeur Général Miguel Kashal, le DGA Georgine Madiko et quelques experts et du côté FOGEC par son PCA, son Directeur Général et des experts.

Selon le Directeur Général du Fonds de garantie de l’entrepreneuriat au Congo (FOGEC), Laurent Munzemba, dans un entretien accordé à la presse après l’audience, les deux établissements sont engagés à matérialiser la vision du chef de l’Etat Félix Tshisekedi.

« C’est déjà un entretien fraternel. C’est un moment d’échange entre deux entités qui évoluent sous la même tutelle. Le même écosystème pour le même objectif de matérialiser la vision du chef de l’État qui veut voir pendant son mandat des entrepreneurs qui vont créer de l’emploi. C’était un entretien sur la question de la redevance sur la sous-traitance mise en place pour pouvoir soutenir ce besoin là d’aider les entrepreneurs ».

De son côté, le DG de l’ARSP Miguel Kashal Katemb a estimé que les travaux avec le FOGEC sont importants pour soutenir ceux qui ont le contrat afin de les doter des moyens nécessaires afin de l’exécuter.

“Je tiens à remercier le président du conseil d’administration du FOGEC, celui de l’ARSP ainsi que les membres qui siègent dans cette commission. C’est aussi l’occasion de saluer l’implication du ministre de l’Industrie et entrepreneuriat, les travaux que nous venons de débuter, c’est aussi par le concours du FOGEC. Il ne suffit pas d’avoir seulement le contrat, mais aussi de l’exécuter, la capacité ainsi que les moyens financiers, et nous allons ensemble travailler pour qu’on ait de l’impact selon la vision du chef de l’État “, a martelé le DG de l’ARSP Miguel Kashal Katemb.

Le Quotidien