COMMUNIQUÉ DE PRESSE




Chers compatriotes, Mutamba contre les Magistrats ? 

Chers compatriotes,

 

Mutamba contre les Magistrats ?

 

Notre pays est actuellement en guerre, occupé par deux Etats bien décidés à ponctionner des territoires humainements, sociologiquement importants pour nous et immensément dotés des ressources tant agricoles que minières, sans compter le potentiel touristique.

 

Sans le Nord kivu et certaines autres parties de l’Est actuellement en danger, la RDCongo ne sera plus la même. Dans cette guerre d’occupation et de conquête les grandes puissances ne sont avec nous que du bout des lèvres. Leurs actes et indifférence face aux souffrances de nos populations constituent un message limpide. Pourquoi nous ne le comprenons pas, ou du moins ne mesurons pas la gravité de la situation.

 

Malgré ce risque élevé de voir notre pays se disloquer, les élites politiques ne considèrent pas la situation suffisamment périlleuse pour oublier les antagonismes internes et se consacrer unanimement à la défense de la patrie.

 

Maintenant, voilà que l’institution sur laquelle beaucoup d’entre nous pouvait compter pour redorer, un tant soit peu, l’image de notre pays se prépare à entrer dans une bataille fratricide qui selon moi aura des conséquences terribles pour nous simples citoyens.

 

Dans un communiqué très sévère le syndicat des Magistrats s’oppose publiquement aux agissements et déclarations du Ministre de la justice. Dans la presse certains journalistes n’hésitent pas à évoquer l’arrestation du Ministre pour outrage.

Ou allons-nous, mes chers compatriotes ? Ce pays a-t-il perdu toute sagesse ?

 

Pardonnez mon idiotie, je ne juge personne et d’ailleurs je n’en ai pas les moyens, ni intellectuels ni politiques, mais j’estime très modestement que nous faisons fausse route, Maintenant, voilà que nos hommes de lois refusent de venir au secours de la Nation, déjà en danger très avancé, pour régler leurs litiges. Dans ma naïveté j’espère qu’il n’est pas encore trop tard d’appeler l’ensemble de notre appareil judiciaire, du Ministre aux huissiers, pour une “Concertation nationale de la justice”.

C’est seulement dans la modération, l’humilité l’écoute des uns et des autres que nous pourrions ensemble donner à ce pays la justice sur laquelle bâtir notre Nation.

 

Merci

Très humblement

Jean Pierre Kambila.




Défis urbains de l’heure : Guy Loando effectue une descente à Lemba

Le Ministre d’État, Ministre de l’Aménagement du Territoire, Me Guy Loando, a mené une visite de terrain approfondie dans la commune de Lemba. Cette démarche s’inscrit dans ses fonctions d’Aménageur National et visait à évaluer les défis urbains, notamment les têtes d’érosion menaçant la zone autour de l’Université de Kinshasa. La visite a inclus des rencontres avec les citoyens et des observations sur place.

 

Selon un communiqué publié à cet effet, le Ministre d’État a réaffirmé son engagement à résoudre ces problématiques dans la mesure de ses moyens, en accord avec la vision du Chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi. La tournée a couvert plusieurs quartiers, débutant à Mbanzalemba, passant par le quartier Tchad, et se concluant au Toit Complètement de Congelos et au Plateau des Professeurs.

En parallèle, ajoute la même source, l’Aménageur National a montré son engagement philanthropique par divers actes de générosité. Sa visite a été accueillie chaleureusement par la population locale, qui a exprimé son soutien avec enthousiasme.

Disons que les Congolais méritent un pays bien aménagé. C’est dans cette perspective que le Chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, la Première Ministre Judith Suminwa, et le Ministre d’État Guy Loando œuvrent pour concrétiser cette vision à travers le ministère de l’Aménagement du Territoire.




La Rdc regrette l’incident visant des diplomates français

Dans un communiqué de presse, le ministère des Affaires Étrangères exprime son profond regret suite à l’incident, portant atteinte aux conventions internationales qui protègent les membres du corps diplomatique dans l’exercice de leurs fonctions, survenu le vendredi 23 août 2024 et visant des diplomates français.

« La sécurité des diplomates est garantie en tout lieu et en toute circonstance. Le Ministère des Affaires Étrangères condamne fermement cet acte de violence et une enquête rigoureuse est en cours afin d’identifier et de poursuivre les responsables de ces actes », précise ce document signé par la Cellule de communication.

Signe que l’engagement du Ministère envers le respect des conventions diplomatiques est et demeure assuré par des mesures nécessaires de prévention de tels incidents. Le Protocole d’Etat est déjà déployé et apporte son soutien avec toutes les dispositions d’usage.




Maï infecté en provenance de la Zambie : Julien Paluku ordonne une réunion d’urgence de la Commission des Mesures Sanitaires et Phytosanitaires 

Faisant suite aux informations préoccupantes sur la présence des substances impropres à la consommation humaine et animale en provenance de la Zambie et le risque de voir la farine de maïs identifiée comme infectée par une toxine, le ministre du Commerce Extérieur, Julien Paluku Kahongya instruit le Secrétaire Général au Commerce Extérieur de réunir en urgence dès ce lundi les membres de la Commission des Mesures Sanitaires et Phytosanitaires-

SPS afin de lui faire toute la lumière sur cette question préoccupante.

Déjà sur terrain, les services qui exercent au niveau des frontières dont l’Office Congolais de Contrôle (OCC) accentuent la vigilance et sensibilisent l’autorité locale, les opérateurs économiques et la population ..




« Les investissements chinois concourent au développement de l’Afrique et à l’approfondissement des relations Sino-Africaines »

Le rapport sur la coopération Sino-africaine en matière d’investissement a été publié le vendredi 23 aout 2024 à Beijing par China-Africa Business Council. Intitulé « la coopération Sino-africaine en matière d’investissement : Un nouvel élan à l’industrialisation en Afrique », il revient notamment sur les résultats des investissements chinois sur le continent noir.

Publié par le China-Africa Business Council, ce rapport fait connaitre au reste du monde les réalisations et les perspectives des investissements des firmes Chinoises en Afrique en incluant la prévision et l’analyse desdits investissements et de l’attraction des investissements étrangers en Afrique.

Ce rapport revient également sur les défis et opportunités auxquels est confrontée l’industrialisation en Afrique et présente des suggestions pertinentes aux investisseurs chinois du point de vue du développement industriel tout en présentant les perspectives de la coopération Sino-Africaine en matière d’investissements et de financement.

Croissance régulière de la coopération en matière d’investissement

Dans ce rapport de 139 pages, il ressort que les investissements chinois en Afrique ont non seulement favorisé le développement économique et social en Afrique, mais aussi approfondi les relations amicales entre la Chine et les pays africains.

La coopération sino-africaine en matière d’investissement présente une croissance régulière. A la fin de l’année 2022, le stock d’investissements directs chinois en Afrique a dépassé 47 milliards de dollars américains, et plus de 3 000 entreprises chinoises ont investi ou créé des sociétés en Afrique.

Les rédacteurs de ce rapport renseignent qu’au premier semestre 2023, les investissements directs chinois en Afrique ont dépassé 1,82 milliard de dollars américains, soit une augmentation de 4,4% en glissement annuel. Parallèlement, l’Afrique est le deuxième plus grand marché de travaux à forfait de la Chine à l’étranger.

Mise en œuvre de projets d’investissement

Les entreprises chinoises ont investi dans nombreux domaines en Afrique. Il s’agit entre autres de la construction d’infrastructures, le développement énergétique et la santé.

En ce qui concerne la construction d’infrastructures, les entreprises chinoises ont aidé à construire un grand nombre de routes, de chemins de fer et de ponts, qui ont permis d’améliorer les conditions de transport en Afrique, facilitant ainsi la circulation des personnes et des matériaux.

Dans le domaine du développement énergétique, les entreprises chinoises se sont impliquées dans la construction de grandes centrales électriques, qui fournissent un approvisionnement stable en électricité pour les pays africains.

 

Modes d’investissement

 

Du point de vue des investisseurs, les investisseurs chinois en Afrique sont également de plus en plus diversifiés. Selon les statistiques du ministère du Commerce, plus de 70% des entreprises investissant en Afrique sont des entreprises privées, qui sont devenues la force principale des investissements chinois sur le continent. Cela diversifie non seulement les investisseurs, mais renforce également la vitalité et la créativité de la coopération économique et commerciale sino-africaine.

Expansion des domaines d’investissement

 

Les projets d’investissements chinois en Afrique ont vu leurs types, diversifiés progressivement, passant des secteurs dans lesquels ils ont travaillé depuis des années, dont la construction, l’exploitation minière, l’électricité et l’ingénierie, vers des domaines traditionnels tels que la fabrication, les sciences et technologies, la vente en gros et au détail, l’agriculture et l’immobilier, mais également vers des domaines émergents tels que l’économie numérique, le développement vert, l’aéronautique et l’astronautique et les services financiers.

Tout cela a insufflé une nouvelle vitalité durable à la coopération économique et commerciale sino- africaine.

Recommandations

Les rédacteurs du « la coopération Sino-africaine en matière d’investissement : Un nouvel élan à l’industrialisation en Afrique », recommandent aux gouvernements Chinois et Africains notamment de promouvoir l’industrialisation de l’Afrique ; exploiter les capacités complémentaires existantes pour construire une chaîne d’approvisionnement localisée ; anticiper et capitaliser sur la demande future et la dynamique du marché en Afrique

 

Derick Katola depuis Beijing, capitale de la Chine




LA GRANDE FETE DES JUIFS 2EME EDITON /AVEC LE PAST. FRANCOIS MUTOMBO VH/ SAMEDI 24 AOUT 2024




Éditorial : Il répondit, c’est un poste politique !

Que veut réellement dire un poste politique ? Si on posait cette question à un blanc, il te dira c’est un poste qui est réservé à une catégorie de personnes qui ont pour mission de réaliser des actions de développement pour la communauté. Et ces personnes sont soumises à la rigueur de la loi à la moindre violation de cette mission ou à la moindre mésaventure, il démissionne ou il est poursuivi même après son mandat. La politisation d’un poste est donc une noblesse accordée à une catégorie de gens dans lesquels le peuple met l’espoir pour son développement. Prenez le cas de Bentacour qui est poursuivi jusqu’à aujourd’hui. On cherche même la plus petite chose pour poursuivre. C’est donc une position délicate qui n’est pas pour tous.

Quand vous êtes en Afrique, on vous dira que c’est un poste réservé à une personne qui ne doit respect qu’à celui qui l’a nommé ou son chef de parti. Il ne respecte aucune loi car la loi c’est son chef. C’est un poste sans règle au fait.

Quand vous demandez à un habitant noir, il te dira que le poste politique est un poste pour voler, organiser la vie de sa famille et de son parti.

C’est apparemment cette définition qui est dans la tête de beaucoup de congolais. Ainsi, les voleurs sont libres, les détournements sont légion et le droit est violé. Ces hommes se croient au-dessus de la loi et ne sont ni réprimandés ni condamnés. Quand la Cour des comptes demande à Jules Alingete, Inspecteur Général, Chef de service de l’IGF de venir s’expliquer, il répondit qu’il dépendait du Chef de L’Etat. Au fait, il dit que personne ne peut le condamner sinon le Chef de l’Etat. C’est ça l’état de droit vanté de l’UDPS. On consacre l’impunité.

Quand on demande au Ministre pour un PCA qui a dépassé 70 ans et cette position viole les statuts de son entreprise, on répond, c’est un poste politique. Donc, il n’est pas soumis aux statuts de sa société (gravissime). Quand vous lisez les statuts de cette société, vous êtes surpris de bonnes dispositions qui s’y trouvent pour bien gérer. Et vous comprenez tout de suite pourquoi rien ne marche et pourquoi tout le monde veut devenir politicien.

Quand on veut changer les mandataires, on demande l’intervention du Chef de l’Etat. Quand on attrape un voleur, on vous rappelle qu’il est père de famille (quand il volait il ne le savait pas et c’est à nous de le savoir) et ses ressortissants passent pour le défendre et même la presse s’en mêle. Vous comprenez directement qu’elle est la mentalité de la société.

Il est sorcier d’avoir de telles mentalités et espérer à un développement. La justice qui élève une nation n’est pas la justice de petits voleurs de pain, mais de ceux qui prennent de décisions dans la société. Si ces gens ne sont pas sous la loi alors aucun développement n’est à envisager.

La justice qui élève une nation est celle qui met les dirigeants sous la loi même sous le juge le plus simple. Mais en Afrique, on assiste à une classe de sans-loi qu’on appelle politicien qui s’est réservé les droits et les postes juteux sans être poursuivi. La triste réalité est que même si les textes disent autres choses, les politiciens semblent en être au-dessus. C’est malheureusement ce que L’UDPS a amené sous sa gestion et de fois soutenu par ceux qui devraient condamner. Le pays va mal au niveau de la justice dit le Président de la République. Mais on se rend compte que ce n’est pas vrai. C’est plus les politiciens qui pensent qu’ils ne sont pas justiciables alors que ce sont eux les grands voleurs. On est donc dans un pays où ceux qui gouvernent et volent se considèrent au-dessus de la loi et ne doivent répondre à aucune justice. Qui les soutient ? Qui a fait de lois pour que ces gens appelés politiciens qui volent, détournent et trichent ne soient pas poursuivis ? Cela est écrit où ? C’est donc des voleurs potentiels qui votent des lois, qui s’appellent honorables, excellences et se partagent les mandats politiques, mais qui n’ont ni la carrure de l’un ou l’autre titre. Car ceux qui sont excellents et dignes d’honneur sont d’abord loyaux, honnêtes et intègres. Ce qui n’est pas le cas dans cette classe politique des bandits qui refusent que la loi leur soit appliquée. Donc si politique équivaut à l’impunité, on ne peut rien à attendre de bon dans ce pays.




Munis d’identités fallacieuses, les séparatistes du Polisario s’invitent par effraction à la TICAD9

Face à l’essor continu du soutien international en faveur de la souveraineté marocaine sur son Sahara, l’Algérie et sa thèse séparatiste essuient des revers.

En marge de la réunion ministérielle de la conférence internationale de Tokyo sur le développement en Afrique (TICAD) et qui se tient les 24 et 25 aout, l’Algérie a tenté par tous les moyens d’imposer les représentants d’une entité fantoche en leur offrant des passeports algériens. Devant le refus par la commission de l’Union Africaine de faire confectionner une pancarte officielle, portant le nom de la pseudo «  RASD », l’Algérie a introduit dans la salle une pancarte factice et l’a mise à la disposition des séparatistes.

Face à cette démarche, pour le moins loufoque, un grand nombre de participants ainsi que la délégation marocaine ont fermement dénoncé cette manigance qui perturbe le bon déroulement de cette réunion minant ainsi la coopération de l’Union africaine avec le japon. Le porte-parole de ce dernier a tenu à préciser que son pays ne reconnait pas la pseudo « RASD » et n’entretient aucun lien avec cette entité et que son pays a catégoriquement refusé de réceptionner les documents de visa ou leurs prétendus documents de voyage.




Maroc-Japon-Afrique-TICAD : Le Japon réitère de manière solennelle sa non reconnaissance de l’entité fantoche du “polisario” (Medi1 TV en exclusivité)

Le Japon, qui a accueilli vendredi les travaux préparatoires de la 9ème Conférence internationale de Tokyo sur le Développement de l’Afrique (TICAD9), a réitéré de manière solennelle sa non reconnaissance de l’entité fantoche du “polisario”, rapporte en exclusivité la chaîne Medi1 TV.

Le ministre délégué japonais des affaires étrangères, Fukazawa Yoichi, qui intervenait en séance plénière, a affirmé que l’intrusion du “polisario” à cette réunion “ne change en rien la position du Japon”, a précisé la chaîne dans son bulletin d’information de samedi matin.

Le Japon a également souligné qu’il n’invite aux Conférences de la TICAD que les Etats membres des Nations Unies.

Réagissant à cet incident, le politologue Mustapha Tossa a déclaré que cet acte “montre à quel point la diplomatie algérienne est prête à tous les subterfuges pour tenter de porter atteinte à la marocanité du Sahara”.

“En essayant d’imposer de manière clandestine la participation de la fantomatique rasd à cette réunion, le régime algérien viole la position traditionnelle du Japon qui ne reconnaît pas cette entité et qui ne l’a jamais invité à participer à son dialogue avec le continent africain”, a-t-il soutenu.

Selon M. Tossa, “ce regrettable incident a été une occasion pour la diplomatie japonaise de réitérer sa position de refus à cette mésaventure séparatiste parrainée et financée par le régime algérien”.

Et d’ajouter que la Japon a affirmé officiellement son refus de tels comportements, notant que cet incident va pousser de nombreux pays africains à réfléchir sérieusement à la possibilité d’expulser de leurs rangs le “polisario” qui commence à empoisonner les relations de l’Union Africaine avec ses partenaires internationaux.

MAP