CAF-Interclubs : 4/4 pour Algérie, Côte d’Ivoire, RDC et Tunisie.

Le premier tour préliminaire retour s’est achevé dimanche en Ligue des champions Africaine et en Coupe de la Confédération.

En LdC, dos au mur après sa défaite 2-1 au Nigeria à l’aller, l’AS FAR Rabat a renversé Remo Stars sur le score de 2-0. Le Congolais Joël Beya (52e) et Zouhzouh sur penalty (80e) ont marqué. Qualification aussi pour les Algériens du CR Bélouizdad, à nouveau vainqueurs de l’AC Léopards du Congo (1-0) grâce à un but de Benguit (24e). San Pedro, champion de Côte d’Ivoire, poursuit aussi l’aventure après sa victoire 1-0 contre BO Rangers (Sierra-Leone) et il en va de même pour les Congolais de l’AS Maniema Union, tombeurs de Ngezi Platinum (Zimbabwe) aux tirs au but (0-0, 0-0, 4-3 tab).

Déception en revanche pour les Mauritaniens du FC Nouadhibou, invités surprises en phase de groupes de la dernière édition et éliminés en vertu de la règle du but à l’extérieur par les Guinéens de Milo FC. L’aventure s’arrête là aussi pour le champion du Cameroun, Victoria United, à nouveau battu par les Ghanéens de Samartex (1-0).

Zéro pointé pour le Cameroun

En CdC, le représentant camerounais Fovu Club a également été éliminé par les Libériens de Paynesville (0-1). Pas de soucis en revanche pour les Algériens du CS Constantine, à nouveau vainqueurs des Rwandais du Police FC (1-2). Idem pour les Sénégalais du Jaraaf, bourreau 3-0 des Sierra-Léonais d’East End Lions.

A la différence du Maroc, qui a perdu samedi l’Union de Touarga en CdC, l’Algérie, la Côte d’Ivoire, la RD Congo, la Tunisie, l’Afrique du Sud, l’Egypte et l’Angola peuvent toujours compter sur 2 représentants dans chacune des deux compétitions avant le coup d’envoi du 2e tour préliminaire, prévu le 13 septembre.

L’algerie , la Tunisie, la Côte d’Ivoire et la Rdc alignent chacun 4 équipes au prochain tour.

 

 

ST




Il répondit, c’est un poste politique !

Que veut réellement dire un poste politique ? Si on posait cette question à un blanc, il te dira que « c’est un poste qui est réservé à une catégorie de personnes qui ont pour mission de réaliser des actions de développement pour la communauté. Et ces personnes sont soumises à la rigueur de la Loi. A la moindre violation de cette mission ou à la moindre mésaventure, il démissionne ou il est poursuivi même après son mandat. La politisation d’un poste est donc une noblesse accordée à une catégorie de gens dans lesquels le peuple met l’espoir pour son développement. Prenez le cas de Bentacour qui est poursuivi jusqu’à aujourd’hui. On cherche même la plus petite chose pour poursuivre. C’est donc une position délicate qui n’est pas pour tous.

Quand vous êtes en Afrique, on vous dira que c’est un poste réservé à une personne qui ne doit respect qu’à celui qui l’a nommé ou son chef de parti. Il ne respecte aucune loi car la loi c’est son chef. C’est un poste sans règle au fait.

Quand vous demandez à un habitant noir, il te dira que le poste politique est un poste pour voler, organiser la vie de sa famille et de son parti.

C’est apparemment cette définition qui est dans la tête de beaucoup de congolais. Ainsi, les voleurs sont libres, les détournements sont légion et le droit est violé. Ces hommes se croient au-dessus de la loi et ne sont ni réprimandés ni condamnés. Quand la Cour des comptes demande à Jules Alingete, Inspecteur Général, Chef de service de l’IGF de venir s’expliquer, il répondit qu’il dépendait du Chef de l’Etat. Au fait, il dit que personne ne peut le condamner sinon le Chef de l’Etat. C’est ça l’état de droit vanté de l’UDPS. On consacre l’impunité.

Quand on demande au Ministre pour un PCA qui a dépassé 70 ans et cette position viole les statuts de son entreprise, on répond, c’est un poste politique. Donc, il n’est pas soumis aux statuts de sa société (gravissime). Quand vous lisez les statuts de cette société, vous êtes surpris de bonnes dispositions qui s’y trouvent pour bien gérer. Et vous comprenez tout de suite pourquoi rien ne marche et pourquoi tout le monde veut devenir politicien.

Quand on veut changer les mandataires, on demande l’intervention du Chef de l’Etat. Quand on attrape un voleur, on vous rappelle qu’il est père de famille (quand il volait il ne le savait pas et c’est à nous de le savoir) et ses ressortissants passent pour le défendre et même la presse s’en mêle. Vous comprenez directement quelle est la mentalité de la société.

Il est sorcier d’avoir de telles mentalités et espérer à un développement. La justice qui élève une nation n’est pas la justice de petits voleurs de pain, mais de ceux qui prennent de décisions dans la société. Si ces gens ne sont pas sous la loi alors aucun développement n’est à envisager.

La justice qui élève une nation est celle qui met les dirigeants sous la loi même sous le juge le plus simple. Mais en Afrique, on assiste à une classe de sans-loi qu’on appelle politicien qui s’est réservé les droits et les postes juteux sans être poursuivi. La triste réalité est que même si les textes disent autres choses, les politiciens semblent en être au-dessus. C’est malheureusement ce que L’UDPS a amené sous sa gestion et de fois soutenu par ceux qui devraient condamner. Le pays va mal au niveau de la justice dit le Président de la République. Mais on se rend compte que ce n’est pas vrai. C’est plus les politiciens qui pensent qu’ils ne sont pas justiciables alors que ce sont eux les grands voleurs. On est donc dans un pays où ceux qui gouvernent et volent se considèrent au-dessus de la loi et ne doivent répondre à aucune justice. Qui les soutient ? Qui a fait de lois pour que ces gens appelés politiciens qui volent, détournent et trichent ne soient pas poursuivis ? Cela est écrit où ? C’est donc des voleurs potentiels qui votent des lois, qui s’appellent honorables, excellences et se partagent les mandats politiques, mais qui n’ont ni la carrure de l’un ou l’autre titre. Car ceux qui sont excellents et dignes d’honneur sont d’abord loyaux, honnêtes et intègres. Ce qui n’est pas le cas dans cette classe politique des bandits qui refusent que la loi leur soit appliquée. Donc si politique équivaut à l’impunité, on ne peut rien à attendre de bon dans ce pays.

Le Conseiller




Accord trouvé entre le Gouvernement et le banc syndical: La rentrée scolaire confirmée le 2 septembre prochain 

Tout est bien qui finit bien dit-on. Les discussions entre le banc syndical de l’Enseignement primaire, Secondaire, Technique et Nouvelle citoyenneté et le Gouvernement, dans le cadre des travaux de la commission paritaire au sujet de la rentrée scolaire pour l’année scolaire 2024-2025 se sont clôturées dans une ambiance bon enfant le week-end dernier au quartier Bibwa dans la commune de la N’sele.

Pendant deux semaines, les deux parties ont planché sur les revendications des enseignants pour une rentrée scolaire apaisée et effective, le 2 septembre prochain, suivant le calendrier fixé par le gouvernement congolais. Même si son contenu n’a pas été dévoilé à la presse, un accord a été finalement trouvé entre les deux parties après d’intenses travaux dans diverses commissions et sous- commissions mises en place.

Ainsi de commun accord, les deux parties se sont convenues pour l’effectivité de la rentrée scolaire pour l’année scolaire 2014-2025, le 2 septembre prochain sur toute l’étendue du territoire national.

Dans son allocution de clôture, la ministre d’Etat à l’Epst- NC, Raissa Malu, a précisé que les moments passés ensemble durant ces discussions lui ont permis « de comprendre les difficultés auxquelles les enseignants sont confrontés au quotidien ainsi que les défis de système éducatif en RDC ».

Ainsi, après avoir écouté les préoccupations et les attentes des enseignants, Raissa Malu s’est dit retourner avec une détermination renforcée pour « améliorer les conditions de travail et de vie des enseignants », tel que rappelé par le Président de la République sur l’importance de l’éducation sur l’avenir de la jeunesse congolaise. « Nous réactions notre engagement à maintenir un dialogue régulier et constructif avec le banc syndical pour continuer à œuvrer ensemble pour le bien être des enseignants et l’amélioration de notre système éducatif plus fort, plus efficace et plus résilient », a déclaré la ministre d’État à l’EPST- NC.

Pour sa part, le Vice-premier ministre et ministre de la Fonction publique, représentant de la Première ministre, Jean Pierre Lihau, a indiqué qu’il était une occasion d’évaluer le degré des engagements pris par le gouvernement précédemment afin d’améliorer les conditions sociales des enseignants en RDC. Pour ce faire, un compromis républicain et pragmatique a été trouvé après des échanges âpre et houleux, en privilégiant l’intérêt supérieur des enfants, en lieu et place des intérêts corporatistes.

« J’ai été fier d’assister à des discussions constructives qui ont finalement abouti à un compromis républicain et pragmatique. Nous avons privilégié l’intérêt général en lieu et place de nos intérêts corporatistes. Nous avons placé devant toute autre chose, l’intérêt supérieur de nos enfants. L’éducation des enfants de la République est un des axes stratégiques, l’une des priorités des priorités du président de la République et de la première Ministre Judith Suminwa Tuluka », a-t-il souligné.

 

Conditions socio-professionnelles

Le ministre de la Fonction publique a saisi cette occasion pour rendre un « vibrant » hommage aux enseignants, grâce à qui tous les gouvernants du pays sont formés. Il a rassuré qu’avec le mode de collaboration mis en place, le gouvernement Suminwa va très prochainement améliorer de manière sensible les conditions socio-professionnelles des enseignants.

« Pour que nous ayons une politique éducative qui soit à la hauteur de la grandeur de notre pays, des enjeux et défis devant nous placés, il faut que nous puissions avoir des enseignants qui soient placés dans des conditions psychologiques optimales, des enseignants de qualité qui soient au rendez-vous de l’efficacité et des résultats. Agir pour l’éducation de nos enfants n’est pas une option, c’est un impératif. Nous n’avons aucun doute qu’avec la synergie mise en place, nous allons aboutir à une amélioration nette des conditions sociales de l’enseignant congolais », a conclu Jean-Pierre Lihau.

De son côté, Godefroy Matondo, porte-parole de l’Intersyndicale de enseignants, a émis quelques réserves sur ce compromis car le taux d’exécution des engagements pris par le gouvernement n’a pas été à la hauteur de leurs attentes. C’est ainsi qu’il a déclaré que les enseignants s’en remettent à la bonne foi du Gouvernement et du Président de la République pour respecter ces engagements.

« L’Intersyndicale considère que le gouvernement de la République ferait œuvre utile en disant clairement au Président de la République, Chef de l’État, que ses enseignants et ses compatriotes ne sont pas satisfaits entièrement, car leurs préoccupations sont restées encore sans solutions. Tout en considérant que cette insatisfaction sera prise comme fait déclencheur de la mise à jour des préoccupations des enseignants aussi bien à la présidence de la République, à l’autorité budgétaire, au gouvernement de la République, à la Conférence budgétaire, l’Intersyndicale reste toujours disponible pour être associée à l’élaboration et la mise en œuvre d’éventuelles politiques et stratégies nationales d’amélioration des conditions socio-professionnelles des enseignants », a-t-il souligné.0

Outre Jean Pierre Liahu et Raissa Malu, les ministres des Finances, Doudou Fwamba et celui du budget, Aimé Boji, ont aussi pris part à cette cérémonie.

L’occasion était propice aux membres du Gouvernement présents à clôture de ces assises de démentir la rumeur selon laquelle la gratuité de l’enseignement primaire serait annulée. Ils ont rassuré l’opinion que la gratuité de l’enseignement primaire reste et restera d’application en RDC, étant donné que c’est une exigence constitutionnelle.

RSK




Huawei signent avec 5 entreprises sous-traitantes

Il s’agit d’un autre grand pas de géant que vient de réaliser l’Autorité de régulation de la sous-traitance (ARSP) dans le secteur privé avec son Directeur général Miguel Kashal Katemb. Ceci, dans le cadre de la facilitation des Congolais pour l’obtention des marchés de prestation des services, conformément à la vision du président de la République Félix -Antoine Tshisekedi. Cette fois, c’est le secteur des télécommunications qui a été visé par le Directeur général de l’ARSP qui vient de faciliter l’accès aux marchés à 5 sous-traitants congolais. Il s’est agi des contrats entre : Wide Solution Technologies and Diversity S.A.S.U. et Huawei Technologies (R.D.C.) S.A.R.L. ; Ebembo Likayi multi-services S.A.R.L. et Huawei technologies (R.D.C.) S.A.R.L. ; Hayatcom Rdc Sarlu et Huawei Technologies (R.D.C.) S.A.R.L. ; Afro-Egypt Engineering S.A.R.L et Huawei Technologies (R.D.C.) S.A.R.L. et Hope Work solution Sarlu et Huawei Technologies (R.D.C.) S.A.R.L.

Installé depuis 1987 en Chine, Huawei technology est une grande firme multinationale qui fournit des solutions innovantes dans le secteur des nouvelles technologies de l’information et de la communication à travers le monde. Il s’agit d’un fournisseur global qui travaille avec 45 parmi les 50 plus importants opérateurs téléphoniques au monde. Voulant à tout prix observer la législation congolaise, la filiale Huawei technologie Rdc opte pour le respect des activités de sous-traitance et se distingue également en termes de qualité de service.

” C’est avec honneur que je prends la parole aujourd’hui à l’occasion de cette cérémonie de la signature de contrat entre Huawei technologie et les sociétés de droit congolais éligible à la sous-traitance en présence de l’autorité de l’Arsp, et cela conformément à la loi sur la sous-traitance dans le secteur privé en Rdc, nous matérialisons notre engagement à contribuer activement au développement d’une chaîne de valeur locale selon la vision du Chef de l’État Félix Tshisekedi”, a déclaré M. Zhang Bowen, le Directeur général de Huawei.

 

L’essentiel de cette cérémonie a porté sur la signature du contrat-programme entre d’une part un groupe des 5 sous-traitants éligibles au marché du secteur de Telecom et la société principale Huawei technology Rdc.

Les entreprises sous-traitantes sélectionnées pour cette cérémonie œuvrant dans le domaine de Télécommunication et de la nouvelle technologie de l’information et de la communication qui aujourd’hui ont saisi cette opportunité grâce à la volonté politique du Chef de l’État et matérialisée par le Dg de l’Autorité de régulation de la sous-traitance dans le secteur privé.

Outre le Dg Miguel Kashal, plusieurs cadres de l’ARSP, collaborateurs directs de la Direction générale ont pris part à la cérémonie pour s’assurer minutieusement dans leur rôle de régulateur de la conformité desdits contrats à la législation congolaise sur la sous-traitance dans le secteur privé en étroite ligne avec la vision de la création d’une vraie classe moyenne via l’entrepreneuriat prôné par le président de la République

” Ceux qui signent ces contrats aujourd’hui ce sont des Congolais ensemble avec les expatriés, nous venons de voir le cas d’Afro Egypte qui était une société non éligible et qui était sanctionnée par l’ARSP parce qu’elle n’était pas éligible, et il n’y a pas longtemps vous avez vu qu’ils se sont associés aux Congolais et aujourd’hui ils ont bénéficié de l’accompagnement de l’Arsp en signant un contrat en tant que société éligible. C’est une grande responsabilité et le pays attend de vous cette mission de faire fonctionner les sociétés principales pour que demain vous puissiez également être des sociétés principales, mais c’est en étant une société sous-traitante de qualité irréprochable que vous allez finir par être des sociétés principales», a affirmé dans son mot de circonstance le Dg de l’ARSP.

La chance est donnée à tout le monde

S’adressant à d’autres sous-traitants qui se plaignent, le DG de l’ARSP explique que notre conseil d’administration a instauré le système de publication obligatoire des appels d’offres, afin que chaque congolais y compris même ceux de la diaspora puisse avoir l’information des marchés sur la sous-traitance. « Ceux-là qui ont signé les contrats aujourd’hui l’ont fait à travers les appels d’offres. Nous incitons tous les entrepreneurs de prendre au sérieux les appels d’offres, chacun a sa part, celle de Dieu, de l’homme, de l’État et aussi la part de la population, de l’ARSP ainsi que des entrepreneurs. A notre niveau, nous prenons les appels d’offres et on vous les disponibilise, chose qui n’a pas existé depuis 64 ans dans ce pays, les contrats ou les appels d’offres se faisaient en dessous de la table. Grâce au soutien et à la vision du Chef de l’État, le chandelier qui était en dessous du lit nous l’avons mis au-dessus de la table “, a martelé le DG Miguel Kashal.

Au total, les cinq entrepreneurs qui ont signé les contrats avec la société Huawei se sont tous déclarés satisfait par ce partenariat obtenu grâce à l’ARSP.

La satisfaction des bénéficiaires

Soulignons que cette cérémonie a créé de la satisfaction chez tous les entrepreneurs qui n’ont pas manqué de placer un mot.

” Un tel événement depuis l’existence de l’Arsp on l’a jamais vécu dans notre secteur. Huawei a fait preuve qu’elle est une entreprise principale qui se veut respectueuse par rapport à la loi sur la sous-traitance et surtout sur son applicabilité, ce qui est déjà bon et nous attendons que les autres sociétés principales puissent emboîter le même pas. S’il faut parler aujourd’hui des grands secteurs qui produisent beaucoup de revenus, il y’a aussi le secteur de télécommunication en dehors des secteurs miniers, pétroliers et brassicole. La vision du Chef de l’État est en train de se concrétisée, comme l’a dit le Dg de l’Arsp”, a déclaré l’entrepreneur Pepel Lubo suivi de Hamed EL Morsi qui a remercié le chef de l’Etat.

“Je remercie le chef de l’État ainsi que les organisateurs de cette cérémonie. Nous nous sommes décidés à travailler pour le développement de la Rdc et de la création de l’emploi et nous accompagnons la vision du Chef de l’État “.

De son côté, Tharcisse Kongolo dit avoir découvert les missions de l’ARSP grâce au dynamisme du DG Miguel Kashal :

“Je ne connaissais pas vraiment l’Arsp, c’est par l’avènement du Dg Miguel que j’ai su ce que j’ai pris connaissance de l’Arsp. C’est vrai que beaucoup de gens ne prennent pas conscience, mais les choses évoluent, je suis content et satisfait car cette cérémonie marque un début important. Les sous-traitants congolais n’étaient pas vraiment considérés et il y avait beaucoup plus d’étrangers et maintenant on voit que les Congolais sont maintenant là, je remercie le chef de l’État et qu’il continue dans cette vision de booster la classe moyenne congolaise afin que notre pays puisse avancer”.

Il sied de noter que de plus en plus les entreprises à capitaux majoritairement congolais se retrouvent aujourd’hui dans la chaîne de valeur des activités des multinationales tous secteurs économiques confondus installés à travers le pays à la suite de l’évaluation de la mission de contrôle efficace effectuée par les inspecteurs de l’Arsp à Kinshasa et dans d’autres provinces du pays.

Il faut rappeler que cette cérémonie intervient après les cérémonies mémorables organisées dans la province du Lualaba au sein des entreprises Kamoa et Metalkol sur initiative du Dg de l’ARSP.

Le Quotidien




Clôture de la 2ème édition de la grande fête des Juifs: Le RELEGAL François Mutombo appelle les chrétiens à demeure dans l’alliance avec Dieu 

Tout est bien, qui finit bien, dit-on. C’était sous une forte atmosphère prophétique que la Communauté des Assemblées Chrétiennes Voici l’homme (CAC/VH) a clôturé la deuxième édition de la grande fête des Juifs, célébrée sous le thème : «Même dans la grande tempête, il y a de la faveur ». Cette célébration évangélique internationale avait une onction particulière, celle de bénir et secourir les enfants de Dieu.

Pendant 8 jours, les fidèles venus de tous les quatre coins de la capitale et ceux d’ailleurs qui ont eu la chance de suivre ce programme en ligne ont été édifiés par de fortes paroles qui ont été prononcées par les grands orateurs qui ont enseigné pendant ces assises. Le peuple de Dieu a aussi bénéficié de fortes déclarations prophétiques pour leur vie, mais aussi des enseignements.

Pour cette dernière journée, l’hôte de cette grande activité, le Révérend pasteur François Mutombo Voici l’homme a été invité au podium monté à cet effet pour prononcer son message. Au-delà du thème principal, il a abordé le sous thème intitulé : « Le succès de l’alliance » (1 Samuel 18, 1).

Ce récit biblique démontre à suffisance un amour ardent qui avait uni David et Jonathan, le fils du roi Saül. Une affection qui a conduit les amis à contracter une alliance. Ainsi, l’acte a été scellé entre les deux et quelques présents ont aussi été échangés.

C’est qui étonne dans cette histoire, c’est de voir Jonathan fils du roi accepter de faire alliance avec un serviteur de son père qui n’avait rien en termes de richesses matérielles. Ainsi, l’homme de Dieu dans son message qui parle de l’importance de l’alliance a attiré l’attention des enfants de Dieu à ne pas voir des gens sous le prisme des yeux charnels, mais plus tôt spirituels.

Pour lui, Jonathan avait vu sur David les choses que son père n’avait pas pu remarquer. « Il y a beaucoup de gens qui échouent dans leur vie, parce qu’ils regardent les gens avec les yeux charnels. David avait la grâce de Dieu, voilà pourquoi partout où le roi l’envoyait, il réussissait et rentrait avec de bons résultats », a souligné l’orateur.

L’homme de Dieu a exhorté l’église d’entrer et de croire dans son alliance, car dit-il, votre réussite dépend de la personne avec qui vous avez fait alliance. Si elle échoue, vous aussi vous échouer. « Quand vous êtes dans une alliance, sachez que celle-ci brise les lois ».

Il a manifesté sa gratitude à Dieu pour la réussite de cette manifestation. « Je suis très ravi et honoré. Je béni Dieu et je remercie le peuple de Dieu et la diaspora. Jour pour jour, les gens étaient là présents. Même quand on finissait en retard, les gens ne se fatiguaient. Chaque jour, ils donnent des offrandes, ils ne se fatiguaient pas pendant 8 jours nous avons fini aujourd’hui, c’est une grande victoire », a terminé le pasteur François Mutombo.

Ainsi, l’homme de Dieu a appelé tous les orateurs de la grande fête des Juifs pour bénir le peuple de Dieu avec des fortes déclarations. Le rendez-vous est pris l’année prochaine lors de la 3ème édition, cette fois-là dans l’Aréna Voici l’homme.