Un dialogue ? Oui ! Un dialogue de re-fondation, de ré-création du Congo est incontournable !

Des États-Unis où il a participé à l’investiture de Kamala Harris comme candidate du parti démocrate américain à la présidentielle de 2024, Martin Fayulu a lancé un appel pour un dialogue national. «Il nous faut une seule chose : la cohésion nationale. Il est impératif que nous nous mettions autour d’une table, toutes les parties prenantes. Ensemble, nous devons engager des discussions profondes et constructives sur l’avenir de notre pays, sur la protection de l’intégrité de notre territoire», a-t-il déclaré le 24 août dernier.

Parti politique en crise, l’UDPS ne sait pas réagir pour le moment

Sauf imprévu, Martin Fayulu rentre à Kinshasa le 31 août 2024.

Évidemment, des réactions n’ont pas tardé. Dont celle d’Ensemble. Olivier Kamitatu Etsu, Directeur de Cabinet de Moïse Katumbi, est catégorique. «Quoi qu’on en dise – dialogue, négociations ou table ronde – ces attrape-nigauds lancés par le pouvoir ont pour seul but de leurrer une opposition dont certains membres semblent déjà essoufflés», a-t-il dit.

Insolite est toutefois le silence assourdissant de l’Usn, plateforme pilotée par l’Udps, parti politique dont aucune des ailes ne veut engager Félix Tshisekedi dans une prise d’opinion que ce dernier peut ne pas apprécier. On préfère attendre, observer !

Bref, pour l’heure, Martin Fayulu semble bien seul dans sa nouvelle croisade.

C’est là aussi la rançon de son “borderline”! En moins d’une année, il a pris des positions troublantes. D’abord en annonçant le boycott des élections de 2023 avant de se rétracter et de déposer sa candidature à la présidentielle sans candidats aux législatives. De l’aventure. Ensuite en boycottant en 2024 l’initiative d’Ensemble de Moïse Katumbi d’organiser le fonctionnement de l’Opposition selon la loi et, maintenant, de vouloir impliquer celle-ci au dialogue !

Un petit état des lieux aligne des interrogations

Qu’à cela ne tienne !

Dans la situation actuelle, la tenue du Dialogue devient inéluctable.

La situation générale aux plans politique, diplomatique, sécuritaire, économique et sociale n’a rien de rassurant. Pour peu qu’on soit honnête avec soi, on doit reconnaître qu’aucun secteur de la vie nationale ne fonctionne normalement pour l’instant. La preuve, c’est de voir l’éternuement au sein du parti présidentiel (Udps) faire tousser même l’Etat, comme si le Mpr Parti-Etat s’était reconstitué au pays !

Un petit état des lieux aligne des interrogations :

-au plan sécuritaire, il se constate que la trêve humanitaire préconisée par nos partenaires étrangers a pour effets négatifs l’extension par la collusion M23/AFC via la RDF des territoires occupés, la répression disproportionnée des manifestations publiques et l’expansion de l’épidémie de Mpox ;

-au plan économique, il se constate la levée des boucliers des macro économistes autour des mesures du gouvernement pour lutter contre la hausse des prix des denrées de première nécessité (d’où l’envie de les boucler dans un bocal – oui bocal et non local – duquel ils ne sortiront qu’avec la solution pragmatique de ramener le poisson dans l’assiette des Zaïrois, pardon des Congolais ;

-au plan financier, il se constate l’insolite consistant dans le chef du ministère des Finances, d’une part, à émettre des bons du Trésor pour USD 50 millions seulement et, d’autre part, à se vanter d’avoir réalisé un excédent budgétaire de USD 400 millions la même période ;

-au plan social, il se constate le retour fort redouté de la saison de pluie sous peu pendant que la voirie laisse à désirer, tout au moins dans la partie occidentale du pays dont Kinshasa-la-boudeuse.

A peine sorti, le Gouvernement Judith Swaminua Tuluka tarde à prendre réellement son envol si bien que le Chef de l’Eat a anticipé lui-même l’annonce d’un Judith Swaminua Tuluka II début 2025 !

Tout le monde le sait dans ce pays : la simple rumeur d’un remaniement affecte la productivité de l’équipe gouvernementale. Or, là, ce n’est pas une rumeur. C’est le Chef de l’État qui a parlé.

Résultat : panique dans les Cellcom des ministères, des entreprises, établissements et des services publics. Certains gestionnaires recourent à la victimisation !

Il faut passer par un dialogue

Vous avez dit Chef de l’Etat ? Depuis janvier 2019, Félix Tshisekedi agit en chef du Gouvernement, réduisant le Premier ministre en coordonnateur de l’Exécutif, en Premier commissaire d’État. Deux des survivants de l’époque mobutienne (Léon Kengo et Evariste Mabi Mulumba) peuvent en témoigner.

On ne cessera jamais de le dire : l’article 91 de la Constitution actuelle n’est pas indiqué pour la RDC. Le législateur avait certes cru éviter le présidentialisme de type Mobutu et L-D. Kabila. Il a fauté.

On ne peut, en effet, imposer au candidat président de la République le vote au suffrage universel direct sur toute l’étendue du pays et le priver de la conduite de la politique de la Nation.

A son corps défendant, Félix Tshisekedi gère le Gouvernement puisqu’il donne des instructions à ses membres.

Conséquence : le bilan du Gouvernement est d’abord le sien.

Avant toutefois d’épiloguer sur cette matière, force est d’admettre que des 9 États voisins de la RDC, aucun ne fonctionne avec un Premier ministre qui soit réellement chef du Gouvernement. Tous les Présidents de la République exercent pleinement la fonction de patrons de l’Exécutif national.

C’est peut-être là la faiblesse de la RDC. D’où nécessité de re-visiter certaines dispositions de la Constitution.

Or, pour le faire de façon, notamment, à définir le régime politique et la forme de l’État non formalisés clairement dans la Constitution, il faut passer par un dialogue. Quel dialogue cependant ?

A notre humble avis, le pays a besoin d’un Dialogue de re-fondation, de ré- créaction du Congo !

Et pour cause !

A moins de vouloir être premier à son village que second à Rome

L’article est passé inaperçu. Publié dans les médias congolais le 19 août 2024, il a pour titre ” Brève histoire de la RDC : ce pays qui n’existait pas vraiment, peut-il exister un jour ?”. L’auteur, Christian Gambotti, se présente en “Agrégé de l’Université, Président du Think Tank Afrique & Partage, Président du CERAD (Centre d’Etudes et de Recherches sur l’Afrique de Demain), Directeur général de l’Université de l’Atlantique (Abidjan), Chroniqueur, essayiste, politologue”.

Il affirme” que “de 1885 à 2019, la RDC n’existe pas vraiment dans l’Afrique du vieux monde”.

On ne sait pas trop pourquoi a-t-il fait le choix de mettre en exergue pareille exception. Mais au moins, le mérite est de nous rappeler que le Congo, notre grand, riche et beau pays, n’a jamais existé jusqu’à l’avènement de Félix Tshisekedi, à l’en croire !

C’est quasiment le message passé en 1996 avec le fameux plan de le démembrer le pays, plan intitulé ” ZAIRE NO ETAT” ou “ZAÏRE, ETAT NÉANT” et dont la publication avait précédé de quelques semaines la guerre de l’Afdl. Il était question de balkanisation !

36 ans plus tôt, Lumumba en parlait déjà. Et 64 ans après le héros national, on continue d’y faire allusion ; le suggestionnent s’étant bien installé dans le subconscient du Congolais.

Comment conjurer le sort en voulant agir en solo, comme d’aucuns tentent de le faire ?

A moins de se résigner à être premier à son village que second à Rome (citation prêtée à Jules César), tout acteur politique majeur congolais doit bien se sentir dans l’obligation de participer à tout Dialogue censé sauver le Congo dans ce qu’il a de précieux : son intégrité territoriale, au demeurant menacée par les velléités expansionnistes rwandaises certes, mais aussi probablement d’autres voisins.

 

Avoir le même ADN n’est pas forcément une fatalité

C’est l’occasion, de toutes les façons, pour nous de le répéter : primo, chaque dialogue a sa dynamique. Secundo, et là nous paraphrasons l’américain Lee Iacocca lorsqu’il dit : ” toute bonne décision prise trop tard devient une mauvaise décision”.

Il est vrai que pour l’heure, le Congolais ayant le pouvoir de décider de la convocation ou non de ce forum est Félix Tshisekedi !

S’il s’y soustrait – c’est son droit absolu – il va devoir en assumer la conséquence normale, à savoir la perte de l’initiative politique. Une très mauvaise chose quand on gère un pays, voire un parti.

Mobutu et L-D. Kabila l’ont appris à leurs dépens.

Ayant su devancer les évènements, et mu par l’expérience, Joseph Kabila s’en est tiré à bon compte à tous les dialogues dont il a favorisé la tenue : Sun City en 2003, Palais du Peuple en 2013, Cité de l’Union africaine et Centre Interdiocésain en 2016.

Même si comparaison n’est pas raison, un certain Étienne Tshisekedi passa les 32 dernières années de sa vie à dire NON même là où il ne le fallait pas, et il ne succéda ni au maréchal, ni à Mzee, moins encore au sénateur à vie.

C’est pour dire que le fait d’avoir le même ADN n’est pas forcément une fatalité…

Omer Nsongo die Lema




Volley-ball: Bilan de la 1ère journée du championnat provincial du Haut-Katanga

Le coup d’envoi de la 1ère journée du championnat provincial de volley-ball a été donné ce mardi 27 août 2024 au Collège la Référence du Bel air.

VC Mazembe vs VC Cheminots (M) : 3-0 (25-11, 25-18, 25-6)

VC Ecovo vs VC Police (M) : 1-3 (22-25,26-24,21-25,11-25)

VC Mazembe vs VC Baraka (D) : 0-3 (11-25, 12-25,11-25)

VC Lupopo vsVC Okapi (D) : 0-3 (10-25,14-25,12-25)

Antoine Bolia




Taekwondo WT: Les champions de l’Entente Kin Ouest pour pupilles, minimes, Benjamins et cadets ont été primés

Depuis le vendredi 23 août 2024, tous les champions de l’Entente de taekwondo de Kinshasa Ouest pour les catégories (Pupiles, minimes, Benjamins et cadets) sont tous connus.

Organisé du jeudi 22 août et le vendredi 23 août 2024 à l’école Bawoyo de Bandalungwa par l’Entente de taekwondo de Kinshasa Ouest que préside Me Jean Paul Koyalodi, ce championnat qui avait réunis les jeunes athlètes de catégories précitées, a répondu aux attentes du public.

Le vendredi 23 août 2024 a marqué la dernière journée de compétition et la remise des prix. Présence remarquable de Me Alain Badiashile, président de la Fédération Congolaise de Taekwondo accompagné du Trésorier Général de la Fécot, Me Félix Makolo. Me Eddy Mayamba, entraîneur national et Maitre Domi Ilunga, Directeur Technique National Adjoint ont eux aussi rehaussé de leur présence la manifestation.

Pour la circonstance, Me Jean Paul Koyalodi et ses collaborateurs de l’entente Kinshasa Ouest, ont fait disputer les demie finales et finales de toutes les catégories (Pupiles, minimes, Benjamins et cadets).

Remise des médailles et prix

Le comité organisateur a mis à la disposition de trois premiers classés de chaque catégorie un kit des objets classiques en plus une médaille d’or, d’argent et de bronze suivant la place occupée. Ayant raflé 7 Médailles d’or, le Taekwondo Club Cobasky a remporté le trophée de club champion.

Antoine Bolia




Aikido: Le président de la Fédération Congolaise d’Aikido Henry Nko a fêté hier son anniversaire

Président de la Fédération Congolaise de Takeda Ryu Nakamura Ha –Wikipédia Aikido ‘’FECOA’’, M. Henry Nko a fêté son anniversaire de naissance hier mardi 27 août 2024.

L’Aikido pour ceux qui ne le savent pas, est un art martial traditionnel japonais. C’est comme le judo et le self Défense. L’Aikido se pratique avec le sabre, c’est-à-dire le bâton.
M. Henry Nko n’est pas un parvenu dans le mouvement sportif congolais et dans l’encadrement de la jeunesse congolaise. C’est un grand dirigeant qui a énormément contribué à la promotion du catch et de la Lutte en RDC. A son époque, le catch et la Luttes avaient atteint une popularité indiscutable. Il fut 1er Vice-président de la Fédération Congolaise des Luttes Associées ‘’Fécoutta’’.

M. Henry Nko est promoteur d’un grand complexe scolaire Anna Paolizzi sur arrêt habitat dans la commune de Mont-Ngafula. Il fut propriétaire de l’Agence en communication AS Média. C’est M. Henry Nko qui a donné le nom de la Lutte Africaine lors de sa codification au 5è jeu de la francophonie à Niamey, au Niger et tant d’autres réalisations à son actif.
Bon et heureux anniversaire à M. Henry Nko à qui la rédaction souhaite longue vie.
Antoine Bolia




Basket-ball : 41e Coupe du Congo à Kinshasa, Des trois chiffres étaient à l’honneur à la Deuxième journée ce mardi 27 août

On a joué hier mardi 27 août 2024 la 2è journée de la 41e édition de la Coupe du Congo de Basket-ball au Gymnase jumelée 1 du stade des Martyrs de la Pentecôte Kinshasa. Quatre rencontres étaient à l’affiche et ont donné les résultats suivants :

Mardi 27/08/2024

AJAKM (Kin) vs Hatari (Kin) : 23-103

1er Quart temps : 03-26

2è Quart temps : 12-20

3è Quart temps : 03-23

4è Quart temps : 05-34

Black Panthers (Goma) vs Vita (Kin) : 59-77

The Young (Goma) vs Terreur (Kin) : 46-100

1er Quart temps : 16-30

2è Quart temps : 06-28

3è Quart temps : 15-25

4è Quart temps : 09-17

Chaux Sport (BK) vs Lupopo (L’shi) :

Le match SCTP (Kin) vs Cyclone (Goma) initialement programmé a été reporté à une date ultérieure car l’équipe de Cyclone n’a pas encore foulé le sol kinois.

A suivre Mercredi 28/08/2024

9h00 : Virunga (Kin) vs U.O.M (M) :

11h00 : Chaux Sport (BK) vs AJAKM (Kin) (F) :

13h00 : Cyclone vs Noudjoum (Matadi) (M) :

15h00 : Lupopo (L’shi) vs Black Panthers (F)  :

17h00 : Rehoboth vs New Generation (Kin) (M) :

Signalons qu’à la 1ère journée, le Lundi 26 août 2024, CNSS ex INSS a étrillé Lupopo de Lubumbashi 127-44 chez les dames. Et chez les messieurs, ASB Virunga de Goma, équipe tenante du titre a battu Mazembe Espoir de Lubumbashi 73-63.

La compétition se jouera du 26 août au 07 Septembre 2024. 11 Provinces seront présentes. Il s’agit de : Kinshasa, Haut- Katanga, Kongo Central, Lualaba, Tshopo, Ituri, Maniema, Kasaï-Oriental, Kasaï- Occidental, Nord et Sud-Kivu.

La composition des groupes se présente comme suit :

Version féminine

Groupe A : BC CNSS (Kin), Black Panther (Goma), BC Amani (Matadi), BC V.Club (Kin) et BC Lupopo (Lubumbashi)

Groupe B : BC Makomeno (Lubumbashi), Chaux Sport (Bukavu), BC Hatari (Kin), BC Taïfa (Kolwezi) et AJAKM (Kin)

Version Masculine

Groupe A : Terreur (Kin), The Young, SCTP (Matadi) et C.C.I

Groupe B : BC Virunga (Goma), Mazembe Espoir (Lubumbashi), Université de Mbuji-Mayi (K.Or), BC Shem Shem (Lualaba)

Groupe C : Chaux Sport (Bukavu), SCTP (Kin), Noudjoum (Matadi), BC Lupopo (Lubumbashi) et BC Cyclone (Goma)

Groupe D : Maniema Union (Kindu), New Generation (Kin), BC Mwanga (Lualaaba) et BC Reh

oboth (Kananga)

Antoine Bolia




Kwilu : Le pont Kabangu réhabilité par l’Office des routes à Bulungu

Le territoire de Bulungu, situé dans la province du Kwilu a bénéficié d’un ouvrage très important de la part de l’Office des routes. Il s’agit du pont jetté sur la rivière Kabangu.

L’Office des Routes, sous la Direction du Premier ingénieur routier Jeanneau Kikangala, vient de mettre en Service le redoutable Pont Kabangu qui avait récemment cédé alors que ce dernier était déjà dans sa phase de finition.

Cette réalisation marque une avancée significative dans l’amélioration des infrastructures routières de la région, en facilitant ainsi la mobilité dans les échanges commerciaux pour l’intérêt de la population de cette partie du pays.

Situé à Bulungu au PK 80, ce Pont du type Matière qui mesure 42,70 m de longueur et 4, 20 m de largeur, est un pari gagné pour le patron de l’Office des Routes dans l’exécution de la vision du président de la République, dans le volet infrastructures routières.

 

Mboshi




Nord-Kivu : Plus de 40 civils libérés, grâce aux opérations conjointes FARDC-UPDF à Béni

Les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) en coalition avec l’Armée Ougandaise UPDF ont procédé à la remise officielle de 49 civils libérés grâce aux opérations conjointes menées dans la zone contre les terroristes ADF/ MTM.

Parmi eux, des femmes et des enfants qui étaient détenus par les terroristes ADF, ont été remis officiellement à la société civile et la Monusco ce mardi 27 août 2024, après une prise en charge psychologique.

 

Le porte-parole des opérations sokola 1 Grand Nord, le colonel Mak Hazukay salue le travail abattu par ces deux armées qui se démènent pour imposer la paix et la sécurité dans les territoires de Béni, Irumu, Mambasa et Lubero.

Pour sa part, Maître Pépin Kavotha, président de la société civile coordination de Béni, souhaite voir la communauté entière accueillir les ex-otages sans les stigmatiser, car ils ne constituent aucun danger.

Cette libération prouve une détermination des FARDC et UPDF afin de mettre un terme aux groupes armés.

 

Alain Wayire depuis Beni




RPDC: «Nous ferons face résolument à toute menace nucléaire des USA!»

Voici un communiqué (24/08/2024) de presse du porte-parole du Ministère des Affaires Etrangères (MAE) de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC sise au nord de la Péninsule coréenne et créée 3 ans après la Libération Nationale 1945:

  • Puissance nucléaire consacrée à sauvegarder non seulement son idéologie, son système, sa dignité, sa vie ainsi que sa souveraineté, sa sécurité, ses intérêts mais aussi la paix et la sécurité de la Région et du monde entier
  • Superpuissance politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Bienfaiteurs dont les Généralissimes KIM IL SUNG 1912-1994 et KIM JONG IL 1942-2011, et le Maréchal KIM JONG UN, NDLR):

Récemment (21/08/2024), le porte-parole (Sean David SAVETT) du Conseil de Sécurité Nationale (ou NSC ou National Security Council à la Maison-Blanche, NDLR) des USA (ou United States of America ou Etats-Unis d’Amérique; occupants de la moitié Sud de la Péninsule coréenne dès 1945 jusqu’ici avec leurs 1.000 engins nucléaires et 30.000 GI’s coiffés des Casques Bleues censées être ôtées depuis 1975 grâce à la Résolution № 3390B 18/11/1975 de l’Assemblée Générale de l’ONU mais toujours en vain, après leur fiasco dans la 1ère invasion de la Corée en 1866 bientôt recouvré par leur réussite dans la domination 1905-1945 de procuration de toute la Corée par le Japon à travers la collusion USA-Japon 29/07/1905, cela selon l’esprit de leur Destinée Manifeste de 1845, NDLR), reconnaissant officiellement (à travers sa déclaration adressée à la VOA, NDLR) que l’Administration US avait révisé, en mars dernier, les Directives de l’Usage d’Arme Nucléaire, a:

  • déclaré qu’elles ne visaient pas un Etat déterminé
  • exprimé, pourtant, ses «préoccupations» à l’égard de l’élévation du niveau des forces armées nucléaires des Pays souverains comme la RPDC, la Russie et la Chine.

C’est une tentative puérile visant à:

  • justifier la stratégie dangereuse des USA en matière d’emploi de l’arme nucléaire, destinée à la dissuasion militaire contre d’autres Pays et au maintien de l’hégémonie géopolitique
  • échapper au blâme de la Communauté internationale.

Le MAE de la RPDC:

  • exprime ses graves préoccupations sur la conduite des USA qui cherchent à s’assurer la supériorité nucléaire unilatérale à l’encontre du vœu de la Communauté internationale pour la paix et la stabilité mondiales, et la détente, en inventant toujours une «menace nucléaire» de quelqu’un d’autres
  • la condamne fermement.

Le réglage du dispositif nucléaire des USA disposant du plus grand arsenal nucléaire du monde exerce une influence néfaste vraiment grave sur l’équilibre nucléaire, la sécurité et le système de désarmement nucléaire à l’échelle planétaire. L’actuelle Administration US ayant préconisé, dans sa promesse électorale, la «Politique de non-utilisation en 1er de l’arme nucléaire» l’a niée dans le «Rapport sur la vérification du dispositif nucléaire» publié après son accession au Pouvoir pour consacrer, chaque année, une somme astronomique à la modernisation des forces armées nucléaires. Surtout, les USA ont érigé leur alliance avec les Pays de la Région d’Asie-Pacifique, entre autres:

  • la ROK (ou Republic of Korea ou République de Corée – créée, unilatéralement, un mois avant la RPDC dans le cadre de la division perpétuelle avec son côté Nord en ignorant ou négligeant, totalement, son homogénéité nationale – qui tire son origine, avec siège à l’étranger, en 1919 sous la domination 1905-1945 du Japon, sans aucun pouvoir ni autorité restaurés en seule apparence par les USA ayant divisé la Péninsule coréenne en 1945 pour mieux régner; DROM-COM des USA – comme le Japon depuis 1945 – obligé ou forcé, afin de survivre ou subsister, de désigner la RPDC comme ennemi principal, NDLR)
  • le Japon (le plus obsédé ou ambitieux de l’expansion d’outre-mer avec sa 1ère invasion 1592-1598 de la Péninsule coréenne – sa plus voisine géographique – et stigmatisé Etat ennemi par la Charte de l’ONU du fait de ses crimes immoraux les plus graves contre l’Humanité commis pendant sa domination 1905-1945 de la Corée occupée sous la collusion USA-Japon 29/07/1905, tels que le kidnapping et la réquisition forcée de 8,4 millions de jeunes et adultes coréens comme pare-balles et pour les travaux forcés, le massacre atroce de 1 million des Coréens et le système d’esclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200 milles Coréennes, etc., NDLR),

en bloc militaire basé sur le nucléaire, et formé même un Groupe Consultatif Nucléaire (ou NCG ou Nuclear Consultative Group créé en vertu de la Déclaration de Washington 26/04/2023 adoptée durant le Sommet USA-ROK, NDLR) contre un Etat souverain contrairement aux principes universels du Droit international y compris la Charte de l’ONU. Même au 21ème siècle comme au siècle dernier, les menaces nucléaires contre la Communauté internationale viennent des USA.

Les efforts des Etats souverains ou indépendants ou épris de l’émancipation visant à accroître leur potentiel de défense nationale face aux menaces nucléaires des USA toujours intensifiées ne peuvent être prétextés, en aucun cas, pour:

  • le renforcement d’une force nucléaire agressive
  • le réglage d’un dispositif nucléaire provocateur.

La RPDC:

  • renforcera, à l’avenir aussi par tous les moyens, sa force stratégique à même de contrôler et de juguler toutes sortes de défis qui pourront être lancés à sa sécurité à cause du réglage dangereux du dispositif nucléaire des USA
  • fera face, résolument, à toute menace nucléaire.




La diplomatie japonaise affirme son refus de l’intrusion du Polisario et réitère sa non reconnaissance de cette entité

La réunion ministérielle de la conférence internationale de Tokyo sur le développement en africain (TICAD) a été l’occasion, encore une fois, pour l’Algérie, de forcer le représentant du front Polisario au sein de cet événement organisé par le japon et les Etats reconnus par les nations unis. A travers cette manigance, la diplomatie algérienne et la pseudo RASD visait de dérober une pseudo reconnaissance de la part du Japon. Ironie du sort, elles obtiennent tout le contraire, une déclaration solennelle du Ministre japonais affirmant devant non seulement toute l’Afrique mais devant le monde entier que le Japon ne reconnaît pas l’entité et que son intrusion à la conférence ne change en rien sa position. Par ailleurs, dans une déclaration officielle, Le ministre délégué japonais des affaires étrangères, FukazawaYoichi, qui intervenait en séance plénière, a affirmé que l’intrusion du “Polisario” à cette réunion “ne change en rien la position du Japon ». Il a également souligné qu’il n’invite aux Conférences de la TICAD que les Etats membres des Nations Unies.

Le renouvellement de la position japonaise vient s’ajouter aux  échecs accumulés par les dirigeants du front et son parrain l’Algérie sur les plans diplomatique et militaire. Aussi, cet incident doit pousser de nombreux pays africains à expulser de leurs rangs le Polisario qui commence à empoisonner les relations de l’union africaine avec ses partenaires internationaux.




Karim Mosta : la muraille photovoltaïque contre la désertification

Le cycliste marocain Karim Mosta se trouve actuellement en Mongolie intérieure. Il s’agit de la troisième étape en Chine de son périple à vélo Casablanca-Beijing après le Xinjiang et le Gansu. Hier, alors qu’il se rendait à la ligue d’Alxa, il a déclaré que les panneaux photovoltaïques avaient transformé les déserts en oasis et que cela était l’avenir de la prévention et du contrôle de la désertification.