La tradition pour sauver le pays 

La civilisation africaine a été fortement détruite et la transmission des valeurs africaines combattues par les institutions internationales. L’Afrique se perd sans personnalité et sans identité.

Hier reconnue comme berceau de l’humanité, aujourd’hui, elle doit apprendre tout de ceux qui n’avaient aucune civilisation.

Nos ancêtres qui s’organisaient en royaumes dont Lunda, Kuba, Luba, Kongo, Ngala, Mbala, Tshokwe, Yanzi… avaient de vraies valeurs traditionnelles qui se léguaient avec le partage des responsabilités. Les chasseurs étaient connus, les ouvriers aussi et les cultivateurs étaient bien identifiés.

Cette civilisation organisait la société de savane et de foret. Ils ont décidé de vivre ensemble et le vol était exclu. La tradition arrangeait la punition du voleur et de détourneur. Les assassins étaient châtiés en public pour que le mal soit éradiqué.

Il est advenu la colonisation qui a amené la démocratie et les droits de l’homme. Cette soi-disante démocratie a détruit les valeurs ancestrales en déclarant le pauvre avoir le même droit de richesse sans travail que le riche. Les gens ont abandonné le travail manuel et se sont livré au plaisir et à la politique. Les villages sont abandonnés pour se rendre dans les villes et l’occident et le politicien voulant vivre comme le blanc, a oublié son rôle primaire d’organisation de son village pour chercher à rouler carrosse et à disposer de gros revenus. L’égoïsme qui n’est pas une valeur africaine mais occidentale a été inculquée dans nos écoles et dans nos universités. Le cours de civisme a été remplacé par l’éducation à la vie qui se donnait à un certain âge dans nos villages.

L’organisation de droits de l’homme est venu pour sauver les bandits, les kulunas et les voleurs avec leur arme nuisible, la présomption d’innocence. Or la tradition africaine avait de règles précises dont le coupable avait du mal à fuir.

Au Kenya, une fille a volé un homme dans la chambre d’hôtel. Les abeilles l’ont pourchassée et ses mains étaient remplies d’abeilles. Cette justice traditionnelle qui était efficace pour poursuivre tout celui qui aurait volé les biens publics et qui se retrouverait dans les liens de la tradition a été abandonnée pour la justice blanche. Les kulunas peuvent couper les bras de paisibles citoyens, entrer par effraction dans les maisons et nier les faits ou protéger par la justice. On peut tromper son pays et détourner de l’argent et construire un grand immeuble sans s’inquiéter. Et les juges peuvent donner raison au coupable sans conséquence. La justice traditionnelle n’a jamais été du côté de voleurs. La démocratie et les droits de l’homme donnent aux pauvres, aux malfrats et aux assassins un grand pouvoir.

Au nom de cette démocratie, les règles du pouvoir dépendent des autres et non du Président ou d’un chef du village.

Kamuena nsapu, Bundu dia Kongo pour ne citer que ces deux cas sont ceux qui doivent interpeller notre conscience africaine et surtout congolaise devant la mort de détenteurs de nos valeurs ancestrales. On a minimisé le ministère de la décentralisation et on s’est plongé dans les finances et budget oubliant qu’on vendait le pays aux étrangers. N’est-il pas temps de rassembler les forces traditionnelles devant le chaos pour récupérer nos valeurs et droits traditionnelles dans tous le pays et territoires occupés ? Si les drones sont une intelligence occidentale, l’intelligence africaine aussi existe. Il ne suffit pas seulement d’aller envoûter les gens en occident mais il est temps de valoriser ces choses pour libérer le pays. Que les drones ancestraux entrent en action à l’Est et dans notre justice pour chasser les occupants et les voleurs !




EAST AFRICAN COMMUNITY: CIVIL AVIATION SAFETY AND SECURITY OVERSIGHT AGENCY

JOB VACANCIES

The EAC Civil Aviation Safety and Security Oversight Agency (EAC-CASSOA) is a self-accounting institution of the East African Community mandated to assist the EAC Partner States undertake their aviation safety and security oversight obligations effectively.

The Agency is seeking to recruit qualified, highly motivated, self-driven and result-oriented individuals to fill the following positions:

ESTATES MANAGEMENT ASSISTANT (G4) (CAS/HR/001/2024-2025).

OFFICE SECRETARY (G4) (CAS/HR/002/2024-2025).

 

Only candidates from the following Partner States will be eligible for consideration for the above roles: Republic of Rwanda, Republic of Uganda, United Republic of Tanzania, Republic of South Sudan, Democratic Republic of Congo and the Federal Republic of Somalia.

 

PROCUREMENT OFFICER (P1) (CAS/HR/003/2024-2025).

Only candidates from the following Partner States will be eligible for consideration for the above role: Republic of Burundi, Republic of Kenya, Republic of South Sudan, Democratic Republic of Congo and the Federal Republic of Somalia.

 

Interested candidates are advised to read the detailed requirements of the above positions on https://www.cassoa.org/category/vacancies/.

 

Applications, quoting the job advert reference number of the position applied for in the application letter & as the subject on the email, should be sent via email (all soft copies should be in PDF and in one file) to the email address recruitment@cassoa.org and should comprise of a signed application letter; the completed and signed EAC CASSOA Personal History Form; copies of relevant academic and professional certificates; proof of nationality and age i.e. copy of national identity card, birth certificate or passport.

 

The applications should be received not later than 13th September 2024.




Des OPJ de Mbandaka dans la lutte contre la corruption

Une trentaine d’Officiers de Police Judiciaire (OPJ) se sont engagés, jeudi 29 août, à combattre la corruption et à travailler honnêtement afin d’honorer leur institution et redorer leur dignité.

Ces OPJ ont pris cet engagement à l’issue de la campagne de sensibilisation, organisée par l’Observatoire de surveillance de la corruption et de l’éthique professionnelle (OSCEP), au bénéfice des auxiliaires de la justice à Mbandaka. Le Directeur provincial de l’OSCEP à l’Equateur, Taylor Lompoko Mpela, espère voir des changements positifs de ces agents et leur implication dans la lutte contre la corruption qui gangrène la société et contre toutes les pratiques y afférentes.

« Ils doivent être des citoyens dignes, et intérioriser la notion de la moralité et de l’éthique », a indiqué Taylor Lompoko, faisant un rappel à faire preuve de bonne moralité et à respecter leur éthique professionnelle.

Ce dernier a également appelé la population à intérioriser les valeurs morales, notamment l’intégrité et à les transmettre aux enfants dès le bas âge, indique-t-on par de sources sur place.




Selon Dr Steve Ahuka de l’INRB: Le Mpox reste contrôlable.

Docteur Steve Ahuka, directeur du Département de virologie à l’Institut National de Recherche Biomédicale (INRB) a affirmé, jeudi 29 aout, lors d’une Journée scientifique, organisée à l’Institut national de recherches biomédicales (INRB) que « la variole du singe, MPOX, est « une maladie qui reste contrôlable ». Pour ce, le professeur Steve Ahuka a invité le public à la vigilance face à cette épidémie.

 

Représentant du Directeur général de l’Institut national de Santé publique, Pierre Akilimali, il pense qu’il est « temps de rectifier les tirs pour bien atteindre la population ».

 

Pour sa part, au cours de cet atelier, Dr Delphin Katchelewa a encouragé la population et les Institutions médicales à se mettre ensemble pour combattre le Mpox. Celui-ci a porté sur le thème : « De l’évidence actuelle sur le Mpox, l’implication de la riposte en RDC ».

Le premier cas de la variole de singe était identifié en RDC à Basankusu dans la province de l’Equateur. Devenue de portée internationale, cette épidémie nécessite l’implication de toute la population, rappelle-t-on.




RDC: Bientôt un nouveau vaccin pour lutter contre le Mpox 

Face à l’épidémie de Mpox qui sévit en République Démocratique du Congo, une lueur d’espoir vient de s’allumer. Lors d’une rencontre jeudi 29 Août avec le Président Félix Tshisekedi, le Directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus, a annoncé l’arrivée imminente des vaccins contre cette maladie.

Les vaccins, une fois déployés, devraient permettre de freiner considérablement la transmission du Mpox et de protéger les personnes les plus vulnérables.

“Je suis déterminé à faire en sorte que les vaccins arrivent en RDC dans les meilleurs délais”, a assuré le Dr Tedros.

Cette promesse est le fruit d’une collaboration étroite entre l’OMS et les autorités congolaises, qui travaillent ensemble pour mettre en place une réponse efficace à cette épidémie.

Le Dr Tedros a par ailleurs réitéré l’appel à la mise en place d’un traité mondial sur les pandémies. Ce traité, qui devrait être finalisé d’ici fin 2024, permettra de garantir une répartition équitable des vaccins et des traitements, ainsi que de renforcer les systèmes de santé dans les pays les plus vulnérables.

La lutte contre le Mpox est un défi qui concerne toute la société. Les autorités sanitaires, les organisations internationales et la population doivent travailler de manière coordonnée pour mettre fin à cette épidémie.

 

 

Orchidée




À l’occasion du Sommet du Forum sur la coopération sino-africaine qui se tiendra du 4 au 6 septembre à Beijing, CGTN-Français a lancé la série

À l’occasion du Sommet du Forum sur la coopération sino-africaine qui se tiendra du 4 au 6 septembre à Beijing, CGTN-Français a lancé la série « Lettre de réponse », dans laquelle de jeunes Africains, comme un étudiant kényan de l’Université Jiaotong de Beijing, un étudiant rwandais de la classe internationale de maîtrise en audit de l’Université d’audit de Nanjing, des étudiants de l’Institut Confucius de l’Université de technologie de Durban en Afrique du Sud, racontent des histoires liées à une lettre de réponse.

 




Message insolite : ‘On ne sauvera le Congo qu’en 2028’ ! En attendant, le peuple n’a qu’à se débrouiller avec le régime Udps/Usn !

Récupérée par les forces politiques et sociales déterminées à rejeter tout schéma menant au dialogue, la rengaine _” Bolamba, bolia, tokoya kuna te_” incite à se demander si l’Opposition, la Résistance et la Société civile ont résolu de donner feu vert au régime Udps/Usn feu vert pour faire ce qu’il lui plaît jusqu’en 2028 ! Si tel est le cas, la conséquence logique se devine : leurs critiques, observations, recommandations etc. seront décrétées sans objet au cours de ce quinquennat !

La situation actuelle rappelle aux Congolais deux initiatives lancées la première en 1998 par Laurent-Désiré Kabila, la seconde en 2013 par Joseph Kabila. Quand il avait vu Paul Kagame utiliser le Rcd pour couvrir la deuxième agression, Mzee avait lancé un appel à la cohésion nationale ignoré par plusieurs Mobutistes pour avoir été malmenés en 1997. L’Opposition de l’époque, pilotée par l’Udps, l’avait laissé se débrouiller avec ses “amis” de l’ex-Adfl. On connaît la suite. En 2013, voyant Paul Kagame utiliser le M23, Joseph Kabila avait lancé le même type d’initiative.

La même Opposition, toujours sous le leadership de l’Udps, l’avait laissé se débrouiller avec ses “amis” de l’Afdl devenue successivement Rcd, Cndp, M23. Jamais deux sans trois, aujourd’hui, Paul Kagame utilise encore le M23, rejeton du M23 de 2012-2013, du Cndp, du Rcd et de l’Afdl. Cette fois, ironie du sort, c’est l’Udps qui est aux affaires. Félix Tshisekedi – son Autorité morale, pardon sa Haute Autorité de Référence (sic) – n’imite pas ses prédécesseurs. Il s’abstient de lancer un appel à la cohésion nationale. Il y a fait juste allusion avant de refermer les portes…

Apprendre à faire attention à l’usage des mots

Après avoir tourné en dérision l’Opposition actuelle au point de la qualifier de “pete-pete” (faible ou molle comparée à la sienne qui faisait “trembler” le Pouvoir), Félix Tshisekedi aurait-il refilé la tâche à Martin Fayulu pour battre le rappel des troupes ? C’est ce que laisse entendre la rumeur.

Si tel est le cas, Félix Tshisekedi commet une faute grave. En effet, il n’est pas sans savoir que le président de l’Ecidé n’a presque plus d’aura sur la population congolaise. C’est sous son mandat qu’il a fait le score le plus catastrophique de sa vie en recueillant 4,92 % des voix contre 34 % en 2018, même s’il se raconte qu’il avait gagné avec 61 % !

A la limite, pour son appel à la cohésion nationale via le dialogue – passage obligé pour y parvenir – le chef de l’Etat aurait dû s’en remettre aux confessions religieuses. Mais, là, les deux organisations religieuses crédibles en la matière (Cenco pour les Catholiques et ECC pour les Protestants), n’ont pas oublié le rôle négatif qu’on a fait jouer aux Kimbanguistes, aux Églises du Réveil et aux Églises indépendantes pour les écarter du dernier cycle électoral. D’ailleurs, en révélant dans son interview du 6 août 2024 l’échange qu’il a eu avec une délégation de la Cenco, Félix Tshisekedi a conscience d’avoir mis mal à l’aise les Catholiques. On ne voit pas les Protestants se substituer à leurs compagnons d’infortune.

Les chances en interne étant réduites, il en est de même d’une initiative en externe.

On devrait apprendre, ici, à faire attention à l’usage des mots. Tous les partenaires impliqués directement ou indirectement dans le Processus de Luanda préconisent la solution négociée entre deux États. Mais, dans leurs faits et gestes, il se dégage l’impression d’une solution politique globale en RDC.

Or là, Félix Tshisekedi a hermétiquement fermé la porte des négociations avec les “terroristes” du M23/AFC !

Résultat : il n’a pas à sa portée une autre personne pour concrétiser l’initiative de la cohésion nationale que lui-même !

A Félix Tshisekedi et aux siens un seul choix

La question, dès cet instant, est de savoir ce que va devenir le Congo. Car, s’il faut entendre et comprendre certains protagonistes – et non des moindres – le régime Udps/Usn n’a qu’à se débrouiller, quitte à tenir le coup jusqu’en 2028 s’il en a la capacité.

En d’autres termes, il est laissé à Félix Tshisekedi et aux siens le choix :

-soit de se démettre (s’il ne parvient pas à redresser la situation politique, diplomatique, sécuritaire, économique et sociale)

-soit de résister (et au besoin sombrer ou, pourquoi pas ? réaliser le miracle de la remontanda !).

Nullement besoin d’intermédiaire

Évidemment, personne n’est dupe : les perspectives de “remontanda” relevant du miracle, celles de la dégradation de la situation générale sont avérées. D’où cette interpellation : va-t-on laisser les choses se gâter?

Sont compris dans ce “On-là” Félix Tshisekedi, son régime, son parti et sa plateforme politiques, mais aussi l’Opposition toutes tendances confondues, la Résistance et la Société civile !

Quand on entend certains acteurs politiques récupérer à leur compte la rengaine _”Bolamba, bolia, tokoya kuna te_”, c’est comme s’ils disaient au peuple congolais de se débrouiller avec le régime Udps/Usn. C’est comme si on consommait l’infraction de “non assistance à personne en danger”.

Et comment !

On ne le souhaite pas, mais imaginons seulement que de façon brusque on apprenne l’incapacité physique du chef de l’État d’exercer sa fonction !

Serait-ce à ce moment-là qu’on brandira l’argument de l’échéance 2028 ?

On est dans une période où l’égocentrisme est à exclure de la réflexion en rapport avec l’état de la Nation.

Et, pour la énième fois, n’en déplaise aux objecteurs de la 25ème heure, c’est à Félix Tshisekedi, en sa qualité de Président de la République, de s’assumer.

Pour l’heure, il n’a nullement besoin d’intermédiaire, et surtout pas d’entremetteur, pour faire ce que tout le monde attend de lui : lancer l’appel à la cohésion nationale !

Libre à lui de s’inspirer ou non de L’Os de Mor Lame, conte écrit par Birago Diop.

Sa version congolaise est… “Kapwepwe…” !

Omer Nsongo die Lema




Le Sommet du Forum sur la coopération sino-africaine se tiendra du 4 au 6 septembre à Beijing.

Le Sommet du Forum sur la coopération sino-africaine se tiendra du 4 au 6 septembre à Beijing. A cette occasion, CGTN-Français a lancé une série de vidéos qui feront découvrir une image vivante des progrès et des réalisations obtenus par la Chine et l’Afrique dans le cadre de l’initiative « la Ceinture et la Route ». Cette série, intitulée « Communauté d’avenir partagé », couvrira un large éventail de coopérations entre la Chine et l’Afrique, dans des domaines comme la médecine et les soins de santé, la réduction de la pauvreté et la revitalisation rurale, la coopération économique et industrielle ou encore l’économie numérique.

 




Patrick Muyaya invité à la grande finale de l’élection « Miss Univers » Rdc

Féru des initiatives qui contribuent au rayonnement de la RDC à l’échelle internationale, le Ministre de la Communication et Médias Patrick Muyaya a été convié à la grande finale de l’élection “Miss Univers” RDC ce jeudi 29 août au Chapiteau du Pullman Hôtel à Kinshasa.

Miss Univers RDC est une expression magistrale d’un nouveau narratif qui met en exergue nos ambassadrices, ces promesses qui rallument la flamme de l’espérance pour donner une image positive de la RDC. Ce paradigme définit l’essence même de la recherche d’une dynamique affirmée des valeurs.

Pour le ministre de la Communication et Médias, Patrick Muyaya, l’événement est une occasion de déconstruire l’image négative que certains peuples se font de la République Démocratique du Congo et qui en parlent sous le prisme de la violence.

“Ce n’est ni la guerre, ni la violence qui définit la République Démocratique du Congo. Et l’expression changement de narratif est justement né à Goma parce que lorsque vous allez au Nord-Kivu, vous regardez toutes les merveilles qu’il y a là-bas, le dynamisme des jeunes, des hommes d’affaires, vous vous dites, cette partie du pays mérite d’être racontée dans ce qu’elle est véritablement. Et ce soir, grâce à cet événement où nous célébrons pas seulement nos beautés, mais aussi nos intelligences, parce que vous aurez l’occasion d’écouter certaines dames qui vont s’exprimer tout à l’heure. Nous allons gagner ce soir, pas une ambassadrice, celle qui gagnera, ira au concours mondial, mais aussi toutes ces femmes qui vont s’engager pour la cause des autres”, a dit Patrick Muyaya.

Le ministre de la Communication et Médias a dans la foulée salué la bravoure des 20 candidates qui sont arrivées en finale et félicité la directrice nationale de Miss Univers RDC Anado Kabika pour cette initiative. Un concours, mais également et surtout un engagement dans l’appui de la compagne patriotique « Tout pour la Patrie ».

“C’est cela aussi une forme de solidarité pour la République Démocratique du Congo, de s’engager non seulement dans ce concours de beauté, mais aussi dans ce concours des idées, des personnes qui peuvent s’engager pour nous appuyer dans la dynamique de Tout pour la patrie et de tout ce que nous faisons pour nous assurer que chaque congolais contribue au changement de narratif mais aussi à l’évolution de notre cher et beau pays”, a-t-il ajouté.

Pour cette édition nationale de renaissance, Ulda Amani (15) est désignée Miss par le jury. C’est elle qui portera le tricolore congolaise en novembre prochain au Mexique. La deuxième place est occupée par Aurèlie Mwadi (2) et la troisième par Océane Mpundu (17).

Dans la salle, le ministre Muyaya était avec son collègue du Tourisme Didier M’Pambia et le ministre provincial du tourisme Jésus Noël Sheke. Tous, ont encouragé cette initiative portée par Anado Kabika et ont souhaité à ce que Ulda Amani soit porteuse de message de paix à la 73ᵉ édition du concours Miss Univers qui aura lieu le 16 novembre 2024 à l’Arena Ciudad de Mexico au Mexique.

Notons que la RDC va signer son retour au concours Miss Universe Monde après 38 ans d’absence en novembre prochain au Mexique. La dernière participation du pays remonte en 1985 année à laquelle Benita Kanyonga était plébiscitée demi-finaliste au concours Miss Monde et 3e au concours Miss Univers.




RDC : Felix Tshisekedi et la fondation Bill Gates harmonisent autour de la vaccination des enfants

Le Président de la République Démocratique du Congo Félix Tshisekedi a échangé, ce jeudi à la Cité de l’Union africaine, avec le Dr Jean Kaseya, Directeur d’Africa CDC ainsi que Christ Elias, Président de la Fondation Bill et Mélinda Gates sur l’évolution de la vaccination de routine.

Il s’agit d’une vaccination pour les enfants en bas âge sur l’ensemble du pays. Ces vaccins seront entre autre contre la rougeole, la poliomyélite, la varicelle.

« La couverture a beaucoup augmenté, le nombre d’enfants souffrant de la poliomyélite a baissé de plus de 80% », a déclaré le Dr Kaseya.

Au sujet de la riposte contre le Mpox, le Directeur d’Africa CDC a rassuré que tous les documents sont signés.

“Nous sommes en train de faire de notre mieux pour qu’en début de semaine prochaine, les vaccins Mpox arrivent en RDC et qu’on commence à vacciner”, a-t-il expliqué.

En attendant les vaccins, les spécialistes de la santé estiment qu’il faut observer les mesures barrières afin de lutter contre la propagation de cette épidémie.

 

Mboshi