Jeudi 5 : présentation officielle des joueurs!

Septembre 2024 : place aux compétitions officielles pour lancer la nouvelle saison. Les Corbeaux se préparent tranquillement pour en vue du match à l’extérieur le 14 septembre devant les Zambiens de Red Arrows, en Ligue des Champions de la CAF, pour le deuxième tour des préliminaires.

La saison s’annonce palpitante sur terrain et dans les tribunes. Sur le terrain, le coach Lamine prépare ses plans de jeu… Et dans les tribunes, il faut maintenant un peu d’échauffement de la part des supporters!

Initialement inscrite au programme du 7 septembre, la présentation des joueurs est avancée au jeudi 5 septembre au Stade TPM de Kamalondo à partir de 14h00.

Les supporteurs sont attendus en grand nombre pour pimenter l’évènement, saluer les anciens parmi lesquels un capitaine sera désigné et ses substituts, découvrir les nouveaux joueurs et assister à un match amical international face à Nkana de la Zambie. Le tout au cours d’une cérémonie à ne pas manquer.




Mercato 2024-2025 : Patrick Mwaungulu, un international de plus au TPM

Le TPM étoffe son entrejeu en annonçant aujourd’hui le recrutement de l’international malawite, Patrick Mwaungulu (22 ans et 4 mois). L’ancien joueur des Nyasa Big Bullets a signé un bail de 2 ans (+ 1 an en option) avec les Corbeaux de Lubumbashi.

Doté d’une très bonne capacité d’élimination, ce jeune joueur explosif, capable d’évoluer dans l’entrejeu et sur les côtés, est un international malawite. L’année dernière avec Nyasa, le milieu de terrain offensif a été nommé meilleur joueur du tournoi de la FDH Bank Cup. Il a aussi mené son équipe au titre national.

Le TPM se réjouit de l’arrivée d’un international aussi talentueux au sein de l’effectif des Corbeaux. Avec ce recrutement, le staff technique espère que Patrick mettra en évidence précision, percussion, dribbles et vitesse afin d’aider au mieux l’équipe.

Bienvenue Patrick!




Ligue des Champions Féminine : L’AS Far couronnée championne de l’UNAF

Les Forces Armées Royales (AS FAR) ont remporté le titre de championnes de l’UNAF et obtiennent ainsi leur ticket pour la Ligue des Champions Féminine de la CAF.

L’AS FAR a remporté la victoire contre Toutankhamon avec un score de 1-0 lors de la troisième et dernière journée, ce qui a assuré sa place en tête du classement avec un total de 9 points.
Les Marocaines représenteront la zone nord-africaine lors des phases finales de la Ligue des Champions Féminine de la CAF, qui se tiendront plus tard cette année.
L’AS FAR, sacrée championne d’Afrique en 2022, participera pour la quatrième année consécutive à la compétition la plus prestigieuse dédiée aux clubs féminins du continent.
Najat Badri a inscrit le seul but de la rencontre à la 30e minute, un but capital qui a offert la victoire aux Marocaines et leur a permis d’accéder à la phase finale de la Ligue des Champions Féminine de la CAF 2024.
Les joueuses d’Akbou se sont imposées 4-1 face à l’Association Sportive de Sousse lors de leur confrontation du jour.
La compétition a été remportée par l’ASFAR qui a obtenu un total de 9 points, suivi du club Toutankhamon avec 6 points. L’équipe algérienne d’Aqbou a pris la troisième place avec 3 points, alors que l’Association Sportive Féminine de Sousse a terminé sans aucun point.
Sandrine Niyonkuru, attaquante burundaise du club Toutankhamun, a été élue meilleure buteuse du tournoi grâce à ses 5 buts marqués. Le club algérien d’Akbou a reçu le prix du fair-play.
Résultats de la troisième et dernière journée
Vendredi 30 août
AS FAR du Maroc 1-0 Club Toutankhamon
But : Najat Badri 30e
AKbou 4-1 Association Sportive Féminine de Sousse
Buts : Ikram Bahri 17e minute, Naïma Lammari 21e minute, Wassila Allouache 44e minute, Rahma Ben Aichouche 71e minute pour le club d’AKbou / Aya Majri 50e minute pour l’Association Sportive Féminine de Sousse.




RDC : Les Enseignants boycottent la rentrée scolaire de ce lundi 

Le Syndicat des Enseignants du Congo (SYECO) a annoncé ce vendredi une grève générale et illimitée à partir de lundi prochain, date de la rentrée scolaire 2024-2025. Cette décision intervient après l’échec des négociations avec le gouvernement concernant l’amélioration des conditions de travail des enseignants.

Dans un communiqué rendu public ce vendredi, les enseignants exigent du gouvernement notamment : une augmentation de salaire de 500$ soit 1.500 000 FC, le paiement de plus de 17 mois d’encadrement des agents de services centraux.

 

Le SYECO se dit ouvert au dialogue, mais reste ferme sur ses revendications. Le gouvernement est appelé à prendre des mesures urgentes pour répondre aux attentes des enseignants et éviter une crise sociale plus profonde.

 

Sachez également qu’au cours d’une assemblée générale tenue ce même vendredi à Kinshasa, la synergie des syndicats des enseignants de la RDC a demandé au gouvernement de fixer la rentrée scolaire au lundi 23 septembre prochain.

 

 

 

Orchidée




Luozi en effervescence à l’approche de l’arrivée de la Première ministre

La population du territoire de Luozi est en effervescence à l’approche de l’arrivée de la Première Ministre. À seulement quelques heures de sa visite, les habitants se réjouissent de la venue de Judith Suminwa Tuluka, originaire de leur province, élevée à la tête de l’Exécutif national.

Les principales artères de ce territoire de l’ex district des Cataractes reçoivent une cure de jouvence. Le célèbre rond-point Ngando revêt sa plus belle robe. Les agents des travaux publics sont à la tâche. Pour eux, Judith Suminwa qui sera la Première Cheffe du Gouvernement à séjourner à Luozi doit garder une bonne image de cette cité jouxtant le fleuve Congo.

Première femme nommée à la tête du Gouvernement central, Judith Suminwa Tuluka incarne l’espoir après des décennies de gouvernance masculine. C’est un véritable vent de fraîcheur qui souffle sur le pays à en croire les habitants de Luozi. Ils sont impatients de pouvoir toucher et communier avec celle qui est désormais l’image du renouveau.

Cette Première Ministre, dont la réputation de haute moralité n’est plus à démontrer, est saluée par tous dans le territoire de Luozi pour sa compétence, son engagement et sa détermination à mener le pays vers un avenir meilleur. Certains y voient même le retour de Kimpa Mvita, la légendaire reine guerrière qui a marqué l’histoire du peuple Kongo.

Grâce au discernement du Chef de l’État, Félix Tshisekedi, qui a su reconnaître en elle les qualités nécessaires pour diriger le Gouvernement, la Première Ministre bénéficie d’un soutien inconditionnel de la part de la population de cette partie du pays à écouter les témoignages sur place. A la cité du crocodile, la réputation de Judith Suminwa Tuluka l’a précédée. C’est tout le monde qui loue son engagement, sa transparence et sa proximité avec le peuple.

C’est donc avec gratitude et espoir que les citoyens accueillent cette nouvelle ère, où une femme forte et déterminée est aux commandes. Le peuple Kongo, connu pour ses valeurs et sa sagesse dans la gestion des affaires publiques, voit en elle une véritable incarnation de ses aspirations et de ses espoirs.

En somme, la Première Ministre sera accueillie par une population exaltée, prête à la soutenir et à l’accompagner dans sa mission de redonner confiance et espoir à tout un pays.

Cependant, l’arrivée de Judith Suminwa Tuluka est également l’occasion pour les habitants de faire entendre leurs préoccupations. En effet, les habitants souffrent du manque d’électricité dans la région, ce qui rend difficile le quotidien de chacun. De plus, le chômage reste un problème majeur pour la population de Luozi, qui espère que le Gouvernement de la Première Ministre pourra apporter des solutions concrètes à ce problème.

Enfin, l’accès au fleuve représente également un enjeu important pour les habitants de Luozi, qui réclament depuis longtemps la mise en place des bacs en bon état pour traverser le cours d’eau. Cette attente est sur toutes les lèvres. Elle montre l’importance de cette voie de communication entre Luozi et Kimpese pour la population locale, qui espère que la Première Ministre saura entendre ses besoins et agir rapidement via son Gouvernement.

Ainsi, l’arrivée de Judith Suminwa à Luozi est attendue avec impatience par la population, qui croit que le Gouvernement prendra en compte ses préoccupations et apportera des solutions concrètes pour améliorer la vie des habitants de la région.




Des notables de la Tshuapa s’engagent à unir leurs forces pour le développement de leur province 

Dans le cadre des efforts visant à faire de la province de la Tshuapa un modèle de Développement Durable en Afrique centrale, une grande rencontre s’est tenue ce vendredi 30 août 2024 à l’Hôtel Fleuve Congo de Kinshasa. Cet événement stratégique a réuni les notables de la Tshuapa, tous territoires confondus, ainsi que diverses personnalités influentes engagées pour l’avenir de la province.

Parmi les participants, on comptait le Ministre d’État en charge de l’Aménagement du Territoire, Me Guy Loando Mboyo, le Gouverneur de la province, Armand Yambe, des Députés nationaux et provinciaux, des membres de la société civile, une délégation du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), ainsi que des représentants du secteur privé.

Dans son discours de bienvenue, le Gouverneur Armand Yambe a exhorté tous les fils et filles de la Tshuapa à s’investir pleinement pour le développement intégral de la province. Il a insisté sur la nécessité de conjuguer les efforts de manière concertée afin de faire de la Tshuapa un exemple de croissance durable, en mettant en avant une exploitation responsable des richesses naturelles de la région.

Mme Alda Kule, cheffe de projet, a détaillé la pertinence de cette initiative et souligné l’importance de l’implication de tous pour sa réalisation. En outre, le Ministre d’État, Me Guy Loando Mboyo, a présenté un panorama détaillé des initiatives gouvernementales en faveur de la province, mettant particulièrement en lumière le projet de développement local des 145 territoires et les opportunités qu’il offre pour la Tshuapa.

Cette rencontre a été marquée par un engagement fort des participants, qui ont exprimé leur détermination à unir leurs forces pour impulser un développement harmonieux et durable dans cette province encore largement inexploitée, mais riche en ressources naturelles.

En somme, cette rencontre a renforcé la volonté collective des fils et filles de la Tshuapa à œuvrer ensemble pour l’avenir de leur province.




La tradition pour sauver le pays 

La civilisation africaine a été fortement détruite et la transmission des valeurs africaines combattues par les institutions internationales. L’Afrique se perd sans personnalité et sans identité.

Hier reconnue comme berceau de l’humanité, aujourd’hui, elle doit apprendre tout de ceux qui n’avaient aucune civilisation.

Nos ancêtres qui s’organisaient en royaumes dont Lunda, Kuba, Luba, Kongo, Ngala, Mbala, Tshokwe, Yanzi… avaient de vraies valeurs traditionnelles qui se léguaient avec le partage des responsabilités. Les chasseurs étaient connus, les ouvriers aussi et les cultivateurs étaient bien identifiés.

Cette civilisation organisait la société de savane et de foret. Ils ont décidé de vivre ensemble et le vol était exclu. La tradition arrangeait la punition du voleur et de détourneur. Les assassins étaient châtiés en public pour que le mal soit éradiqué.

Il est advenu la colonisation qui a amené la démocratie et les droits de l’homme. Cette soi-disante démocratie a détruit les valeurs ancestrales en déclarant le pauvre avoir le même droit de richesse sans travail que le riche. Les gens ont abandonné le travail manuel et se sont livré au plaisir et à la politique. Les villages sont abandonnés pour se rendre dans les villes et l’occident et le politicien voulant vivre comme le blanc, a oublié son rôle primaire d’organisation de son village pour chercher à rouler carrosse et à disposer de gros revenus. L’égoïsme qui n’est pas une valeur africaine mais occidentale a été inculquée dans nos écoles et dans nos universités. Le cours de civisme a été remplacé par l’éducation à la vie qui se donnait à un certain âge dans nos villages.

L’organisation de droits de l’homme est venu pour sauver les bandits, les kulunas et les voleurs avec leur arme nuisible, la présomption d’innocence. Or la tradition africaine avait de règles précises dont le coupable avait du mal à fuir.

Au Kenya, une fille a volé un homme dans la chambre d’hôtel. Les abeilles l’ont pourchassée et ses mains étaient remplies d’abeilles. Cette justice traditionnelle qui était efficace pour poursuivre tout celui qui aurait volé les biens publics et qui se retrouverait dans les liens de la tradition a été abandonnée pour la justice blanche. Les kulunas peuvent couper les bras de paisibles citoyens, entrer par effraction dans les maisons et nier les faits ou protéger par la justice. On peut tromper son pays et détourner de l’argent et construire un grand immeuble sans s’inquiéter. Et les juges peuvent donner raison au coupable sans conséquence. La justice traditionnelle n’a jamais été du côté de voleurs. La démocratie et les droits de l’homme donnent aux pauvres, aux malfrats et aux assassins un grand pouvoir.

Au nom de cette démocratie, les règles du pouvoir dépendent des autres et non du Président ou d’un chef du village.

Kamuena nsapu, Bundu dia Kongo pour ne citer que ces deux cas sont ceux qui doivent interpeller notre conscience africaine et surtout congolaise devant la mort de détenteurs de nos valeurs ancestrales. On a minimisé le ministère de la décentralisation et on s’est plongé dans les finances et budget oubliant qu’on vendait le pays aux étrangers. N’est-il pas temps de rassembler les forces traditionnelles devant le chaos pour récupérer nos valeurs et droits traditionnelles dans tous le pays et territoires occupés ? Si les drones sont une intelligence occidentale, l’intelligence africaine aussi existe. Il ne suffit pas seulement d’aller envoûter les gens en occident mais il est temps de valoriser ces choses pour libérer le pays. Que les drones ancestraux entrent en action à l’Est et dans notre justice pour chasser les occupants et les voleurs !




EAST AFRICAN COMMUNITY: CIVIL AVIATION SAFETY AND SECURITY OVERSIGHT AGENCY

JOB VACANCIES

The EAC Civil Aviation Safety and Security Oversight Agency (EAC-CASSOA) is a self-accounting institution of the East African Community mandated to assist the EAC Partner States undertake their aviation safety and security oversight obligations effectively.

The Agency is seeking to recruit qualified, highly motivated, self-driven and result-oriented individuals to fill the following positions:

ESTATES MANAGEMENT ASSISTANT (G4) (CAS/HR/001/2024-2025).

OFFICE SECRETARY (G4) (CAS/HR/002/2024-2025).

 

Only candidates from the following Partner States will be eligible for consideration for the above roles: Republic of Rwanda, Republic of Uganda, United Republic of Tanzania, Republic of South Sudan, Democratic Republic of Congo and the Federal Republic of Somalia.

 

PROCUREMENT OFFICER (P1) (CAS/HR/003/2024-2025).

Only candidates from the following Partner States will be eligible for consideration for the above role: Republic of Burundi, Republic of Kenya, Republic of South Sudan, Democratic Republic of Congo and the Federal Republic of Somalia.

 

Interested candidates are advised to read the detailed requirements of the above positions on https://www.cassoa.org/category/vacancies/.

 

Applications, quoting the job advert reference number of the position applied for in the application letter & as the subject on the email, should be sent via email (all soft copies should be in PDF and in one file) to the email address recruitment@cassoa.org and should comprise of a signed application letter; the completed and signed EAC CASSOA Personal History Form; copies of relevant academic and professional certificates; proof of nationality and age i.e. copy of national identity card, birth certificate or passport.

 

The applications should be received not later than 13th September 2024.




Des OPJ de Mbandaka dans la lutte contre la corruption

Une trentaine d’Officiers de Police Judiciaire (OPJ) se sont engagés, jeudi 29 août, à combattre la corruption et à travailler honnêtement afin d’honorer leur institution et redorer leur dignité.

Ces OPJ ont pris cet engagement à l’issue de la campagne de sensibilisation, organisée par l’Observatoire de surveillance de la corruption et de l’éthique professionnelle (OSCEP), au bénéfice des auxiliaires de la justice à Mbandaka. Le Directeur provincial de l’OSCEP à l’Equateur, Taylor Lompoko Mpela, espère voir des changements positifs de ces agents et leur implication dans la lutte contre la corruption qui gangrène la société et contre toutes les pratiques y afférentes.

« Ils doivent être des citoyens dignes, et intérioriser la notion de la moralité et de l’éthique », a indiqué Taylor Lompoko, faisant un rappel à faire preuve de bonne moralité et à respecter leur éthique professionnelle.

Ce dernier a également appelé la population à intérioriser les valeurs morales, notamment l’intégrité et à les transmettre aux enfants dès le bas âge, indique-t-on par de sources sur place.




Selon Dr Steve Ahuka de l’INRB: Le Mpox reste contrôlable.

Docteur Steve Ahuka, directeur du Département de virologie à l’Institut National de Recherche Biomédicale (INRB) a affirmé, jeudi 29 aout, lors d’une Journée scientifique, organisée à l’Institut national de recherches biomédicales (INRB) que « la variole du singe, MPOX, est « une maladie qui reste contrôlable ». Pour ce, le professeur Steve Ahuka a invité le public à la vigilance face à cette épidémie.

 

Représentant du Directeur général de l’Institut national de Santé publique, Pierre Akilimali, il pense qu’il est « temps de rectifier les tirs pour bien atteindre la population ».

 

Pour sa part, au cours de cet atelier, Dr Delphin Katchelewa a encouragé la population et les Institutions médicales à se mettre ensemble pour combattre le Mpox. Celui-ci a porté sur le thème : « De l’évidence actuelle sur le Mpox, l’implication de la riposte en RDC ».

Le premier cas de la variole de singe était identifié en RDC à Basankusu dans la province de l’Equateur. Devenue de portée internationale, cette épidémie nécessite l’implication de toute la population, rappelle-t-on.