Variole du singe : Le gouvernement congolais lance un appel à la mobilisation

Face à l’épidémie de variole du singe qui sévit en République Démocratique du Congo, le gouvernement Suminwa a renforcé ses efforts pour protéger la population. La Première Ministre, Judith Suminwa, a présidé dans la soirée de mardi 20 août, une réunion d’urgence avec les ministres de la Santé et de l’Éducation, ainsi que des représentants de l’Agence de santé de l’Union Africaine, pour mettre en place un plan d’action global.

 

La variole du singe, également appelée Mpox, a déjà causé la mort de plus de 500 personnes en RDC et le nombre de cas ne cesse d’augmenter. Les autorités sanitaires ont alerté sur un nouveau mode de transmission de la maladie, notamment par voie sexuelle, ce qui en fait une menace encore plus grande.

 

Pour faire face à cette crise sanitaire, le gouvernement a mis en place plusieurs mesures à savoir : la sensibilisation dans les écoles, la vaccination et le renforcement du système de santé.

 

La RDC bénéficie du soutien de l’Agence de santé de l’Union africaine, qui apporte une aide technique et financière pour lutter contre l’épidémie.

 

” On va monter encore en puissance parce que nous adaptons notre plan régulièrement et nous sommes accompagnés par Africa CDC dans la mobilisation des ressources, d’ailleurs grâce à Africa CDC et l’aide de l’union européenne que nous avons déjà pu sécuriser 215.000 doses”, a déclaré Samuel Roger Kambale, ministre de la santé publique et Prévoyance sociale.

 

Et de renchérir que: “On a eu beaucoup de cas à l’Equateur où depuis toujours cette maladie évolue de manière endémique, mais on a récemment encore beaucoup plus de cas dans le Sud-Kivu, parce que tout simplement depuis l’année dernière, on voit qu’il y a un nouveau mode de transmission par voie sexuelle”.

 

Rappelons que la variole du singe se manifeste par de la fièvre, des douleurs musculaires, de la fatigue et une éruption cutanée caractéristique. Il est important de consulter un médecin dès l’apparition des premiers symptômes.

 

 

 

 

 

 

Orchidée




RDC : Les Nande et les Hutu signent un acte de paix et de cohabitation pacifique au Nord-Kivu 

C’est peut-être la fin des différends entre ces deux grandes communautés dans la province du Nord-Kivu. Les Nande et les Hutu, dans la province du Nord-Kivu, ont procédé à la signature d’un acte de paix et de cohabitation pacifique le lundi dernier, en vue de privilégier le vivre ensemble et le développement de la province.

La cérémonie a eu lieu en présence de l’autorité provinciale, le gouverneur militaire Peter Chirimwami qui a saisi cette occasion pour interpeller la conscience de ces communautés au regard surtout des menaces auxquelles le pays, à travers l’agression rwandaise.

Le gouverneur militaire a tenu à rappeler à ses compatriotes qu’il n’y a pas “de guerre au Nord-Kivu et que le pays est plutôt victime d’une division”. Il a par la même occasion reconnu que l’oppresseur profite de petites disputes entre les communautés pour instaurer sa pomme de discorde et déranger la paix chèrement acquise.

“Lorsque je parle aux Wazalendo que je coordonne, je leur dis qu’il n’y a pas de guerre ici chez nous. Nous sommes plutôt victimes de notre division”, a-t-il déclaré.

S’agissant de la question des rebelles ougandais des ADF au grand Nord-Kivu, l’autorité provinciale appelle à la réconciliation des communautés.

“Je suis rassuré que s’il y a le pardon et la réconciliation des communautés dans le grand-Nord, les ADF n’auront pas la force”.

Pour rappel, le conflit entre les communautés Nande et Hutu est parti d’une déclaration du président de la communauté Hutu, affirmant être auteur des massacres des Banande à Buhene, ville de Goma en avril 2023. Cette déclaration avait d’ailleurs poussé l’association culturelle Nande (ACN-Kyaghanda) de suspendre sa participation aux activités du Baraza intercommunautaire.

 

 

Mboshi




« La terre en fête »

Le groupe « Compagnie Babingui Tambour », du Congo-Brazzaville, nous présente une performance intitulée « La terre en fête » qui mêle le son de tambours, le rap et la danse. La chanson qui accompagne leur prestation loue la solidité des liens amicaux entre la Chine et l’Afrique. Admirons-la ensemble !




Lualaba: Lancement officiellement des opérations de marquage d’armes par Jacquemain Shabani à Kolwezi

En sa qualité du président de la réunion ministérielle de la Commission Nationale de Contrôle des Armes Légères et de Petit Calibre (CNC-ALPC), le vice-premier ministre et ministre de l’intérieur maître Jacquemain Shabani va procéder au lancement de cette opération essentielle pour renforcer les mesures de traçabilité et de contrôle des armes.

Bien avant cette cérémonie prévue ce mercredi 21 août, le patron de la territoriale avait présidé ce mardi 20 août, le Conseil Supérieur de Sécurité. Cette réunion a rassemblé les Gouverneurs des Provinces du Kongo Central, Kwango, Kasaï et Kasaï Central, les officiers supérieurs de la PNC et des FARDC, les chefs des corps des services ainsi que les autorités locales, notamment les maires, bourgmestres, administrateurs des territoires et chefs des secteurs du Lualaba.

 

 

Mboshi




Mukoko Samba-Gros importateurs des vivres: Pacte désormais scellé 

Il ne fait l’ombre d’aucun doute. Chaque partie va désormais jouer sa partition en toute quiétude. Au mieux des intérêts vitaux et sociaux de la population. Car, le pacte est bel et bien scellé entre le Gouvernement, représenté par le Vice-Premier Ministre et Ministre de l’Economie Nationale, Daniel Mukoko Samba et de l’autre, une brochette de gros opérateurs économiques venus lundi 19 août, répondre de l’invitation leur adressée par le locataire de l’Economie Nationale.

La communication du jour était simple : certaines taxes seront bientôt supprimées suivie de la baisse des prix des produits de biens et services sur le marché. Car les deux parties doivent jouer au partenariat gagnant-gagnant. Des mesures drastiques qui visent neuf produits importés suivants qui gangrènent le social : la viande, la volaille, le poisson frais, le poisson salé, le lait en poudre, le riz, le maïs, l’huile végétale et le sucre.

 

Amélioration du pouvoir d’achat

 

Un Décret va bientôt être signé par la Première Ministre, Judith Suminwa pour supprimer les taxes redondantes concernant ces neuf (9) produits vitaux. C’est sous peu ; question de quelques jours. La Première Ministre va se charger de signer ce Décret pour supprimer les taxes superflues concernant ces neuf produits d’abord.

Et là, les deux parties se sont mis d’accord pour le bien-être des populations congolaises. Mukoko a annoncé à ses hôtes la série de ces mesures du Gouvernement afin de lever toutes les barrières, les taxes redondantes et les superflus économiques qui gangrènent la vie de citoyens congolais. L’invitation de Mukoko Samba valait donc la peine car il fallait procéder à des discussions directes entre le Gouvernement et les gros importateurs.

Le Ministre de l’Economie Nationale ne pouvait passer outre ces instructions reçues par le Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, de voir les mesures quantitatives contre la vie chère s’exécuter en urgence prises en Conseil des ministres pour lesquelles Daniel Mukoko Samba a tôt fait de battre le rappel des troupes constituées de gros importateurs. Devant eux, des mots simples mais significatifs. « Cette démarche relève du souci et de la détermination du Président de la République, de voir le pouvoir d’achat de ses compatriotes s’améliorer. C’est pourquoi, il tient à l’application rapide de ces mesures », affirme Mukoko Samba qui porte ce projet, en sa qualité de président de la Commission Economique, Financière et Reconstruction (ECOFIRE.

Le ministre de l’Economie ne raconte pas sa vie. Mais, il parle de la suppression des taxes redondantes, tout en exhortant les gros importateurs à s’allier aux mesures prises par le Gouvernement à travers son Ministère. « Vous avez intérêt à prendre vos responsabilités, car plus vos clients achètent, plus vous allez accroître vos chiffres d’affaires », poursuit l’orateur. Et de renchérir : « Mon ministère et le Gouvernement que dirige Mme Judith Suminwa ont déjà pris leurs responsabilités en supprimant certaines taxes jugées illégales ou celles qui ne devraient pas exister, afin de soulager vos charges sur le plan de la parafiscalité ». La responsabilité incombe donc aux opérateurs économiques d’en faire autant et jouer leur partition.

En réponse aux préoccupations des importateurs sur la problématique du commerce transfrontalier, Daniel Mukoko affirme que ce dossier est en étude au niveau du Gouvernement pour voir comment y mettre fin. Estimant, par ailleurs que « c’est un problème qui est géré par les gouvernements provinciaux, mais avec les effets néfastes qui se répercutent sur l’économie nationale. Le Gouvernement central va s’y pencher afin de rassurer les opérateurs économiques locaux », préconise-t-il.

 

Des taxes pour des services non rendus

 

Parlant au nom de ses pairs, M. Ibrahim Assaoui, le patron de la société SOCIMEX et vice-président de la Fédération des Entreprises du Congo (FEC), a d’abord salué les efforts du Gouvernement central, mais surtout « le courage personnel du VPM Daniel Mukoko pour avoir pris la décision de supprimer certaines taxes qui sont à la base de la hausse des prix de certaines denrées en RDC. Et comme nous sommes venus le voir pour résoudre cet épineux problème, nous repartons d’ici satisfaits ».

Rappelant la liste de nombreuses taxes qui rendent la vie chère en RDC, notamment le péage à 0.65 $ US/km, le BIVAC/OCC à 2%, Ibrahim Assaoui, le patron de SOCIMEX a indiqué que la sommation de toutes ces taxes pèse énormément sur les épaules des opérateurs économiques. « Si le Gouvernement réussit à supprimer certaines taxes comme promis, une chose reste sûre : la population congolaise va souffler parce que les prix des produits ciblés vont réellement baisser. Car la sommation de toutes ces taxes pèse énormément sur les opérateurs économiques. Et comme nous sortons d’une réunion franche, d’une réflexion à haute voix, qui n’a requis ni la force, mais au cours de laquelle les échanges étaient francs, nous allons nous allier aux efforts du Gouvernement », a soutenu Ibrahim Assaoui.

Pour sa part, le représentant Beltexco a révélé que certaines structures de l’Etat « font payer des taxes pour des services qui ne sont même pas rendus et la multiplicité d’intervenants au port de Matadi ».

Ainsi, a-t-il lancé un appel au Gouvernement de redéfinir le rôle de chaque intervenant qui opère au principal port de la RDC. Les représentants des entreprises comme SOCIMEX, Groupe Ledya, BELTEXCO, AFRIFOOD, Mondiale FOOD, SOKIN, Nouveaux FOOD, Premium Food ont répondu à l’appel qui scelle un partenariat désormais gagnant-gagnant, le pacte étant scellé entre le Gouvernement représenté par le Ministre de l’Economie et les gros importateurs, tous membres de la FEC.

L’heure est maintenant à la partition. A chaque partie va donc jouer franc-jeu.

 

Willy Kilapi




Bras de fer entre Constant Mutamba et les magistrats 

Rien ne va entre le ministre d’État, Constant Mutamba et les magistrats. En effet, les différentes actions posées par le garde de sceaux congolais depuis son avènement à la tête de ce prestigieux et important ministère sont mal vu par les magistrats à travers leurs syndicats. Dans ses sorties médiatiques, Constant Mutamba ne cesse de dénoncer ce qu’il qualifie des réseaux mafieux qui s’est installé dans le corps des magistrats foulant ainsi au pied le vœu du chef de l’État, Félix Tshisekedi de faire de la République démocratique du Congo un véritable État de droit.

Voilà pourquoi deux syndicats des magistrats à savoir le Synamac et le Symco ont chacun en ce qui le concerne haussé le ton pour condamner ce qu’ils qualifient des «  provocations et des humiliations »  de la part de celui qui est censé protéger le corps des magistrats. Ils dénoncent, à cet effet, la campagne de diabolisation contre le corps des magistrats en cherchant à dresser la population contre eux tout en éludant les problèmes structurels qui affectent le système judiciaire en République démocratique du Congo.

Le Synamac dénonce le discours populiste et outrageant de Mutamba

C’est le syndicat autonome des magistrats au Congo, Synamac, qui était le premier à élever la voix face aux critiques acerbes du ministre d’État à la Justice. Dans une déclaration, ce syndicat a dénoncé ce qu’il qualifie de «  rhétorique populiste et outrageante » qui vise à faire des magistrats des boucs émissaires de dysfonctionnement du système judiciaire au pays.

« Ces discours populiste exposent davantage des magistrats dont la sécurité est déjà précaire ou pas du tout assurée » pouvait-on lire dans le communiqué de Synamac. Il n’a pas manqué de critiquer des tribunaux populaires érigés par le ministre d’État Constant Mutamba, selon eux, se comporte à la fois comme juge et Procureur tout en remettant en cause les décisions judiciaires et ordonnant les arrestations. Le Synamac fustige aussi les commissions chargées de censurer les actes des magistrats sans consulter leurs hiérarchies.

L’on se rappellera que depuis le 5 août dernier, le ministre d’État a mis en place une commission nationale mixte chargée d’enquêter sur les pratiques mafieuses dans le système judiciaire. Cette commission est censée se déployer sur toute l’étendue du territoire national pour recueillir les plaintes des justiciables concernant les actes de corruption, d’escroquerie et d’autres actes jugés illégaux. Dans sa déclaration, le Synamac a rappelé que les magistrats ne sont qu’un maillon de la chaine judiciaire y compris le ministre lui- même.

L’appel à la mobilisation de Symco contre « les provocations » du ministre de la justice

A l’instar de Synamac, le syndicat des magistrats du Congo a dans une déclaration appelé à la résistance face aux « provocations et humiliations «  émanant du ministre d’État Constant Mutamba. Voilà pourquoi, ce syndicat a appelé le Conseil supérieur de la magistrature, les syndicats des magistrats ainsi que l’ensemble des magistrats de la RDC à s’ériger contre ce qu’il considère comme une ingérence croissante et inquiétante du pouvoir exécutif dans les affaires judiciaires. Au sujet des réformes entreprises par Constant Mutamba, le Symco dénonce le dépôt par le ministre d’État de plusieurs textes de réforme de la justice à l’Assemblée nationale sans consultation préalable des acteurs judiciaires et sans leur validation par le conseil des ministres.

Pour ce syndicat, cette démarche viole les principes constitutionnels et légaux régissant l’organisation et le fonctionnement du Gouvernement ainsi que la séparation des pouvoirs. Ainsi, face à cette situation, le Symco appelle les magistrats à une résilience totale pour défendre l’indépendance de la justice. Au ministre de la Justice, il l’appelle au dialogue franc avec les magistrats et les acteurs de la justice pour trouver ensemble des solutions aux maux qui rongent le système judiciaire congolais.

RSK




Baisse des prix pour une vie apaisée : AFRIFOOD se range derrière Felix Tshisekedi

AFRIFOOD est restée, lundi 19 août, fidèle à sa tradition d’être plus proche des consommateurs Congolais et a réaffirmé son potentiel d’être comptée comme l’un des plus gros importateurs de vivres en RDC au Vice- Premier Ministre, Ministre de l’Economie, Daniel Mukoko Samba.

Cette entreprise n’a donc pas dérogé à sa règle de se présenter partout où les organes de décisions l’appelle pour le bien-être social des Congolais.

C’est qui explique la présence de ses responsables au plus haut niveau au Cabinet de Mukoko Samba pour porter sa voix : celle de s’allier aux dernières mesures du Chef de l’Etat, Antoine-Félix Tshisekedi. Un soutien tout azimuts.

En effet, le N°1 Congolais a tôt fait, rappelons- le, au cours du Conseil des ministres du 9 août dernier, d’instruire le Gouvernement Suminwa, toute affaire cessante, de prendre des mesures urgentes et quantitatives afin de mettre un terme à la vie chère en RDC et ainsi redonner du poids au panier de la ménagère.

Le turbo de AFRIFOOD

Pour ne pas manquer au rendez-vous, mieux à l’invitation du Ministre Mukoko Samba en son Cabinet, cette société a délégué son Coordinateur, José Selemani en vue de représenter la haute Direction.

L’occasion était indiquée pour José Selemani, AFRIFOOD s’étant engagée de mener sa croisade derrière le Chef de l’Etat et le gouvernement, d’entendre de la bouche de Mukoko Samba que le «  le gouvernement a pris un train de mesures visant la suppression des taxes redondantes de neuf produits alimentaires. Il s’agit, entre autres de la viande, la volaille, le poisson frais, le poisson salé, le lait en poudre, le riz, le maïs, l’huile végétale et le sucre. Ces produits bénéficient donc des allègements douaniers et fiscaux pour permettre aux opérateurs économiques de se mettre derrière les options prises par le Gouvernement. Juste pour le bien-être social des Congolais et soulager l’environnement de leur social. Cette démarche relève du souci et de la détermination du Chef de l’Etat, Son Excellence Félix-Antoine Tshisekedi, de voir le pouvoir d’achat de ses compatriotes s’améliorer. C’est pourquoi, il tient mordicus à l’application rapide de ces mesures », a rassuré le Vice-Premier Ministre et Ministre de l’Economie Nationale, Daniel Mukoko Samba.

Ne voulant pas restée en marge de cette décision, AFRIFOOD, par son Coordinateur délégué au Cabinet de Mukoko Samba, a salué cette vision imprimée par le Chef de l’État et s’est dit le soutenir totalement pour la réussite dans son mandat.

Selon lui, AFRIFOOD ne ménagera aucun effort pour la réussite de ces mesures ; estimant par ailleurs que la politique de son entreprise qui est « d’être toujours plus proche des consommateurs, AFRIFOOD l’a toujours démontré dans l’exercice de son objet sociale ».

Pour Selemani qui était accompagné de José Metele, un autre Cadre de AFRIFOOD, « le Gouvernement est appelé à s’assurer de l’exécution sans faille et du suivi circonspect de toutes ces mesures, en ouvrant l’œil sur le commerce transfrontalier qui donne aussi des insomnies aux opérateurs économiques ».

AFRIFOOD a donc promis de soutenir cette vision du Chef de l’Etat pour le rayonnent du partenariat gagnant, un des piliers contenus dans les grands axes prioritaires de son programme quinquennal : assurer le social des Congolais.

Pour rappel, les représentants de plusieurs sociétés notamment du

Groupe Ledya, de Beltexco, de Mondiale Food, de Sokin, de Nouveaux Food, de Premium Food, ont aussi pris part à cette réunion avec le VPM en charge de l’Economie Nationale.

Notons qu’AFRIFOOD fait partie des entreprise membres de la FEC et exerce ses activités sociales sur toute l’étendue de la République, sauf dans le Grand Nord et au Maniema.

Willy Kilapi




Mesures du gouvernement contre la vie chère : IBRAHIM & SOCIMEX soutiennent la vision du Chef de l’Etat 

Ibrahim Assaoui, DG du Groupe SOCIMEX a déclaré que les gros importateurs se rangent derrière la vision du Chef de l’Etat qui a instruit au Gouvernement de mettre sur le rail des mesures drastiques contre la vie chère.

Sa présence au grand rendez-vous des gros importateurs à la Vice-Primature, Ministère de l’Economie Nationale, lundi 19 août, en est une parfaite illustration.

Ibrahim Assaoui était accompagné d’une brochette d’autres représentants.

Il s’agit notamment d’entreprises, membres de la FEC et gros importateurs des vivres et biens de consommation de première nécessité. Il s’agit notamment du Groupe Ledya, de Beltexco, de Mondiale FOOD, de Sokin, de Nouveaux Food, de Premium Food.

Les assurances de Ibrahim

Peu avant son intervention, le maître des céans, Daniel Mukoko a compris qu’il était de son devoir de rappeler à ces hôtes une option levée au cours du Conseil des ministres du 9 août à la Cité de l’U.A.

En ce jour, le Chef de l’État avait instruit le VPM à l’Economie nationale de mettre fin à la vie chère. Et que tout devrait être mis en œuvre pour soulager la population meurtrie par la surenchère économique et l’instabilité chronique du vécu quotidien des Congolais. Bref, revoir à la baisse les prix des denrées alimentaires sur le marché et permettre aux Congolais de vivre dignement.

Instructions reçues 5/5

Après la communication du V.PM Mukoko Samba, Ibrahim Assaoui, DG du Groupe SOCIMEX a rappelé l’engagement pris par son groupe et l’ensemble des gros importateurs d’accompagner la vision du Chef de l’Etat et, de ce fait, accompagner le Gouvernement.

« Nous nous engageons à accompagner Daniel Mukoko Samba dans sa croisade contre la vie chère. Nous soutenons ces mesures qui suppriment les taxes, qui rendent la vie chère en RDC, notamment le péage à 0.65 $ US/km, le BIVAC/OCC à 2%.

Le patron de SOCIMEX a indiqué que la sommation de toutes ces taxes pèse énormément sur les épaules des opérateurs économiques.

« Si le Gouvernement réussit à supprimer certaines taxes comme promis, une chose reste sûre : la population congolaise va souffler parce que les prix des produits ciblés vont réellement baisser », a soutenu M. Ibrahim.

Pour sa part, le Représentant de la société Beltexco a révélé que certaines structures de l’Etat font payer des taxes pour des services qui ne sont même pas rendus. Il a aussi fait savoir au VPM en charge de l’Economie nationale qu’il y a beaucoup d’intervenants au port de Matadi. Ainsi, a-t-il lancé un appel au Gouvernement de redéfinir le rôle de chaque intervenant qui opère au principal port de la RDC. Une inquiétude captée 4/5 par le Gouvernement. Mukoko leur a répondu que cette épineuse question est déjà à l’étude au niveau du gouvernement qui a anticipé. Tout sera remis en ordre.

Willy Kilapi




RDC: Martin Fayulu participe à la première journée de la Convention Nationale Des démocrates (DNC) à Chicago 

Le président de l’Ecidé, Martin Fayulu a pris part ce mardi à la première journée de la convention nationale des démocrates DNC, à Chicago aux États-Unis d’Amérique.

Invité par le Parti Démocrate américain, l’homme politique congolais a été

aux côtés des nombreuses figures éminentes de la politique africaine, telles que Cellou Dalein Diallo.

 

Martin Fayulu a rejoint plusieurs personnalités politiques de renom pour participer à cet événement majeur qui marque une étape cruciale dans le calendrier politique des États-Unis en vue de l’élection présidentielle de 2024.

 

A en croire plusieurs analystes internationaux, Celà met en valeur son implication internationale tout en insistant sur le prestige de l’événement. On rappelle que Martin Fayulu reste jusqu’à ce jour, une figure politique emblématique de la RD Congo. Un opposant qui maintient sa formation politique jusqu’à participer à plusieurs cycles électoraux qu’organise le pays, la RDC.

 

 

Mboshi




Voici le processus d’accréditation des médias pour la 46e Assemblée Générale Ordinaire de la CAF à Kinshasa 

Le processus de demande d’accréditation des médias pour la 46e Assemblée Générale Ordinaire de la CAF qui se tiendra à Kinshasa, en République Démocratique du Congo, est désormais ouvert.

La date limite de demande d’accréditation est fixée au 10 septembre 2024.

Les médias intéressés à couvrir l’Assemblée Générale peuvent postuler via l’Espace Média de la CAF.

Toutes les demandes sont sujettes à confirmation. La confirmation ne se fera PAS sur la base du premier arrivé, premier servi. Les candidats retenus seront notifiés et recevront de plus amples informations en temps voulu.

Pour plus d’informations sur la 46e Assemblée Générale Ordinaire (AGO) de la CAF, veuillez visiter www.cafonline.com.

Pour des demandes d’ordre général, veuillez contacter communications@cafonline.com

Pour des questions relatives au processus d’accréditation, veuillez contacter mediachannel@cafonline.com.