RDC : Le Ministre des Finances fait signer les contrats de performance aux régies financières pour maximiser les recettes 

Le Ministre des Finances, Doudou Fwamba Likunde Li-botayi, lundi, la cérémonie de signature des contrats de performance avec les régies financières, (notamment la DGI, DGDA et la DGRAD ) et les services connexes tels que, le COREF et le CTR.

Lors de cet événement, l’argentier national a exhorté les régies financières à intensifier leurs efforts pour lutter contre le coulage des recettes, tout en saluant les progrès accomplis. Le Patron des Finances a également annoncé la mise en œuvre des réformes visant à renforcer la mobilisation accrue des recettes, à travers la digitalisation et la restructuration des cadres organiques des administrations financières. Le Ministre reste convaincu que ces contrats de performance marqueront le début d’une nouvelle ère de collaboration et contribueront à atteindre les objectifs fixés par le Président de la République. Séance tenante, la DGDA a été récompensée pour avoir dépassé les assignations de l’exercice 2023, avec des réalisations de 5.015 milliards CDF contre les Prévisions de 4.949 milliards CDF soit un taux de 101%. La DGI et la DGRAD ont pour leur part reçu les prix d’encouragement.

Le Ministre Fwamba Likunde qui a souligné l’importance de renforcer la lutte contre le coulage des recettes, a salué les avancées réalisées dans ce domaine. A cette occasion, il a également annoncé une série de réformes visant à améliorer la mobilisation des recettes, notamment à travers la digitalisation et la restructuration des administrations financières.

Ces mesures visent à encourager l’efficacité et la transparence dans la gestion des finances publiques en République Démocratique du Congo.

 

 

Mboshi




Très longue détention de Jonas Kasimba : Constant Mutamba interpellé 

Un silence diseur et incompréhensible inquiète depuis plusieurs mois les proches de l’homme d’affaires et candidat député national aux dernières législatives, M. Jonas Kasimba Mumbere. Appréhendé par la justice congolaise pour des motifs inconnus, ce natif de Beni dans la province du Nord-Kivu a sérieusement mouillé le maillot pour la réélection du chef de l’Etat Félix Antoine Tshisekedi. Comme ce silence préoccupe, la moindre des choses à faire serait de fixer son affaire devant un Tribunal compétent, pour permettre à l’opinion de savoir de quoi on l’accuse, et obtenir de lui ses moyens de défense.

Des mois s’écoulent, tel le sable dans un gros sablier, des semaines sont passées depuis que l’acteur politique et opérateur économique Jonas Kasimba Mumbere est détenu dans les locaux des services de sécurité pour des raisons non connues jusqu’alors.

Personne ne sait exactement dans quel cachot il se trouve. Serait-il dans les locaux de l’ANR (Agence nationale des renseignements), Demiap, Conseil National de sécurité ou de la Garde Républicaine ? Ce sont là les questionnements de son entourage ainsi que ceux des membres de sa famille.

Plusieurs voix se sont levées pour connaître la suite de cette situation on ne peut plus gênante. Le panel des experts de la société civile lors d’un point de presse, la communauté Nande à laquelle il appartient et plusieurs autres acteurs sociaux et politiques qui ont même sollicité l’intervention du chef de l’état Félix Antoine Tshisekedi pour cette cause.

Le moment n’est-il pas venu de voir tous ces dossiers ne disposant pas de fondement juridiques être traités rapidement avec cette actualité dominée par l’état de santé de la justice et des services de sécurité ? L’opinion nationale veut voir la République Démocratique du Congo porter réellement son nom.

Il sied de rappeler que Jonas Kasimba Mumbere, candidat aux dernières législatives à Beni et ayant sérieusement mouillé le maillot pour la réélection du chef de l’Etat Félix Antoine Tshisekedi. C’est un acteur de développement dans son territoire de Beni, à Kasindi et même à Goma toujours dans la province du Nord-Kivu où il procure de l’emploi et s’active à travers ses structures à reconstruire ou construire les infrastructures de base.

La lumière tarde à être faire par rapport à cette détention de Jonas Kasimba Mumbere qui n’a fait que trop duré, sans procès et sans aucune autre forme de justification qui tienne. Un silence inquiétant.




Lors de sa visite : Julien Paluku rappelle les missions confiées à l’ANAPEX par le président de la République  

L’Agence Nationale pour la Promotion des Exportations (ANAPEX) doit être une Agence d’innovation pour faire rayonner la politique commerciale de la République Démocratique du Congo. C’est la déclaration faite par le ministre du Commerce Extérieur, Julien Paluku Kahongya, ce mardi lors de sa descente à la Direction générale de l’ANAPEX.

Désormais, l’Agence Nationale pour la Promotion des Exportations doit avoir des statistiques mensuelles des exportations de tous les produits par filière, chercher les marchés à travers le monde avec tous les détails y afférents, sensibiliser les opérateurs économiques de s’intéresser plus à l’agro-business et vulgariser les stratégies de promotion des exportations dans les 62 filières prioritaires en identifiant les bassins de production.

Ce sont là les instructions du Ministre du Commerce Extérieur faite à la Direction Générale l’ANAPEX au cours de la réunion avec les animateurs, agents et cadres de cette structure stratégique du Gouvernement

« Comme vous le savez, il y a quelques temps, le président de la République m’a désigné à la tête du Commerce extérieur pour une mission spécifique, celle d’aider à la promotion des exportations congolaises. L’un des outils le plus essentiel, c’est l’ANAPEX. Je suis donc passé ce matin pour visiter le cadre de travail, mais également pour échanger autour de la vision du chef de l’Etat. Parce que nous avons suffisamment importé des biens qui n’ont pas pu changer la structure économique de notre économie. Voilà pourquoi on s’en tient à la promotion des exportations et tout part de l’organisation de l’agriculture et c’est de là que nous devons faire la promotion de nos produits vers l’extérieur », a-t-il expliqué.

Et de poursuivre, maintenant que nous allons organiser le forum AGOA en 2025, maintenant que nous avons des relations commerciales avec l’Europe, la Chine, nous devons nous poser des questions, qu’est-ce que nous échangeons avec tous ces services mondiaux ? Qu’est-ce que la Rdc amène sur le marché européen, américain, chinois te sur le marché africain, parce que nous sommes membre de la Zone de libre-échange continentale.

Il dit être venu parler à la direction générale de l’ANAPEX, pour qu’à travers ses différentes directions, nous puissions nous fixer un cap à atteindre. Pour nous dire que chaque année, quel est le type d’exportations que nous devons faire et pour quel objectif ? ça été un rappel des missions que le président de la République a assigné à cette agence nationale. Parce que d’ici 2030, il faut que la balance commerciale de la Rdc soit excédentaire, c’est-à-dire, que les exportations dépassent de loin les importations.

De son côté, le Directeur Général de l’ANAPEX, Mike Tambwe a rassuré le Ministre que toutes ses instructions seront mises en œuvre dans l’urgence. Déjà une Foire-Expo d’une portée nationale dénommée ” Saveur du Congo” pour promouvoir le café et le cacao congolais sur le marché national et international en facilitant la mise relation entre les producteurs et les acheteurs sera organisée sous peu à Kinshasa et au moins de septembre prochain une journée d’échanges sur la synergie à créer entre les organes étatiques, le secteur privé et la société civile sera organisée dans la capitale congolaise pour susciter des réflexions sur comment traduire les opportunités avec l’organisation du Forum AGOA e 2025 en RDC a -t-il ajouté.

Juste après, le ministre s’est rendu au Conseil d’Administration où il a appelé sa Présidente, Julienne Mundela et les administrateurs à plus de créativité.




Découverte : Le Smartphone, un outil incontournable au cœur de la vie quotidienne en Chine continentale 

Dans les rues, dans les supermarchés, hypermarchés, dans les métros, dans les voitures tout comme à Moto, les Chinois ont toujours leurs téléphones allumés et en pleine utilisation.

Selon Inés, une dame Chinoise travaillant pour une structure du ministère des Affaires étrangères Chinois, cette situation s’explique notamment par la digitalisation de la vie dans tout le pays, particulièrement dans les grandes agglomérations.

 

” La Chine possède l’une des couvertures Internet mobile les plus rapides et les plus étendues au monde, y compris dans les systèmes de métro. Cela permet aux passagers de rester connectés et de s’engager dans une large gamme d’activités sur leurs téléphones, qu’il s’agisse de regarder des vidéos ou de faire du shopping en ligne. La société chinoise a rapidement adopté la numérisation dans presque tous les aspects de la vie. Les paiements mobiles, les services numériques et le shopping en ligne sont désormais intégrés aux routines quotidiennes, rendant les Smartphones indispensables” indique-t-elle.

Elle précise également que l’utilisation d’un Smartphone aide aussi les gens à éviter les interactions “gênantes” ou simplement à passer le temps pendant les longs trajets.

 

“Les applications comme WeChat, Douyin (TikTok) et divers jeux en ligne sont extrêmement populaires en Chine. Ces plateformes sont au cœur des interactions sociales, du divertissement et même des transactions quotidiennes, ce qui en fait une activité par défaut pendant les trajets” note Inés.

 

La République populaire de Chine est le prototype même de l’évolution du secteur du numérique dans le développement d’une Nation. Avec près d’un 1,5 milliards d’habitants, la Chine est un marché rentable pour les compagnies qui proposent des services i-tech à des coûts abordables facilitant ainsi la vie à de nombreux citoyens de ce pays le plus peuplé du monde.

Derick Katola, depuis Beijing (Pékin) Capitale

de la Chine




Poutine ouvre la Russie aux anti-impérialistes persécutés 

Le Président de la Fédération de Russie, Monsieur Vladimir Poutine, offre l’asile aux étrangers qui rejettent les « idéaux néolibéraux »

Selon le décret présidentiel, les autorités russes commenceront à délivrer des visas de trois mois à partir de septembre 2024.

Cette nouvelle initiative du Président russe Vladimir Poutine vise à accueillir les ressortissants étrangers qui cherchent refuge hors leur pays d’origine où ils sont persécutés pour leur engagement contre des « idéaux néolibéraux ».

En vertu de cette nouvelle directive, les ressortissants étrangers pourront demander des visas de trois mois « en dehors du quota approuvé par le gouvernement russe et sans avoir besoin de fournir des documents prouvant leur connaissance de la langue russe, de l’histoire russe ou des lois fondamentales ».

Les demandes de résidence peuvent être basées sur le rejet par le demandeur des politiques de son pays d’origine, qui, selon la Russie, « visent à imposer des idéaux néolibéraux destructeurs qui vont à l’encontre des valeurs spirituelles et morales russes traditionnelles ».

Cette décision fait suite aux récents commentaires du Président dans lesquels il a demandé à son gouvernement de développer un programme visant à promouvoir « les valeurs spirituelles et morales traditionnelles russes » à l’étranger.

Le président russe a fréquemment critiqué les pays occidentaux, les qualifiant de « sataniques » et les accusant de rejeter les « normes morales », notamment dans le contexte des débats autour de l’identité de genre et de l’accès des enfants aux opérations de changement de sexe.

La nouvelle politique d’asile fait partie d’une stratégie plus large de la Russie visant à attirer les Occidentaux conservateurs. L’année dernière, les autorités russes ont annoncé leur intention de construire un « village de migrants » pour les expatriés conservateurs américains et canadiens.

Timur Beslangurov, avocat spécialisé en droit des migrations au VISTA Foreign Business Support de Moscou, a rapporté qu’environ 200 familles ont exprimé leur intérêt à émigrer en Russie pour des raisons idéologiques. « La raison en est la propagande de valeurs radicales : aujourd’hui, ils ont 70 genres, et qui sait ce qui va suivre », a-t-il déclaré.

Les autorités russes devraient commencer à délivrer des visas de trois mois aux demandeurs d’asile à partir de septembre prochain. Moscou travaillerait également sur une liste de pays qui, selon elle, imposent des valeurs malsaines à ses citoyens.

https://scnr.com




Naufrage meurtrier au Maï-Ndombe : plus de 100 personnes portées disparues

Un nouveau drame vient endeuiller la province du Maï-Ndombe. Dans la nuit de dimanche au lundi, une embarcation surchargée a fait naufrage sur la rivière Lukeni, emportant avec elle, plus de 100 personnes. Le bilan provisoire est lourd : 43 survivants ont été secourus, mais les corps de trois victimes ont déjà été repêchés.

Selon les témoignages recueillis auprès des rescapés et des autorités locales, l’embarcation transportait près de 300 passagers. Les causes exactes de ce naufrage restent à déterminer, mais la navigation de nuit, souvent pratiquée sur ces cours d’eau, est pointée du doigt.

Les opérations de recherche se poursuivent activement pour retrouver les disparus. Les équipes de secours, composées des volontaires et des membres des services de sécurité, sillonnent la rivière à la recherche des survivants éventuels.

Face à cette tragédie, le gouverneur de province, Lebon Nkoso Kevani

a exprimé sa profonde consternation et a annoncé l’envoi d’une mission d’enquête pour établir les responsabilités. Il a également promis de renforcer les mesures de sécurité sur les voies navigables de la province afin d’éviter que de tels drames ne se reproduisent.

 

 

Orchidée




Bukavu : Les travaux de terrassement à Bagira entraînent la colère des habitants

Les travaux de terrassement de parcelle et route exécutés par les entreprises Trabemco et Safricas dans la commune de Bagira à Bukavu, sont suspendus. Ces travaux causent des dégâts aux maisons environnantes, mettant en danger la vie des habitants. La population a manifesté sa colère en barricadant la route et en paralysant les activités socio-économiques pour réclamer l’arrêt des travaux et des réparations.

Les habitants de la commune de Bagira à Bukavu ont exprimé leur mécontentement face aux travaux de terrassement effectués par les entreprises Trabemco et Safricas. Les machines compacteur utilisées pour ces travaux ont causé d’importants dégâts aux habitations avoisinantes, poussant les habitants à demander l’arrêt des travaux et des réparations.

 

Des fissures inquiétantes :

 

Plusieurs maisons présentent désormais de grandes fissures au mur, mettant en danger la vie de leurs occupants. Ces fissures sont directement liées aux vibrations et secousses générées par les machines de terrassement, provoquant la colère et l’inquiétude des habitants.

 

Une décision nécessaire

 

Face à la grogne de la population, le bourgmestre de la commune de Bagira, Patience Bengheya, a décidé de suspendre tous les travaux de terrassement. Cette décision a été prise à l’issue d’une réunion avec toutes les parties prenantes afin de trouver une solution satisfaisante pour tous.

 

Mobilisation de la population

 

Lundi, les habitants de la commune de Bagira ont manifesté leur colère en barricadant la route et en paralysant les activités socio-économiques pour réclamer l’arrêt des travaux et des réparations.

 

Ils exigent que les entreprises Trabemco et Safricas prennent en charge les réparations nécessaires pour les habitations endommagées.

 

En définitive, la suspension des travaux de terrassement à Bagira intervient suite aux dégâts causés aux habitations environnantes. La mobilisation de la population montre la volonté des habitants de faire respecter leurs droits et de protéger leur cadre de vie.

 

Il est désormais essentiel que les entreprises responsables prennent les mesures nécessaires pour réparer les dégâts et assurer la sécurité des habitants de Bagira.

 

EUGIDE ABALAWI NDABELNZE




La crise humanitaire au Sud-Kivu : Plus de 2,400 millions 400 de déplacés en quête d’aide

La province du Sud-Kivu est actuellement en proie à une crise humanitaire majeure, avec plus de 2 millions 400 mille déplacés qui ont désespérément besoin d’aide. Les territoires de Kalehe, Fizi, Uvira, Mwenga et Shabunda sont les plus touchés, conséquence directe de la guerre du M23 dans le Nord-Kivu.

Crise sans précédent au Sud-Kivu

La situation humanitaire au Sud-Kivu est critique, avec un nombre record de plus de 2 millions 400 mille déplacés qui vivent dans des conditions précaires.

Le territoire de Kalehe est en première ligne, accueillant un nombre important de déplacés, suivi de près par Fizi, Uvira, Mwenga et Shabunda. La population se retrouve ainsi démunie face à la guerre incessante qui sévit dans la région, aggravant une situation déjà difficile.

Appel à l’aide des autorités

Le bureau des services généraux à la division des affaires humanitaires tire la sonnette d’alarme, appelant à une mobilisation urgente de l’aide humanitaire.

Arsène Polé-polé, chef de bureau, souligne l’importance cruciale d’investir dans l’assistance aux déplacés, afin de répondre aux besoins croissants de cette population vulnérable.

Les partenaires de la RDC sont ainsi sollicités pour apporter leur soutien et leur solidarité aux victimes de cette crise humanitaire.

Mobilisation internationale

La journée internationale de l’aide humanitaire, célébrée le 19 août de chaque année, met en lumière l’urgence de la situation au Sud-Kivu.

Les organisations internationales et la communauté internationale sont appelées à se mobiliser en faveur des déplacés, afin de leur offrir un soutien et une assistance indispensable pour leur survie.

Il est essentiel que chacun contribue à soulager la souffrance de ces populations qui ont tout perdu et qui comptent sur notre solidarité.

Face à cette crise humanitaire sans précédent, il est impératif d’agir rapidement et efficacement pour venir en aide aux plus de 2 millions 400 mille déplacés du Sud-Kivu.

La solidarité et l’engagement de tous sont nécessaires pour apporter un soulagement à cette population qui lutte pour sa survie. Il est temps d’agir ensemble, de faire preuve de compassion et de générosité envers ceux qui ont tout perdu.

Eugide Abalawi




Guerre à l’est : Le gouvernement appelé à installer de centres psychiatriques dans les camps de déplacés 

Le gouvernement congolais et les organisations humanitaires sont vivement encouragés à prendre des mesures concrètes pour garantir une prise en charge psychologique adéquate des victimes de la guerre dans les camps de déplacés du Kivu.

Un appel pressant lancé par le psychologue Justin Cikuru, mettant en lumière l’importance cruciale de la santé mentale en période de conflit.

 

Les conséquences psychologiques dévastatrices de la guerre

 

Dès le début du conflit dans la région du Kivu, de nombreux civils ont été contraints de fuir leurs foyers pour trouver refuge dans des camps de déplacés surpeuplés et insalubres.

 

Face à la violence, aux atrocités et à la perte de leurs proches, ces personnes sont confrontées à des traumatismes profonds qui affectent leur santé mentale de manière significative.

 

Pour Justin Cikuru, psychologue de renom spécialisé dans les traumatismes de guerre, il est impératif que des centres psychiatriques soient mis en place dans et autour des camps de déplacés.

 

Ces structures permettraient d’offrir un soutien psychologique essentiel aux victimes, en les aidant à surmonter leurs troubles mentaux et à retrouver un équilibre émotionnel.

 

Un appel à l’action pour les autorités et les organisations humanitaires

 

Face à l’ampleur des besoins en santé mentale dans les camps de déplacés du Kivu, Justin Cikuru en appelle au gouvernement congolais et aux partenaires humanitaires pour prendre des mesures concrètes.

 

Il souligne l’urgence d’investir dans la formation de professionnels de la santé mentale et dans la mise en place de programmes de soutien psychologique adaptés à la réalité du terrain.

 

En définitive, l’appel du psychologue Justin Cikuru résonne comme un cri d’alarme dans un contexte où la santé mentale des victimes de la guerre est souvent reléguée au second plan.

 

Garantir une prise en charge psychologique efficace dans les camps de déplacés du Kivu est plus que jamais une priorité humanitaire, afin de permettre aux survivants de retrouver un semblant de paix intérieure malgré les épreuves qu’ils ont endurées.

 

EUGIDE ABALAWI NDABELNZE




LA GRANDE FETE DES JUIFS 2EME EDITION / MARDI 20 AOUT 2024 AVEC LE PAST. FRANCOIS MUTOMBO VH