Une cinquantaine des journalistes dont un Congolais de la Rdc en formation en Chine, a visité ce mercredi 28 août sous la conduite du CIPCC, la Grande Muraille de Chine située à 70 Km au Nord de Beijing (Pékin).

Une étape importante dans le cadre de leur séjour dans l’Empire du milieu. Cette balade était une opportunité de palper du doigt l’histoire même de la Chine moderne.

Il a fallu au moins 1h30 minutes pour arriver au site de Mutianyu, qui est remarqué pour ses 22 tours de garde. Ici, on trouve de nombreux ruisseaux et forêts aux alentours.

Tels des vrais touristes, un moment de prise de photos, pour marquer d’une empreinte indélébile ce passage “obligé” pour tout étranger en séjour en Chine, a été observé par ces professionnels des médias qui s’attendaient sans nul doute à un parcours périlleux avant d’atteindre le dernier tour de ce site historique.

Entre fatigue et envie de gravir les différents niveaux en dépit de l’énergie dépensée, ceux qui s’immergent dans la découverte de la culture Chinoise, se sont livrés à cet exercice avec engouement.

Sur place, hommes, femmes et enfants, de toutes races confondues, se rencontrent pour essayer de relever ce défi qui constitue en même temps un bel exercice physique.

Des marchés ont été aussi érigés à certains niveaux de cette muraille. On y vend de la crème, de l’eau, jus, sucrés, des objets culturels chinois et autres tenues sur lesquelles sont gravées les illustrations de la muraille de Chine.

Le seul désir ne suffit pas pour atteindre le dernier tour

Il n’est pas facile de gravir les différents niveaux et d’arriver au dernier tour de la Grande Muraille située dans ce site de Mutianyu. Au-delà du désir de grimper haut, il faut encore y mettre de la motivation et de la détermination.

Nombreux ont été ceux qui ont abandonné juste à leur arrivée au premier niveau qui, il faut le souligner, est le parcours le plus difficile au regard de l’espacement des escaliers et peu ont réussi à atteindre le dernier tour (la 12e forteresse).

Pour arriver au dernier tour, il faut au moins faire une heure de marche y compris quelques minutes de repos, question de respirer et de reprendre toutes ses énergies.

Tout autour de ce joyau de la culture chinoise, un magnifique paysage et un air frais s’offrent aux visiteurs qui ne se lassent pas de contempler la beauté de la nature à travers les nombreuses montagnes. Un environnement à couper le souffle.

Le journaliste Guinéen, Ciré Baldé du média VisionGuinee.Info, qui est aussi  en immersion en Chine, estime que la visite de ce site touristique est importante car, ce lieu symbolise même la grandeur de l’Empire du milieu.

“Il s’agit d’un passage obligé pour un visiteur ici en Chine. Séjourner en Chine sans s’y rendre, c’est un peu comme aller à Paris sans visiter la Tour Eiffel. Nous faire visiter cet endroit n’est pas fortuit. La Grande muraille de Chine, qui fait partie des 7 nouvelles merveilles du monde, symbolise la grandeur de l’Empire du milieu. Ces infrastructures, datant de plusieurs siècles, ont été bâties pour défendre la frontière nord de la Chine face aux ennemis. Aujourd’hui, c’est un site touristique, qui draine du monde au quotidien” déclare-t-il.

Il invite à cet effet les pays africains à s’inspirer de cette muraille et à mettre en valeur leurs patrimoines culturels et historiques.

Avec une longueur de 7000 kilomètres, une hauteur de six mètres et une largeur de quatre, la Grande Muraille de Chine est l’un des symboles architecturaux de l’histoire de la Chine. Cet ensemble de fortifications militaires a été érigé il y a environ 2000 ans. Elle avait pour objectif de Contenir les invasions barbares (principalement mongoles et mandchoues) en provenance du nord de l’actuel territoire chinois. Quelques obus utilisés lors de ces guerres sont encore exposées sur le site.

La Grande Muraille de Chine est classée au patrimoine de l’Unesco depuis et est l’une des sept merveilles du monde et le symbole le plus représentatif de la Chine.

Derick Katola depuis Beijing, capitale de la Chine

Ce n’est pas un non-événement. Deux mois auparavant, les affiches publicitaires, les panneaux géants ont été implantés dans certains carrefours au centre-ville pour annoncer cette bonne nouvelle.

Pour sa gestion managériale exceptionnelle dans la maximisation des recettes fiscales depuis sa nomination à la tête de la Direction générale des Impôts (DGI), Barnabé Muakadi Muamba a été élevé au rang de docteur Honorius causa par l’Université chrétienne de Kinshasa.

Cet événement historique qui vient enrichir le CV du DG Muakadi Muamba a eu lieu vendredi 23 août 2924 sur le site de l’Université chrétienne de Kinshasa, située derrière le Centre supérieur militaire, à Binza Ozone, quartier des anciens combattants, dans la commune de Ngaliema.

Une grande foule composée des frères et amis, des directeurs et cadres des régies financières, des élus du peuple, des fidèles de son église ont vécu cet événement.

Devant le corps professoral de cet Alma mater, le recteur de l’Université chrétienne de Kinshasa, le professeur ordinaire Faustin Alipanozala, entouré du jury en toge vêtu, a procédé à la remise du diplôme de docteur Honorius causa au DG de la DGI, Barnabé Muakadi Muamba.

La remise de ce diplôme revêt une valeur hautement singulière dans la mesure où, ce diplômé est décerné à une personnalité dont l’engagement au service de la nation congolaise, révèle la bienveillance aux yeux de tout esprit averti.

Étant donné que ces engagements au service de la nation congolaise renferment des valeurs prônées par notre Alma mater, nous ne pouvons nous empêcher d’y accorder notre curiosité scientifique.

En guise de remerciements, et au nom de tout le personnel de la DGI, le Directeur général Barnabé Muakadi Muamba a promis de mobiliser davantage les recettes fiscales, afin de donner à l’Etat congolais les moyens de sa politique.

« Le diplôme de docteur honoris causa que l’Université chrétienne de Kinshasa vient de me décerner aujourd’hui, traduit la reconnaissance aux résultats enregistrés depuis notre arrivée à la tête de la DGI », a-t-il déclaré devant les membres du jury et de poursuivre qu’au nom du personnel de la DGI, je voudrais vous assurer de notre volonté de continuer à mobiliser davantage en dépit des aléas de la conjoncture économique du moment, envie d’apporter notre contribution aux efforts dans la construction de notre pays, pour la réalisation du bien-être du peuple congolais.

Le DG Barnabé a également remercié le très haut pour la sagesse lui accordée pour diriger la DGI afin de matérialiser la vision du chef de l’État congolais, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.

Rappelons que le DG Barnabé a déjà reçu plusieurs prix et des trophées de meilleur manager public dans la maximisation des recettes fiscales en dépassant plusieurs fois les assignations gouvernementales. Jamais auparavant ses prédécesseurs n’ont atteint ces records.

Alex Tutukala Kibambe

La Première Ministre Judith Suminwa Tuluka a procédé, ce mercredi 28 août 2024, au lancement officiel de la Table Ronde Inclusive organisée par le Ministère de la Jeunesse et Éveil Patriotique. Cette table ronde axée sur le thème : “l’éveil de la jeunesse dans le processus de paix pour le développement durable en RDC”, intervient à un moment crucial de l’histoire de la République démocratique du Congo marquée par une crise sécuritaire persistante dans l’Est et des conditions sociales rudes pour la population, les jeunes en particulier.

L’objectif principal de cette table ronde inclusive qui réunit la jeunesse et le Gouvernement est de créer un espace de dialogue constructif où les jeunes peuvent exprimer leurs préoccupations, notamment sur les difficultés identifiées telles que le manque d’insertion professionnelle, l’absence d’un environnement propice à l’épanouissement personnel, le faible taux d’accompagnement des jeunes entrepreneurs par les autorités politico-administratives.

La Première Ministre a salué la tenue de ces assises qui permet d’échanger sur les difficultés identifiées de la jeunesse congolaise. Le Programme d’Actions du Gouvernement (PAG 2024-2028) à son 4eme pilier prévoit quelques actions en faveur de la promotion des jeunes et leur insertion socio-économique.

“(…) je salue la tenue de cette Table Ronde inclusive, et nous, membres du Gouvernement, apprécions grandement l’opportunité d’échanger directement avec les représentants des différentes catégories de jeunes sur des concepts généraux, notamment la “paix” et le “développement”, mais qui englobent néanmoins les difficultés identifiées qui concernent notre jeunesse, à savoir le manque d’insertion professionnelle, l’absence d’un environnement propice à l’épanouissement personnel, le faible taux d’accompagnement des jeunes entrepreneurs par les autorités politico-administratives”, a déclaré la Première Ministre Judith Suminwa.

“Vous êtes ici pour faire entendre vos idées, vos espoirs, vos préoccupations, et surtout, pour définir l’avenir de notre nation dans la paix”, a-t-elle renchéri. Les idées et aspirations des jeunes, directement adressées aux décideurs politiques visent le développement durable de la République démocratique du Congo.

Dans son allocution, la Cheffe du Gouvernement a aussi appelé la jeunesse congolaise à enraciner la culture de la paix et de la tolérance et à transcender des simples rencontres et discussions.

“Il est indéniable que la consolidation de la paix est un processus indissociable et indispensable au développement durable de notre pays. Aussi, partant du rôle majeur et constructif que vous endossez, il nous faut donc enraciner une culture de paix et de tolérance à travers une éducation de qualité, fondée sur l’éveil de la conscience collective de la jeunesse congolaise”, poursuit la Première Ministre.

Non aux antivaleurs

Répondant aux questions des jeunes, la Première Ministre a découragé les pratiques liées aux antivaleurs, telles que le népotisme, le tribalisme, la corruption…

Notons qu’au cours de cette table ronde, 20 projets des jeunes considérés comme les plus innovants seront présentés aux participants. Des financements sont prévus pour accompagner ces jeunes. Cette table-ronde de jeunesse sera sanctionnée par des recommandations qui vont sous-tendre les actions à mener.

M. Doudou Fwamba Likunde Li-Botayi, ministre des Finances a tenu, ce 28 août une séance de travail importante qui a mis autour d’une même table ses collègues des Hydrocarbures, Aimé Sakombi Molendo et du Portefeuille, Jean-Lucien Busa, en présence des responsables de la SONAHYDROC et de COBIL ainsi que des experts du secteur. Selon une dépêche de la Cellule de communication du ministère des Finances, cette réunion tenue dans le cadre de la solidarité gouvernementale sous la direction ferme de la Première ministre Judith Suminwa Tuluka, visait à aborder la problématique de l’approvisionnement en produits pétroliers et à prendre des mesures concrètes pour assainir et maîtriser la structure des prix.

Au cours de cette séance, précise la même source, les membres du gouvernement ont souligné l’importance de garantir une offre stable de produits pétroliers, tout en veillant à ce que les Sociétés d’État, notamment la SONAHYDROC et COBIL, bénéficient d’un appui suffisant du Gouvernement. Cet appui, qui inclut la possibilité de collaborer avec les banques commerciales pour renforcer les lignes de crédit déjà ouvertes, est essentiel pour améliorer l’offre de services et maîtriser les prix à la pompe.

Le ministre des Finances, Doudou Fwamba Likunde Li-Botayi, a rappelé que ces échanges faisaient suite aux orientations claires données par le Président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, lors d’une réunion du Conseil des ministres. Le Président avait insisté sur la nécessité d’une réflexion approfondie au sein du Gouvernement pour résoudre la problématique de l’assainissement de la structure des prix. En outre, le ministre des Finances a mis en lumière la question de la fraude douanière, qui impacte négativement l’offre de produits et les marchés, particulièrement dans la région sud du pays. Des mesures sont prévues pour endiguer cette fraude et améliorer les conditions du marché, dans le but de fournir une meilleure offre de services à la population.

Le ministre du Portefeuille, Jean-Lucien Busa, a exprimé sa satisfaction quant aux résultats de la réunion, soulignant l’importance d’optimiser le fonctionnement des deux sociétés pétrolières nationales. Il a également insisté sur la mise en œuvre d’une décision gouvernementale essentielle : accorder des préférences commerciales aux entreprises du portefeuille de l’État lors de leurs échanges. Par exemple, dans le cadre du marché des produits pétroliers, les entreprises du portefeuille qui consomment du carburant devront s’approvisionner auprès de la SONAHYDROC et de COBIL. Le ministre a également évoqué le rôle crucial que le secteur minier, où l’État est actionnaire, peut jouer en soutenant cette dynamique, ce qui contribuera à renforcer la demande pour ces entreprises et à assurer leur équilibre financier.

Pour finir, les trois ministres ont également abordé la question de la fraude douanière, reconnaissant son impact délétère sur le marché des produits pétroliers. Ils ont convenu que des mesures doivent être prises pour lutter contre cette fraude, avec pour objectif d’améliorer les résultats du marché et de garantir une meilleure offre de services à la population. Cette réunion marque ainsi une étape importante dans l’effort gouvernemental visant à stabiliser les prix des produits pétroliers tout en renforçant les infrastructures du pays.

Situées dans la commune de Lingwala, dans le Nord de la ville de Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, les avenues Nyangwe, Itaga et Kalembe lembe ont été inscrites dans le programme d’urgence du gouvernement provincial.

Dans un communiqué du ministère provincial du Plan, budget, emploi et tourisme, on fait savoir que c’est dans le cadre de la réhabilitation des infrastructures routières.

Le même communiqué soutient que le ministre provincial du Plan, budget, emploi et tourisme Jésus-Noël Sheke a fait mention de son implication pour l’inscription dans le programme d’urgence du gouvernement provincial consacré à la réhabilitation des avenues Itaga, Kalembe-Lembe et Nyangwe dans la commune de Lingwala.

Mboshi

Le Ministre d’État, Ministre de la Justice, Constant Mutamba, est arrivé à Mbuji-Mayi, chef-lieu de la province du Kasaï Oriental, ce mercredi 28 août 2024, pour une visite officielle de 10 jours.

A son arrivée, il a été accueilli par une foule enthousiaste qui l’attendait aux pieds de l’avion, témoignant de l’importance de sa visite dans cette région.

Cette visite pourrait inclure des rencontres avec des responsables locaux, des discussions sur des questions juridiques et judiciaires, ainsi que des initiatives visant à améliorer l’accès à la justice. Constant Mutamba va également prêcher sur les réformes judiciaires menées pour répondre au besoin du chef de l’État qui a qualifié de malade, la justice congolaise.

Mboshi

Présidé par Le Vice-Premier Ministre, Ministre des Transports, Voies de Communication et Désenclavement, bonjour Jean-Pierre Bemba à l’intention de la Direction générale de l’Office national des transports et du banc syndical de l’Onatra, cette réunion a tablé sur l’évaluation de l’exécution des préalables du protocole d’entente relatif à la concession du Port de Matadi.

Au cours de ces échanges, le numéro un des transports et voies de communication congolais Jean Pierre Bemba Gombo a communiqué à ses hôtes, des assurances qu’il a reçues auprès de la Première ministre, que tout sera fait pour un meilleur aboutissement de ce projet de grande importance. C’est ce que précise Armand Osase, Président de l’intersyndicale de l’Onatra.

De son côté, le DG de l’Onatra Martin Lukusa a révélé que les préalables qui ont été posés ont été résolus à 30% déjà.

Concernant les deux mois de salaire soulevé par le banc syndical, le VPM des transports a promis de présenter le dossier au niveau du gouvernement en vue d’une réponse urgente, tout en signalant que les deux décrets réclamés sont dans le processus de signature par la cheffe du gouvernement.

Mboshi

Elle était si nombreuse, la communauté qui a fait le déplacement du funérarium de l’hôpital du Cinquantenaire pour te rendre les derniers hommages : membres de famille, collègues du Csac, camarades de l’Isti-Ifasic, confrères, connaissances, relations…

Du Révérend-Apôtre Monse Monga Nsenga Ekiakim du CIE-RAMA au Patriarche Robert Aaron Monga de ” Source de Guihon”, en passant par Chantal Kanyimbo et Bruno Mbolison pour le CSAC ainsi que Tito Ndombi pour la confrérie, de même que tes deux filles en plus de Mande ton cousin, que de bonnes choses dites de toi.

Pas de doute : tu as été un grand, que dis-je, un géant !

Depuis l’annonce de ta mort le dimanche 18 août 2024, je voulais ouvrir une page peu connue de ta carrière dans la régulation des médias : celle du travail de fourmi effectué à la Monusco (Monuc à l’époque) en 2006 pour calmer les confrères va-t-en-guerre, les uns rangés du côté de Joseph Kabila, les autres de Jean-Pierre Bemba, deux candidats retenus pour le second tour.

Entre la clôture de la campagne du premier tour le 28 juillet et l’organisation du second tour en octobre, déjà rendue inflammable, la tension politique devenait infernale.

Pour gérer la situation, les deux familles politiques avaient convenu de la mise sur pied d’un comité ad hoc chargé des Questions politiques et sécuritaires et d’un comité ad hoc chargé du Monitoring Médias.

Nous nous étions retrouvés avec Bononge, Musangana, Ngwej Katot, toi et moi dans la deuxième structure.

Pendant un mois, nous nous retrouvions au siège de la Monuc pour échanger sur les propos des journalistes, des communicateurs et des acteurs politiques pro-Kabila et pro-Bemba.

Plus nous nous approchions de la date du second tour, plus la tension commençait à baisser, si bien que la présidentielle 2 doublée des provinciales s’étaient déroulées presque sans casse.

Cette page, au moment où se consomment les adieux, je me sens le devoir de la rappeler à la mémoire collective. Car, combien sont-ils à savoir que le travail de “tranquillisation” des esprits entrepris discrètement avait permis à ce pays de survivre aux affrontements que tout le monde redoutait !

Pour la petite histoire, certains pays occidentaux avaient pré-positionné leurs troupes à Brazzaville, à Libreville et à Luanda pour des opérations d’exfiltration de leurs ressortissants au cas où la situation devenait incontrôlable.

C’est vrai que la Nation ne nous l’a jamais rendu.

Le peu que je puisse faire pour toi, Gaudens, c’est de te dire 18 ans après : merci !*

Va en paix, soldat des médias !

Omer

Prenant part au Séminaire de coopération régionale interparlementaire sur le changement climatique organisé par l’Assemblée parlementaire de la Francophonie à Malabo Capitale de la Guinée Equatoriale du 26 au 27 Août 2024, le premier Vice-Président de l’Assemblée Nationale de la RDC, le professeur Isaac Jean-Claude Tshilumbayi qui a conduit une délégation de la RDC à ces assises, a une fois de plus haussé le ton pour faire entendre la Voix de la RDC.

 La RDC qui est un pays

indispensable dans la résolution des problèmes liés au réchauffement climatique avec son bassin, deuxième poumon mondial ne peut plus continuer à subir le pillage de ses ressources naturelles et la destruction de son Ecosystème particulièrement le parc de Virunga par le Rwanda pendant que l’Afrique Centrale est entrain d’attendre que ce pays Continent apporte des solutions à cette épineuse question.

Le professeur Tshilumbayi qui relaie en même temps l’appel du chef de l’Etat Félix-Antoine Tshisekedi en condamnant cette Barbarie que subit le pays de Lumumba dans sa partie Est, veut voir tous les pays amis s’impliquer pour résorber de manière définitive la crise qui secoue la partie orientale du Congo-Kinshasa

Ce séminaire qui s’est déroulé dans la salle de conférence SIPOPO de Malabo a réuni les délégués venus du Cameroun, du Gabon, de la RDC, la Guinée équatoriale, la Communauté Economique Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC) ainsi que les délégués de la Société civile Équato-guinéenne.

Ce séminaire a connu aussi par visioconférence de l’expertise de Laurent Fabius ex-ministre français des Affaires étrangères sous François Hollande, celui-là qui a joué le rôle de président de cop 19 et 21.

Retenez que plusieurs motions de soutien aux efforts de la Guinée équatoriale ont été lues par les délégués des pays participants à ce séminaire.

Ce mercredi 28 août 2024, la Dynamique Samy Magadju a fait preuve de grande générosité en offrant des fournitures scolaires à plus de deux cents enfants défavorisés du quartier Mulambula, dans la commune de Bagira.

Parmi ces bénéficiaires se trouvent notamment les victimes de l’incendie récent qui a ravagé le quartier, ainsi que des orphelins et d’autres enfants issus de milieux précaires.

Chaque enfant a reçu un kit comprenant 11 cahiers, une latte, un crayon et deux stylos.

Un geste de solidarité salué par la communauté

La générosité du conseiller communal Samy Magadju Bonheur, à l’origine de cette initiative, a été chaleureusement saluée par la Dynamique Samy Magadju.

Cette dernière encourage l’honorable conseiller à poursuivre dans cette voie et à continuer d’apporter son soutien aux plus démunis de la région.

Le chef d’avenue Mulambula 1er, Joseph Désiré, a également exprimé sa gratitude envers la Dynamique pour ce geste généreux.

Il a appelé les enfants bénéficiaires à reprendre le chemin de l’école dès le lundi suivant, soulignant l’importance de l’éducation dans la construction d’un avenir meilleur pour ces jeunes.

Une distribution organisée dans un cadre solennel

La remise des fournitures scolaires s’est déroulée dans un cadre solennel, au sein de l’église Ushindi, située sur l’avenue Mulambula 1er à Bagira.

Les enfants ont pu recevoir leur kit de fournitures en présence de membres de la communauté, témoins de cet élan de solidarité envers les plus vulnérables.

En cette journée mémorable, l’espoir et la gratitude étaient palpables dans les regards des enfants qui pourront désormais poursuivre leur scolarité dans de meilleures conditions.

Grâce à la générosité de la Dynamique Samy Magadju, ces deux cents enfants démunis de Mulambula ont reçu un précieux coup de pouce vers un avenir plus prometteur.

Eugide Abalawi