UDPS : La paix revient après une crise interne

L’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) a tourné une page sombre de ses divisions internes. Après plusieurs semaines de tensions opposant le Secrétaire général Augustin Kabuya à un groupe de cadres et militants mené par Déo Bizibu, un accord de paix a été trouvé.

Cette réconciliation a été rendue possible grâce à la médiation de Marthe Kasalu, veuve du fondateur du parti Étienne Tshisekedi, et de Jean-Claude Tshilumbayi, premier vice-président de l’Assemblée nationale. Lors d’une rencontre à la résidence de l’ancien leader de l’UDPS, les deux parties belligérantes ont décidé de mettre de côté leurs différends pour préserver l’unité du parti.

 

La crise au sein de l’UDPS avait atteint son paroxysme ces derniers jours, avec la proclamation de Déo Bizibu comme Secrétaire général par une partie du Directoire national. Cette situation avait suscité des vives tensions et menaçait de diviser davantage le parti.

 

Fort heureusement, les discussions ont abouti à un compromis qui évite toute confrontation physique. Augustin Kabuya et Déo Bizibu ont appelé les militants à l’unité autour de Félix Tshisekedi, le Président de la République et autorité morale de l’UDPS.

 

Déo Bizibu, qui devait initialement prendre ses fonctions de Secrétaire général ce samedi 7 septembre au siège du parti, a déclaré que ” l’intérêt supérieur du parti prime sur les ambitions personnelles”. Il a par ailleurs souligné l’importance de maintenir l’unité au sein de l’UDPS, malgré les divergences d’opinions.

 

Cette réconciliation marque un tournant important pour l’UDPS, qui pourra désormais se concentrer sur ses objectifs politiques et sur le soutien au pouvoir en place.

 

 

 

 

Orchidée




Chine-Afrique : La province chinoise de Hunan s’ouvre à l’Afrique pour une coopération gagnant-gagnant (Par Derick Katola, Beijing)

La province du Hunan mène depuis 2019, des coopérations tous azimuts, multidimensionnelles et à plusieurs niveaux avec les pays africains, consolidant ainsi l’amitié traditionnelle, la confiance politique mutuelle et le développement commun.

C’est ce qu’a affirmé Dai Zhiguang, directeur général adjoint du bureau des affaires étrangères du comité provincial du Parti Communiste Chinois, lors d’une d’une conférence de presse animée ce mercredi 4 septembre 2024 à Beijing, en marge du FOCAC 2024.

A l’en croire, ces échanges passent par des rencontres avec les hauts responsables africains, l’organisation des conférences sur la coopération économique et commerciale et la signature d’accords de jumelage entre villes amies.

La province du Hunan a aussi approfondit la coopération avec les hauts responsables africains dans le cadre de la stratégie « Bring-in », qui consiste à inviter des dirigeants Africains afin de visiter la province de Hunan.

 

Ce dirigeant Chinois indique que plusieurs événements ont été organisés par cette entité chinoise dans le but d’affermir sa coopération avec le continent noir. Il s’agit entre autres, des trois éditions consécutives de l’Exposition économique et commerciale Chine-Afrique, le 7e Forum des peuples Chine-Afrique ainsi que le 7e Forum des jeunes dirigeants chinois et africains.

Au cours des expositions économique et commerciale Chine-Afrique, au total 336 projets ou accords de coopération d’une valeur de 55 milliards de dollars américains avaient été signés entre les parties chinoises et africaines.

 

     Coopération pragmatique Hunan-Afrique étendue dans les domaines du commerce, de l’agriculture et du bien-être social

 

L’Exposition économique et commerciale Chine-Afrique, plateforme de coopération économique et commerciale à la fois nationale et internationale, a permis un développement rapide du commerce du Hunan avec l’Afrique et a donné une forte impulsion à la coopération sino-africaine dans le domaine économique et commercial pour la nouvelle ère.

En 2023, les importations et exportations du Hunan avec l’Afrique ont atteint 55,67 milliards de yuans.

 

Défis

Face aux défis de la coopération économique et commerciale sino-africaine, tels que les devises, l’accès au marché, les normes, la capacité de production et les marchés, la province du Hunan propose de nouvelles solutions et explore de nouveaux modèles commerciaux pour le commerce avec l’Afrique.

 

Elle a également mis en œuvre un plan de coopération en matière de capacités de production avec des pays clés. En se concentrant sur les domaines de l’agriculture, de la fabrication d’équipements, de l’énergie, des infrastructures et du e-commerce transfrontalier, des formes de coopération intégrées et stimulantes sont développées avec certains pays africains.

 

Développer la coopération dans le secteur agricole

 

L’autre secteur de coopération entre cette province chinoise te les pays Africain, c’est l’agriculture.

Selon DAI Zhiguang, directeur général adjoint du bureau des affaires étrangères du comité provincial du Parti Communiste Chinois, la province du Hunan a pleinement exploité ses atouts dans le secteur des semences pour ses investissements agricoles à l’étranger. Elle se classe à ce jour, à la première position en Chine pour les investissements dans les cultures (céréales).

Le riz hybride, étant l’une des « cartes de visite internationales » dont le Hunan est fière, joue un rôle important dans ce domaine.

La province exploite ainsi pleinement ses avantages technologiques en semences en Afrique, en menant des essais et des démonstrations de riz hybride et en améliorant de façon continue les chaînes de valeur agricoles connexes, ce qui aide efficacement à atténuer la pression sur la sécurité alimentaire en Afrique.




Coopération Sino-Africaine : La province chinoise du Zhejiang pour des échanges pragmatiques

Les dirigeants du Zhejiang, une province située dans la partie Est de la Chine étaient ce mercredi 4 septembre face à la presse nationale et internationale pour faire le point sur la coopération de cette région avec le continent Africain. C’est en marge du sommet 2024 du Forum sur la Coopération Economique Sino-Africaine qui se tient à Beijing, du 4 au 6 Septembre.

Depuis 2006, la province du Zhejiang s’est engagé dans la construction d’une communauté de destin Sino-Africain de haut niveau en lançant notamment, deux plans triennaux pour la coopération avec l’Afrique. Ces projets, ont selon le Directeur général adjoint du Département des Affaires Etrangères du gouvernement provincial du Zhejiang, abouti à une série de nouvelles avancées et de réalisations.

Ces échanges entre le continent noir et cette province Chinoise touchent non seulement le domaine économique mais aussi celui humain, culturel et médical.

Echanges humains

Des jumelages, 31 au total, ont été réalisés entre la province du Zhejiang et les régions mais aussi les villes Africaines. Cela a permis de réaliser une couverture totale des niveaux que ce soit au niveau provincial, municipal que de district.

D’importants accords de coopération entre les deux parties ont été conclus à la suite des visites effectuées en Afrique, favorisant au passage, la promotion des échanges.

Coopération économique et commerciale

En 2023, le Zhejiang a été placé parmi les premières provinces Chinoises en termes d’investissements en Afrique soit 4 ,6 milliards alors que le volume du commerce lui, avait atteint 53, 9 milliards de dollars américains durant la même année.

« Au premier semestre de cette année, les deux parties ont réalisé un volume des échanges de 27,88 milliards de dollars, soit une augmentation de 3% par rapport à l’année précédente. Les importations en provenance d’Afrique se sont élevées à 5,55 milliards de dollars, en hausse de 12,9% en glissement annuel», note CHEN Jiangfeng, Directeur général adjoint du Département des Affaires Etrangères du gouvernement provincial du Zhejiang.

A en croire ce dirigeant Chinois, la coopération industrielle entre le Zhejiang et l’Afrique s’étend en profondeur, des secteurs à forte intensité de main-d’œuvre vers la fabrication de produits moyens et hauts de gamme, l’économie numérique et le commerce électronique transfrontalier.

« Par exemple, la plateforme d’Alibaba International a aidé les micro-entreprises et les petites et moyennes entreprises (MPME) du Kenya, du Maroc et d’autres pays africains à participer au commerce mondial ».

Echanges culturels

En ce qui concerne le domaine culturel, CHEN Jiangfeng, Directeur général adjoint du Département des Affaires Etrangères du gouvernement provincial du Zhejiang, renseigne que vingt universités de sa province ont établi des relations de coopération avec des universités Africaines et cent vingt mille talents Sinophones de divers horizons de l’Afrique ont été formés grâce à la création de l’Institut Confucius dans de nombreux pays africains.

Le Forum économique et commercial Chine-Afrique (Zhejiang) ainsi que la Semaine de coopération culturelle et d’échanges entre la Chine et l’Afrique sont ainsi devenus d’importantes plateformes de communication.

 

Coopération médicale 

Depuis 55 ans, le Zhejiang envoie des équipes médicales dans certains coins de l’Afrique tels que le Mali, la République centrafricaine et la Namibie. Entre 2022 et 2023, 110 membres ont été envoyés en mission pour fournir des services médicaux à environ 183 800 personnes dans les pays bénéficiaires. En plus de leur travail dans les hôpitaux locaux, les équipes médicales du Zhejiang se rendent dans les régions éloignées pour organiser des consultations itinérantes gratuites offrant des traitements et des médicaments aux patients pauvres qui en sont dépourvus.

En organisant 15 conférences académiques et plus de 70 sessions de formation médicale, ces équipes médicales diffusent la culture de la médecine traditionnelle chinoise et contribuent ainsi à l’amélioration de la situation sanitaire locale.

Sachez aussi que la ville de Jinhua, l’une des entités de la province du Zhejiang accueillera au mois de Novembre prochain, le forum économique et culturel Sino-Africain.

Derick Katola




Rétablissement de la paix au pays: Les autorités traditionnelles proposent un nouveau cadre de coopération au Gouvernement Suminwa 

La Première Ministre Judith Suminwa a reçu en audience, ce jeudi 5 septembre 2024 à la Primature, l’Alliance Nationale des Autorités Traditionnelles du Congo (ANATEC), conduite par son président national Mwami Mwenda Bantu Munongo Godefroid. Au cours de cette audience, les différents problèmes et difficultés que connaissent les conservateurs du pouvoir coutumier en République démocratique du Congo ont été portés à la connaissance de la Cheffe du Gouvernement.

Dans un mémo contenant leurs desiderata et remis à la Première Ministre, cette délégation composée de plus de 14 chefs coutumiers a exprimé son engagement à œuvrer pour la paix dans l’Est du pays et à combattre l’insécurité sur toute l’étendue du territoire national. Les autorités traditionnelles envisagent, par ailleurs, un renforcement de coopération avec le Gouvernement Suminwa.

“Nous avons présenté à la Première Ministre nos desiderata tant au niveau national que provincial. Il y a plusieurs problèmes au pays tant au niveau sécuritaire, de développement que de cohésion nationale. Ce sont des prérogatives constitutionnelles afin de s’assurer que le pays évolue dans la paix et sans tumultes et désordres. Nous contribuons comme chefs coutumiers, mais il y a beaucoup de pesanteurs qui empêchent l’élan de développement. L’insécurité nous dérange au plus haut point que ça soit au niveau du Nord-Kivu ou dans le grand Bandundu. Nous contribuons à la paix comme en soutenant le Wazalendo”, a déclaré Mwami Mwenda Bantu Munongo Godefroid.

Les autorités traditionnelles attendent du Gouvernement un cadre collaboratif où elles peuvent jouer des rôles plus importants pour le développement du pays et le rétablissement de la sécurité.

“Nous demandons à la Cheffe du Gouvernement de nous confier la charge de veiller sur l’évolution des différents travaux du pays. Nous devons faire le suivi du PDL-145T, de l’exploitation minière, de construction des routes dans nos différents territoires. Nous sommes prêts à accompagner le Gouvernement à combattre les forces négatives. Le Président de la République et la Première Ministre ont intérêt à écouter nos propositions pour rétablir la paix au pays”, a soutenu le Secrétaire général de l’ANATEC, Son Altesse Evariste Bekanga Bokuta Botshitshi.

Attentive aux préoccupations soulevées par cette délégation des autorités traditionnelles, la Première Ministre a reçu leur mémorandum et leur a promis de le capitaliser.

Le Quotidien




Chine-Afrique: Xi Jinping annonce la suppression des droits de douane pour 33 pays africains 

En ce qui concerne la prospérité commerciale, M. Xi a affirmé que la Chine élargirait de sa propre initiative et de façon unilatérale l’ouverture de son marché, et qu’elle a décidé d’accorder le traitement de tarif douanier zéro à 100% des produits exportés vers la Chine par les pays les moins avancés ayant avec elle des relations diplomatiques, dont 33 pays africains.

Une panoplie de mesures a été annoncée par le président Chinois lors de l’ouverture de la 9è édition du sommet du Forum sur la Coopération Sino-Africaine le jeudi 05 Septembre, afin de faire prospérer le commerce entre son pays et ceux d’Afrique.

 

Il a notamment déclaré que la Chine élargira de sa propre initiative et de façon unilatérale l’ouverture de son marché.

 

Un tarif douanier zéro à 100% des produits exportés vers la Chine a été accordé aux pays les moins avancés ayant avec elle des relations diplomatiques, dont 33 pays africains.

 

Afin de mettre en pratique cette mesure, la Chine compte “élargir l’accès des produits agricoles africains à son marché, approfondira la coopération sino-africaine sur l’e-commerce et autres domaines, et mettra en œuvre un programme sino-africain sur le rehaussement de la qualité”, a indiqué Xi Jinping.

En ce qui concerne l’action de partenariat pour la santé, M. Xi a affirmé que la Chine travaillerait avec l’Afrique à créer une alliance des hôpitaux chinois et africains et des centres de médecine conjoints. Elle enverra en Afrique 2.000 professionnels médicaux et réalisera 20 projets d’infrastructures médicales et de lutte contre le paludisme.

 

Pour le développement de l’agriculture au bénéfice de la population, la Chine fournira à l’Afrique des aides alimentaires d’urgence d’un milliard de yuans (environ 140 millions de dollars), enverra 500 agronomes dans les pays africains, et créera une alliance Chine-Afrique pour l’innovation scientifique et technologique agricole.

 

La Chine encouragera l’investissement et l’opération des entreprises chinoises et africaines dans les deux sens et veillera à ce que la valeur ajoutée des industries reste en Afrique et qu’au moins un million de postes d’emploi soient créés pour le continent.

En termes d’échanges humains et culturels, la Chine travaillera avec l’Afrique à créer un institut d’ingénierie et à mettre en place dix Ateliers Luban. Elle proposera 60.000 places de formation en faveur notamment des femmes et des jeunes africains, a encore dit M. Xi.

Les deux parties sont convenues d’organiser en 2026 l’Année sino-africaine des échanges humains et culturels.

Quant au développement vert, la Chine mettra en place 30 projets d’énergies propres en Afrique, créera un forum Chine-Afrique sur l’utilisation pacifique des technologies nucléaires, construira avec l’Afrique 30 laboratoires conjoints, et développera une coopération sino-africaine sur l’application de la télédétection par satellite et l’exploration de la Lune et de l’espace profond.

Cette décision fait d’elle, le premier grand pays en développement et la première grande économie à faire un tel pas. Cette décision aura pour mérite d’aider à transformer le grand marché chinois en une grande opportunité pour l’Afrique.

 

Derick Katola, depuis Beijing capitale de la Chine




Le CICR et l’UNICEF renouvellent leur coopération en matière de protection des enfants dans les zones de conflit

Le Comité International de la Croix-Rouge (CICR) et le Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF) ont renouvelé, ce vendredi 09 septembre 2024, leur accord de coopération sur la protection des enfants affectés par les conflits, y compris les enfants séparés et non accompagnés, les enfants sortis des groupes armés et ceux en détention.

Selon un communiqué de presse publié à cet effet, cet accord, vient notamment renforcer les mécanismes de collaboration et de coordination entre les deux organisations afin d’assurer un soutien accru aux enfants les plus vulnérables à travers le renforcement du système de protection de l’enfant mis en place par le gouvernement de la République démocratique du Congo (RDC).

Dans un contexte de conflit armé persistant, notamment dans l’Est de la RDC, de nombreux enfants sont à risque d’être séparés de leurs familles, recrutés et utilisés, enlevés ou encore victimes de violences sexuelles. Grâce à un système de coordination et communication continue, rapide et efficace, l’UNICEF et le CICR renforcent la protection des enfants à travers la recherche et la réunification familiale, la prise en charge transitoire, l’assistance multisectorielle pour les enfants, même dans les zones plus difficiles d’accès.

« Nous traversons une situation complexe qui pose de vrais défis en matière de protection des enfants. La violence et les affrontements armés dans plusieurs régions du pays, notamment au Nord-Kivu poussent des milliers d’enfants à se déplacer et à abandonner leur rêve.

Beaucoup aujourd’hui ont perdu tout contact avec leurs proches, ont été blessés, tués, abusés ou encore enrôlés de force. Dans ces circonstances et aux vues de la gravité de la situation, il est essentiel que les acteurs de protection unissent leur force et se mobilisent pour apporter une réponse efficace et coordonnée. Il est impératif que le sort de ces enfants devienne une priorité, tant sur le plan national qu’international, tout en soulignant que la meilleure façon de prévenir toutes ces souffrances demeure le respect du Droit International Humanitaire », a indiqué François Moreillon, Chef de Délégation du CICR en RDC.

En tant qu’institution neutre et indépendante, le CICR a pour rôle d’apporter protection et assistance aux victimes des conflits armés et d’autres situations de violence. En RDC, le programme de protection des liens familiaux (PLF) est un élément clef de sa mission humanitaire et forme une part essentielle de son action et de celle de son partenariat notamment avec l’UNICEF ou encore la Croix-Rouge de RDC.

‘’La crise dans l’Est de la RDC est l’une des crises humanitaires les plus complexes au monde. L’impact sur les enfants est particulièrement dévastateur. Ils sont parmi les premières victimes des conflits, subissant des violences physiques et psychologiques très graves. Le renforcement de notre coopération avec le CICR est un moyen de redoubler nos efforts pour que chaque enfant, séparé, puisse trouver le soutien dont il a besoin, retrouver sa famille réintégrer sa communauté, et réaliser son plein potentiel ’’, a précisé Grant Leaity, Représentant de l’UNICEF en RDC.

En RDC, l’UNICEF, accompagne le Gouvernement afin de protéger les enfants affectés par les conflits armés à travers l’accès à des services de santé mentale, de soutien psychosocial et de protection.

A propos du CICR

Le Comité international de la Croix-Rouge, en RD Congo, promeut le respect du droit international humanitaire et aide les personnes touchées par le conflit et la violence à subvenir à leurs besoins, souvent en collaboration avec la Croix-Rouge de la RDC. Nous améliorons aussi l’approvisionnement en eau et l’assainissement, réunissons les membres de familles séparées et renforçons les soins de santé pour les blessés, malades et victimes de violences sexuelles.

A propos de l’UNICEF

L’UNICEF promeut les droits et le bien-être de chaque enfant, dans tout ce que nous faisons. Nous travaillons dans 190 pays et territoires du monde entier avec nos partenaires pour faire de cet engagement une réalité, avec un effort particulier pour atteindre les enfants les plus vulnérables et marginalisés, dans l’intérêt de tous les enfants, où qu’ils soient.




Situation socio-économique: Les avis Consultatifs du Conseil économique et social sur la table de Kamerhe 

En sa qualité de seul organe habileté à donner des avis consultatifs aux plus hautes Institutions du Pays, à savoir la Présidence de la République, l’Assemblée Nationale et le Sénat, le Conseil Économique et Social, à travers son Président Jean-Pierre Kiwakana, a remis, le jeudi 5 septembre, une série d’avis consultatifs émis dans plusieurs secteurs socio-économiques du Pays parmi lesquels figurent :

– deux réformes salutaires sur la formation de base et la gratuité de l’enseignement

– diagnostic de la situation socio-économique de la République Démocratique du Congo de 1960 à nos jours

– les propositions pour vaincre la corruption dans le Pays et tant d’autres.

Le Président de l’Assemblée Nationale, Vital Kamerhe, a salué le travail abattu par le Conseil Économique et Social sous le leadership de son Président, Jean-Pierre Kiwakana.

Il lui a rassuré une bonne collaboration entre cette structure et la Cambre basse du Parlement durant tout son mandat.

Le Quotidien




Situation socio-économique: Les avis Consultatifs du Conseil économique et social sur la table de Kamerhe 

En sa qualité de seul organe habileté à donner des avis consultatifs aux plus hautes Institutions du Pays, à savoir la Présidence de la République, l’Assemblée Nationale et le Sénat, le Conseil Économique et Social, à travers son Président Jean-Pierre Kiwakana, a remis, le jeudi 5 septembre, une série d’avis consultatifs émis dans plusieurs secteurs socio-économiques du Pays parmi lesquels figurent :

– deux réformes salutaires sur la formation de base et la gratuité de l’enseignement

– diagnostic de la situation socio-économique de la République Démocratique du Congo de 1960 à nos jours

– les propositions pour vaincre la corruption dans le Pays et tant d’autres.

Le Président de l’Assemblée Nationale, Vital Kamerhe, a salué le travail abattu par le Conseil Économique et Social sous le leadership de son Président, Jean-Pierre Kiwakana.

Il lui a rassuré une bonne collaboration entre cette structure et la Cambre basse du Parlement durant tout son mandat.

Le Quotidien




Prévisions budgétaires du pouvoir judiciaire: Dieudonné Kamuleta chez Judith Suminwa

La Première Ministre, Judith Suminwa Tuluka, a reçu en audience, jeudi 05 août 2024 à la Primature, le Président du Conseil Supérieur de la Magistrature, Dieudonné Kamuleta. Les échanges entre les deux autorités ont tourné autour de la collaboration entre le pouvoir Exécutif et le pouvoir Judiciaire pour la bonne marche du pays.
Dieudonné Kamuleta Badibanga a saisi cette occasion pour présenter à la Cheffe du Gouvernement les prévisions budgétaires du pouvoir judiciaire pour le prochain exercice.
« Le pouvoir judiciaire doit rester en permanence en contact avec les autres pouvoirs. Dans un premier temps nous sommes venus dans le cadre de la collaboration nécessaire entre les deux institutions. Nous avons également amené les prévisions budgétaires du pouvoir judiciaire que nous venons de remettre à la Première Ministre comme la loi l’exige », a-t-il indiqué au sortir de l’audience.
Concernant la tentative d’évasion survenue la nuit du dimanche 1ᵉʳ au lundi 2 septembre 2024 à la prison centrale de Makala, le numéro un du CSM dit avoir déposé les PV de la réunion de son institution à la Cheffe du Gouvernement.
« Il s’agit de la justice congolaise. Nous ne voyons aucune institution congolaise qui n’est pas concernée par la bonne marche de notre pays. Nous sommes obligés de collaborer parce que, tous, nous appartenons aux institutions du pays. Il n’y a pas de solution miracle ou individuelle. La solution pour la bonne marche du pays va passer par la collaboration et ensemble main dans la main nous allons arriver à réaliser la vision du chef de l’État », a-t-il renchéri.
Accompagné du Procureur Général près la Cour Constitutionnelle et membre du bureau du Conseil Supérieur de la Magistrature, Jean-Paul Mukolo Nkokesha, M. Kamuleta s’est félicité de la détermination de la Première Ministre pour une justice de qualité en Rdc.
Deuxième pilier
En effet, la Première Ministre a placé la restauration de l’appareil judiciaire au deuxième pilier du Programme d’Actions de son Gouvernement. L’objectif étant de garantir l’accès au droit et à une justice de qualité pour tous et d’améliorer la performance de l’administration de la justice.
Le Quotidien




L’envoyé chinois demande des efforts accrus en vue de la libération “immédiate” de tous les détenus (ONU)

Un envoyé chinois a appelé mercredi à un plus grand effort diplomatique en vue de la libération immédiate de tous les détenus, qu’ils soient israéliens ou palestiniens, afin qu’ils puissent retourner chez eux sans plus attendre.

“Les six otages qui ont péri à Gaza sont bouleversants. La fin tragique qui les a frappés suscite la compassion”, a déclaré Geng Shuang, représentant permanent adjoint de la Chine auprès de l’Organisation des Nations Unies (ONU), lors d’une réunion d’information du Conseil de sécurité de l’ONU sur la situation au Moyen-Orient, incluant la question palestinienne.

“La Chine condamne toute violence contre les civils et dénonce toutes les violations du droit international et du droit humanitaire international”, a déclaré l’ambassadeur.

Il a souligné que “la dure réalité en dit long” sur la futilité des tentatives de remporter une “victoire totale” en prolongeant la guerre, ce qui n’est au mieux qu’un “vœu pieux”.

Le recours à la force n’ouvrira pas la voie à la libération des otages, a souligné M. Geng, ajoutant qu’il ne ferait qu’exacerber les antagonismes et rendre les affrontements plus intenses et la situation plus volatile.

Il a appelé les dirigeants israéliens à écouter les appels énergiques de la population, à accorder la priorité absolue à la libération des otages et à la sauvegarde des vies humaines, et à faire tout ce qui est en leur pouvoir pour que le cessez-le-feu se concrétise et que la guerre prenne fin.

Il a également appelé les pays qui exercent une influence sur les parties concernées à faire preuve de bonne foi et d’une attitude responsable en prenant des mesures concrètes “pour éteindre les flammes de la guerre à Gaza”.

Saluant l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et d’autres organisations humanitaires “qui vont malgré tous les obstacles” vacciner les enfants de Gaza contre la polio, M. Geng a déclaré que “ces enfants ont le même droit de grandir en bonne santé que leurs pairs ailleurs dans le monde” et qu’ils ne devraient pas continuer à être confrontés à la menace mortelle d’armes létales après avoir été vaccinés.

“Chaque vie compte et personne ne mérite d’être privé de son droit à la vie”, a-t-il ajouté.