Crise dite de l’Est : pas moins d’une quinzaine d’accords en cours d’exécution avec risque d’…embouteillage !

Pas besoin d’une émission culte du genre “QUESTIONS POUR UN CHAMPION” de France 3 pour demander au régime Udps/Usn s’il a la capacité d’indiquer les titres réels des Accords, des Actes, des Communiqués, des Résolutions et Recommandations ainsi que des Rapports relatifs à la crise sécuritaire qui prévaut en République Démocratique du Congo, particulièrement dans sa partie Est. En quantité, ils sont si nombreux et différents que s’en sortir relève justement du parcours du combattant…

Rdc écartée par des accords

Comme relevé dans la chronique intitulée « Trop de manipulations abjectes autour de l’Accord de Goma» publiée le 8 septembre 2024, la RDC – en recherche quasi désespérée de la paix – est écartelée par des accords les uns provinciaux ou nationaux, les autres sous régionaux ou régionaux ; les autres encore continentaux ou internationaux.

On peut retenir des documents officiels suivants :

1.Accord de Lusaka de 1999 ;

2.Accord de Sun City I d’avril 2002 ;

3.Accord de Luanda RDC-Rwanda de 2002 ;

4.Accord de Luanda RDC-Ouganda de 2002 ;

5.Accord Global et Inclusif de Pretoria de 2002 ;

6.Pacte sur la Sécurité, la Stabilité et le Développement dans la Région des Grands Lacs signé à Nairobi de 2006 ;

7.Actes d’Engagement issus de la Conférence de Goma sur la Conférence pour la Paix, la Sécurité et le Développement au Nord-Kivu et au Sud-Kivu de 2008 ;

8.Communiqué conjoint du Sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernement de la Région des Grands Lacs à Nairobi de 2008 ;

9.Accord de Goma entre le Gouvernement et le Cndp de 2009 ;

10.Accord-cadre sur la Paix, la Sécurité et le Développement sur la RDC signé à Addis-Abeba de 2013 ;

11.Déclarations de Nairobi sur le Processus de Kampala signées par le Gouvernement et le M23 de 2014 ;

12.Différentes Résolutions et Recommandations du Conseil de sécurité de l’Onu de 1994 à 2024 ;

13.Différents rapports des Nations Unies de 1994 à 2023 ;

14.Etc.

Faute d’agencement, le pays est comme « étouffé » pour cause de congestion.

Encerclement de la Rdc pour d’autres processus à venir

Quand on sait que la crise, tantôt dite de l’Est, tantôt qualifiée des Grands Lacs alors qu’elle ne se localise que sur le territoire congolais, a des ramifications historiques, géographiques, sociologiques, culturelles, cultuelles et anthropologiques avérées, aucun régime congolais ne saura la résoudre pour de bon en dehors d’une initiative concertée réfléchie. Or le pays aspire à une paix pérenne. N’en déplaise aux « stratèges» de la 25ème heure convaincus que l’Etat et la rue se gouvernent de la même manière que le parti.

Ce qui est valable pour la RDC l’est aussi pour les pays frontaliers concernés par cette crise, en l’occurrence la RCA, le Soudan du Sud, l’Ouganda, le Rwanda, le Burundi, la Tanzanie, la Zambie et l’Angola voisins directs, en remontant la citation, du Grand Katanga, du Grand Kivu et de la Grande Orientale.

C’est pour cette raison que le Processus de Luanda, soutenu quasiment par tous les partenaires bilatéraux et multilatéraux de la RDC – dont tous les 5 membres permanents du Conseil de sécurité des Nations Unies – plaident pour une solution non armée, entendez une solution diplomatique.

C’est à Kinshasa de comprendre pourquoi préconisent-ils, eux, une solution négociée entre la RDC et le Rwanda sans toutefois promouvoir le schéma d’une démarche globale !

En effet, s’il est bon, dans le cadre du Processus de Luanda, d’obtenir la neutralisation des Fdlr et du M23/AFC, rien cependant, à part la mauvaise foi (double standard) ne justifie la non-neutralisation des Adf (Ouganda) reconnues d’ailleurs par le GEC dans un rapport récent comme « responsable de plus de meurtres de civils (37%) que tout autre groupe armé ».

Rien non plus ne peut justifier la non-neutralisation du Fnl et des Fdd du Burundi ainsi que d’autres groupes armés ougandais. Déjà, l’Upc (groupe armé centrafricain) est signalé au Bas-Uélé, selon un rapport Ebuteli dans une dépêche du 12 septembre dernier.

C’est à croire que plus on fait avancer le Processus de Luanda, plus on entreprend l’encerclement de la RDC pour d’autres processus à venir.

Inévitable dialogue interne avant d’affronter l’incontournable dialogue externe

Que faire alors ? La tentative de réponse peut être dans les « Actes du Colloque FES-UOB » publié par « Edition FES 2024 » sous le titre «GROUPES ARMÉS ET DÉVELOPPEMENT EN RD CONGO : Dynamiques, enjeux et perspectives».

C’est une réflexion scientifique organisée du 14 au 16 septembre 2023 à l’Université Officielle de Bukavu avec le concours de « Friedrich Ebert Stiftung». Les professeurs sont formels en considérant que « L’urgence de la situation dans l’Est du Congo nécessite une réponse coordonnée et proactive de la part de l’Etat congolais et d’autres acteurs internationaux, nationaux et locaux ».

En d’autres mots, l’incontournable dialogue interne pour affronter l’inévitable dialogue externe.

C’est déjà bon si le Gouvernement a donné suite à ce colloque initié par son intelligentsia.

Ce serait mieux de se rattraper s’il ne l’avait pas encore fait ; la seconde éventualité ne pouvant surprendre personne…

Omer Nsongo die Lema




Sud-Kivu : Les enseignants lèvent la grève et reprennent les cours le 18 septembre

Après avoir déclenché une grève depuis la rentrée scolaire, les enseignants des écoles conventionnées et publiques du Sud-Kivu ont pris la décision de suspendre leur mouvement et de retourner en classe, suite à l’augmentation de 50.000 FC annoncée par le gouvernement.

Après des semaines de mobilisation et de revendications, les enseignants du Sud-Kivu ont finalement décidé de mettre fin à leur grève. Cette décision ne s’est pas prise à la légère, mais après mûre réflexion et consultation entre les délégués syndicaux et l’ensemble des enseignants de la province.

L’élément déclencheur de cette reprise des cours a été l’annonce par le gouvernement de l’augmentation de 50.000 FC sur les salaires des enseignants.

Une première tranche a été versée, et une autre augmentation est prévue en décembre. Les enseignants voient dans ces mesures une première étape vers une revalorisation de leur métier et de leurs conditions de travail.

Un retour progressif à la normale

Depuis le début de l’année scolaire, seules les écoles privées ont pu fonctionner normalement dans la province du Sud-Kivu.

Les écoles conventionnées et publiques étaient paralysées par le mouvement de grève des enseignants. Avec la reprise des cours prévue pour le 18 septembre, la situation devrait peu à peu revenir à la normale dans les établissements scolaires de la région.

Les enseignants du Sud-Kivu ont donc décidé de mettre de côté leurs revendications pour le moment, dans l’attente de voir les engagements pris par le gouvernement se concrétiser.

La reprise des cours sera une étape importante pour les élèves de la province, qui pourront enfin retrouver un cadre d’apprentissage normal après des semaines de perturbations.

Eugide Abalawi




Clôture des Etats généraux de la presse du Sud-Kivu : Un appel à la responsabilité et au professionnalisme

Le samedi 14 septembre 2024, l’Auditorium de la Femme au quartier Labotte à Bukavu a été le théâtre des Etats généraux de la Presse du Sud-Kivu.

Cette rencontre avait pour objectif de rassembler l’ensemble des professionnels des médias, les autorités administratives et les organisations partenaires des médias afin de réfléchir collectivement sur les défis et les opportunités liés à l’avenir de la presse au Sud-Kivu.

Plus de 100 médias, comprenant des radios, des télévisions et de la presse écrite, ont envoyé leurs représentants à cette grande rencontre.

Il a été aussi question d’analyser l’état actuel de la presse en République Démocratique du Co…




La Mairie de Bukavu publie une nouvelle tarification du transport en commun

Depuis plusieurs jours, une véritable cacophonie règne dans le secteur du transport en commun à Bukavu. Les conducteurs et les passagers se sont retrouvés dans une impasse, chacun tentant de tirer profit de la situation au détriment de l’autre.

Face à ce climat délétère, le maire de la ville a décidé d’intervenir et de fixer de nouveaux tarifs en fonction des trajets à parcourir.

Dans un arrêté rendu public le vendredi 13 septembre, l’autorité urbaine, Karumba Chikuta Zénon, a dévoilé les nouveaux tarifs qui entreront en vigueur dans le secteur du transport en commun.

Cette décision fait suite à une négligence de certains chauffeurs qui refusaient de se conformer à l’arrêté initial datant du 01 juin 2024.

Des Tarifs Fixés par Trajet

Désormais, les prix seront fixés en fonction des trajets à accomplir. Par exemple, le trajet allant de la place de l’indépendance à Nguba en taxi coûtera 1000fc. De même, le trajet de la place de l’indépendance au carrefour, Major Vangu, quartier latin sera également fixé à 1000fc, tandis que celui allant de la place à Bagira coûtera 1200fc.

Pour veiller à l’application de ces nouveaux tarifs, le maire promet de mettre en place une commission chargée de surveiller le respect de l’arrêté. Tout conducteur en infraction se verra infliger une amende de 100 dollars et une suspension de sept jours de sa licence de conduite.

Sensibilisation des Membres de l’ACCO

Il est primordial que l’Association des Chauffeurs de la Commune (ACCO) sensibilise ses membres afin d’éviter tout dérapage face à cette mesure. Les séances de sensibilisation devront être renforcées pour garantir une meilleure compréhension et une application adéquate des nouveaux tarifs.

 

En définitive, la fixation des prix du transport en commun à Bukavu est une mesure nécessaire pour rétablir l’ordre et garantir des conditions de déplacements plus justes pour les habitants de la ville. Espérons que cette décision contribuera à apaiser les tensions et à instaurer un climat de confiance entre les différents acteurs du secteur du transport en commun.

Eugide Abalawi




Découverte : “The Place”, le centre commercial le plus populaire de Beijing

Situé au 9, Guanghua Road, dans le district de Chaoyang, “The Place” est une rue commerçante et est une combinaison de restaurants, de divertissements et d’arts. Ouvert en 2006, ce lieu est devenu le Paradis du shopping le plus populaire de la Capitale Chinoise.

Cet emblématique centre commercial abrite la chaîne de mode espagnole Zara, la boutique Adidas, Jordan, Potato and Co., Folli Follie, French Connection, Miss Sixty, Rolex, la plus grande boutique de montres de Chine et d’autres marques de téléphonie mobile dont Apple et Huawei.

 

La plus grande attraction de cette rue, c’est le grand écran LED de 250 mètres de long et 30 mètres de large suspendu dans les airs. Sur ce troisième plus grand écran du monde, les motifs changent, affichant des couleurs splendides sur les charmantes scènes de rue sous le ciel nocturne. Je vous invite d’y être la nuit pour apprécier cette merveilleuse œuvre.

Le Sky Screen mesure 250 mètres de long et 30 mètres de large, ce qui en fait le troisième plus grand écran du monde. Cependant, l’écran utilise la technologie d’écran du ciel la plus avancée, qui est plus avancée que tout autre écran du ciel dans le monde entier.

Les gens se promènent sous l’écran en profitant de l’art de l’espace, de la haute technique et de l’éclairage. On retrouve sur ce lieu, des différentes gammes de jeux pour enfants qui y viennent accompagnés de leurs parents.

Pour ceux qui désirent s’y rendre, sachez que l’ouverture de l’écran panoramique a généralement lieu après la tombée de la nuit. À l’Été, c’est de 19h30 à 23h00 et pendant l’Hiver, c’est de 17h00 à 22h00.

Derick Katola depuis Beijing, capitale de la Chine




ALI IBRAHIM HAMMOUD tente en vain de tricher au ministère des Affaires Foncières  

Stupéfaction, ahurissement et forts regrets. Tels sont les sentiments qui ont animé M. MOHAMAD IBRAHIM HAMMOUD à la lecture de certains choux gras médiatiques téléguidés et publiés pour une affaire qui ne pouvait constituer un dossier judiciaire, tant sa genèse telle que vécue et racontée, laisse pantois même les apprenants en Droit.

Certains choux gras médiatiques téléguidés et publiés pour une affaire qui ne pouvait constituer un dossier judiciaire, tant sa genèse telle que vécue et racontée, laisse pantois même les apprenants en Droit

Les publications téléguidées par un maladroit foncier, ALI IBRAHIM HAMMOUD dont on dit recherché d’ailleurs par la Justice congolaise, sont passées à côté de la plaque et ne sauront pas trouver du répondant. Parce que truffées de mensonge, mijotées par des mains inexpertes et inappropriées en Droit ; qui se sont amusées, sans foi ni loi, à manipuler la presse pour citer nommément une Ministre en fonction, alors qu’ils oublient qu’ils s’exposent à des poursuites, conformément au Code de Déontologie qui régit leur profession.

Bien plus, citer le nom de quelqu’un qui n’est de près ni de loin dans ce dossier concernant deux frères. Mais que Ali Ibrahim fait écrire aux médias que M. Rach5id El Chaer serait mêlé dans ce dossier. Encore des faussetés.

En effet, par leur correspondance n°111/JKM/08/2024 du 04 septembre 2024, cette bande conduite par ALI IBRAHIM HAMMOUD, a tenté d’influencer la Ministre d’Etat, Ministre des Affaires Foncières, Acacia Badunbola, dans le but de s’attirer sa sympathie dans un dossier que la Justice congolaise a pourtant bien mis ses manettes avec une impartialité claire qu’explicite, dans la mesure où le jugement sous RP13810 rendu par le Tribunal de paix Lubumbashi/Katuba, condamnant le nommé ALI IBRAHIM HAMMOUD à 12 mois de servitude pénale principale et ayant ordonné la destruction les certificats d’enregistrement faux que ce dernier s’était fait obtenir partant des actes de cession faux, profitant de l’absence de son grand frère MOHAMAD IBRAHIM HAMMOUD, au pays.

 

Bien que ce jugement est à ce jour exécuté et coulé en force de chose jugée, la meute de ALI IBRAHIM HAMMOUD s’offre éperdument à induire les autorités en erreur, jusqu’à les pousser à prendre des décisions contraires à la constitution, tel est le cas du ministère des Affaires Foncières ; pour lequel l’unique moyen d’y remédier, consiste à saisir le conseil d’Etat conformément aux Lois de la République ;

L’on se demande, si la meute de ALI IBRAHIM HAMMOUD a assimilé les dispositions de l’article 19 de la Constitution, avant le traitement et la publication de leur article dans les réseaux sociaux X (ex tweeter) et les colonnes de certains organes de presse de Kinshasa.

Mis au pilori devant ce jugement devenu inattaquable, ALI IBRAHIM HAMMOUD, venu en République Démocratique du Congo en 1999 sans ressources, s’est permis d’aller attaquer, par des voies « boutiquées » et non légales le RP/13810, un jugement pourtant inattaquable dans sa forme que dans son fond. N’ayant trouvé gain de cause, ils reviennent à la charge en cherchant à abuser de l’honneur de Mme Ministre d’Etat, Ministre des Affaires Foncières, Acacia Badunbola, qu’il croit induire en erreur. Cette attitude démontre qu’il existe encore des marchands de vent qui s’obstinent à obtempérer aux Lois du Pays.

La bande à ALI IBRAHIM HAMMOUD, qu’on ne sait plus taire le nom, se compte donc dans le précarré de ceux qui militent pour des sales besognes afin de salir la réputation de la Justice congolaise.

C’est pourquoi, MOHAMAD IBRAHIM HAMMOUD, « Momo », dit ne plus leur permettre de revenir offrir d’autres choux médiatiques truffés de mensonge et de contre-vérités, la vérité étant têtue. Il a décidé de rétablir la vérité dans cette affaire, ayant foi avérée à la Justice congolaise à travers les faits précis et concis.

 

 

La raison de la saisie du Conseil d’Etat

Face à l’imposture de ALI et sa bande d’aller troubler la quiétude au Ministère des Affaires Foncières, MOHAMED IBRAHIM HAMMOUD a saisi le Conseil d’Etat en référé-liberté en vue de rendre nuls, les effets du courrier sous le n°0153/CAB.MN-ETAT/AF-FONC/ABM/YAM/fmn/2024 du 02/08/2024 et celui n°441/SG/AFF-FONC/00736/BJK/2024 du 06/08/2024 émis par le Secrétaire général aux Affaires Foncières.

Contrairement aux allégations du sieur ALI IBRAHIM HAMMOUD et sa bande d’escrocs qui prétendent que la saisine du Conseil d’Etat vise à narguer la Ministre d’Etat, Ministres des Affaires Foncières, MOHAMAD IBRAHIM HAMMOUD alias MOMO n’a jamais eu l’intention de s’attaquer à la Ministre des Affaires Foncières connue pour son équité, son honnêteté, sa franchise et son sens élevé de responsabilité.

MOHAMAD IBRAHIM HAMMOUD a suivi la procédure qu’on appelle en Droit « référé-liberté ». Même les apprenants en Droit savent que cette procédure n’est juste qu’une précaution pour empêcher au sieur ALI IBRAHIM HAMMOUD de se prévaloir de la lettre de Mme la Ministre des Affaires foncières qu’il a obtenue d’une manière malhonnête, indigne, tronquée et maligne.

Des sources précisent qu’au niveau du Cabinet du Ministre des Affaires Foncières où MOHAMAD IBRAHIM HAMMOND est allé déposer le dossier y afférant, il a été agréablement surpris de trouver certaines pièces et informations que ALI IBRAHIM HAMMOUD a cachées pour tromper la bonne foi de la Ministre d’Etat.

Devant cette violation de la Loi, MOHAMED IBRAHIM HAMMOUD a recouru au référé-liberté qui l’autorise à suivre cette procédure, pour autant qu’il a exprimé des doutes sérieux quant à la légalité des documents et autres pièces déposés au Cabinet de la Ministre des Affaires Foncières. Pièces qui pouvaient entrainer des craintes réelles sur la décision à advenir dans ce litige, devant le juge administratif qui n’est rien d’autre que le Cabinet du Ministre des Affaires Foncières. Mais comme dit ci-haut, connaissant l’équité, la probité morale et l’honneur de la Ministre d’Etat, Ministre des Affaires Foncières, Acacia MOHAMAD IBRAHIM HAMMOUD et son Conseil espèrent qu’après les éléments fournis aux membres de son Cabinet, Mme la Ministre reviendrait sur sa décision. Ainsi, il n’est donc pas question à MOHAMED IBRAHIM HAMMOUD de s’attaquer à Mme la Ministre d’Etat, Ministre des Affaires Foncières.

En définitive, tous les articles de presse commandités et publiés ces derniers temps ne visent qu’à peindre les méfaits de Sieur ALI IBRAHIM HAMMOUD, un citoyen sans honneur, réputé pour ses magouilles, spécialiste en désinformation et prêt à pactiser avec l’escroquerie qui est son dada naturel.

D’ailleurs, il est temps de le relever et de le révéler ici que ALI IBRAHIM HAMMOUD est recherché par la Justice congolaise pour des faits avérés lui reprochés antérieurement. C’est pour cela qu’il n’ose plus fouler le sol congolais, préférant manipuler les médias à distance pour exposer MOMO au mépris et tenter de le dépouiller de ses immeubles en induisant les Autorités congolaises en erreur.

Bien plus, contrairement à ce qu’il raconte dans ses articles téléguidés, ALI IBRAHIM HAMMOUD a la réputation de désinformer le public, parce qu’il prétend qu’il a des entrées dans la haute sphère politique que judiciaire ; il entretiendrait des relations poussées même au niveau de la Famille présidentielle qui l’aiderait actuellement à s’allier à tous les faux et usage de faux en utilisant le trafic d’influence ; comme cela a été le cas avec celle utilisée pour obtenir le fameux faux jugement de Likasi fricoté de la manière que l’on sait.

Mais comme nul crime n’est parfait, le jugement en question a, malheureusement, connu beaucoup d’erreurs dans le fond que sur la forme. N’ayant saisi la portée de sa forfaiture que tard, il recourt maintenant aux médias pour distiller des fausses informations contre la personne de

MOHAMED IBRAHIM HAMMOUD, « MOMO », celui-là même qui l’avait accueilli à bras ouverts en République Démocratique du Congo en 1999, espérant voir la Ministre d’Etat, Ministre des Affaires Foncières fermer les portes à « MOMO ». Ainsi, l’opinion de s’interroger : « que vient faire Rachid El Chaer dans ce dossier ? Si c’est de la mauvaise foi de citer quelqu’un, à travers les médias dans l’intention de nuire à sa personne ».

Agir ainsi, selon des observateurs, dénote d’une maladresse dont le camp de Rachid ne saurait pardonner, affirme-t

-on.

Serge Ngindu

 

 




Cohésion nationale: L’AAP Théophile Mbemba appelle à un dialogue inclusif

Les choses bougent sur le plan politique. Chaque jour qui passe donne son décor. Les acteurs politiques sont en branle car c’est la vie de toute une Nation qui risque d’en recevoir un coup fatal si rien de nationalisme et de sens élevé de patriotisme n’est fait.

C’est dans ce cadre que le parti politique Alliance pour l’Alternance et le Progrès (AAP), cher à Théophile Mbemba, monte au créneau. Il en souffre tellement dans son for intérieur qu’il ne peut se refuser de se prononcer sur l’actualité brulante de l’heure. D’un ton limpide pour se faire comprendre, « Théo Kikalakasa », son surnom lui collé à la Colline inspiré par les étudiants, a donné le ton, samedi 15 septembre à Kinshasa. La politique, la situation sécuritaire et socio-économique du pays sont passées au scanner du professeur Théophile Mbemba. Il peint d’abord la situation du pays, non sans donner des pistes de solutions pour s’en sortir.

« En plus des affres de la guerre à l’Est avec son cortège de morts et des milliers de personnes déplacées, ainsi que celles du phénomène « Mobondo » à l’Ouest, la RDC n’arrête pas de compter des tueries des paisibles citoyens à travers le pays, dont celui du 01 septembre, qui a fait de centaines des morts, plusieurs blessés et des cas de viols parmi des pensionnaires à la Prison centrale de Makala », regrette le président de AAP. Il prend l’exemple de la ville de Kinshasa, où l’insécurité dû au banditisme urbain, communément appelé « Kuluna » occasionne « des attaques des paisibles citoyens, sous les yeux impuissants du pouvoir public, continue à battre son record »

Lorgnant du côté de l’économie nationale, Théophile Mbemba affirme que le pays connaît « des niveaux de pauvreté élevés, un fort taux de chômage surtout parmi les jeunes, un accès inadéquat aux soins de santé, au système éducatif de qualité, aux moyens de transport, au logement convenable, en eau et électricité ainsi qu’une insécurité alimentaire grave, pour des millions des Congolais vivants surtout dans les zones rurales ». En outre, explique-t-il sans mâcher ses mots que notre pays est encore classée parmi les 15 pays les plus corrompus et les 5 pays les plus pauvres, au monde.

Selon le président de l’Alliance pour l’Alternance et le Progrès, la dérive de la gestion du pays observée ces dernier temps encourage « le musèlement des libertés d’opinions des citoyens notamment par des arrestations arbitraires des acteurs politiques dont le plus récent est le cas de Seth Kikuni arrêté depuis près de 11 jours. La gouvernance du pays est minée par le règne des antivaleurs qui entretiennent l’impunité, une corruption endémique, de détournements de deniers publics et l’enrichissement illicite au détriment du peuple congolais qui croupit dans la misère, Un manque de cohésion nationale, favorisé depuis les élections truquées et contestées de décembre 2023, rongent de jour en jour le patriotisme, et l’unité nationale des Congolais », argue Théophile Mbemba.

 

Respect des droits humains

Après avoir condamné la situation qui s’est déroulée dernièrement à la prison centrale de Makala, le président AA et appelé à une enquête indépendante pour rétablir les responsabilités, AA exige que la dérive autoritaire du pouvoir en place favorisant la répression et les arrestations arbitraires dans l’objectif de museler les libertés d’opinions et de mouvement de l’Opposition et de la Société civile, cède sa place à une attention particulière aux besoins sociaux de base, au respect de droits humains, à la bonne gouvernance ainsi qu’au renforcement des forces de dépense et de sécurité pour la paix sociale et la préservation de l’intégrité territoriale.

« Les acteurs politiques congolais coresponsables des maux qui rongent la RDC suite à leur avidité du pouvoir et du non-respect des engagements pris lors de négociations politiques antérieures, soient humbles, se repentissent auprès du peuple congolais et s’engagent fermement à écouter la voix du peuple à travers des élections libres, justes, démocratiques et transparentes ».

Alors qu’on évoque l’idée d’un dialogue pour cimenter la cohésion et l’unités nationale, cet acteur politique pense qu’il doit revêtir le caractère inclusif de toutes les forces politiques et sociales avec comme priorités « de reformes pour enraciner la démocratie dans l’organisation des élections libres, démocratiques et transparentes pour proclamer la vérité des urnes et piloté par la CENCO et l’ECC, sans interférence extérieure.

« C’est en mettant définitivement fin à la crise de légitimité en RDC, que les acteurs politiques lègueront aux générations futures un Congo digne, uni, prospère et fort », prévient-il.

On rappelle que dernièrement, participant un atelier de restitution de l’étude sur les lois qui touchent la sécurité alimentaire et nutritionnelle ainsi que leur état d’application en République Démocratique du Congo, organisé par le CNPAF/RDC, à travers le projet TAFS financé par AFSA et SIDA, le professeur Théophile Mbemba a apporté son point de vue scientifique et technique à cette étude.

Pour ce biologique de renom ; Professeur à la Faculté de Sciences Agronomiques dans des Institutions universitaires du pays, la Législation sur la sécurité alimentaire et la souveraineté alimentaire est vide RDC ; il faut l’apport musclé de la Société civile pour pousser le gouvernement congolais d’avoir une politique coordonnée sur ces deux questions d’intérêt national. Pour ce, il avait préconisé devant les participants « une politique agricole en mettant la nutrition des congolais au centre, tout en promouvant les aliments locaux et traditionnels.

Willy KILAPI




Assemblée nationale : Judith Suminwa dépose le projet de loi des finances évalué à 18 milliards de dollars américains pour l’exercice 2025

La Première Ministre, Judith SUMINWA TULUKA a déposé le Projet de Loi de Finance 2025 avec un budget évalué à 49 847 milliards de FC soit 18 milliards de dollars.

Elle a également déposé le projet de loi portant reddition des comptes et le projet de loi rectificative exercice 2024.

A l’ouverture de la session ordinaire de septembre, consacré à l’exercice budgétaire, la première ministre Judith Suminwa s’est acquittée de son devoir ce lundi 16 septembre 2024.

 

 

Mboshi




Thérèse Kayikwamba échange avec l’ambassadeur de la Tunisie

La ministre d’Etat des Affaires étrangères, Coopération internationale et Francophonie, Thérèse Kayikwamba Wagner a reçu l’ambassadeur de la Tunisie en RDC ce lundi 16 septembre 2024 en son cabinet de travail.

Cette rencontre était axée essentiellement sur les relations bilatérales qu’entretiennent la RDC et la Tunisie.

Pour M. Bouzerkri Ramli, il faudrait renforcer la coopération et privilégier les visites de haut niveau entre les responsables des deux pays afin de donner une nouvelle impulsion à cette dynamique.

Le diplomate Tunisie a également saisi l’occasion pour évoquer la nécessité de la tenue de la seconde session mixte qui ne s’est pas tenue depuis 1989. Cette plate-forme de partenariat et de bien-vivre commun doit être remise au goût du jour en fonction des défis actuels et des attentes des deux pays.




Les défis de la sécurité nationale en RDC : La nécessité d’une approche responsable de l’opposition et de la société civile

Jean Aime Mbiya Bondo Shabanza

Vice-Président Fédéral en Charge de la Politique de la Diplomatie

Fédération des Etats -Unis d’Amérique

Candidat député National Honoraire Circonstription électorale de la Tshangu/2023

En République Démocratique du Congo (RDC), le climat politique est caractérisé par des affrontements souvent acerbes entre les partis au pouvoir et ceux de l’opposition. Cette dynamique est amplifiée par des intérêts divergents et des ambitions politiques parfois exacerbées. Toutefois, lorsque les débats touchent aux questions de sécurité nationale, une dimension particulièrement sensible et cruciale pour la stabilité du pays, la situation devient encore plus complexe. En effet, certains politiciens de l’opposition semblent franchir les frontières du débat démocratique, adoptant une posture qui pourrait s’avérer dangereuse pour la souveraineté et l’intégrité du pays.

La RDC est confrontée à des défis sécuritaires majeurs : des conflits armés persistants, des rébellions et des groupes armés qui menacent la paix et la stabilité, ainsi qu’une infiltration étrangère qui complique davantage la gestion des affaires internes. Dans ce contexte de vulnérabilité, les institutions chargées de la sécurité et du renseignement jouent un rôle crucial. Elles sont en première ligne pour détecter, prévenir et neutraliser les menaces, souvent dans des conditions extrêmement difficiles et face à des adversaires bien organisés.

Cependant, certains membres de l’opposition, dans une quête parfois effrénée de visibilité politique ou dans une stratégie de déstabilisation, adoptent une attitude critique envers ces institutions. Au lieu de soutenir les efforts de sécurité ou de proposer des solutions constructives, ils engagent des attaques publiques contre les services de sécurité et de renseignement, remettant en question leur intégrité et leur efficacité. Cette ingérence, souvent motivée par des calculs politiques ou des considérations partisanes, peut affaiblir les capacités opérationnelles de ces institutions essentielles.

En faisant fi des implications potentielles de leurs actions, ces politiciens peuvent involontairement (ou délibérément) offrir des opportunités aux acteurs hostiles, compromettant ainsi les efforts pour maintenir la cohésion nationale et la sécurité du territoire. Cette dynamique crée une situation où le débat politique sur la sécurité se transforme en un enjeu de pouvoir, au détriment de la stabilité du pays.

Cette situation nécessite une réflexion approfondie sur le rôle des acteurs politiques dans la gestion des questions de sécurité nationale. Il est crucial que les responsables politiques, qu’ils soient au pouvoir ou dans l’opposition, prennent conscience des enjeux et des responsabilités associés à leurs critiques et actions. L’appel est donc lancé pour une approche plus responsable et constructive, qui privilégie la stabilité et la sécurité du pays au-dessus des intérêts partisans.

Malheureusement, certains politiciens de l’opposition, en quête de notoriété ou de pouvoir, ont parfois tendance à attaquer les services de sécurité et de renseignement, remettant en question leurs actions sans toujours comprendre les enjeux complexes qu’ils traitent. Cette attitude, souvent motivée par des considérations partisanes, peut nuire à l’efficacité des opérations de sécurité et compromettre la sécurité nationale en donnant des munitions à ceux qui souhaitent voir le pays affaibli.

Ces comportements, souvent motivés par des considérations partisanes, entraînent des répercussions profondes sur la cohésion nationale et témoignent d’un manque de respect envers la souveraineté et l’intégrité du pays.

En RDC, la classe politique est profondément divisée, et certains membres de l’opposition adoptent des stratégies qui vont au-delà du débat politique constructif. Au lieu de proposer des alternatives viables ou de participer à un dialogue constructif, ces acteurs se lancent dans des attaques systématiques contre les institutions de sécurité et de renseignement. Par exemple, des accusations infondées et des critiques acerbes sont souvent dirigées contre les forces de l’ordre et les agences de renseignement, mettant en doute leur efficacité et leur loyauté. Ces attaques, qui sont parfois accompagnées de campagnes médiatiques virulentes, contribuent à éroder la confiance du public dans ces institutions cruciales.

Cette dynamique entraîne des conséquences néfastes sur la cohésion nationale. En attaquant les institutions de sécurité, l’opposition contribue à alimenter la méfiance et la division au sein de la population. Les critiques incessantes et souvent non fondées créent un climat d’incertitude et d’instabilité, propice à la manipulation par des groupes armés ou des puissances étrangères cherchant à déstabiliser le pays. La RDC, déjà confrontée à des défis de sécurité tels que les conflits armés dans l’est du pays et les incursions de groupes armés étrangers, voit sa situation encore compliquée par ces divisions internes.

Le manque de respect manifeste envers les institutions de sécurité et de renseignement s’inscrit dans un contexte où la souveraineté nationale est constamment menacée. En amplifiant les critiques contre les forces chargées de maintenir l’ordre, certains acteurs politiques envoient un message négatif aux populations locales et internationales. Ce message est souvent interprété comme une faiblesse de l’État ou un manque de contrôle sur ses propres institutions, ce qui peut encourager les acteurs hostiles à intensifier leurs activités et à exploiter les failles dans la sécurité nationale.

La déstabilisation des institutions de sécurité a également des répercussions sur la gouvernance et le développement. Les efforts pour reconstruire l’infrastructure, améliorer les conditions de vie et promouvoir la croissance économique sont gravement compromis lorsque la sécurité est menacée par des comportements politiques irresponsables. Les investisseurs, tant locaux qu’internationaux, sont réticents à s’engager dans un environnement instable, ce qui freine le développement économique et exacerbe les problèmes sociaux.

Il est crucial que les acteurs politiques, y compris ceux de l’opposition, adoptent une approche plus responsable et respectueuse. La critique des institutions doit se faire dans un cadre constructif, visant à améliorer les processus et à proposer des solutions, plutôt qu’à saper la confiance du public et à affaiblir la capacité de l’État à assurer la sécurité et la stabilité. L’opposition devrait se concentrer sur des stratégies de collaboration et de dialogue, afin de renforcer les institutions démocratiques et contribuer à une gestion plus efficace des défis auxquels le pays est confronté.

Conclusion :

En conclusion, la situation politique en République Démocratique du Congo (RDC) met en lumière des comportements politiques inquiétants qui, loin de contribuer à la stabilité du pays, exacerbent les défis auxquels il est confronté. Les actions de certains acteurs politiques, caractérisées par des critiques non fondées et des attaques systématiques contre les institutions de sécurité et de renseignement, sont non seulement inadmissibles mais également préjudiciables à la stabilité et à l’intégrité du pays.

Les attaques constantes contre les institutions de sécurité, souvent alimentées par des motivations politiques ou des intérêts partisans, créent un climat de méfiance et d’incertitude. Cette instabilité interne affaiblit les capacités de l’État à faire face aux menaces sécuritaires extérieures et internes. En s’attaquant aux forces de sécurité, certains politiciens ne se contentent pas de critiquer ; ils mettent en péril la capacité de ces institutions à assurer la protection des citoyens et à maintenir l’ordre public. Cette déstabilisation est particulièrement dangereuse dans un pays comme la RDC, où les défis sécuritaires sont déjà considérables et où les groupes armés profitent des failles pour intensifier leurs actions destructrices.

Les institutions de sécurité et de renseignement jouent un rôle fondamental dans la préservation de l’intégrité nationale. Le respect de ces institutions est essentiel non seulement pour garantir leur efficacité opérationnelle, mais aussi pour maintenir la confiance du public et des partenaires internationaux. La remise en question systématique de leur légitimité et de leur compétence sape cette confiance et nuit à leur capacité à fonctionner correctement. Il est donc impératif que les acteurs politiques adoptent une approche qui respecte ces institutions, en critiquant de manière constructive et en proposant des solutions plutôt qu’en jetant le discrédit.

Pour garantir la cohésion nationale et soutenir le développement, il est crucial que les acteurs politiques, qu’ils soient au pouvoir ou dans l’opposition, adoptent une approche constructive. Cela signifie s’engager dans un dialogue respectueux et collaboratif, chercher à comprendre les défis auxquels les institutions de sécurité sont confrontées, et travailler ensemble pour renforcer les capacités de l’État. L’opposition a un rôle important à jouer en proposant des alternatives viables et en participant activement à des discussions qui visent à améliorer la gouvernance et la sécurité, plutôt qu’en cherchant à saboter les efforts en cours.

La stabilité et le développement de la RDC dépendent d’un effort collectif où chaque acteur politique reconnaît l’impact de ses actions sur le bien-être du pays. Il est crucial que tous les acteurs politiques prennent conscience de la portée de leurs critiques et de leur rôle dans la construction d’une nation résiliente. Une responsabilité partagée, basée sur le respect des institutions, la coopération et la recherche de solutions communes, est essentielle pour surmonter les défis persistants.

Enfin, un véritable sens du patriotisme et de l’engagement envers le bien commun doit guider les actions des responsables politiques. En mettant de côté les intérêts partisans pour privilégier l’intérêt national, les acteurs politiques peuvent contribuer à renforcer la résilience de la RDC et à créer un environnement propice à la paix, à la sécurité et au développement durable.

En somme, pour que la République Démocratique du Congo puisse avancer vers un avenir plus stable et prospère, il est impératif que tous les acteurs politiques adoptent des comportements qui favorisent la cohésion nationale et soutiennent le développement du pays. Cela nécessite un engagement sincère envers le respect des institutions, une approche constructive de la critique et une coopération renforcée pour faire face aux défis auxquels

la nation est confrontée.