CHAN 2024: La Caf a décidé 

La Confédération Africaine de Football (CAF) a communiqué lundi, la date de la prochaine édition du Championnat d’Afrique des nations (CHAN).

En marge de la réunion du comité exécutif (Comex) de l’instance tenue ce lundi matin à Nairobi, le président de la CAF, Patrice Motsepe, a comme pressenti annoncé le Kenya, l’Ouganda et la Tanzanie en tant que pays hôtes du prochain CHAN prévu du 1er au 18 février 2025. Ce tournoi fera office de répétition pour le trio d’Afrique de l’Est qui organisera conjointement deux ans plus tard la CAN 2027, une première dans leurs histoires respectives.

A l’image des deux précédentes éditions, dont celle de 2022, remportée par le Sénégal en Algérie début 2023, le CHAN 2024 aura donc lieu en 2025, soit un an plus tard que son appellation officielle. A noter que la CAF s’est ensuite montré plus prudente concernant le lieu, en précisant seulement “l’Afrique de l’Est” à travers un communiqué expliquant qu’elle “communiquera en temps utile les stades et autres sites qui seront utilisés pour la compétition.” La veille, Motsepe avait notamment visité plusieurs stades au Kenya, saluant des avancées tout en soulignant que du travail reste à faire.

Les dates des éliminatoires dévoilées

Les qualifications démarreront dès octobre, avec un premier tour prévu entre le 25 et le 27 du même mois. Pour rappel, les équipes devraient désormais pouvoir convoquer des joueurs expatriés en Afrique. Précédemment, seuls les joueurs des championnats locaux étaient éligibles.

Cette réunion du Comex avait été perturbée par un couac à son ouverture. En effet, la Fédération kényane avait commencé à diffuser l’événement en direct sur sa chaîne officielle Youtube avant de se faire probablement taper sur les doigts par la CAF et de procéder à l’interruption de la vidéo.

 

 

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OM : La situation s’empire pour Mbemba.

Après avoir refusé de passer l’IRM de son retour de sélection, Chancel Mbemba est en passe de subir des sanctions supplémentaires à Marseille.

Selon la Provence, le défenseur congolais soupçonnerait les dirigeants Marseillais de vouloir lui priver des entraînements en inventant une blessure qui n’existe pas.

Cependant, le capitaine des Léopards est ouvert à passer l’IRM avec les médecins de son choix. Dans le cas contraire, son clan saisira la justice.

Plus les jours passent, plus le dossier se pimente.

 

 

ST




ONT : Poursuite des travaux de la commission d’élaboration des prévisions budgétaires 2025

Ouverts depuis hier lundi 16 septembre courant sous la houlette de Mme le Directeur Général, les travaux de la commission d’élaboration des prévisions budgétaires 2025 se poursuivent normalement.

Cette deuxième journée du mardi 17 septembre est consacrée à la poursuite des exposés des Directions selon l’ordre retenu.

La Direction des Investissements, Partenariat et Patrimoine (DIPP) a ouvert le bal. Le Directeur Bokoso qui chapeaute la Direction en a fait l’économie de l’exposé.

Prenant le relais, la Direction de Marketing, Promotion et Communication (DMC) présentée par l’agent Katwala, a pu, de manière succincte, brosser les prévisions de la Direction pour 2025.

Relevons ici que chaque exposé a suscité des débats et certaines propositions ont été formulées par l’assemblée.

Le Débat général sur les ressources additionnelles a été également invitée au menu eu égard à sa pertinence. Car, l’un des soucis majeurs de la hiérarchie est que les cadres et agents de l’Office réfléchissent continuellement sur les éventuelles actions pouvant faire vivre la trésorerie mise à part la redevance (FPT) qui existe déjà.

Il y a lieu de relever que la conférence budgétaire fait participer non seulement les Directions centrales, mais aussi régionales en visioconférence.

Comme à l’accoutumée, un rapport final produit par le secrétariat technique a sanctionné cette deuxième journée.

Sylvie Bambi




L’Office National du Tourisme en pleine conférence budgétaire 2025

Il se tient au Cercle Elaïs, dans la commune de la Gombe, les travaux de la Conférence Budgétaire de l’Office National du Tourisme, dont l’ouverture est intervenue ce lundi 16 septembre courant.

Prévue pendant cinq (5) jours, soit du 16 au 20 septembre 2024, ces dits travaux ont été ouverts par Mme le Directeur Général en présence de deux autres mandataires, en l’occurrence de Mme le PCA et le DGA.

Trois temps forts ont illuminé cette journée d’ouverture. Il s’agit du mot de Mme le DG, celui du Directeur Financier, ainsi que les exposés liés aux prévisions budgétaires des Directions retenues, suivis des débats.

Dans son mot, Mme le DG a convié les conférenciers (e) d’être plus rationnels et constructifs sur le choix objectif des activités qui seront retenues pour animer l’Office tout le long de l’année 2025. D’où ses mots : « Je vous exhorte donc à mettre de côté toute forme de sentiment personnel, seuls priment le bien de l’Office et votre professionnalisme », a -t-elle souligné.

Le Directeur Financier lui, après qu’il ait circonscrit, à la lumière des textes légaux et statutaires de l’ONT le pourquoi de la tenue desdits travaux une fois l’an, a ensuite pour raison de survie de la caisse de l’Office, invité l’auditoire à se référer pendant toutes ces assises, à nos statuts, plus précisément en son article 6 qui énumère des moyens additionnels mis à notre disposition par le législateur en dehors du FPT afin de toujours mettre en exergue des actions pouvant ramener des ressources qui alimenteront notre trésorerie.

Ces dernières lignes ont laissé place aux différents exposés des prévisions budgétaires portés par des Directions retenues pour cette journée d’ouverture. Il s’agit de la Direction Régionale Sud par le Directeur Kwete, la Direction Générale par l’assistant Tuyala, ainsi que le résumé des prévisions budgétaires de l’année en cours par le Directeur Financier.

Après quoi est venu le moment des débats orientés par le modérateur qui a fait jaillir de la lumière.

Relevons que ladite journée a été sanctionnée par un rapport retraçant le déroulé du programme.

Sylvie Bambi




Félix Tshisekedi chez Léon Kengo : ça sent le…Dialogue !

Visite surprise ? Pas du tout. Plutôt d’une visite bien organisée. Car on ne va pas chez quelqu’un en cortège officiel sans l’avoir prévenu. D’ailleurs, le fait de voir réapparaître l’inusable Marco Banguli faisant office de maître des céans signifie que la présence de cet acteur politique aussi discret qu’efficace n’avait rien d’improvisé.
“Mieux vaut tard que jamais’_ : Félix Tshisekedi a quand même fini par faire ce qu’on attendait de lui depuis son accession à la magistrature suprême en janvier 2019, à savoir rencontrer le seul compatriote à avoir animé au cours de sa carrière successivement les Cours et Tribunaux, le Gouvernement et le Sénat (Parlement). C’est-à-dire le seul homme qui n’aura manqué que l’institution Président de la République pour boucler la boucle. Faut-il d’ailleurs le noter : il a été candidat à la présidentielle de 2006 et à celle de 2011. Bref, Léon-La-Rigueur fait partie des rares acteurs publics Congolais à maîtriser l’histoire du pays au cours de ces 64 dernières années. Les humiliations, il les a subies de l’intérieur comme de l’extérieur des institutions, aussi bien sous le Mpr Parti-Etat que sous l’Opposition. Il est resté cependant courtois, et cette qualité-là, personne ne peut la lui contester.
C’est ça du Kengo
C’est cette courtoisie, pour l’Histoire recommencée en 2003 dans le cadre de la Transition 1+4 issue du Dialogue Inter congolais, qui va lui permettre, une fois porté à la présidence de la chambre haute en 2007, de faire conserver à Jean-Pierre Bemba son mandat de sénateur jusqu’en 2018, soit pendant les 10 ans passés par ce dernier dans les geôles de la Cour pénale internationale (CPI).
Pourtant, la Majorité parlementaire au Sénat appartenait à la famille politique de Joseph Kabila.
Évidemment, entre les deux personnalités s’étaient tissées des relations fortes respectées par les deux familles politiques. Plusieurs fois, les deux personnalités se sont retrouvées en aparté. On peut en être sûr même si on n’en a pas la preuve : l’un doit avoir convaincu l’autre de la nécessité de faire garder à Jean-Pierre Bemba ses émoluments quand bien même aucune Constitution, aucune loi, aucun règlement intérieur ne l’autorisait pour un parlementaire se retrouvant dans l’impossibilité de siéger deux mandats de suite. Ce au nom de la cohésion nationale.
Ça, c’est du Kengo.
Peut-on penser qu’au cours de leur rencontre du samedi 14 septembre 2024, les deux personnalités n’aient pas abordé la question délicate du Dialogue relancée par Martin Fayulu ?
Même si les images de la vidéo ne montrent pas un aparté, même si à l’issue de la rencontre aucun communiqué n’a été publié, on ne peut pas ne pas croire que Félix Tshisekedi et Léon Kengo se soient séparés sans échanger sur le sujet.
*De toutes les façons, il va falloir surveiller dans les jours qui viennent les mouvements de Marco Banguli*, l’un des fidèles parmi les fidèles autour de Léon Kengo.
Pour la petite histoire,
il était l’un des ténors du Clan Kengo aux côtés, entre autres, des Umba-di-Lutete, Katanga Mukumadi, Mambu Makenzu, Thambwe Mwamba et un certain Pascal Kinduelo. Ils avaient un parti politique redoutable dénommé UDI (Union des démocrates indépendants).
Il a fallu les élections de 2023 pour découvrir ce dernier dans les rangs de l’Udps.
Bref, un plaidoyer de Léon Kengo pour Dialogue inclusif n’est pas à écarter !
Ce qui peut ne pas prendre avec Fayulu prendrait facilement avec Kengo
Et pour cause !
Léon Kengo a de tous temps été le *préféré* des Catholiques, lisez Cenco. Tout au moins hier sous le cardinalat d’Etsou et de Monsengwo, aujourd’hui sous celui d’Ambongo, pour ne pas en citer la présidence.
Or, au cours de ces 30 dernières années, la Cenco n’a jamais été formellement pro-Etienne Tshisekedi et pro-Félix Tshisekedi.
Le coup de massue reçu lors des préparatifs du 4ème cycle électoral (2023) en a fait un animal blessé. Malheureusement, un animal dont on ne peut se passer quand les choses vont mal.
Dans la perspective d’un Dialogue qui puisse lui permettre de bénéficier de la jurisprudence (rester en poste comme ce fut le cas avec Mobutu lors de la Cns ou Joseph Kabila lors du Dialogue Intercongolais, le Dialogue sous facilitation Kodjo et le Dialogue du Centre Interdiocésain), Félix Tshisekedi a conscience de ne miser ni sur le chef spirituel des Kimbanguistes Simon Kimbangu Kiangani, ni sur l’évêque général de l’Eglise du Réveil du Congo Dodo Kamba.
Il lui faut absolument l’apport des Catholiques qui puisse garantir celui des Protestants (ECC).
Conséquence : l’unique personnalité politique capable de convaincre la CENCO de jouer le jeu est pour l’heure est *Monsieur Léon Kengo wa Dondo*. Si les Catholiques peuvent ratisser large en ramenant Moïse Katumbi autour de la table, seul Léon Kengo peut convaincre Joseph Kabila de faire de même.
Comme on peut alors le deviner, le président honoraire du Corps judiciaire (Cours et Tribunaux), ex-coordonnateur du Conseil Exécutif en qualité de ” premier commissaire d’Etat Gouvernement) et président honoraire du Sénat, est pour l’instant le seul acteur politique en mesure de redonner corps et vie au processus de cohésion nationale attribué à Martin Fayulu, processus hypothéqué par le Chef de l’État lui-même dans son interview du 6 août 2024.
Déjà, le président de l’Ecidé – juste question de logique – ne devrait plus tenir à l’égard du régime Udps/Usn son discours radical dès lors qu’il veut manager la cohésion nationale.
Or, il est toujours dans le bras de fer.
On ne peut pas, d’un côté, flatter l’orgueil d’un protagoniste pour l’amener à adhérer à une vision et, en même temps, le couvrir de ridicule. Ça n’a jamais marché sous son mentor Étienne Tshisekedi (il n’avait pas son pareil dans l’art de tendre la main à la personne qu’il se mettait à ridiculiser comme pour lui signifier son désaccord), ça ne marchera pas avec Martin Fayulu.
Ainsi, ce qui peut ne pas prendre avec Martin Fayulu prendrait plutôt avec Léon Kengo.
L’homme peut toujours jouer un nouveau grand rôle
Autrefois patron du parti politique dénommé ” Union des Démocrates Indépendants” (UDI), autrefois Premier ministre issu de la 3ème voie (ni Conférence nationale souveraine, ni Conclave politique de Kinshasa), Léon Kengo avait retrouvé la primature le 14 juin 1994.
Le 6 avril de la même année, soit moins de deux mois plus tôt, éclatait la guerre civile au Rwanda à la suite de la mort du Président Juvénal Habyarimana par crash de son avion. D’où le génocide rwandais.
Évidemment, c’est au Gouvernement Kengo que va incomber la responsabilité d’en gérer les effets sur le territoire national.
C’est également sous son mandat que va surgir la guerre de l’Afdl en octobre 1996.
L’histoire retient que les appels à la cohésion nationale lancés qu’il va lancer à l’époque pour amener les Zaïrois (redevenus Congolais le 17 mai 1997) seront systématiquement rejetés par l’Opposition radicale.
Ne suivez pas mon regard puisque la suite est connue.
Si on veut alors comprendre ce qui s’est passé avant l’avènement de l’Afdl en 1996, et de comprendre ce qui, depuis, arrive au Congo, Léon Kengo est l’une des personnes ressources.
Continuer à l’ignorer – comme cela s’est fait jusqu’au samedi 14 septembre 2024 – ne pouvait que se révéler contreproductif.
Le rapprocher – comme cela vient de se faire – est productif !
D’autant plus que l’homme ne demande pas mieux que de jouer un nouveau rôle décisif dans la résolution de la crise sécuritaire.
Pour peu, bien entendu, qu’on lui fasse pleinement confiance…

Omer Nsongo die Lema




Lancement de la campagne « Révolution Républicaine » pour le développement du Sud-Kivu

Une délégation du Bloc Uni pour le Développement du Congo a tenu une série de plaidoyers à Kinshasa pour le développement de la province du Sud-Kivu.

Au cours de leur mission à Kinshasa, la délégation du BUDC a rencontré plusieurs autorités du pays afin de discuter des enjeux de développement de la province du Sud-Kivu. Parmi les interlocuteurs figuraient également des notables ressortissants de la région.

Après leur retour à Bukavu, la délégation a annoncé officiellement le lancement de la campagne de la Révolution Républicaine pour le développement du Sud-Kivu.

Cette initiative vise à mobiliser la population et les acteurs politiques en faveur d’un renouveau politique dans la région.

Focus sur la situation actuelle

Les membres du BUDC ont souligné les défis auxquels est confrontée la province du Sud-Kivu, en particulier la présence de groupes armés dans plusieurs territoires. Ils ont salué les efforts du programme P-DDRCS pour ramener la paix dans la région, tout en plaidant pour une expansion de ses activités à l’ensemble des territoires concernés.

Un autre point important abordé par la délégation du BUDC est la question de l’exploitation minière dans la région. Ils ont mis en lumière le nombre limité de coopératives minières qui respectent les obligations fiscales, mettant en évidence un potentiel inexploité de ressources financières pour le développement local.

Appel à la transparence

En conclusion de leur intervention, les membres du BUDC ont appelé à davantage de transparence dans la gestion des revenus de l’exploitation minière au Sud-Kivu. Ils ont souligné l’importance de garantir une redistribution équitable des bénéfices miniers pour soutenir des projets de développement locaux.

La conférence de presse du BUDC à l’hôtel Touriste a marqué le début d’une nouvelle ère de mobilisation citoyenne pour le développement du Sud-Kivu, mettant en avant la nécessité d’une gouvernance plus responsable et transparente pour l’avenir de la région.

Eugide Abalawi




Ayant instauré un nouveau leadership au sommet du Palu : Le SGCP Didier Mazenga reçoit une délégation de la crème savante des universités du Grand Bandundu

Le SCGP a reçu hier dans un balais politique intense, une délégation de la crème savante des Universités congolaises et notabilités du Grand Bandundu qui signe l’accompagnement de Son Excellence Didier Mazenga Mukanzu au sein du grand Parti Lumumbiste Unifié, Palu, en occurrence les Professeurs Lapika Bruno, Kalunga Norbert, Mupata, Celé Maniania et les honorables Ndambu Wolang et Luwono.

Au centre de leurs échanges, tous ont reconnu la meilleure vision du SGCP pour l’avenir du PALU.

Ils ont tous souligné que le PALU a réellement un Leadership qui incarne son père fondateur le Patriarche Antoine Gizenga, un rassembleur et unificateur. Cette crème des Professeurs qui arrive au Palu a promis qu’à leur niveau, ils feront de Gizenga Antoine une véritable icône, symbole et un homme mythique de l’histoire de notre pays. Après échanges, il est à constater que le PALU reprend ses lettres de noblesse.




Médias : Début ce mardi du congrès ordinaire de l’UNPC à Kinshasa 

Il se tient le 10 ème congrès ordinaire de l’union nationale de la presse du Congo, UNPC, dit congrès de la Renaissance avec l’appuie du gouvernement congolais.

Du 17 au 19 septembre au centre catholique nganda dans la commune de kitambo.

Il s’agit de la rencontre des journalistes de la République Démocratique du Congo qui vont réfléchir sur le devenir de ce métier, des réformes à apporter et vont également élire le comité national qui va diriger cette corporation.

Plusieurs membres du gouvernement prendront part à la cérémonie d’ouverture, notamment le ministre de la communication et médias, le ministre d’État à l’aménagement du territoire, et plusieurs députés nationaux et sénateurs.

 

Mboshi




Mondial de futsal : Les Lions de l’Atlas assurent leur statut

Entrée réussie pour les champions d’Afrique.
Tadjikistan 2-4 Maroc
Buts : Samandar Rizomov (34′) et Fayzali Sardorov (39′) pour le Tadjikistan ; Otmane Boumezou (1′, 29′), Soufian Charraoui (37′) et Idriss Raiss El Fenni (38′) pour le Maroc
Joueur du match : Abdelkrim Anbia (Maroc)
Le Maroc a dominé le match face au Tadjikistan grâce à un excellent début, marqué par un but inscrit dès la première minute. Bien que l’équipe tadjike ait bénéficié du soutien de ses supporters, elle n’a pas su tirer parti de ses moments forts pour revenir au score. Les Tadjiks, malgré une belle découverte du tournoi, ont manqué de réalisme. En revanche, Soufian Charraoui et ses coéquipiers marocains ont bien entamé leur aventure. “ “Les supporters du Tadjikistan étaient très nombreux, mais les supporters marocains aussi sont venus. C’est vrai que le premier match est toujours difficile, mais on va essayer d’aller loin et de donner du plaisir aux supporters qui sont venus en Ouzbékistan.” ,a déclaré Soufian Charraoui.
À noter qu’Otmane Boumezou a marqué après 23 secondes de jeu : c’est tout simplement le but le plus rapide jamais inscrit par un joueur africain dans la compétition.
Ce mardi, la Libye peut espérer une qualification en huitième de finale en cas de victoire contre le Kazakhstan. Après une première défaite, l’Angola devra se racheter contre l’Ukraine.




La Kingdom Arena choisie pour abriter la Supercoupe de la CAF TotalEnergies 2024

À l’approche de la Supercoupe de la CAF TotalEnergies 2024, la Confédération Africaine de Football (“CAF”) a révélé le lieu de la finale : la Kingdom Arena de Riyad.
La Supercoupe de la CAF TotalEnergies 2024 est prévue le vendredi 27 septembre à 21h00, heure locale (18h00 GMT), à Riyad, la capitale de l’Arabie Saoudite.
La billetterie du match a été épuisée en moins de 24 heures.
Dans un derby égyptien à fort enjeu, Al Ahly SC, qui détient le record de succès en Ligue des Champions, se mesure à Zamalek SC, vainqueur de la Coupe de la Confédération, pour le titre de champion d’Afrique des clubs.
Inaugurée en janvier de cette année, la nouvelle arène de 22 000 places a obtenu deux records du monde Guinness pour le plus grand stade de football couvert avec un toit fixe, et a depuis présenté divers événements internationaux d’envergure.
Ce match sera davantage qu’une simple rencontre entre les meilleurs clubs de football africain ; il mettra en lumière la nouvelle identité visuelle de la CAF pour la Supercoupe, symbolisant l’évolution et le prestige croissant de cet événement au fil du temps.
Des diffuseurs internationaux tels que beIN Sport, Canal+ et New World TV retransmettront en direct la Supercoupe de la CAF TotalEnergies, garantissant ainsi une couverture étendue en Afrique subsaharienne, dans la région MENA, en Europe, en Amérique et dans le Pacifique Sud.