Football: Démarrage effectif du championnat de l’Epfkin série A et B

Le coup d’envoi de la 97è édition 2024-2025 du championnat de l’Entente Provinciale de Football de Kinshasa ‘’Epfkin’’ pour la série B a été donné ce mardi 17 septembre 2024. Pour la série A, c’est le Lundi 16 septembre 2024 qu’a été donné le coup d’envoi.

Bilan de la 1ère journée ‘’EPFkin’’ série B ce mardi 17 septembre 2024 :

Au Stade Tata Raphaël

AC Kratos vs AC Ndanu City : 3-3

AC Normands vs RC Promesse : 0-0

TP Les Anges vs CS GOEWA : 1-2

Au Terrain Ujana

Sainte Académie Africa CF vs AFEDICK FC : 1-1

FC Mweka vs SC Les Mages : 2-0

OCD vs AS Miel Sport/Livulu : 1-0

RC St Etienne vs RC Impact : 1-0

Bilan 1ère journée série A joué Lundi 16 septembre

Au Stade des Martyrs

FC Fonak vs FC Trinité : 1-1. But de Nzimbu Luyangu 46’ pour Trinité et Ivula Landu

AC Ujana vs AS PJSK : 3-0 FF

Céleste AFC vs TP Les Croyants : 0-0

FC Standard vs Ajax Sport : 2-2. But de Seke Makanzu 2’

Au Terrain Ujana

SFC Limete vs AF Liwanda : 0-1. But de Langer Juscar 51’

AC Kayolo vs AS Ejeuna : 0-3 FF

AS Bol’s FJCB vs AC Dallas : 3-2. But de Mayamba Mabika 24’, Mboyo Bekanga 69’ et Kitadi Kimbangu 76’ pour Bol’s. Massey Kabundi 14’ et Yenga Dan 50’ pour Ejeuna

RC Bumbu vs FC Aigle Royal : 0-0

Au Stade Tata Raphaël

Nouvelle Vie vs FC Arc-En-Ciel : 0-1

RC Matete vs OC Jupiter : 0-3 FF

AF St Christian vs AC Monzo : 3-0 FF

AJ Vainqueur vs JS Wangata : 1-2

De Bonsambo




Sénat : Voici les axes prioritaires de la loi des finances 2025

Le Président du Sénat, Jean-Michel Sama Lukonde a échangé avec la cheffe du Gouvernement Judith Suminwa

Les axes prioritaires de la loi des finances 2025 et les Six engagements du Chef de l’État ont fait l’objet des échanges au cours de la séance de travail que le président du Sénat, Jean-Michel Sama Lukonde a eue, dans son cabinet de travail au Palais du Peuple, ce 17 septembre 2024, avec la cheffe du Gouvernement, Judith Suminwa Tuluka accompagnée des Ministres de Finances, Doudou Fwanba et du Budget, Aimé Boji.

La première ministre, qui s’était confiée à la presse, à la fin, a expliqué l’objet de cette réunion.

” Lorsque j’étais investie à l’Assemblée nationale, j’avais indiqué que j’allais me rendre disponible pour des concertations régulières avec les deux chambres du parlement. On l’a fait la semaine dernière avec le Président de l’Assemblée nationale. Et aujourd’hui, c’est une séance de travail qu’on a pu faire avec l’honorable Président du Sénat. Maintenant que la session parlementaire a commencé, une session essentiellement budgétaire, il était important qu’on échange sur la manière dont nous allons travailler sur le nouveau projet de loi des finances pour 2025. Juste attirer l’attention sur l’une ou l’autre chose par rapport aux axes d’intervention en rapport avec le programme d’actions du Gouvernement et les six axes de l’engagement du chef de l’État”, a-t-elle souligné.

Il sied de rappeler que le lundi 16 septembre, la cheffe du Gouvernement avait déposé, au bureau de l’Assemblée nationale, trois projets de lois : Le projet de loi des finances exercice 2025, le projet de loi portant reddition des comptes exercice 2024 et le projet de loi rectificatif du Budget exercice 2024. A cette occasion, elle avait dit compter sur les réformes envisagées dans plusieurs secteurs de la vie nationale, notamment celles visant la stabilisation du taux de change pour améliorer le pouvoir d’achat de la population. Elle devrait donc compter sur l’appui des élus pour obtenir lesdites réformes.

De son côté, lors de son allocution d’ouverture de la session parlementaire, essentiellement budgétaire, le président du Sénat avait appelé les sénateurs, représentants constitutionnels des provinces, à porter leur attention sur les crédits accordés par la loi des finances exercice 2025 aux provinces pour la matérialisation des projets retenus pour ces entités.

De quoi justifier cette séance de travail entre les animateurs de ces deux institutions, qui ne jurent que par l’amélioration des conditions de vie des Congolaises et Congolais selon la vision du président de la République, Chef de l’État Félix-Antoine Tshisekedi.




Lutte contre MPOX: Le Japon s’engage à verser 5 millions de doses vaccinales contre la variole du singe

Le ministère des Affaires étrangères, Coopération internationale et francophonie a accueilli, ce mercredi 18 septembre 2024, une forte délégation japonaise conduite par l’Ambassadeur du Japon accrédité en RDC.

Reçu par la vice-ministre Gracia Yamba Kazadi, M. Ogawa Hidetoshi, accompagné du représentant de JICA RDC, Okitsu Kenchi, est venu concrétiser cet engagement par la signature d’un protocole d’accord à deux volets dont le premier consiste en l’apport d’un lot de 5 millions de doses vaccinales contre la variole du singe.

L’hôte japonais a souligné que son pays était engagé pour une coopération de plus en plus fructueuse avec la RDC à travers divers projets pilotés par l’agence japonaise de coopération internationale, JICA.

Tout en rappelant leur soutien majeur dans le secteur de la santé, notamment par la fourniture de divers matériels à l’Institut National de Recherches Biomédicales ainsi que diverses formations au personnel médical congolais, le diplomate a formulé le vœu de voir ce lot acheminé dans les zones les plus reculées et dans les meilleurs délais, pour lutter efficacement contre cette crise majeure.

Soulignant l’importance de cet accord car ayant un impact significatif sur le plan sanitaire et le bien-être de la population congolaise, la vice-ministre Gracia Yamba Kazadi a également salué le deuxième volet dudit projet relatif à la construction du centre de judo de la Police nationale congolaise, interrompu en 2019 suite à la pandémie Covid 19 qui va bénéficier de nouveaux financements.

Une occasion aussi pour madame Gracia Yamba Kazadi d’évoquer le pont Maréchal à Matadi, fruit de la coopération entre le Japon et la RDC, qui célèbre ses 41 ans mais nécessite un entretien régulier avant d’exprimer le vœu de la RDC d’explorer de nouveaux projets conformes aux besoins actuels.




La Première ministre appelle la population de la Grande Orientale à se désolidariser des groupes armés

La Première Ministre Judith Suminwa Tuluka a échangé, ce mardi 17 septembre 2024 au jardin des Premiers à la primature, avec les représentants de l’espace Grande Orientale.

En séjour à Kinshasa, cette délégation des Congolais de la Tshopo, de l’Ituri, du Bas-Uele et du Haut-Uele, est venue exprimer à la Cheffe de l’Executif central la gratitude de toute la jeunesse de cette partie du pays pour son implication personnelle dans l’organisation et la réussite de la cérémonie commémorative du Genocost, le 02 Août dernier à Kisangani, dans la province de la Tshopo .

En effet, La Première Ministre, accompagnée d’une forte délégation gouvernementale, y avait effectué personnellement le déplacement afin de participer aux activités commémoratives du génocide congolais pour des raisons économiques.

Au cours de la rencontre de ce jour, un diplôme d’honneur et de considération a été remis à la patronne de l’Exécutif, une façon de reconnaître son dévouement et sa détermination à trouver des solutions aux problèmes de la population qu’elle sert.

« Nous avons décerné le diplôme d’honneur et de considération à la Première Ministre pour sa participation à la cérémonie commémorative du Genocost dans le chef-lieu de la Tshopo. C’était un événement historique, c’est la première fois. Nous avons été honorés par sa présence et son dévouement et nous ne pouvons pas être indifférents. Voilà pourquoi, nous lui avons décerné ce diplôme », a dit Salumu Bernard, chef de la délégation.

« Mme la Première Ministre nous a donné le message d’espoir. Notre avenir va changer. Nous ne pouvons pas nous laisser faire et nous ne pouvons pas suivre les groupes armés à cause du chômage », a-t-il renchéri.

Pour sa part, la Première Ministre a salué ce geste et a exhorté la population de la Grande Orientale à cultiver la paix et à ne pas rejoindre les groupes armés pour des raisons égoïstes et antipatriotiques.

« Les conflits entre les Mbole et les Lengola à Kisangani, c’est quelque chose qui ne devrait pas arriver. Le drame ne doit plus se reproduire et particulièrement pas quand on fait violence à nos propres frères et sœurs », a exhorté la Première Ministre.

Le programme d’actions du Gouvernement (PAG) prévoit un certain nombre d’actions y relatives, plus particulièrement en son pilier 2. Parmi ces actions, il y a la consolidation des mécanismes de justice transitionnelle, notamment les poursuites judiciaires contre les auteurs de ces crimes, la mémoire, la réconciliation et la réparation.




Tentative de grève des chauffeurs poids lourds : La Première ministre prend des mesures et rassure les transporteurs routiers

Le Gouvernement prend toutes les mesures urgentes nécessaires pour éviter la grève des chauffeurs de véhicules poids lourds qui opèrent sur la route nationale numéro 1 (RN1). A cet effet, la Première Ministre a reçu ce mardi à la Primature, une délégation de l’Intersyndicale des transporteurs routiers et celle de la Fédération des Entreprises du Congo ( FEC) pour une séance de travail à laquelle ont aussi pris part le Vice-premier Ministre, Ministre des Transports et son collègue de l’Economie.

La patronne de l’Exécutif Central a, lors de ces échanges, écouté d’une oreille attentive les revendications de l’Intersyndicale des transporteurs routiers, relatives au respect des résolutions de la tripartite de novembre 2023.

Ambroise Tshiyoyo Ngalamulume, premier vice-président de la FEC, a salué les premières dispositions prises par le Gouvernement, et apprécie la qualité des échanges avec la Première Ministre.

” Nous sommes venus, secteur privé et intersyndicale, rencontrer la première Ministre au sujet des engagements que la Commission tripartite avait pris il y a une année, et qui connaissait des difficultés pour sa mise en œuvre. Et à la suite de cette non mise en œuvre rapide de dispositions prises lors de la tripartite, il y a des problèmes avec les membres de l’intersyndicale. Nous sommes venus échanger avec la Première Ministre au sujet de toutes ces dispositions, et on a trouvé des solutions à court et long terme pour résoudre les problèmes qui nous concernent, qui sont liés notamment au transport des marchandises dans différents endroits de la République Démocratique du Congo”, a déclaré Ambroise Tshiyoyo.

Dans le même élan, le président de l’Intersyndicale des transporteurs de poids lourds, André Tshikoji Tshinkenke, se dit confiant suite aux assurances données par la Première Ministre, Judith Suminwa, pour désamorcer cette crise dans le secteur routier.

” Nous constatons qu’il y a une volonté affichée de la Première Ministre de pouvoir rencontrer les revendications de nos membres. Et nous allons en tenir compte. Aujourd’hui, nous sommes un peu convaincus que ça va accoucher d’une solution qui répondra aux attentes des transporteurs”, a confié ce dernier.

La Cheffe du Gouvernement a notamment instruit pour la mise en place d’une commission mixte de suivi de ce dossier, a déclaré le président de l’Intersyndicale des transporteurs routiers.

“On a eu trop d’intervenants opportunistes dans ce secteur là et ça n’a pas facilité la tâche. Maintenant qu’il y a un Comité de suivi qui sera géré par le Gouvernement avec la contribution de tous les intervenants du secteur routier, il y a moyen de pouvoir identifier les situations qui peuvent conduire au blocage et des grèves, anticiper sur toutes les situations pour éviter qu’on se replonge dans la crise actuelle. Ça donne aussi la possibilité de contrôler les patrons des entreprises de transports qui se comportent comme ils veulent et paient les travailleurs selon leurs désirs, parce que nul n’est au-dessus de la loi”, a-t-il conclu.

Le Gouvernement tient à éviter une paralysie des activités économiques sur l’axe routier National numéro 1 qui approvisionne Kinshasa en produits alimentaires et autres. La Première Ministre a pris l’engagement de multiplier tous les efforts pour protéger le panier de la ménagère.




Lubumbashi : Lancement de la réunion de la commission technique Rdc-Zambie

Démarrage ce mercredi au poste frontalier de Kasumbalesa dans la province du Haut-Katanga à la limite avec la Zambie de la réunion du comité technique composé des experts du ministère du Commerce Extérieur de ces deux pays, et ce, sous la présidence de Jules Muilu Mbo, Secrétaire général au Commerce Extérieur.

Objectif, faire appliquer les engagements pris par le Gouvernement congolais et zambien à l’issue de la bipartite RDC-Zambie tenue dernièrement à Lubumbashi après la fermeture des frontières du côté Zambie en réciprocité de la série de mesures du Gouvernement congolais interdisant l’importation temporaire de quelques produits dont le ciment gris, Klinker, chaux, câbles électriques, bières et boissons gazeuses.

Le Gouvernement par le biais de son Ministre du Commerce Extérieur, Julien Paluku Kahongya avait accordé un délai de 30 jours aux produits concernés qui étaient déjà commandés de passer sans problème au niveau du poste frontalier de Kasumbalesa et le Gouvernement zambien par l’entreprise de son Ministre du Commerce et Industrie, Chikoka Mulenga de traquer les auteurs des pratiques de fractionnement et transbordement marchandises qui transitent sur son sol en destination de la RDC qui font échapper au trésor public congolais de millions des dollars américains.

Signalons que ces discussions vont sec poursuivre demain , cette fois-ci à Ndola en Zambie.

Rappelons que les mesures gouvernementales interdisant l’importation temporaire des produits cités ci-haut ne concernent pas les produits d’origine zambienne conformément à l’ accord commercial bilatéral signé par ces deux pays voisins.




ISESOD/Goma : 142 lauréats largués sur le marché de l’emploi 

C’était dans une ambiance de fête que s’est déroulée la double cérémonie de collation des grades et la clôture de l’année académique 2023-2024 à l’Institut supérieur de l’environnement solidaire et de développement durable (ISESOD). Il s’agit de 142 lauréats qui ont été collés lors dans cette double cérémonie qui constitue la consécration de plusieurs années de parcours et des sacrifices dans les milieux universitaires.

Après une caravane sur différentes artères de la ville de Goma à laquelle ont pris part lauréats et corps académique de l’ISESOD ; le Secrétaire général académique de l’ISESOD a présenté le rapport académique de cette institution, avant la proclamation des résultats académiques. A cette occasion, Me Prisca Luanda Kamala, conseillère principale du Gouverneur militaire du Nord-Kivu en charge de l’éducation et représentante de l’autorité provinciale à cette cérémonie a salué les efforts de l’ISESOD visant à former des acteurs de développement de la société congolaise.

Prenant la parole, le professeur docteur Erasme Milandu, Directeur général de cet établissement d’enseignement supérieur et universitaire a félicité les lauréats de cette année, assurant que son institution va œuvrer davantage pour former la jeunesse avec une nouvelle méthodologie d’enseignement.

« Avec le nouveau système d’enseignement LMD, nous voulons enseigner autrement, c’est-à-dire, désormais l’étudiant est au centre de sa formation par la pratique. Il est acteur principal dans son enseignement et l’enseignant devient son accompagnateur », a expliqué le professeur docteur avant de dresser un bilan positif de son institution avec la sollicitation de certains étudiants par des entreprises désireuses de leur expertise. Il a par la suite rappelé l’importance de former des étudiants non seulement instruits, mais aussi capables de transformer leurs connaissances en solutions concrètes pour leur communauté.

Soulignons que l’ISESOD n’a pas manqué de mettre en avant son engagement en faveur de l’entrepreneuriat, un axe qui constitue le cœur même de sa pédagogie. Fort de ses dix années d’expérience dans le domaine académique, l’institution s’est imposée comme une référence pour les jeunes qui aspirent à créer leurs propres entreprises.

Cette institution propose diverses facultés telles que : Réseaux informatiques et télécommunications, Gestion de projet de développement, Communication et résolution des conflits, Gestion des Microentreprises, Gestion de l’environnement, ainsi que Logistique et transports.

Marty Dacruz Olemba




Assemblée régionale 2024 « Annonçons la bonne nouvelle »  

Les Assemblées régionales sont des moments de grande qualité spirituelle pour les Témoins de Jéhovah du monde entier.

Les plus de 120.000 Témoins de Jéhovah et sympathisants de la ville de Kinshasa et de Kasangulu d’expression française, lingala et autres langues locales (Otetela, Tshiluba, Kikongo et langue des signes) se sont tour à tour, par 10 grappes de 12.000 personnes en moyenne chaque weekend du vendredi 14 juin au dimanche 8 septembre dernier, donnés rendez-vous dans leur grande salle des réunions appelée «Salle d’assemblées» à Kingabwa sur la route des poids lourds au croisement avec la 17ème rue de Limete, non loin du Pont Matete.

« Annonçons la Bonne Nouvelle », tel était le thème principal des rassemblements religieux annuels appelés « Assemblées Régionales » que les Témoins de Jéhovah organisent à travers le monde entier.

Pour Nzau Charles, Porte-parole régional pour Kinshasa, les assises de cette année 2024 intitulées « Annonçons la bonne nouvelle » se sont concentrées sur l’importance de partager le message biblique avec joie et constance. Les assistants ont été vivement encouragés à proclamer le message de salut chaque jour en se servant des exemples pratiques et des témoignages inspirants. Le point culminant de cette assemblée était le discours public délivré le dimanche matin. Avec pour thème « Comment trouver la paix dans un monde troublé », ce discours mettait l’action sur l’importance de la prédication en ces temps critiques et il offrait des conseils pratiques et des solutions bibliques pour faire face aux défis du monde actuel.

A l’en croire, cette assemblée aura visé à renforcer la foi des participants, à les encourager dans leur mission de prédication et à leur fournir des outils précieux pour vivre une vie paisible et épanouie en dépit de difficultés du monde actuel.

D’abondantes bénédictions divines attendent celles et ceux qui se déterminent à annoncer résolument la bonne nouvelle du Royaume de Dieu, seule et unique solution aux problèmes complexes de l’humanité.

Le samedi à 11h30, un discours de baptême très encourageant était présenté à l’assistance et à l’issu duquel plus de 2500 nouveaux disciples se sont faits baptiser dans une piscine montée près de l’estrade de la salle d’assemblée.

Au cours de cette assemblée, il était noté non sans bonheur, la sortie de l’épisode 1 de la série « La bonne nouvelle selon Jésus » Partie 1 et 2.

Ainsi, les Témoins de Jéhovah espèrent que tous ceux qui ont accepté leur cordiale invitation à assister à cette assemblée régionale y auront tiré pleinement profit pour leur édification spirituelle.

Au demeurant, il y a plus de 100.000 églises appelées « assemblées locales » des Témoins de Jéhovah dans le monde. Comme de coutume, il n’y a ni quête, ni collecte d’argent organisée lors de ces assises.

Pour plus de renseignements sur ces assises ou sur toute autre préoccupation biblique, merci de consulter notre site JW, le site le plus traduit dans le monde avec ses 1092 langues.




Les défis de la sécurité nationale en Rdc: La nécessité d’une approche responsable de l’opposition et de la société civile

Jean Aime Mbiya Bondo Shabanza

Vice-Président Fédéral en Charge de la Politique de la Diplomatie

Fédération des Etats -Unis d’Amérique

Candidat député National Honoraire Circonstription électorale de la Tshangu/2023

En République Démocratique du Congo (RDC), le climat politique est caractérisé par des affrontements souvent acerbes entre les partis au pouvoir et ceux de l’opposition. Cette dynamique est amplifiée par des intérêts divergents et des ambitions politiques parfois exacerbées. Toutefois, lorsque les débats touchent aux questions de sécurité nationale, une dimension particulièrement sensible et cruciale pour la stabilité du pays, la situation devient encore plus complexe. En effet, certains politiciens de l’opposition semblent franchir les frontières du débat démocratique, adoptant une posture qui pourrait s’avérer dangereuse pour la souveraineté et l’intégrité du pays.

La RDC est confrontée à des défis sécuritaires majeurs : des conflits armés persistants, des rébellions et des groupes armés qui menacent la paix et la stabilité, ainsi qu’une infiltration étrangère qui complique davantage la gestion des affaires internes. Dans ce contexte de vulnérabilité, les institutions chargées de la sécurité et du renseignement jouent un rôle crucial. Elles sont en première ligne pour détecter, prévenir et neutraliser les menaces, souvent dans des conditions extrêmement difficiles et face à des adversaires bien organisés.

Cependant, certains membres de l’opposition, dans une quête parfois effrénée de visibilité politique ou dans une stratégie de déstabilisation, adoptent une attitude critique envers ces institutions. Au lieu de soutenir les efforts de sécurité ou de proposer des solutions constructives, ils engagent des attaques publiques contre les services de sécurité et de renseignement, remettant en question leur intégrité et leur efficacité. Cette ingérence, souvent motivée par des calculs politiques ou des considérations partisanes, peut affaiblir les capacités opérationnelles de ces institutions essentielles.

En faisant fi des implications potentielles de leurs actions, ces politiciens peuvent involontairement (ou délibérément) offrir des opportunités aux acteurs hostiles, compromettant ainsi les efforts pour maintenir la cohésion nationale et la sécurité du territoire. Cette dynamique crée une situation où le débat politique sur la sécurité se transforme en un enjeu de pouvoir, au détriment de la stabilité du pays.

Cette situation nécessite une réflexion approfondie sur le rôle des acteurs politiques dans la gestion des questions de sécurité nationale. Il est crucial que les responsables politiques, qu’ils soient au pouvoir ou dans l’opposition, prennent conscience des enjeux et des responsabilités associés à leurs critiques et actions. L’appel est donc lancé pour une approche plus responsable et constructive, qui privilégie la stabilité et la sécurité du pays au-dessus des intérêts partisans.

Malheureusement, certains politiciens de l’opposition, en quête de notoriété ou de pouvoir, ont parfois tendance à attaquer les services de sécurité et de renseignement, remettant en question leurs actions sans toujours comprendre les enjeux complexes qu’ils traitent. Cette attitude, souvent motivée par des considérations partisanes, peut nuire à l’efficacité des opérations de sécurité et compromettre la sécurité nationale en donnant des munitions à ceux qui souhaitent voir le pays affaibli.

Ces comportements, souvent motivés par des considérations partisanes, entraînent des répercussions profondes sur la cohésion nationale et témoignent d’un manque de respect envers la souveraineté et l’intégrité du pays.

En RDC, la classe politique est profondément divisée, et certains membres de l’opposition adoptent des stratégies qui vont au-delà du débat politique constructif. Au lieu de proposer des alternatives viables ou de participer à un dialogue constructif, ces acteurs se lancent dans des attaques systématiques contre les institutions de sécurité et de renseignement. Par exemple, des accusations infondées et des critiques acerbes sont souvent dirigées contre les forces de l’ordre et les agences de renseignement, mettant en doute leur efficacité et leur loyauté. Ces attaques, qui sont parfois accompagnées de campagnes médiatiques virulentes, contribuent à éroder la confiance du public dans ces institutions cruciales.

Cette dynamique entraîne des conséquences néfastes sur la cohésion nationale. En attaquant les institutions de sécurité, l’opposition contribue à alimenter la méfiance et la division au sein de la population. Les critiques incessantes et souvent non fondées créent un climat d’incertitude et d’instabilité, propice à la manipulation par des groupes armés ou des puissances étrangères cherchant à déstabiliser le pays. La RDC, déjà confrontée à des défis de sécurité tels que les conflits armés dans l’est du pays et les incursions de groupes armés étrangers, voit sa situation encore compliquée par ces divisions internes.

Le manque de respect manifeste envers les institutions de sécurité et de renseignement s’inscrit dans un contexte où la souveraineté nationale est constamment menacée. En amplifiant les critiques contre les forces chargées de maintenir l’ordre, certains acteurs politiques envoient un message négatif aux populations locales et internationales. Ce message est souvent interprété comme une faiblesse de l’État ou un manque de contrôle sur ses propres institutions, ce qui peut encourager les acteurs hostiles à intensifier leurs activités et à exploiter les failles dans la sécurité nationale.

La déstabilisation des institutions de sécurité a également des répercussions sur la gouvernance et le développement. Les efforts pour reconstruire l’infrastructure, améliorer les conditions de vie et promouvoir la croissance économique sont gravement compromis lorsque la sécurité est menacée par des comportements politiques irresponsables. Les investisseurs, tant locaux qu’internationaux, sont réticents à s’engager dans un environnement instable, ce qui freine le développement économique et exacerbe les problèmes sociaux.

Il est crucial que les acteurs politiques, y compris ceux de l’opposition, adoptent une approche plus responsable et respectueuse. La critique des institutions doit se faire dans un cadre constructif, visant à améliorer les processus et à proposer des solutions, plutôt qu’à saper la confiance du public et à affaiblir la capacité de l’État à assurer la sécurité et la stabilité. L’opposition devrait se concentrer sur des stratégies de collaboration et de dialogue, afin de renforcer les institutions démocratiques et contribuer à une gestion plus efficace des défis auxquels le pays est confronté.

Conclusion :

En conclusion, la situation politique en République Démocratique du Congo (RDC) met en lumière des comportements politiques inquiétants qui, loin de contribuer à la stabilité du pays, exacerbent les défis auxquels il est confronté. Les actions de certains acteurs politiques, caractérisées par des critiques non fondées et des attaques systématiques contre les institutions de sécurité et de renseignement, sont non seulement inadmissibles mais également préjudiciables à la stabilité et à l’intégrité du pays.

Les attaques constantes contre les institutions de sécurité, souvent alimentées par des motivations politiques ou des intérêts partisans, créent un climat de méfiance et d’incertitude. Cette instabilité interne affaiblit les capacités de l’État à faire face aux menaces sécuritaires extérieures et internes. En s’attaquant aux forces de sécurité, certains politiciens ne se contentent pas de critiquer ; ils mettent en péril la capacité de ces institutions à assurer la protection des citoyens et à maintenir l’ordre public. Cette déstabilisation est particulièrement dangereuse dans un pays comme la RDC, où les défis sécuritaires sont déjà considérables et où les groupes armés profitent des failles pour intensifier leurs actions destructrices.

Les institutions de sécurité et de renseignement jouent un rôle fondamental dans la préservation de l’intégrité nationale. Le respect de ces institutions est essentiel non seulement pour garantir leur efficacité opérationnelle, mais aussi pour maintenir la confiance du public et des partenaires internationaux. La remise en question systématique de leur légitimité et de leur compétence sape cette confiance et nuit à leur capacité à fonctionner correctement. Il est donc impératif que les acteurs politiques adoptent une approche qui respecte ces institutions, en critiquant de manière constructive et en proposant des solutions plutôt qu’en jetant le discrédit.

Pour garantir la cohésion nationale et soutenir le développement, il est crucial que les acteurs politiques, qu’ils soient au pouvoir ou dans l’opposition, adoptent une approche constructive. Cela signifie s’engager dans un dialogue respectueux et collaboratif, chercher à comprendre les défis auxquels les institutions de sécurité sont confrontées, et travailler ensemble pour renforcer les capacités de l’État. L’opposition a un rôle important à jouer en proposant des alternatives viables et en participant activement à des discussions qui visent à améliorer la gouvernance et la sécurité, plutôt qu’en cherchant à saboter les efforts en cours.

La stabilité et le développement de la RDC dépendent d’un effort collectif où chaque acteur politique reconnaît l’impact de ses actions sur le bien-être du pays. Il est crucial que tous les acteurs politiques prennent conscience de la portée de leurs critiques et de leur rôle dans la construction d’une nation résiliente. Une responsabilité partagée, basée sur le respect des institutions, la coopération et la recherche de solutions communes, est essentielle pour surmonter les défis persistants.

Enfin, un véritable sens du patriotisme et de l’engagement envers le bien commun doit guider les actions des responsables politiques. En mettant de côté les intérêts partisans pour privilégier l’intérêt national, les acteurs politiques peuvent contribuer à renforcer la résilience de la RDC et à créer un environnement propice à la paix, à la sécurité et au développement durable.

En somme, pour que la République Démocratique du Congo puisse avancer vers un avenir plus stable et prospère, il est impératif que tous les acteurs politiques adoptent des comportements qui favorisent la cohésion nationale et soutiennent le développement du pays. Cela nécessite un engagement sincère envers le respect des institutions, une approche constructive de la critique et une coopération renforcée pour faire face aux défis auxquels

la nation est confrontée.

 




10 ème congrès de l’UNPC: Le Csac de Christian Bosembe officiellement absent 

Le conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication, Csac, n’a pas pris part à la cérémonie officielle du lancement par le ministre Patrick Muyaya, des travaux du 10 ème congrès ordinaire de l’union nationale de la presse du Congo ce mardi à Kinshasa. Pourtant, le Csac est un grand partenaire de l’UNPC.

Après ce constat fait par des observateurs et quelques personnalités du monde médiatique congolais, le comité directeur de l’Union vient de sortir de son silence pour éclairer la lanterne de l’opinion publique.

 

« L’Unpc tient à informer l’opinion tant nationale qu’internationale que l’absence du CSAC à la cérémonie d’ouverture du 10eme congrès ordinaire de l’union est liée à des contraintes matérielles de temps. Une situation désagréable », peut-on lire dans le communiqué signé par l’Unpc.

 

Et d’autres sources très poussées indiquent que le bureau du CSAC ne participera pas aux travaux du 10 ème congrès de l’Union car n’ayant pas les termes de référence au préalable.

 

Ainsi, les délégués de l’Union au Csac y prendront part ce mercredi à titre individuel.

 

Plusieurs langues font savoir que le ministre de la communication et des médias refuserait d’associer le Conseil Supérieur de l’Audio Visuel et de la Communication dans l’organisation de ce congrès, pour la seule cause, de lui permettre d’avoir seul le contrôle des nouveaux animateurs de l’Unpc, afin d’être à sa solde.

 

D’aucuns soutiennent que c’est déjà la crise qui s’installe en silence entre le régulateur et l’autorité de réglementation des médias en République Démocratique du Congo.

 

 

 

 

 

Mboshi