Libération des prisonniers par Mutamba : L’ONG Human Rescue DRC alerte sur quelques cas de récidiviste.

Quelques jours après, un bon nombre de détenus qui ont été libérés par le ministre de la justice et garde des sceaux ont été retrouvés encore entrain de commettre de nouveau les mêmes forfaits pour lesquels ils ont été condamnés l’autre fois et incarcérés dans la prison centrale de Makala, alerte l’ONG Human Rescue DRC.

 

Cette organisation de défense des droits de l’homme qui a salué cette libération qui s’inscrit dans le cadre de désengorgement de cette maison carcérale, s’inquiète plutôt de la procedure menée. Et note cependant quelques faiblesses constatée dans cette libération qui n’a pas respecté d’autres préalables, notamment les mesures d’accompagnements et d’encadrements par exemple, les formations professionnelles à l’endroit de ces détenus qui devraient être organisés dans le cadre de diminuer le taux de criminalité et de la delequance dans la ville province de Kinshasa.

Au cours d’une interview accordée à la rédaction de votre média en ligne Lequotidienrdc.com, le président de cette organisation, Maître William Wenga Bumba estime que, le ministre doit des explications aux défenseurs du droit de l’homme. Pour lui, le ministre doit savoir qu’on ne peut pas libérer conditionnement un condamné définitif que celui qui a déjà purgé un quart de sa peine si seulement si sa conduite était bonne.

“Mais contrairement à un détenu préventif, il ne peut pas avoir la liberté conditionnée qui doit être une liberté provisoire auprès du magistrat. Le contraire est un abus”, déclare t-il.

 

William Wenga Bumba demande par ailleurs au ministre de la justice , la décision motivée de la libération des détenus avec nom, postnom et prénom sans oublié les motifs de detention et durée des détenus.

Il a souligné qu’il est encore temps que le ministre puisse nous éclairer.

 

 

OSK




Nord-Kivu : Un autre corps retrouvé mort à Lubero

Un corps sans vie a été découvert tard dans la soirée de ce mercredi 25 septembre 2024 au village Masisi, à quelques kilomètres de Manguredjipa, chef- lieu du secteur de Bapere en territoire de Lubero, dans la province du Nord-Kivu.

Selon des sources policières, il s’agissait du corps d’un vieil homme d’une cinquantaine d’années révolus, dont l’identité n’a pas été reconnue vu la décomposition très avancée, qui a été retrouvé mort dans la brousse. Cependant, d’autres sources non officielles indiquent que la victime serait tuée par les terroristes ADF très actifs dans la zone.

Jusqu’à l’heure, on ignore encore les circonstances de la mort de l’infortuné, rapporte notre source.

Le corps du regretté à été levé du lieu de drame après autorisation des instances judiciaires.

 

 

Alain Wayire depuis Beni




Jules Alingete participe à l’adoption du rapport des audits financiers du COMESA à Lusaka

L’Inspecteur Général et chef de service, Jules Alingete, a pris part à une réunion cruciale à Lusaka, en Zambie, le 26 septembre 2024. Cette réunion avait pour objectif l’adoption du rapport des audits des états financiers couvrant les années 2019 à 2023, réalisés par les auditeurs et vérificateurs publics des pays membres du Marché commun de l’Afrique orientale et australe (COMESA).

Lors de cette rencontre, les participants ont examiné en détail les résultats des audits, discuté des recommandations formulées et évalué les mesures correctives à mettre en œuvre pour améliorer la gestion financière au sein des pays membres. Jules Alingete a souligné l’importance de ces audits pour assurer la transparence et la responsabilité dans la gestion des finances publiques.

« La rigueur et l’intégrité dans la gestion des finances publiques sont essentielles pour le développement économique de nos pays. Ces audits permettent de détecter les dysfonctionnements et de proposer des solutions concrètes pour y remédier », a déclaré Jules Alingete.

La réunion a également été l’occasion de renforcer la coopération entre les institutions de contrôle des différents pays membres du COMESA. Les échanges ont permis de partager des meilleures pratiques et d’harmoniser les approches pour une gestion financière plus efficace et transparente.

Didier Mbongomingi




Butembo: Deux morts, bilan de l’effondrement d’un mur à Bulengera 

Deux morts et deux blessés, tel est le bilan de l’écroulement d’un mur de la clôture à cellule Visumba, Quartier Rughenda dans la commune de Bulengera vers les heures d’après midi de ce mercredi 26 septembre 2024.

Selon John Kameta, président de la société civile, noyeau commune de Bulengera, ces enfants ont été écrasés alors qu’ils jouaient à l’extérieur, derrière cette clôture.

Occasion pour lui, de rappeler les propriétaires des clôtures, des maisons et des édifices qu’une fois que celà présente des signes de vieillissement, il doit être réhabilité avant qu’il ne cause d’énormes dégâts.

Un appel a été lancé aux ingénieurs, de pouvoie exercer leur travail en respectant les règles de la construction, afin d’éviter tout le danger à la vie humaine.

 

 

Alain Wayire depuis Beni




Guerre dans l’Est : Le procès de la RDC contre le Rwanda s’ouvre ce jeudi devant la Cour de Justice de l’EAC en Tanzanie

Le procès contre le Rwanda devant la Cour de justice de la Communauté des Etats d’Afrique de l’Est (EAC) s’est ouvert ce jeudi 26 septembre 2024 à Arusha, en Tanzanie. La RDC accuse le pays de Paul Kagame de violation de sa souveraineté et de son intégrité nationale dans l’Est du pays.

En effet, la Cour de Justice de l’EAC devra se prononcer sur la plainte de la RDC qui accuse son voisin le Rwanda d’agression et crimes de guerre à travers la rébellion du M-23.

La délégation congolaise conduite par le vice-ministre de la justice Samuel Bemba.
Le gouvernement congolais compte à travers ce procès obtenir une condamnation de Kigali mais aussi la réparation des victimes.

 

Mboshi




Jonas Kasimba libre, ragaillardi par l’église et la communauté Kyaghanda

L’opérateur économique et acteur politique Jonas Kasimba aura passé plus de 3 mois dans les geôles des services de sécurité de la République Démocratique du Congo, à Kinshasa. Depuis son retour à la maison, il ne cesse de recevoir des visites de réconfort et de compassion.

Le Kyaghanda Kinshasa, une association socio-culturelle du peuple Nande,a apporté un message de réconfort à ce digne fils du pays après sa détention arbitraire.

Conduite par le président national Cuban Lyanzenze et la vice-présidente Kavira Kambere Marie-Rose en présence du Président honoraire du dit Kyaghanda qui est devenu le Président de l’inter communautaire du Nord-Kivu à Kinshasa, la délégation du Kyaghanda dans la capitale, activement impliquée dans la demande de libération de Jonas Kasimba, était chez lui mercredi pour exprimer sa sympathie et l’encourager à poursuivre ses efforts d’aider les différentes communautés et de promouvoir la jeunesse.

En plus des discussions sur sa détention et sa libération, des sujets tels que l’unité au sein de la communauté Nande ont été discutés lors de ces échanges amicaux. L’ancien comité du Kyaghanda Kinshasa était également présent. La rencontre s’est conclue par un repas partagé dans une atmosphère chaleureuse et conviviale. Attaché aux valeurs de la coutume, une chèvre et une bouteille de boisson coutumière ont été remises au Notable Jonas Kasimba par le Kyaghanda Yira.

En début de semaine, c’est une délégation des hommes de Dieu de l’église CECA 20 Kinshasa qui est venue l’encourager et le fortifier dans la foi après la dure épreuve qu’il a traversée suite à son arrestation et sa détention arbitraire.

Sur place, ces hommes de Dieu ont rendu gloire à Dieu pour ce miracle opéré en faveur de son serviteur Jonas Kasimba car pour eux, Dieu s’est souvenu de lui, au travers des œuvres et actions qu’il pose en faveur des nécessiteux à plusieurs niveaux. Un repas de convivialité a été partagée après la prière.

Il faut retenir que c’est le Président de la République qui a ordonné la libération de l’un de ceux qui avaient battu campagne pour sa réélection au Nord-Kivu et dont aucune preuve de culpabilité n’a été apportée pour le tenir en détention.




Beni : La Monuso compte sur la collaboration de la population pour défaire les ADF.

Le général Richard Tobias Chagonapanja, le nouveau commandant de la brigade d’intervention de la Mission des Nations-Unies pour la Stabilisation en RDC (Monusco), l’a dit ce jeudi 26 septembre 2024 à Beni, au Nord-Kivu, quartier général de cette unité spéciale de la Force Onusienne. C’était à l’occasion de sa toute première rencontre avec la presse, depuis sa prise de fonction le 10 septembre 2024.

Pour cet officier supérieur du Malawi qui en est à sa 5e mission au sein de la Monusco, sans la collaboration des uns et des autres, il lui sera difficile voire impossible de relever les nombreux défis qui l’attendent, notamment aider à traquer les rebelles des ADF partout où ils se cachent, pour une meilleure protection des populations civiles.

 

 

“Seul, même en ma capacité de commandant de la FIB, je ne pourrais défaire les ADF. J’aurais besoin de l’appui de tout le monde : les populations locales pour les renseignements, les acteurs politiques, les chefs coutumiers, les FARDC, la police… “, a déclaré le général Chagonapanja.

 

Et comment s’assurer que son appel a bien été entendu, il insiste :

 

« Nous ne pouvons travailler sans la collaboration de la population. Nous entendons et devons travailler avec tout le monde : la population, la société civile avec qui nous entendons mener des activités de coordination, les FARDC, la Police, les autorités, les leaders locaux…, pour lutter contre les rebelles des ADF. Travailler avec la société civile a un effet multiplicateur de chances pour atteindre nos objectifs ».

 

Lucide et conscient des défis que pose la problématique de cette rébellion devenue très mobile, le général Richard Tobias Chagonapanja affirme avec humilité mais non sans détermination, que malgré ces défis, son intention reste intacte : protéger les populations civiles.

 

« Au regard du mandat de la FIB (qui est de protéger les civils en luttant contre les groupes armés, principalement les ADF), la FIB était restreinte dans sa manière d’opérer, parce qu’elle devait rester le long de la route nationale numéro 4. Désormais, et depuis mai 2024, notre champ d’action a été élargi, et nous irons à la recherche de ces groupes pour assurer une meilleure sécurité à la population. En tant que nouveau commandant de la FIB, j’entends intensifier les patrouilles le long de cet axe et aussi dans les zones reculées pour assurer une meilleure sécurité aux populations de Beni et au-delà », affirme-t-il.

 

Car, bien qu’ayant fui la pression militaire au centre de Beni, les rebelles des ADF représentent toujours une menace sérieuse pour la paix dans la région. De Mambasa dans la province voisine de l’Ituri ou dans le territoire de Lubero où ces rebelles ont migré depuis un certain temps, ils continuent à commettre des exactions contre les civils. Raison de plus, pour la FIB, de justifier sa raison d’être :

 

« La situation a peut-être changé, mais la problématique des rebelles des ADF demeure. Cependant, j’ai constaté que des efforts sont faits à différents niveaux par les différents partenaires, en vue de neutraliser et défaire les ADF. La FIB va y prendre toute sa place, avec trois principaux objectifs : d’abord, empêcher la liberté de mouvement des ADF dans la zone de Beni et au-delà si possible ; ensuite, assurer la protection des populations civiles et enfin, garantir que les ADF à la longue, ne constituent plus une menace. Et donc, en collaboration avec tous les autres partenaires (gouvernement, UPDF [armée ougandaise], FARDC, PNC, population civile), nous espérons atteindre ces objectifs afin que nous puissions arriver à ramener la paix dans cette région », déclare le général Richard Tobias Chagonapanja.

Son souhait, au terme de sa mission (dans un an), c’est de pouvoir quitter avec fierté la MONUSCO avec le sentiment du devoir accompli : celui d’avoir défait les ADF et aidé au retour de la paix.

« C’est pourquoi j’invite tout le monde à nous donner la main. Car seul, je n’y arriverai pas. L’union fait la force, dit-on », a conclu le général Chagonapanja.

 

 

Mboshi




Affaires foncières: Acacia Bandubola pose la première pierre du bâtiment du Secrétariat Général des affaires foncières et de la Circonscription foncière de Ngaliema

La cérémonie a eu lieu en présence de quelques membres du gouvernement, des députés nationaux et plusieurs autres invités de marque. Cette pose de la première pierre par la Ministre d’Etat, Ministre des affaires foncières Acacia Bandubola Mbongo va abriter à la construction du Secrétariat Général des affaires foncières et la Circonscription foncière de Ngaliema.

Concernant l’aperçu général sur le projet, le Conservateur des titres immobiliers de la circonscription foncière de Ngaliema, Pascal Katanga a déclaré que depuis sa création en 2016, la circonscription foncière de Ngaliema n’a pas son propre bâtiment et aujourd’hui tous les agents et cadres de la CIRCO de Ngaliema sont heureux de savoir que dans les jours qui viennent, ils auront enfin une adresse fixe.

Il a salué la bravoure et la détermination de la Ministre d’Etat, Ministre des affaires foncières Acacia Bandubola Mbongo qui a ténu à ce que le ministère dans son ensemble, redore son blason.

Il a remercié le Président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo qui a placé à la tête du ministère des affaires foncières une “Dame de fer”, une dame qui sait ce qu’elle veut faire et ce qu’elle veut donner.

 

Pour ce qui des aspects techniques du projet, Mr André BAHANGULU, Directeur Général de la société Modern Construction SARL (MC) a remercié la Ministre d’Etat, pour la marque de confiance. Selon lui, Madame la Ministre d’Etat, Ministre des affaires foncières Acacia Bandubola Mbongo incarne la vision du Président de la République Félix Antoine Tshisekedi.

 

Le bâtiment qui sera construit, comportera un rez-de-chaussée, 5 étages, soit un 3SS+R+5 complètement équipé et connecté à tous les réseaux vitaux.

 

L’immeuble comprendra en son sein:

 

– Un bureau du Directeur à chaque niveau ainsi que les services y rattachés ;

– Dix bureaux haut standing pour les chefs de département ;

– Cinq work station pouvant reçevoir plus de 10 personnes pour chaque niveau ;

– Un parking d’une capacité de plus de 50 véhicules et deux ascenseurs ;

– Deux salles de conférence moderne et plusieurs installations sanitaires.

 

Le Secrétaire Général aux affaires foncières, Gérard Mugangu a remercié la Ministre d’Etat, Ministre des affaires foncières Acacia Bandubola Mbongo, qui depuis sa nomination à la tête de ce ministère, est déterminée à changer les choses positivement et dans les jours qui viennent, le secrétariat général aura son propre bâtiment.

 

Dans son discours, la Ministre d’Etat, Ministre des affaires foncières Acacia Bandubola Mbongo a affirmé que les conditions dans lesquelles les constructions seront réalisées, sont le fruit des études approfondies et conséquentes, et tous les aspects techniques de la traversée des rails à une construction moderne dont la conception permettra de garantir, non seulement les espaces techniquement envisagés pour cette fin, mais aussi, la sécurité des usagers. Que l’opinion soit calme sur ce point.

Cette construction a été appréciée par l’honorable Eliezer Ntambwe, élu de la Lukunga, du député national honoraire Zacharie Bababaswe et du conservateur des titres immobiliers de Ngaliema, Pascal Katanga.

Il sied de signaler que, ces travaux vont durer 15 mois selon la société Modern Construction SARL.

 

 

Jonsard Mikanda




Parachèvement PDL-145T : La RDC et le PNUD évaluent leur partenariat à New-York 

Le Vice-Premier Ministre, Ministre en charge du Plan, Guylain Nyembo et le Ministre des Finances, Doudou Fwamba Likunde Li-Botayi, ont échangé à New York, aux États-Unis, avec la directrice du Programme des Nations-Unies pour le Développement (PNUD).

Les discussions ont porté sur le partenariat entre la République Démocratique du Congo et cette organisation des Nations Unies. Les deux parties ont évoqué l’état d’avancement des travaux dans le cadre du Programme de Développement Local des 145 territoires (PDL-145T), dont le PNUD est l’une des trois agences d’exécution.

 

Au cours de cet entretien de haut niveau, le ministre des Finances a fait part à la Directrice du PNUD des exigences du Gouvernement congolais dans le cadre de ce partenariat. Il s’agit, entre autres, d’accélérer la finalisation des ouvrages restants avant le 31 décembre de l’année en cours, avant de lancer le deuxième volet du programme, principalement centré sur les routes de desserte agricole.

 

Pour sa part, la directrice du PNUD a rassuré les autorités congolaises de la volonté et de la disponibilité de son institution à accompagner les projets visant à améliorer les conditions de vie de la population de la RDC dans son ensemble.

 

À ce jour, il convient de préciser que le taux d’avancement des travaux est évalué à 84,1%. La satisfaction de toutes les parties prenantes est justifiée par cela.

 

Pour rappel, le Programme de Développement Local des 145 territoires (PDL-145T) est une initiative ambitieuse du Chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, visant à lutter contre la pauvreté, les inégalités et à promouvoir le développement dans les 145 territoires du pays.

 

Lire aussi RDC : Doudou Fwamba, l’architecte d’une politique financière qui rassure le FMI et stabilise l’économie

Les premiers volets du programme concernent la construction, la réhabilitation et l’équipement d’écoles, de centres de santé et de bâtiments administratifs, ainsi que la réhabilitation des routes de desserte agricole.

 

Au terme de cette réunion, les autorités congolaises ont annoncé l’organisation d’une table ronde axée sur les investissements, à laquelle seront conviés les bailleurs de fonds et les investisseurs du secteur privé.

 

 

 

 

 

Mboshi




En soutien à l’autonomie sous souveraineté marocaine, Nasser Bourita échange avec le ministre des Affaires étrangères du Danemark 

Le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, M. Nasser Bourita, s’est entretenu, mercredi à New York, avec le ministre des Affaires étrangères du Danemark, M. Lars Løkke Rasmussen, en marge de la 79ème session de l’Assemblée générale des Nations Unies.

Dans le Communiqué conjoint adopté à l’issue de cette rencontre, “le Danemark considère le Plan d’autonomie présenté par le Maroc en 2007 comme une contribution sérieuse et crédible au processus en cours de l’ONU et comme une bonne base pour une solution convenue entre les parties”.

Dans ce Communiqué conjoint, les deux ministres ont réaffirmé leur soutien au processus mené par les Nations Unies et à l’Envoyé personnel du Secrétaire général de l’ONU pour le Sahara occidental, M. Staffan de Mistura, ainsi qu’à ses efforts pour parvenir à une solution pacifique et mutuellement acceptable au conflit, conformément aux résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU.

Cette nouvelle position du Danemark s’inscrit dans le cadre de la dynamique internationale impulsée par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, en soutien au plan d’autonomie et à la souveraineté du Maroc sur son Sahara. Elle confirme une tendance de fond en Europe, de toutes les régions du continent européen.