‘’Vodacom Congo (RDC) S.A soutient le Clean Up Day 2024 à Kinshasa’’   

Vodacom Congo (RDC) S.A est fière d’annoncer son soutien à la deuxième édition de Clean Up Day, organisée en marge de la journée mondiale de nettoyage de la planète célébrée tous les 18 septembre. Cet événement organisé en partenariat avec l’ONG Logos Premier, l’ambassade des Pays bas et Un Global Compact chapitre de la RDC, s’inscrit dans une démarche collaborative visant à sensibiliser la population sur l’importance cruciale de la protection de l’environnement.

En effet, cette initiative de grande d’envergure s’inscrit dans une démarche collaborative visant à sensibiliser la population, tant à l’échelle mondiale que congolaise, sur l’importance cruciale de la protection de l’environnement. Plus spécifiquement, il s’agit de lutter contre la pollution urbaine et de promouvoir une gestion responsable et durable des déchets.

En tant qu’entreprise profondément engagée dans le développement durable, Vodacom Congo (RDC) S.A reconnaît l’urgence d’adopter des comportements écologiquement responsables pour préserver notre planète. ‘’Le volontariat est dans l’ADN de Vodacom Congo (RDC) S.A et cette initiative marque notre deuxième activité communautaire de l’année après la campagne de sensibilisation à la pêche des plastiques et l’adoption de M-pesa auprès des pêcheurs de Maluku’’, a déclaré Mme Patricia Katshabala, Responsable des Relations Publiques au sein de Vodacom Congo (RDC) S.A.

Nous croyons fermement que chaque geste compte et que la mobilisation collective est essentielle pour lutter contre la pollution urbaine et les défis climatiques. Depuis plus de 22 ans, Vodacom Congo (RDC) S.A s’engage à promouvoir des pratiques durables et à contribuer positivement à la société. En 2015, nous avons obtenu un diplôme vert et, plus récemment, une vérification ISO 50001, témoignant de notre engagement continu en matière de gestion énergétique et de réduction de notre empreinte carbone.

Chez Vodacom Congo (RDC) S.A, nous croyons fermement que chaque geste compte et que la mobilisation collective est essentielle pour lutter contre la pollution urbaine et les défis climatiques. En tant que leader dans le secteur des télécommunications en République Démocratique du Congo, nous nous engageons à utiliser notre position pour promouvoir des pratiques durables et contribuer positivement à la société. ‘’Chez Vodacom Congo (RDC) S.A, nous sommes convaincus que la technologie et l’innovation peuvent jouer un rôle crucial dans la protection de notre environnement. Nous sommes honorés de soutenir cette initiative et d’encourager nos employés, clients et partenaires à participer activement au Clean Up Day 2024’’, a déclaré Khalil Al Americani, Directeur Général de Vodacom Congo (RDC) S.A.

Avec le soutien du ministère de l’Environnement, de l’Hôtel de Ville de Kinshasa, cette journée emblématique offre une plateforme unique pour mobiliser les citoyens. Nous invitons tout le monde à se joindre à nous pour retrousser nos manches et agir ensemble pour un avenir durable. Ensemble, tout devient possible.

A propos de Vodacom Congo Depuis plus de 212 ans, Vodacom Congo met sa technologie au service du développement socio-économique de la RDC, fournissant une large gamme de produits et services technologiques innovante. Grâce à sa politique de responsabilité sociale des entreprises, Vodacom Congo permet à ses abonnés d’accéder aux solutions contribuant à l’inclusion sociale et financière des congolais.

Pendant 21 ans, Vodacom Congo a été un partenaire privilégié et constant dans le développement économique et social de la RDC. Pionnier dans la transition énergétique du secteur des télécommunications, Vodacom Congo a entrepris plusieurs initiatives pour décarboniser ses opérations et fournir des solutions propres à l’ensemble de la population qu’il dessert :

• Déploiement de près de 900 sites de connectivité rurale 100% solaire depuis 2013.

• Élimination de plus de 95% du papier dans les procédures administratives par la numérisation.

• Mise en place d’une politique interne de transition énergétique et de réduction de son empreinte carbone.

• Adoption de véhicules 100% électriques dans sa flotte ;

• Promotion du service financier M-Pesa comme outil de dématérialisation des paiements et de réduction de la pollution.

 




Le Gouvernement Suminwa s’active à améliorer des conditions des milieux carcéraux dans les 5 tribunaux pour enfants

En République démocratique du Congo, les conditions des milieux carcéraux dans les 5 tribunaux pour enfants de la ville de Kinshasa figurent parmi les principales préoccupations de la Première Ministre Judith Suminwa, conformément aux engagements du Président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, à œuvrer pour la restauration d’un État de droit

La Première Ministre a échangé, ce lundi 23 septembre à la Primature, avec la Ministre des Droits humains, Chantal Shambu et le Premier Président de la Cour de cassation, Elie-Léon Ndomba Kabeya, sur les propositions de solutions afin d’améliorer les conditions des milieux carcéraux des enfants à Kinshasa.

La Ministre des Droits humains a affirmé que des solutions seront trouvées pour une prise en charge respectable des enfants.

“Le Gouvernement prévoit de rétablir les enfants dans leurs conditions normales. C’est-à-dire qu’on va relocaliser temporairement les milieux carcéraux des enfants. Nous allons les nourrir et mettre à leur disposition des psychologues. Il y aura une prise en charge respectable. Après la tournée, nous avons constaté qu’il y a vraiment des conditions dégradantes. Nous ne pouvons pas fermer les yeux. Le Chef de l’État nous a instruit de régler ce problème. Et Madame la Première Ministre vient de m’instruire de faire des propositions quant à ce. Les enfants sont détenus dans des conteneurs rouillés où il n’y a pas de toilettes, pas d’eau et rien à manger. C’est une situation que nous avons trouvée. Notre Gouvernement vient de commencer mais nous sommes en train de donner le meilleur pour améliorer les conditions que nous avons trouvées déjà déplorables”, a-t-elle affirmé.

Pour sa part, le Premier Président de la Cour de cassation tient mordicus à la fin des conditions infrahumaines pour la détention des enfants.

“Après la tournée effectuée dans les 5 juridictions pour les enfants, nous avons constaté que les enfants en conflit avec la loi, depuis le temps qu’ils ne peuvent pas être gardés à Makala, sont placés dans des conditions difficiles ou infrahumaines. Ils sont placés dans les amigos et conteneurs. C’est une situation urgente qui concerne le droit de ces enfants. Nous comptons sur une solution urgente. Il nous faut un endroit où loger ces enfants qui sont déjà en difficulté avec loi pour ne pas dupliquer la délinquance”, a déclaré M. Elie-Léon Ndomba Kabeya.

Notons que le Gouvernement envisage aussi résoudre la même situation aux niveaux des provinces dans les prochains jours. La question de la rénovation des infrastructures pénitentiaires pour une bonne administration de la justice juvénile est portée à bras-le-corps par le Gouvernement. Les conditions pénitentiaires laissent à désirer dans la plupart des prisons de la RDC. Voilà pourquoi le Gouvernement a prévu au deuxième pilier de son Programme d’Actions de construire et réhabiliter les infrastructures judiciaires et pénitentiaires.




L’Intersyndicale de la RTNC annonce un sit-in devant le cabinet de la Première ministre ce 25 septembre 2024 

L’Intersyndicale de la Radio Télévision Nationale Congolaise (RTNC), a saisi Mme le Premier ministre pour lui rappeler l’ensemble du personnel de la RTNC avait organisé une grève au mois d’août 2021 pour revendiquer l’amélioration de ses conditions socio-professionnelles.

Parmi ces revendications, figuraient entre autres: Le contreseing sur le barème salarial 2022 en souffrance chez le Ministre d’Etat et Ministre du Budget; Le payement de 25% du solde du barème salarial actuel; Le dossier de la redevance audiovisuelle; Le dossier de la CNSS, etc.

Parmi tous ces points, précise ce document en notre possession, seul le dossier de 25% du solde du barème actuel a été résolu de la part du gouvernement par son payement à travers la Mise à Disposition de Fonds (MAD), sous le libellé de prime spéciale de motivation ce, avec une promesse sûre de son intégration dans les états liquidatifs de la paie au premier trimestre 2022. Fort malheureusement, le paiement de ce solde est devenu non seulement hypothétique au point d’accumuler à ce jour 16 mois d’arriérés, mais aussi n’a jamais été intégré dans les états liquidatifs.

Devant cette impasse et vu la précarité de vie et la misère la plus noire dans laquelle vit au quotidien le personnel de la RTNC depuis des lustres et face à l’indifférence affichée par le Ministre d’Etat et Ministre du Budget qui, depuis plus de quatre ans fait fi de différentes correspondances lui adressées par l’employeur, la tutelle voire le banc syndical/RTNC, y compris celle de votre autorité N°CAB/PM/DIRCAB/ECOFIM/EPM/CKI/2024/1235 du 03/09/2024, par laquelle vous l’instruisiez avec son collègue des Finances d’examiner le dossier RTNC, afin d’y réserver une suite appropriée et vous en faire rapport.

En vue de préserver la paix déjà entamée, l’Intersyndicale de la RTNC recourt carrément à votre haute autorité aux fins de trouver des solutions durables ce, avant le début des Sit-in devant votre cabinet de travail, prévus pour ce 25/09/2024, comme le stipule l’article 26 de la Constitution.




Les présidents de 26 Assemblées provinciales de la Rdc et le Gouverneur du Tanganyika satisfaits de l’implication Sama Lukonde 

Ce lundi 23 septembre 2024, le Président du Sénat, Jean-Michel Sama Lukonde a reçu tour à tour les 26 présidents des Assemblées provinciales de la République démocratique du Congo et le Gouverneur de la province du Tanganyika, Christian Kitungwa, dans son cabinet de travail au Palais du Peuple.

Reçus en première position, les présidents des Assemblées provinciales affirment être venus soumettre au speaker du Sénat, les problèmes auxquels sont confrontés leurs assemblées respectives sur l’ensemble du territoire national, en l’occurrence les questions relatives aux impaiements des députés provinciaux, mais aussi celles relatives aux fonds d’investissement pour les exécutifs provinciaux et à la rétrocession aux provinces. A l’issue de cette séance de travail, l’honorable Alain Tshisungu Ntumba, président de l’Assemblée provinciale du Kasaï, qui faisait office de chef de cette délégation, a déclaré à la presse ce qui suit :

“Nous sommes venus soumettre au président du sénat les problèmes qui rongent nos Assemblées. Il s’agit notamment des impaiements. Nous avons des problèmes de fonds d’investissement pour les exécutifs, et les problèmes de la rétrocession pour nos provinces. C’est tout ça que nous sommes venus soumettre à la première institution, en termes de préséance, au président du sénat, pour qu’il puisse voir tant soit peu comment ça peut être traité”.

Pour sa part, le gouverneur de la province du Tanganyika a non seulement présenté ses civilités au Président du Sénat, mais aussi, il lui a soumis une série des problèmes que connaît sa province. Se confiant à la presse, Christian Kitungwa s’est exprimé en ces termes:

“D’abord nous lui avons présenté nos civilités, nous l’avons félicité parce que depuis qu’il a pris son fauteuil, nous ne l’avons pas encore fait officiellement et aujourd’hui, nous venons nous acquitter de cet agréable devoir. Et au-delà de ça, nous avons fait plus de trois mois dans la province et on a eu à palper beaucoup de situations bonnes et mauvaises. Les problèmes de la province donc sachant que le Sénat est l’émanation des Provinces et nous sommes venus lui rendre compte pour non seulement lui faire part de nos problèmes mais aussi lui demander à ce qu’il soit le porte étendard, le pilier qui va être là pour défendre les intérêts des provinces. Et défendre nos problèmes, notamment les rétrocessions au niveau des provinces et même pour les émoluments des députés provinciaux et autres. Nous avons aussi brossé plusieurs situations notamment la situation sécuritaire, la situation économique de la province ainsi que le projet du corridor qui est un projet phare entre la RDC et la Tanzanie.

C”est-à- dire que nous allons essayer de bousculer pour permettre à ce que le Tanganika puisse s’ouvrir au monde extérieur avec les trois pays voisins que nous avons: le Burundi, la Tanzanie et la Zambie”.

Notons par ailleurs que le Président du Sénat a été d’une oreille très attentive et réceptive, d’autant plus qu’il s’était déjà fait l’écho de cette situation lors de ses récentes vacances parlementaires. Conscient du fait que les Sénateurs sont l’émanation des provinces et qu’ils sont les porte-voix de celles-ci au niveau central, le président leur a promis son implication pour des solutions idoines.

Pour rappel, lors de sa prise de fonction, le président du Sénat, Jean-Michel Sama Lukonde, avait promis de tout mettre en œuvre pour que le Sénat de cette législature soit très accessible et à l’écoute des provinces. Cette rencontre avec les présidents des assemblées provinciales et le Gouverneur du Tanganyika en est une preuve éloquente.




Washington va abriter la 1ère édition de Drc Diamonds Conference 2025 

A travers ce grand rendez-vous, Kinshasa entend bien propulser sa stratégie minière et l’installer au firmament de sa vision. En ligne de mire, ce sont les Etats-Unis d’Amérique. Un homme est à la pièce maîtresse de cette vision : Didier Lukusa, Chief Exécutive Office de ML Consulting SARL, qui annonce l’organisation de la First Annual DRC DIAMONDS CONFERENCE 2025 à Washington D.C, le fruit d’une collaboration avec des partenaires nationaux et internationaux et bien entendu les parties prenantes publiques de la RD Congo et des Etats-Unis d’Amérique, les deux Représentations Diplomatiques.

Selon un communiqué de presse parvenu à notre rédaction, il s’agit d’une Conférence unique de dialogue et de coopération au plus haut niveau des leaders de la filière Diamants de la RDC avec ceux des Etats-Unis d’Amérique : les acteurs, les intervenants et les acheteurs aux objectifs de levées des capitaux, de favoriser la structuration de sa commercialisation et la professionnalisation des acteurs congolais First Annual DRC DIAMONDS CONFERENCE 2025 sera principalement axée sur le thème suivant : « Les défis de la valorisation du diamant en RDC : Comment rendre la filière viable et durable ? ».

« Les Etats-Unis sont un partenaire essentiel et c’est une opportunité pour les entreprises , les Artisanaux Miniers, les Creuseurs congolais de sensibiliser leurs homologues américaines sur les opportunités à saisir dans notre pays», déclare cet entrepreneur qui a prévu d’organiser une série des activités à Kinshasa, des formations en PME des Artisanaux Miniers et des Creuseurs des diamants de Cinq Provinces du Grand-Kasaï, un B2B avec les Notabilités au besoin d’apprêter les termes de référence et les parties prenantes.

La série des Formations des Artisanaux Miniers et des Creuseurs des Diamants est une initiative fortement poussée pour diversifier notre économie et créer des meilleures conditions pour ces milliers d’acteurs vivant dans les milieux ruraux d’où proviennent les minerais dont le DIAMANT ; une aubaine de développer l’ECONOMIE RURALE pour changer les donnes du DIAMANT DE PAUVRETE à celui de DIAMANT DE DEVELOPPEMENT.

Des recettes mobilisées dans les villages, mais dépensées dans le milieu urbain

Le même document se pose la question de savoir, pourquoi la RDCongo tient aussi ses finances grâce à l’exportation de ses minerais, de son sous-sol qui se trouvent dans nos villages, mais toutes ses recettes/revenues sont dépensées en milieu urbain ? Les Creuseurs ayant eus une pierre à valeur fuient leurs villages pour s’expatrient en ville, oubliant les pleines des opportunités que représentent les attractivités économiques de nos villages pour génèrent une ECONOMIE RURALE, une occasion de développer l’agriculture, le tourisme, la culture, les infrastructures dans les zones minières et diversifier cette économie.

Voilà pourquoi First Annual DRC DIAMONDS CONFERENCE 2025, c’est une initiative partie de contacts informels il y a déjà plusieurs années entre les parties sur les questions d’une taillerie des diamants, une grande école, l’implémentation d’une industrie des diamants, la modernisation des transactions de diamants de la RDC pour un certain nombre d’acquéreurs aux Etats-Unis d’Amérique ; cette ambition est devenue très urgente de l’organiser surtout après la visite officielle de M. Felix-Antoine Tshisekedi Tshilombo au Botswana au mois de Mai 2023. C’est pourquoi, First Annual DRC DIAMONDS CONFERENCE 2025 est placé sous son haut-patronage.

M. Didier Lukusa renchérit que la nature des diamants alluviaux et de l’exploitation artisanale rend même impossible presque toute forme des valeurs ajoutées. Il est donc important de veiller à ce que toute attente face à ces diamants soit réaliste.

La plupart des creuseurs artisanaux, qui travaillent dans une économie de casino et qui espèrent faire fortune, gagnent effectivement tout juste 1 $ par jour. Leur travail est ardu et archaïque, et il se situe complètement à l’extérieur du marché de l’emploi normal. Cela les placer carrément dans la catégorie de la « pauvreté absolue » sur le plan du revenu.

On ne saurait donc parler de « DIAMANT DE DEVELOPPEMENT » dans de telles circonstances. Un réel changement pourrait réduire l’instabilité sociale qu’engendrent les champs diamantifères. À tout le moins, les diamants pourraient être la source d’un revenu convenable pour des centaines de milliers de familles, plutôt que d’être au centre d’un travail à la pièce dangereux, malsain et mal rémunéré.

Pour mobiliser des Investissements Extérieurs lors de First Annual DRC DIAMONDS CONFERENCE 2025, il est impérieux que les contractants en zone minière soient apprêtés pour la valorisation du Diamant, qui est un témoin rare des instants précieux ; Ces Formalisations, Structurations et Bancarisations des Artisanaux permettront d’atteindre les objectifs de densifier des partenariats.

Vivement le diamant de développement

Signalons qu’une initiative fortement poussée pour diversifier notre économie et créer des meilleures conditions pour ces milliers d’acteurs vivant dans les milieux ruraux d’où proviennent les minerais dont le DIAMANT ; une aubaine de développer l’ECONOMIE RURALE pour changer les donnes du DIAMANT DE PAUVRETE à celui de DIAMANT DE DEVELOPPEMENT.

Le Gouvernement des Etats-Unis d’Amérique a donné un coup d’accélérateur des intentions économiques américaines en République Démocratique du Congo. « Il faut créer des opportunités pour la population congolaise sans mettre en péril la biodiversité ».

Cette réactivité de Kinshasa s’explique par une tendance que l’ensemble du secteur minier congolais tente de juguler. La République Démocratique du Congo, point central des investissements US, Un intérêt manifeste des entreprises américaines.

La géopolitique mondiale et ses turbulences rabattent les cartes en Afrique. Les Etats-Unis, ont décidé d’employer une stratégie massive. Depuis 2021, les Etats-Unis ont fait aboutir 800 accords commerciaux et les investissements du secteur privé américain s’élèvent à 8,6 milliards de dollars selon un rapport du Département d’Etat. C’est aussi cette logique qui prévaut dans le positionnement géopolitique en Afrique centrale comme sur tout le reste du continent.

Plus récemment, la RDCongo a intégré l’AGOA, une aubaine d’engranger des flux financiers pour nos produits exportables sur le marché américain, ce dont nous félicitons M. Julien Paluku, ministre du Commerce Extérieur. Réussir la First Annual DRC DIAMONDS CONFERENCE 2025, les appuis du Cabinet du Chef de l’Etat, le Gouvernement de la République par ses Ministères (Mines, Industrie et PME, Economie Nationale, Développement Rural, Agriculture, Pèches et Elevages, Culture, Affaires Etrangères et bien d’autres Etablissements Publics du secteur), les Gouverneurs des Provinces, les Ambassades des Etats-Unis d’Amérique à Kinshasa et de la République Démocratique du Congo à Washington D.C sont autant souhaités.

Washington entend bien reprendre sa place de partenaire majeur de la République Démocratique du Congo dans le domaine minier – y compris en s’associant à d’autres alliés de poids pour la création de joint-ventures internationaux en capacité d’attirer des fonds internationaux pour la construction d’infrastructures ou l’exploitation de gisements miniers.

C’est en tout cas la vision de M. Felix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, Président de la République matérialisée par notre Gouvernement conduit par Son Excellence Mme Judith Suminwa, Premier Ministre, les acteurs publics et miniers de la République Démocratique du Congo.




KIM JONG UN et sa vision au-delà de l’imagination

KIM JONG UN, Secrétaire Général du Parti du Travail de Corée (PTC, parti présidentiel depuis 1945, NDLR) et Président des Affaires d’Etat de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC sise au nord de la Péninsule coréenne et créée 3 ans après la Libération Nationale 1945:

  • Puissance nucléaire consacrée à sauvegarder non seulement son idéologie, son système, sa dignité, sa vie ainsi que sa souveraineté, sa sécurité, ses intérêts mais aussi la paix et la sécurité de la Région et du monde entier
  • Superpuissance politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Bienfaiteurs dont les Généralissimes KIM IL SUNG 1912-1994 et KIM JONG IL 1942-2011, et le Maréchal KIM JONG UN, NDLR),

dirige, impeccablement ou irréprochablement, les travaux de construction de la Ville Samji-yon (où se trouve le Mont Paektu-san, mont ancestral de la Nation et sacré de la Révolution coréenne d’où l’objet du pèlerinage de toute la Nation, le plus haut de la Péninsule avec 2.750m et classé 1er parmi les 6 monts célèbres de la Péninsule pour son paysage magnifique; le nom provient de ce qu’il est enneigé pendant toutes les 4 saisons, d’où le mont-blanc dont l’environnement naturel est formé à la suite des 31 éruptions volcaniques 939-1925, NDLR) dans la Province Ryanggang (ou 2 fleuves: Amnok-gang frontalier d’avec la Chine et Tuman-gang frontalier d’avec la Russie, NDLR): remonte aux 11-12/07/2024 sa dernière visite dans cette ville transformée en modèle de ville montagneuse moderne et en ville provinciale standard.

  1. «Nous devons nous incliner devant tout le Peuple du Pays.»

Un jour au début d’avril 2019, KIM JONG UN alla visiter le chantier de construction du chef-lieu de ladite Ville. Parcourant plusieurs endroits du chantier, il se montra satisfait de la marche des travaux de construction et affirma à ses accompagnateurs:

  • Le secteur du chef-lieu de la Ville Samji-yon a changé de nouveau, de façon méconnaissable, en quelques mois seulement. Si l’on continue sur sa lancée, on pourra achever, dans les délais prévus, la construction de la Ville conformément au dessein du PTC.
  • Chaque fois que j’admire l’aspect de cette circonscription qui se transforme, chaque jour, en une ville montagneuse modèle, je ressens profondément la fidélité sans faille de notre Peuple. C’est le Peuple de tout le Pays que nous devons, vraiment, remercier et c’est devant lui que nous devons nous incliner.
  • Si cette Ville a pu changer comme aujourd’hui, c’est que les membres des troupes de choc venus des 4 coins du Pays avaient travaillé dur et loyalement et que le Peuple entier avait fourni, de tout cœur, son aide morale et matérielle.
  1. «La 1ère priorité dans la construction des campagnes rurales est … .»

Quand, un jour du novembre 2021, KIM JONG UN dirigeait, sur place, les travaux de construction de ladite Ville, il se rendit à la Commune Phothae où il se renseigna sur le nombre total des logements de cette région et la quantité du ciment employé pour la construction d’un logement. Puis, il nota aux cadres:

  • Actuellement, c’est le plus important de distribuer des logements modernes aux travailleurs agricoles grâce à une promotion énergique de la construction des campagnes rurales socialistes. Notre PTC considère comme un facteur important pour l’accroissement de la production agricole d’offrir un cadre de vie de niveau élevé aux travailleurs agricoles. Si le cadre de vie s’améliore, la conscience idéologique de ces derniers connaîtra un changement et par conséquent, des succès seront obtenus dans la production agricole.
  • La 1ère priorité dans la construction des campagnes rurales est celle de logements. C’est notre tâche primordiale que de changer le cadre de vie culturelle dans les campagnes rurales en poussant à la construction de logements.




CdCl: L’USM Alger et l’ASEC Mimosas arrachent leur qualification, Lupopo et Vita éliminés 

Les Matchs retour du 2e tour préliminaire de la Coupe de la Confédération ont rendu leur verdict dimanche et les 16 qualifiés pour la phase des groupes sont désormais connus.

 

En danger après sa défaite 1-0 à l’aller, l’USM Alger a attendu la 94e minute et un CSC adverse sur corner pour arracher sa qualification face au Stade Tunisien à Oran (2-0). Le vainqueur de l’édition 2023 et demi-finaliste du précédent exercice était même virtuellement éliminé jusqu’au but de Mondeko à la 76e minute. La veille, l’autre représentant algérien, le CS Constantine avait validé son billet avec moins de frayeurs en battant à nouveau les Ghanéens de Nsoatreman (2-0, 1-0).

 

Deux sur deux pour l’Algérie donc, mais seulement un sur deux pour la Côte d’Ivoire. Si l’ASEC Mimosas a en effet tenu son rang en renversant les Togolais de ASC Kara, vainqueurs 2-1 à l’aller, sur le score de 2-0 grâce à Coulibaly (45e+1) et Diarrassouba (47e), l’aventure s’arrête là en revanche pour l’autre représentant ivoirien, le Racing d’Abidjan, éjecté 3-0 par le Jaraaf Dakar au Sénégal après le 0-0 de l’aller.

 

 

Vita Club en plein cauchemar

 

Le bilan est encore pire pour la RD Congo, qui a perdu ses deux clubs ce dimanche. A Kinshasa, l’AS Vita Club, battue 2-0 à l’aller et secouée dans la semaine par la démission d’Abdeslam Ouaddou, a été incapable de renverser la vapeur contre les Sud-Africains de Stellenbosch (1-1) malgré une mi-temps passée en supériorité numérique.

 

Même sort pour le FC Saint-Éloi Lupopo, à nouveau battu par les Angolais de Bravos do Maquis (1-2) et éliminé. Les têtes d’affiche comme Berkane, le CS Sfaxien ou encore Simba seront en revanche bien au rendez-vous. Le tirage au sort des groupes aura lieu le lundi 7 octobre.

 

 

Les 16 qualifiés pour la phase de groupes de la Coupe de la Confédération

 

Zamalek (Egypte)

RS Berkane (Maroc)

USM Alger (Algérie)

Simba (Tanzanie)

ASEC Mimosas (Côte d’Ivoire)

Al Masry (Egypte)

Stade Malien (Mali)

CS Sfaxien (Tunisie)

Enyimba (Nigeria)

CS Constantine (Algérie)

Jaraaf (Sénégal)

Bravos do Maquis (Angola)

Lunda Sul (Angola)

Orapa United (Botswana)

Black Bulls (Mozambique)

Stellenbosch (Afrique du Sud).

 

 

 

 

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Vérité à retenir au sujet du 3ème Dialogue : tous les acteurs politiques actuels sont le produit du consensus obtenu à la CNS et au DIC !

Boycotter le forum escompté de la Cohésion Nationale n’est que fuite en avant. Le réduire au partage des postes un stratagème de bas niveau pour “préserver les acquis” dont la vraie nature se révèle finalement !

L’Histoire de la République Démocratique du Congo est celle des fora connus sous les vocables Conférence, Conclave, Dialogue, Concertation, Consultation, etc. Leur “ancêtre” est d’ailleurs la table ronde de Bruxelles. Dire aujourd’hui qu’on ne peut aller à aucun de ces fora alors qu’on a pleinement conscience qu’on est aux affaires grâce à ce type de dialogue relève non pas que de l’égocentrisme, mais aussi de l’ingratitude. Or l’ingratitude ne paie jamais

Grâce à la CNS et au DIC

Entre 1960 et 2024, il existe deux périodes marquantes au cours desquelles il y a eu une succession de dialogues et une autre demeurée sans ces assises.

La première période va de 1960 à 1965 et de 1990 à ce jour. La seconde entre 1965 à 1990.

La singularité de la seconde est l’avènement du régime Mobutu d’abord avec le Mpr, ensuite avec le Mpr Parti-Etat. 25 ans durant, le maréchal ne voulait pas de débat public et contradictoire, bref de dialogue. La suite est connue au travers des épisodes « Lettre des 13 Parlementaires » et Udps.

Comme relevé ci-dessus, l’Avant et l’Après Mpr Parti-Etat ont pour caractéristique des débats dans divers foras.

Certes, dans certains – sinon dans la plupart – la passion l’aura emporté sur la raison. Mais, nous ne cesserons pas de le dire, chaque dialogue a sa dynamique. Celle de la Conférence nationale souveraine (CNS) et du Dialogue Intercongolais (DIC) a fait conserver ou fait commencer leur carrière à près de 90 % d’acteurs politiques actuels.

Si jamais le dialogue à venir se tenait sans sa bénédiction

Il est vrai que lorsque l’initiative d’un dialogue est émise, le plus souvent c’est à cause des réalités du terrain jugé défavorables à la paix et au développement. On le faisait avant l’avènement de la 2ème République, et on le fait depuis la fin de celle-ci.

La question, aujourd’hui, est de savoir si oui ou non la paix et le développement sont effectivement perturbés en RDC. Toute personne sensée est censée reconnaître qu’ils sont sérieusement perturbés.

A partir de cet instant, libre à chacun de croire ou non à ce que la solution globale soit possible dans les 4 ans qui restent du quinquennat en cours ! Nous avons tous conscience que du double mandat visé par Félix Tshisekedi en 2018 (soit dix ans), six sont en train de s’écouler, aggravant plutôt qu’allégeant la situation générale.

L’Histoire renseigne que de 1960 à ce jour, la personne qui dispose de l’autorité de convoquer le Dialogue est toujours le Chef de l’État en fonction. Avec ou sans sa bénédiction. Mais, dans l’intérêt commun et en raison de ses prérogatives, il donne sa caution.

Joseph Kasa-Vubu, en cinq ans de pouvoir, avait facilité la tenue des Dialogues dénommés successivement Conférence de Tananarive, Conférence de Coquilathville (Mbandaka), Conclave de Lovanium et Conférence Constitutionnelle de Luluabourg.

Mobutu Sese Seko, au cours de ses 7 dernières années au Pouvoir, avait facilité les Dialogues dénommés Conférence nationale souveraine, Conclave politique de Kinshasa et Négociations de l’hôtel Intercontinental.

Laurent-Désiré Kabila, au cours de ses 4 ans à la tête du pays, devait en faciliter un sans toutefois le finaliser : Dialogue Intercongolais.

Joseph Kabila, au cours de ses 18 ans à la tête du pays, a favorisé le Dialogue Intercongolais, les Concertations nationales, le Dialogue de la Cité de l’UA et les Négociateurs du Centre Interdiocésain.

Félix Tshisekedi, en sa sixième année de pouvoir, n’en jusque-là favorisé aucun. La Consultation présidentielle de 2020 était le produit d’une crise de cohabitation entre deux alliés Fcc-Cach. Une affaire de famille, peut-on dire.

Veut-il faire exception ? C’est son droit le plus absolu.

C’est qui est au moins vrai, c’est qu’il a conscience de la responsabilité qu’il va devoir assumer devant l’Histoire si jamais le Dialogue à venir se tenait sans sa caution. Car, il ne va pas laisser l’appareil sécuritaire et judiciaire empêcher la tenue de ces assises pouvant devenir une initiative citoyenne à même de développer une dynamique sur laquelle il n’aura aucun contrôle.

Sujets tabous ?

Chaque dialogue ayant sa dynamique, l’avantage du prochain est de convaincre les participants d’aborder des problèmes restés pendants puisque non résolus à la CNS ni au DIC. Pour dire mieux, les sacs n’ayant pas été totalement et correctement vidés.

Parmi les sujets restés tabous et qui, en rebondissant, perturbent la gouvernance institutionnelle, il y a la situation sécuritaire à l’Est, la problématique de la nationalité et les non-dits ou les mal-dits de la Constitution.

Situation sécuritaire

Il y a en particulier le cas des trois provinces de l’Est (Sud-Kivu, Nord-Kivu et Ituri), en proie à l’insécurité entretenue par des groupes armés congolais et des groupes armés étrangers.

Les causes de la création des groupes armés congolais peuvent ne pas être celles que l’on affiche pour se faire valoir. Il y a, parfois, des causes vraiment privées : un contentieux entre communautés, entre acteurs politiques et acteurs économiques ou sociaux.

Quant aux groupes armés étrangers, ils ne peuvent rien justifier de leur présence sur le territoire national. GEC (Groupe d’Etudes sur le Congo) attribue aux seuls éléments ADF-NALU près de 37% des crimes commis à l’Est. C’est-à-dire sur 100 Congolais tués, 37 les sont par ces groupes.

Il faut bien que tous les ADF-NALU quittent le territoire congolais, et que tout Congolais surpris en train de pactiser avec un rebelle étranger subisse la rigueur de la loi.

Nationalité

L’un des sujets tabous qui ressemble à l’hydre est celui de la nationalité. Résolu au Dialogue Intercongolais au travers de la Constitution et de la loi sur la nationalité, ce problème ne peut plus donner lieu à des revendications armées. Quand la loi est violée, on connaît la procédure pour se plaindre : ce n’est pas le recours à la kalachnikov avec le soutien d’une communauté soit-elle consanguine, mais la Justice. On porte plainte à charge du contrevenant.

Constitution

Un autre des sujets tabous : la Constitution. Celle en vigueur est issue d’un dialogue. Le bon sens commande, pour en rédiger une autre, de commencer par faire sa critique au cours d’un dialogue.

L’actuelle loi fondamentale n’est pas parfaite, comme, du reste, toutes les lois similaires. Elle est perfectible parce qu’elle a des dispositions qui peuvent s’avérer inadaptées aux temps et aux circonstances.

La nôtre, par exemple, est muette aussi bien sur le régime politique (le semi-présidentialisme auquel il est assimilé est asphyxié par le présidentialisme) que sur la forme de l’Etat (on ne sait pas trop si on est toujours un État unitaire pendant que la fronde monte pour instaurer le fédéralisme). D’autres forces vont d’ailleurs plus loin. Il faut les arrêter avant qu’il ne soit trop tard.

Ces quelques exemples prouvent que la Cohésion Nationale est sérieusement affectée.

Puisse cela ne pas arriver

S’il existe un cadre autre que celui du Dialogue pour requinquer la Cohésion Nationale, on peut le mettre à profit. Cependant, nous devons avoir la volonté et la capacité de l’accepter : la situation générale du pays va de mal en pis.

Dans toute société organisée (famille, travail, église, club etc.), c’est le responsable n°1 qui tire ou fait tirer la sonnette d’alarme s’il veut garder son autorité sur la communauté. Si, par contre, c’est l’inverse qui se produit, il en perd et l’initiative et le contrôle ! Il risque même de perdre la confiance des siens !

Puisse cela ne par arriver…

Omer Nsongo die Lema




Goma : Herman Kambale, nouveau président de Kyaghanda Yira 

C’est le dimanche 22 septembre dernier que l’association culturelle Nande (ACN) connue sous le nom de Kyaghanda Yira, était aux urnes à travers la commission électorale communautaire indépendante (CECI) en vue d’élire son nouveau président de la structure communément appelée Kyaghanda Yira, ACN.

La cérémonie s’est tenue au siège social de l’Association, situé dans la commune de Karisimbi, à Goma, sur la route Mutinga-Katoyi, entre la paroisse CBCA Katoyi et le lieu communément appelé « chez Semahore ».

Les résultats dégagés au départ ont porté Kambale Kaviti Herman à la tête de cette structure avec 186 voix sur 305 électeurs, représentant ainsi 61 % des suffrages valablement exprimés en sa faveur devant trois autres challengers. Une élection qui témoigne d’une crédibilité remarquable, selon certains membres de la communauté ainsi que des autochtones de la République Démocratique du Congo, tels que les Mbuti.

Pour Kambale Kalumbi Trésor, Coordinateur de la Ligue des amis d’Herman Kambale Kaviti, ce processus électoral est une expression démocratique et une illustration de l’intégrité de son leader, qui prône l’unité, la paix et le développement de toute la communauté en vue d’une cohésion sociale et communautaire.

Celui-ci espère que cette victoire pourra inaugurer une nouvelle ère pour la province du Nord-Kivu à travers les actions de l’association. Pour sa part, Adolphe Mwenge, membre de la communauté Mbuti soucieux du bien-être social et de la cohabitation pacifique, a loué la transparence et la responsabilité qui ne cessent de caractériser cette communauté au savoir vivre et le savoir-être légendaire.

Un exemple qui devrait à tout prix inspirer d’autres communautés où les divergences d’opinions entravent une gestion harmonieuse. Soulignons que conformément aux statuts de l’association, le notable Herman Kambale Kaviti préside à la destinée de cette communauté il y a quatre ans, soit trois ans avec le bâton de commandement en main et une seule année de transition ayant conduit à la tenue effective des élections démocratiques crédibles et transparentes.

Bon vent et pleins succès donc au nouveau comité du notable Herman Kambale Kaviti qui aura comme colistiers Paluku Sausi Gervais, Kasereka Manzeke Olivier, Kamate Mongane Kibuluta Donatien ainsi qu’à toute l’équipe de campagne.

Marty Dacruz




Bientôt un bureau de l’ONT au siège de l’ambassade congolaise à Paris

Le Directeur Général Adjoint de l’Office National du Tourisme, M Paul Diakiese, a été reçu en audience par l’Ambassadeur de la Rdc en France, M Émile Ngoy.

En fait, a mis à profit son séjour sur le sol français, dans le cadre de la 2e édition de la Convention Afrique, organisée par IFTM Top Resa et le Cabinet Facility Concept International, et solliciter l’entretien avec le plénipotentiaire congolais au pays de Victor Hugo.

Ce forum qui s’est tenu du 17 au 19 Septembre, a été créé en 2023, et réuni, chaque année, 30000 professionnels de l’ensemble de la filière touristique française et européenne.

L’Office National du Tourisme a pris part avec le Dga, Paul Diakiese et le Directeur de la DMR, Mosepi.

De l’audience avec l’ambassadeur de la Rdc en France, les représentants de l’ONT ont reçu l’accord de principe de leur hôte, pour l’ouverture d’un bureau pouvant abriter un service de leur office. Ce dernier va servir de cadre en vue de l’accueil des touristes potentiels, mais aussi une fenêtre susceptible de séduire la diaspora congolaise à pouvoir aimé la destination Rdc.

Les détails administratifs vont précéder l’installation officielle de ce local très stratégique pour le tourisme congolais. Ceci va constituer un tremplin pour les autres capitales européennes.

Sylvie Bambie