Le TPM déjà à Ndola pour rencontrer Red Arrows ce samedi

C’est l’info du jour : les Corbeaux sont déjà à Ndola, deuxième plus grande ville zambienne, dans la province de Copperbelt. Entre l’aéroport international de la Luano de Lubumbashi et Simon Mwansa Kapwepwe de Ndola, ce mercredi 11 septembre, les hommes de Lamine Ndiaye ont mis 24 minutes de vol à bord d’un Embraer 145 de la compagnie AirFast affrété par le Chairman Moïse Katumbi.

Le boss des Corbeaux a pris le même vol avec les 20 sur 21 joueurs retenus par le coach Lamine. Ibrahima Keita, retenu en sélection avec la Mauritanie, rejoindra le groupe directement en Zambie. Pour cette mission commando, de la logistique à la condition physique, la direction a mis le paquet double : un vol affrété pour éviter les longues heures de bus entre deux villes pourtant proches, et un logement haut de gamme juste en face du Levy Mwanawasa Stadium.

L’après-midi de ce mercredi est consacré au repos après l’entraînement du matin au CEF de Futuka où était interné le groupe avant le voyage.




Les CAF Ambassadors Okocha et Diouf rejoignent une liste de légendes du football africain qui participent au Symposium des Entraîneurs de la CAF à Abidjan jeudi et vendredi

Abidjan accueillera du 12 au 13 septembre, le Symposium technique des Entraîneurs de la CAF, un événement qui rassemblera de nombreuses légendes du football africain, telles que Jay Jay Okocha (Nigeria), El Hadji Diouf (Sénégal) et Gadji Celi (Côte d’Ivoire).

L’ancien portier camerounais Antoine Bell, le défenseur sud-africain Mark Fish, ainsi que l’entraîneur ghanéen Otto Addo des Black Stars, participeront également à ce séminaire de deux jours.

Ils seront membres d’un panel prestigieux comprenant également l’ancien défenseur nigérian Augustine Eguavoen, la légende de Fulham Luis Boa Morte, qui est actuellement entraîneur de la Guinée-Bissau, et le Sénégalais Pape Thiaw, parmi d’autres.

Ce symposium sera la première occasion pour les entraîneurs africains de se rencontrer, avec la participation prévue de 50 entraîneurs d’équipes nationales représentant les associations membres de la CAF.

Une plateforme sera proposée pour favoriser l’échange d’idées et d’expériences entre les meilleurs entraîneurs africains, comme Emerse Fae, qui a emmené la Côte d’Ivoire au sacre lors de la Coupe d’Afrique des Nations TotalEnergies 2023.




Sébastien Desabre : “‘Il est impératif d’être impliqué à 150 % dans ce métier” 

Lors de son échange avec Cafonline, Sébastien Desabre, demi-finaliste de la récente Coupe d’Afrique des Nations CAF TotalEnergies avec la République Démocratique du Congo, a évoqué divers sujets en amont du Symposium Technique des Entraîneurs de la CAF, qui se tiendra ce jeudi à Abidjan. La Côte d’Ivoire, théâtre des exploits des Léopards lors de la CAN, et première terre d’accueil du tacticien français sur le sol africain. Oscillant entre souvenirs et ambitions, celui que le peuple congolais désigne avec affection sous le nom de “Maseba Wetu” (qui se traduit par “Cher Oncle”) partage ses pensées en exclusivité.

Cafonline.com : Cela fait maintenant deux ans que vous êtes à la tête des Léopards. Comment vous sentez-vous dans votre rôle de sélectionneur ?

Sébastien Desabre : J’éprouve un immense plaisir à travailler avec la République Démocratique du Congo. Nous avons réussi à créer un cadre de travail favorable aux performances, en insufflant un nouvel élan en termes de management et en établissant de nouvelles interactions avec les joueurs et la fédération. Avec l’appui du ministère, nous avons la possibilité d’agir de manière transparente et de toujours connaître les règles qui régissent notre activité. À chaque fin de stage, un rapport est produit dans lequel je partage mes réflexions et examine les axes d’amélioration. Nous cherchons à progresser d’un stage à l’autre afin de perfectionner et corriger les éléments qui ont été mal gérés.

Vous êtes actuellement sur une série de six matches sans défaites lors des phases qualificatives en Coupe d’Afrique des Nations CAF TotalEnergies. Quels sont les ingrédients de ce succès ?

En sélection, tout va très vite. On est sur cette série mais on se projette déjà sur les prochaines échéances avec le match contre la Tanzanie. Ces statistiques indiquent que nous sommes dans une bonne dynamique. Cependant, les données sont principalement bénéfiques pour les journalistes et les supporters. Nous maintenons notre attention sur nos objectifs. Quand un match est terminé, nous pensons déjà au prochain et à l’idée de le gagner, avant de tirer des conclusions à la fin de notre parcours. Cela indique que nous n’avons jamais gagné un match avec un score de cinq zéro. Il y a donc encore des domaines à améliorer, mais nous avons également la capacité de triompher dans nos rencontres.

Vous avez débuté votre parcours en tant que coach en 2006. Qu’est-ce qui vous a poussé à choisir cette voie ? Quels changements majeurs avez-vous observés depuis ce temps ?

Je dirai la mentalité des joueurs avec tout ce qui va avec comme les réseaux sociaux.

Ce n’est pas le même mode de management. Il faut rester dans le coup. Sur le plan strictement footballistique, le jeu a connu une évolution majeure. Aujourd’hui, ma perception du football est très différente de celle que j’avais au début de ma carrière. Au commencement, j’ai commis des erreurs qui m’ont permis d’apprendre et de grandir. C’est grâce à ces erreurs que j’ai atteint aujourd’hui ce niveau d’expérience en Afrique. Ayant passé plus de temps sur le continent que la plupart de mes joueurs, je considère cela comme un atout essentiel pour réaliser nos objectifs avec la République Démocratique du Congo.

Vous avez commencé votre carrière de tacticien sur le sol africain avec l’Asec Mimosa. Vous revoilà de nouveau en Côte d’Ivoire en prélude de ce Symposium Technique des Entraîneurs de la CAF…

C’est un clin d’œil du destin. Il est vrai que j’ai vécu ici à l’époque avec ma famille, mes fils étaient très jeunes à l’époque, ils ont bien grandi depuis. Cela me rappelle de bons souvenirs. On a passé de très belles années ici avec un peuple très accueillant. On a gardé beaucoup d’amis. Et puis après, une petite cerise sur le gâteau, c’est qu’effectivement maintenant, à chaque fois que je vais revenir, ici. Je vais me rappeler que c’était sur ces terres qu’avec la RDC nous avons accompli de belles choses.

Ce qu’on a vécu et partagé à la CAN, c’est un lien fort qui nous unit. Et nous avons envie de revivre ces beaux moments. On travaille pour ça ! Cela a été un moment magique dans la carrière d’un joueur et d’un entraîneur et de partager tout cela avec le peuple congolais, ça n’a pas de prix.

Qu’est-ce que vous appréciez le plus dans votre profession ?

Personnellement, ce que je préfère, ce sont les matchs ainsi que la préparation tactique et technique lors des séances d’entraînement. Il est important de mettre en œuvre des stratégies et de travailler à leur application. Ensuite, nous pouvons évaluer leur efficacité sur le terrain. Si, durant le match, certains éléments ne fonctionnent pas, il est essentiel de pouvoir apporter des ajustements, c’est une part de notre responsabilité.

Se dire qu’on prépare le plus professionnellement possible, on pense à mettre en place quelque chose, et quand ça réussit c’est une satisfaction.

De nos jours, le sélectionneur est souvent décrit comme le deuxième personnage le plus important d’un pays, après le président de la République. Ce rôle peut-il être perçu comme un fardeau difficile à porter ?

Être en première ligne implique d’accepter certaines pressions. Lorsque celles-ci sont négatives, cela ne signifie pas qu’il faut changer de voie, bien au contraire. Certes, tout ne fonctionne pas toujours comme on le souhaite, mais l’important est de se rappeler que dans des rôles aussi exposés et importants, il est impératif d’être impliqué à 150 % dans ce métier afin de ne pas regretter les moments où les choses tournent mal. Le football n’est pas une discipline exacte. Il est donc primordial de tout donner, pour que, en vous observant dans le miroir, vous puissiez affirmer avoir réalisé tout ce qui était possible.




En visite Côte d’Ivoire : Le Président Motsepe rencontrera Alassane Ouattara et assistera au Symposium Technique de la CAF

Dr Patrice Motsepe, le Président de la Confédération Africaine de Football rendra visite à Son Excellence Monsieur Alassane Ouattara, Président de la République de Côte d’Ivoire le jeudi 12 septembre 2024.

A 14h00 GMT, le Président de la CAF assistera à la cérémonie au Symposium Technique de Entraineurs de la CAF, un séminaire dédié à l’impact de la Coupe d’Afrique des Nations CAF TotalEnergies 2023 à Abidjan où il sera rejoint par Adjé Silas Metch, le Ministre délégué aux Sports de Côte d’Ivoire et Yacine Idriss Diallo, le Président de la FIF.

Le séminaire sur l’héritage de la Coupe d’Afrique des Nations CAF TotalEnergies 2023 donnera le coup d’envoi du Symposium des Entraîneurs de la Coupe d’Afrique des Nations 2023 TotalEnergies, qui se tiendra les jeudi et vendredi 12 et 13 septembre.

Des informations sur la retransmission en direct de l’événement suivront en temps voulu.




Salubrité médiatique congolais: Christian Bosembe propose des pistes de solution au président Tshisekedi

Le Chef de l’État congolais a échangé ce mercredi 11 septembre à la Cité de l’Union africaine, avec Christian Bosembe, Président du Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication (CSAC). Les échanges ont tourné autour de la nécessité de la salubrité médiatique en République démocratique du Congo.

Selon Bosembe, la popularisation des réseaux sociaux participe de manière inquiétante à la dépravation des mœurs et à l’acculturation des Congolais.

Devant cette situation, le Président du CSAC a présenté au Chef de l’État Félix Tshisekedi, un plan de régulation des médias traditionnels et sociaux. Christian Bosembe a saisi cette occasion, pour exposer au Président de la République, quelques pistes de solution pour rendre salubre l’environnement médiatique congolais.

 

Mboshi




Christian Bosembe présente à Félix Tshisekedi le plan de régulation des médias traditionnels et sociaux 

Le Chef de l’État a échangé, ce mercredi, 11 Septembre 2024, à la Cité de l’Union africaine, avec Christian Bosembe, Président du Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication (CSAC), sur la nécessité de la salubrité médiatique en République démocratique du Congo (RDC).

Selon M. Bosembe, « la popularisation des réseaux sociaux participe de manière inquiétante à la dépravation des mœurs et à l’acculturation des Congolais. »

Devant cette situation, le Président du CSAC a présenté au Chef de l’État Félix Tshisekedi un plan de régulation des médias traditionnels et sociaux. Christian Bosembe a exposé au Président de la République quelques pistes de solution pour rendre salubre l’environnement médiatique congolais.




Patrick Muyaya : « Chaque Congolais a un rôle à jouer dans l’image de marque du pays » 

Intervenant ce mercredi dans le panel sur la promotion de l’image de marque de la République Démocratique du Congo, Patrick Muyaya, ministre de la Communication et médias, porte-parole du Gouvernement pense que chaque Congolais a un rôle à jouer dans l’image de marque du pays. Et cette image, il ne faut pas la concevoir au sens de comment la RDC est vue de l’extérieur, mais au sens de comment les Congolais perçoivent l’image de leur pays et comment ils participent à sa diffusion.

Le ministre de la Communication et Médias, Patrick Muyaya Katembwe, a pris part, ce mercredi 11 septembre 2014, au Forum de validation de la Politique Nationale du Tourisme à Béatrice Hôtel de Kinshasa.

Lancé le mardi 10 septembre dernier par son collègue du Tourisme Didier M’Pambia, ce Forum est axé sur le thème : « Vers une réforme du secteur touristique ». En ce deuxième jour, le ministre Muyaya a été parmi les intervenants au panel sur la promotion de l’image de marque de la République Démocratique du Congo aux côtés de ses collègues de la Culture, Arts et Patrimoine; des Postes, Télécommunications et Numérique ainsi que de l’Industrie, Petites et Moyennes entreprises.

« L’image de marque du pays commence par notre propre perception avant celle des autres. Par tourisme, il ne faut pas voir seulement les étrangers qui viennent visiter notre pays, mais nous-mêmes aussi les nationaux, car notre paa!ys a une dimension continentale », a d’entrée de jeu expliqué le porte-parole du gouvernement pour éclairer les zones d’ombres des participants sur la politique de communication du gouvernement sur le tourisme de la RDC.

 

Et de poursuivre : « Chaque Congolais a un rôle à jouer dans l’image de marque du pays. Et cette image, il ne faut pas la concevoir au sens de comment la RDC est vue de l’extérieur, mais au sens de comment les Congolais perçoivent l’image de leur pays et comment ils participent à sa diffusion. Ces assises nous ont donnés l’occasion d’échanger des réflexions et des idées avec les acteurs venus des provinces et ceux qui travaillent dans le tourisme afin d’élaborer une “bible” qui nous permettra de bien répondre au défi de l’image de marque de notre pays. Nous avons été heureux de pouvoir y contribuer ».

La Nation Building et la Nation Branding

Le ministre de la Communication et Médias a insisté sur les deux axes autour desquels travaille le gouvernement congolais à savoir: la Nation Building et la Nation Branding. « Par la Nation Building, nous voulons contribuer à la construction de la nation où le Congolais regardera avec fierté son pays. Nous avons notre propre part de responsabilité pour y arriver », a insisté le porte-parole du gouvernement de la RDC, avant d’expliciter la Nation Branding.

« Ici, nous nous posons la question : comment on veut présenter le pays à l’extérieur ? Quelle est l’image que nous présentons du pays à l’extérieur ? ».

« À l’extérieur, la RDC est présentée sous le prisme de la guerre. Je ne veux pas minimiser cette guerre, mais interrogez-vous sur combien représentent les coins où il y a la guerre. Le changement de narratif m’a été inspiré par la province du Nord-Kivu qui est présentée comme le coin de la guerre alors qu’il y a de bonnes choses. Nous sommes dans l’étape de l’appropriation du narratif du tourisme du pays. Nous devons parler fort en s’appuyant sur nos points forts du tourisme », a-t-il détaillé.

Chaque province a des atouts touristiques qu’il faut mettre en valeur, a martelé le ministre Patrick Muyaya. Il a, dans la foulée, mis en exergue l’objectif de ce Forum qui est de fédérer les énergies de différentes parties prenantes de la chaîne des valeurs du tourisme en vue de réfléchir et de mettre en place les mécanismes d’enrichissement et de validation de la Politique Nationale du Tourisme tel que prévu par la loi.

Cinq thématiques sont à l’ordre du jour des discussions dans le cadre de ce Forum. La première porte sur les infrastructures, l’aménagement du territoire et les problématiques foncières, alors que la seconde est axée sur la formation et la professionnalisation. L’accès au territoire et la sécurité des touristes ainsi que le financement et la création des richesses figurent également parmi les matières à réflexion. Il y a enfin la thématique sur la promotion de l’image de marque.

Comme son collègue des Postes, Télécommunications et Numérique, Augustin Kibassa, le ministre Patrick Muyaya a invité les médias et les citoyens congolais présents sur les réseaux sociaux à contribuer positivement à la promotion de la bonne image de la République Démocratique du Congo, surtout de la destination touristique.

« C’est aussi cela la responsabilité des médias, parce qu’il faut prévoir des modules sur la manière d’éduquer à travers les réseaux sociaux. Nous avons tous tendance à partager autant ce qui est mauvais que ce qui est constructif », a dit le ministre Patrick Muyaya.

« C’est pour cela qu’au séminaire, dans nos échanges, nous avons voulu non pas responsabiliser les Congolais, mais leur rappeler que ce pays leur appartient et qu’ils sont censés être les premiers à le protéger et à vouloir son bien. Il est donc de notre devoir à tous d’utiliser les réseaux sociaux pour diffuser des messages positifs », a-t-il renchéri.




Athlétisme: Du 03 au 14 septembre 2024, Des entraineurs congolais suivent une formation Niveau 1 à l’initiative de la Feaco

La Fédération d’Athlétisme du Congo ‘’FEACO’’ organise la formation des entraineurs niveau 1 depuis le 3 septembre et ce jusqu’au 14 septembre 2024.

Marie Ekula (RDC) et Roger Mbaya (Congo/Brazzaville) sont les deux animateurs de cette formation. Ils sont plus ou moins une vingtaine des stagiaires à suivre cette formation. La formation théorique se passe dans la Salle des conférences de l’hôtel Papa Sola tandis que la partie pratique se passe au stade des martyrs.

Antoine Bolia




Athlétisme: Tshihinga Mafo annonce la rentrée de la saison sportive 2024-2025 chez Paradiso Performance Programme

Bientôt, c’est la rentrée de la saison sportive 2024-2025 chez Paradiso Performance Programme, c’est ce que Tshihinga Mafo Hugues, Directeur Technique National de la Fédération d’Athlétisme du Congo ‘’FEACO’’ et responsable de Paradiso Performance Programme annonce aux amoureux de l’athlétisme.

Paradiso Performance Programme est un programme de formation, d’éducation et d’orientation des athlètes élites et sport d’âge.

Antoine Bolia




Taekwon-Do ITF : Me Augustin Dinganga (SG de la FETAECO/ITF) fixe l’opinion sur le programme d’activités du mois de septembre

Me Augustin Dinganga, Secrétaire Général de la Fédération de Taekwon-do du Congo I.T.F ‘’FETAECO/ITF’’ que préside Me Willy Makengo, a saisi notre journal pour nous transmettre le programme des activités du taekwon Do ITF pour le mois de septembre 2024.

Ce programme se présente comme suit :

-Du 21 au 22 septembre 2024 :

-Open des TULS (ou compétition technique) pour la Ville province de Kinshasa

-Championnat des Ententes Est et Ouest

-Championnat de la Ligue de Kinshasa.

Sur le plan international, les Léopards Taekwon-do I.T.F sont attendus le 26 septembre 2024 en Belgique pour les événements suivants :

-Stage Master Class avec le Secrétaire Général de l’ Administration de Londres The Grand Master Trevor Nichols, CN 9ème Dan

-Récupération des éliminatoires du championnat du monde Espagne 2025 (raté en date du 22 mai 2025)

-Préparation des Léopards I.T.F avec les Diables Rouges I.T.F de la Belgique.

Ce qui fait très mal, nous rapporte le SG Augustin Dinganga, jusqu’à cette date du 11 septembre 2024, la FETAECO/ITF est dans l’attente de l’ordre de mission.

Antoine Bolia