Basket-ball: La 41è Coupe du Congo se clôture dans la joie et la tristesse 

C’en est fini avec la 41è Coupe du Congo de Basket-ball qui s’est achevée dans la joie et la tristesse, le samedi 7 septembre 2024 au stadium jumelé 1 du stade des Martyrs archicomble. Daniel Bumba, Gouverneur de la ville de Kinshasa, présentement à l’étranger a été dignement représenté par M. Tom Kisenda, un homme bien ancré en matière des sports. L’on a noté la présence d’autres invités de marque tels Me Alain Makengo qui a représenté le ministre des Sports, le président du Comité Olympique Congolais Amos Mbayo et tant d’autres qui étaient aux côtés de Me Paulin Kabongo, président de la Fédération de la Fébaco.

Pourquoi dans la joie ? C’est parce qu’il y a eu sacre mérité de BC Makomeno du Haut-Katanga qui, non seulement venait de perdre son Directeur Technique et est parvenu à détrôner CNSS de Kinshasa chez les dames. Sacre aussi de Chaux Sport du Katana, Sud-Kivu chez les messieurs. Et pourquoi dans la tristesse ? Le décès du Directeur Technique National et Directeur Technique de BC Makomeno, Simplice Tshibangu en plein exercice de son métier.

En finale dames, Makomeno a nettement battu CNSS 70-49 aux termes d’une rencontre qu’il a dominé de bout en bout. En ½ finale, CNSS a écarté Hatari 63-52 et Makomeno a eu le dessus face à Chaux Sport (S/Kivu).

En finale messieurs, Terreur et Chaux Sport ont gratifié le public d’un spectacle de haute facture. Au finish, OC Chaux Sport (S/Kivu) a remporté le match 73-65. En ½ finale, Terreur a eu chaud face à SCTP/Kin 61-60 et OC Chaux Sport (S/Kivu) a écarté BC New Generation.

Pour la 3è place, Hatari a battu Chaux Sport de Katana, Sud-Kivu 49-31 chez les dames. Et chez les messieurs, New Generation a dominé SCTP/Kin 71-60.

La remise des trophées aux meilleurs en individuel et par équipe, a mis fin à cette compétition qui a été d’un niveau approximatif chez les dames avec de disparités criantes et un bon niveau chez les messieurs.

De Bonsambo




Football / 2è journée Eliminatoires CAN Maroc 2025: Ethiopie vs RDC, les Léopards condamnés à conforter la 1ère place ce lundi  

Après avoir réussi l’essentiel sans vraiment briller face au Syli National de la Guinée 1-0, le vendredi 6 septembre 2024 dernier au stade des Martyrs en match comptant pour la 1ère journée des éliminatoires de la CAN Maroc 2025 groupe H, les Léopards seniors messieurs vont devoir effectuer un déplacement périlleux ce lundi à Dar-Es-Salam.

En effet, les fauves congolais seront reçus par l’équipe correspondante de l’Ethiopie. Cette dernière avait réussi une bonne opération en arrachant un nul vierge face à la Tanzanie devant son public. Ce lundi 9 septembre 2024 au stade Benjamin Nkapa de Dar-Es Salam, l’Ethiopie et la RDC vont jouer en terre étrangère. Il n’y a donc pas des calculs à faire. Bien plus pour les Léopards, ils sont condamnés à conforter leur 1ère place. En cas de victoire, ils trôneront seuls avec 6 points. De quoi assurer la suite des éliminatoires avec assurance.

A Dar-Es-Salam, les Léopards ne seront pas seuls. Outre la communauté congolaise sur place, les groupes d’animation vont soutenir les Léopards à Dar-Es Salam. Un avion sera affrété et des primes seront allouées aux supporters avait rassuré, Didier Budimbu, ministre des Sports et Loisirs.

De Bonsambo




Contrat de travail validé:  MCTC donne du sourire à l’ONATRA

Cris de joie et applaudissements nourris des agents de l’ONATRA que Matadi Corridor Terminaux à Conteneurs (MCTC) va devoir embaucher.

A ce jour, tous les malentendus ont été dissipés et c’est tout le monde qui est satisfait de voir le port de Matadi revêtir de sa plus belle robe, dans le cadre des engagements pris de ne pas licencier les employés de l’ONATRA. MCTC a présenté le contrat aux futurs employés. Pour le reste, les modalités seront formalisées avec la Direction Générale de l’Onatra qui doit transmettre à MCTC la lettre de transfert.

 

Cette cérémonie organisée à Matadi, dans le Kongo Central, s’est déroulée vendredi en présence du Directeur général de MCTC, Christian Ngoy, qui a présenté aux agents de l’Onatra le contrat de travail qu’ils vont devoir signer incessamment.

Les agents concernés par cette rencontre sont ceux travaillant au parc TCM de l’ONATRA mis en concession et ce, tout grade confondu. La rencontre a rehaussé de la présence du Conseiller Maritime du VPM de Transports voies des communications et Désenclavement, Daniel Bulungidi.

Ce dernier a, au nom du VPM Jean-Pierre Bemba, circonscrit la rencontre du jour pour éclairer la religion des travailleurs de l’Onatra sur ce projet.

Occasion pour le DG du MCTC de porter à la connaissance de ses futurs employés le contenu de ce contrat de travail. Une présentation chaleureusement applaudie, séance tenante, par les agents de l’ONATRA qui se sont pris pour les enfants d’Israël que le Moïse MCTC sort du désert de l’ex-Onatra. Car, ce contrat offre aux agents non seulement l’augmentation de salaires, mais aussi plusieurs autres avantages.

« Le but de cette réunion était d’informer nos futurs employés, d’abord le projet MCTC, ce que nous comptons faire, comment nous comptons moderniser le port, surtout on vient de présenter le contrat de travail à nos futurs employés. Nous avons eu à leur expliquer quelles seront leurs nouvelles conditions et dans quel terme ils vont être accueillis chez MCTC. La signature du contrat va intervenir dans les prochains jours », a expliqué Christian Ngoy.

Cette rencontre a aussi permis au DG et le Directeur Financier de présenter, avec images à l’appui, la nouvelle configuration du parc à conteneurs du port de Matadi avec les nouveaux équipements de nouvelle génération. Ce qui implique une nouvelle façon de faire au Port maritime international de Matadi, grâce à une nouvelle organisation du travail.

Captivés par cette nouvelle vision, les futurs agents de MCTC ont saisi cette opportunité pour poser quelques questions auxquelles l’autorité a répondu avec satisfaction.

Difwana Tomatala n’a pas caché sa joie lorsqu’il a révélé qu’il a été engagé à l’ONATRA depuis 1987. « En ce moment, c’est comme si nous sommes sortis de l’Egypte, parce que nous avons beaucoup souffert avec l’ONATRA. Au début c’était bon. A la dernière minute, c’est comme si l’ONATRA nous a abandonnés. Raison pour laquelle je soutiens toujours MCTC qui est venu nous délivrer avec nos arriérés de 36 mois impayés », martèle-t-il.

Il a paraphrasé la bible qui déclare : « L’homme mangera à la sueur de son front ». Mais ce ne pas le cas à l’ONATRA, dit-il, avant d’ajouter qu’aujourd’hui il est ravi pour signer encore un nouveau contrat avec Matadi Corridor Terminaux à Conteneurs (MCTC) et promet de donner le meilleur de lui-même.

Le tout s’est clôturé dans une ambiance festive à l’hôtel Vivi Palace dans la commune de Matadi.

MCTC tient parole

Selon la vision MCTC, Matadi doit être doté d’un terminal à conteneur moderne, ce qui mettra fin à la prolifération des ports illégaux et luttera contre le coulage des recettes.

Ce n’est pas tout. La concession va permettre l’équipement du terminal à conteneurs du port de Matadi avec des grues de dernière génération, portant ainsi le niveau de service aux meilleurs standards internationaux. Les travaux de construction des nouvelles infrastructures et l’acquisition de nouveaux équipements vont générer des revenus importants pour l’État et l’ONATRA sous forme de redevances de concession, ce qui est une première en RDC. De plus, la concession prévoit la formation et la mise à niveau des travailleurs ainsi que le transfert de technologie, ce qui permettra d’améliorer les compétences et l’efficacité des opérations portuaires.

La concession contribuera également à sécuriser et à pérenniser les emplois des travailleurs de l’ONATRA. En effet, la MCTC s’est engagée à recruter en priorité les travailleurs de l’ONATRA, ce qui est en train de se concrétiser.

Le Quotidien




Coupe d’Afrique des Nations 2025 : La Tunisie reçue 2 sur 2

La Tunisie enchaîne avec une deuxième rencontre et une deuxième victoire dans le cadre de la qualification pour la Coupe d’Afrique des Nations CAF TotalEnergies, Maroc 2025. Les Aigles de Carthage ont battu les Gambiens 2-1 dans un match très disputé.

Cette victoire permet aux Tunisiens de consolider leur position en tête du Groupe A, après avoir remporté un match serré 1-0 contre Madagascar jeudi dernier. Les vainqueurs de l’édition 2004 de la CAN ont pris l’avantage dès la 11e minute grâce à un but d’Ali Al-Abdi, surprenant ainsi les Scorpions.

Pourtant, cette ouverture du score rapide n’a pas dissuadé les Gambiens puisque quelques minutes plus tard, Ali Sowe a égalisé pour la Gambie, ramenant le score à 1-1 avant la pause. À la mi-temps, les deux équipes ont eu des occasions équivalentes de prendre l’avantage, mais aucune n’a réussi à marquer. Ce n’est qu’à la 75e minute que Mohamed Ali Ben Romdhane a inscrit le but décisif, permettant aux Tunisiens de repartir avec les trois points et d’accroître leur avance en tête du groupe.

La deuxième journée des qualifications se poursuivra tout au long de la semaine, avec plusieurs matchs programmés ce lundi 9 septembre.

Lundi 9 septembre I Coupe d’Afrique des Nations CAF TotalEnergies, Maroc 2025

– 13h00 GMT | Burundi vs Sénégal

– 15h00 GMT | Niger vs Ghana

– 15h00 GMT | Guinée équatoriale vs Togo

– 16h00 GMT | Madagascar vs Comores

– 16h00 GMT | Ouganda vs Congo

– 18h00 GMT | Lesotho vs Maroc

– 19h00 GMT | Angola vs Soudan

– 19h00 GMT | Éthiop

ie vs RD Congo




60 tonnes de sel donnés à la population du Kwango : Le Prof Théophile Mbemba s’interroge 

Au sujet de 60 tonnes de sel, don de la Présidence de la République à la population Kwangolaise, le Professeur Théophile Mbemba Fundu veut savoir pourquoi le gouvernement n’a pas trouvé mieux à faire pour les Kwangolais où le taux de malnutrition aiguë est élevée ? Du sel iodé pour soigner le goitre?

En tant que Professeur d’universités et spécialiste en biochimie alimentaire, Il rappelle qu’à l’âge adulte, la consommation de sel est déconseillée car sa teneur au dessus de la norme provoque l’hypertension !

Pour lui, l’affection de ces fonds à la promotion de l’agriculture familiale notamment par le soutien en semences et en matériel agricole, l’ouverture des routes de desserte agricole, le soutien aux organisations qui sont dans le domaine de l’élevage et de la pisciculture… seraient plus utile à la population du Kwango qui doit désormais penser à recouvrer sa liberté , s’émanciper du tribalisme aveugle et être capable de revendiquer ses droits.




Trop de manipulations abjectes autour de l’Accord de Goma

Félix Tshisekedi aurait mieux fait d’approcher les acteurs impliqués dans les négociations ayant abouti à cet accord au lieu de se fier à des opportunistes qui squattent les médias (sécurocrates, diplomates, professeurs, membres des mouvements associatifs, etc.)

13 pages PDF, 16 articles. Le dernier est libellé « Le présent accord entre en vigueur à la date de sa signature ». Mention suivante : « Fait à Kinshasa, le 23 mars 2009 ». Les signataires sont Raymond Tshibanda, ministre de la Coopération Internationale et Régionale (pour le compte du Gouvernement) et Dr Désiré Kamanzi, président (pour le compte du Cndp). Les deux témoins extérieurs sont le tanzanien Benjamin William Mkapa, Co-facilitateur pour l’UA et la CIRGL et le nigérian Olusengun Obasanjo, Co-Facilitateur, Envoyé Spécial du Secrétaire Général de l’ONU pour les Grands Lacs. Chacune des 16 pages porte leurs paraphes…aiennent que la contribution du CNDP sur les sujets ci-dessus est à verser à la partie gouvernementale_».

5.5. _«En attendant la mise en place de la police de proximité, et afin d’assurer la sécurité des réfugiés et personnes déplacées rentrant dans leurs milieux, les parties conviennent de la mise en place, par le Gouvernement, d’une unité de police spéciale issue du processus d’intégration des éléments de la police du CNDP au sein de la Police Nationale Congolaise. Cette unité sera formée et équipée conformément aux exigences de maintien de l’ordre au niveau local_».

Administration du territoire

Article 8.1. _«Les parties conviennent que le rapprochement de l’administration des administrés est une exigence de bonne gouvernance_».

Article 8.2. _«Se fondant sur la nécessité d’une meilleure prise en compte possible des réalités sociologiques du pays, le CNDP a proposé un modèle de découpage du territoire national_».

Article 8.3. _«Il a été convenu *d’enregistrer la contribution du CNDP sur ce sujet comme un élément de réflexion* pour l’amélioration constante de l’efficacité de l’Administration du Territoire_».

Administration publique

Article 9.1. _«Les parties s’accordent sur le fait que l’administration devrait répondre aux besoins de proximité que ressentent souvent les populations locales_».

Article 9.2. _«Dans ce cadre, le CNDP a proposé que l’Administration publique soit prise en charge par des Agences Nationales techniquement et financièrement autonomes, quoique sous tutelle des Ministères_».

Article 9.3. _«Il a été convenu de verser cette contribution du CNDP à la partie gouvernementale pour enrichir les réflexions liées à la réforme de l’Administration publique en République Démocratique du Congo_».

Réforme de l’armée et des services de sécurité

Article 10.1. _«Les deux parties ont convenu qu’une réforme profonde de l’Armée et des Services de sécurité de la RDC constitue une priorité_».

Article 10.2. _«Le CNDP a proposé des orientations stratégiques pour une telle réforme_».

Article 10.3. _«Le Gouvernement, qui est conscient de cette nécessité et y travaille déjà, s’engage à inscrire la réforme de l’Armée et des Services en première ligne des activités à réaliser dans les meilleurs délais_».

Mode de scrutin (ou élection)

Article 11.1. _«Les parties conviennent de la nécessité d’une évaluation urgente, suivie d’une révision si nécessaire de la loi électorale, afin de permettre une représentativité la plus large possible, sans pour autant nuire à l’efficacité des institutions à tous les niveaux, et de renforcer les sanctions à l’endroit de ceux qui, pendant la campagne électorale, tiennent des discours sectaires et haineux_».

Article 11.2. _«Une proposition en ce sens est *versée par le CNDP à la partie gouvernementale* pour transmission à la Commission électorale nationale indépendante_».

Rien ne pouvait a l’époque justifier la création du M23

Observation à faire d’emblée : aux articles 14 et 15, les parties ont prévu la mise en place d’un Comité national et d’un Comité international de suivi pour une durée respective est de trois mois avec possibilité de renouvellement. Du premier, il est indiqué qu’il s’agit d’un Comité national paritaire Gouvernement-Cndp à instituer par un texte réglementaire. Il est chargé _«de veiller à la mise en oeuvre de cet Accord_». Du second, il est spécifié que ce Comité _«effectuera des évaluations périodiques afin de mesurer les progrès réalisés dans la mise en oeuvre de l’Accord_”. Et ajoute, tenez bien :_«Il pourra également assister le Gouvernement dans la mobilisation de l’appui régional et international à la mise en œuvre dudit Accord_».

Déjà, avec particulièrement l’article 15, rien ne pouvait à l’époque justifier la création du M23, à moins pour les dissidents du CNDP, déçus du non-respect par la partie Gouvernement des engagements pris, de n’avoir trouvé écho favorable auprès du Comité international de suivi. Il va bien falloir pour la vérité de l’Histoire que les dissidents apportent les preuves d’avoir saisi le Comité international du blocage observé dans le chef du Gouvernement avant de lancer la guerre le 4 avril 2012.

 

Pas a l’avantage du régime Udps/Usn

Car la vérité qui apparaît clairement dans l’analyse de l’Accord de Goma du 23 mars 2009 est que le principal engagement pris par le Gouvernement a consisté _«à verser les propositions du CNDP dans les réformes en cours_». Preuve, si besoin est, que l’Exécutif national n’avait pas dérogé aux principes de souveraineté nationale, d’intégrité territoriale et d’inviolabilité des frontières nationales, conformément au tracé en vigueur au 30 juin 1960 soulignés dans le PREAMBULE.

Passe encore qu’il y ait eu la guerre de 2013 qui, déjà, ne se justifiait pas. Mais de là à attribuer au Gouvernement de l’époque la responsabilité de la crise sécuritaire suscitée par le M23 en 2022 est un non-sens. C’est comme si, en réalité, on visait à dédouaner ce mouvement et à excuser le Rwanda de leurs aventures répétées en RDC !

Normalement, à son avènement au Pouvoir en janvier 2019, Félix Tshisekedi devait commencer par identifier et rassurer les personnes ressources auxquelles il devait se référer pour la résolution de la crise de l’Est vieille quand même, pour mémoire, des années 1960 et non 1990/2000. L’aurait-il fait ? Probablement non !

Des esprits mauvais situent cette crise à l’avènement de l’Afdl en 1996 pendant que les menaces de balkanisation du pays remontent à l’indépendance.

Pour rappel, la sécession avait commencé au Katanga en 1960. La rébellion lumumbiste en Province Orientale en 1961.

Les aventures de Jean Schramme se déroulaient au Kivu autour de 1967. Les deux guerres du Shaba I et II en 1977-1978. Il se raconte que le découpage en trois nouvelles provinces est lié aux troubles du Kivu en 1986.

D’ailleurs, les revendications territoriales qui sous-tendent les guerres de l’Est ont une histoire qui remontent à l’époque précoloniale, laisse-t-on entendre. C’est-à-dire à avant Berlin 1885.

Preuve que l’Est reste le tendon d’Achille de l’unité nationale.

Comment expliquer, dans ce cas, le fait d’avoir, d’un côté, la volonté d’en finir avec ce cycle infernal et, de l’autre, la capacité de banaliser, sinon d’ignorer les évidences à la base de différents accords provinciaux, nationaux, sous-régionaux, régionaux, continentaux et internationaux conclus jusque-là, tout en faisant de l’Accord de Goma une fixation.

L’ennui, dans la communication politique telle que organisée aujourd’hui, est de voir l’espace médiatique envahi par intervieweurs et interviewés (journalistes et invités) sans aucun background. Tous ignorent que leurs prestations – suivies de près par des partenaires notamment étrangers – sont de nature à convaincre ces derniers que la RDC fait exprès de ne pas se rendre gouvernable.

Dommage en plus que ceux qui maîtrisent les dossiers ne se pressent pas de rétablir les faits de la vérité, peut être à leur corps défendant parce que se sentant traqués.

Retenons seulement pour l’heure que trop de manipulations abjectes autour de l’Accord de Goma n’est pas à l’avantage du régime Udps/Usn.

Au contraire…

Omer Nsongo die Lema




La voie à suivre par la Chine et l’Inde pour rejoindre le club des riches (Indermit Gill)

« S’enrichir, c’est glorieux », telle est la maxime qui a inspiré l’une des stratégies de développement les plus réussies des cinquante dernières années. Cette aspiration est largement partagée par les pays en développement, et pour cause. Quand un pays s’enrichit, les résultats peuvent être remarquables. Le niveau de vie s’améliore. La pauvreté recule. La pollution diminue à mesure que les produits et les méthodes de production se modernisent.

C’est pourquoi un nombre croissant de pays en développement se fixent des échéances pour devenir des économies développées : 2035 pour la Chine, 2045 pour le Vietnam, 2047 pour l’Inde. Néanmoins, sauf miracle, leurs chances de succès sont minces en raison d’un mal spécifique qui frappe les pays à mesure qu’ils se hissent sur l’échelle des revenus. Dans les décennies à venir, le sort du monde dépendra de la guérison ou non de ce mal.

Dans leur course à la richesse, peu de pays se rapprochent des sommets. Dans les économies en développement, la croissance économique a tendance à stagner tant qu’elles sont dans la tranche de revenu intermédiaire. C’est ce que la Banque mondiale appelle le « piège du revenu intermédiaire ». Cette thèse a été contestée durant ces dix dernières années, pourtant, les données les plus récentes sont irréfutables : depuis 1970, le revenu moyen par habitant des pays à revenu intermédiaire n’a jamais dépassé 10 % de celui des États-Unis.

Depuis 1990, seuls 34 de ces pays ont réussi à se hisser au rang d’économies à revenu élevé, et plus d’un tiers d’entre eux ont bénéficié soit de leur intégration dans l’Union européenne, soit de l’exploitation de nouveaux gisements de pétrole. Leur nombre cumulé d’habitants est inférieur à 250 millions, soit à peu près la population du Pakistan.

Aujourd’hui, les pays à revenu intermédiaire (dont le revenu national brut par habitant se situe entre 1 150 et 14 000 dollars, selon la définition de la Banque mondiale) abritent environ 6 milliards d’êtres humains, ainsi que près des deux tiers des personnes qui vivent dans l’extrême pauvreté. Ils génèrent environ 40 % de la production économique mondiale et près de deux tiers des émissions de carbone. En résumé, la bataille mondiale pour mettre fin à l’extrême pauvreté et favoriser la prospérité sur une planète vivable sera en grande partie gagnée ou perdue dans ces pays.

Les pays à revenu intermédiaire sont aujourd’hui en butte à de bien plus grandes difficultés que leurs prédécesseurs, notamment des populations vieillissantes, des tensions géopolitiques et commerciales et la nécessité de stimuler la croissance sans dégrader l’environnement. Pourtant, la plupart d’entre eux s’accrochent toujours à des méthodes datant du siècle dernier, à savoir des politiques largement axées sur l’investissement. C’est comme conduire une voiture en restant en première : il faudra un temps fou pour arriver à destination. Quelques-uns cependant tentent de s’engouffrer dans la recherche d’innovations. Mais dans ce cas, c’est comme passer directement de la première à la cinquième vitesse : le moteur cale.

Il y a une meilleure façon de faire et la Banque mondiale propose pour cela un plan séquencé en trois volets.

En effet, si les pays à revenu faible ont intérêt à se concentrer principalement sur l’accroissement des investissements, une fois arrivés au statut d’économie à revenu intermédiaire de la tranche inférieure, ils doivent adopter une stratégie plus sophistiquée. L’investissement doit être complété par « l’infusion » volontariste de technologies provenant de l’étranger. Cela signifie qu’il faut acquérir des technologies et des modèles commerciaux modernes et les diffuser dans l’ensemble de l’économie pour permettre aux entreprises nationales de devenir des fournisseurs mondiaux de biens et de services.

L’infusion nécessite un vivier de talents toujours plus grand : plus d’ingénieurs, de scientifiques, de gestionnaires et d’autres professionnels hautement qualifiés. Pour élargir ce vivier, il faut donc renforcer les compétences de l’ensemble de la main-d’œuvre. À cet égard, l’un des handicaps des économies à revenu intermédiaire est leur propension à mettre les femmes de côté, en limitant leurs perspectives éducatives et économiques. Mais s’ils mettent fin à ces pratiques, ils peuvent en être plus que largement récompensés. Ainsi, aux États-Unis, plus d’un tiers de la croissance survenue entre 1960 et 2010 peut être attribué au recul de la discrimination raciale et vis-à-vis des femmes dans l’éducation et la main-d’œuvre. Sans ces changements, le revenu par personne aux États-Unis plafonnerait à 50 000 dollars, alors qu’il atteint aujourd’hui 80 000 dollars.

Une fois qu’un pays maîtrise à la fois l’investissement et l’infusion, il est prêt pour le dernier coup d’accélérateur : l’innovation mondiale. La Corée du Sud s’est distinguée aux trois stades de cette stratégie. En 1960, son revenu par habitant n’était que de 1 200 dollars. Fin 2023, il avait bondi à 33 000 dollars. Aucun autre pays n’a réussi une telle performance.

La Corée du Sud a commencé par un ensemble de mesures simples visant à augmenter l’investissement public et à stimuler l’investissement privé. Dans les années 1970, cette approche a été transformée en politique industrielle encourageant les entreprises sud-coréennes à adopter des technologies étrangères et des méthodes de production plus avancées. Samsung, à l’époque une entreprise locale qui vendait du poisson séché et des nouilles, a commencé à fabriquer des téléviseurs à partir de technologies sous licence de sociétés japonaises.

Le succès de Samsung a dopé la demande d’ingénieurs, de gestionnaires et d’autres professionnels qualifiés. Le gouvernement sud-coréen a fait sa part pour aider l’économie à répondre à cette demande. Ainsi, le ministère de l’Éducation a fixé des objectifs et augmenté le financement des universités publiques afin qu’elles contribuent au développement des nouvelles compétences recherchées par les entreprises nationales. Les résultats sont impressionnants. Aujourd’hui, Samsung est un moteur de l’innovation, l’un des deux plus grands fabricants de smartphones au monde et le premier producteur de puces électroniques.

Afin d’opérer les transitions nécessaires pour accéder au statut d’économie à revenu élevé, les gouvernements des pays à revenu intermédiaire doivent adopter des politiques de concurrence qui créent un équilibre salutaire entre les grandes entreprises, les entreprises de taille moyenne et les start-up. Les bénéfices seront plus importants quand les décideurs se focaliseront davantage sur la valeur ajoutée des entreprises que sur leur taille, et quand ils encourageront la mobilité ascendante de tous leurs concitoyens plutôt que de lancer des opérations à somme nulle pour réduire les inégalités de revenus.

Ils devraient également saisir les occasions découlant de la nécessité de combattre le changement climatique en produisant et en exportant des véhicules électriques, des éoliennes, des panneaux solaires, etc. Il ne faut pas s’attendre à ce que les pays à revenu intermédiaire renoncent tout de suite à tous les combustibles fossiles pour accélérer leur croissance économique. Cependant, on peut s’attendre à ce qu’ils deviennent plus économes en énergie et à ce qu’ils réduisent leurs émissions.

S’ils s’en tiennent à l’ancienne méthode, la plupart des pays en développement ne réaliseront pas leur objectif de se hisser au statut d’économie à revenu élevé d’ici le milieu de ce siècle. Sur la base des tendances actuelles, il faudra encore 11 ans à la Chine pour atteindre seulement un quart du revenu par habitant des États-Unis. Et il faudra 69 ans à l’Indonésie et 75 ans à l’Inde. En adoptant la stratégie des « 3i » (d’abord l’investissement, ensuite l’infusion, puis l’innovation), ces pays peuvent multiplier leurs chances d’y parvenir. Le reste du monde y gagnerait aussi, car les politiques qui récompensent le mérite et l’efficacité favorisent une croissance plus rapide, plus saine et plus propre.

Cet article a été initialement publié dans The Economist.




Coupe d’Afrique des Nations 2025 : Le Ghana et le Sénégal visent la rédemption

La deuxième journée de qualification pour la Coupe d’Afrique des Nations CAF TotalEnergies, Maroc 2025 commencera dimanche, avec des matchs passionnants à travers le continent.

Les 24 matchs programmés permettront aux équipes nationales de lutter pour une place dans les deux premiers de leur groupe, condition essentielle pour accéder au prestigieux tournoi de football d’Afrique.

La quête vers le Maroc 2025 continue après une journée initiale très animée, où coexistent surprises et résultats attendus. Les favoris, notamment le Nigeria, le Cameroun et la Côte d’Ivoire, tentent de renforcer leur position, tandis que des équipes solides comme le Ghana et le Sénégal cherchent à faire amende honorable suite à des débuts plus compliqués.

Le Sénégal doit rebondir contre le Burundi

Le Sénégal, vainqueur de l’édition 2021, se retrouve dans une situation imprévue après avoir enregistré un match nul 1-1 sur son terrain contre le Burkina Faso. En quête de revanche, les Lions de la Teranga s’apprêtent à défier le Burundi, vainqueur du Malawi 3-2, avec la tête du Groupe L en jeu. Aliou Cissé, le coach sénégalais, s’appuiera sur des joueurs emblématiques tels que Sadio Mané pour diriger l’attaque dans ce match crucial pour les Ouestafricains. “Nous savons combien ce match est important” a affirmé Cissé. Le Burundi, en tête du classement, se profile comme un concurrent redoutable, ayant démontré son potentiel à travers sa récente victoire.

Le Ghana, encore sous le choc de sa défaite 1-0 face à l’Angola, doit impérativement s’imposer contre le Niger. L’entraîneur des Black Stars, Otto Addo, fait face à une pression considérable pour obtenir un résultat favorable et relancer la qualification du Ghana.

Le Nigeria face au Rwanda dans un match clé du groupe D

Grâce à leur large succès de 3-0 face au Bénin, le Nigeria aborde son déplacement au Rwanda avec confiance. L’attaque des Super Eagles, guidée par Victor Osimhen et Ademola Lookman, visera à maintenir son niveau offensif. Néanmoins, le Rwanda, après un match nul compliqué contre la Libye, s’annonce comme un adversaire redoutable à domicile. Par ailleurs, le Maroc, déjà qualifié en tant qu’hôte mais participant aux qualifications, va affronter le Lesotho. L’entraîneur Walid Regragui reste prudent et affirme : « Chaque match représente une chance de progresser et de préserver notre compétitivité. Nous avons du respect pour le Lesotho et nous préparerons le match avec une attention maximale. »

Le Cameroun vise une autre victoire contre le Zimbabwe

Un des matchs les plus captivants mettra en scène le Zimbabwe face au Cameroun dans une rencontre cruciale du groupe F, dont les résultats pourraient avoir de sérieuses répercussions sur la qualification. Michael Nees, le nouvel entraîneur du Zimbabwe, a exprimé sa satisfaction suite à l match nul sans but de son équipe contre le Kenya lors de leur première rencontre, soulignant la performance exceptionnelle de Khama Billiat, qui a décidé de revenir sur la scène internationale pour cette campagne. « Khama a été exceptionnel pour nous », a déclaré Nees. « Son expérience et sa qualité seront déterminantes contre une forte équipe camerounaise. » Les Lions Indomptables, ayant enregistré une victoire étroite de 1-0 contre la Namibie, chercheront à conforter leur statut d’équipe dominante dans le groupe.

Le Botswana se prépare pour l’Égypte

Au sein du groupe C, le Botswana se trouve confronté à un défi difficile face à l’Égypte après avoir subi une défaite lors de son premier match contre la Mauritanie. Didier Gomes Da Rosa, l’entraîneur du Botswana, reste plein d’espoir malgré le statut d’outsider de son équipe. « Nous sommes le petit poussin qui souhaite évoluer », a-t-il déclaré. « Contre l’Égypte, il est essentiel que nous montrions des avancées dans la dernière partie du terrain et que nous maintenions notre cadence. » Parallèlement, la Côte d’Ivoire, tenante du titre, cherche à solidifier sa victoire initiale contre la Zambie en jouant contre le Tchad. Les Éléphants sont déterminés à prendre les rênes de leur groupe et à poursuivre sur leur lancée.

À mesure que les qualifications s’intensifient, la confrontation entre les puissances établies et les équipes outsiders promet des matchs captivants. Seules les deux meilleures équipes de chaque groupe (à l’exception de celui du Maroc) iront en phases finales, rendant chaque point essentiel dans la lutte pour se qualifier pour la CAN 2025.




Poursuivant ses vacances parlementaires: Sama Lukonde accueilli triomphalement à Kasenga

Le président du Sénat, Jean-Michel Sama Lukonde, est arrivé à Kasenga, dans la province du Haut-Katanga, ce dimanche 8 septembre, dans le cadre de ses vacances parlementaires.

Après Lubumbashi, chef-lieu du Haut-Katanga, où il a communié, le vendredi 6 septembre, avec sa base et échangé avec toute la notabilité Katangaise, l’honorable président de la Chambre Haute du Parlement a reçu un accueil chaleureux. Toute la population de Kasenga est venue lui témoigner son soutien, car c’est dans ce fiel de Kasenga qu’il est élu député national aux législatives de décembre 2023.

Prenant la parole au meeting organisé ce même dimanche à Kasenga, il a remercié sa base pour le choix porté sur sa personne pour faire de lui député national ainsi que leur soutien durant sa quête au perchoir du Sénat. Il a également remercié le président de la République Félix-Antoine Tshisekedi, garant du bon fonctionnement de toutes les institutions de la République, avant d’inviter toutes ces populations à soutenir la vision du Chef de l’État dans la consolidation des acquis du premier quinquennat.

Il a appelé à la cohésion et l’unité nationale.

Juste après ce meeting, le speaker de la Chambre haute est allé visiter l’état d’avancement du projet kasomeno. Kasenga Tshialwe qui comprend pont et route entre la RDC et la Zambie.

Comme à Lubumbashi où il a consulté toutes les couches sociales du Grand Katanga, dont les députés provinciaux et les chefs coutumiers, Jean-Michel Sama Lukonde va également recueillir les préoccupations des populations de Kasenga quant à leurs conditions sociales et leurs attentes par rapport au Sénat.




Diplomatie des partis politiques: UDS invitée au premier congrès mondial antifasciste à Caracas

La ville de Caracas, capitale de la République Bolivarienne du Venezuela, abritera, du 11 au 12 Septembre 2024 prochain, le Premier Congrès Mondial contre le fascisme, le néofascisme et les activités similaires.

Dans ce cadre, le Parti Socialiste Uni du Venezuela, PSUV, a invité les partis, les mouvements sociaux, les personnalités, les influenceurs, les universitaires et les intellectuels afin d’échanger des visions et des stratégies en vue d’élaborer un agenda mondial de lutte contre ces manifestations qui menacent l’existence de l’être humain sur terre.

Parmi les partis politiques antifascistes invités figure l’Union des Démocrates Socialistes, UDS, de la République Démocratique du Congo, UDS, du Président National Crispin Kabasele Tshimanga Babanya Kabudi. Donc, l’UDS sera représentée, cette fois-ci, par une femme en la personne de Madame Charlotte Buimpe Diombelayi, Deuxième Vice-Présidente Nationale de l’UDS et, également, Présidente de la Ligue des Femmes de l’Union des Démocrates Socialistes, LIFUDS. Elle a quitté Kinshasa ce dimanche 08 Septembre 2024 pour Caracas. On parle aussi de la participation de quelques compatriotes congolais qui ont fait le déplacement de la capitale vénézuélienne.

Faut-il rappeler que le 20me siècle a été témoin des manifestations politiques, sociales ou idéologiques dont la nature nie l’être humain et favorise son extinction. De tels exemples peuvent être trouvés dans l’Italie de Mussolini, l’Allemagne d’Hitler ou l’Espagne de Franco. Comme on le voit, le fascisme a toujours représenté une menace directe pour les valeurs les plus authentiques de l’être humain, s’est propagé comme un fléau à travers l’Europe dans la première moitié du XXe siècle et a conduit le monde au génocide de millions d’êtres humains. Malgré la défaite militaire du fascisme en 1945, ses idées et ses pratiques n’ont pas disparu. Elles sont en train de refaire surface sous des formes nouvelles et adaptés au contexte du XXIe siècle.

Dans un monde où la débâcle de l’impérialisme étasunien et européen devient de plus en plus imminente, l’humanité est, une fois de plus, menacée par la montée de mouvements néofascistes qui, sous de nouveaux habits, continuent de promouvoir la haine, l’intolérance et la violence. Ce mouvement, dirigé aujourd’hui par une nouvelle aristocratie financière et technologique, utilise des outils sophistiqués de manipulation numérique et économique pour saper la démocratie, polariser les sociétés, violer la souveraineté des nations et imposer un ordre mondial qui perpétue ses intérêts de classe.

Ainsi, le Venezuela se pose comme un bastion de la résistance contre ces idéologies extrémistes, surtout à l’heure où il fait face à une nouvelle tentative de coup d’État de la part de ces expressions fascistes, qui cherchent, par la violence, ignorer la volonté populaire qui a décidé le 28 juillet de réélire le Président Nicolás Maduro Moros.

Message de soutien du président Kabasele Tshimanga

A la veille de l’ouverture de ce grand rassemblement mondial des antifascistes de la planète, le Président National de l’UDS, monsieur crispin Kabasele Tshimanga Babanya Kabudi, a adressé un message de soutien aux autorités vénézuéliennes. Il l’a ainsi libellé : « Je tiens à saluer, ce dimanche matin 08 Septembre 2024, l’initiative du Camarade Président Nicolas Maduro Moros, de rassembler, à Caracas, toutes les forces mondiales anti-impérialistes et antifascistes dans le cadre du Premier Congrès Mondial contre le fascisme et le néofascisme.

« Je salue l’invitation lancée à l’Union des Démocrates Socialistes, UDS, notre Parti politique très impliqué dans la lutte anti-impérialiste et antifasciste dans notre pays, de participer à cette grand-messe mondiale.

« Personnellement, je n’y serai pas. Mais, l’UDS sera dignement représentée par notre Deuxième Vice-Présidente Nationale et Présidente Nationale de la Ligue des Femmes de l’UDS, LIFUDS, la Camarade Charlotte Buimpe Diombelayi, une Combattante de la grande cause qui est la nôtre.

« À la veille de cette grande manifestation révolutionnaire qui s’ouvre le mercredi 11 Septembre 2024 à Carcas-la-Révolutionnaire, mes pensées vont tout droit au Commandant Immortel Hugo CHAVEZ, le Fondateur du Socialisme du 21me siècle, au Président Nicolas Maduro Moros, son Digne Successeur, et au Camarade Ranger PENA, Vice-Président des Affaires Internationales du Parti Socialiste Uni du Venezuela, PSUV. Qu’ils trouvent ici l’expression de notre indéfectible attachement à notre lutte.

« Je reste convaincu que la flamme antifasciste qui sera rallumée à Caracas, nous aidera à sceller à jamais notre pacte et à recharger nos batteries pour la lutte finale.

« Franc succès au Premier Congrès Mondial contre le fascisme et le néofascisme de Caracas 2024.

« Vive le socialisme! »

Jean Kabeya Mudiela Ndungu/Cp