Salubrité médiatique congolais: Christian Bosembe propose des pistes de solution au président Tshisekedi

Le Chef de l’État congolais a échangé ce mercredi 11 septembre à la Cité de l’Union africaine, avec Christian Bosembe, Président du Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication (CSAC). Les échanges ont tourné autour de la nécessité de la salubrité médiatique en République démocratique du Congo.

Selon Bosembe, la popularisation des réseaux sociaux participe de manière inquiétante à la dépravation des mœurs et à l’acculturation des Congolais.

Devant cette situation, le Président du CSAC a présenté au Chef de l’État Félix Tshisekedi, un plan de régulation des médias traditionnels et sociaux. Christian Bosembe a saisi cette occasion, pour exposer au Président de la République, quelques pistes de solution pour rendre salubre l’environnement médiatique congolais.

 

Mboshi




Christian Bosembe présente à Félix Tshisekedi le plan de régulation des médias traditionnels et sociaux 

Le Chef de l’État a échangé, ce mercredi, 11 Septembre 2024, à la Cité de l’Union africaine, avec Christian Bosembe, Président du Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication (CSAC), sur la nécessité de la salubrité médiatique en République démocratique du Congo (RDC).

Selon M. Bosembe, « la popularisation des réseaux sociaux participe de manière inquiétante à la dépravation des mœurs et à l’acculturation des Congolais. »

Devant cette situation, le Président du CSAC a présenté au Chef de l’État Félix Tshisekedi un plan de régulation des médias traditionnels et sociaux. Christian Bosembe a exposé au Président de la République quelques pistes de solution pour rendre salubre l’environnement médiatique congolais.




Patrick Muyaya : « Chaque Congolais a un rôle à jouer dans l’image de marque du pays » 

Intervenant ce mercredi dans le panel sur la promotion de l’image de marque de la République Démocratique du Congo, Patrick Muyaya, ministre de la Communication et médias, porte-parole du Gouvernement pense que chaque Congolais a un rôle à jouer dans l’image de marque du pays. Et cette image, il ne faut pas la concevoir au sens de comment la RDC est vue de l’extérieur, mais au sens de comment les Congolais perçoivent l’image de leur pays et comment ils participent à sa diffusion.

Le ministre de la Communication et Médias, Patrick Muyaya Katembwe, a pris part, ce mercredi 11 septembre 2014, au Forum de validation de la Politique Nationale du Tourisme à Béatrice Hôtel de Kinshasa.

Lancé le mardi 10 septembre dernier par son collègue du Tourisme Didier M’Pambia, ce Forum est axé sur le thème : « Vers une réforme du secteur touristique ». En ce deuxième jour, le ministre Muyaya a été parmi les intervenants au panel sur la promotion de l’image de marque de la République Démocratique du Congo aux côtés de ses collègues de la Culture, Arts et Patrimoine; des Postes, Télécommunications et Numérique ainsi que de l’Industrie, Petites et Moyennes entreprises.

« L’image de marque du pays commence par notre propre perception avant celle des autres. Par tourisme, il ne faut pas voir seulement les étrangers qui viennent visiter notre pays, mais nous-mêmes aussi les nationaux, car notre paa!ys a une dimension continentale », a d’entrée de jeu expliqué le porte-parole du gouvernement pour éclairer les zones d’ombres des participants sur la politique de communication du gouvernement sur le tourisme de la RDC.

 

Et de poursuivre : « Chaque Congolais a un rôle à jouer dans l’image de marque du pays. Et cette image, il ne faut pas la concevoir au sens de comment la RDC est vue de l’extérieur, mais au sens de comment les Congolais perçoivent l’image de leur pays et comment ils participent à sa diffusion. Ces assises nous ont donnés l’occasion d’échanger des réflexions et des idées avec les acteurs venus des provinces et ceux qui travaillent dans le tourisme afin d’élaborer une “bible” qui nous permettra de bien répondre au défi de l’image de marque de notre pays. Nous avons été heureux de pouvoir y contribuer ».

La Nation Building et la Nation Branding

Le ministre de la Communication et Médias a insisté sur les deux axes autour desquels travaille le gouvernement congolais à savoir: la Nation Building et la Nation Branding. « Par la Nation Building, nous voulons contribuer à la construction de la nation où le Congolais regardera avec fierté son pays. Nous avons notre propre part de responsabilité pour y arriver », a insisté le porte-parole du gouvernement de la RDC, avant d’expliciter la Nation Branding.

« Ici, nous nous posons la question : comment on veut présenter le pays à l’extérieur ? Quelle est l’image que nous présentons du pays à l’extérieur ? ».

« À l’extérieur, la RDC est présentée sous le prisme de la guerre. Je ne veux pas minimiser cette guerre, mais interrogez-vous sur combien représentent les coins où il y a la guerre. Le changement de narratif m’a été inspiré par la province du Nord-Kivu qui est présentée comme le coin de la guerre alors qu’il y a de bonnes choses. Nous sommes dans l’étape de l’appropriation du narratif du tourisme du pays. Nous devons parler fort en s’appuyant sur nos points forts du tourisme », a-t-il détaillé.

Chaque province a des atouts touristiques qu’il faut mettre en valeur, a martelé le ministre Patrick Muyaya. Il a, dans la foulée, mis en exergue l’objectif de ce Forum qui est de fédérer les énergies de différentes parties prenantes de la chaîne des valeurs du tourisme en vue de réfléchir et de mettre en place les mécanismes d’enrichissement et de validation de la Politique Nationale du Tourisme tel que prévu par la loi.

Cinq thématiques sont à l’ordre du jour des discussions dans le cadre de ce Forum. La première porte sur les infrastructures, l’aménagement du territoire et les problématiques foncières, alors que la seconde est axée sur la formation et la professionnalisation. L’accès au territoire et la sécurité des touristes ainsi que le financement et la création des richesses figurent également parmi les matières à réflexion. Il y a enfin la thématique sur la promotion de l’image de marque.

Comme son collègue des Postes, Télécommunications et Numérique, Augustin Kibassa, le ministre Patrick Muyaya a invité les médias et les citoyens congolais présents sur les réseaux sociaux à contribuer positivement à la promotion de la bonne image de la République Démocratique du Congo, surtout de la destination touristique.

« C’est aussi cela la responsabilité des médias, parce qu’il faut prévoir des modules sur la manière d’éduquer à travers les réseaux sociaux. Nous avons tous tendance à partager autant ce qui est mauvais que ce qui est constructif », a dit le ministre Patrick Muyaya.

« C’est pour cela qu’au séminaire, dans nos échanges, nous avons voulu non pas responsabiliser les Congolais, mais leur rappeler que ce pays leur appartient et qu’ils sont censés être les premiers à le protéger et à vouloir son bien. Il est donc de notre devoir à tous d’utiliser les réseaux sociaux pour diffuser des messages positifs », a-t-il renchéri.




Athlétisme: Du 03 au 14 septembre 2024, Des entraineurs congolais suivent une formation Niveau 1 à l’initiative de la Feaco

La Fédération d’Athlétisme du Congo ‘’FEACO’’ organise la formation des entraineurs niveau 1 depuis le 3 septembre et ce jusqu’au 14 septembre 2024.

Marie Ekula (RDC) et Roger Mbaya (Congo/Brazzaville) sont les deux animateurs de cette formation. Ils sont plus ou moins une vingtaine des stagiaires à suivre cette formation. La formation théorique se passe dans la Salle des conférences de l’hôtel Papa Sola tandis que la partie pratique se passe au stade des martyrs.

Antoine Bolia




Athlétisme: Tshihinga Mafo annonce la rentrée de la saison sportive 2024-2025 chez Paradiso Performance Programme

Bientôt, c’est la rentrée de la saison sportive 2024-2025 chez Paradiso Performance Programme, c’est ce que Tshihinga Mafo Hugues, Directeur Technique National de la Fédération d’Athlétisme du Congo ‘’FEACO’’ et responsable de Paradiso Performance Programme annonce aux amoureux de l’athlétisme.

Paradiso Performance Programme est un programme de formation, d’éducation et d’orientation des athlètes élites et sport d’âge.

Antoine Bolia




Taekwon-Do ITF : Me Augustin Dinganga (SG de la FETAECO/ITF) fixe l’opinion sur le programme d’activités du mois de septembre

Me Augustin Dinganga, Secrétaire Général de la Fédération de Taekwon-do du Congo I.T.F ‘’FETAECO/ITF’’ que préside Me Willy Makengo, a saisi notre journal pour nous transmettre le programme des activités du taekwon Do ITF pour le mois de septembre 2024.

Ce programme se présente comme suit :

-Du 21 au 22 septembre 2024 :

-Open des TULS (ou compétition technique) pour la Ville province de Kinshasa

-Championnat des Ententes Est et Ouest

-Championnat de la Ligue de Kinshasa.

Sur le plan international, les Léopards Taekwon-do I.T.F sont attendus le 26 septembre 2024 en Belgique pour les événements suivants :

-Stage Master Class avec le Secrétaire Général de l’ Administration de Londres The Grand Master Trevor Nichols, CN 9ème Dan

-Récupération des éliminatoires du championnat du monde Espagne 2025 (raté en date du 22 mai 2025)

-Préparation des Léopards I.T.F avec les Diables Rouges I.T.F de la Belgique.

Ce qui fait très mal, nous rapporte le SG Augustin Dinganga, jusqu’à cette date du 11 septembre 2024, la FETAECO/ITF est dans l’attente de l’ordre de mission.

Antoine Bolia




Basket-ball: Le rapport présenté par le bureau exécutif de la Fébaco adopté par l’AGO

La Fédération de Basket-ball du Congo ‘’Fébaco’’ que préside Me Paulin Kabongo a tenu son Assemblée Générale Ordinaire, le Mardi 10 Septembre 2024 au siège du Comité Olympique Congolais ‘’COC’’ à la Gombe.

Au cours de ces assises, le bureau exécutif de la Fébaco a présenté aux sociétaires le rapport d’activités de la saison sportive 2023-24. Le rapport qui comportait plusieurs points notamment le rapport administratif, moral, technique et financier, a été adopté par les membres de l’AGO.

A l’issue de cette AGO, le SG de la Fébaco André Komichelo s’est déclaré satisfait parce que la fédération venait d’épuiser sa saison sportive. Et il a rappelé qu’une entité clôture sa saison sportive par son rapport d’activités. Et d’ajouter : ‘’Nous avons organisé le championnat national et nous avons organisé effectivement l’assemblée Générale de la fédération et tous les points ont été adoptés à l’unanimité. Et on a eu à restituer les différentes activités. C’était une assemblée assez calme. L’ambiance était cordiale. Je suis content’’ a-t-il conclu.

Charles Lukonga, président de l’Entente Urbaine de Basket-ball de Goma ‘’Eubago) nous avons échangé sur les activités de la fédération sur différents aspects pour l’exercice 2023-2024. Nous sommes satisfaits par rapport aux activités réalisées par la Fébaco. Sur tous les plans, nous nous sommes mis d’accord avec le bureau exécutif fédéral sur la manière dont les choses ont été organisées contrairement à ce qu’on décriait plusieurs années auparavant, aujourd’hui nous avons bénéficié des explications sur l’ensemble des questions que nous avions à demander au bureau exécutif fédéral. Le bureau exécutif fédéral a remis aux entités des documents nécessaires pouvant nous permettre d’analyser tout ce qui a été fait comme activités au niveau de la fédération durant toute l’année’’.

Pascal Bashizi, président de l’Entente Urbaine de Basket-ball de Lubumbashi ‘’Eublu’’ a déclaré ce qui suit : ‘’ En termes de recommandations on a beaucoup plus insisté sur la formation au niveau des formateurs que sont les entraineurs et formation au niveau des arbitres. Il y a aussi le problème d’infrastructures. Les terrains sur lesquels nos compétitions au niveau local s’organisent, nous avons essayé de démontrer qu’il y a un besoin pour que le gouvernement puisse accompagner la fédération pour améliorer les infrastructures pour un bon encadrement de la jeunesse’’

Junior Elonga, président de l’Entente Urbaine de Basket-ball de Kinshasa Ouest’’Eubakin-Ouest’’ a déclaré : ‘’Nous avons souhaité avoir ou acquérir nos salles. Aujourd’hui, le basket-ball se joue en salle. Et s’il faudrait toujours joué en plein air et utiliser des terrains qui ne sont pas parfaitement bien placés, c’est toujours un problème. Alors le président de la Fédération a tenu compte et va soumettre aux autorités pour que nous jouons nos compétitions au stade des martyrs’’.

Après l’AGO, la Fébaco tourne son regard vers l’organisation à Kinshasa du Camp de basket des jeunes par la FIba.

Antoine Bolia




Révocation de la ministre des Finances du Sud-Kivu 

Suite à des actes jugés préjudiciables pour l’image du Gouvernement Provincial, Mme Masirika Nganiza Dorothée a été démise de ses fonctions de Ministre des Finances par le Gouverneur de Province, Jean-Jacques Purusi Sadiki.

Dans un arrêté rendu public ce mercredi 11 septembre 2024, le Gouverneur de Province a mis fin aux fonctions de Mme Masirika Nganiza Dorothée en raison de divers manquements.

Parmi les reproches, on retrouve la suspension d’un haut responsable sans autorisation préalable, la demande de prêt bancaire de 5 millions de dollars sans approbation officielle et la prise de décisions unilatérales concernant des sociétés minières.

Une gestion financière contestée

L’accusation principale qui pèse sur l’ex-Ministre des Finances est liée à sa gestion des fonds issus des produits pétroliers.

En effet, elle aurait ordonné l’enrôlement de ces ressources sans consulter les parties prenantes, ce qui a provoqué un conflit avec le Club des pétroliers. Ces agissements ont mis en péril un accord important pour la réhabilitation des infrastructures routières de la province.

Des nominations controversées

En plus de ses décisions financières contestées, Mme Masirika Nganiza Dorothée est également accusée d’avoir effectué des nominations et des remplacements de personnel sans l’aval de sa hiérarchie. Ces actions ont suscité des interrogations sur la transparence et la légitimité de ses choix au sein du gouvernement provincial.

En réaction à ces révélations, le Gouverneur de Province, Jean-Jacques Purusi Sadiki, a pris la décision radicale de révoquer Mme Masirika Nganiza Dorothée de ses fonctions. Cette affaire met en lumière les enjeux de la gouvernance et de la gestion des ressources publiques au sein de l’administration provinciale du Sud-Kivu.

Eugide Abalawi Ndabelnze




Jules Alingete : Un bienfaiteur inlassable pour l’éducation à Matete

Comme en 2022 et 2023, Jules Alingete a encore une fois apporté joie et bonheur à près de 1800 élèves de l’EP Maï-Ndombe de Matete pour la rentrée des classes 2024-2025. Ancien élève de la promotion 1969, il a généreusement offert 14 000 cahiers, 1850 sacs à dos scolaires, 14 000 stylos ainsi que des fournitures pour le bon fonctionnement de l’école.

Alingete a également annoncé la construction, dès la semaine prochaine, de salles destinées à abriter la section maternelle de l’École Maï-Ndombe. L’année dernière, il avait déjà modernisé cet établissement d’enseignement de base en finançant la réhabilitation complète des bâtiments.

Pour ce notable, il s’agit non seulement de susciter l’émulation parmi les élèves, mais aussi d’accompagner le chef de l’État, Félix Tshisekedi, dans sa vision de la gratuité de l’enseignement primaire.




Nouveau Programme avec le FMI : La Première Ministre fixe les priorités de son Gouvernement

La Première Ministre Judith Suminwa Tuluka a présidé, ce mercredi 11 septembre 2024, la réunion de restitution de la mission des services du Fonds Monétaire International (FMI) en République Démocratique du Congo. Cette rencontre s’est tenue à la Primature en présence du Ministre du Budget, Aimé Boji, et du Ministre des Finances, Doudou Fwamba.

La délégation du FMI est actuellement à Kinshasa pour une mission technique préparatoire, à la requête du Gouvernement congolais visant à poursuivre ses engagements dans le cadre de la Facilité Élargie de Crédit (FEC). Un autre objectif de cette mission est de conclure un programme dans la lutte contre les changements climatiques.

Un échange centré sur les priorités du Gouvernement congolais

Au cours de cette réunion, les discussions ont porté sur les priorités essentielles du Gouvernement, comme l’a indiqué le Chef de la mission du FMI pour la RDC, Calixte Ahokpossi. Ces échanges ont permis de dresser un état des lieux sur plusieurs dossiers stratégiques.

« Nous sommes ici dans le cadre d’une mission technique qui est en RDC depuis la semaine dernière pour prendre contact avec le Gouvernement afin de discuter de la requête des autorités pour continuer leurs engagements économique et financier avec le FMI qui a deux volets. Il y a d’une part le volet Facilité élargie de crédit et, d’autre part, le volet pour supporter les mesures économiques qui contribueront à la lutte contre les changement climatiques. Ces deux différentes facilités seront négociées très bientôt. Cette mission est donc celle d’écoute pour voir quelles sont les priorités du Gouvernement et comment est-ce que le FMI peut apporter son accompagnement », a déclaré Calixte Ahokpossi.

La sécurité, les infrastructures et l’assainissement des finances publiques en tête des priorités

Les principales priorités du Gouvernement congolais, telles que la sécurité, l’intégrité territoriale, la construction d’infrastructures et l’assainissement du secteur des finances publiques, ont été clairement exposées à la mission du FMI. Le Gouvernement a réaffirmé son engagement à mener à bien ces initiatives cruciales pour le développement du pays.

« Nous avons discuté des priorités du Gouvernement, celles que nous pouvons inscrire dans le cadre de nos négociations pour le nouveau programme. Le Gouvernement a insisté sur l’importance d’assurer la sécurité dans le pays, l’importance de réaliser les infrastructures structurantes pour diversifier l’économie, et aussi pour assainir la gestion des finances publiques. Dans les discussions qui vont venir, nous allons nous atteler sur comment articuler les mesures pour réaliser tous ces objectifs », a signifié le chef de mission du FMI en RDC.

Des progrès encourageants selon le FMI

Dans sa restitution, Calixte Ahokpossi a exprimé sa satisfaction concernant les progrès réalisés par le Gouvernement congolais. Il a souligné que ces avancées sont encourageantes et créent des perspectives favorables pour la poursuite des engagements du FMI avec la RDC.

« On a fait une revue rapide de la situation économique récente. Nous avons noté que la croissance demeure soutenue et l’inflation commence à reculer. Nous espérons que ce recul va continuer avec l’ensemble des mesures prises par la Banque Centrale et aussi par le Gouvernement », a-t-il dit.

Il est important de rappeler que le Gouvernement congolais a achevé, au mois de juillet dernier, la 6ème et derrière revue du programme triennal soutenu par la Facilité élargie de crédit avec le FMI. L’achèvement de ce programme, qui constitue une première dans les relations entre la RDC et le FMI était salué par cette institution financière internationale, et constituait la preuve du changement de paradigme opéré par le Gouvernement congolais.

Et pour ce qui est de la lutte contre les changements climatiques, le Gouvernement Suminwa a prévu dans son Programme d’Actions (Pilier 6) de mettre en place des mesures solides afin de permettre à la RDC de jouer pleinement son rôle de leader dans les discussions internationales sur les changements climatiques, tout en tirant parti des mécanismes appropriés tels que les crédits carbone, dont les recettes pourront être orientées vers la lutte contre la pauvreté.