Le Gouvernement Suminwa octroie une aide financière aux 290 vendeurs victimes de l’incendie du Marché de la Liberté 

290 vendeurs au total, victimes de l’incendie qui a consumé le pavillon 5 du marché de la Liberté dans la commune de Masina, la nuit du 24 au 25 août dernier, viennent de bénéficier en « urgence » d’une aide financière du Gouvernement central. C’était au cours d’une cérémonie ce mardi 03 septembre 2024, au jardin des Premiers, à la Primature.

Cette intervention du Gouvernement a pour objectif de leur permettre de subvenir aux besoins de leurs ménages pendant cette période de la rentrée scolaire.

Une commission avait été mise sur pied pour élaborer la liste définitive de tous les sinistrés ayant effectivement perdu leurs biens à la suite de l’incendie ; liste définitive exigée par la Cheffe du Gouvernement Judith Suminwa en vue de s’assurer qu’il s’agit des vrais sinistrés devant bénéficier de l’aide gouvernementale.

La même commission va procéder à l’évaluation des pertes en marchandises et autres matériels, en vue d’envisager une indemnisation comme soutien à la reprise des activités. Aussi, une réponse structurelle est prévue à travers l’institution d’une commission inter-institutionnelle chargée de la problématique de la modernisation des marchés des agglomérations du pays.

En outre, il est prévu de réhabiliter dans les brefs délais le pavillon 5 où 138 tables ou échoppes ont été entièrement consumées par le feu, de mettre en place des sapeurs pompiers et de moderniser ledit marché.

La Première Ministre avait également encouragé les vendeurs à structurer leur commerce afin de bénéficier des avantages liés au système financier et commercial formel. Ainsi, ils pourront facilement accéder aux crédits bancaires pour plus de rentabilité.

La remise de cette assistance aux vendeurs redonne donc le sourire à ces hommes et femmes désespérés après avoir tout perdu. Ces derniers, émus par le côté humain d’une Première Ministre qui est restée proche d’eux depuis que le sinistre s’est déclaré, ont dit toute leur gratitude. Ils ont par ailleurs loué l’action d’un “Gouvernement responsable qui tient à ses engagements et qui apporte des réponses aux problèmes des citoyens.”

Il faut rappeler qu’au quatrième pilier de son Programme d’Actions, le Gouvernement Suminwa a pris l’engagement de promouvoir et d’encadrer les activités commerciales des personnes vulnérables.

L’Exécutif central met l’accent sur l’Homme qu’il considère comme la ressource principale et le principal moteur du développement.

Cette cérémonie de remise de l’aide gouvernementale s’est déroulée en présence du Ministre délégué près le Ministre de l’Urbanisme et Habitat en charge de la Politique de la ville, Didier Tenge Te Litho, du Président de l’Assemblée provinciale de Kinshasa, Levy Mbuta, du Ministre provincial de l’Intérieur de la Ville-Province de Kinshasa, Thierry Tshitenga et du Député national Auguy Kalonji de la circonscription de la Tshangu.

Le Quotidien




USN : Vers l’implosion ?

Il se dessine une crise difficile, du moins jusque-là, à gérer au sein de l’Union Sacrée de la Nation (USN). Si l’on n’arrive pas à ménager le chou et la chèvre, tout peut imploser. L’AFDC-A de Bahati Lukwebo fulmine de rage. Tout s’apparente à des revendications coupe-gorge pour l’USN car ce regroupement politique est sur ses dents, son coutelât déjà aiguisé, prêt à trifocaler la première victime, d’entre le directoire de l’USN.

Fort du poids politique de l’AFDC-A considéré comme deuxième force politique en terme de nombres d’élus, Bahati Lukwebo et ses lieutenants veulent en découdre avec l’USN si le préjudice causé n’est pas réparé. Car, ils se disent « floués » dans la « répartition des postes de responsabilités au sein des institutions de la République ». Postes juteux que les politiques congolais raffolent tant.

Face aux hésitations du présidium de l’Union Sacrée de la Nation, l’AFDC-A a tôt fait de rabattre le rappel des troupes. Elle projette un mini-conclave dans les jours qui suivent. Même si Bahati et compagnies grésillent, au cours d’un point de presse tenu lundi, que son compartiment politique continue d’appartenir à l’USN, on sent les flots venir vers l’USN. Un point de presse dilué dans l’affaire dite « évasion ratée » de la prison de Makala. Sinon, ce point de presse ferait parler de lui. Car Bahati ne décolère pas ; à prendre ou à laisser par le staff dirigeant de l’USN : la redistribution des postes, la gestion des ambitions politiques a pris corps. L’édifice prend l’eau petit à petit.

Si hier, lors des résultats des joutes électorales, les sociétaires de l’USN se moquaient éperdument de l’Opposition politique pour n’avoir pas été matures politiquement, aujourd’hui, les choses semblent jouer en leur défaveur. Ça bouge, ça chuchote et ça gringle de partout.

Les postes, les postes politiques, toujours eux engendrent déjà la fronde. Tout peut amener à des rixes physiques au grand jour. Les jours qui suivent vont délivrer à l’opinion les vraies motivations de l’adhésion des uns et des autres à cette plate-forme qui semble ne pas comprendre ce qui lui arrive. Du moins jusque-là car des esprits malins font semblant de distiller des attitudes de sérénité.

La tenue de ce mini-conclave de l’AFDC-A sera donc déterminants pour l’avenir de l’Union Sacrée de la Nation.

Willy Kilapi




Tentative d’évasion à la prison centrale de Makala: 129 morts et des dégâts matériels considérables

Le Vice-Premier Ministre, ministre de l’Intérieur, Sécurité, Décentralisation et Affaires Coutumières, Jacquemain Shabani, a éclairé l’opinion sur la tragédie survenue le lundi 2 septembre à la prison centrale de Makala, après avoir convoqué, sur instruction de sa hiérarchie, une réunion de crise avec les responsables des services de défense et de sécurité.

Le patron de la Sécurité a donné le bilan des dégâts humains et matériels causés par cette tragédie. À savoir, 129 morts, dont 24 par balles après sommation, et le reste par bousculades et étouffements.

À cela s’ajoutent quelques cas de femmes violées, sans oublier 59 blessés. Signalons également quelques dégâts matériels importants tels que l’incendie de tout le bâtiment administratif du CPRK, ainsi que de l’infirmerie, des dépôts de vivres et du greffe.

A noter les prisonniers dangereux du pavillon 4 se sont servis de la meuleuse volée à l’atelier pour perforer le mur, dans un contexte de coupure de courant depuis 18h30 le dimanche 1er septembre. La surpopulation carcérale a été un élément aggravant concernant le bilan, à en croire la réunion.

Bernetel Makambo




Cérémonie d’inhumation de 200 victimes de la guerre du M23: Aziza Munana souligne l’urgence d’une action humanitaire pour aider les millions de déplacés

Une cérémonie émotive s’est tenue lundi 2 septembre à Goma, au Nord-Kivu, pour commémorer les 200 victimes décédées à la suite de la guerre menée par le Rwanda et ses alliés contre la République démocratique du Congo. Ces victimes, inhumées au cimetière Genocost de Kibati, ont été honorées en présence de plusieurs dignitaires, dont la ministre des Affaires sociales, des Actions humanitaires et de la Solidarité nationale, Aziza Munana.

Lors de cette cérémonie, Aziza Munana a joué un rôle essentiel en dénonçant les souffrances causées par la guerre. Elle a déposé une gerbe de fleurs en hommage aux victimes et a prononcé un discours poignant, rappelant la dure réalité de ce conflit. Elle a souligné l’urgence d’une action humanitaire pour aider les millions de personnes déplacées vivant dans des conditions précaires autour de Goma.

La ministre a également appelé la communauté internationale et les organisations humanitaires à intensifier leur soutien pour répondre à cette crise grandissante. Elle a exhorté les autorités congolaises à prendre des mesures immédiates pour garantir la sécurité et le bien-être des populations vulnérables touchées.

A l’étape de Kipushi

Deux mois après sa nomination en tant que ministre des Affaires sociales, Action humanitaire et Solidarité nationale, Aziza Munana est retournée dans son fief électoral de Kipushi, cette fois en tant que ministre nationale. Elle a été accueillie chaleureusement par une foule composée de motards, de jeunes de divers partis politiques et de veuves, qui la surnomment affectueusement “maman sociale”.

Fidèle à ses habitudes, la ministre n’est pas venue les mains vides. Elle a apporté des lits et des médicaments pour le centre social Betty. Elle a également distribué des pagnes aux femmes accoucheuses et aux malades du centre de santé, et a libéré les patients bloqués pour non-paiement en remettant une enveloppe au gestionnaire du centre.

Son séjour à Kipushi s’est terminé par une visite à son parti, le Fidec, où elle a été accueillie par des veuves, des militants et des cadres du parti.

Bernetel Makambo




Ecole : Viser la qualité et non finir un programme 

Voilà plus de 40 ans que l’école en Europe est passée à la semaine anglaise. Plus de 40 ans, ce continent qui a de bons cours, de bonnes écoles, de bons professeurs, de bons hôpitaux, de bons politiciens, de bons dirigeants, est passé à la semaine anglaise. Cette situation n’a jamais entamé la qualité de l’enseignement, la qualité de la formation encore moins la quantité des matières. Comparés aux élèves de la RDC où l’on tient à 6 jours de cours et à finir le soi-disant programme de cours dont la qualité des élèves laisse à désirer, il n’y a pas photo.

Se battre pour maintenir 6 jours de cours en vue de finir un programme est un vœu pieux qui depuis plus de 60 ans n’a rien donné dans ce pays.

Pendant que le monde passe à la miniaturisation, la RDC prend l’allure du volume et non de la qualité. Alors que le monde cherche la qualité, la RDC vise la quantité. Mais à la fin de la formation, on critique le diplôme des élèves congolais. Il ne remplit pas les critères. Mais alors pourquoi avoir fait 6 jours d’école, pourquoi avoir fini le programme alors que la qualité de diplôme pose problème.

En faisant la semaine anglaise, on peut viser l’essentiel et laisser de côté tous les superflus de l’éducation nationale. L’on doit se demander pourquoi et comment la semaine anglaise fonctionne en occident et ne le sera pas au Congo ?

Faux fuyants !

Les enseignants congolais doivent respecter la semaine anglaise. Il s’agit de la décision du Gouvernement dont les ministères de l’Enseignement Primaire et secondaire et universitaires ne sont pas exemptés.

Il est temps de faire diligence et demander à Mme la ministre de faire diligence pour recadrer son secteur et faire respecter la semaine anglaise dans son secteur. Visez l’essentiel et la qualité au lieu de la quantité et de superflus.

les congolais se souviennent que les écoles privées font déjà la semaine anglaise. Et la qualité de l’éducation scolaire dans ces écoles dépasse celle du secteur public. Mais alors à quoi bon voler aux gens le sabbat pour qu’enfin on ait les élèves mal formés et les diplômés non qualifiés. Allons à l’essentiel et visons la qualité avec la semaine anglaise. Plus de samedi pour l’école.

Bon entendeur salut !

Le Conseiller




En marge du FOCAC : Thérèse Kayikwamba multiplie des rencontres bilatérales avec ses homologues africains des Affaires Etrangères 

En marge du neuvième sommet sino-africain, qui se tiendra à Beijing du 04 au 08 septembre 2024, la Ministre d’Etat, Ministre aux Affaires Etrangères, Coopération internationale et Francophonie, tient plusieurs rencontres bilatérales avec ses homologues africains des Affaires Etrangères notamment ceux du Tchad et de la Sierra Leone.

Thérèse Kayikwamba Wagner, qui est dans la suite du Chef de l’Etat de la RDC, invité de marque à ces assises, a assisté à la 9ème réunion ministérielle aux côtés d’autres membres du gouvernement congolais, dont Julien Paluku, Ministre du Commerce extérieur.

Avant l’ouverture du Forum Chine-Afrique (FOCAC), le Président chinois a pris langue avec quelques Chefs d’Etat africains.

Au cours de son entretien avec Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, premier Chef d’Etat à être reçu, Xi Jinping est revenu sur le partenariat stratégique de coopération réussi en 2023. Leurs échanges ont porté sur la coopération bilatérale, le partenariat commercial, les relations diplomatiques et la sécurité.

Ils se sont accordés sur une coopération plus élargie dans les domaines de l’agriculture, de la transformation des minerais et de la formation professionnelle avec un engagement commun à transformer les avantages des ressources en moteur de croissance.

Sur le plan diplomatique, le Président Tshisekedi s’est félicité de l’amitié historique entre la Chine et la RDC, qui s’est consolidée depuis la normalisation de leurs relations en 1972, fondées sur le respect mutuel et la non-ingérence dans les affaires intérieures.

La Chine est le premier partenaire économique de la RDC et pourrait le demeurer au lendemain de cette grand’messe. Elle demeure la privilégiée parmi la quarantaine d’Etats africains qui ont déjà bénéficié de prêts ou de créance du Pays du Soleil levant.

Et la position stratégique de la RDC est un argument fort pour faire de cette grande rencontre, une belle opportunité pour négocier des partenariats forts et porteurs en faveur de la nation.

Le Quotidien




Après la tentative d’évasion au Cprk: Désengorger et construire de nouvelles prisons

C’était une nuit cauchemardesque que les pensionnaires du Centre pénitencier et de rééducation de Kinshasa, ex -prison de Makala et les riverains de cette maison carcérales ont vécu la nuit de dimanche à lundi dernier à Kinshasa. Des coups de feu ont crépité depuis 2 heures du matin jusqu’aux petites heures à l’image d’un film hollywoodien.

Des détenus qui ont tenté de s’évader ont été repoussés par des tirs de sommation et à balle réelle qui ont provoqué une panique généralisée au sein de ce Centre pénitencier. Les images publiées dans les réseaux sociaux de cette scène macabre ont donné froid au dos à plus d’une personne. Un véritable carnage au Cprk où les corps sans vie étaient entassés dans la cour à la grande désolation des autres détenus qui ont crié à un piège leur tendu par ses gestionnaires qui auraient coupé de manière intentionnelle l’énergie électrique, fait très rare vécu sur place et pendant que la pluie arrosait la capitale.

Le bilan provisoire donné par le Vice-Premier ministre et ministre de l’Intérieur, sécurité, décentralisation et affaires coutumières, Jacquemain Shabani est très lourd : 129 morts dont 24 tués par balles et les autres par bousculades et étouffement à cause de la surpopulation de cette maison carcérale. Des femmes violées, des magasins où sont gardés la ration alimentaire pillés, l’infirmerie et le greffe complètement incendiés. Vite ce bilan quoi que provisoire est contesté par les organisations de défense des droits de l’homme qui exigent une enquête internationale et indépendante pour élucider les vraies causes et les conséquences de cette tragédie humaine.

Des mesures s’imposent

Après cet incident malheureux, beaucoup de questions sont posées pour savoir comment en est-on arrivé là et comment faire pour éviter que des pareilles situations ne se reproduisent. Si les causes réelles de cette situation ne seront connues qu’à l’issu des enquêtes qui se poursuivent encore, par contre les mesures à prendre pour les éviter sont déjà proposées par les observateurs avertis.

Il s’agit d’abord de désengorgement des prisons à cause de leur surpopulation. En effet, l’ex-prison de Makala, construite pour une capacité d’accueil de 1500 personnes regorgent à ce jour plus de 15 000 personnes. Et chaque semaine, les magistrats envoient des prisonniers. Il en est de même pour d’autres prisons disséminées à travers la République confrontées à un sur nombre de ses pensionnaires. L’opération amorcée par le ministre d’État à la Justice, Constant Mutamba, celle de désengorgement des prisons devra se poursuivre.

C’est dans ce cadre que le patron de la Justice a décidé au lendemain des incidents survenus au Cprk d’interdire d’y acheminer des détenus sauf sur sa dérogation. Question de libérer l’espace et permettre aux détenus d’être hébergés dans des conditions acceptables. Et pour que les maisons carcérales ne connaissent plus de surpopulation, il faudra aussi éviter les arrestations arbitraires qui consistent à emprisonner des personnes pour des faits bénins.

Il est démontré que le ¾ des détenus dans les maisons carcérales sont les faits des petits problèmes qui peuvent se régler entre les parties en conflit. Malheureusement, certains magistrats véreux se complaisent à déférer les prévenus directement dans des prisons pour se faire de l’argent pour l’obtention de la liberté provisoire. Et puis, il faut non seulement réhabiliter les maisons carcérales dont la majorité est dans un état de délabrement très avancés, mais aussi construire de nouvelles maisons dans les périphéries des villes et cités.

Ceci épargnerait les riverains des effets collatéraux en cas d’évasion ou tentative d’évasion comme l’ont vécu les habitants des communes de Bandalungwa, Selembao, Bumbu et Ngiringiri la nuit de dimanche à lundi dernier. Sans oublier de procéder à la séparation des détenus. C’est-à-dire séparer les détenus très dangereux de ceux moins dangereux pour éviter certains comportements maladroits. Les réformes engagées par le Gouvernement dans le cadre de la justice surtout en ce qui concerne les conditions d’hébergement des détenus ne doivent pas être un simple slogan, mais une réalité.

RSK




Numérique : Augustin Kibassa présente au Forum économique RDC-Chine, les opportunités de la RDC 

Ce mardi 3 septembre 2024, le Ministre congolais des Postes, Télécommunications et Numérique s’est exprimé devant une centaine d’investisseurs chinois au forum économique RDC-Chine sur les opportunités d’investissements ouvert le 2 septembre 2024 dans la ville de Beijing.

Dans son exposé, Augustin Kibassa Maliba a de prime abord, parlé du cadre légal du secteur du numérique en République démocratique du Congo avant de faire un aperçu chiffré sur la connectivité au pays de Lumumba.

Il s’est également apaisenti sur les parts des marchés et les défis du développement numérique en RDC.

Au sujet des défis du développement du numérique, il a évoqué la nécessité de construire les infrastructures numériques, faciliter l’accès, moderniser l’Administration Publique et former les jeunes ayant des compétences dans le domaine du numérique.

Concernant les besoins d’investissements, Augustin Kibassa a évoqué six projets qui doivent être mis en place en RDC.

 

Il s’agit entre autres de :

 

– Extension et Construction du Réseau National à Fibre Optique 50 000 km Backbone;

– Construction du centre d’Excellence;

– Extension de la Couverture 3G et 4G en Zones Rurales (8406 villages);

– Construction des Data Center Nationaux;

– Infrastructure Satellitaire;

– Télécentres communautaires.

 

Opportunités de Croissance

A cette question, le Ministre des PTN a évoqué les points suivants :

– Modernisation de l’Administration publique;

– Promouvoir le commerce électronique et l’inclusion financière;

– Promouvoir la Connectivité et l’Accès au Numérique;

– Sécuriser Les Systèmes D’Information;

– Prendre en compte les Objectifs de Développement Durable;

– Renforcement des capacités et amélioration du capital humain.

Pour terminer, Augustin Kibassa Maliba a expliqué aux investisseurs chinois, les stratégies, initiatives et politiques du Gouvernement de la République démocratique du Congo pour booster le secteur du numérique.

Ces stratégies sont : accorder des avantages fiscaux attractifs; renforcer les partenariats public-privé (PPP); favoriser le transfert des technologies; l’éducation et la sensibilisation.

 

Après sa participation au Forum économique RDC-Chine sur les opportunités d’investissements qui s’est clôturé ce mardi 3 septembre 2024, le Patron des PTN Augustin Kibassa Maliba va recevoir ce mercredi 4 septembre, quelques délégations des entreprises chinoises prêtes à investir en RDC. Ensuite, il prendra part au Forum Chine-Afrique qui s’ouvre ce même mercredi 4 septembre et dont la clôture interviendra le 6 du même mois, toujours dans la capitale chinoise avec la participation du Président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo et d’autres chefs d’État africains.

 

 

Mboshi

 




Coopération Sino-Africaine : la déclaration et le plan d’action 2025-2027 du FOCAC adoptés lors de la 9è conférence ministérielle 

La 9è conférence ministérielle du Forum sur la Coopération Sino-Africaine s’est tenue ce mardi 03 Septembre à Beijing, capitale de la Chine.

Au cours de ces assises, les patrons de la diplomatie Chinoise et Africaine ont examiné et adopté la déclaration et le Plan d’action de Pékin 2025-2027 en vue de leur adoption finale par les Chefs d’Etat et de gouvernement lors du Sommet du FOCAC, prévu du 4 au 6 septembre en Chine. Ils ont aussi évalué la mise en œuvre du suivi de la huitième conférence ministérielle tenue à Dakar (Sénégal) en 2021.

Selon le ministre Chinois des Affaires étrangères, la tenue du FOCAC démontre la pleine confiance de la Chine et de l’Afrique dans leur solidarité et coopération. Wang Yi affirme que le sommet de Beijing 2024 offrira des perspectives prometteuses au développement de la coopération Sino-Africaine.

“Actuellement, le changement inédit depuis un siècle s’accélère et le monde est entré dans une nouvelle période de turbulences et de transformations. L’émergence collective du Sud global qui comprend la Chine et l’Afrique marque profondément le cours de l’histoire mondiale , a déclaré Wang Yi.

Il a, à cette occasion, indiqué que de nouvelles mesures pour renforcer la coopération Sino-Africaine seront annoncées par le président Chinois Xi Jinping lors du sommet du FOCAC.

La République Populaire de Chine reste convaincue que cette neuvième édition du Forum sur la Coopération Sino-Africaine sera un évènement historique pour renforcer la solidarité et la coopération entre les deux parties pour ainsi poser un nouveau jalon dans la marche de la modernisation du Sud global.

Notons que cette conférence ministérielle a été présidée par le ministre chinois des Affaires étrangères, Wang Yi et celle du Sénégal Yassine Fall, dont le pays assure la co-présidence tournante du FOCAC pour le Continent africain.

Derick Katola depuis Beijing, capitale de la Chine




Volley-ball: En prévision de la 20è Coupe du Congo volley-ball et beach volley, La Commission nationale des arbitres de la Févoco dévoile la liste des arbitres convoqués

Il nous revient du secrétariat de la Commission nationale des arbitres de volleyball de la Rdc, qu’en prévision de la 20è Coupe du Congo de volley-ball qui se jouera à Kinshasa du 20 au 30 septembre 2024, les arbitres ci-après sont convoqués et les rôles que chacun devra jouer :

Aux deux extrêmes les deux arbitres internationaux Anicet Pembe et Yves Kabengele

A. Ville de Kinshasa

1. Kabengele Yves

2. Pembe Anicet

3. Ewunda Pitchou

4. Imembe Tshotsho

5. Donda Issa

6. Lombeya Sylvain.

Marqueurs et juges de ligne

7. Watoko Dieudonné

8. Diendelayi Arlette

9. Mubenga Yannick

10. Gbiako Zeze (Intendant).

11. Widobana Philippe

B. Lualaba

12. Ngoie Kabila Elkana

13. Muyange Brand

14. Miriam Kat Kamu (D) juge de ligne et marqueuse.

C. Haut-Katanga

15. Ngoie Michel

16. Kasu Dieudonné

17. Mutombo Tony

18. Kahenga Pascaline (D).

D. Kasai Central

19. Tshama Christelle (D) juge de ligne.

20. Kabasele Médard juge de ligne.

De Bonsambo