Kongo Central : Julien Paluku en visite d’inspection au poste frontalier de Lufu 

Inspecter le travail qui se fait au niveau du poste frontalier de Lufu dans la province du Kongo Central et sensibiliser les responsables des services qui y sont commis pour leur implication dans la lutte contre les différentes formes de fraude dont ” Mabe Zero” qui font saigner le trésor public au profit des quelques individus; c’est l’objectif de la descente ce mardi du Ministre du Commerce Extérieur à Lufu où il a été Chaleureusement accueilli par la population très mobilisée.

Sur place, Julien Paluku a échangé avec les responsables de l’Office Congolais de Contrôle (OCC), de la Direction Générale des Douanes et Accises (DGDA), de la Direction Générale de la Migration (DGM) et du service de quarantaine animale et végétale mais aussi des services de sécurité.

Les questions du renforcement de contrôle des marchandises qui entrent et sortent par Lufu et du démantèlement les pistes frauduleuses où passent plusieurs marchandises mais également du renforcement de la logistique pour les services commis à la frontière ont été évoquées au cours de cette réunion stratégique.

Peu avant, le Ministre accompagné du Directeur Général de l’OCC, Étienne Tshimanga a visité le laboratoire de l’OCC et à cette occasion il a signifié aux agents et cadres qu’ils vont signer un pacte de bonne gouvernance, de lutte contre la corruption et la fraude ainsi que de maximisation des recettes publiques.

Julien Paluku Kahongya se fixe l’objectif de doter Lufu d’un laboratoire ultramoderne certifié et dont l’inauguration doit intervenir en 2025

VTR

Après Lufu, le Ministre du Commerce Extérieur s’est rendu à Matadi, Chef-lieu du Kongo Central.




Devant les conseillers en communication de tous les ministres: Muyaya rappelle que l’action gouvernementale doit être coordonnée et ordonnée 

Le ministre de la Communication et Médias, Patrick Muyaya a échangé, ce mardi 17 septembre dernier, avec les conseillers en communication de tous les ministres. Et ce, en conformément aux instructions du Président de la République et de la Première ministre, émises respectivement lors de la 1ère réunion extraordinaire du Conseil des ministres, tenue le 9 septembre, et de la 12e réunion du Conseil des ministres organisé le 6 septembre dernier.

Durant deux heures, le ministre Muyaya, accompagné du directeur de la communication de la Présidence de la République, Erick Nyindu, et de la directrice de la communication de la Primature, Myoto Liyolo, s’est tout d’abord apaisanti sur les propos du Président de la République, Félix Tshisekedi, rappelant que l’action gouvernementale doit être coordonnée et ordonnée. Il a fait écho de la communication de la Première Judith Suminwa portant sur la nécessité pour tous les membres du gouvernement de veiller à faire une communication coordonnée et cohérente à l’approche de 100 jours du Gouvernement Suminwa.

Muyaya, Nyindu et Liyolo ont, par la suite, exploré l’ordre du jour comprenant trois points notamment la Charte graphique (Centralisation et coordination de la communication [au niveau de la Primature ou du Ministère de la Communication], la Création d’un cadre de concertation pour la relecture et la diffusion des communications du gouvernement, et la Planification et proposition des campagnes de sensibilisation annuelles; la Formation (Organisation de media training, Formation à la production de contenus communicationnels et la Formation aux usages numériques) et les divers.

Le ministre de la Communication et Médias, Porte-parole du gouvernement a, une fois de plus, rappelé et a insisté sur la nécessité de respecter la charte graphique du gouvernement qui marque l’identité visuelle et qui vend positivement la République Démocratique du Congo tant à l’interne qu’à l’externe.

De leur côté, Erick Nyindu et Myoto Liyolo ont martelé sur la vulgarisation du Programme d’actions du gouvernement (PAG 2024-2028) et ont appuyé l’idée de diffuser plus d’actions de terrains, plutôt que des audiences des membres du gouvernement dans les médias publics, l’ACP et la RTNC.

« J’avais déjà dit à la Première Ministre Judith Suminwa Tuluka que nous devons montrer à nos compatriotes et au monde ce que fait le Chef de l’État depuis qu’il exerce son deuxième mandat. J’ai invité les directeurs généraux de l’Agence Congolaise de Presse et de la Radio Télévision Nationale Congolaise, justement pour vous faire comprendre comment ces deux médias publics sont les véritables vecteurs de l’action gouvernementale. Ils livrent à l’opinion nationale et internationale les informations officielles. À ce jour, il ne faut pas non plus négliger les réseaux sociaux et les sites web de vos différents ministères. Je plaide auprès de ma hiérarchie pour que la constitution d’une cellule de communication réponde aux défis actuels. C’est-à-dire un conseiller en communication, deux attachés de presse, deux cameraman, un photographe, un monteur et un web master doublé de community manager », a dit le ministre Muyaya à l’assistance.

Les intéressés saluent l’initiative

Désigné par ses collègues, Patrick Tete, conseiller en communication au ministère des Finances, a avancé ce qui suit : « Je salue l’initiative du ministre de la Communication. Cette initiative de fédérer tout le monde, tous les acteurs de la communication de différents ministères justement pour la coordination d’une communication structurée pour appuyer justement le programme d’actions du gouvernement et donc, nous sommes un corps, nous sommes une même famille et de ce fait on ne peut pas travailler de manière à disparaître et ça, c’est le premier point d’encouragement que je salue à l’endroit de son excellence ministre de communication ».

Et de poursuivre : « Les médias publics sont les grandes fenêtres par lesquelles les informations officielles doivent passer. Mais lesquelles les informations officielles doivent passer de manière plus ou moins structurées et hiérarchisées pour justement éviter qu’il aie des dérapages en terme de communication. Ceci va avec l’orientation du Président de la République, Son Excellence Félix Tshisekedi concernant la coordination de la communication. Chaque acteur de communication de chaque ministère devrait simplement s’aligner dans cette logique pour renforcer la communication notamment au niveau du gouvernement, mais également donner au Président de la République, les moyens efficaces de sa propre communication. Donc, une communication coordonnée permet de véhiculer la politique et la vision du Président de la République d’après les six engagements majeurs qu’il a pris devant la population congolaise durant la campagne électorale ».

L’ACP est disposée

Le Directeur général de l’Agence Congolaise de Presse, Bienvenue Marie Bakumanya, s’est exprimé en ces termes : « C’est une initiative que nous avons salué dans la mesure où, aujourd’hui, l’Agence Congolaise de Presse qui a fait de standard son cheval de bataille invite tous les ministères du gouvernement à communiquer à travers cet instrument du gouvernement de la République démocratique du Congo qu’est l’Agence Congolaise de Presse. Et aujourd’hui, l’ACP qui est en train de se déployer à travers le monde après le déploiement à l’intérieur dans les 26 provinces, est disposée à accompagner la communication du gouvernement en offrant la bonne information aux Congolais et aux étrangers à travers les médias partenaires. Ça tombe bien à propos de cette initiative de réunir tous les communicateurs de différents ministres de la république pour que justement cette communication du gouvernement soit cohérente parce que si ça va dans tous les sens, ça ne profite pas à la république, ça ne profite pas à l’image de la république. Tout ce que je peux ajouter c’est de dire que la république dispose d’un instrument qui s’appelle l’agence congolaise de presse, un instrument qui est apprécié, respecté ailleurs parce que travaillant dans le respect de strict respects de standard que cet instrument soit utilisé par les différents membres du gouvernement pour passer des communications. Je crois de mon point de vue qu’un médias fort, qu’une ACP forte, permettra à la parole de la République démocratique du Congo d’être également entendue partout à travers le monde ».

Il convient de rappeler que lors de la douzième réunion ordinaire du Conseil des Ministres du Gouvernement de la République, le vendredi 06 septembre 2024, la Première Ministre avait attiré l’attention des membres du Gouvernement sur la nécessité de veiller à faire toujours une communication coordonnée et cohérente mais aussi de s’abstenir de tomber dans la dérive de la Gouvernance à travers les réseaux sociaux.

Elle a recommandé aux uns et aux autres de faire preuve de la plus grande circonspection dans la manière de communiquer.

Le Quotidien




CHAN 2024: La Caf a décidé 

La Confédération Africaine de Football (CAF) a communiqué lundi, la date de la prochaine édition du Championnat d’Afrique des nations (CHAN).

En marge de la réunion du comité exécutif (Comex) de l’instance tenue ce lundi matin à Nairobi, le président de la CAF, Patrice Motsepe, a comme pressenti annoncé le Kenya, l’Ouganda et la Tanzanie en tant que pays hôtes du prochain CHAN prévu du 1er au 18 février 2025. Ce tournoi fera office de répétition pour le trio d’Afrique de l’Est qui organisera conjointement deux ans plus tard la CAN 2027, une première dans leurs histoires respectives.

A l’image des deux précédentes éditions, dont celle de 2022, remportée par le Sénégal en Algérie début 2023, le CHAN 2024 aura donc lieu en 2025, soit un an plus tard que son appellation officielle. A noter que la CAF s’est ensuite montré plus prudente concernant le lieu, en précisant seulement “l’Afrique de l’Est” à travers un communiqué expliquant qu’elle “communiquera en temps utile les stades et autres sites qui seront utilisés pour la compétition.” La veille, Motsepe avait notamment visité plusieurs stades au Kenya, saluant des avancées tout en soulignant que du travail reste à faire.

Les dates des éliminatoires dévoilées

Les qualifications démarreront dès octobre, avec un premier tour prévu entre le 25 et le 27 du même mois. Pour rappel, les équipes devraient désormais pouvoir convoquer des joueurs expatriés en Afrique. Précédemment, seuls les joueurs des championnats locaux étaient éligibles.

Cette réunion du Comex avait été perturbée par un couac à son ouverture. En effet, la Fédération kényane avait commencé à diffuser l’événement en direct sur sa chaîne officielle Youtube avant de se faire probablement taper sur les doigts par la CAF et de procéder à l’interruption de la vidéo.

 

 

ST




OM : La situation s’empire pour Mbemba.

Après avoir refusé de passer l’IRM de son retour de sélection, Chancel Mbemba est en passe de subir des sanctions supplémentaires à Marseille.

Selon la Provence, le défenseur congolais soupçonnerait les dirigeants Marseillais de vouloir lui priver des entraînements en inventant une blessure qui n’existe pas.

Cependant, le capitaine des Léopards est ouvert à passer l’IRM avec les médecins de son choix. Dans le cas contraire, son clan saisira la justice.

Plus les jours passent, plus le dossier se pimente.

 

 

ST




ONT : Poursuite des travaux de la commission d’élaboration des prévisions budgétaires 2025

Ouverts depuis hier lundi 16 septembre courant sous la houlette de Mme le Directeur Général, les travaux de la commission d’élaboration des prévisions budgétaires 2025 se poursuivent normalement.

Cette deuxième journée du mardi 17 septembre est consacrée à la poursuite des exposés des Directions selon l’ordre retenu.

La Direction des Investissements, Partenariat et Patrimoine (DIPP) a ouvert le bal. Le Directeur Bokoso qui chapeaute la Direction en a fait l’économie de l’exposé.

Prenant le relais, la Direction de Marketing, Promotion et Communication (DMC) présentée par l’agent Katwala, a pu, de manière succincte, brosser les prévisions de la Direction pour 2025.

Relevons ici que chaque exposé a suscité des débats et certaines propositions ont été formulées par l’assemblée.

Le Débat général sur les ressources additionnelles a été également invitée au menu eu égard à sa pertinence. Car, l’un des soucis majeurs de la hiérarchie est que les cadres et agents de l’Office réfléchissent continuellement sur les éventuelles actions pouvant faire vivre la trésorerie mise à part la redevance (FPT) qui existe déjà.

Il y a lieu de relever que la conférence budgétaire fait participer non seulement les Directions centrales, mais aussi régionales en visioconférence.

Comme à l’accoutumée, un rapport final produit par le secrétariat technique a sanctionné cette deuxième journée.

Sylvie Bambi




L’Office National du Tourisme en pleine conférence budgétaire 2025

Il se tient au Cercle Elaïs, dans la commune de la Gombe, les travaux de la Conférence Budgétaire de l’Office National du Tourisme, dont l’ouverture est intervenue ce lundi 16 septembre courant.

Prévue pendant cinq (5) jours, soit du 16 au 20 septembre 2024, ces dits travaux ont été ouverts par Mme le Directeur Général en présence de deux autres mandataires, en l’occurrence de Mme le PCA et le DGA.

Trois temps forts ont illuminé cette journée d’ouverture. Il s’agit du mot de Mme le DG, celui du Directeur Financier, ainsi que les exposés liés aux prévisions budgétaires des Directions retenues, suivis des débats.

Dans son mot, Mme le DG a convié les conférenciers (e) d’être plus rationnels et constructifs sur le choix objectif des activités qui seront retenues pour animer l’Office tout le long de l’année 2025. D’où ses mots : « Je vous exhorte donc à mettre de côté toute forme de sentiment personnel, seuls priment le bien de l’Office et votre professionnalisme », a -t-elle souligné.

Le Directeur Financier lui, après qu’il ait circonscrit, à la lumière des textes légaux et statutaires de l’ONT le pourquoi de la tenue desdits travaux une fois l’an, a ensuite pour raison de survie de la caisse de l’Office, invité l’auditoire à se référer pendant toutes ces assises, à nos statuts, plus précisément en son article 6 qui énumère des moyens additionnels mis à notre disposition par le législateur en dehors du FPT afin de toujours mettre en exergue des actions pouvant ramener des ressources qui alimenteront notre trésorerie.

Ces dernières lignes ont laissé place aux différents exposés des prévisions budgétaires portés par des Directions retenues pour cette journée d’ouverture. Il s’agit de la Direction Régionale Sud par le Directeur Kwete, la Direction Générale par l’assistant Tuyala, ainsi que le résumé des prévisions budgétaires de l’année en cours par le Directeur Financier.

Après quoi est venu le moment des débats orientés par le modérateur qui a fait jaillir de la lumière.

Relevons que ladite journée a été sanctionnée par un rapport retraçant le déroulé du programme.

Sylvie Bambi




Félix Tshisekedi chez Léon Kengo : ça sent le…Dialogue !

Visite surprise ? Pas du tout. Plutôt d’une visite bien organisée. Car on ne va pas chez quelqu’un en cortège officiel sans l’avoir prévenu. D’ailleurs, le fait de voir réapparaître l’inusable Marco Banguli faisant office de maître des céans signifie que la présence de cet acteur politique aussi discret qu’efficace n’avait rien d’improvisé.
“Mieux vaut tard que jamais’_ : Félix Tshisekedi a quand même fini par faire ce qu’on attendait de lui depuis son accession à la magistrature suprême en janvier 2019, à savoir rencontrer le seul compatriote à avoir animé au cours de sa carrière successivement les Cours et Tribunaux, le Gouvernement et le Sénat (Parlement). C’est-à-dire le seul homme qui n’aura manqué que l’institution Président de la République pour boucler la boucle. Faut-il d’ailleurs le noter : il a été candidat à la présidentielle de 2006 et à celle de 2011. Bref, Léon-La-Rigueur fait partie des rares acteurs publics Congolais à maîtriser l’histoire du pays au cours de ces 64 dernières années. Les humiliations, il les a subies de l’intérieur comme de l’extérieur des institutions, aussi bien sous le Mpr Parti-Etat que sous l’Opposition. Il est resté cependant courtois, et cette qualité-là, personne ne peut la lui contester.
C’est ça du Kengo
C’est cette courtoisie, pour l’Histoire recommencée en 2003 dans le cadre de la Transition 1+4 issue du Dialogue Inter congolais, qui va lui permettre, une fois porté à la présidence de la chambre haute en 2007, de faire conserver à Jean-Pierre Bemba son mandat de sénateur jusqu’en 2018, soit pendant les 10 ans passés par ce dernier dans les geôles de la Cour pénale internationale (CPI).
Pourtant, la Majorité parlementaire au Sénat appartenait à la famille politique de Joseph Kabila.
Évidemment, entre les deux personnalités s’étaient tissées des relations fortes respectées par les deux familles politiques. Plusieurs fois, les deux personnalités se sont retrouvées en aparté. On peut en être sûr même si on n’en a pas la preuve : l’un doit avoir convaincu l’autre de la nécessité de faire garder à Jean-Pierre Bemba ses émoluments quand bien même aucune Constitution, aucune loi, aucun règlement intérieur ne l’autorisait pour un parlementaire se retrouvant dans l’impossibilité de siéger deux mandats de suite. Ce au nom de la cohésion nationale.
Ça, c’est du Kengo.
Peut-on penser qu’au cours de leur rencontre du samedi 14 septembre 2024, les deux personnalités n’aient pas abordé la question délicate du Dialogue relancée par Martin Fayulu ?
Même si les images de la vidéo ne montrent pas un aparté, même si à l’issue de la rencontre aucun communiqué n’a été publié, on ne peut pas ne pas croire que Félix Tshisekedi et Léon Kengo se soient séparés sans échanger sur le sujet.
*De toutes les façons, il va falloir surveiller dans les jours qui viennent les mouvements de Marco Banguli*, l’un des fidèles parmi les fidèles autour de Léon Kengo.
Pour la petite histoire,
il était l’un des ténors du Clan Kengo aux côtés, entre autres, des Umba-di-Lutete, Katanga Mukumadi, Mambu Makenzu, Thambwe Mwamba et un certain Pascal Kinduelo. Ils avaient un parti politique redoutable dénommé UDI (Union des démocrates indépendants).
Il a fallu les élections de 2023 pour découvrir ce dernier dans les rangs de l’Udps.
Bref, un plaidoyer de Léon Kengo pour Dialogue inclusif n’est pas à écarter !
Ce qui peut ne pas prendre avec Fayulu prendrait facilement avec Kengo
Et pour cause !
Léon Kengo a de tous temps été le *préféré* des Catholiques, lisez Cenco. Tout au moins hier sous le cardinalat d’Etsou et de Monsengwo, aujourd’hui sous celui d’Ambongo, pour ne pas en citer la présidence.
Or, au cours de ces 30 dernières années, la Cenco n’a jamais été formellement pro-Etienne Tshisekedi et pro-Félix Tshisekedi.
Le coup de massue reçu lors des préparatifs du 4ème cycle électoral (2023) en a fait un animal blessé. Malheureusement, un animal dont on ne peut se passer quand les choses vont mal.
Dans la perspective d’un Dialogue qui puisse lui permettre de bénéficier de la jurisprudence (rester en poste comme ce fut le cas avec Mobutu lors de la Cns ou Joseph Kabila lors du Dialogue Intercongolais, le Dialogue sous facilitation Kodjo et le Dialogue du Centre Interdiocésain), Félix Tshisekedi a conscience de ne miser ni sur le chef spirituel des Kimbanguistes Simon Kimbangu Kiangani, ni sur l’évêque général de l’Eglise du Réveil du Congo Dodo Kamba.
Il lui faut absolument l’apport des Catholiques qui puisse garantir celui des Protestants (ECC).
Conséquence : l’unique personnalité politique capable de convaincre la CENCO de jouer le jeu est pour l’heure est *Monsieur Léon Kengo wa Dondo*. Si les Catholiques peuvent ratisser large en ramenant Moïse Katumbi autour de la table, seul Léon Kengo peut convaincre Joseph Kabila de faire de même.
Comme on peut alors le deviner, le président honoraire du Corps judiciaire (Cours et Tribunaux), ex-coordonnateur du Conseil Exécutif en qualité de ” premier commissaire d’Etat Gouvernement) et président honoraire du Sénat, est pour l’instant le seul acteur politique en mesure de redonner corps et vie au processus de cohésion nationale attribué à Martin Fayulu, processus hypothéqué par le Chef de l’État lui-même dans son interview du 6 août 2024.
Déjà, le président de l’Ecidé – juste question de logique – ne devrait plus tenir à l’égard du régime Udps/Usn son discours radical dès lors qu’il veut manager la cohésion nationale.
Or, il est toujours dans le bras de fer.
On ne peut pas, d’un côté, flatter l’orgueil d’un protagoniste pour l’amener à adhérer à une vision et, en même temps, le couvrir de ridicule. Ça n’a jamais marché sous son mentor Étienne Tshisekedi (il n’avait pas son pareil dans l’art de tendre la main à la personne qu’il se mettait à ridiculiser comme pour lui signifier son désaccord), ça ne marchera pas avec Martin Fayulu.
Ainsi, ce qui peut ne pas prendre avec Martin Fayulu prendrait plutôt avec Léon Kengo.
L’homme peut toujours jouer un nouveau grand rôle
Autrefois patron du parti politique dénommé ” Union des Démocrates Indépendants” (UDI), autrefois Premier ministre issu de la 3ème voie (ni Conférence nationale souveraine, ni Conclave politique de Kinshasa), Léon Kengo avait retrouvé la primature le 14 juin 1994.
Le 6 avril de la même année, soit moins de deux mois plus tôt, éclatait la guerre civile au Rwanda à la suite de la mort du Président Juvénal Habyarimana par crash de son avion. D’où le génocide rwandais.
Évidemment, c’est au Gouvernement Kengo que va incomber la responsabilité d’en gérer les effets sur le territoire national.
C’est également sous son mandat que va surgir la guerre de l’Afdl en octobre 1996.
L’histoire retient que les appels à la cohésion nationale lancés qu’il va lancer à l’époque pour amener les Zaïrois (redevenus Congolais le 17 mai 1997) seront systématiquement rejetés par l’Opposition radicale.
Ne suivez pas mon regard puisque la suite est connue.
Si on veut alors comprendre ce qui s’est passé avant l’avènement de l’Afdl en 1996, et de comprendre ce qui, depuis, arrive au Congo, Léon Kengo est l’une des personnes ressources.
Continuer à l’ignorer – comme cela s’est fait jusqu’au samedi 14 septembre 2024 – ne pouvait que se révéler contreproductif.
Le rapprocher – comme cela vient de se faire – est productif !
D’autant plus que l’homme ne demande pas mieux que de jouer un nouveau rôle décisif dans la résolution de la crise sécuritaire.
Pour peu, bien entendu, qu’on lui fasse pleinement confiance…

Omer Nsongo die Lema




Lancement de la campagne « Révolution Républicaine » pour le développement du Sud-Kivu

Une délégation du Bloc Uni pour le Développement du Congo a tenu une série de plaidoyers à Kinshasa pour le développement de la province du Sud-Kivu.

Au cours de leur mission à Kinshasa, la délégation du BUDC a rencontré plusieurs autorités du pays afin de discuter des enjeux de développement de la province du Sud-Kivu. Parmi les interlocuteurs figuraient également des notables ressortissants de la région.

Après leur retour à Bukavu, la délégation a annoncé officiellement le lancement de la campagne de la Révolution Républicaine pour le développement du Sud-Kivu.

Cette initiative vise à mobiliser la population et les acteurs politiques en faveur d’un renouveau politique dans la région.

Focus sur la situation actuelle

Les membres du BUDC ont souligné les défis auxquels est confrontée la province du Sud-Kivu, en particulier la présence de groupes armés dans plusieurs territoires. Ils ont salué les efforts du programme P-DDRCS pour ramener la paix dans la région, tout en plaidant pour une expansion de ses activités à l’ensemble des territoires concernés.

Un autre point important abordé par la délégation du BUDC est la question de l’exploitation minière dans la région. Ils ont mis en lumière le nombre limité de coopératives minières qui respectent les obligations fiscales, mettant en évidence un potentiel inexploité de ressources financières pour le développement local.

Appel à la transparence

En conclusion de leur intervention, les membres du BUDC ont appelé à davantage de transparence dans la gestion des revenus de l’exploitation minière au Sud-Kivu. Ils ont souligné l’importance de garantir une redistribution équitable des bénéfices miniers pour soutenir des projets de développement locaux.

La conférence de presse du BUDC à l’hôtel Touriste a marqué le début d’une nouvelle ère de mobilisation citoyenne pour le développement du Sud-Kivu, mettant en avant la nécessité d’une gouvernance plus responsable et transparente pour l’avenir de la région.

Eugide Abalawi




Ayant instauré un nouveau leadership au sommet du Palu : Le SGCP Didier Mazenga reçoit une délégation de la crème savante des universités du Grand Bandundu

Le SCGP a reçu hier dans un balais politique intense, une délégation de la crème savante des Universités congolaises et notabilités du Grand Bandundu qui signe l’accompagnement de Son Excellence Didier Mazenga Mukanzu au sein du grand Parti Lumumbiste Unifié, Palu, en occurrence les Professeurs Lapika Bruno, Kalunga Norbert, Mupata, Celé Maniania et les honorables Ndambu Wolang et Luwono.

Au centre de leurs échanges, tous ont reconnu la meilleure vision du SGCP pour l’avenir du PALU.

Ils ont tous souligné que le PALU a réellement un Leadership qui incarne son père fondateur le Patriarche Antoine Gizenga, un rassembleur et unificateur. Cette crème des Professeurs qui arrive au Palu a promis qu’à leur niveau, ils feront de Gizenga Antoine une véritable icône, symbole et un homme mythique de l’histoire de notre pays. Après échanges, il est à constater que le PALU reprend ses lettres de noblesse.




Médias : Début ce mardi du congrès ordinaire de l’UNPC à Kinshasa 

Il se tient le 10 ème congrès ordinaire de l’union nationale de la presse du Congo, UNPC, dit congrès de la Renaissance avec l’appuie du gouvernement congolais.

Du 17 au 19 septembre au centre catholique nganda dans la commune de kitambo.

Il s’agit de la rencontre des journalistes de la République Démocratique du Congo qui vont réfléchir sur le devenir de ce métier, des réformes à apporter et vont également élire le comité national qui va diriger cette corporation.

Plusieurs membres du gouvernement prendront part à la cérémonie d’ouverture, notamment le ministre de la communication et médias, le ministre d’État à l’aménagement du territoire, et plusieurs députés nationaux et sénateurs.

 

Mboshi