Irumu : 5 civils tués dans une nouvelle attaque des ADF à Otomabere 

Une nouvelle incursion des combattants ADF a été déplorée la nuit du jeudi à ce vendredi 04 octobre au village Otomabere en chefferie de Walese Vonkutu en territoire d’irumu dans la province de l’Ituri.

 

Le bilan provisoire de cette violence rebelle fait état de 5 civils tués dont, 3 hommes, une femme et un bébé. Ce bilan est certifié par le coordinateur de la convention pour le respect de droits humains, CRDH, antenne d’Irumu, qui déplore cette perte en vies humaines.

 

Néanmoins, Christophe Munyanderu félicite les éléments de la force conjointe FARDC- UPDF qui sont vite intervenus afin de limiter les dégâts.

 

Cet activiste des droits de l’homme appelle la coordination des opérations Ushuja de prendre des mesures nécessaires afin de traquer sans pardon, ces terroristes ADF qui tuent des paisibles populations.

 

 

 

Alain Wayire depuis Beni




DGRK : Eddy Bitalo prend les commandes

Nommé par Arrêté N°SC/0101/CAB/GVK/DBL/2024 du 27 septembre 2024 M. le Gouverneur de la Ville Daniel Bumba, M. Bitalo Eddy est désormais Directeur Général de la DGRK, il sera secondé par 2 Directeurs Généraux Adjoints, l’un, M. Kabongo Joseph, chargé des questions techniques, et l’autre, M. Mukendi Tshiashala Tyty , chargé des questions financières & administratives; telle est la nouvelle configuration voulue par l’exécutif provincial.

Une cérémonie de remise et reprise a été présidée ce vendredi 04 octobre 2024 au siège de la Direction Générale des Recettes de Kinshasa, par le Secrétaire Exécutif, M. Luba Elie en présence des Membres du cabinet de Ministère provincial des Finances et Economie, des Membres du Comité des Directions de la DGRK ainsi que quelques Cadres et Agents de cette régie provinciale financière.

A cet effet, le DG intérimaire Kakala Bahongela Rudy, dans son mot, a sollicité au gouvernement provincial un accompagnement à la nouvelle équipe dirigeante de la DGRK pour bien mener la mission qui leur est confiée, avant de révéler quelques stratégies de travail au nouveau Directeur Général de la DGRK.

Pour sa part , le Directeur Général entrant M. Bitalo, a remercié le Gouverneur Daniel Bumba pour le choix porté à sa modeste personne.

Cet expert en fiscalité sollicite en outre l’accompagnement de tous, pour relever la pente de cette régie financière de la capitale . Il a promis la mise en place d’un plan d’urgence de redressement de la DGRK dans les prochains jours, telle que sollicitée par le DG intérimaire.

Retenons que Le DG Bitalo sera secondé par deux adjoints. À savoir : Joseph Kabongo Makasa et Tyty Mukendi Tshiashala.

Plein succès à cette nouvelle équipe composée des Experts et Chevronnés en fiscalité.

DCE




Le Royaume du Maroc pas concerné par la décision de la Cour de justice de l’Union Européenne

Le Royaume du Maroc ne se considère aucunement concerné par la décision de la Cour de justice de l’Union Européenne rendue, vendredi, concernant les accords agricole et de pêche, le Maroc n’ayant participé à aucune des phases de cette procédure.

Le Maroc n’est pas partie à cette affaire, qui concerne l’Union européenne d’une part, et le “polisario” soutenu par l’Algérie d’autre part, le Maroc n’a participé à aucune des phases de cette procédure et, par conséquent, ne se considère aucunement concerné par la décision.

Pour autant, le contenu de cette décision contient des errements juridiques évidents et des erreurs de fait suspectes. Ceci dénote au mieux d’une méconnaissance totale des réalités du dossier, sinon d’un parti pris politique flagrant.

Dans cet élan, la Cour s’est même permise de se substituer aux organes onusiens compétents et de contredire leurs positions et approches bien établies. D’ailleurs, la Haute Cour britannique avait, sur une affaire en tout point similaire, fait preuve de plus de discernement, d’impartialité et de maitrise juridique.

Le Maroc exige à ce que le Conseil, la Commission européenne et les Etats membres de l’UE, prennent les mesures nécessaires pour respecter leurs engagements internationaux, préserver les acquis du partenariat et apporter au Royaume la sécurité juridique dont il a légitimement droit, en tant que partenaire de l’UE sur plusieurs enjeux stratégiques.

Dans ce contexte, le Maroc réitère sa position constante de ne souscrire à aucun accord ou instrument juridique qui ne respecte pas son intégrité territoriale et son unité nationale




Décision de la CJUE concernant les accords agricole et de pêche: le Maroc «nullement concerné»

Le Royaume du Maroc ne se considère aucunement concerné par la décision de la Cour de justice de l’Union Européenne rendue, vendredi, concernant les accords agricole et de pêche, affirme le ministère des Affaires étrangères, soulignant que le Royaume n’a participé à aucune des phases de cette procédure.

«Le Maroc n’est pas partie à cette affaire, qui concerne l’Union européenne d’une part, et le Polisario soutenu par l’Algérie d’autre part. Le Maroc n’a participé à aucune des phases de cette procédure et, par conséquent, ne se considère aucunement concerné par la décision», précise le ministère dans un communiqué.

Pour autant, poursuit la même source, «le contenu de cette décision contient des errements juridiques évidents et des erreurs de fait suspectes», ajoutant que «ceci dénote au mieux d’une méconnaissance totale des réalités du dossier, sinon d’un parti pris politique flagrant».

Dans cet élan, soutient le ministère, «la Cour s’est même permise de se substituer aux organes onusiens compétents et de contredire leurs positions et approches bien établies. D’ailleurs, la Haute Cour britannique avait, sur une affaire en tout point similaire, fait preuve de plus de discernement, d’impartialité et de maitrise juridique».

Selon le communiqué, «le Maroc exige à ce que le Conseil, la Commission européenne et les Etats membres de l’UE, prennent les mesures nécessaires pour respecter leurs engagements internationaux, préserver les acquis du partenariat et apporter au Royaume la sécurité juridique dont il a légitimement droit, en tant que partenaire de l’UE sur plusieurs enjeux stratégiques».

Dans ce contexte, conclut la même source, « le Maroc réitère sa position constante de ne souscrire à aucun accord ou instrument juridique qui ne respecte pas son intégrité territoriale et son unité nationale ».

Par Le360 (avec MAP)




Le Fonds monétaire international, le Groupe de la Banque mondiale et l’Organisation mondiale de la santé renforcent leur coopération pour améliorer la préparation aux pandémies

Les dirigeants du Fonds monétaire international (FMI), du Groupe de la Banque mondiale (GBM) et de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) ont adopté des principes généraux de coopération pour améliorer la préparation aux pandémies. Cette coopération permettra de renforcer l’aide apportée aux pays pour la prévention et l’identification des risques pour la santé publique et la riposte, grâce au fonds fiduciaire pour la résilience et la durabilité (FFRD) du FMI, à l’aide financière et technique du GBM et à l’expertise technique et aux capacités de l’OMS sur le terrain. À travers le FFRD, les pays membres éligibles pourront avoir accès à des financements à long terme, à des taux d’intérêt peu élevés, pour mener des réformes visant à affronter les problèmes structurels qui menacent leur stabilité économique, comme les pandémies, et à accroître la capacité de réaction de leurs systèmes de santé.

Conformément à leurs missions et à leurs politiques respectives, le FMI, le GBM et l’OMS mobiliseront leur expertise pour améliorer la préparation des pays membres aux pandémies en s’appuyant sur la synergie et la complémentarité des études et des opérations menées par chaque institution dans les pays concernés. Cette collaboration viendra renforcer la conception et la formulation de réformes efficaces de l’action publique, des institutions et de la gestion budgétaire, avec le soutien de la facilité pour la résilience et la durabilité (FRD) du FMI, les réformes de l’action publique et les investissements appuyés par le GBM, et l’aide technique et opérationnelle apportée par l’OMS. La consolidation du dispositif de préparation aux pandémies des pays membres leur permettra également d’œuvrer à une plus grande résilience de leurs systèmes de santé et de réagir plus efficacement en cas d’urgence sanitaire.

En vertu des principes généraux de coordination :

L’OMS et le GBM resteront les chefs de file concernant les politiques de développement en rapport avec la santé et, avec d’autres banques multilatérales de développement et le fonds de lutte contre les pandémies, pour les investissements dans des projets spécifiques de préparation aux pandémies. Le financement du FFRD ne sera pas affecté à des projets spécifiques.

Les réformes liées à la préparation aux pandémies, soutenues par des accords au titre de la FRD, se fonderont sur les données et analyses disponibles, ainsi que sur la collaboration opérationnelle entre l’OMS, le GBM et les autorités des pays concernés.

Ces mesures de réforme s’appuieront sur le domaine d’expertise de chaque institution. Les programmes soutenus par la FRD seront axés sur des aspects macro-critiques relevant de l’expertise du FMI. Ils viendront compléter les actions menées par le GBM et l’OMS afin de tirer le meilleur parti possible des ressources financières et de l’expertise technique mises à la disposition des pays. Les réformes dans le cadre des programmes appuyés par la FRD peuvent inclure des actions destinées à mieux préparer les systèmes financiers et de santé aux futures urgences sanitaires.

Grâce à cette coopération renforcée entre le FMI, le GBM et l’OMS, les trois institutions pourront mieux accompagner les pays dans leur préparation aux pandémies.

Kristalina Georgieva, Directrice générale du FMI, a fait la déclaration suivante : « Le renforcement de la collaboration avec le Groupe de la Banque mondiale et l’Organisation mondiale de la santé permettra à nos trois institutions de conjuguer nos compétences respectives et d’en tirer le meilleur parti afin d’aider nos pays membres à être mieux préparés aux pandémies et à avoir des systèmes de santé plus résilients. Le fonds fiduciaire pour la résilience et la durabilité du FMI permet aux États membres éligibles d’accéder à un financement à long terme et abordable pour relever les défis structurels qui menacent leur stabilité macroéconomique ».

« La pandémie de COVID-19 a mis en évidence la nécessité de trouver de nouvelles sources de financement pour renforcer les systèmes de santé et les rendre plus performants dans la prévention et la détection des épidémies et des pandémies, ainsi que dans la riposte et la résistance », a affirmé le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS. « L’OMS est fière de collaborer avec le FMI et la Banque mondiale au déblocage des financements du fonds fiduciaire pour la résilience et la durabilité et d’aider les pays à les consacrer à rendre le monde plus sûr ».

« Nous devons nous préparer vigoureusement à la prochaine crise sanitaire mondiale, de sorte qu’au moment de la bataille – et nous savons que ce moment viendra – nous disposerons d’un personnel de santé qui pourra être rapidement déployé face à une crise, de laboratoires qui pourront rapidement multiplier les tests, et d’une capacité de pointe qui pourra être sollicitée », a déclaré Ajay Banga, Président du Groupe de la Banque mondiale. « Cette collaboration plus poussée nous permet d’aider les pays à mieux se préparer et réagir aux menaces pour la santé publique ».




Modalités du tirage au sort pour la phase de groupes de la Ligue des Champions CAF 2024/25

La Confédération Africaine de Football (CAF) a révélé les étapes relatives au tirage au sort de la phase de groupes de la Ligue des Champions CAF TotalEnergies pour la saison 2024/25.

Le tirage au sort qui aura lieu le lundi 7 octobre au Caire, en Égypte, sera diffusé en direct sur les plateformes numériques de la CAF, notamment CAF TV sur Youtube et CAFOnline.com.

La cérémonie débutera à 13h00, heure du Caire (10h00 GMT), pour la phase de groupes de la Coupe de la Confédération CAF TotalEnergies, suivie à 14h00, heure locale (11h00 GMT), du tirage de la Ligue des Champions CAF TotalEnergies.

Afin de rester informé sur l’actualité des compétitions interclubs de la CAF, merci de consulter la page dédiée suivante :

Clubs qualifiés pour la phase de groupes de la Ligue des Champions CAF TotalEnergies 2024/25

● Al Ahly SC (Égypte)

● Al Hilal SC (Soudan)

● AS FAR (Maroc)

● AS Maniema Union (RD Congo)

● CR Belouizdad (Algérie)

● Djoliba AC De Bamako (Mali)

● GD Sagrada Esperança (Angola)

● Espérance Sportive de Tunis (Tunisie)

● Mamelodi Sundowns (Afrique du Sud)

● MC Alger (Algérie)

● Pyramids FC (Égypte)

● Orlando Pirates (Afrique du Sud)

● Raja Casablanca (Maroc)

● Stade d’Abidjan (Côte d’Ivoire)

● TP Mazembe (RD Congo)

● Young Africans SC (Tanzanie)

Format du tirage au sort de la phase de groupes

Les équipes seront divisées en quatre chapeaux selon leur classement CAF.

Le chapeau 4 regroupera les équipes les moins bien classées, incluant :

● MC Alger (Algérie)

● AS Maniema Union (RD Congo)

● Djoliba AC de Bamako (Mali)

● Stade d’Abidjan (Côte d’Ivoire)

Ce chapeau effectuera un tirage qui assignera chaque équipe à l’un des groupes selon les modalités suivantes :

● La première balle tirée ira directement au groupe A, position A4.

● La deuxième balle tirée ira au groupe B, position B4.

● La troisième balle tirée ira au groupe C, position C4.

● La quatrième balle tirée ira au groupe D, position D4.

Le chapeau 3 comprend :

● Al Hilal (Soudan)

● Orlando Pirates (Afrique du Sud)

● GD Sagrada Esperança (Angola)

● AS FAR (Maroc)

L’attribution des équipes du chapeau 3 se fera en suivant le même processus :

● La première balle tirée ira au groupe A, position A3.

● La deuxième balle tirée ira au groupe B, position B3.

● La troisième balle tirée ira au groupe C, position C3.

● La quatrième balle tirée ira au groupe D, position D3.

Le chapeau 2 inclut :

● CRB (Algérie)

● Raja CA (Maroc)

● Young Africans (Tanzanie)

● Pyramids FC (Égypte)

La procédure de tirage pour le chapeau 2 suivra le même format :

● La première balle tirée ira au groupe A, position A2.

● La deuxième balle tirée ira au groupe B, position B2.

● La troisième balle tirée ira au groupe C, position C2.

● La quatrième balle tirée ira au groupe D, position D2.

Le chapeau 1, rassemblant les équipes les mieux classées, se compose de :

● Al Ahly SC (Égypte)

● Espérance Sportive de Tunis (Tunisie)

● Mamelodi Sundowns (Afrique du Sud)

● TP Mazembe (RD Congo)

Le tirage décisif pour le chapeau 1 répartira les équipes comme suit :

● La première balle tirée ira au groupe A, position A1.

● La deuxième balle tirée ira au groupe B, position B1.

● La troisième balle tirée ira au groupe C, position C1.

● La quatrième balle tirée ira au groupe D, position D1.

Pour plus d’informations concernant le tirage et les équipes participantes, veuillez visiter le site officiel de la CAF à l’adresse www.cafonline.com.

 




Le secret du succès en matière d’infrastructures ? Des PPP bien réglementés !

Que pourraient faire les pays en développement avec 500 millions de dollars supplémentaires par an pour les infrastructures ? Une telle somme pourrait financer environ 83 kilomètres de nouvelles lignes de bus rapides, ce qui diminuerait les embouteillages et améliorerait les transports publics. Elle permettrait aussi d’ajouter 570 mégawatts de capacité solaire installée, soit le double de certaines des plus grandes centrales photovoltaïques d’Afrique. Ou encore, elle pourrait financer 500 nouveaux kilomètres de routes à quatre voies, favorisant ainsi la connectivité et la croissance économique.

Imaginez les possibilités qui s’offriraient aux pays en développement : des flottes de bus électriques, des centrales solaires géantes, des autoroutes connectées et d’autres mégaprojets bien visibles qui font une réelle différence dans la vie des gens en les rapprochant des emplois et des services.

Mais ce type d’investissement est-il vraiment possible ? Les pays peuvent-ils mener à bien une telle transformation ? Nos dernières recherches incitent à l’optimisme, car certains pays sont déjà sur la bonne voie. Curieusement, le secret du succès ne repose pas sur des technologies de pointe, des professionnels hautement qualifiés ou des équipements ultramodernes, mais sur quelque chose que l’on ne peut ni voir ni toucher : des cadres réglementaires robustes. En effet, le nouveau rapport Benchmarking Infrastructure Development de la Banque mondiale suggère une corrélation significative entre les réformes réglementaires relatives aux partenariats public-privé (PPP) et les investissements de type PPP dans les infrastructures.

 

Bien avant de pouvoir lancer les travaux, un considérable travail en coulisses est indispensable. Les marchés financiers locaux doivent être préparés, les réglementations doivent être claires et stables, et les chefs de projet doivent s’assurer que leurs équipes possèdent les compétences nécessaires pour gérer les achats, les appels d’offres et les contrats. De leur côté, les gouvernements doivent adopter des pratiques permettant de concrétiser ces PPP qui les aideront grandement à financer et mener à bien les projets d’infrastructure.

Les réformes réglementaires « invisibles » sont tout aussi importantes que les grues et les bulldozers qui construisent nos ponts et nos routes, ce que confirment les données récentes du rapport. Selon la dernière édition, les pays qui ont renforcé l’encadrement des PPP entre 1990 et 2022 ont vu leurs investissements dans les infrastructures augmenter en moyenne de 488 millions de dollars par an.

Pourquoi ce travail en coulisses est-il si important ? Parce que des règles claires et bien conçues favorisent la participation des investisseurs privés aux projets d’infrastructure et la rendent moins risquée. Les pays dotés d’un cadre réglementaire solide sont mieux placés pour assurer le financement des infrastructures essentielles, dégageant ainsi des ressources indispensables pour répondre à d’autres besoins pressants dans les domaines de la santé, de l’éducation et de l’environnement, entre autres.

Bien entendu, les réformes réglementaires ne sont qu’une partie du chemin à parcourir. Chaque pays suit une voie qui lui est propre ; en voici quelques exemples :

Le Kenya et les Philippines ont démarré avec des projets d’énergie renouvelable et sont progressivement passés à des initiatives de plus grande ampleur et plus complexes.

La Colombie a été l’un des rares pays à recourir très tôt aux PPP dans le secteur des transports. L’Australie a mis en œuvre avec succès des PPP sans avoir promulgué une loi spécifique sur ce type de partenariat.

La diversité de ces approches démontre qu’il n’existe pas de solution unique. L’essentiel est de disposer d’un cadre qui encourage l’investissement et s’adapte aux conditions locales. Malgré la variété des méthodes, de plus en plus de pays adoptent des lois spécifiques aux PPP. Ainsi, en juin 2023, 109 des 140 économies examinées dans le rapport (78 %) disposaient d’un cadre réglementaire spécifique aux PPP et 79 pays avaient promulgué des lois sur les PPP (56 %). De 2019 à 2022, sept économies — l’Arabie saoudite, l’Arménie, le Ghana, le Monténégro, le Qatar, la République dominicaine et le Soudan — ont adopté leurs premières lois sur les PPP, et 60 pays ont apporté des modifications à leur réglementation au cours de cette période.

Cependant, si des progrès ont été accomplis, des lacunes importantes subsistent notamment en ce qui concerne la préparation des projets, un aspect critique qui doit encore être amélioré. Par exemple, seulement 5 % des pays exigent une étude de marché pour les technologies et les innovations, et seulement un tiers d’entre eux normalisent les documents relatifs aux transactions de PPP ou publient des évaluations en ligne. Aucun progrès n’a été recensé dans ces domaines depuis 2019.

C’est en raison de ces insuffisances que la Banque mondiale travaille avec les pays clients sur les bonnes pratiques en matière de PPP et le développement des infrastructures. À cette fin, la division Infrastructures de la Banque mondiale administre trois partenariats financés par des donateurs : le Fonds de conseil en infrastructure publique et privée (PPIAF) (a) renforce les politiques, règlements et institutions qui facilitent la participation du secteur privé aux projets d’équipement ; la Plateforme globale pour l’infrastructure (GIF) (a) aide les pays clients à monter des programmes d’infrastructures durables et de qualité ; le Partenariat pour l’investissement dans des infrastructures de qualité (QII) (a) appuie l’intégration de principes de qualité (a) qui sous-tendent la réalisation d’infrastructures durables, résilientes et inclusives. À eux trois, ces mécanismes aident les pays à apporter des changements efficaces à chaque phase du cycle de vie des projets d’infrastructure, ce qui peut faire toute la différence.

Pour continuer à progresser, les pays doivent affiner leurs stratégies et utiliser pleinement des ressources telles que notre dernier rapport qui fournit des milliers de données sur les réglementations en matière de PPP à l’échelle mondiale et illustre l’évolution de chaque pays au fil du temps. Je vous invite tous, que vous soyez simple citoyen, professionnel du développement ou agent public, à explorer ces données, à évaluer les progrès de votre pays et à encourager de nouvelles réformes.

En tant qu’acteurs de notre avenir collectif, il nous appartient de plaider en faveur des changements nécessaires pour attirer davantage d’investissements et construire les infrastructures qui stimulent la croissance et améliorent les conditions de vie.




Fausse Édition du Journal L’Avenir : Une Tentative de désinformation pour salir Jules Alingete démasquée

Dans un communiqué publié le vendredi 4 octobre 2024, la Radio Télé Groupe L’Avenir (RTG@), qui édite également le quotidien du même nom, a informé le public qu’une fausse édition du journal L’Avenir a été diffusée le jeudi 3 octobre 2024 par des individus mal intentionnés.

La RTG@ a identifié plusieurs indices prouvant que ce numéro n’est pas authentique. Aucune édition du journal L’Avenir n’a été publiée le jeudi 3 octobre 2024, car l’équipe rédactionnelle n’a pas travaillé ce jour-là.

Le responsable informatique, qui met chaque matin l’édition du journal en ligne, n’a effectué aucun envoi ce jour-là. Aucun exemplaire papier du journal L’Avenir n’était disponible dans les kiosques à journaux ou dans les points de vente habituels le jeudi 3 octobre 2024.

Le numéro de cette fausse édition est 8350, qui correspond à l’édition du mercredi 2 octobre 2024, révélant ainsi une tricherie facilement détectable.

La RTG@ présente ses excuses à tous ses fidèles lecteurs et aux personnes diffamées par le contenu de cette fausse édition. Des enquêtes sont en cours pour identifier les responsables de cette tentative de désinformation, qui seront poursuivis conformément à la loi.

Selon les informations en notre possession, l’ex-ministre des Finances, Nicolas Kazadi, aurait payé un journaliste 10 000 $ pour publier de fausses accusations contre l’Inspecteur Général des Finances (IGF), Jules Alingete, concernant le dossier Sicomines. Cette manœuvre visait à discréditer Alingete, qui a perturbé plusieurs réseaux mafieux, notamment ceux liés à Kinshasa Arena, au Centre financier, aux cartes d’identité, aux forages, aux lampadaires, à Kanaffer, et à une rétro-commission de 40 % sur une dette intérieure de 900 millions de dollars.

DMK




Julien Paluku clôture la DRC-WEEK aux États-Unis d’Amérique

C’est The California Club à Los Angeles qui a constitué la dernière étape de la DRC -WEEK aux États-Unis d’Amérique où le Ministre du Commerce Extérieur a été invité ce vendredi pour un dîner d’affaires avec ce cercle puissant américain chapeauté par le doyen Carl Dickerson lors de cette rencontre.
Sur place, Julien Paluku Kahongya a détaillé les 6 composantes du Plan Directeur d’Industrialisation de la République Démocratique du Congo chiffré à 58,4 milliards de dollars américains avec les indicateurs incitatifs tout en appelant les consommateurs finaux des minerais congolais basés en Californie de traiter désormais et directement avec la RDC et non plus avec les commissionnaires-pilleurs
Le changement de la perception de la RDC aux États-Unis d’Amérique et partout au monde est la grande bataille du Président Félix Tshisekedi pour ainsi promouvoir les investissements et les échanges commerciaux, a ajouté le ministre du Commerce extérieur.


A cette occasion, il a salué la belle moisson réalisée au cours de cette première édition du forum RDC-Etats-Unis d’Amérique.
Également le jumelage entre la ville de Los Angeles et Kinshasa ainsi que d’autres villes congolaises a été au rendez-vous.


A l’issue de ce dîner du travail, le Ministre a remis un tableau qui retrace les différents minerais congolais au doyen Carl Dickerson de California Club.
C’est donc une mission accomplie pour Julien Paluku Kahongya plus que déterminé à promouvoir la diplomatie commerciale et économique de la RDC sous le leadership du Président de la République, Félix Tshisekedi.