Les victimes des manifestations de l’Udps contre la révision constitutionnelle entre avril 1990 et décembre 2018 passées au compte de pertes et profits

Kamerhe et Sama Lukonde découvrent finalement la vraie raison du choix porté sur eux par Tshisekedi pour diriger l’Assemblée nationale et le Sénat : confier au leadership de l’Est la charge de la re-visitation de la Constitution !

Va-t-on encore, désormais, organiser des messes, des marches, des colloques etc. en mémoire de tous les “Rossy Mukendi” victimes des actions de la rue dont seuls les initiés de l’Udps connaissaient la nature ? _”Une fois l’Udps au Pouvoir, nous changerons la Constitution_”, aurait déclaré Étienne Tshisekedi sans qu’on en situe le contexte. On sait seulement que s’exprimant à ce sujet, le secrétaire général statutaire et président national non statutaire de l’Udps, Augustin Kabuya, s’est réjoui le 10 octobre 2024 de lancer officiellement la campagne de mobilisation des combattants. _”Point n’est besoin de vous rappeler que la révision constitutionnelle est une promesse électorale de notre parti et cette réforme est capitale à plusieurs égards. Nous vous invitons, à partir de ce jour, chacun dans son ressort, à mobiliser et à conscientiser la base du parti, afin d’imprégner aux militants le bien-fondé de la mise en œuvre du processus de révision de la constitution en vigueur selon les normes prévues par cette dernière_”, a-t-il précisé*

Coup dur, coup dur, coup dur

C’est qu’Augustin Kabuya ne réalise pas, et avec lui certainement les zélés de l’Udps, c’est la gravité de l’aveu.

Ainsi, toute la bataille de l’Udps au cours de ses 37 ans d’opposition et ses 5 ans du premier mandat n’aura eu pour objectif que le changement de la Constitution, revendication première de la Lettre des 13 Parlementaires du 1er novembre 1980, Parlementaires qui deviendront en février 1982 les “pères fondateurs” de l’Udps.

En d’autres termes, toutes les manifestations publiques organisées entre 1990 et 2018 (récupération politicienne de l’Opération Lititi Mboka en 1990, soutien au pillage de 1991, Marche des Chrétiens de 1992 pour obtenir la réouverture de la Cns, journées ville-morte ayant affecté le climat des affaires, rejet des signes monétaires, suspension de la coopération structurelle occidentale et soutien à l’avènement du Fpr au pouvoir en 1994, soutien à l’Afdl en 1997, soutien au Rcd en 1998, boycott du Dialogue Inter congolais lors du round Sun City 1, refus d’intégrer le 1+4 issu de Sun City 2, boycott du référendum constitutionnel de 2005, parodie organisée autour de la candidature d’Étienne Tshisekedi en 2011, mise en échec systématique des pourparlers d’Ibiza et de Venise en 2015, rencontre Ile de Gorée la même année, rencontre de Genval en juin et journées folles du 19 au 21 septembre 2016, boycott du Dialogue de la Cité de l’Union africaine et participation aux négociations du Centre Interdiocésain de Kinshasa, marches initiées par le Comité des laïcs catholiques fin 2017 et début 2018, et même chantage autour des funérailles de feu Étienne Tshisekedi ne visaient que *le changement de la Constitution !

En plus, tous les ratages économiques et sociaux du premier mandat sont à insérer désormais dans ce cadre. De même que la navigation à vue en cours.

Dans cette logique, tous les “Rossy Mukendi” (morts, veufs, orphelins, handicapés à vie, exilés, prisonniers, pertes d’emplois, pertes de biens privés ou publics, etc.) apprennent à leurs dépens qu’ils servaient juste de caution à une Cause enfin révélée : la révision ou le changement de la Constitution !

Combien sont-elles, ces victimes ? On ne le saura jamais. Qui va devoir les dédommager ? Personne ne leur a demandé d’être en vie pendant que l’Udps luttait pour atteindre son objectif*.

Ce que l’Histoire va toutefois retenir, c’est que ce parti a agi avec une froideur inouïe, convaincu qu’on ne fait pas d’ *omelette sans casser les œufs.

Ces victimes sont passées au compte de pertes et profits.

-Coup dur pour les partis qui, depuis les années 1990, auront coalisé avec l’Udps à un moment ou à un autre ;

-Coup dur pour les organisations patronales, syndicales et religieuses qui prenaient fait et cause pour ce parti ;

-Coup dur pour les ONG (Lizadho, Vsv, Asadho, Acaj) et les mouvements des jeunes comme Lucha, Filimbi etc. ayant soutenu l’Udps ;

-Coup dur pour les médias, dont la “presse rouge”, pour tout le travail de diabolisation abattu contre toutes les forces politiques et sociales qui tentaient de contenir la machine à broyer du lider maximo;

-Coup dur surtout pour les partenaires extérieurs qui n’ont eu de cesse, depuis les années 1990, de prendre des sanctions à l’égard des proches des chefs d’État. Ils croyaient faire mal à des acteurs politiques, mais en réalité c’est la population qui en fait les frais.

Conséquence, à cause de l’Udps fortifié par l’Occident à l’époque, la RDC va se jeter à son corps défendant entre les mains “rassurantes de la Chine compréhensive”. Et s’étant mis à froid avec ses “parrains” d’hier, Félix Tshisekedi ne jure plus que par la même Chine !

Tout ce beau monde va apprendre un certain 1er octobre 2024 qu’il n’aura servi qu’à une cause autre que celle affichée.

Effet boomerang

Est-ce que la révision ou le changement de la loi fondamentale n’est pas un acte légal ? Si !

C’est un acte légal.

Les mécanismes de sa révision sont prévus aux articles 218 et 219, quand bien même l’Udps renoue avec la pratique malsaine de la lecture partielle des textes.

En effet, dans sa stratégie de communication, ce parti met l’accent sur le premier article, ignorant que le sort de celui-ci est lié au second.

On ne peut de ce fait pas l’empêcher d’y avoir songé, même si le prix qu’il a fait payer au peuple congolais est celui de la méchanceté, pour ne pas dire de la cruauté.

Cependant, et on cessera jamais de le répéter, pour y arriver l’Udps ne doit pas se passer de ces mécanismes.

Autrement, il aura confirmé ce qui se constate sur le terrain : à l’opposition, il avait la même perception universelle de l’État de droit, des Droits de l’homme et de la Démocratie que tous les partis démocratiques au monde.

Au Pouvoir, il en a la perception contraire.

Tata Bo Moko

En plus, avec cette affaire de révision ou de changement “prophétisé” de la Constitution une fois aux affaires, l’Udps semble ne pas prendre conscience de l’effet boomerang au sein de l’Union sacrée de la nation.

Même s’ils n’ont pas encore réagi, il n’est pas exclu que les acteurs politiques comme Jean-Pierre Bemba, Vital Kamehre, Modeste Bahati, Michel Sama Lukonde ressentent mal ce qui s’apparente à un embrigadement du type mperien “Tata Bo ? Moko !” ; “Mama Bo ? Moko !” ; “Ekolo Bo ? Moko !” et “Mokonzi bée !”.

A moins d’avoir été prévenus, Kamehre et Sama Lukonde doivent se sentir pris au piège en acceptant le “cadeau” de Tshisekedi Tshilombo de diriger l’Assemblée nationale et le Sénat.

Là, Fatshi se sera révélé fin manœuvrier : éloigner l’Udps (son parti) et le Kasaï (son espace géographique) d’une opération aux effets incalculables, et y impliquer l’Est devenu le ventre mou du pays !

La Constitution est par essence un acte politique

La vérité à retenir de l’histoire du Congo est que le référendum constitutionnel a plus de chances de réussite lorsqu’il émane d’un consensus qui soit le plus large possible.

Celui de 1964 l’était puisque issu de la Conférence constitutionnelle. Celui de 2005 l’était aussi puisque issu du Dialogue Intercongolais.

Le référendum promu sera une énième première mondiale puisque, déjà, le pays n’a pas de problème… politique, dixit Félix Tshisekedi.

Pourtant, la Constitution est par essence un acte, un instrument politique !

En prévision du “pièce contre pièce”, les masques vont bientôt tomber avec une seule question : quand on a tout, que cherche-t-on encore à avoir de plus ?

Entre-temps, le prophète Étienne Tshisekedi n’aura pas été lui-même un modèle de démocratie au sein de l’Udps, moins encore de chacune des coalitions qu’il qualifiait de drôles d’attelages…

Omer Nsongo die Lema




Paluku, Muyaya et Sombo participent à l’Africa Live 2024 à l’Université d’Harvard à Boston 

Julien Paluku Kahongya, Patrick Muyaya Katembwe et Marie- Thérèse Sombo, respectivement ministre du Commerce Extérieur, ministre de la Communication et des Médias et ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire représentent la République Démocratique du Congo depuis hier vendredi au Forum Africa Alive 2024 à l’Université d’Harvard à Boston aux États-Unis d’ Amérique.

Sur place, ces 3 membres du Gouvernement dépêchés par le Président de la République, Félix Tshisekedi et la Première ministre, Judith Suminwa Tuluka ont rencontré les jeunes femmes entrepreneures congolaises œuvrant dans plusieurs domaines dont l’agro-business, le recyclage des déchets, la santé et la culture à travers les provinces.

Ces entrepreneures qui seront bénéficiaires d’un accompagnement financier à l’issue d’une formation de deux ans par intermittence aux États-Unis d’Amérique qui vise à améliorer la gouvernance de leurs entreprises respectives ont été rassurées de l’appui de l’Etat congolais.

Juste après, la délégation congolaise a été conviée à un déjeuner d’affaires avec la Directrice de l’Agence Américaine pour le Commerce et le Développement, Enoch T Ebong.

Ici, l’accroissement des exportations des produits congolais vers les États-Unis d’Amérique à travers l’AGOA et la construction des infrastructures ont été au rendez-vous.

C’est la participation à la conférence-débat sur l’avenir de l’Afrique animée par l’ancienne Présidente de l’Éthiopie, Sahle Work Zewde à Harvard qui a clôturé cette première journée.

Signalons que ce samedi, le ministre congolais du Commerce Extérieur, Julien Paluku Kahongya va vendre les opportunités qu’offre la RDC à Harvard, la meilleure université au monde. Egalement, Julien Paluku Kahongya va profiter de cette tribune pour faire l’état de lieux des préparatifs de l’organisation du Forum AGOA-2025 en juillet prochain à Kinshasa.




Sahara Marocain: Sa Majesté le Roi appelle à un surcroît de mobilisation et de vigilance pour conforter durablement la position du Royaume

Sa Majesté le Roi Mohammed VI a appelé, vendredi, à un surcroît de mobilisation et de vigilance pour conforter durablement la position du Royaume sur la question du Sahara marocain, soulignant l’impératif de continuer à plaider la justesse de la cause nationale et à contrecarrer les manœuvres des adversaires.

“La prochaine étape exige de tous un surcroît de mobilisation et de vigilance pour conforter durablement la position de notre pays, et il importe de continuer à plaider la justesse de notre Cause et à contrecarrer les manœuvres des adversaires”, a affirmé Sa Majesté le Roi dans un discours adressé au parlement à l’occasion de l’ouverture de la première session de la 4ème année législative de la 11ème Législature.

En effet, et dans le cadre de l’évolution positive que connaît la question du Sahara marocain, marquée par la reconnaissance des droits historiques du Maroc par des pays influents, pour ne citer que les Etats-Unis d’Amérique, la France, et l’Espagne, le Souverain a souligné que les fondamentaux de la position du Royaume sur cette question “doivent être expliqués au petit nombre de pays qui continuent de prendre à contre-pied la logique du droit et de dénier les faits de l’Histoire”.

“Corrélativement, il faut s’employer à les convaincre de la légitimité de la Marocanité du Sahara à grand renfort de preuves et d’arguments juridiques, politiques, historiques et spirituels”, a insisté Sa Majesté le Roi, rappelant qu’Il avait affirmé, dès Son Accession au Trône, Sa ferme intention de passer de la phase de gestion proprement dite à une dynamique de changement se déployant à l’intérieur comme à l’extérieur et couvrant tous les volets du dossier.

Cette démarche, a souligné le Souverain, “exige de mutualiser les efforts de toutes les institutions et les instances nationales officielles, partisanes et civiles et de renforcer leur coordination, de manière à conférer l’efficacité nécessaire à leur action et à leurs mobilisations”.

Rappelant le rôle agissant de la diplomatie partisane et parlementaire pour recueillir davantage de reconnaissances en faveur de la Marocanité du Sahara et pour élargir l’appui à l’Initiative d’autonomie, en tant que seule solution à ce conflit régional, Sa Majesté le Roi a plaidé pour plus de coordination entre les deux Chambres du Parlement à ce sujet.

A cet égard, le Souverain a appelé l’institution législative à mettre en place des structures internes adaptées, dotées de profils qualifiés, en appliquant les critères de compétence et de spécialisation dans le choix des délégations, aussi bien à l’occasion des rencontres bilatérales que lors de la participation à des forums régionaux et internationaux.

Sa Majesté le Roi, qui a rappelé qu’Il avait également appelé à sortir de l’approche purement réactive en faveur d’une logique de prise d’initiative, de fermeté et de proactivité, a mis en exergue l’action déterminée et sereine menée pendant des années par tous les moyens disponibles, et en dépit d’un contexte international difficile et complexe, afin de mettre en évidence “la justesse de la position de notre pays et faire valoir nos droits historiques légitimes sur notre Sahara”.

“Aujourd’hui, Dieu soit loué, la Vérité, qui finit toujours par supplanter toute autre considération, s’est révélée avec éclat car les Causes justes triomphent inévitablement”, a soutenu le Souverain.

Sa Majesté le Roi a réaffirmé également que “le Maroc restera constamment ferme sur sa position et fidèle à l’esprit d’ouverture sur son environnement maghrébin et régional, contribuant ainsi au développement commun des peuples de la région, à leur sécurité et à leur stabilité”.




‘’VODACOM CONGO ET LA SEMAINE DU CLIENT : Une célébration de l’engagement envers nos clients’’ 

Chers clients, À l’occasion de la Semaine du Client, du 07 au 11 octobre 2024, nous sommes ravis de vous mettre à l’honneur et de réaffirmer notre engagement à vous offrir des produits et services de la plus haute qualité.

Cette semaine est dédiée à célébrer les relations solides et durables que nous entretenons avec vous, tout en soulignant l’importance de votre satisfaction dans toutes nos actions. Chez Vodacom Congo, nos clients sont au cœur de tout ce que nous faisons. En effet, Nous sommes fiers de vous offrir des services de qualité supérieure et une assistance dédiée pour répondre à tous vos besoins.

• 1111 Service Client : Nos équipes travaillent sans relâche pour vous offrir une assistance à la hauteur de vos attentes de 8h à 22h00 7/7 ;

• Que ce soit par téléphone, courriel ou en magasin, nous sommes là pour vous aider ;

• Couverture Réseau : Nos équipes techniques travaillent d’arrache-pied pour couvrir chaque village, chaque localité de la RDC afin que tous nous soyons connectés au plus large réseau de la RDC ;

• Innovations : Nous mettons à votre disposition des solutions innovantes comme M-pesa et son éventail de services en vue d’inclure le plus grand nombre des personnes non- bancarisé et surtout faciliter vos transactions quotidiennes ;

• Nos équipes techniques s’efforcent de couvrir chaque village et localité de la RDC, assurant ainsi que vous soyez connectés au plus large réseau du pays.

Célébrons la fidélité et l’engagement de nos clients :

La Semaine du Client est pour nous l’occasion de vous remercier pour votre confiance. En tant qu’entreprise axée sur l’innovation et la satisfaction de la clientèle, nous comprenons que votre succès est notre succès. C’est pourquoi cette semaine est un moment clé pour échanger, recueillir vos retours et renforcer nos relations.

Nous invitons tous nos clients, actuels et futurs, à participer à cette semaine de célébration. C’est une opportunité unique de bénéficier de nos offres, de découvrir de nouvelles opportunités, et de partager avec nous votre expérience.

Avec toute la gratitude de Vodacom Congo (RDC) S.A, Top of Form

YANNA KASENGERA, Directrice du Service Client




Administration du Sénat : Sama Lukonde et les membres du Bureau remettent le nouveau charroi automobile au personnel 

Après une réunion de prise de contact avec le Comité de direction élargie et plusieurs services du Sénat, qui a eu lieu ce vendredi 11 octobre 2024 au bureau du Président, tous les membres du Bureau définitif ont eu une séance de prise de contact avec le personnel des services administratifs du Sénat.

Cette première rencontre avec le personnel des services administratifs du Sénat rentre dans le cadre d’améliorer le travail et de permettre une franche collaboration entre le nouveau bureau de la 4ème Législature de la 3ème République, a martelé le Secrétaire Général du Sénat dans son mot introductif.

Les défis qui rongent les services administratifs ont été évoqués au cours de cet échange, notamment le déficit des locaux qui est l’un des problèmes majeurs. D’où le souhait de doter le Sénat de son propre immeuble.

Mettant à profit cette rencontre, un tour d’horizon de tous les paramètres qui militent au bon fonctionnement des services administratifs du Sénat ont été passés au peigne fin.

Au nom du Bureau, l’honorable président Sama Lukonde, après avoir prêté une oreille attentive à toutes les doléances, a promis de faire d’abord le nécessaire pour permettre une bonne collaboration étant donné que l’administration est l’épine dorsale d’une institution. En tant que Président du Sénat de cette 4ème législature de la 3ème République, a-t-il dit, il est de son devoir de vouloir moderniser cette institution pour perpétuer la mémoire aux générations futures.

Après échanges et débats, l’heure est venue à la remise des clés des bus offerts au personnel des services administratifs du Sénat. Ce charroi va permettre une mobilité adéquate et confortable du personnel.

Sama visite 18 bureaux du Sénat

Pour conclure cette activité en beauté, le Président de la Chambre Haute, l’honorable Sama Lukonde, a effectué le tour de plus au moins 18 bureaux que composent le Sénat, département par département, en passant par la salle des séances plénières, de l’enregistrement et des bureaux d’études de la Division des finances. Le Speaker du Sénat s’est fait une idée précise de l’état des lieux pouvant l’aider à valoriser cette grande institution de la République.

“Le Bureau du Sénat a tenu à rencontrer l’administration du Sénat. Nous avons débuté la journée avec une réunion avec le Secrétaire général, mais aussi avec les chefs de divisions et les conseillers principaux et tous les membres d’administration du Sénat et les responsables. Le but c’était d’abord de marquer la reconnaissance que nous avons vis-à-vis de ces services qui nous ont accueillis au moment où nous avons été élus.

Et qui nous ont accompagnés dans le processus avec le Bureau provisoire jusqu’à ce que nous ayons l’élection du Bureau définitif et marquer un point de collaboration. Dans le cadre de cette collaboration, il était vraiment important que nous puissions nous imprégner de leurs conditions de travail. Nous avons par la suite effectué les visites des locaux pour voir justement tous les membres d’administration et recueillir d’eux ce que le Bureau peut faire comme engagement, de moderniser le Sénat. Comment est-ce que nous pouvons les accompagner.

Ici, ça entre dans la droite ligne de la vision du Président de la République, Son Excellence Monsieur le Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, qui veut placer l’homme au centre de tout. Nous avons terminé notre visite par la visite du charroi. Nous avions trouvé à notre entrée une difficulté, du point de vue de la mobilité de l’administration. Et l’effort a été fait pour avoir un minimum des bus. Le but ici est qu’ils puissent en faire un bon usage, bien sûr sur ce point nous allons remettre les clés au Secrétaire général pour dire : c’est un petit pas qui est fait pour la mobilité de l’administration. Et l’effort doit se poursuivent pour améliorer leur condition de vie” a déclaré en substance le président du Sénat Sama Lukonde.




Procès sur l’histoire du génocide tutsi rwandais : Charles Onana appelle les Congolais à se liguer

Annoncé pour lundi 7, mardi 8 et vendredi 12octobre 2024, le procès contre le journaliste et écrivain franco-camerounais a bel et bien eu lieu devant le Tribunal correctionnel de Paris en France.

Selon l’ordonnance de renvoi consultée par l’Agence France presse, Charles Onana et le Directeur des publications des éditions du Toucans Damien Sérieux avaient été mis en examen en 2022 pour contestation publique du génocide rwandais.

À l’audience d’ouverture du 7 octobre 2024, l’écrivain franco-camerounais, Charles Onana, 60 ans a comparu aux côtés de son Directeur-éditeur devant les juges pour négationnisme du génocide Tutsi rwandais qui a eu lieu à partir d’avril jusqu’en juillet 1994 à Kigali.

La pièce maîtresse du dossier c’est son livre paru en 2019 sous le titre: « Rwanda l’opération turquoise quand les archives parlent d’elles-mêmes ». Dans ce livre, l’auteur évoque l’idéologie du génocide tutsi et affirme que les conflits et les massacres au Rwanda n’ont aucun lien avec le génocide des juifs.

La thèse conspirationniste d’un régime hutu autant planifié un génocide au Rwanda reste une des grandes escroqueries du 20ème siècle. Depuis 2017, la loi sur la liberté de la presse punit le fait de nier, de minorer de façon outrancière tous les génocides reconnus par la France.

Charles Onana s’est expliqué en disant qu’il a fait un travail de politologue en faisant la différence entre les civils tutsis qui ont été victimes d’un génocide et les rebelles qui mènent une action violente et qui ont conquis le pouvoir par la force des armes (Front patriotique rwandais) encore au pouvoir à Kigali.

Dans une élection présidentielle transparente, crédible normale, un tutsi minoritaire ne peut pas l’emporter devant un candidat hutu majoritaire. Les tutsis ne représentent que 15% de la population devant les hutu qui représentent 80% de la population du Rwanda. Kagame avait compris qu’un coup de force était la seule option pour qu’un tutsi dirige le Rwanda. Toutes les méthodes sont bonnes qu’elles que soient leurs conséquences directes et indirectes.

L’avion qui transportait le président Habyarimana et son collègue du Burundi ont été abattu…conséquences directes, 800 mille tutsis ont été tués.

Cette escroquerie d’un génocide planifié par les hutu, a été mise en avant depuis avril 1994 sans en apporter la preuve et d’insister sur l’offensive menée par le FPR, qui avait renversé le régime hutu, ce qui a déclenché le génocide de 1994. Ce génocide avait fait 800 mille morts entre avril et juillet 1994.

Les minorités tutsis et aussi les hutus modérés ont été tués. Selon l’ONU, certaines personnalités controversées qu’un autre génocide avait été commis par les tutsis du FPR en représailles contre les hutus. Il faut reconnaître que les FPR étaient désignés auteurs directs dans le déclenchement du génocide tutsi au Rwanda.

A la suite d’une plainte déposée en 2020 par les Associations Survie, la Ligue des droits de l’homme, et la Fédération internationale des droits de l’homme, Charles Onana et le Directeur de publication des éditions du Toucans Damien Sérieux ont été mis en examen en 2022 pour contestation publique du génocide tutsi au Rwanda.

Nous sommes devant un cas de négationnisme assumé, a déclaré à l’Agence France presse Me Sabrina Goldman avocate de la Licra et également partie civile et de poursuivre, pour qu’il y ait génocide, il faut un plan concerté, soutient cette avocate. Une affirmation que Charles Onana rejette en bloc en affirmant que c’est le FPR qui a été l’élément déclencheur du génocide tutsi et non le régime hutu.

C’est le deuxième procès qui se tient en France, pour contestation du génocide tutsi. Le premier a eu lieu en 2022 et la journaliste française Natacha Polony condamnée pour des propos outranciers avait été relaxée.

Une vingtaine des témoins dont les anciens officiers militaires français et rwandais ont été cités par la défense et les parties civiles ont sollicité le concours des historiens et professeurs de droit. Les audiences très documentés sont attendus la semaine prochaine.

Alex Tutukala




KIM JONG UN aux festivités du Parti au pouvoir du Pays

Ce jeudi 10 octobre, toute la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC sise au nord de la Péninsule coréenne et créée 3 ans après la Libération Nationale 1945:

  • Puissance nucléaire consacrée à sauvegarder non seulement son idéologie, son système, sa dignité, sa vie ainsi que sa souveraineté, sa sécurité, ses intérêts mais aussi la paix et la sécurité de la Région et du monde entier
  • Superpuissance politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Bienfaiteurs dont les Généralissimes KIM IL SUNG 1912-1994 et KIM JONG IL 1942-2011, et le Maréchal KIM JONG UN, NDLR)

a célébré, de façon significative, le jour marquant l’histoire de 79 années d’existence du Parti du Travail de Corée (PTC, parti présidentiel depuis 1945, NDLR) qui, né guide de la Révolution coréenne en gravant, sur son drapeau rouge sacré, le marteau, la faucille et le pinceau:

  • conduit, invariablement, la Patrie et le Peuple à la réussite et à la prospérité éternelles
  • démontre, au monde entier, la dignité et l’honneur, et l’héroïsme de l’Etat en perpétuant, purement et parfaitement, son esprit et son idéal initiaux.

Le Jour-J, KIM JONG UN, Secrétaire Général du PTC et Président des Affaires d’Etat de la RPDC a honoré, de sa présence avec sa chère fille, les festivités du 79ème anniversaire de la création du PTC organisées dans le parc de l’Ecole (inaugurée le 21/05/2024 sur la superficie de 133.000m2 tout près du Palais du Soleil de Kumsu-san où reposent, en paix, KIM IL SUNG et KIM JONG IL, et sise dans la Capitale Pyongyang – berceau de la Civilisation Taedong-gang de 4.357 ans -, NDLR) Centrale de Cadres du PTC, qui

  • est le lieu sacré de la Révolution, érigé en puissant bastion pour garantir, à jamais, un avenir radieux de l’invincible PTC
  • s’avère la pépinière des éléments d’élites du PTC
  • s’impose, fièrement, comme symbole du prestige absolu du PTC et de l’invincibilité de son œuvre révolutionnaire
  • débordait d’un hommage sublime à l’égard de l’histoire et des exploits glorieux du PTC.

Ont été invités à la cérémonie:

  • les membres de l’organisme de direction central du PTC, y compris les membres du Présidium du Bureau Politique du Comité Central (CC) du PTC et les cadres du CC du PTC
  • les Députés à l’Assemblée Populaire Suprême de la RPDC
  • les enseignants et chercheurs de l’Ecole Centrale de Cadres du PTC
  • les membres principaux de l’Ambassade de la Fédération de Russie en RPDC, dont Aleksandr Ivanovitch MATSEGORA, Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire, à titre d’hôtes (promesse du 07/10/2024 par KIM JONG UN auprès de son plus intime Camarade Vladimir Vladimirovitch POUTINE, NDLR) du Chef d’État de la RPDC.

 

 1. Le banquet

Le lieu du banquet était plongé dans de vives émotion et allégresse des convives qui avaient salué la Fête significative.

 

Au son de la musique de bienvenue, KIM JONG UN a fait son apparition. Tous les participants l’ont accueilli avec leurs applaudissements chaleureux, lui qui écrit, grâce à son travail idéologico-théorique remarquable et à sa direction éminente, une page héroïque de transformations séculaires tant pour la continuation pure et le renforcement du PTC que pour la richesse et la prospérité de l’État et le bien-être du Peuple. RI Il Hwan, Secrétaire du CC du PTC, a fait son discours de félicitations. Tous les convives ont porté un toast pour:

  • la santé de KIM JONG UN qui, grâce à sa perspicacité brillante et à sa direction éminente et chevronnée, conduit, toujours, la Patrie et le Peuple à la victoire et à la gloire
  • le grand PTC, la grande Patrie et le grand Peuple.

2. Le spectacle solennel

Les représentations artistiques se sont données, ajoutant à la joie d’avoir célébré la Fête.

 

Quand KIM JONG UN a fait son apparition au son de la musique de circonstance, une tempête de vivats a éclaté. Toute l’assistance a présenté ses plus grands respects à ce grand Homme, bannière de toutes les victoires et de toute la gloire, qui, grâce à ses éminentes idées révolutionnaires et à sa direction avisée, inaugure, courageusement, une nouvelle ère, celle de la prospérité générale de l’Etat, en faisant rayonner la dignité et l’honneur immortelles du parti socialiste au pouvoir, le plus âgé du monde. Répondant amicalement aux acclamations enthousiastes, KIM JONG UN a adressé ses félicitations chaleureuses pour l’anniversaire de la fondation du PTC. Ont assisté également au spectacle, à part les invités principaux aux festivités:

  • les cadres des organismes des forces armées de la RPDC
  • les permanents du PTC auprès des ministères et d’autres organismes du niveau central, et de la Capitale
  • le personnel enseignant et administratif et les élèves de l’Ecole.

Sur la scène ouverte par «Vive le PTC!» (l’ensemble vocal féminin et le chœur masculin), ont été interprétés les hymnes au PTC que le Peuple chante, depuis longtemps, en l’honorant sur le long trajet héroïque pour l’achèvement de l’œuvre révolutionnaire du Juché (philosophie politique ou idéologie directrice éternelles du Pays, NDLR) ainsi que les chants patriotiques:

  • Les interprètes ont glorifié, avec émotion, la confiance et la fidélité absolues du Peuple au PTC qui, ayant créé une glorieuse histoire de l’accroissement de la puissance économico-militaire du Pays, ouvre son âge d’or en manifestant ses liens étroits avec les masses populaires sans précédent dans l’histoire de la politique mondiale et en faisant preuve des éminentes capacités de direction.
  • Les chants dédiés au PTC qui remporte victoire sur victoire à travers les siècles, qui jouit de la haute dignité grâce à ses exploits énormes accomplis devant l’époque et l’histoire et qui s’attache à réaliser tous les rêves du Peuple ont montré sans réserve que le PTC représentera, toujours comme dans le passé, la conscience, le cœur et la gloire du Peuple.
  • Surtout le «Protecteur de mon destin», chant représentant, par une riche émotivité et un langage poétique tenant du quotidien, la volonté sincère du Peuple de partager le sort du Parti-Mère (appellation depuis 1964, NDLR) qui entoure tous les gens du Pays de la tendre affection et leur assure le bonheur a touché, profondément, les spectateurs.
  • Le «Chant de la Patrie» et le «Désir ardent» traduisant la ferme détermination patriotique du Peuple à consacrer toute sa vie à la prospérité éternelle de la grande Patrie, la plus belle du monde, ont été chaleureusement applaudis.
  • Quant aux chants «Notre drapeau national» (ensemble vocal féminin et chœur masculin) et l’«Hymne national de la RPDC» (le solo vocal féminin et le chœur masculin), chansons marquées de la fidélité infinie et de la conviction inébranlable, ils ont porté le spectacle au point culminent.

Le spectacle terminé, les feux d’artifice éblouissants ont éclaté sous une nouvelle tempête d’acclamations.

 

KIM JONG UN, se déclarant satisfait du succès des représentations, a répondu cordialement à l’ovation chaleureuse des artistes et des spectateurs. Toute l’assistance s’est, farouchement, déterminée à rester infiniment fidèle à l’œuvre sacrée visant à honorer l’Epoque KIM JONG UN comme l’âge d’or du développement du PTC.

Le spectacle a raffermi le Peuple entier dans sa volonté de jouir de toutes les victoires et de toute la gloire sous la direction du grand PTC plein de respect, rendant plus significatif le jour anniversaire de la fondation du Parti-Mère.